Le dragon et la Kitsune | By : sneaky666 Category: French > Anime Views: 14642 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
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Prologue
La première chose que ressenti Issei lorsqu’il s’éveilla fut la sensation de son bras droit pris en sandwich par une ample poitrine tandis que sa main droite était coincé entre ce qui semblait être des cuisses. Il put ressentir ainsi un souffle chaud qui chatouillait sa poitrine.
Ouvrant les yeux, il vu une masse de cheveux blond étalaient sur sa poitrine, bougeant les doigts de sa main, il put laisser courir ses doigts le long d’une fente humide surmonter d’une touffe de poils.
Entendant un gémissement de plaisir en provenance de la tête blonde logeait dans le creux de son épaule, le nez d’Issei se mit à saigner tandis que son érection devenait difficile.
« Mwaaaa, bonjour Issei-nii. » De nouveau Issei remercia Kami pour lui offrir une sœur adoptive comme ça. Actuellement elle avait relevé sa tête, libérant sa main, et se frotta ses yeux endormi tandis qu’elle baillait. Ses longs cheveux d’or tombaient en cascade autour d’elle et reflétait la lumière du soleil, sa peau était d’une couleur blanche saine et sans tache. Peu importe combien de fois il l’avait vu, Issei trouva cette image effroyablement sexy, avec un coté mignon que seul sa jeune sœur pouvait posséder. L’observant de plus près, son visage était en forme de cœur encadré de chaque côté par des cheveux blonds qui tombaient en cascade, des lèvres fines et roses, des yeux bleus qui ressemblaient à des saphirs complété par trois marque de moustache sur chaque joues qui renforcé son air sexy et mignon. Et en plus de cela les oppai généreux qui étaient actuellement pressé contre sa poitrine étaient le rêve de tous hommes et femmes.
« Bonjour Naruko-chan. » Naruko sourit et se leva pour mettre ses genoux de chaque côté des hanches d’Issei qui avait une vue pleine du corps nu de sa sœur. Naruko était fine et svelte avec pas une once de graisse sur son corps, ses long cheveux doré tombé de chaque côté d’elle atteignant ses fesses. Elle était très petit malgré le fait d’avoir eu 15 ans il y a un mois, atteignant péniblement un mètre 30. Malgré cela, Issei savait que sous ce corps frêle se cachait une force incroyable comme le démontrait son estomac tonique et le fait qu’il avait une bonne idée de la fermeté du corps de sa sœur. Ses yeux furent attirés, comme chaque matin, par les énormes oppai qui étaient attaché à la poitrine de sa sœur surmonté de magnifiques mamelons roses pale, ils étaient parfaitement sphérique. Issei n’avait honnêtement aucune idée comment Naruko qui était encore dans sa puberté pouvait posséder de telle obus. Malgré tout le porno qu’avait regardé Issei, aucune femme ne pourrait battre Naruko dans le département de la poitrine dans le futur au rythme à laquelle ils grandissaient. Ses parents étaient étonné par sa croissance rapide et devait périodiquement commander pour des soutiens gorges de taille au-dessus, actuellement, elle faisait une taille F et lui avait fièrement annoncé la dernière fois qu’elle avait mesuré que son tour de poitrine faisait 90 centimètres.
Ses yeux descendirent ensuite vers le bas, louant au passage le penchant exhibitionniste de sa sœur, et il fut accueilli par le trésor le plus sacrée d’une femme. Une fine fente, visiblement humide et légèrement ouverte révélant de la chaire rose pâle était surmonté d’une touffe de poils blonds soigneusement taillé en triangle inversé preuve qu’elle était une blonde naturelle, le tout encadré par des hanches large et dodue parfaite pour enfanter. Actuellement leurs aines se touchaient, et Issei était parfaitement conscient de l’humidité et de la chaleur qu’émettait le trésor de Naruko qui frotté le long de sa verge seulement séparé par un drap et son boxer. Naruko devait bien être conscient de son problème du matin puisque ses hanches faisaient de léger mouvement en maintenant le contact de leurs aines pour l’exciter. Il pouvait aussi sentir le petit cul serré de Naruko appuyé contre ses couilles et essayait vainement d’envelopper entre ses joues la base de sa monstrueuse bite, à défaut d’y arriver il broyer contre lui d’une manière affamé.
« Est-ce que tu aimes Issei-nii ? Ou peut-être préfères-tu cela ? » En disant ces mots, Naruko prit la houle de ses seins pour les soulever et leur donner un air encore plus imposant. Hypnotisé, Issei dirigea ses mains vers les oppai tant désiré, les saisissants, il s’émerveilla de leur taille, incapable de les saisir pleinement avec ses mains. Leur douceur, leur fermeté et le fait que malgré leurs tailles et leurs poids il ne tombait pas défié toute logique.
« Certainement des seins de première qualité… » Murmura Issei en pelotant grassement sa sœur. Un gémissement le tira de son hébétude. Reprenant ses esprits, il poussa sa sœur sur le côté et s’enfuit.
Couché sur le dos, Naruko gémit de la perte de la sensation des mains de son frère sur ses seins ainsi que le frottement de sa verge sur sa fente.
« Mouuuu, baka Issei-nii, alors que Naruko était toute prête à prendre soin de son problème, chaque matin il me résiste alors que je veux faire partie de son harem. » Naruko gémissait dans la frustration mais décida de s’habiller et d’attendre son tour à côté de la salle de bains.
Vérifiant que leurs parents n’étaient pas à proximité, Naruko tapa contre la porte de la salle de bain. Et dit d’une voix sensuelle.
« Issei-nii… laisse Naruko s’occuper de toi, elle serait bien plus efficace que ta main pour s’occuper de ‘’petit’’ Issei, bien que tu as bien grandit depuis que nous étions petit, n’est-ce pas ? »
« Fous le camp Naruko, si nos parents apprennent que je t’ai peloté, je peux dire adieu à la maison et bonjour à la rue ! » A cette réplique Naruko sourit, la même réplique depuis qu’ils avaient 10 ans et ce, à chaque matin.
