Ashe, Archère de Givre | By : MahMan Category: French > Games Views: 686 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: This story is a work of fiction. It is a parody, I do not own the characters involved in it. I do not own League of Legends, and I make no profit. Also, I do not support violence or abuse on women in any way. |
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La reine du Freljord affichait un sourire béat. En tête du cortège, elle profitait des clameurs du peuple. Elle s’imprégnait de la joie omniprésente d’une foule d’imbéciles heureux. Accoudées à leur fenêtre, les bonnes femmes n’avaient d’yeux que pour les beaux et valeureux soldats. Leurs hommes, eux, n’avaient pas le temps de s’en offusquer : trop occupés à lorgner la commandante en chef, tous rêvaient de ses lèvres glissant autour de leur queue.
Cet accueil était le fruit d’un succès incontestable, qu’on aurait pu aussi qualifier d’inhumain, de lâche. Immérité. Non, le qualifier d’« immérité » serait mentir. Il fallait le reconnaître, l’expédition avait été menée d’une main de maître par Ashe, qui était si jeune mais affichait déjà les capacités d’un fin stratège. Elle n’avait laissé aucune chance aux quelques centaines de trolls réunis à la frontière du royaume par la sorcière Lissandra. Sitôt l'État-major alerté de l’établissement du camp par les sentinelles volantes avarosans, une pulsion instinctive avait empressé la reine d’agir sans attendre.
« Nous devrions envoyer un espion afin de récolter de précieuses informations sur Lissandra », avait proposé un général à la voix nasillarde. « Il a raison, soyons patient », avait renchérit un autre. En temps normal, Ashe se serait laissé bercer par les conseils de ces vieux imbéciles, qui se complaisaient à la reluquer avidement au cours de réunions qu’ils faisaient s’étirer aussi longtemps qu’ils le pouvaient. Mais pas cette fois-là. Elle n’alla pas non plus dans le jardin royal, méditer le pour et le contre devant la tombe de sa mère. Non, dans la même nuit, elle leva un contingent de cinq cent hommes qui marchèrent plusieurs jours jusqu’au plateau occupé par les trolls. L’armée contourna le camp en gravissant d’étroits mais discrets passages dans la roche. L’assaut fut lancé à la nuit tombée, alors que la majorité du camp troll était endormi. Une stratégie évidente, mais si lâche. Efficace et tout autant méprisable. Comme prévu, le combat n’en fut pas un : les trolls périrent dans un déchaînement de violence insupportable.
Pour beaucoup d’habitants de la capitale, Ashe était bien plus qu'une simple chef de guerre. Ses adorateurs clamaient fièrement à qui voulait l’entendre comment elle avait ramené prospérité et paisibilité dans le royaume. Ils vantaient la facilité avec laquelle elle avait uni des tribus de tous temps opposées, usant de la force quand il le fallait, mais le plus souvent de la diplomatie, qu’elle tenait pour idéal. Ils énuméraient le nombre de chefs de tribus et de rois autoproclamés qu’elle avait mués de rivaux en vassaux « contre toute attente » —le terme juste étant « miraculeusement ». Si bien que des rumeurs graveleuses, véhiculées par les clochards et pochetrons de tavernes mal famées, accusaient la reine de s’être offerte aux chefs contre leur allégeance.
On pouvait entendre dans les dîners mondains que « la région était depuis peu en paix, les sols à nouveaux fertiles et les sujets emplis d’amour pour leur nouvelle reine ». De biens belles paroles, sauf qu’elles étaient tout sauf vraies : bien sûr... les pillages avaient un peu diminué grâce aux patrouilles de soldats disséminées ça et là dans le royaume. Les périodes de grand froid qui ravageaient les champs, elles, n’avaient pas encore disparu —il était encore temps d’espérer. Enfin, tout village situé à plus de deux cols des ancestrales terres de la tribu Avarosan ne connaissait la reine Ashe qu’à travers les rumeurs, peut-être même les pires. En définitive, les citoyens de la capitale étaient les seuls à réellement lui manifester leur soutien. Le reste de ses sujets se contentaient de suivre le cours de leur vie sans grand bruit. Ah, qu’il se serait bien gaussé, le marin de Glaserport, en goûtant à ce spectacle grotesque. Tête haute, Ashe se fraya un chemin parmi la foule, au travers des sifflets et des clameurs. Les citoyens criaient sur son passage :
« Hourra ! Longue vie à Avarosa ! Que la reine soit louée, grâce à elle nous sommes en sécurité dans nos maisons ». Quand elle franchit les remparts du palais royal, Ashe entendit s’élever un chant en son honneur depuis les rues de la cité. “Oh reine Avarosa, née dans les monts glacés, chevauche l’aile de l’oiseau des histoires oubliées…”
*
Ashe poussa la porte du salon. Tryndamere, son mari et roi, était assis près de la fenêtre qui donnait sur le balcon. Il l’observa du coin de l’œil retirer son manteau de fourrure blanche.
