Izuku Midoriya : Un entrainement | By : Mika Category: French > Anime Views: 9150 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Je ne possède pas la franchise My Hero Academia et je ne me fais pas d'argent avec elle. Les personnages ne sont pas à moi |
Izuku Midoriya lisait des bandes dessinées dans sa chambre. Relatant les aventures de All Might, bien sûr. C’était son passe-temps favori. Même à l’internat, il trouvait un moment pour se détendre et apprécier un bon vieux comics. Uniquement vêtu d’un caleçon vert foncé et d’un marcel vert clair, Izuku savourait ces instants confortables. Il avait déjà fini son lait chaud au miel, mais il s’en reprendrait bien un petit.
Il regarda l’heure. Il commençait à se faire tard. Il allait peut-être falloir songer à dormir. Il regretta un instant que personne ne soit venu le voir ce soir, comme cela arrivait parfois, mais bon, il y avait des soirs avec et des soirs sans. La vie dans un internat n’était pas simple, les journées étaient bien épuisantes pour de si jeunes esprits. Il entreprit donc de s’endormir, lorsque l’on toqua à la porte.
- Oui ? s’écria le jeune homme aux cheveux verts.
On ouvrit. C’était Tenya Iida, son camarade de classe.
- Je te dérange ?
- Non, pas du tout.
Il ne mentionna pas le fait qu’il allait s’endormir. Cela aurait tout gâché, lui aurait fait rater une sacrée séance, à coup sûr. Tenya ferma attentivement la porte derrière lui.
- Tu es sûr que ça ne t’embête pas ?
- Mais non. Je t’attendais un peu, comme d’habitude.
Tenya sourit. Cela faisait plaisir à entendre. Il déboutonna calmement sa chemise de pyjama sous le regard gourmand d’Izuku qui se caressait l’entrejambe.
- Pas trop crevé ?
- Toujours. En plus je révisais.
- Comme d’habitude, répéta Izuku dans un sourire.
Tenya tomba la chemise. Izuku observait fixement, le souffle stoppé, comme souvent. Cette musculature impressionnante sur un homme de cette taille… plus encore que la sienne… Il n’avait qu’une hâte, c’était de se blottir dans ses bras. Il se déshabilla à son tour, trop excité. Tenya le regarda, amusé, le pantalon déformé par une longue et dure érection.
- Et toi ?
- Oh, moi, j’ai pris un rythme, tu sais.
Midoriya se leva avec détermination, ouvrit le tiroir de sa table de nuit, en sortit un pot de gel lubrifiant qu’il posa délicatement sur le meuble, baissa son caleçon et s’enduit copieusement l’anus de l’épaisse crème transparente. Tenya tira une langue excitée.
- Un rythme, hein…
- Oui, à force d’entrainement, tout ça… quand tu prends l’habitude de te muscler tous les jours, les efforts du quotidien, tu fais avec.
- Je t’en emprunte…
Tenya posa une main glacée sur l’épaule brûlante d’Izuku, prit du gel de son autre main et enduit son solide membre viril d’une bonne salve de vaseline. Izuku jeta un œil vers le puissant sexe de son partenaire qui ne résista pas à l’envie de l’embrasser avec tendresse. De constitution plus frêle, bien que de peu, Izuku appréciait grandement les caresses et gestes tendres de Tenya, plus grand, qui était comme un frère pour lui. Un grand frère gentil et compatissant qui le soutenait dans les moments durs, et qui, en ce moment même, essayait de lui fourrer sa queue entre les fesses.
- Serre les fesses et crie de tout ton cœur.
- Je connais la rengaine… hmph… et merci encore…
Car c’était ainsi que tout avait commencé.
All-Might avait été clair. Toute la concentration pour utiliser clairement « One for All » venait des sphincters. Arrivé à une certaine limite dans son entrainement, il avait ressassé cette phrase de All-Might. Et il avait déduit que la solution venait de son anus. Plus il maîtriserait cette partie de son corps, plus il contrôlerait bien son alter. Il avait commencé avec ses doigts, et son inexpérience lui avait joué des tours. Peu à peu, il s’y était fait. L’usage d’un plug anal s’était imposé, mais là encore, ça ne suffisait pas. Certes, il contrôlait mieux son alter, mais ce n’était pas suffisant. Il était parvenu à utiliser un godemichet, mais là encore, c’était plus frustrant qu’autre chose. Il lui fallait plus pour devenir encore meilleur, et de toute évidence ce n’est pas avec de banals jouets qu’il deviendrait le plus grand des Héros.
Jusqu’au jour fatidique…
Mais Izuku fut tiré de sa réflexion par l’intrusion maîtrisée de Tenya. Izuku s’appuya à sa table de nuit. Il faisait preuve d’une grande résistance à présent. Son contrôle était total, et l’insertion du sexe de Tenya s’était faite sans encombre. Tenya, lui, était déjà en sueur, sa virilité logée dans la chaude cavité de son allié de toujours. Certes, il savait que c’était majoritairement à des fins d’entrainement qu’Izuku se laissait ainsi sauter, mais lui y prenait un plaisir dingue. Certes, il savait que le moment venu, il devrait engrosser une femme pour assurer sa descendance, mais peu importait pour le moment. Il prenait son pied pour l’heure avec le trou stérile de son camarade de classe. C’était un peu un entrainement, pour lui aussi.
- Excellente préparation, Izuku, je te félicite.
- Merci. Tu n’es… pourtant pas le plus facile à encaisser…
- C’est de la peine que je décèle dans ta voix ?
- Non, je… je résiste, tout va bien…
Tenya commença à bouger. Izuku, comme à son habitude, surestimait son corps et sous-estimait les queues qui entraient en lui. Ah, certes, il avait l’habitude, mais entre ce dont on se croit capable et la dure, si dure réalité…
- Hnf… Hng… Hah… Hm…
D’avant en arrière, Tenya ramonait l’anus d’Izuku. Il haletait comme une chienne, se tenant au mur, complètement dépassé par l’intrusion du membre en lui. Izuku écartait les jambes, jouait les petits durs, lançait des regards déterminés à Tenya, mais derrière lui, c’était un grand amateur de son petit fessier qui s’agitait vivement.