« Mouuuuu, Issei-nii, quand Naruko pense qu’elle s’ait volontiers offerte à toi et que quand on était petit tu n’avais aucune honte à la peloter. »
De l’autre côté de la porte, Issei s’essuya les mains et rougit. Il est vrai que quand il avait appris la grandeur des oppai il avait agréablement tâté tout le corps de sa sœur, et ce à plusieurs reprise. Mais qui pouvait lui en vouloir ? Sa sœur avait le corps de la parfaite loli avec des seins absolument gigantesque qui aurait été comique sur son petit cadre si elle n’était pas l’essence même du sex-appeal mignon. Toute les personne qu’il la croisait était partagé entre l’envie de la serrer dans ses bras pour être incroyablement mignon et de la baisait car elle était aussi incroyablement sexy. Le fait de parler d’elle à la troisième personne était une bizarrerie qu’elle semblait toujours avoir eu mais améliorer son côté moe.
Il y avait aussi le fait que quand il avait exprimé son désir de créer un harem, Naruko avait répondu qu’elle en ferait partie. A l’époque il avait pris ça comme l’idée d’une petite sœur adorant son grand-frère, mais quand il fut plus grand ses avances ainsi que de le laisser peloter son corps lui avait fait prendre conscience qu’elle était sérieuse. Issei était aux anges, c’était son rêve de créer un harem, et chaque manga mettant en scène un protagoniste ayant un harem avait au moins une sœur qui aimait le héros de façon non-fraternel et faisait partie du harem. Mais si ses parents apprenaient ce qu’il avait fait à Naruko quand il était jeune et ce qu’il comptait faire, sa mort ne serait pas douce.
Naruko ne se rendait pas compte de la bête lubrique qu’il était. Chaque matin, il se masturbait en pensant à elle, si ses parents étaient absent ne serai-ce qu’un jour, ou s’il avait un appartement, il mettra en pratique tout ce qu’il a vu dans les films et magazines porno sur elle. A chaque fois elle essayait de briser le peu de contrôle qu’il avait sur lui, déjà qu’il était extrêmement pervers elle ne l’aidait pas à se contrôler en sa présence, rien que ce matin pour chasser son excitation il avait dû se masturbait 3 fois pour devenir mou.
« Allez, plus que quelques années et j’aurais mon appartement, je suis sûr que Naruko-chan sera plus qu’heureux de venir visiter. » Pensa-t-il en imaginant ce qu’il infligerait au corps mignon de Naruko avec un sourire pervertie et le nez en sang.
« Est-ce que Issei-nii aurait des pensées ecchi à propos du corps de son imouto-chan ? Issei-nii n’a pas à s’en faire, le corps de son imouto-chan lui appartient ainsi que sa virginité. »
Elle testait tout de même beaucoup son contrôle, il embouteillait la frustration sexuelle qu’elle lui faisait subir pour sa première fois avec elle. Elle ne saura pas ce qui lui arrive. Sortant de la salle de bain, il évita de regarder son visage, et son corps en général.
« C’est ton tour… »
« Mouuuu. » Ca l’amusait toujours de savoir qu’elle faisait la moue, ses parents l’avait trop gâté et si quelque chose lui déplaisait elle effectuait une moue qui faisait fondre toute personne dans les environs. Grâce à cette arme secrète aucune personne n’a résisté à ses caprices.
Naruko entra dans la salle de bain, frustré par le fait qu’Issei n’ai pas regardé la lingerie sexy qu’elle avait sorti pour lui. Fermant la porte à clé, elle se déshabilla puis se mit devant le miroir et dissipa l’illusion.
Son corps devant le miroir était toujours aussi sexy, mais il y avait de nouveaux ajouts. Neufs queues s’étendaient de son coccyx et dérivait paresseusement dans l’air, deux oreilles vulpine était apparu sur sa tête, les couleurs de ses nouveaux ajouts étaient dorée comme ses cheveux avec une pointe blanche au bout. Ses marques de moustaches avait disparu pour laisser places à trois véritables moustaches sur chaque joues, ses ongles était devenu pointu et ses yeux s’étaient assombri et étaient maintenant fendue lui donnant un look plus bestial. Ceci était complété par une augmentation de la taille de ses canines.
Effectivement Naruko était une kitsune à neufs-queues. Après sa victoire contre Kaguya, elle était morte des suites des blessures infligées durant le combat, ensuite il semblerait qu’elle avait été réincarnée dans ce monde. Son plus ancien souvenir de cette vie était de survivre dans la rue à l’âge de 3 ans, elle ne survécu que grâce à son expérience de sa précédente vie, en volant, fuyant ce qui voulaient profiter d’elle… Comprendre qu’elle n’était pas humaine lui avait fait un choc, mais être un kitsune à neufs-queues l’avait rempli de joie, elle pouvait au moins honorer la mémoire de Kurama et cela lui avait bien servi dans ce monde. Les réflexes, sens améliorer et l’utilisation libérale de chakra lui avait permis de survivre dans la rue. Son adoptions par la famille Hyoudou avait été une agréable surprise repensa-t-elle.
Flashback
A l’âge de 6 ans Naruko vêtue de haillon regardait avec envie les enfants jouaient dans le parc, encore une fois de par son statut d’orpheline, elle était privée de ceci.
Perdue dans ses pensées moroses, elle ne vit pas le garçon et la jeune fille s’approcher d’elle et l’observait en silence.
Soudain, Naruko sortit de ses pensées lorsque le garçon saisit sa main et la tira vers le parc.
« Qu’est-ce que tu fais !? » Hurla une Naruko surpris.
« Tu sembles triste toute seule, viens jouer avec Irina et moi ! » Dit le garçon en souriant tandis que la jeune fille avec les queues de cochon hochait furieusement la tête pour montrer qu’elle était d’accord.
Naruko était surprise, à Konoha aucun enfant n’avait voulue joué avec elle. Et ici deux inconnu lui proposé de venir jouer avec eux, elle était tentée de refuser et de dire que ce n’était plus de son âge, mais deux choses la retenait. D’un point de vue extérieur elle avait seulement 6 ans et elle avait réellement envie de faire l’expérience d’une enfance heureuse.
Regardant de plus près les deux enfants, le garçon avait les cheveux brun en épis et des yeux bruns tandis que la jeune fille était blonde et avait une queue de cheval de chaque côté de sa tête, de plus elle avait des yeux de couleur violette magnifique.
Les rejoignant ils jouérent à sa grande joie, une bonne partie de l’après-midi. Ce cycle se répéta plusieurs jours jusqu’à ce que les parents d’Issei la repèrent et lui proposèrent de l’adopter en voyant ses haillons et comprenant qu’elle était orpheline.