« Nous avons détruit le camp et tué tous les trolls, lança-t-elle allègrement. La mission est un vrai succès. Je crois que nous avons porté un grand coup à Lissandra ! Le peuple est en liesse, as-tu jeté un coup d'œil à la fenêtre ? Hommes, femmes et enfants accourent pour acclamer nos guerriers. »
Le barbare porta une coupe de vin à ses lèvres et la vida d’une traite. Après quoi il marmonna quelques mots à peine intelligibles dans sa barbe drue :
« Va dans la chambre, te préparer. Je t'attendais. »
Ashe se figea, les jambes légèrement écartées et la tête haute. Elle le toisa sans sourciller. L’air niais. Seul son buste cambré s’élevait au rythme des respirations ténues. La pauvre était encore une fois interloquée par le mépris qu’affichait Tryndamere à l’égard de ses succès militaires. Ashe constata les mots du roi en silence, un goût amer dans la bouche. Elle faillit s’offusquer, mais ce sentiment disparu presque aussi vite qu’il avait émergé : après tout, il ne partageait pas l’euphorie ambiante. Il n’avait pas goûté à la victoire, se rassura-t-elle. La vérité : il s’en foutait royalement. Reclu dans le palais, il ne s’intéressait plus à la vie de la cité depuis bien longtemps.
La souveraine Avarosan avait épousé le roi barbare sans passion. Lui non plus. C’était un mariage de convenance, qui avait eu pour seul et unique but de confirmer le statut de Ashe comme légitime reine du Freljord. Tryndamere avait été le meilleur choix, si ce n’est le seul viable : d’un côté la Griffe Hivernale ne jurait que par les armes, de l’autre Lissandra et ses trolls étaient hors de l’équation. Roi sans peuple —les barbares avaient été décimés par un démon quelques années auparavant, Tryndamere était encore considéré par de nombreuses populations du Freljord comme leur seul et unique chef. Ashe ne cherchait pas à agrandir son armée ou bien elle aurait été voir ailleurs. La véritable puissance qu’elle convoitait était symbolique : ces deux figures du Freljord réunies main dans la main, plus aucun autre meneur n’aurait désormais la légitimité pour se proclamer souverain des terres glacées. L’union avait donc scellé une paix durable dans les régions concernées, et apporté la protection des troupes Avarosans. Mais ce répit n’était qu’une accalmie car là haut, dans la citadelle, se terrait la maléfique sorcière Lissandra. Affaiblie mais menaçante, elle organisait ses troupes et attendait le moment idéal pour semer à nouveau la zizanie en Freljord. Tryndamere s’était bien gardé d’hésiter devant la proposition de la reine. Il avait même sauté sur l’occasion à pieds joints. Sans armée ni peuple, il se savait bien plus confortable au chevet du plus puissant… au cas où de futures guerres venaient à éclater. À l’inverse, ce mariage avait été un grand sacrifice pour la jeune femme passionnée qu’était Ashe. Elle renonçait à la perspective d’un bel amour et d’une famille heureuse. À la place, elle vivrait jusqu’à ce que mort les sépare avec un barbare et devrait s’assurer une descendance dans la douleur et les regrets. Mais ces considérations, Ashe les mettait volontiers de côté en pensant à la paix qui régnerait bientôt grâce à elle dans tout Freljord. Essentielle à la réalisation de son but, cette union n’était qu’un simple pas de plus vers la paix. Elle se refusait d’y voir une perte. De vrais sacrifices, elle en avait fait. Elle avait perdu des amis chers au combat. Cela avait affecté son choix d’unir le Freljord par la diplomatie plutôt que par la violence. Affichant la plus grande résolution, elle avait choisi d'endurer ces souffrances et de se dédier corps et âme au Freljord.
Au tout début, Tryndamere s'était battu à ses côtés, pour faire acte de bonne foi. Il avait mis à contribution sa puissance surhumaine et sa rage. Aussi, il était à cette époque encore nourri par la soif de vengeance, le désir de retrouver celui qui avait tué les siens. Puis, peu à peu, sa véhémence avait laissé place à une lourde paresse. Il avait délaissé les champs de bataille et avait oublié pour quelles raisons il se battait. Il s’était arrêté de participer aux missions militaires menées par Ashe et s'était retiré dans les quartiers royaux pour ne plus sortir que très rarement de son mutisme. S’il faisait acte de présence lors des cérémonies officielles pour se montrer physiquement et en bonne santé devant le peuple, son esprit lui, était ailleurs.