- Putain, Izuku, même après tout ce temps, ton cul…
- Han ! Han ! Tenya ! Tenya, haaaan…
- … tellement bon…
- Mmmm… Mmmmouiii… Mhhaaaaah !!
- Si on continue comme ça je vais…
- Non, non pas encore !! Gnnn…
Izuku extirpa la bite de ses entrailles d’une vive contorsion. Tenya en fut frustré, mais il frictionna son membre pour se préparer à la suite. Midoriya se mit sur le dos, sur son lit, les jambes en l’air.
- Tu peux reprendre.
- Pilonner ton trou de balle, ça, je reprends quand tu veux ! Hop…
- Hmmmm…
La pénétration fut aussi facile que de brancher une prise de courant. Tenya reprit son pistonnage sous les gémissements de plaisir d’Izuku, hors de contrôle. Il hurlait presque, se moquant éperdument de savoir si les autres l’entendaient. Tenya l’embrassa pour le faire taire, mais Izuku restait bruyant, même dans les baisers.
Shoto Todoroki frappa une fois à la porte, puis entra. Il vit le grand brun à lunettes qui tronchait Izuku de toutes ses forces, l’enculait férocement comme il savait si bien le faire, et qu’est-ce qu’il prenait, ce brave Midoriya. L’enfant du feu et de la glace sourit, amusé, prit place sur une chaise et attendit son tour.
Tenya changea de position. Il s’assit sur le lit et Izuku s’empala vigoureusement, dos à son amant qui lui soutint les jambes avec force, les levant pour bien écarter les parois anales, laissant libre court à son membre dévastateur.
- Han ! Tenya ! Tenya, han !
- T’en veux toujours plus, hein ? Hmph !!
- Mais c’est hmph… tellement bon !!!
Les deux amants avaient remarqué Shoto qui observait avec minutie les détails de leur baise sauvage. Il admirait Tenya et son long sexe, se disant que ce devait être une sensation incroyable que d’être pénétré par ça. En même temps, c’était Izuku qu’il convoitait, comme un peu tout le monde dans le dortoir. Il se surprit à mater sans complexe la petite chatte peu poilue de Tenya, et se dit un instant que défoncer cet anus rose et probablement vierge ne serait pas de refus.
Bah, ce serait pour une prochaine fois. Tenya s’était levé, avait plaqué Izuku au mur face au lit et le finissait, l’embrochant de toutes ses forces à coups de bassin ravageurs. Izuku en pleurait, complètement abattu par le plaisir. Shoto se dit qu’il allait avoir du mal à passer après. En tout cas il avait une vue superbe sur le fessier de Tenya se déhanchant en Izuku, lui procurant un plaisir sans égale.
- Hin ! Hin-hin ! Hiiin… gémissait Izuku.
- Gnnn… Ça vient… Hgnnnn… grognait Tenya entre deux coups de bite.
- Ah ! Aaaagnnnh… Gnnnnnn…
- Hooo… Hoooooh… je viens… Je viens, Izuku… Haaaaaaahaaaaaaah…
Izuku regarda son partenaire qui déchargeait en lui, figé, le sexe crachotant par saccades de vives giclées de sperme, les yeux embués de sueur, mais souriant et heureux. Ils s’embrassèrent sans vergogne devant Shoto qui observait avec un calme sourire. Tenya décula et son sperme s’écoula légèrement sur les cuisses de Midoriya qui laissa faire.
- Merci pour ça ! sourit Izuku.
- C’est moi qui devrais te remercier…
Le brun à lunettes fessa gentiment Izuku qui gloussa comme une adolescente. Tenya se rhabilla et tapota l’épaule de Shoto.
- J’te le laisse.
- Hm. Beau travail, cela dit. Ça ne va pas être simple de passer après.
- Merci.
Izuku regarda Shoto alors que Tenya ferma la porte derrière lui.
- Désolé, ça a pris plus de temps que prévu…
- J’ai l’habitude. Tu ne sais pas t’arrêter.
- Je sais.
Izuku se traina presque jusqu’à son lit. Shoto se leva et s’avança vers lui. Izuku s’allongea sur le dos.
- Fatigué ?
- Oui mais ça va aller.
- Sûr ?
- Mais oui. Ne t’en fais pas.
- Je ne m’en fais pas, je m’inquiète juste de savoir si tu vas tenir le coup.
Izuku sourit.
- J’en ai toujours en réserve pour toi, tu sais bien.
- Puisque c’est ainsi, je ne te fais pas attendre…
Le garçon aux cheveux bicolores commença par tripoter les tétons de son amant. Izuku appréciait cette caresse. Il était si sensible, surtout depuis qu’il s’était musclé. Cela ne fit qu’augmenter quand, de sa main droite, il généra de la glace qu’il appliqua sur les tétons déjà durcis d’Izuku.
- Shhhhhotoooo ! geignit Izuku.
- Tu sais que ça te plait, ne fais pas ta sensible.
- Je sais bien, mais… Hmmmm !
Shoto venait de se saisir du membre d’Izuku, encore inutilisé, avec sa main gauche, légèrement plus chaude que la normale. Izuku appréciait les branlettes de Shoto, elles étaient toujours… surprenantes. Quand il changea de main, échauffant ses tétons et refroidissant sa queue, Izuku crut devenir fou. Son érection était intense, pulsant dans la main de son masturbateur au rythme des battements cardiaques. Ce que Todoroki trouvait effroyablement érotique.
- Shoto… Hmm !
- Rassure-toi, je ne vais pas te faire venir, tu connais mon projet…
- Comme à chaque fois, je sais…
- Ma parole, tu commences à connaître nos habitudes ou je rêve ?
Izuku sourit, espiègle et tout abandonné à son plaisir, le torse bombé, la tête à moitié renversée. Shoto sourit à son tour et embrassa le jeune homme aux cheveux verts. Puis, se relevant, il créa un pénis de glace dense, plus dur que froid, et l’enfonça prudemment dans l’anus déjà bien utilisé de Midoriya sans hésitation, d’une traite.
- Hhhhhaaaaaaaaaaaah !!! HAAAAAAAAAH !
- Ne crie pas, enfin…
- C’est… tellement… froid !!! geignit Izuku, les larmes aux yeux.