Fin du flashback
Elle était réellement heureuse d’avoir enfin une famille, elle ne pourrait jamais suffisamment remercier la famille Hyoudou pour l’avoir adopter et s’occuper d’elle. Le fait que son frère adoptif ressemblait à Jiraya en pleine puberté l’avait ennuyé au début. Après la guerre, elle s’était imaginé fondait une famille, mais elle n’avait jamais eu le temps et elle était morte vierge. La perversité de son frère l’avait amené à tomber sur certaines vidéo et magazine, réticente au début, elle s’était mis à jetait un coup d’œil. On peut dire qu’elle avait réellement découvert le sexe à travers les matériaux pornographiques qu’avait Issei, elle regrettait maintenant de n’avoir jamais jetait un coup d’œil aux livres de Jiraya. Le sexe avait l’air incroyable et elle ne pouvait attendre que son frère se jette sur elle. Son désir d’avoir un harem ne la gênait pas, non seulement c’était toléré dans les nations élémentaires mais les espèces surnaturelles de cette dimension semblait même l’encourager. Elle avait déjà quelques membres en tête qui rejoindrait son harem. Par exemple sa meilleur ami Irina, malgré sa famille catholique, Irina était devenue sa meilleure amie, elle avait réussi à la corrompre après plusieurs années de discussion et de lui faufilé des matériaux pornographique sous le nez de son père. Elle était réellement triste quand Irina était partie au Vatican pour devenir exorciste, mais elles en avaient parlé puis décider qu’Irina agirait comme espion au Vatican et repérerait des futurs membres du harem d’Issei. Et puis en se rappelant de ce matin elle se lécha ses lèvres rose vif, elle avait encouragée son nii-san à se mettre au sport et cela avait porté ces fruits. Il était plutôt bien musclé avec des muscles saillants et des abdos bien défini avec une taille supérieure à la moyenne japonaise.
Le fait d’être un kitsune avait légèrement changé sa perception de certaine chose, et ses instinct était extrêmement développé. Issei ne semblait pas savoir qu’il y avait quelque chose en lui qui lui commandé d’obéir et de se soumettre à lui, elle avait théorisé que c’était dû à un engrenage sacré. Elle osait à peine imaginer ce qui se passera lorsqu’elle sera à maturité et entrera pour la première fois en chaleur. Déjà qu’être en majeur partie du temps en sa présence allumez un feu à l’intérieur d’elle. Quant à son prochain anniversaire où elle atteindra une étape importante pour un kitsune, elle serait en âge de tomber enceinte et ses instincts la pousseront encore plus à trouver un compagnon. Les kitsune entré en chaleur tous les ans au printemps. Et de ce qu’elle avait appris, beaucoup de kitsune qui venait d’avoir 16 ans n’arrivaient pas à se contrôler, comme beaucoup de yokai. Souvent elles tombaient sur des personnes peu recommandables qui profitaient de cet état de faiblesse pour les transformer en esclaves sexuelles.
Son activité sexuelle entre sa précédente vie et celle-ci était largement différente, non seulement elle était devenue plus ouverte sexuellement, mais sa proximité et son besoin de toucher Issei faisait qu’elle avait souvent besoin de libérer de la pression à l’aide de ses doigts. Elle était attiré à lui comme un aimant, toute les nuits elle se faufilait nue dans sa chambre pour pouvoir dormir avec lui et profiter de sa présence. Cette nouvelle facette de sa personnalité était apparue dû à ses nouveaux instincts et à sa curiosité pour le matériel pornographique qu’avait Issei. Elle s’était trouvé une insatiable curiosité pour le sexe et le fait que son frère voulait un harem accomplirait une bonne partie de ses fantasmes.
Reniflant, elle sentit l’odeur familière du sperme, souriant et remerciant ses sens qui était supérieur à ceux de l’homme dû fait d’être un kitsune. Elle se dirigea vers l’endroit d’émanait l’odeur. Elle trouva une culotte et un soutien-gorge en dentelle noire lui appartenant, et vu leur état, Issei s’en était servi pour se masturbait, de multiple taches blanche les parsemaient. Elle sourit, la première fois qu’elle avait pris Issei-nii en train de se masturbait avec ses sous-vétements, il avait été horriblement gêné, mais elle l’avait encouragé à soulagé ses pulsons sur ses vêtements. S’il refusait de la baiser, elle pouvait au moins avoir la satisfaction que son grand-frère use de ses vêtements. C’était un peu comme s’il usait un peu d’elle et cela la rendait heureuse. Au fil des ans chaque vêtements qu’elle avait eu avait été utilisé par Issei, l’odeur de son sperme en était venue à imprégné ses vêtements montrant à toute espèces ayant des sens suffisamment développé qu’elle appartenait à Issei-nii.
La forte odeur de javel et ramen qui caractérisait le sperme d’Issei semblait imprégner la salle de bain pour ses sens. Observant de plus près, Naruko se rendit compte que son nii-san avait largement souillé ses sous-vêtements et le sol. Non seulement cela mais Issei-nii avait eu la bonté de lui fournir une partie de son petit-déjeuner en regardant la tasse par terre rempli à ras bord de sperme. Prenant la tasse en main, elle la porta à ses lèvres et versa le contenue dans sa bouche. Après deux gorgés, elle se dit que c’était vraiment délicieux, la texture épaisse et collante faisait que le sperme s’accrochait à sa langue et à ses joues lui permettant de mieux le savourer. Le gout resté en bouche lui permettant de mieux savourer le sperme de son nii-san, elle savouré chaque gorgée tout en se disant qu’un jour elle pourrait boire ce délicieux nectar directement à sa source. Son nii-san était parfaitement conscient de ce qui se déroulait et s’amusait à salir se vêtements et à lui laisser quelque chose à boire et à nettoyer à chaque fois qu’il utilisait la salle de bains et que c’était elle qui attendait son tour.
Une fois la tasse vidait, elle passa son doigt sur le bord et à l’intérieur pour éviter de gacher le sperme qui collait à l’intérieur de la tasse. Une fois son doigt nettoyait de la délicieuse substance, elle remarqua l’heure.
« Quoi ? Il est déjà si tard ? Naruko doit se dépêcher si elle veut faire le bento pour Issei-nii ! » Prenant une serpillère, elle nettoya le sperme sur le sol et nettoya la tasse en pleurant à la perte de tant de sperme.