*
Ashe détourna les yeux vers la porte de la chambre et s’y engouffra. Elle alluma plusieurs cierges qui diffusèrent dans l’imposante pièce une faible chaleur semblant avoir déserté le jour de son départ. La chambre à coucher était artificielle, à l'image du couple. Ça et là quelques commodes, dans le fond une armoire. Toutes très sobres. Plusieurs tapis en peau de bêtes jonchaient le sol ou tapissaient les murs de pierre froide. Au centre de la pièce, le grand lit à baldaquin trônait là tel un yéti au milieu d’un groupe de sangliers de Freljord. D’un criard déplaisant, il présentait tous les aspects du confort royal et des traditions freljordiennes : un matelas recouvert d’épaisses fourrures, des rideaux tissés de motifs barbares et une monture en bois sculpté racontant l’histoire de l’ancienne reine Avarosa. Le lit avait été conçu pour célébrer l’union des deux chefs, et au delà des deux peuples. Ashe appréciait cette couche. Après tout, elle était le symbole de sa réussite.
Sur le matelas reposait sa nuisette royale, une chemise en soie légère aux motifs gracieux et aux coutures brodées de fil doré. Le vêtement était unique en son genre, sans aucun doute conçu par le plus fin couturier de tout Freljord. Fin pervers et crapule aussi ! Le tissu, quasi transparent, ne laissait presque rien à l’imagination des courbes plantureuses de la reine. Seules les broderies intelligemment disposées cachaient tétons et entrejambe —encore que... Ashe délaça son corset de cuir puis ôta son capuchon et sa tunique. Libérée, sa poitrine retomba contre son torse nu. Les deux mamelles pleines, étirées sous leur poids le long de ses côtes apparentes, semblaient être celles d’une femme en cloque. Seulement, Ashe ne l’était pas et sa silhouette fluette contrastait avec les grosses loches protubérantes de vache à lait. Elle déboucla le ceinturon duquel pendaient plusieurs besaces et le fit lourdement chuter au sol. Sa jupe, sans être retenue, glissa le long de ses cuisses, laissant ses braies comme unique rideau. Ashe baissa les yeux vers le vêtement et en défit le cordon. Ses doigts guidèrent le tissu contre sa peau, découvrant d’abord un petit buisson de poils blonds cendrés. Le bouton rose apparut, joli, mignon. Puis la fente, enveloppée par deux lèvres ondulées. La jeune femme leva un pied, puis l’autre et laissa retomber les braies à terre. Elle attrapa la nuisette et l’enfila, pinça l’une des bretelles qui avait glissé le long de son épaule et la remit en place. Ashe était vulnérable dans ce vêtement qui n’en était pas un. Cela la rendait encore plus désirable. L’étoffe de soie reposait tendue contre la surface plane de sa poitrine, se plissait au contact des mamelons puis tombait lâche à la verticale le long de son abdomen. Derrière, le textile s’étirait pour épouser le galbe de sa croupe, puis s’interrompait au ras de la chair, laissant à nu la ligne où fesses et cuisses se rencontraient.
Tryndamere pénétra dans la pièce et s'immobilisa quelques secondes pour s'habituer à la pénombre. Il marcha en direction du lit, se débarrassa de ses bottes, défit sa ceinture et ôta sa tunique qu'il déposa sur le dossier d’une chaise. Il contourna le sommier et se planta devant Ashe, ses muscles secs exhibés. Elle détourna le regard, comme pour dire « pas impressionnée ». Un rictus s’étira au coin des lèvres du barbare. Il adorait jouer à ce petit jeu : tant qu’elle feignait de ne rien ressentir, il allait plus loin. Seules les braies courtes couvraient encore l’entrejambe, mais le tissu tendu et rebondi laissait peu d'imagination sur son contenu. Tryndamere se pencha et glissa une main derrière la nuque de sa femme. Ses doigts étaient fébriles. Comme à chaque fois qu'il s'apprêtait de faire l'amour, il sentait à nouveau ses sens s'éveiller. Il approcha sa bouche et l’embrassa. Les lèvres de Ashe étaient gelées et son haleine glaciale. Lui bouillonnant, ne tarda pas à lui transmettre