- Pas tant que ça, tu sais parfaitement, surtout toi, que je peux faire plus froid encore.
Izuku hocha la tête, les larmes aux yeux, regardant son partenaire lui sourire.
- Et puis, je pense que ça va vite se réchauffer.
Shoto baissa son short, saisit un peu de vaseline du pot toujours ouvert, s’emplâtra le trou du cul de l’épais gel et entreprit d’enfourcher Izuku Midoriya pour s’empaler sur son sexe durci par les bons soins de l’héritier d’Endeavor.
- Très, très vite se réchauffer.
- Shoto… Hmph !
Izuku n’hésita pas une minute, il empoigna les hanches de son amant et commença à ramoner tout du long Shoto Todoroki malgré le gode de glace qui lui comblait les entrailles. C’était une autre part de son entraînement.
Ce jour fatidique, il avait vendu la mèche. Il avait dit à Tenya et Shoto une partie du secret du One for All. Là, Shoto et Tenya s’étaient regardés. Tous deux savaient les sentiments respectifs qu’ils avaient pour Izuku, alors que naïvement, Izuku s’était simplement dit que s’entrainer avec des amis, ce serait plus profitable, pour eux comme pour lui. L’occasion était trop belle. Tenya s’était proposé, très professionnellement, d’utiliser seulement ses doigts au départ, et Shoto avait envisagé les godemichets de glace, plus durs que froids évidemment, à la taille potentiellement modulable. A partir de cette base d’entrainement très saine et sans aucune arrière-pensée, le sexe d’entrainement s’était imposé de lui-même.
Tenya Iida et Shoto Todoroki avaient même été briefés par Izuku Midoriya le premier soir. Il leur avait dit toute l’importance de cet entrainement pour le faire progresser dans la maîtrise de son Alter. Tenya s’était dévoué le premier – Shoto était plus timide et plus intime avec Izuku – et avait donc commencé à doigter le jeune homme qui semblait juste adorer ça. Shoto ne pouvait s’empêcher de se tripoter, et voyant l’extrême réceptivité du jeune homme aux broussailleux cheveux verts, Tenya s’était risqué à un chaleureux anulingus qui avait achevé d’exciter Shoto qui s’était dès lors masturbé sans vergogne. Dans le feu de l’action, et voyant qu’Izuku en redemandait, Tenya avait ouvert sa braguette, fait sortir sa queue de son boxer et pénétré Izuku sans ménagement. Shoto aurait presque cru à un viol si Izuku n’avait pas avancé ses fesses sur la longue queue de son camarade en gémissant et en tirant la langue au bout d’une petite minute à peine. Dès lors, il avait pris le pli de câliner le garçon qu’il aimait en secret, de le rassurer pendant cette trépidante sodomie, et de s’imposer comme le tendre, l’aimant, le subtil, ce alors qu’on lui torpillait le cul à coups de bite.
Dont acte, à présent.
Shoto chevauchait Izuku lui-même ramoné par sa faible émanation de glace, un godemichet à la texture et à la consistance similaire à un godemichet de verre. Le conflit avec son père était plus profond qu’une simple querelle de pouvoir, d’origines, de naissance, de passation. Il n’était juste pas le garçon masculin que son père voulait et il le sentait. Il était sensible, il était féminin, il était tendre, il voulait être dominé, dressé. La calme mais profonde et intense virilité que dégageait Midoriya l’impressionnait au plus haut point, l’enivrait, l’excitait. Le rituel avec Tenya s’était imposé de lui-même. Tenya aimait Izuku, mais différemment, de manière plus amicale et brute. Shoto était vraiment fou de son petit homme vert.
Izuku coulissait entre le gode en train de fondre dans son cul et son pénis glissant dans l’anus de son amant. Izuku avait un sexe courtaud mais épais. Puissant. Juste ce qu’il fallait au garçon de feu et de glace. Todoroki s’abandonnait complètement. Plus question de garder son flegme quand Midoriya le pénétrait.
- Han ! Han ! Han ! Izuku ! Han ! Hmmm…
Izuku ne disait rien. Il constatait son pouvoir sur Todoroki, mais il respectait également ses sentiments. Il se contenta de lui caresser la joue, affectueusement. Todoroki souriait, laissait perler quelques larmes et embrassait Midoriya avec passion.
Izuku savait que Shoto était fou de lui, mais il savait également que son devoir dépassait quelque vie de couple qu’il pouvait envisager. Et puis, c’était juste de l’entrainement. Surtout, l’amitié du jeune homme était trop importante pour la gâcher avec des sentiments superflus.
Izuku ne tarda pas à venir, la baise précédente ayant passablement fait monter la sauce. Savourant son gémissement cassé, Shoto sentit le sperme de Midoriya déchargé en lui. Il en conclut qu’il devait déculer, ce qu’il fit. Midoriya le regarda. C’était trop. Cette chemise ouverte, cette queue ballante, ce regard hagard, ce trou de balle béant d’où s’écoulait son propre sperme…
- Shoto… le gode n’a pas fondu… viens t’asseoir… là…
Un sourire anima le froid et chaud adolescent. Il vint s’asseoir au-dessus du visage de Midoriya. Le jeune homme commença par nettoyer l’anus bien sale de Todoroki, de reprendre ce qu’il y avait semé, en plus de lécher tendrement l’orifice précédemment violenté par sa queue. Ensuite, il chercha à s’emparer du pénis à moitié dur de Shoto et exécuta sa danse préférée : La fellation. Shoto se repositionna et entreprit de baiser la bouche de l’objet de son cœur.
Au même moment, Eijirou Kirishima entra dans la pièce. Il constata le magnifique cul rond de Shoto s’agitant au-dessus de la tête de Midoriya et sourit. « Rhalala, déjà que j’étais chaud, si en plus ils commencent à m’exciter… »
- Ah ! Izuku ! Aaaaaah… Ta bouche…
- Mmmmm… mmm !
- Si bon… haaaah… oui… haaah…hah !