Une fois la salle de bain nettoyé, elle s’habilla mettant les sous-vêtements souillés par son nii-san. Souriant à la sensation de ses vêtements qui collait à la peau, elle s’était découvert un penchant exhibitionniste. Allez à l’école avec des sous-vêtements humide du sperme de son nii-san lu faisait se sentir excité et c’était comme si son nii-san était avec elle toute la journée. Si ça ne tenait qu’à elle, elle irait à l’école nue peinte avec du sperme de son nii-san pour montrait au monde qu’elle était sa propriété. Mettant l’uniforme de Kuoh qui mettait en valeur ces courbes, il se composait d'une chemise blanche à manches longues boutonnée avec des garnitures verticales, un ruban noir sur le col, une cape noir et un corset correspondant avec une jupe de couleur magenta avec des accents blancs. Elle aimait l’uniforme qui mettait en valeur la masse de chair sur sa poitrine et les laissait libre de rebondir à la vue de tous, bien que la jupe soit courte atteignant mi-cuisse il pouvait faire mieux. Elle avait envoyé une pétition anonyme pour réduire la longueur de la jupe avec le trio pervers, en vain.
Après cela elle mit rouge à lèvre rubis ressortant sur sa peau pale, mis du vernis à ongle orange parce que l’orange était tout simplement cool et pour terminer elle mettait du fard à paupière bleu clair mettant en valeur ses magnifiques yeux bleu. Et pour finir elle brossa sa longue chevelure doré qui descendait juste en dessous de ses fesses de façon désordonné en laissant deux pattes plus courte de chaque côté de sa tête descendre sur ses seins proéminent.
Une fois sa toilette effectuée, elle sortit de la salle de bain pour aller à la cuisine.
« Bonjour Naruko-chan. »
« Bonsoir otou-sama, okaa-sama. » Saluant ses parents elle se mit à faire des bento. Fredonnant doucement elle apprécia l’atmosphère de la maison, son père devant une bonne tasse de café en train de lire le journal tandis que sa mère était en train de regarder la télé. Soudain elle sentit son frère derrière-elle.
« Excuse-moi, Naruko. » Elle le vit lever le bras pour atteindre les céréales sur l’étagère au-dessus d’elle. Pressant son corps contre elle, elle sentit clairement son érection venir se loger entre les deux joues de ses fesses à travers sa jupe. Se sentant d’humeur taquine elle pressa son cul contre son érection et fit des mouvements de frottements imperceptibles pour leurs parents.
Issei paniqua brièvement, mais un coup d’œil vers leurs parents lui révéla qu’ils étaient parfaitement inconscients de ce qui se déroulait. Décidant que ce n’était pas si mal même extrêmement agréable malgré le tissus qui les séparé il décida de répondre à ses frottements.
Naruko apprécié la sensation de son érection dure qui émettait de la chaleur entre ses fesses ainsi que le frottement du tissu. Jetant un regard sur ses bento elle décida de tenter quelques choses. Canalisant son chakra dans l’air elle attendit patiemment les résultats.
CRRRAAAAC !!!
Un bruit de vase fracassé retentit à l’étage, pris par surprise, Mr et Mme Hyoudou se précipitèrent à l’étage. En entendant les bruits de leurs pas disparaitre dans les escaliers, Naruko ne perdit pas de temps. Se retournant, elle se mit à genoux et baissa le pantalon de son nii-san.
« Qu’est-ce que tu fais Naruko !? » Issei se retint de crier comme une petite fille, ses parents après avoir entendu le bruit de ce qu’il supposé être un vase brisé s’était précipité à l’étage. Naruko s’était retourné et baissé tout de suite son pantalon libérant son érection. Incapable de bouger dû à la surprise et souhaitant savoir ce que son adorable imouto complotait, il regarda avec anticipation. Il aimait sa sœur mais son côté salope exhibitionniste était ce qu’il préférait d’elle, avec le fait qu’elle semblait adoré il sol où il marchait.
Naruko avait oublié à quel point son nii-san était devenu grand. Libéré du pantalon, la bite de Issei-nii la frappa au visage l’étourdissant quelques secondes et laissant une trainée de bave sur son visage. Reprenant vite ses esprits, elle put voir le monstre qu’Issei-nii avait. A sa vue, elle sentit sa chatte s’humidifier et mouiller sa culotte ainsi que saliver à la vue de ce magnifique morceau de viande. Tout son être lui hurlait d’écarter les jambes pour l’alpha devant elle et de le laisser avoir son chemin avec elle. Poussant avec difficulté ses pensées de côté, Naruko remercia son incroyable volonté sinon lorsque leurs parents seraient descendus il serait certainement tombé sur eux deux en train de baiser comme des animaux dans la cuisine.
Se léchant les lèvres, elle vola un regard sur la bite de son frère. Si ses seins étaient énormes pour son petit corps et son âge alors la bite d’Issei-nii était monstrueuse. Avec un gland en forme de champignon et de couleur violette dont coulait par intermittence du liquide incolore d’où émanait une forte odeur d’un male alpha qui ne servait qu’à renforcer son instinct de s’accoupler. Sa taille était de quarante centimètres, elle l’avait épié quand il s’était mesuré, aussi large que son avant-bras et parcourut de veine violette bien visible. Son scrotum poilu semblait contenir deux couilles de la taille d’une orange, une touffe de poil noire était logée au-dessus de la verge. Elle se souvint qu’il avait eu envie de raser mais elle était intervenue en disant quelle trouvé un homme poilue viril. Encore une fois elle remercia le fait de ne pas être humaine dans cette vie, non seulement son frère avait un fétiche pour les femmes avec des caractéristiques animales confirmé par sa vaste collection de hentai mettant en scène des femmes avec des caractéristiques animal, mais aussi que si elle était humaine elle ne pourrait pas profiter de cette magnifique bite dans son canal sans être horriblement déchiré à l’intérieur.
Prenant en main la bite devant elle, elle commença immédiatement à le masturber en utilisant son liquide pré-éjaculatoire en tant que lubrifiant.
« Naruko, hummmm, arrête, si nos parents descende et qu’il nous voit… » Malgré cela Issei apprécié très clairement le traitement offert et était hypnotisé par le mouvement de ses petites mains qui essayé en vain d’encercler son énorme bite. N’en pouvant plus, il sentit son orgasme arriver pour la quatrième fois de la matinée. Sa sœur était incroyablement aventureuse ce matin et le fait qu’il s’était suffisamment rapproché pour sentir l’odeur familière du sexe qui provenait d’elle l’avait une fois de plus confirmé qu’elle avait mis les vêtements qu’il avait sali.