sa chaleur. Pour Ashe, ce fut un calvaire sans nom. Elle se sentit violée par la langue intrusive de Tryndamere, pour lequel tout le dégoût qu’elle avait accumulé et enfoui menaçait de remonter en cet instant. Elle n'éprouvait rien pour cet homme. Elle ne le trouvait pas particulièrement beau. Il était plus âgé qu'elle et, très peu intelligent, ne partageait même pas sa philosophie pacifiste. Pourtant, elle se laissait manipuler par lui. Elle avait beau être la grande pacificatrice du Freljord, au lit, elle devenait simple objet sexuel pour barbare à la libido anormalement élevée. En cet instant, Ashe aurait voulu refuser. Rejeter ses viles mains et trouver le sommeil après plusieurs jours passés à très peu dormir. Mais tous les regrets ne lui rendraient pas le luxe de choisir. Elle avait accepté le fardeau de ce mariage pour apporter la tranquillité en Freljord. Par cet acte, elle s’était elle-même condamnée, mais sa détermination inexpliquée devant l'enjeu immense de la pacification des terres glacées la consolait encore. Si de l'intérieur ce mariage était pourri, pour ces sujets il devait paraître lisse et sans imperfection : un exemple de respect, de bonheur et d’entente. Avec la paix sur le fil, laisser courir le risque que Tryndamere soit surpris à tromper sa femme était insupportable. Une telle bévue aurait détruit tant d'efforts et si le coût à payer pour s'en prémunir était de combler l'appétit sexuel du barbare, la jeune reine s’en acquitterait tant qu’il le faudrait. Et puis, elle avait accepté au travers de cette union le devoir conjugal. À ses dépens, Ashe était une femme de traditions.
À vrai dire, elle était franchement idiote de s’accrocher à des principes si futiles. Il aurait été plus facile de se laisser aller, de noyer le sacrifice dans un tourbillon de plaisirs sexuels. Sur ce plan-là, il n’y avait pas que du mauvais dans Tryndamere : n’importe quelle femme aurait volontiers échangé son paysan de mari contre lui, rien que pour une nuit. En parlant de façon objective, le roi barbare était d’apparence pas déplaisante, assez expérimenté en matière de sexe et plutôt bien membré.
Mais Ashe était décidément bornée et en avait décidé autrement. C’était sa perte !
Le barbare, lui, avait fait le choix inverse. Il pelota son sein à travers la nuisette, puis tira la soie vers le bas pour l'en délivrer. Le nichon s'affaissa sous son poids, comme un peu plus tôt. Tryndamere soupesa la chair pleine et ses doigts massèrent le mamelon brun. Malgré toute sa réticence, Ashe ne put contrôler la réaction naturelle de son corps. Le téton durcit rapidement et s’érigea. Elle rougit de honte et d’agacement. Tryndamere s’en délecta. Sa langue quitta la bouche de la reine pour baiser son cou et répandre leur salive mélangée contre la peau. Ses respirations chaudes et bruyantes réchauffèrent petit à petit le corps de l’archère. Il descendit encore, jusqu’à l’aréole qu’il enveloppa de ses lèvres. Il la suça goulûment, —sluuurp! aspira le téton, le mâchouilla, le tordit entre ses dents. Il le mordilla si fort qu’il arracha un gémissement plaintif à la reine. Quand il se retira, le mamelon était trempé, dégoulinant de bave. Puis se redressant, il empoigna une touffe de cheveux cendrés et attira le visage de la jeune femme à son entrejambe. Il pressa la joue de Ashe contre sa cuisse et l’invita d’un ton doucereux à baiser le tissu rebondi. Elle fronça les narines, respira les effluves qui émanaient à travers les braies : son odeur corporelle mêlée de sueur était puissante, enivrante. La reine approcha la bouche et déposa à contrecœur plusieurs baisers sur la surface de l’étoffe. D’abord sur sa paire de boules, qu’elle devinait aisément à la forme lisse et ronde de l’étoffe. Puis ses lèvres grimpèrent à hauteur de la bite flasque, enroulée sur elle-même, qu’elle couvrit elle aussi de petits bisous étouffés —mouah..! Tryndamere la regarda avec une joie non dissimulée.