Shoto ne tarda pas à se raidir et à cracher quelques jets de foutre dans la bouche d’Izuku qui avait non seulement goûté son propre sperme mais aussi celui de Shoto à présent. « J’aurais dû dire à Tenya de m’éjaculer au visage », se dit Izuku, mais bon, il aimait également recevoir du sperme dans le fondement, c’était une sensation tellement délicieuse…
Eijirou se masturbait grivoisement, astiquant son membre sur toute sa longueur – et surtout son épaisseur – la langue pendante, observant Shoto et Izuku s’embrasser et se câliner avec tendresse. Les souffles se faisaient rauques, les sexes se frottaient, les muscles, les mains se baladaient partout… « On dirait moi et Katsuki ! » songea Eijirou, excité.
- Izuku, je… je…
Midoriya obstrua la bouche de Todoroki qui ferma les yeux. Midoriya sourit.
- Merci pour ton aide, Shoto-kun !
Shoto hocha la tête, stoÏque, et se leva pour se rhabiller, la tête basse et le regard détourné. Il aperçut Eijirou qu’il salua poliment, sans plus. Si la séance avec Izuku était un moyen de se lâcher, le retour aux relations sociales classiques réveillait en lui ses timides instincts.
- Fameuse séance !
- Hm.
- Bonsoir Eijirou ! sourit Izuku.
- J’arrive pas trop tard, petit homme vert ?
- Nan, nan, nan.
Shoto s’était rhabillé promptement, et il partit promptement. Izuku le regarda partir. Il savait qu’il allait gamberger tout le reste de la nuit, se maudire de n’avoir que cette proximité charnelle et pas tous les sentiments réciproques qui allaient avec, mais Izuku était un héros, pas l’homme de la vie de Shoto. Shoto, qu’il le voulait ou non, allait devoir se trouver une femme pour concevoir un héritier. S’il n’arrivait pas à faire la différence entre cette distraction et ses priorités, Izuku allait devoir cesser de le voir, même si ça lui était déchirant… « Et je ne peux rien lui dire, parce que… »
- T’as conscience que lui fourrer ta queue et faire des câlins avec lui, ça n’aide en rien à la progression de ton Alter ?
Izuku soupira.
- C’est différent.
- Tu baises avec quatre mecs différents, tu peux pas avoir un préféré !
- J’ai pas de préféré… Je vous apprécie tous différemment… mentit Izuku.
- Mais bien sûr. Prêt ?
- J’espère. Le gode de glace de Todoroki a dû fondre…
- J’vais voir ça. En position.
Izuku se cala contre ses oreillers dans le fond de son lit. Eijirou s’assit, mit sa main dans le pot de vaseline, et travailla l’anus de Midoriya. Entrant légèrement les doigts au départ, longeant les parois en faisant des cercles avec ses doigts, observant minutieusement son travail, s’enfonçant au fur et à mesure.
- Wow… wow, wow, wow…
- Reste concentré… si tu maîtrises bien ton Alter, comme à chaque fois, tu dois pouvoir encaisser au moins ma main.
- Je sais… je sais, je sais… Ouh…
La respiration d’Izuku se faisait forte et rapide. Eijirou avait été recommandé par son dernier visiteur. Il avait suggéré que Midoriya et Kirishima pouvaient tous les deux gagner à cet exercice. L’Alter de durcissement d’Eijirou était mis à rude épreuve par cette séance de fist. Ne pas trop durcir, rester souple et agréable, contrôler le flux d’énergie…
- De mon côté, je m’excuse d’être le moins agréable de tes quatre visiteurs habituels.
- Mais non, tu es très doué et très correct, j'apprécie, vraiment ! sourit Midoriya.
- C'est gentil. Tu veux pas recruter Mashirao ? Avec sa grosse queue…
- Très drôle… souffla Izuku.
- T’as raison, ça rentrerait pas. Ou même Minoru !
- Le mec qui se masturbe dans ses boules collantes ?
- Boules collantes, hahahahahah ! ricana Eijirou en enfonçant délicatement sa main entière dans le trou de balle d’Izuku.
La sensation n’était pas désagréable, loin de là. Izuku se concentrait ardemment pour maintenir l’élasticité et le contrôle de son anus avec One for All. Eijirou bougeait sa main dans l’anus ainsi dilaté, provoquant diverses sensations très plaisantes à son camarade. C’était la séance la moins « sexuelle » de toutes, étonnamment. Izuku avait juste découvert par le biais d’une connaissance commune qu’Eijirou était un grand amateur de fist, et qu’il pouvait donc aider Izuku encore plus dans sa maîtrise. Eijirou prenait cela tellement au sérieux que c’était généralement très professionnel comme fist. Et Midoriya n’avait que des sentiments amicaux pour lui, ce qui de fait résumait leur « relation » à une simple dilatation anale manuelle sans à-côtés. Ce dernier, dépassé par l’immense plaisir provoqué par cette pratique barbare, finissait d’ailleurs généralement par entrer en transe, méditant dans cette position pour le moins inconfortable. Oui, c’était étrange. Mais c’était part de l’entrainement. Toujours l’entrainement.
La porte de la chambre d’Izuku s’ouvrit de nouveau et se referma. Eijirou vit le nouvel arrivant et sourit.
- Hey.
- … c’est là que tu étais, donc.
- Ouaip. Comme souvent.
- Hmph… Il est dans cet état second bizarre…
- Voilà. Il contrôle parfaitement le One for All même quand on le fiste, je pense donc qu’il a passé un cap. J’aimerais avoir un Alter aussi cool.
Katsuki Bakugou secoua la tête, harassé par ses propos ridicules de son petit ami. Il regarda Deku, les yeux clos, les jambes écartées, la main d’Eijirou dans son anus excessivement dilaté. Le jeune homme aux cheveux rouges bougea la main mais Izuku restait imperturbable. Katsuki sentait son érection gronder dans son pantalon. Il vit le pot de vaseline et inspira.
- Eh bah on va corser le truc.
- Quoi, tu vas le sauter pendant qu’il médite et que j’ai la moitié de mon avant-bras dans son cul ?
- Sois pas con.
- Bah je sais pas. Maintenant que j’y pense je sais même pas ce qui se trame entre vous deux, t’arrives toujours en dernier, j’vous ai jamais surpris…
Katsuki baissa son froc et s’enduit la queue de lubrifiant. D’une main brusque, il baissa le pantalon de Kirishima.
