Jeux Aquatiques | By : Mika Category: French > Anime Views: 1510 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
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JEUX AQUATIQUES
Le restaurant était d’une classe incroyable. On eut cru que les tables étaient couvertes de satin. C’est dire si tous les clients mangeaient proprement. La splendeur de l’argenterie rivalisait avec la lumière des bougies dans un ballet mélodieux et cristallin.
Deux personnes en particulier dinaient studieusement. Le plus grand des deux était un homme aux cheveux bleus en bataille et au teint bronzé. Il portait une belle chemise vert kaki qui mettait en valeur ses grands yeux bleus et sa mine rassurante. En face, un jeune homme presque déguisé en maître d’hôtel, portant la veste traditionnelle du serveur ainsi qu’un pantalon à l’avenant.
Tous deux avaient un dîner tout ce qu’il y a de plus normal.
- En tout cas vous avez vraiment été éblouissant, c’était très impressionnant !
- Merci… Je voulais vraiment ce titre, ça m’apparaissait vraiment comme un objectif à atteindre dans ma vie.
- Moi et mes frères pouvons partir en paix, vous nous remplacerez sans peine !
- Pourquoi vous quittez le poste, d’ailleurs ?
- Eh bien déjà dans le cadre de la réorganisation administrative d’Unys, et surtout nous voudrions nous consacrer au restaurant à présent. Faire les champions c’était bien gentil au départ mais ça a fini par devenir lassant.
Amana hocha la tête. Rachid semblait nostalgique mais ne voulait pas le montrer.
C’est Rachid qui avait proposé l’invitation à dîner. Lui, ses frères et quelques autres champions avaient officié comme jurys pour l’examen de passage d’Amana, et la prestation du dresseur de Pokémon Eau avait fortement impressionné l’assistance. En particulier Rachid qui avait alors proposé au grand gaillard de le rejoindre dans un dîner tout ce qu’il y a de plus professionnel.
- On pourrait arrêter de se vouvoyer ? Tu ne m’as pas invité en tant que jury qui veut juste féliciter le jugé, n’est-ce pas ?
Rachid sourit.
- Un peu. Evidemment il y a autre chose, mais on en discutera plus tard.
Amana ne put qu’acquiescer. Rachid semblait intimidé par cet homme pétillant qui avait vraiment fait forte impression. En face, Amana semblait se trouver dans un schéma connu. Il avait l’habitude de provoquer ce genre d’effet sur les gens.
- Oui, bien sûr.
- Alors… J’ai entendu dire que tu avais une passion pour les plantes aquatiques ?
Amana hocha la tête.
- Je compte faire de l’arène de Papeloa une serre, ce sera à la fois original, et la température sera idéale !
- Tu aimes les environnements tropicaux…
- Et toi la douceur feutrée des restaurants…
- J’aime les banquettes rembourrées et la ventilation tempérée ! Je ne pourrais pas vivre dans la moiteur permanente !
Amana ricana.
- Alors on n’est pas faits pour s’entendre !
- Clairement pas, c’est évident !
- Pourtant tu es très intéressant… ce serait bête qu’on passe l’un à côté de l’autre…
Rachid acquiesça.
- Tu as raison, il faut profiter de la vie.
- Et tirer le meilleur de chacune de ses rencontres !
Rachid hocha la tête. Amana sourit et termina son verre.
***
L’appartement d’Amana semblait excessivement confortable. Il y avait même une piscine intérieure qui était en réalité un bras de mer réaménagé.
- Dingue…
- N’est-ce pas. Je crois que j’aime un peu trop la mer… Et la liberté !
Rachid sourit et se mit à l’aise. Amana enleva carrément sa chemise.
- Tu m’excuseras, je ne supporte pas de porter un haut…
Le jeune homme bronzé retira également son pantalon, dévoilant un pantalon de plongée.
- Ta tenue de champion ! sourit Rachid.
- Ouais. Contrairement à la tienne, ça ne se porte pas dans la vie de tous les jours.
- Dommage… sourit Rachid en louchant sur le torse imberbe.