Prêt à passer à l’action, il lui commanda de monter sur le lit et de se coucher sur le ventre, puis grimpa après elle et s'agenouilla au-dessus de ses cuisses fermées. Il s'arrêta un instant pour contempler le cul charnu de la reine qui s'offrait à lui. Il était à peine dissimulé sous la nuisette royale qui couvrait tout juste ses parties. Sous le tissu quasi transparent, il pouvait entrevoir les deux bosses fermes et, au creux de la raie, une colonne de poils blonds cendré, presque indiscernables dans la pénombre qui régnait là. Il tira la nuisette sur les hanches de Ashe pour laisser place à ses paumes carrées. Il effleura le galbe des fesses, pour en ressentir toute leur rondeur. Ashe, la tête entre les bras, maudissait son corps, dont les poils se hérissaient sous les caresses du barbare. Ses traits se muèrent en une expression de surprise quand Tryndamere empoigna son postérieur avec vigueur. Il palpa, remua, malaxa la chair de toutes les manières. Ses mains puissantes la pétrirent comme si elles modelaient de l'argile. Ses doigts pénétraient dans la peau, s'enfonçaient profondément, telles les griffes d’un volatile. Tryndamere succombait une fois de plus au pouvoir hypnotique de croupion ce croupion unique. Ses yeux, qui n’avaient plus quitté les deux masses rebondies, s’étaient illuminés mais il voyait flou : plus précisément son champ de vision s’était restreint à l’essentiel. Un filet de bave se présentait au coin de ses lèvres. Si rien ne le retenait, il perdrait bientôt contrôle de lui-même et finirait peut-être par s’écraser de tout son long, amorphe, sur le corps de Ashe.
C’est sa queue qui le secouru : dure comme le « Boneshiver », elle menaçait à présent de déchirer les braies. Comme pour envoyer un message au stupide barbare, le gourdin tentait désespérément de s’ériger vers l’entrejambe de la jeune femme, mais restait entravé par le tissu. Tryndamere fourra une main dans les braies et en sortit son sexe. Malgré sa large paume, il n’en faisait pas le tour et il lui en aurait fallu deux pour la couvrir entièrement en longueur. Mais, ce qu’il avait de vraiment significatif, ce gros bâton, c’était son extrémité complètement disproportionné, encore enveloppée sous le prépuce, mais dont on devinait déjà la forme. On aurait dit le pommeau d’une épée, tant il se démarquait du corps de la bite. Ashe avait mis longtemps à s’y accoutumer mais ne le trouvait pas disproportionnée pour autant. En fait, c’était le seule qu’elle connaissait. Tryndamere se hissa à hauteur de la raie et y fourra sa grosse queue. Il bougea amplement d’avant en arrière pour la faire coulisser contre les parties de Ashe. Le prépuce se déroula pour dévoiler l’extrémité couleur pêche. Il laissa couler un filet de salive —cette fois intentionnellement car il avait repris tous ses esprits— de sa bouche et contre la peau tendue de son sexe. Il continua à le lubrifier jusqu’à ce que le clivage offre un écrin suffisamment graissé. Une main cramponnée sur chacune des deux fesses, il pressa la chair dodue contre son sexe. D’avant en arrière, Tryndamere se mit à baiser le sillon et une flopée de sons moites s’élevèrent dans la chambre —slosh.. sploh! rythmée par les respirations bruyantes du roi.
« Ah que j’aime ton gros cul, petite reine ! gloussa-t-il soudainement. Il est si épais, je pourrais juter rien qu’en me branlant entre tes deux sacs. Mais puisque cela fait cinq jours que je me fait jouir sans femme, aujourd’hui doit être une occasion mémorable ! »
Et il ne mâchait pas ses mots ! Sans aucun avertissement, il poussa son gland contre le petit trou étoilé et le força à rentrer sans la moindre délicatesse. Le trou se contracta. Il résista à la force brute déployée par le barbare et fut sur le point de s’ouvrir quand Ashe hurla de souffrance et se retourna, affichant une expression de haine et de surprise sur le visage. Elle posa une main contre le torse du bonhomme et tenta de le repousser.
« Non ! Tryndamere, tu devais me demander à l’avance pour le faire par derrière ! Pas ce soir s’il te plait! Pas ce soir ! » cria-t-elle.
« Réfléchis un peu idiote, Tu es partie il y a cinq jours ! Je n’allais pas t’envoyer un griffon ! ironisa-t-il. J’en ai envie ce soir et tu vas faire avec. »
Il ignora son bras mais Ashe se débattit. Elle tenta de s’extirper mais Tryndamere était solidement assis sur elle. Il la retenait de tout son poids.
« Arrête Tryndamere ! J’accepte toutes tes lubies pour le bien du Freljord, mais tu ne peux pas me forcer ! »
« Pour le bien du Freljord ». Ha ! Sortir une telle idiotie dans pareille situation, ça relevait presque du génie comique. Et ça le fit bien rire, son barbare de mari. Il se cramponna le ventre, un rictus sadique sur les lèvres. Encore parcouru de spasmes, il empoigna d’une main la chevelure de Ashe et lui envoya du revers de l’autre une torgnole en plein nez. Le cou de la reine se tordit sur lui même et son visage fut projeté dans les coussins de fourrure. Il hurla :
« Tiens, voilà ce que je pense du bien du Freljord ! »
Tryndamere fixa les bras de Ashe dans son dos, lui fit lever la croupe et remonta ses cuisses pour que ses genoux produisent un angle perpendiculaire sur le matelas. Il se redressa sur ses pieds et s'apprêta à la sodomiser pour de bon à la manière d’un sale clébard.
