Première leçon | By : BeautifulDraco Category: French > Anime Views: 2047 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Bleach ne m'appartiens pas. Je ne touche aucun argent pour cette histoire. |
Titre : Première leçon : faire naitre l’envie
Disclam : Je ne possède pas Bleach, hélas
Résumé : Renji et Byakuya forment un couple heureux et épanouis. Sauf au lit. Le noble à du mal à se décoincer et si sa timidité plaisait à Renji, dans un premier temps, maintenant, il s’ennui ! Mais il est amoureux et à bien l’intention d’enseigner à son amant l’art délicat du sexe. Et pour ce faire, il fait appel à l’expert en la matière : Yumichika Ayasegawa^^
Genre : PWP/Voyeurisme/Hard Yaoi/ treesome
Couple: Renji/Byakuya & Kenpachi/Ikkaku/Yumichika
Rating : M
ooOoo
Byakuya suivait silencieusement son compagnon dans les rues désertes du Seireitei. Il était tard et tout les Shinigami, hormis ceux qui étaient de garde, avaient rejoint leurs quartiers. Le noble aurait voulu en faire de même mais s’était sans compter sur Renji.
Ils avaient passé tout deux la soirée à la capitainerie de la Sixième division, à travailler sagement de longues et épuisantes heures. Lorsque Byakuya avait fait mine de se lever, signifiant la fin de leurs calvaires, il avait espérer regagner le manoir Kuchiki, en compagnie du roux, et finir tranquillement la soirée. Ils avaient échangé, au cours de la journée, quelques baisers aussi discrets que torrides, promesse d’une nuit chaude.
Alors quelle ne fut pas sa surprise lorsque, sortit de la capitainerie, Renji lui avait saisi la main pour le tirer dans une toute autre direction que celle du manoir. Byakuya l’avait interrogé et même refusé d’avancer mais Renji s’était contenté de le coincer contre un mur, de l’embrasser avant de lui ordonner de le suivre sans discuter.
Et Byakuya avait accepté. Il faut dire aussi, que lorsqu’ils quittaient leur position de capitaine et de lieutenant, le rapport de force était inversé. S’était Renji qui dominait. Lui qui avait initié les premiers contacte, lui qui ne lui avait pas laissé le choix lorsqu’il avait voulu aller plus loin, et lui encore qui choisissait quand, où et comment.
Mais ne vous détrompé pas. Byakuya se soumettait avec joie à la tyrannie de son amant. Il se laissait guider, rassurer par l’idée que s’ils commettaient une faute, il n’en était pas le responsable. Puis, la dominance de Renji avait quelque chose de rassurant : il se sentait en sécurité entre ses bras puissant.
Byakuya savait que si Renji n’avait jamais rien fait, lui n’aurait jamais osé aller le trouver pour lui avouer ses sentiments. Le noble cachait derrière une froideur effrayante une grande timidité. Si grande, que même à présent, malgré les mois écouler, il n’osait aller de lui-même vers son amant et se laissait bien souvent faire, comme une simple poupée.
Le jeune homme fronça les sourcils à cette pensée. Renji et lui en avaient déjà parlé, la conversation avait été laborieuse, Byakuya étant étouffé de gène et le roux craignant de le choquer, mais au final, il avait appris que son attitude, trop distante à son goût, ne plaisait pas à son compagnon. Il avait promis de faire des efforts mais il ne savait comment y arriver.
Il fut tiré de ses pensées lorsque Renji s’immobilisa, il indiquant silencieusement de ne plus faire de bruit et de masquer son énergie. Byakuya acquiesça et tout deux reprirent leur marche, entrant discrètement dans les locaux d’une autre division. La onzième, remarqua rapidement le noble en avisant le symbole sur les portes de bois.
Tout était plongé dans le noir, baigné par la tranquillité de la nuit. Qu’est-ce qu’ils venaient faire là si tard ? Et en se faufilant comme des voleurs ? Ca n’avait pas de sens mais Byakuya ne posa aucune question, laissant encore une fois Renji maitre de la situation. Le roux avançait dans les couloirs d’un pas ferme. Malgré le temps écoulé, il les connaissait encore par cœur.
Après quelques virages et une volée d’escalier, ils arrivèrent en vu de l’unique pièce occupé. La lumière filtrait de la porte entrouverte et Renji invita son compagnon à s’approcher pour regarder à l’intérieur. Byakuya hésita puis obéis, curieux de savoir ce qu’il voulait lui montrer.