- Bakugou, nan mais t’es ser…IEUX !!
Katsuki, les sourcils froncés et le regard torve, besognait son petit ami, son bas-ventre frappant rapidement contre le haut des fesses du baraqué possesseur de l’alter du durcissement.
- Mais putain, Bakugou !!
- Equilibre ton durcissement. Te relâche pas. C’est aussi un moyen pour toi de tester ton endurance et ta concentration.
- Gnnn… Ouais mais quand même, quoi, hmph, c’est mon cul qui endure, là ! P’tain…
- Comme si t’aimais pas ça…
Katsuki Bakugou, la délicatesse, il ne connaissait pas, surtout avec Eijirou qui était le seul à pouvoir l’encaisser, socialement comme sexuellement. Le blond aux cheveux clairs regardait Izuku, toujours concentré.
Il se rappela que c’était lui qui était à l’origine de ces séances. Il se rappelait de tout.
Deku l’avait envisagé en premier. Il lui avait demandé de l’aide pour s’entrainer, mais il hésitait tellement à formuler sa demande que Katsuki en avait vite eu assez de devoir attendre que monsieur lui dise de quelle manière il voulait qu’ils s’entrainent et s’était barré en injuriant le petit vert, comme toujours. Il avait plus tard vu le petit vert discuter avec Todoroki et Iida, mais impossible de savoir pourquoi. Le soir même, voulant vraiment savoir de quoi il en retournait, Bakugou était sorti de sa chambre pour aller voir Midoriya et lui demander des explications dans le calme. Un exploit pour quelqu’un d’aussi volcanique.
Et il les avait vus. Midoriya se faire sauter par Tenya. Shoto qui le câlinait comme une princesse. Cette baise endiablée. La suite aussi, quand Midoriya avait enculé Shoto et que Tenya s’était mis derrière eux, formant un étrange petit train. La joie candide de Deku qui gémissait, en sueur :
- Ça marche, je le sens, je progresse !
Qui avait complètement stupéfait Katsuki. « C’est CA, qu’il voulait faire ???!!! »
Bakugou en était tout perturbé. Il n’arriva pas à dormir de la nuit. L’excitation, la jalousie, l’incompréhension (et la compréhension, en même temps, parce que cette petite lavette de Deku qui s’avérait homo, ça faisait sens), ses propres sentiments, ses érections intempestives qu’il calma à coups de masturbation énergique, pour se vider, à défaut d’avoir Eijirou sous la main pour réfréner ses ardeurs.
Le lendemain, il attendit son heure. Il observa Izuku toute la journée, ne pouvant plus imaginer le jeune homme enthousiaste en uniforme que nu et défoncé par tous les trous, suçant tout ce qui lui passait sous la main, suppliant pour que les bites se succèdent en lui, sur lui et autour de lui… Il attendit son heure, passant la journée à s’énerver contre l’heure qui ne passait pas. Eijirou se sentait clairement de trop, sentant Katsuki accaparé par tout autre chose. Leur relation n’était pas publique, et il pouvait donc difficilement s’enquérir de ce qui tracassait son petit ami. Il lui proposa bien une pipe par le biais du système de messages par signes qu’ils avaient mis en place (Eijirou le regardait et désignait sa bouche, signe qu’il était prêt à aller se mettre à genoux la bouche ouverte dans les toilettes) mais Bakugou refusa tout net.
Le soir venu, Katsuki s’arma de beaucoup de courage et toqua à la porte de Midoriya, suffisamment tard pour que personne ne le voie, mais suffisamment tôt pour que Tenya et Shoto ne soient pas encore là.
- … oui ?!
Katsuki entra. Midoriya lisait. Le jeune homme aux cheveux verts s’étonna de la présence du grand blond. Il portait un marcel noir et un boxer noir et rouge, ce qui le rendait évidemment incroyablement sexy.
- K-Kacchan ?!
- Il faut que je te parle.
- … d’accord, euh…
Midoriya détourna les yeux. Maintenant qu’il avait découvert sa vraie nature, il avait du mal à regarder les autres garçons de la classe. Il avait passé la journée à mater les autres garçons et à imaginer ce qu’ils vaudraient au lit, à comparer les renflements de leurs entrejambes d’adolescents en chaleur et d’imaginer leurs pénis en érections en lui et autour de lui. Des pensées dont il avait plus ou moins honte parce qu’elles intervenaient dans n’importe quel contexte, aussi innocent soit-il..
- Je t’ai vu hier, avec les deux autres.
Et voilà, comme il s’y attendait. Midoriya fondit complètement. Katsuki était la pire personne pour découvrir ce secret. Il était au bord des larmes, conscient que Bakugou allait le frapper, le harceler, plus qu’avant, voire pire.
Katsuki vit immédiatement quelle réaction il causait à son camarade. N’ayant aucunement l’intention de l’effrayer, il calma le jeu tout de suite en enchaînant les questions sans changer de ton.
- C’est ça que tu voulais qu’on fasse ?!
- N… Non-non-non, c’est pas du tout ce que tu crois !
- Deku, du calme, je suis pas là pour te frapper ! Je…
Devait-il l’avouer ? Après tout, s’il y avait bien quelqu’un à qui il pouvait le dire, c’était bien lui. Oh, et puis zut.
- … je sors avec Kirishima.
Izuku releva la tête.
- … hein ?!
- Ouais. On s’entrainait, enfin, on se battait, il m’a foutu par terre, une chose en entrainant une autre, on a… baisé comme des chiens, et ça continue plus ou moins donc bon…
Midoriya était tout rouge. Voir Kacchan se confier ainsi, aussi sincèrement, c’était forcément unique.
- Oh… euh… bah… c’est… cool pour vous deux !
- Mais du coup, c’est ça que tu voulais faire avec moi ?!
- Non, non non non ! Au départ je voulais juste qu’ils utilisent leurs doigts, c’est ensuite que ça a… dérivé !
- Mais je comprends pas du tout, en fait, en quoi c’est de l’entrainement ?!
- Eh bah… mon… alter, je concentre l’énergie au niveau de… du trou.