« Je suis le roi de Freljord et je me fous bien de tes envies, annonça-t-il. Suffit de toutes ces sottises ridicules. Tu vas me satisfaire telle la femme d’un barbare que tu es à présent ! »
Sur ces mots, il plongea son dard contre le petit trou flétri qui s’élargit lentement. Avec difficulté, il se dilata pour épouser la largeur du gland qui bientôt disparu, aspiré par les entrailles. La peau se referma sur le bâton, qui était prêt à rentrer à son tour. Ashe poussa un gémissement étouffé dans les coussins : ses yeux révulsés, l’iris à peine visible. En réponse, elle planta ses ongles dans le mollet de Tryndamere et griffa la peau aussi fort qu’elle le put. Le barbare leva un sourcil et arbora un grand sourire.
« Ha ha ! Voilà comment baisent les barbares ! Sans aucune égratignure, pas de passion. Serre, reine du Freljord ! Fais moi mal que je te rende la pareille. »
Et il se mit en mouvement. De haut en bas et de bas en haut, il regarda le contour élastique qui enveloppait étroitement sa queue accompagner le vas-et-vient : la peau autour du trou se déformait telle une ventouse, créant un petit monticule lorsqu’il s’élevait et un cratère quand il s’abaissait. Le gland, lui, paraissait scellé à l’intérieur tel le bulbe noué d’un cabot. Pour voir, Tryndamere étirait la rondelle autant que possible et cela lui valut un regard glacial de la part de Ashe, qui grinça des dents de douleur. Il s’en amusa et abattit son pied sur le visage de la jeune femme.
« Plains-toi à mon pied, salope. »
La rage envahit le corps de la reine et fit frissonner ses membres et s’hérisser les poils sur sa peau. Elle voulut pousser un cri strident, exploser, mais elle ne pouvait absolument rien faire. Le roi la maintenait d’une poigne ferme. Ses doigts parvinrent tant bien que mal à grimper sous les cuisses du barbare et l’écorchèrent si fort que le sang se mit à couler à grandes gouttes le long de son avant-bras. La douleur ne fit qu’exalter son ardeur : Tryndamere accéléra la cadence et pilonna encore plus fort l’orifice, ramonant ses parois pour s’y enfoncer davantage —floc, floc, floc ! Ashe ressentait chaque allée et venue comme la première, chaque pénétration accompagnée d’une douleur insupportable. C’était comme si une lame lui perforait l’anus, seulement cette « lame » était un bâton de viande au bout rond et rose. On dit que, dans les bonnes conditions, douleur et plaisir peuvent se confondre et que le sexe anal en est un parfait exemple. Pour Ashe, il n’y avait que souffrance. Mais dans son état d’excitation, Tryndamere aurait eu du mal à s’en rendre compte —il n’entendait même plus les pleurs de la reine— et puis il s’en foutait clairement. Il n’avait d’yeux que pour la rondelle rose, étirée à son maximum contre la circonférence de son sexe. De temps à autre, sa main libre fendait l’air et délivrait une fessée sèche sur le cul rougi de la reine — spank! La paume claquait la peau lisse. Asphyxiée, Ashe sanglotait en hoquetant —hic..sob..! Les larmes qui coulaient le long de ses joues la rendaient encore plus vulnérable, encore plus belle. Elle maugréait contre sa chatte qui mouillait abondamment sous les battements répétés des couilles de Tryndamere. Ashe avait beau être dans un état de furie contre le roi, son corps lui, répondait aux assauts de l’intrus. Ce n’était qu’un réflexe, mais elle se sentait trahie, souillée. Tryndamere remarqua la mouille qui giclait contre ses couilles.
« Mais, tu mouilles comme une chienne en chaleur ! gloussa-t-il. Et tu me fais croire que tu n’aimes pas ça... »
Les joues de Ashe rougirent encore un peu plus et on aurait eu du mal à croire qu’elle avait été pâle comme l’ivoire quelques minutes plus tôt. Tryndamere glissa deux doigts dans la fente, farfouilla un peu et les ressortit chargés de fluide corporel. Il se pencha vers Ashe et hameçonna le coin de ses lèvres, lui arrachant une grimace disgracieuse.