- Je te sers du vin ?
- Avec plaisir, merci.
Amana se dirigea vers son très moderne frigo. Il sortit une bouteille et deux verres à pied, et il servit le liquide rouge. Enfin, il donna le verre à Rachid.
- Voilà.
- Merci.
- A mon titre de champion !
- A mon jugement éclairé qui t’y a fait parvenir !
Ils ricanèrent et burent cul-sec. Une fois les verres reposés, Rachid, un peu aviné, fit la remarque de trop.
- C’est marrant ta marque de bronzage…
Amana sourit, saisit le menton de Rachid et l’embrassa. Les deux hommes avaient un peu bu, rien de plus normal que dans leur baiser, le goût fruité du liquide alcoolisé se fasse ressentir. Rachid semblait totalement guidé dans cette valse de bouches et de langues. Bien sûr, c’était son objectif de départ, mais que cela aille aussi vite et aussi bien, c’était inespéré.
Quant à Amana, il était loin d’être contre un peu d’affection. En tant qu’électron libre, il n’y a rien qu’il aimait plus qu’un coup d’un soir. Et plus si affinité. En l’occurrence, coucher avec un ancien champion d’arène rencontré lors de son examen de champion, c’était la porte ouverte à des choses plus intéressantes qu’une simple coucherie.
Rachid ne put résister. Face à une telle friandise, il ne put que poser ses mains sur le torse glabre de son nouvel amant. Le champion de l’arène d’Ogoesse profitait du contact délicat de la peau musclée et chaude du nageur. Les grands bras d’Amana étaient une bénédiction, et Rachid avait tout le loisir de s’y laisser bercer. Le baiser dans lequel ils s’étaient lancés durait déjà un peu trop, ils se séparèrent avec regrets, les yeux embués de plaisir.
Le premier réflexe de Rachid fut de se dévêtir. Il était trop habillé par rapport à son comparse. Sa chemise partit très rapidement, dévoilant un torse solide, plus fluet et jeune que celui d’Amana. Lequel passa une main satisfaite sur le pectoral gauche, le téton gauche, les côtes, le nombril… Rachid frissonna sous ces caresses, mais son sourire ne souffrait d’aucune équivoque : Il adorait ça. Amana se serra contre lui, et le contact des peaux les fit frissonner à l’unisson. Ils retombèrent sur un canapé non loin, profitant chacun de la présence de l’autre, aidés par la gravité.
Amana décida de laisser une de ses mains insolentes ouvrager dans le pantalon de Rachid dont la respiration s’intensifia. Rachid l’éloigna un peu. Amana regarda son comparse. Aucun des deux ne voulait vraiment parler, mais disons que le jeu serait plus drôle s’ils avaient chacun de quoi jouer. Et puis, l’œil gourmand de Rachid acheva de convaincre Amana que ce jeune homme avait faim. Très faim.
Amana se leva donc et baissa son pantalon. Le début d’érection qu’affichait son joli pénis était encourageant pour Rachid. Malgré la blancheur de ses jambes, le pénis d’Amana était légèrement brun, avec un gland bien plus foncé. Des poils pubiens bleus surmontaient cet attirail d’une virilité sans pareil. Les testicules semblaient appétissants et prêts à l’usage. Le jeune homme aux cheveux verts saisit l’instrument de tous les désirs. Amana sourit et caressa avec tendresse le visage du jeune serveur qui lui lança un regard de gratitude avant de s’emparer avec les lèvres de la conséquente masse de chair. Rachid s’avéra très bon pour cet exercice, ses lèvres, sa langue et ses mains s’activant à donner le plus d’amour possible. Amana émettait des gémissements ravis. Tous ses centres nerveux étaient en éveil. Et son sexe devenait de plus en plus gros, au point que Rachid avait bien du mal à le prendre en bouche. Le jeune homme aux cheveux verts regarda son amant aux cheveux bleus qui compatissait aux difficultés de son délicat compagnon. Rachid dût sortir l’engin de sa bouche, il devenait vraiment trop volumineux.