Mais à peine eut-il discrètement jeté un coup d’œil dans la pièce, qui s’avérait être le bureau du capitaine, qu’il se détourna, choqué. Il croisa le regard amusé de Renji et se retint de lui crier dessus, pour ne pas être surprit. Mais sa colère du se voir car le roux s’approcha pour le prendre dans ses bras et lui murmura à l’oreille :
- Tu te souviens de ta promesse ?
Promesse ? Répéta Byakuya dans sa tête. La seule qu’il ne lui ait jamais faite, s’était lorsqu’il lui avait promis d’être plus… entreprenant. Mais il n’arrivait pas à faire lien entre celle-ci et ce qu’il avait vu dans le bureau. Son incompréhension du se voir car Renji se pencha encore et lui souffla :
- Regarde et apprend.
Pardon ? Il voulait vraiment qu’il face ça ? Bien sur, Byakuya voulait réussir à dépasser sa timidité afin de pouvoir enfin faire plaisir à Renji, mais voulait-il vraiment que cela passe par… ça ? De toute évidence oui, car sans attendre de réponse, Renji posa ses mains sur ses épaules pour le faire pivoter, de sorte à voir une nouvelle fois dans la pièce.
Byakuya ferma automatiquement les yeux. Même s’il s’agissait d’une demande de Renji, il n’osait pas violer ainsi l’intimité d’autrui. Ca ne faisait pas ! Que faire s’ils étaient découverts ? Qu’allait-on dire du noble et grand Kuchiki ? Qu’il n’était qu’un pervers et un voyeur ? Non, non. Il ne pouvait pas regarder à l’intérieur du bureau.
- Ouvre les yeux. Murmura Renji à son oreille. Ouvre-les.
Le noble déglutit. Son cœur battait la chamade et il savait qu’il rougissait. Le contrôle de sois dont il était si fier ne tenait jamais bien longtemps lorsque Renji le dominait ainsi. Il inspira puis céda, ouvrant lentement ses paupières pour regarder l’intérieur de la pièce.
Son regard fut immédiatement attiré par Yumichika. Le jeune homme s’était installé à califourchon sur les genoux de son capitaine, ce dernier étant assis par terre, au centre du bureau, et remuait lentement des hanches, simulant l’acte sexuel alors que tout deux étaient encore habillé. Ses mains délicates étaient posées sur les épaules larges de Kenpachi et il se penchait régulièrement pour échanger un baiser avec lui.
Mais ils n’étaient pas seuls. Assis contre le mur, sirotant ce qui était visiblement du Saké directement à la bouteille, Ikkaku regardait la scène, les yeux brillant de luxure, son pantalon visiblement déformé par l’envi. Il ne faisait cependant aucun geste pour se mêler au jeu, se contentant d’observer son ami remuer sur son capitaine en lâchant par moment des gémissements appuyés.
Quand Kenpachi fit mine de poser ses grandes mains sur son cinquième siège, sans doute lassé de son jeu, Yumichika recula rapidement en rigolant. Le capitaine grogna, visiblement agacé, mais cela fit rire le jeune homme, qui après un regard pour lui, se détourna pour s’approcher d’Ikkaku à quatre pattes, d’une démarche féline.
Le chauve se retenait clairement d’aller à sa rencontre. Lorsque Yumichika fut suffisamment proche pour poser ses mains sur lui, il ne tint plus et se redressa, réclamant un baiser que le brun lui donna avec joie, gémissant fortement en sentant les mains de son ami se glisser sous ses vêtements. Mais il ne se laissa pas déshabiller et après quelques caresses, se recula aussi avant de se relever, laissant échapper un rire coquin.
Il tourna le dos à Ikkaku pour regarder Kenpachi. Le grand homme n’avait pas bougé de sa position. Maintenant que Yumichika n’était plus sur ses genoux, Byakuya pouvait voir que lui aussi était très tendu. Le cinquième s’approcha, souriant, tout en défaisant lentement le nœud de sa ceinture. Lorsqu’il fut suffisament proche, il posa un pied sur la bosse et joua avec, faisant grogner le capitaine qui en voulait plus.
Lorsque ce dernier voulu lui saisir la cheville pour le faire tomber dans ses bras, Yumichika s’échappa rapidement, éclatant encore une fois de rire. Il arriva près d’Ikkaku, qui s’était relevé, et se laissa attraper, collant son dos au torse musclé de son ami. Le chauve en profita pour l’embrasser dans le cou, alors qu’il lui saisissait les poignets pour l’immobiliser.