« À la grande époque du clan barbare, pour punir les femmes qui ne satisfaisaient pas leur mari, on les muselait puis on les promenait en laisse, nues et à quatre pattes dans le village pendant une journée entière. Et toi Ashe, reine du Freljord, tu l’aurais amplement mérité, cette punition ! »
Sur ce, il redoubla d’efforts. Son pelvis frappa contre la rondelle, puis fit marche arrière et s’enfouit à nouveau de tout son long ; et ainsi de suite, jusqu’à ce que le trou ne lui offre plus aucune résistance. À l’autre extrémité, Ashe n’était plus que partiellement consciente. D’abord déchirée par les assauts du barbare, elle ne sentait désormais plus rien d’autre qu’une vague douleur dans les fesses. Ses yeux restaient mi-clos, embués par les larmes. Son corps, vidé de toute énergie, balançait au rythme des allées et venues de Tryndamere. Bientôt, il voulut observer l’orifice. Il s’amusa d’abord à faire ressortir son gland —pop! puis l’introduire lentement à nouveau, et ce à plusieurs reprises. D’expérience, il savait ce petit jeu très utile pour dilater un derrière. Enfin, il s’extirpa pour de bon, un petit filet de liquide blanchâtre posé sur le bout de la bite.
Il contempla la cavité béante. Les parois roses et luisantes qui tapissaient l’intérieur de son trou-du-cul étaient bien visible vues d’en haut. Et alors qu’il se repaissait de la vue, de discrets petits pets sporadiques firent irruption du trou baillant —fuit.. shpouet, pouet!
Sur le point d’atteindre sa limite, le barbare renversa la reine sur le dos et s’assit sur son abdomen, chacun de ses genoux retenant un bras contre les couvertures. Leurs regards se croisèrent. Les yeux de Ashe étaient rouges et humides. Son visage était traversé par les larmes, qui avaient coulées jusque dans les coins de ses lèvres où s’étaient aussi logés quelques longs cheveux blancs. Tryndamere s’arrêta quelques secondes pour contempler la chair pulpeuse quand celle-ci se plissa en cul de poule et expulsa un crachat qui atterrit sur son torse. Il leva à nouveau les yeux vers ceux de Ashe qui, cette fois, lui lançaient des éclairs. Amusé, il se pencha au dessus de la reine et laissa tomber un filet de bave qui s’écrasa au coin de l’œil. Le barbare empoigna sa queue et entreprit de répandre la salive avec son gland. Il frotta son dard contre les reliefs du visage, ignorant les grognements et les insultes proférées par la reine ainsi que ses ongles lacérant la chair de ses fesses.
« Je te tuerai ! Salaud ! Je te le jure, tu vas regretter tes actes ! »
Peu impressionné, Tryndamere continua de souiller son visage. Il eut envie d’étouffer ses cris en baisant sa bouche jusqu’à juter dans le fond de sa gorge mais il se ravisa, conscient qu’elle lui arracherait la queue s’il tentait de s’introduire entre ses lèvres. Plutôt, il releva la nuisette qui couvrait sa poitrine et posa son sexe entre les deux grosses mamelles. Chaque paume enserra un sein et il pressa fort vers l’intérieur pour envelopper sa bite dans un écrin douillet. Et il reprit son infatigable vas-et-vient. Mais cette fois, il était proche de jouir. Chaque frottement de son gland contre la peau l’amenait plus proche de l’orgasme. Il sentait frémir ses testicules. Ashe, elle, ne se tut pas une seule seconde. Après l’avoir comparé à un troll —créatures perverses, elle l’accabla des pires noms d’oiseaux freljordiens. Buse de la forteresse. Ce fut les derniers mots qu’elle prononça avant d’être interrompue par un gémissement rauque. Au même instant, un filet de foutre jaillit du clivage de ses seins pour se répandre en une ligne tremblante le long de ses lèvres puis de sa joue, manquant de peu l’œil. Une autre giclée s’abattit contre ses narines. Puis d’autres jets s’étalèrent contre son menton et son cou. Tous deux restèrent figés quelques instants. Tryndamere, vidé. Ashe, interloquée, dégoutée et toujours prisonnière.