Rachid s’employa cependant à masturber sur toute sa longueur le fébrile burin d’Amana. Lequel avait déjà furieusement le rose aux joues, enthousiasmé par cette démonstration. Il releva Rachid et s’appliqua à lui enlever son pantalon alors que lui-même achevait de retirer le sien. Rachid dévoila ses parties les plus intimes, notamment son sexe distendu et rougi par le désir. Amana sourit. Ce n’était pas un pénis bourrin comme le sien, mais c’était un bel organe. Amana s’allongea sur son canapé et invita Rachid à se placer au-dessus de lui, tête-bêche.
Rachid put ainsi continuer son travail d’humidification et de stimulation du fabuleux sexe d’Amana, à quatre pattes au-dessus du magnifique corps d’Amana, tout aussi actif. Il en profita aussi pour caresser et lécher les testicules, ainsi que pour passer un doigt ou deux sur l’anus lisse et propre de son bronzé camarade. Amana quant à lui, offrait un traitement de roi à Rachid, lui prodiguant d’abord une fellation tout à fait convenable, il s’attaqua ensuite à lui lustrer l’anus avec force efforts linguistiques. Rachid dût cesser plusieurs fois sa fellation. La sensation était bien trop surprenante. Et Amana semblait prendre un plaisir absolu à faire remuer sa langue dans le fourreau accueillant. Les gémissements de Rachid se faisaient de plus en plus bestiaux, comme s’il n’attendait que la récompense finale. Il se contentait désormais que d’une petite branlette sans conséquences pour conserver la vigueur de l’énorme chose qui lui défoncerait la rondelle d’ici peu. Le jeune homme aux cheveux verts n’avait qu’une seule ambition : Donner ses fesses en pâture à Amana. Lequel avait décidé d’insérer quelques doigts dans le fondement qu’il envahirait sous peu. Rachid haletait comme un petit chien alors que des doigts forts et bronzés lui labouraient les intestins.
Au moment venu, Rachid se chargea de baver avec plaisir sur le sexe de son amant afin de faciliter la suite des opérations. L’anus grand ouvert, Rachid se plaça le torse sur le bord du canapé, prêt à recevoir son dû. Amana agita son énorme sexe, frappa les fesses de Rachid avec, puis fit glisser son imposant pénis dans la raie du spécialiste des plantes. Rachid gémissait, implorait pour qu’Amana en finisse avec cette douce torture. Mais Amana prenait beaucoup trop de plaisir à se frotter ainsi contre de si belles fesses.
L’attente fut récompensée quand Amana décida enfin de faire pénétrer son sexe entre les fesses de Rachid. Le plus jeune des deux grimaçait sous la taille de la chose. Il sentait ses entrailles déchirées par une telle intensité. Mais son corps s’habitua très rapidement à un tel traitement. Quand Amana constata que les choses s’imbriquaient bien, il commença à s’agiter pour créer l’effet tant recherché.
Et là ce fut le festival. Voyant à quel point Rachid était réceptif, Amana ne se retint pas et se mit à limer le fion de Rachid. Lequel voyait sa respiration se saccader. Son amant était clairement un bourrin, un de ceux qui savent qu’ils sont bien munis et qui en profitent. Rachid n’avait jamais rien eu de si gros entre les fesses, et de sentir cet énorme chibre lui perforer à répétition la fleur anale, c’était tout simplement divin.
Amana prenait tout l’élan nécessaire. Rachid était insatiable, il en voulait toujours plus. Amana se demandait comment le petit homme timide du restaurant pouvait ainsi se transformer en bête de sexe. Amana allalit presque jouir, c’était hors de question. Il se désincarcéra de Rachid qui prit instinctivement une autre position. Il se mit sur le canapé, sur le dos, les jambes en l’air. Amana profita de la vue, lécha un peu le trou de balle rougi par le frottement, et il se remit au travail.