Ses mains étaient humides du liquide pré-éjaculatoire et elle sentait la bite de son frère pulsé signe de son orgasme imminent. Tendant l’oreille, elle entendit ses parents ayant terminé leurs recherche de l’origine du bruit et revenir dans la cuisine. Jetant un œil vers son frère, il semblait trop pris dans le plaisir qu’elle lui fournissait pour qu’il s’en rende compte. Décidant d’augmenter le tempo pour qu’il jouisse plus vite, elle enleva une de ses mains et prit son bento en s’assurant que l’urètre était dirigé vers la boite ouvert.
« Naruko, je viens. » Chuchota Issei d’une voix tremblante. Il semblait totalement avoir oublié l’endroit où il était.
Naruko sourit lorsqu’elle vu l’urètre se contracté puis envoyé des jets de sperme directement dans son bento. Naruko avait sa petite culotte trempe de son nectar, l’odeur du sperme chaud en face d’elle avait failli lui faire perdre le contrôle. Ses mamelons était dure comme de la pierre cherchant à percer son uniforme et ses yeux étaient brumeux de son excitation, elle failli se gifler lorsque sa main qui n’avait pas tenu la bite de son nii-san avait dérivé sous sa jupe. Elle dû se retenir physiquement de plonger sa tête dans le bento et commençait à le dévorer comme un animal. Bien que ce soit le quatrième orgasme d’Issei-niice matin, le volume de sperme éjecter était encore bien supérieur à un être humain normal.
Entendant leurs parents descendre elle lui donna une serviette pour s’essuyer tandis qu’elle se mit à l’évier pour nettoyer ses mains et son visage.
« Il y avait un problème otou-sama ? » Dit Naruko en passant un de l’eau sur son visage et priant pour qu’Issei-nii est eu le temps de remettre son pantalon.
« Ne t’inquiète pas Naruko-chan, c’était rien. Hummm, tu as renversé quelques choses Naruko-chan ? »
Elle allait lui demandé pourquoi il disait cela, ses mots moururent dans sa gorge lorsqu’elle tourna sa tête. Juste à côté d’elle, sa boite à bento était ouverte, laissant pour tout le monde de voir que son riz et son saumon était recouvert d’une substance blanche. Pensant rapidement Naruko répondit.
« Ah, oui. J’ai renversé de la sauce blanche sur mon bento, quelle maladroite je fais. Ahahah ! » Naruko pouvait sentir les yeux de son père sur elle, avant qu’il semble hausser les épaules.
« Tu es sur que se sera bon ? »
« Bien sur Otou-sama, je n’aurais qu’à enlever le dessus. » Bien sûr, elle penser à savourer le dessus plutôt.
Soupirant lorsque son père sembla acquiescer, elle termina de nettoyer ses mains et ferma son bento. Prenant les bento et son sac, elle suivit son frère.
« A ce soir otou-sama, okaa-sama. »
« A ce soir Naruko-chan. » Sur ces mots, Naruko ferma la porte et rattrapa Issei-nii, une fois qu’elle fut à sa portée elle lui sauta sur le dos et enfouit sa tête dans son cou.
« Mouuu Issei-nii, tu es partie sans Naruko-chan, baka nii-san. »
Issei sourit de manière perverse lorsqu’il sentit les deux melons appuyé contre son dos et mis ses mains dans son dos sous les fesses de Naruko pour la soutenir tandis que les bras de Naruko encerclaient sa poitrine. Il était bien plus grand qu’elle et le poids de son imouto était comme une plume malgré ce qu’elle mangeait.
« Enfin on sait bien où va toute la nourriture qu’elle ingéré. » Pensa-t-il en sentant ses deux merveilleux oppai pressé contre lui.
D’un point de vue extérieur, il semblerait qu’un grand frère prévenant portait sa mignonne petite sœur. Aucun ne pourrait douter un seul instant que la petite sœur donnait à son grand-frère une sensation de ses seins ou que le grand frère qui semblait la soutenir sur son dos avait ses deux mains qui avait attrapé ses fesses et les pelotaient.
« Tu étais bien excité Issei-nii ce matin. »
« A qui la faute petite salope. » Issei ne disait pas cela méchamment, il savait que Naruko ce considérait comme sa propriété, elle lui avait dit un jour.
« Je suis ta propriété, ta salope, ta putain à usait et abusait au contenue de ton cœur. » Pour un pervers comme lui, il n’y avait pas de plus belle déclaration d’amour.
« Bon Naruko je te laisse ici, amuse toi bien en cours. » Jetant un regard aux alentours il vit que personne ne regardé, sans avertissement il claqua sa main contre les fesses de Naruko la faisant glapir.
Naruko se retourna surprise du courage de son nii-san de lui donnait une fessée en public, souriante, elle ne put s’empêcher de penser.
« Bientôt, Issei-nii va enfin prétendre Naruko et lui faire sienne. » Ses pensées envoyèrent un picotement de plaisir dans son aine dans l’anticipation.
« Mais avant, je dois aller à l’école. » Pensa-t-elle morose. Au moins quand elle était à l’académie ninja elle apprenait à botter le cul, mais ici ce n’était que des choses inutiles. Les seules choses valables à apprendre selon elle était comment écarter les jambes pour Issei-nii et mieux se servir de ses pouvoirs de Kitsune.
Se résignant, elle se dirigea vers sa classe entrainant les pieds.
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4 heures plus tard :
« Enfin la pause, hein Koneko-chan ? »
« Bien sûr, gros seins. » Répondit une voix monotone et impassible. Cette voix appartenait à Koneko Toujou, une fille de sa classe, elle avait des cheveux argenté qui descendait jusqu’à sa mâchoire agrémenté avec deux pattes de chaque côté de sa tête, sa tête était surmonté d’une barrette ayant l’apparence d’un chaton, avec un visage mignon mais toujours impassible. Ses yeux étaient de couleur ambre et elle aussi était très petite pour son âge, ayant la même taille qu’elle. Mais contrairement à elle, la poitrine de Koneko était presque inexistante, ce qui déclenché une certaine jalousie et rivalité en elle.
Koneko était une nekoshou, une sous-espèce de Nekomata. Lorsqu’elle s’était rencontrée elles étaient tout de suie devenue amie. Koneko levait les yeux vers elle, elles se retrouvaient souvent ensemble et Naruko s’assurait de passer du temps avec la jeune fille qu’elle considérait comme une petite sœur malgré le fait qu’elles aient le même âge. Naruko connaissait tout de Koneko et l’avait littéralement trainée dans les montagnes malgré ces protestations pour lui apprendre le youjutsu et senjutsu. Non seulement elles étaient dans la même classe, mais outre cela, elles étaient fortement différentes, Koneko était impassible, Naruko était enjoué, leurs personnalités auraient dû rentrer en conflit mais rien de cela n’est arrivé. De plus elles étaient considérées comme les mascottes de l’école du fait du facteur mignon.