Il avait bredouillé ça en allant de plus en plus haut vers les aigus à mesure que la phrase avançait. Katsuki fit une grimace impossible. Izuku sourit maladroitement. Et puis le blond aux cheveux floconneux éclata de rire.
- Putain, sérieusement ?! HAAAAAHAHAHAHA !
- …
- Non mais Deku t’es SERIEUX ??? T’espérais juste qu’ils te mettent des doigts, comme ça ?!
- …
- Genre « Hey, les gars, venez me mettre des doigts dans le cul, c’est pour mon entrainement, promis ! »
Midoriya réalisa effectivement le ridicule de la situation et se mit à rire. C’était… bizarre, de rire avec Kacchan.
- Pourquoi ces deux-là, d’ailleurs ?
- … c’était les gens les plus sérieux de la classe auxquels je pouvais demander !
Katsuki repartit de plus belle. Midoriya rit avec lui. Il se dit d’un coup que le rire de Kacchan était un son magnifique. Il s’était assis sur le lit parce que sur le coup, c’était trop. Izuku le regarda en souriant et Katsuki le regarda en souriant également. Ce sourire se transforma en béate réalisation. Les visages s’approchèrent doucement, les souffles se firent rauques, un baiser nécessaire et évident se produisit…
Retour au présent, Katsuki pilonnait Eijirou. Kirishima n’était pas le plus malin mais il était au moins le plus réceptif. Il avait compris, clairement, que quelque chose se tramait, quelque chose qu’il ne pourrait pas comprendre. Il pouvait comprendre la raison pour laquelle Katsuki l’enculait en ce moment – parce que Katsuki Bakugou – mais il ne comprenait pas toutes les motivations, toutes les implications. Il savait juste qu’il devait se masturber, jouir et laisser sa place. Il s’attela cependant à parachever l’entrainement d’Izuku, effectuant les signes de la main qu’ils avaient décidé ensemble. Ce n’est qu’après avoir enchaîné un V de la victoire et compté jusqu’à 5 du pouce au petit doigt et inversement qu’il retira sa main de l’anus d’Izuku, ce qui coïncida avec son éjaculation brutale sur le parquet de la chambre.
Izuku resta en transe, en attendant que son trou de balle reprenne forme humaine. Katsuki observa Eijirou à genoux au sol, terrassé par le pouvoir du sexe de Bakugou sur lui. Le blond floconneux observa son petit ami d’un œil peu affectueux. Comme si il était en travers de sa route.
Kirishima nettoya son méfait, se tâtant les fesses, un peu endolori par l’assaut de son compagnon. Il se releva et le regarda.
- Il est à toi, va.
- Je sais ça. A tout à l’heure.
- Mouais.
Le rouge regarda Izuku se détendre, émerger peu à peu du délicieux nirvana de tension énergétique où il s’était plongé suite à la séance de fist-fucking. Il ne savait pas ce qu’il lui jalousait le plus : Ce qui allait se passer ou sa béatitude actuelle. Il jeta à peine un regard à Katsuki qui essuyait son sexe à peine bandé. « C’était juste pour me faire partir… »
Au moment où Kirishima ferma la porte, presque en la claquant, Izuku se réveilla.
- Ouh… Mince, je ne l’ai pas remercié.
- Je l’ai fait pour toi.
Izuku regarda Katsuki et afficha un grand sourire. Bakugou sourit en retour.
- Kacchan !
- Deku, comment va ?
- La routine. Cette routine, du moins… Enfin pour quelques temps encore.
Le blond floconneux acquiesça, laissa Deku reprendre une posture convenable et même remettre son caleçon, et s’assit sur le lit à ses côtés.
- Tu vas leur dire.
- Hm. Et… ça va faire mal.
- Eh bien, le binoclard devra se trouver un autre vide-couilles…
- Kacchan…
- Double-face va devenir dépressif et se suicider en mettant sa main droite dans un four et la main gauche dans un seau d’eau.
- Kacchan, c’est pas drôle ! sourit Izuku, toujours amusé par la rhétorique grotesque de son camarade.
- Eiji’… bah, il a déjà compris, je pense.
Midoriya baissa la tête.
- On va faire du mal à beaucoup de gens…
- Heh. C’est pas comme si la situation était normale au départ. Elle s’est inscrite dans la routine. Mais les faits sont là, tu as atteint la limite de ton entraînement…
- Et tu as atteint la limite de ce que tu peux tolérer.
Katsuki regarda Izuku avec affection et soupira.
- Si j’avais su ce soir-là…
- Non, c’est ma faute, j’aurais dû tout arrêter, j’ai été égoïste, j’ai privilégié mon entrainement à tes sentiments, je…
Katsuki leva les yeux au ciel et regarda Izuku avec ces yeux si doux dont Midoriya était fan.
- C’était le prix à payer pour que tu deviennes un adversaire à ma hauteur. Ce sacrifice, j’étais prêt à le faire. C’est juste que là…
- … il est temps de sauter le pas et de former un véritable couple… En laissant le passé derrière ?
Katsuki acquiesça.
- Voilà. Tirer un trait sur ma relation avec Kirishima…
- … et de mon côté, cesser de… d’être une roulure.
Bakugou poussa un soupir exaspéré.
- Qu’est-ce que je t’ai dit à propos de parler de toi-même de cette façon ?!
- Excuse-moi…
- Et arrête de t’excuser !
Izuku sourit.
- Je retrouve le Kacchan d’avant !
- Tchhh… Allez, viens.
Katsuki prit Izuku dans ses bras et l’embrassa avec tendresse. Le jeune homme aux cheveux verts sourit et enlaça son petit ami. Izuku était fatigué, mais jamais pour son Kacchan. Dans ses bras, il était un homme nouveau. Il se sentait homme dans ses bras, et non plus jeune adolescent dans la fleur de l’âge. Les baisers et les caresses de Bakugou étaient les plus douces des explosions, elles réveillaient le désir du porteur du pouvoir d’All Might. Katsuki tenait à posséder son Deku, ses mouvements avaient tout de l’enrubannement, il voulait le couvrir, le faire sien. Ses caresses n’avaient presque rien de sexuel, elles étaient sensuelles. Les tétons étaient frôlés, les muscles redessinés, les hanches soupesées comme de beaux fruits, les cuisses raffermies, les bras et les mains lustrées comme on lustrerait un drap de satin pour en constater la douceur. Les doigts rudes et puissants se mêlaient aux faméliques doigts usés du petit homme vert à la bouche perdue dans celle de l’amour de sa vie.