- AH !!! Aaaaaaaaaaaah !!!! Amanaaaaaah… Aaahahaaaa…
- Ouais… Ouais, t’aimes ça, hein…
- Plus fort, plus fort, oui… oui…
Amana transpirait à grosses gouttes alors que Rachid, en proie à une jouissance intense, était déjà luisant de sueur. Les efforts d’Amana étaient doubles. Il ne voulait pas jouir trop vite, et il ne voulait pas décevoir son amant qui pour le moment était comblé.
Rachid écarta encore plus les jambes dans l’espoir d’être encore plus satisfait. Mais Amana commençait à fatiguer, et la jouissance à se faire de plus en plus proche. Il se retira donc, saisissant son pénis rougi par l’effort, et commença à se masturber près du visage de Rachid.
Lequel en voulait encore plus.
- Tu ne me laisses pas là-dessus, on est d’accord ?
- J’en peux plus, désolé…
- S’il te plait…
Amana éjacula une certaine quantité de sperme sur le visage de Rachid. Lequel prit ce qu’il put sur sa langue. Il savoura le délicat nectar alors qu’Amana vint nettoyer le reste avec affection. Les deux amants s’embrassaient à présent avec passion sur le canapé. Une fois le baiser achevé, Rachid s’éloigna d’Amana. Il se leva et tenta maladroitement de marcher.
- La vache… Tu m’as défoncé…
- Tu veux quelque chose, de l’eau ?
Rachid se tourna vers Amana qui avait repris du poil de la bête.
- Allonge-toi par terre.
- … déjà ? Rachid, je suis…
- Je t’en prie !!
Rachid poussa gentiment Amana qui s’exécuta. Le nageur s’allongea au sol, la queue fièrement dressée vers le plafond. Rachid s’en léchait déjà les babines.
- C’est rien qu’à moi…
Le jeune homme aux cheveux verts attrapa le pénis d’Amana et le dévora littéralement. Amana en cria de stupeur. C’était la meilleure fellation qu’on lui avait jamais faite. Pire, Rachid mouilla un de ses doigts et caressa avec délicatesse le muscle anal de son nageur d’amant. Ce traitement de roi fit gémir Amana plus que jamais. Il commença à se dire qu’en plus d’être un juge émérite, Rachid était quand même un sacrément bon suceur. Et un vrai ouragan pendant l’amour.
Voyant que le saint gourdin d’Amana était toujours d’attaque, Rachid n’hésita pas et il s’empala dessus, poussant par là-même un cri de… soulagement. Comme si cette queue lui manquait. Comme si elle lui était désormais indispensable. Il bondit complètement sur l’engin, cherchant à tout prix à retrouver des sensations qu’il n’aimait que trop.
Amana, un peu fatigué, ne fit que peu de mouvements pour aider son cher et tendre à trouver le chemin vers le nirvana, mais Rachid n’en avait cure. C’était désormais sa chose, son instrument de plaisir. Le nageur ne se lassait pas de voir ce jeune être onduler du cul sur sa grosse bite pour en tirer quelque jouissance. Il se permit même, une fois rasséréné, de masturber chaleureusement son compagnon.
Rachid s’épuisa aussi, et il se dégagea d’Amana pour se reposer sur la moquette. Amana se releva, regarda son sexe ramolli par les sollicitations. Pensant que c’était fini, il se dirigea vers sa piscine intérieure. Rachid l’observa.
- … ça va pas salir ton eau ?
- J’ai d’excellents filtres.
- … c’était génial.
- J’ai trouvé aussi. Tu ne paies pas de mine, mais t’es sacrément bon.
- Merci.
Amana fit quelques longueurs qui le détendirent. Rachid se tâta pour aller le rejoindre. D’un côté, il n’était pas bon nageur. D’un autre, la seule idée qu’il se passe quelque chose dans l’eau le faisait frémir.
Rachid pénétra donc dans la piscine en regardant Amana pour lui demander l’autorisation. Lequel acquiesça en souriant. Une fois Rachid dans l’eau, lui et Amana s’engagèrent dans une foultitude de baisers, caresses et autres frôlements du même ordre. Rachid caressa le pénis à nouveau d’attaque d’Amana. Décidément, la nage, ça vous transcende un homme.