« Mouuu, Koneko-chan est jaloux des seins de Naruko ? » Pour prouver son point Naruko souleva ses seins envoyant tous les hommes aux alentours dans un coma induit par une soudaine perte de sang.
Même avec un visage impassible, Naruko pouvait voir la jalousie de Koneko aux énormes mamelles qu’elle détenait dans ses mains. Souriant elle prit la main de Koneko et l’amena sous leur arbre où elle s’asseyait chaque après-midi.
Une fois qu’elle fut assis contre l’arbre, Koneko vient s’asseoir sur ses genoux et reposé sa tête sur ses seins. Son petit cul serré et guilleret reposant sur les jambes fine de Naruko, juste séparé par sa culotte en coton blanc.
« Je croyais que tu n’aimais pas mes seins Koneko-chan ? » Taquina Naruko, la seul réponse qu’elle eut fut un regard impassible. Naruko lui donna le troisième bento en réponse faisant briller les yeux de Koneko.
Une fois le bento en main, Koneko l’interpella.
« Nee-san, tu pue encore le sperme d’Issei-sempai. » Koneko était au courant de son fétiche de s’habiller avec des vêtements taché du sperme de son frère. Difficile à lui cacher avec son nez.
« Et ? »
Koneko soupira, elle aimait vraiment Naruko, mais ses penchants pervers était incroyable, l’école ne pouvait même pas imaginer qu’elle était tout aussi perverse que son frère.
« Ça te dérange Koneko-chan ? Pourtant Naruko sais que tu te masturbe en pensant à Issei-nii. »
A cette révélation, dans un rare spectacle d’émotion, Koneko blanchit.
« Co, co, co…. Comment ? »
« Allons Koneko, tu ne devrais pas sous-estimer Naruko, et puis tu as beau dire que tu déteste les pervers ce que tu fais parfois est tout aussi pervers. » Naruko remercia intérieurement ses familiers pour lui apporter des informations sur Koneko, pas même Rias Gremory pouvait imaginer certaines choses que Koneko faisait en cachette.
Koneko fit la moue. Riant, Naruko ouvrit son bento en même temps que Koneko.
« Bonne appétit. » Le nez de Koneko se crispa, tournant la tête elle vu le bento de Naruko et soupira.
« Hentai nee-san, je doute que le sperme soit une excellente sauce. »
Naruko était en train d’avaler un morceau de saumon recouvert de sperme lorsque Koneko lui posait la question. L’avalant elle répondit ensuite.
« Bien sûr que si Koneko, le sperme d’Issei-nii est la meilleur sauce. » Koneko soupira une nouvelle fois à l’obsession de Naruko avec son frère. Elle-même devait se battre avec ses instincts à chaque fois qu’Issei était dans les parages et l’odeur de son sperme en provenance de Naruko n’aidait. La première fois qu’elle avait rencontré Naruko certains… événements s’étaient déroulé ce qui avait conduit Naruko à l’attacher et effacer la mémoire de toute la classe, moins on en parler, mieux c’était. Elle savait que Naruko avait une volonté incroyable et un contrôle d’elle-même exemplaire, ce qui lui permettait de vivre avec Issei sans devenir un animal lubrique obsédé par le sexe. Bien qu’en voyant à quel point pervers elle était, Koneko se demanda si ce n’était pas dû en partie qu’elle était cornée en permanence par la présence d’Issei. Sa perversité était sur le même niveau que le trio pervers et la seule raison pour laquelle elle n’était pas reconnue comme telle était qu’aucune personne n’arrivait à imaginer qu’une jeune fille aussi mignonne soit une perverse. Rougissant une nouvelle fois Koneko demanda.
« Je… je peux en avoir ? » Naruko failli crier ‘Kawaiii’ en voyant à quel point mignonne était Koneko embarrassé comme ça.
« Fait aaaaah. »
« Aaaaah. » Naruko guida avec ses baguettes le morceau de saumon avec la sauce spécial vers la bouche gourmande de Koneko. Une fois en bouche elle sembla déguster le saumon avant de l’avaler.
« Alors ? Comment c’était ? » Naruko n’eut pas la décence d’une réponse autres que les baguettes de Koneko s’élançant pour essayer de lui voler sa nourriture. Naruko mit tout de suite son bento hors de portée et esquiva les attaques répétées de Koneko, qui était toujours sur ses genoux, pour lui voler sa nourriture.
Après de multiples échecs, Naruko vit les joues de Koneko gonflé ainsi que des larmes se réunissant dans ses yeux, elle exploitait tout ce qu’elle lui avait pris sur la façon de faire la moue. Combiné avec le fait que Koneko était absolument adorable, cette moue aurait achevé tout homme ou femme normale. Mais Naruko n’était pas normale, elle sentit juste son cœur se fendre en deux et être complétement hypnotisé par le visage normalement impassible de Koneko. Sous l’influence du facteur mignon de Koneko qui semblait avoir pris une forme physique, elle apporta son bento devant elle qui sembla se lécher les lèvres en prévision du repas enrichi au sperme.
Naruko ne put que regarder avec tendresse Koneko dévorer un second bento qu’elle avait entamé. Une fois ses esprits repris, Naruko ne put que regarder impuissante le bento vide qu’elle était en train de manger.
« Mouuuu, méchant chaton ! » Pleura Naruko. Insensible Koneko s’essuya la bouche avec une serviette, ayant le ventre parfaitement rempli en ayant mangé deux bento dont un avec recouvert de sperme.
« Nee-san, je peux boire ? » Soupirant à l’autorité que faisais preuve Koneko sur elle, Naruko chargea l’air de Chakra pour mettre en place une illusion puis défit son uniforme et enleva son soutien-gorge en présentant ses mamelle à Koneko qui les regardait avec envie. En restant sur ses genoux Koneko se retourna pour lui faire face et tombait nez à nez avec deux seins rebondissant libre de leur fixation.