A ce constat, Kenpachi se releva pour s’approcher de Yumichika, qui cette fois, ne pouvait plus s’échapper. Le brun fit bien mine de se débattre, mais plus par jeu, lorsque son capitaine posa enfin ses mains sur lui. Il gémit encore lorsqu’il sentit ces dernières arracher brutalement ses vêtements, le délestant en quelques geste de son col orange et du manchon qui l’accompagnait ainsi que du reste de son uniforme.
A ce moment là, Byakuya se fit souffrance pour détourner le regard, jugeant qu’il en avait assez vu. Il constata avec surprise qu’il était excité mais cela ne l’étonna qu’à moitié. Il n’allait plus pouvoir voir le cinquième siège de la onzième division avec le même regard. Il se demandait même s’il allait réussir à rester maitre de son corps la prochaine fois qu’il allait le voir.
S’était donc cela que Renji voulait de lui ? Etre capable de l’excité par quelques gestes indécents ? Mais ce n’était pas que cela. Yumichika avait quelque chose, une perversité dans le comportement, jusqu’à sa manière de rire, qui faisait frémir Byakuya. Lorsqu’il s’était échappé des bras de Kenpachi, puis d’Ikkaku, le noble s’était surpris à grogner faiblement, voulant lui aussi que le jeu évolue.
Savoir faire naitre l’envi. Voilà ce que Renji voulait qu’il fasse. Mais même s’il avait vu Yumichika ce soir, il n’était pas sur d’être capable d’en faire tout autant. Se n’était pas son caractère et il doutait d’être capable de surpasser sa timidité pour le faire.
Byakuya leva les yeux vers Renji, qui s’était mit dans son dos pour pouvoir aussi regarder le spectacle, et constata avec surprise qu’il n’avait pas détourné les yeux, concentré sur ce qui se passait dans le bureau. Le brun hésita une seconde à être jaloux. Renji lui était-il infidèle en faisant cela ? Mais il ne pouvait pas lui en vouloir, étant lui-même tendu après ce qu’il avait vu.
Lorsqu’il fit mine de se détourner pour partir, le roux baissa enfin les yeux sur lui et lui fit un sourire, glissant ses bras autour de lui pour le tenir immobile. Joueur, il fit glisser une main jusqu’à l’entrejambe éveillé de Byakuya et lui susurra à l’oreille :
- Le spectacle te plait et n’est pas finit… regarde la suite.
Byakuya retint un gémissement alors que la caresse se prolongeait, puis obéis encore et reporta son attention sur les trois hommes dans le bureau. Mais cela ne l’aida pas à se calmer et il du se mordre la lèvre pour rester silencieux.
Dans le bureau, maintenant que Yumichika était enfin nu, Kenpachi et Ikkaku dévorait son corps avidement, le premier jouant avec les deux boutons de chaire durcit sur sa poitrine, le second, agenouiller, s’aventurant plus bas. Mais la caresse buccal ne s’éternisa pas et la bouche gourmande se glissa derrière le corps tremblant de plaisir de son ami.
Puis Yumichika reprit le contrôle, à la surprise de Byakuya. Il se libéra des bras puissant de Kenpachi lorsqu’Ikkaku, le jugeant sans doute près, fit mine de se relever, une main sur son pantalon pour libérer son membre tendu. Joueur, le brun alla jusqu’au bureau occidental et s’assit dessus.
Provocateur jusqu’au bout, laissant échapper son rire amusé, il recula le torse et leva une jambe, de sorte à leur dévoiler son intimité dans une perverse invitation à la violer. Kenpachi et Ikkaku n’eurent pas besoin de plus et le rejoignirent en quelques enjambées pressées.
Mais une fois encore, Yumichika ne se laissa pas faire et, au lieu de se laisser caresser, fléchit les jambes de sorte à se retrouver à genoux entre les deux hommes, alors que dans le même temps, ses mains avaient trouvé les érections toujours prisonnières de ses supérieurs. Cela suffit à immobiliser les deux hommes, qui ne firent plus un mouvement alors que le brun commençait à les caresser doucement.
Yumichika releva la tête pour les regarder dans les yeux quelques secondes avant de reporter son attention sur ses mains. Enfin, sur ce qui était entre ses mains. Après quelques va et viens par-dessus le tissu des pantalons, il était allé trouver leurs ceintures pour les descendre, juste assez pour révéler les sexes dresser d’Ikkaku et de Kenpachi.
Byakuya retint une exclamation lorsqu’il vit leurs tailles. Si Ikkaku semblait dans la moyenne, celui de Kenpachi était si grand, que la main de Yumichika en faisait à peine le tour. Le noble ne pouvait s’empêcher de comparer avec Renji. Son compagnon était lui-même bien équipé, et cela suffisait bien souvent à lui faire mal, comment le cinquième siège allait-il pouvoir le prendre ?