- Je ne serais pas à la hauteur de ma réputation si on ne le faisait pas ici…
- Là, dans l’eau ?
- Ouais. Ça te gêne ?
- N… Non, mais…
- Hey. T’en fais pas. Ça va glisser tout seul.
Amana colla Rachid contre une paroi et l’embrassa avec tendresse. Rachid replia ses jambes alors qu’Amana tâtait l’entrejambe fébrile de son ami. Rachid écarta les jambes, mais Amana retourna littéralement son amant. Plaqué contre son dos, Amana sourit.
- Prêt ? C’est encore mieux dans l’eau !
- Pourquoi tu me demandes si je suis prêt ? Tu sais que je suis prêt !
Amana hocha la tête. Il se mit en place et fit lentement glisser son pénis dans le trou gracieusement offert. Rachid gémit, un sourire aux lèvres. Effectivement c’était très confortable. L’eau permettait d’être bien plus à l’aise, et sentir Amana percer ses défenses fit un bien fou à Rachid. A la légère douleur qui poignait succéda vite un mouvement tellement évident, surtout sous l’eau, qu’il en paraissait presque naturel.
Rachid se laissa donc limer avec un grand plaisir qu’il manifesta par des joues rougies par l’émotion et des gémissements plaintifs. Amana lui embrassait épaules et cou, en bon dominateur, il savait faire preuve de tendresse. Alors qu’il semblait féconder Rachid en faisant coulisser son énorme membre dans sa cavité anale avec naturel et régularité, Amana quémanda les lèvres de Rachid qui les lui offrit de bon cœur. Leur baiser était purement animal, maladroit, excessif, mais les émotions qu’ils ressentaient sur le moment l’étaient tout autant.
Rachid sortit la moitié de son corps de l’eau, cambrant son dos et permettant plus de confort à Amana. Le nageur se tenait derrière son amant incliné et donnait de forts coups de bassin pour satisfaire son délicat derrière. Rachid ne tenait plus. Il avait eu au moins dix orgasmes depuis le début de la soirée, il avait éprouvé plus de plaisir qu’en vingt ans de vie, il savait qu’Amana était le seul et serait le seul à lui procurer à tout jamais autant de bonheur avec une simple queue.
Amana quant à lui se sentait totalement en osmose avec Rachid. Bien que plus jeune, plus fragile et moins bâti, Rachid était un amant parfait, répondant aux moindres exigences de son partenaire, jouissant de tout ce qui était possible de jouir, un vrai épicurien comme Amana les aimait.
Ils finirent sur la moquette, trempés. Amana s’était placé au-dessus de Rachid qui avait les jambes repliées. Amana achevait de pilonner son amant comme s’il faisait des pompes, son sexe pistonnant complètement l’anus de son partenaire. Rachid n’arrivait même plus à crier, épuisé par cette soirée dévergondée. Amana sentait que cela venait, et il tenait absolument à inonder de sa semence le divin trou du cul de Rachid.
Ce dernier, reprenant ses esprits, se releva pour embrasser son fougueux amant dans un dernier geste avant l’épuisement. Amana haleta une dernière fois et expulsa son foutre dans le ventre de Rachid. Lequel s’en sentit honoré. Amana retomba sur Rachid qui se sentit juste assez fort pour donner un dernier câlin à son cher et tendre.
- C’était… parfait… murmura le jeune homme aux cheveux verts.
- Dis-moi que tu veux emménager…
Rachid s’étonna. C’était une très belle soirée, de là à emménager ensemble…
- Dors au moins ici ce soir…
Rachid regarda Amana qui semblait réellement vouloir la compagnie de Rachid. Ils n’avaient rien en commun, ils avaient juste baisé comme des diables pendant deux bonnes heures.
- J’ai besoin d’une douche… marmonna simplement Rachid en rampant hors de l’emprise d’Amana.
Le nageur resta au sol, un peu sonné par cette froideur.
- Tu as de la place au moins pour moi ? Non pas que je sois encombrant…
Amana ferma les yeux et un sourire de pur bonheur s’étendit sur son visage.
C’était peut-être bien le bon…
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