Quand Tryndamere se releva enfin, il sauta hors du lit puis marcha vers le balcon. Là, il s’étira, cul à l’air, et constata les festivités qui s’organisaient dans les rues illuminées de la capitale. Des rires et joyeuses notes de musique s’élevaient jusqu’au palais et il les entendit pour la première fois, comme s’ils étaient apparus à l’instant. Lui aussi était heureux. Chose qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps, il avait envie de festoyer et son regard fut attiré par un grill sur lequel rôtissaient une flopée de grillades alléchantes —sans aucun doute des cuisses de Poro ! Son attention entièrement détournée de la chambre, il ne remarqua pas Ashe qui se hissa hors du lit sans même prendre le temps d’essuyer le sperme sur son visage. Il ne l’entendit pas s’emparer de son arc et bander la corde avec une flèche de givre. Ce qu’il ressentit, par contre, ce fut la tête du projectile heurter avec une précision extraordinaire la rondelle de son cul et lui déchirer l’anus. La poussée de la flèche le projeta contre la rambarde, qu’il franchit tête la première pour chuter en pleine cour principale, vingt mètres plus bas, dans un hurlement inhumain. Ashe, bouche bée, écarquilla les yeux. Défenestrer le barbare n’avait pas été son intention. Elle voulait le punir, pas le tuer ! La reine accouru à la fenêtre et se pencha au balcon, redoutant ce qu’elle allait découvrir en bas. Mais à sa grande surprise, il n’y avait rien. Pas de Tryndamere. Rien, pas même une goutte de sang. Confuse, Ashe scruta de chaque côté, regarda sur les rebords du balcon, cherchant désespérément où sa flèche avait bien pu envoyer le roi.
Soudain, la porte de la chambre vola en éclats. Ashe se retourna en sursautant. Dans l'entrebâillure se tenait Tryndamere. Il était ensanglanté mais dégageait une terrible aura de puissance. À hauteur des fesses, la flèche brisée en deux était encore plantée là. Ses yeux brillants comme des rubis fixèrent Ashe et un rictus terrifiant parcouru son visage.
*
Post-fin
Ashe et Tryndamere sont assis sur le lit, chacun enroulé dans une serviette blanche.
—Hello, moi c’est Ashe.
—Et moi Tryndamere!
—On espère que vous avez pris votre pied.
—Oui c’était dément ! Des trolls, des enjeux et surtout du sexe brutal comme on l’aime.
—En tout cas, si vous êtes amateurs de ce type de fétiches, vous avez été servis ! C’est vous dire, j’en suis encore toute tremblante tellement c’était dingue. Ça faisait un moment que je m’étais pas autant amusée ! Quand c’est intense comme ça, j’adore.
—Alors, avant toute chose, je veux dire que cette histoire n’est rien qu’une fiction et que nous condamnons le viol...
—...Évidemment ! Ainsi que toutes violences faites au femmes, dans le cadre conjugal ou non! Tout ça, ce ne sont que des fantasmes et si on est là pour vous les jouer, c’est pour qu’ils le restent.
—Cela étant dit, qu’est-ce que tu as pensé de notre scène Ashe ?
—J’en pense que je ne vais pas pouvoir marcher correctement pendant une semaine, salaud ! Tu m’as tellement ouvert le trou du cul que je ne sens plus rien !
—Mets de la pommade, ça passera ! Tu m’as pas raté, toi non plus. J’ai presque toute la jambe bandée, he he.
—Ha ha ! Vous voyez comme on souffre pour votre plaisir ? Mais c’est le métier, pour ma part j’ai vu pire.
—En tout cas j’ai pris beaucoup de plaisir à interpréter cette scène avec toi. Jouer le barbare renfrogné et pervers, c’était plutôt drôle !
—De même. Le personnage de Ashe, je le trouve vraiment intéressant. Comment dire... elle est idéaliste mais un peu naïve sur les bords et ça crée des situations vraiment… ben tu vois moi ça m’excite de la voir tomber de son piédestal comme ça. Pas toi ?
—Ah si, carrément ! c’est tout l’intérêt du scénario ! Et puis le narrateur lui envoie de belles piques, certaines m’ont bien fait rigoler quand il me les a lu la première fois !
—Oui ! J’ai remarqué qu’il ne dit jamais si elle a un orgasme. Enfin, ça se comprend si elle n’est pas consentante et qu’elle ne prend aucun plaisir ! Mais, mon dieu, moi qu’est-ce que j’ai joui ! Et puis cette fin... je parie qu’il va lui allumer la rondelle une deuxième fois.
—Bien possible, ou alors… il a découvert qu’il adore se prendre des flèches dans le cul et il demande à Ashe de l’enculer avec un strap on...
—Oh ! Ça ce serait marrant ! Je donnerai pas mal pour interpréter ça avec toi !
—Ha ha. Bon, allez, encore une fois on espère du fond du cœur que vous avez bien juté ou mouillé grâce à nous. Et puis on se dit à très vite. Tiens, Ashe tu joues bientôt dans une autre histoire, je ne me trompe pas ?
—Oui et vous n’avez pas envie de rater ça parce que ça va être du très très lourd ! Mais je ne veux pas vous gâcher la surprise, vous verrez bien le moment venu.
—Ok. Allez salut !
—Bisous —‘muouah!’
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