Dans son dos, le capitaine de la sixième division sentit Renji remuer un peu des hanches, appuyant sur ses reins sa propre excitation. Lui aussi, le spectacle ne le laissait pas indifférent et Byakuya se surprit à en vouloir plus, même s’ils étaient dans un couloir, dans une autre capitainerie que la sienne. Et ce n’était pas le spectacle devant lui qui allait l’aider à se calmer.
D’un geste lent, Yumichika avait entreprit de les caresser mais les deux hommes grognèrent, en réclament visiblement plus. Kenpachi alla jusqu’à glisser une main dans ses cheveux, appuyant sur sa tête pour la guider jusqu’à lui. Mais le brun, bien qu’il se laissa faire, garda la bouche close si bien que le membre ne fit que se frotter à ses joues.
Kenpachi grogna encore avant de prendre son sexe en main pour en frotter le gland rougit aux lèvres toujours fermées de son cinquième siège. Yumichika secoua la tête, pour le faire lâché prise, lui lança un regard de défi et se pencha sur la hampe dressé d’Ikkaku. Sa bouche s’ouvrit doucement et sa langue rose vint caresser la pointe, juste avant de refermer ses lèvres dessus.
Ikkaku gémit en fermant les yeux, la tête en arrière, ne sachant pas quoi faire de ses mains. Visiblement, les mettre sur Yumichika signifiait la fin de la caresse. Il en voulait plus et s’il n’y avait eut la main de son ami, toujours fermement poser sur la base de son sexe, il aurait bougé des hanches pour accentuer le va et vient.
En face, Kenpachi observait le spectacle, sa propre main allant et venant sur lui-même, touchant par moment la main immobile de son subordonné. Il déglutit d’anticipation lorsque Yumichika, après quelques dizaines de secondes, libéra le sexe de son troisième siège pour se tourner enfin vers lui. Il ne se retint pas de gémir lorsqu’enfin, la langue rose se posa sur son membre.
Byakuya l’observa lécher le gland rougis comme s’il s’agissait d’une glace la bouche sèche. Il sentait son sexe, sur lequel la main maintenant immobile de Renji pesait toujours, se tendre douloureusement, alors que sur ses reins appuyait encore celui de son compagnon. Il déglutit difficilement, tâchant de refreiner ses pulsions charnelles, mais l’attitude de Yumichika ne l’y aidait vraiment pas.
Le jeune homme, toujours à genoux, s’était totalement tourné vers Kenpachi. Il avait posé les mains sur les cuisses fortes de l’homme, alors que sa bouche allait et venait sur le sexe épais, l’avalant toujours plus. Lorsqu’il l’engloutit totalement, Byakuya ne put retenir une exclamation surprise qui fit rire Renji.
- La technique de Yumichika, souffla-t-il en déposant une ligne de baiser de la base de sa nuque à son oreille, est imparable.
- Tu as déjà couché avec lui ? demanda doucement Byakuya, se retenant de gémir, alors que la main de son compagnon s’était remise à bouger.
Renji ne répondit pas et le noble préféra reporter son attention sur ce qui se passait dans le bureau, n’étant pas d’humeur à tenir une conversation. Un frisson d’excitation agita son entrejambe lorsqu’il avisa la position de Yumichika. Si le jeune homme avait jusqu’à présent mené la danse, il n’était maintenant plus maitre de rien.
Kenpachi avait une nouvelle fois glissé une main dans ses cheveux, immobilisant sa tête alors qu’il donnait de grand mouvement de hanche, s’enfonçant jusqu’à la garde avant de se retirer presque totalement et de revenir. Ikkaku n’était pas en reste et s’était agenouiller derrière son ami dans le but évident de le pénétrer. Ce qu’il fit d’un geste brusque, faisant gémir fortement Yumichika. Mais le brun, toujours bâillonner par le sexe de son capitaine, ne peut faire que cela, gémir, alors que l’ancien moine s’activait à aller et venir, frappant un point précis à l’intérieur du jeune homme.
Cruellement, le chauve posa une main sur la base du sexe de son partenaire et serra de sorte à bloquer l’orgasme du brun alors que lui-même atteignait son apogée, enfoncé jusqu’à la garde dans les chaires accueillante de son ami. Yumichika gémit de frustration, posant une main sur celle qui le tenait pour l’enlever mais Ikkaku, peut-être par vengeance, resserra encore sa prise alors qu’il se retirait.