En voyant les deux mamelles être à l’air libre comme ceci, Koneko fut mis de nouveau face à son manque de poitrine. Elle pouvait voir que le soutien-gorge noir être parsemait de blanc ainsi que les seins, plus particulièrement les mamelons avoir du sperme séché sur eux et ils avaient du mal à contenir la chair du buste de Naruko. Sans se faire prier Koneko prit le mamelon droit en bouche pour commençait à téter et utilisa ses deux petites mains pour masser la mamelle et en tirer du lait
Naruko soupira de plaisir à la sensation de son mamelon être aspirer et le lait qui sortait de son mamelon. De plus Koneko était devenue très doué à masser ses seins lui procurant une bonne quantité de plaisir et tirant le plus de lait possible. Elle ne savait pas pourquoi elle avait commençait à lacté, mais la plupart de la journée elle entait ses seins se remplir de lait causant ses seins à s’alourdir et grossir. Elle avait beaucoup de gratitude envers Koneko, si ses seins n’étaient pas régulièrement vidés ils devenaient douloureux et extrêmement lourd pour son petit cadre. Et puis Koneko disait que son lait était délicieux, vu comme elle le buvait Naruko était prête à la croire. Koneko suçait ses seins comme si elle était assoiffée et n’avait pas bu depuis plusieurs jours.
Encerclant Koneko avec son bras tandis que l’autre alla caresser sa tête. Connaissant l’endroit où ses oreilles étaient cachées elle ne mit pas longtemps à entendre Koneko ronronner. Elle appréciait ses moments avec la jeune fille qu’elle considérait comme une sœur, c’était des moments de tranquillité et de plaisir qui renforçait un lien déjà fort entre eux.
Koneko aimait ses moments avec la jeune fille qui avait remplacé ‘elle’ dans son esprit. De plus le lait qu’elle produisait était riche et sucré, étant un nekoshou elle adorait le lait et celui que produisaient les mamelles de Naruko la remplissait d’énergie et arrivait toujours à lui tirait un sourire. De plus autant qu’elle était jalouse de cette poitrine, la masser avec ses mains était amusant. Sentir sa poitrine être comme de la pâte à modeler sous ses mains ainsi que leur douceur et leur fermeté faisait que cette activité était incroyablement calmante. Le fait qu’elle pouvait sentir le gout du sperme d’Issei sur les seins devant elle et cela n’avait absolument rien à voir avec son impatience de les téter.
« Soit plus douce Koneko avec les seins de Naruko tu es en train de lui faire mal. » Dit tendrement Naruko en lui caressant les cheveux. Il était vrai que dans son empressement à aspirer le lait de ses seins Koneko laissé ses dents coupantes grattez contre ses mamelons lui causant une certaines douleur.
Koneko qui sembla comprendre et éloigna ses dents du mamelon sensible. Son ronronnement de plaisir dû au gout du lait qui envahissait sa bouche et de l’habilité de la main qui lui caressait la tête était suffisamment fort pour que malgré son genjutsu, des étudiants tourné la tête vers eux en se demandant pourquoi Koneko émettait un telle bruit. Plusieurs jeunes filles s’étaient réuni autour d’eux et roucoulaient. Le fait que Koneko ronronnait semblait attirer les foules comme chaque après-midi. Naruko caressa la penser de rompre le genjutsu, l’idée que les étudiants voyant la réalité plutôt que Koneko mangeait sur ses genoux lui faisait toujours mouillé sa culotte. Le scandale qui en résulterait causerait aussi une quantité effroyable de chaos. Une jeune fille qui téter les seins nus d’une autre jeune fille dans l’enceinte de l’académie, Naruko aimait toujours les blagues et celle-là serait certainement magnifique. Malheureusement Koneko n’apprécierait pas, dommage.
Malgré cela elle profitait de la vue des étudiants l’observant durant cette activité, même si il ne pouvait pas voir ce qu’elle faisait en réalité. En sentant Koneko changeait de mamelon, Naruko soupira de plaisir. Son sein droit avait été littéralement vidé de son chargement de lait, la pression désagréable dans son sein avait disparu.
Changeant de sein Koneko lui offrit le même traitement que le sein droit. La respiration de Naruko devinait de plus en plus rapide et ses seins devenaient humides de sueur sous ses mains habiles. Koneko sourit mentalement, sa nee-san était incroyablement sensible au niveau de ses seins et avec son expérience, Koneko pouvait jouer avec elle et l’amenait sur le bord de l’orgasme. De ce qu’elle sentait, Naruko n’était pas loin de l’orgasme. Une odeur douce, piquante ce répandait dans l’air signe de la très forte excitation de Naruko.
Elle continua de taquiner le mamelon de Naruko appréciant le lait chaud qui coulait par intervalle dans sa bouche qu’elle s’empressait d’avaler.
Durant ce temps, Naruko commençait à respirer de plus en plus en rapidement et elle sentait sa culotte être complétement trempe de son excitation. Le massage que subissait son sein en conjonction avec l’aspiration que subissait son mamelon l’amenait de plus en plus proche de son orgasme.
Une fois son second sein vide de lait, Koneko était satisfaite. Levant les yeux elle vu le visage rouge et en sueur de sa nee-san. Regardant les deux mamelons brillant de sa salive et dont quelques perle de lait semblait couler, elle décida de nettoyé le reste. Passant sa langue râpeuse, Koneko nettoya les taches de sperme des seins de Naruko, appréciant le mélange de sperme séchée et de la sueur de Naruko. Tout ceci en profitant des gémissant et d’un début de ronronnement de Naruko qui semblait réellement apprécié le traitement que ses seins recevaient.
Léchant entièrement les seins laissant des trainées de salive et nettoyant les traces blanches qui les parsemaient, Koneko pensa qu’elle était vraiment heureuse de sa nouvelle vie en sentant Naruko continuant de caresser sa tête de manière automatique.
Naruko gémit de frustration lorsque Koneko arrêta de léché ses seins, la sensation de sa langue râpeuse qui passait sur ses seins était réellement agréable et étant sur le bord d’un orgasme elle était vraiment frustré et le fit savoir.
« Koneko-chan, tu ne peux pas laisser Naruko-chan dans cette état. » La pleurnicherie de Naruko aurait mis à genoux n’importe quelle être de ce monde. Mais Koneko était une personne immunisé aux pitreries de sa nee-san.
« Buchou nous attend. » Répondit Koneko d’une voix monotone. Mais Naruko connaissant parfaitement Koneko put détecter des fluctuations dans sa voix montrant que Koneko était amusé par son état d’excitation élevé. Se préparant à se lever des genoux de Naruko, Koneko vu le bras de Naruko s’élançait pour attraper son bras. Regardant le visage rouge de Naruko, Koneko tressaillit. Ses beaux yeux bleus semblaient avoir une lueur de folie en eux et il semblait qu’elle l’avait un peu trop taquiné si elle était comme ça.