- Mmmm… ‘chan…
- T’toi… d’ku…
Katsuki renversa Midoriya sur le lit. Il se déshabilla, laissant le plein accès à son torse sculpté, à ses jambes robustes et au reste à son Izuku. Lequel ne se gêna pas pour rendre à Kacchan ses caresses insidieuses. Bakugou savait qu’il pouvait pénétrer Izuku quand il voulait, mais il tenait quand même à le laisser reprendre de l’étroitesse, histoire de corser le challenge. Izuku frôlait avec insistance le sexe de Katsuki qui sourit et recula pour laisser son amant s’agenouiller et le sucer. Bakugou renversa la tête vers le plafond. Izuku était très doué pour les fellations, et sa « réputation » ne se démentait pas. Le jeune homme aux cheveux verts vouait un véritable culte aux pénis qui passaient dans sa bouche, il les embrassait, les laissait lui caresser le visage, les léchait de bas en haut, flattait les couilles d’une main affectueuse, passait parfois des minutes entières à rouler un patin au gland, titillant le frein, suçotant le gland rougi, attendant ce moment si excitant où la queue commence à pulser tellement elle est au bord de l’explosion. Il regardait Katsuki qui lui caressait les cheveux avec respect, haletant tout ce qu’il savait. Izuku voulait que ce moment dure, alors il reprenait une pipe classique, descendant aussi loin que possible, accueillant parfois le gland aux limites de sa gorge, remontant doucement puis redescendant subitement pour arracher un gémissement fugace du floconneux garçon explosif. Katsuki regardait Izuku qui cherchait son approbation dans ses yeux.
- Arrête d’être aussi mignon, Midoriya.
Izuku cessa sa fellation et embrassa son Kacchan, même avec la bouche humide. Katsuki accueillit ce baiser avec passion, mais il voulait quelque chose, et Izuku le savait.
Le jeune homme aux cheveux verts allait reprendre du lubrifiant mais Katsuki frappa sa main.
- Hé…
- Non mais ça va pas ? Je suis sûr qu’aucun de ces trois couillons n’a pensé à te le faire.
Bakugou fit pivoter Izuku, l’inclina d’une main autoritaire, empoigna ses fesses et se mit à lui bouffer le cul.
- MERDE, KACCHAN !
Izuku avait hurlé et pour cause. Il adorait qu’on lui mange l’anus. La première fois qu’ils avaient fait l’amour, Izuku avait été surpris d’à quel point Kacchan aimait lécher cet orifice. Et en effet, ni Tenya, ni Shoto, ni Eijirou ne songeaient à ça. Izuku n’appréciait pas spécialement d’être sucé mais par contre son anus était pour lui une source de jouissance incroyable. Katsuki l’avait compris. Le premier soir, il voulait préparer Izuku lui-même et pas le brusquer comme Tenya avait pu le faire, et très naturellement, il lui avait dévoré le trou de balle. La réaction avait été immédiate, Izuku avait gémi et ronronné. Et chaque fois que Katsuki le refaisait, Izuku tremblait, sentait qu’il allait perdre le contrôle, s’abandonnait à la fièvre. Le vert se mettait à se tortiller, agitant ses fesses et obligeant Bakugou à jouer de sa langue, à apposer ses lèvres, à pousser toujours plus loin. Izuku en pleurait presque, gémissant de tout son saoul. Kacchan lui tâtait le sexe, il ne voulait pas qu’il jouisse si tôt, et au moment où Izuku saisit son membre, Katsuki savait qu’il devait arrêter. Le vert savait qu’il devait se relever. Katsuki recula contre le mur, masturbant son sexe. Izuku se positionna face à Kacchan et s’assit sur son sexe. Il y eut ce moment de félicité absolue où les deux amants se regardèrent dans les yeux au moment où le sexe de l’un entra dans l’orifice de l’autre. Katsuki attendit qu’Izuku s’ajuste.
- Chaque fois, chaque fois qu’on le fait…
- Deku…
- Chaque fois je suis tellement bien…
- Deku, chut…
- Tu me rends tellement heur…
Katsuki embrassa Izuku et commença à bouger en lui au même moment. Izuku gémissait, Katsuki prenait son plaisir sans retenue, il était encore frustré d’avoir dû baiser Eijirou aussi froidement, et il savait qu’Izuku avait dit ça juste avant pour dissocier cet acte des actes précédents, mais putain, Bakugou se foutait éperdument que son homme soit une salope, que la moitié ou plus des mecs du dortoir lui étaient passés dessus, quand bien même Izuku se serait tapé Uraraka, Katsuki l’aimerait quand même de tout son souffle. C’était juste lui, il en avait juste besoin, et ce besoin était plus fort que tous les péchés dont, subjectivement, Izuku pouvait être coupable. Pour Katsuki, Izuku était pur, bien plus pur que lui, il n’avait pas été pollué par la noirceur de la colère et de la rage, il était la seule chose pure dans la vie de Katsuki.
Les bouches s’éloignèrent.
- C’est toi… Deku…
Plus fort, plus vite. Izuku halète. Kacchan tient à s’exprimer.
- C’est toi qui me rend heureux…
- Ah… ha… ah… ahh…
- Merde, j’ai envie de toi mais tellement…
- Te gêne pas, Kacchan, prends tout… ah…
Katsuki regarda Izuku, la bouche ouverte, pantelant, essayant de supporter le gros sexe qui ramonait au fond de lui, observant son propre sexe agité de secousses, prêt à venir. Midoriya comprit que la position ne serait pas tenable. Katsuki sourit et renversa Deku sur son lit pour le prendre en position missionnaire. Il ne voulait pas quitter Izuku des yeux, capter les signes de sa fatigue, son combat pour tenir et satisfaire Katsuki, son plaisir immense d’avoir Katsuki en lui.
- Han ! Kacchan ! Han ! Oui !
- T’es à moi… t’es à moi, Deku, t’es à moi…
- Rien qu’à toi, Kacchan ! Hmmm !