Byakuya observa avec fascination le liquide blanc s’écouler lentement hors de lui et déglutit encore alors que la main de Renji, maintenant plus entreprenante, se glissait sous ses vêtements pour le caresser avec plus de vigueur. Le noble voulu un instant l’en empêcher mais ne put que se mordre un doigt pour ne pas crier lorsque le roux atteignit son but.
Joueur, Renji commença de lent va et vient tout en léchant la nuque offerte de son amant. Le capitaine de la sixième division se demanda un instant si son amant voulait être découvert. Il n’était pas sur de pouvoir garder le silence face au traitement qu’il lui imposait et l’idée d’être surpris, au lieu de l’effrayer, l’excitait plus encore.
Il n’arrivait plus à se concentrer sur le bureau. En vérité, il s’en fichait complètement de ce qui se passait à l’intérieur. Byakuya n’avait plus conscience de la main habile qui le caressait. Inconsciemment, il remuait des hanches, tant pour accentuer la caresse que pour se frotter au désir de Renji.
Le roux gémissait d’ailleurs lui-même, alors que ses mouvements s’accéléraient. Même si le spectacle continuait dans le bureau, il n’avait d’yeux que pour Byakuya. Son cher capitaine avait porté une main à sa bouche pour se forcer à se taire. Ses joues étaient rouge, ses yeux plissé, son souffle erratique, alors que le plaisir charnel augmentait.
Lorsqu’enfin, il atteignit les étoiles, Byakuya ne put empêcher un cri de franchir ses lèvres. Mais il s’en fichait. Tous ce qui comptait, s’était la vague de plaisir qui le submergeait, chauffant son corps de la pointe de ses orteils jusqu’à la racine de ses cheveux, le vidant de toutes ses forces. Epuisé par la fulgurance de l’orgasme, il se laissa aller contre le torse de Renji.
Petit à petit, il réalisait qu’il avait jouis grâce à de simples caresses, dans un couloir, au milieu de la nuit, après avoir regardé trois hommes coucher ensemble. La débauche de la situation le fit rougir plus encore. Il n’arrivait pas à croire qu’il avait put le faire, lui le grand, le froid Kuchiki. S’était aberrant.
Mais s’était bien réel. Il sentait la torpeur qui faisait toujours suite à l’orgasme le gagner alors que ses paupières se fermaient d’elles-mêmes. Il voulait rentrer et dormir. Il réfléchirait à toute la perversité de la situation demain. Il rouvrit cependant les yeux, lorsqu’il se rappela avoir crié, et regarda dans le bureau, soudain effrayé d’avoir été découvert.
Il n’en était cependant rien. Les trois amants avaient changé de position : Kenpachi était à présent allonger par terre, Yumichika le chevauchant –Byakuya se demanda un instant comme s’était physiquement possible de prendre en soit quelque chose d’aussi grand sans avoir mal- tandis qu’Ikkaku, maintenant soulagé, était retourné s’asseoir contre le mur, sa bouteille d’alcool à la main.
Byakuya gémit lorsqu’il sentit la bouche de Renji l’embrasser à nouveau dans la nuque alors que les mains du roux avaient migrées pour se poser sur ses hanches. Le jeune homme remuait lentement, appuyant contre lui son excitation qui elle n’avait put être soulagé dans une demande explicite.
Mais si Byakuya réalisait lentement ce qu’il avait put faire, il ne pouvait se résigner à aller plus loin. Il se retourna et posa une main sur le torse musclé de son lieutenant, le forçant à reculer. Renji lui jeta un regard choqué, ne s’attendant visiblement pas à un refus. Le brun lui fit un sourire et s’approcha pour glisser à son oreille :
- S’était bien cela que tu voulais m’apprendre ce soir, non ? Faire naitre et durer l’envie.
- Mais…
- Au manoir, peut-être, coupa Byakuya avec un sourire, mais pas maintenant.
Avant de le contourner pour partir, Byakuya ne put s’empêcher de jeter un dernier regard dans le bureau : Kenpachi s’était redressé, tenant contre lui le corps tremblant de son cinquième siège, tout deux terrassé par la jouissance enfin atteinte. Puis, émoustillé par la vu, il se détourna pour sortir de la capitainerie. Quelques secondes plus tard, Renji le rejoignait en courant, l’interrogeant encore.
- Quand tu dis « peut-être »… Ca veut dire quoi ? Oy ! Byakuya ! Répond moi !
Trop tard, le noble était partit en shunpo !
Fin !
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