« S’il te plait Koneko-chan. Naruko t’achètera autant de bonbon que tu voudras après l’école ! » Koneko eu du mal à cacher son sourire, la négociation était un succès.
Dirigeant sa main sous la jupe de Naruko, Koneko put sentir la chaleur qui se dégageait de l’aine de Naruko. Caressant doucement le tissu humide qui lui servait de culotte, Koneko poussa soudainement trois de ses doigts dans la chaleur de son canal, enfonçant au passage sa culotte en elle.
Naruko sentit son plaisir explosé en elle, elle pouvait sentir les doigts de Koneko entré en elle et le issus humide de sa culotte frottait les parois de son canal lui procurant un intense plaisir. Elle put sentir sa culotte être enfoncé de manière inconfortable entre ses fesses. La sensation des doigts de Koneko enveloppé dans le tissu à l’intérieur d’elle fut une expérience nouvelle et des plus agréables.
Koneko mettait en place un rythme rapide espérant faire jouir Naruko le plus rapidement possible et priant pour que son illusion ne se dissipe pas au moment de son orgasme, ce serait gênant pour elle. Sa nee-san était un four pensa-t-elle en sentant la chaleur que dégageait l’intérieur de sa chatte. Sentant le canal commençait à serrer pour piéger ses doigts à l’intérieur, Koneko devina que sa nee-san était proche de l’orgasme. Anticipant la suite, Koneko retira ses doigts sous les protestations de Naruko et à travers sa culotte pinça fortement son clitoris.
Elle eut la satisfaction de voir le corps de Naruko se tendre comme un arc et avant qu’elle puisse crier et alerté les étudiants qui les regardaient de leurs réelles activité, bien que les bruits humide de ses doigts masturbant Naruko ainsi que des bruits de succion lorsqu’elle tirait le lait de ses seins aurait dû leurs mettre la puce à l’oreille. C’était incroyable comme le petit peuple refusait de voir certaines évidences, l’image était différente mais les bruits n’étaient pas modifiés autre que leur paroles et ils continuaient de roucouler autour d’eux malgré les bruits de plaisir qu’elle faisait et l’odeur indéniable de sexe qui flottait autour de l’endroit où elles se trouvaient. Pour en revenir sur ce qu’était sur le point de faire Koneko, si Naruko criait de plaisir elle pourrait alerter leur entourage et les étudiants pourrait prendre conscience de ce qui se passer donc Koneko pris sur elle. Attrapant la tête de Naruko, elle attira vers elle et claqua ses lèvres sur les siennes tout en continuant de pinçait son clitoris.
Koneko embrassa sa nee-san d’un baiser torride pour étouffer son cri, il ne fallut même pas une minute avant que Naruko retrouve ses esprits et répondit au baiser de Koneko et enroula ses bras autour de son petit cadre. Leur langue se battait en duel tandis qu’elles échangèrent leur salive. Après plusieurs minutes de ce baiser brulant, elles se séparèrent à contrecœur en entendant la cloche de l’école. Koneko enleva aussi à contrecœur sa main de dessous la jupe de sa nee-san.
Essuyant leurs lèvres de la salive, Naruko se pencha et posa un doux baiser contre le front de Koneko.
« Merci, Koneko-chan. Malheureusement tu as ruiné la culotte de Naruko. » Koneko s’était mis debout avec Naruko et put voir Naruko levait sa jupe. Elle put clairement voir les lèvres externes du vagin collait à la culotte à travers la dentelle noire trempé ainsi qu’une partie du tissu semblait avoir disparu à l’intérieur de son vagin qui semblait tenter d’avaler le tissu. Ses cuisses était humide du jus et comme elle disait sa culotte semblait ruiné, elle était visiblement trop imbibé de jus pour que ce soit confortable quand elle sera en cours.
La suite fit légèrement rougir Koneko qui avait encore du mal à croire certaine action qu’était capable de prendre Naruko. Saisissant les côté de sa culotte, Naruko la descendit et leva ses jambes pour l’enlever et ensuite la jeter dans une fenêtre rouge qui était apparu dans l’air, une magie que maitrisait Naruko qui lui permettait de stocker des objets dans une dimension de poche.
Koneko soupira à l’action de sa nee-san, dans ces moments-là elle ‘lui’ ressemblait mais ses pitreries l’amusaient malgré elle. Pendant ce temps, Naruko remit en place son soutien-gorge et son uniforme.
Naruko claqua des doigts dissipant l’illusion, ensuite elles partirent en direction du club suivit de leurs fans. Aucun ne se doutait que s’il y avait du vent ce jour-là ils auraient eu une vue magnifique du cul nu rebondi ou de la chatte humide d’une des mascottes de l’école. Bien qu’en classe Naruko verrait quelques garçons qui l’avait percé à jour, laissant tomber plusieurs fois leur gomme pour voler des regards sous sa jupe à son grand amusement. Elle n’avait aucune honte à dévoiler ses parties intimes à des inconnues, il pouvait admirait mais son corps appartenait à Issei-nii. C’était une kitsune maintenant, et la morale humaine lui semblait juste un poids dont elle s’était libérer, et c’est pour ça qu’elle garderait les jambes écartées durant les cours. Durant toute sa vie précédente elle n’avait connu que la tristesse lors de son enfance, et lorsqu’elle s’était enfin fait des amis la guerre l’avait empêchée de profiter de la vie, elle était déterminer à profiter de sa seconde chance.
En même temps toute l’académie entendit un rugissement de colère.
« NARUKOOOOOOOOOOOOO !!! »
Naruko prit la main de Koneko et commença courir en riant follement. Koneko pensa reconnaitre la voix de la présidente du conseil des étudiants et ce demanda quelle farce Naruko avait tiré cette fois sur elle. En passant plusieurs filles et garçons crurent voir les fesses et la chatte de Naruko lorsque sa jupe se souleva durant sa course, mais tous rejetèrent ceci comme une illusion, après tout il n’y avait aucune chance que l’une des mascottes de l’école soit une exhibitionniste, n’est-ce pas ?
Elles atteignirent le club de recherche occulte en un temps record pour échapper à la colère des membres du conseil étudiants. Tapant la porte Naruko annonça.
« Buchou on entre ! »
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