Katsuki ramonait de plus en plus le cul déjà bien utilisé d’Izuku. Le jeune homme aux cheveux verts oscillait entre la félicité et la somnolence, mais la première l’emportait. Il était baigné d’amour. Ses précédents amants avaient beau se démener, personne ne surpassait Katsuki Bakugou dans l’art de le baiser. Katsuki sentait la jouissance venir, alors il s’écarta de Deku, frappant avec vigueur et régularité le fondement du vert, soufflant en rythme avec lui, se crispant de plus en plus…
- Je viens, Deku, meee-eeerde…
- Hmmm !
Katsuki jouit en Izuku par saccades, se rapprochant de son amant, il l’embrassa pendant qu’il reprenait ses esprits. Izuku semblait ravi. Katsuki resta effondré sur lui et se retira bien vite.
- Je dois me doucher… soupira Izuku.
- Tu m’étonnes. Moi aussi…
Bakugou se releva et porta Izuku dans ses bras. Le vert regarda son amoureux dans les yeux, ravi de cette attention.
- Je t’aime, Kacchan.
Katsuki regarda Izuku en souriant. Il ne pouvait pas lui répondre la pareille, il avait sa fierté, alors il se contenta d’embrasser Izuku en l’amenant à la salle de bains. Une fois sous la douche, Izuku se décrassa comme il put, tentant d’apaiser son anus endolori. Katsuki lui lava les cheveux, lui frotta le dos, et se chargea de quelque chose qu’il avait un peu délaissé.
- Kacchan…
- Je t’ai pas vu jouir tout à l’heure…
- J’ai joui des fesses, ça m’a suffi, je t’assure…
- C’est pas un vrai orgasme si je t’entends pas gémir mon nom.
Plaqué contre le dos d’Izuku, sous le jet brûlant de la douche, Katsuki masturbait le jeune homme aux cheveux verts, l’embrassant dans le cou et derrière les oreilles.
- Tu me rends fou, Deku… Je veux plus jamais te partager, tu m’entends ?
- J’ai bien compris.
- Plus jamais, jamais, jamais.
- Katsu… ki… ah… ah… mmm…
Le sperme d’Izuku partit avec l’eau dans les méandres du bac à douche.
Ils se séchèrent dans un silence empli de sourires et allèrent se coucher ensemble. Izuku s’endormit très vite au creux des bras de Katsuki qui le veilla un moment avant de s’assoupir lui-même.
Le lendemain, Izuku eut la conversation la plus difficile de sa jeune vie.
- Avec Katsuki, on a décidé de se mettre en couple.
Tenya hocha la tête, semblant l’avoir deviné. Shoto se retint avec force de faire la gueule.
- Vous êtes deux de mes meilleurs amis, j’espère que ça ne changera rien…
Iida toussota.
- Eh bien, en ce qui me concerne, je… préfère les femmes, c’était vraiment juste pour t’entrainer, alors ça ne m’embête pas si ça s’arrête…
Shoto soupira intérieurement. « Si ça pouvait être aussi facile de mon côté… »
Tenya sentit qu’il gênait alors il prit congé, mais en s’éloignant, il sembla animé d’une pointe de regret.
- Shoto…
Le jeune homme aux cheveux bicolore secoua la tête en fermant les yeux.
- Je suis content pour toi, Izuku… sois heureux, promets-le moi.
Izuku hocha la tête en se mordillant les lèvres.
- Je suis désolé quand même.
- Je sais. Mais ne le sois pas…
Shoto se retourna pour partir.
- … ça rendrait juste les choses plus dures.
Izuku baissa la tête. « Je m’en doutais, je les fais souffrir… c’est peut-être un peu prétentieux de ma part de me dire ça… »
Ochako l’approcha.
- Tout va bien, Izuku ?
Midoriya regarda sa meilleure amie, les larmes aux yeux.
- … bah qu’est-ce qu’il y a ???
- Rien, je… rien, Ochako, je t’assure !
Izuku s’éloigna, tout émotionné.
La porte du casier se ferma. Eijirou soupira.
- J’peux pas dire que je m’en doutais pas, parce que … je m’en doutais…
Katsuki inspira.
- Pour ce que ça change, je suis désolé.
- Non, tu l’es pas. Et t’as pas à l’être. J’ai toujours eu cette espèce d’intuition que toi et lui, c’était le destin, et que moi j’étais juste une pièce rapportée. Et en effet…
- Tu restes mon ami, Kirishima, ça, ça ne change pas.
Le rouge hocha la tête en souriant.
- Ouais. Allez, sans rancune.
- Hm. Merci.
Eijirou s’éloigna. « Ça fout les boules quand même. J’l’aimais bien, ta grosse bite… »
Il croisa Tenya qui l’évita à moitié du regard, honteux. « D’accord, c’est l’hôtel des culs tournés… »
Un peu dépité, il s’assit sur un banc pour réfléchir, mais il fut interrompu par Shoto qui s’assit à l’autre bout du banc.
- Hey.
- Hé.
- Ça va ? demanda le rouge.
- Bof… soupira le bicolore.
Eijirou souffla.
- C’était pas net cette situation, fallait que ça s’arrête de toute façon. On profitait d’Izuku, quelque part.
Shoto agita la tête, un peu malheureux.
- Je sais, mais… il…
- Oh allez, Todoroki, y’en aura d’autres…
- Je sais pas trop… T’as pas tort, je me suis fourvoyé avec Izuku…
- Bah ouais, faut aller de l’avant…
Shoto hocha la tête et regarda Eijirou qui le regardait.
- … Katsuki a rompu avec toi alors ?
- Hm. Et pareil, ça va être galère de retrouver un autre mec.
Shoto hocha la tête.
- Ca… te dirait qu’on mange ensemble ?
Eijirou haussa un sourcil.
- Euh… ouais… ouais, ça me plairait bien, ouais…
- Cool. Cool, cool…
Katsuki et Izuku se retrouvèrent. Katsuki vit son petit ami se retenir de pleurer. Il secoua la tête, prit le petit vert dans ses bras et le laissa écouler toute sa peine d’avoir fait de la peine.
Son entrainement était terminé, à présent, il était un homme.
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