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7 - Joyeux Halloween, Tonks !
(rappel : les one-shots précédents non NC-18 se trouvent dans la Boitafics ; lien à mon profil)
Pairing : Remus Lupin / Nymphadora Tonks
Ce one-shot est un miroir de celui de Sioban_Parker, présentant le point de vue de Tonks. J’ai tenté de présenter celui de Remus en restant dans la ligne érotico-humoristique. Si vous êtes intéressé par l’original, demandez le lien dans un commentaire.
Harry était enfin parvenu à détruire le dernier horcruxe et Lord Voldemort par la même occasion, deux jours avant Halloween. Bien entendu, le Ministre a encore trouvé le moyen de se plaindre du jour férié supplémentaire à donner aux employés. Si Harry avait pu attendre le premier novembre, les dates auraient coïncidé. Sirius aurait grogné qu’il penserait à offrir un agenda à son filleul la prochaine fois qu’il aurait à sauver le monde sorcier. Son humour me manque.
Dans une superbe tentative de tirage de couverture à soi, Scrimgeour a organisé une grande réception pompeuse à Londres. Nous avons préféré répondre à l’appel d’Arthur et de Molly, nous invitant à une petite fête improvisée et costumée au Terrier. Tout l’Ordre a approuvé, même ce vieux Maugrey. Après lui, pas moyen de me défiler ; j’en avais pourtant bien l’intention. Mais entraîné par Harry et ses amis, m’y voici donc… sans costume.
– J’ai hâte de savoir en quoi sera déguisé Fol Œil ! s’exclama Ron.
Il a le mot pour rire ce petit… pas si petit que cela ; il doit me dépasser légèrement maintenant. Comme il a grandi depuis que je l’ai eu comme élève, tout apeuré devant son épouvantard. Je l’observe tandis qu’il monte enfiler son costume me laissant en tête à tête avec ma tasse de thé. J’entends de joyeux brouhahas provenant des étages. Les jeunes et les moins jeunes préparent les festivités avec entrain tandis que je reste là, tournant ma petite cuillère dans mon thé presque bouillant.
– Remus…
Je redresse le nez, surpris par cette voix presque rauque qui me sort de mes pensées. Tonks est là, devant la porte de la cuisine, dissimulée dans une ample cape descendant jusqu’aux chevilles. Que me cache-t-elle en dessous ? Je vois bien qu’elle cherche à maîtriser le sourire qui ne demande qu’à s’épanouir sur ses lèvres. Je lui demande pour rire :
– Qu’y a-t-il ? Tu as honte de ton costume ?
Curieusement, elle ne me répond pas et s’approche, sans me quitter du regard. Toi, tu me réserves soit une farce, soit une friandise. Je pencherais pour la farce. Elle s’arrête à trois pas et laisse tomber sa cape….
ARRRGGGHHHHHH
Je ne sais plus si l’agitation se poursuit dans la maison, je ne sais plus si mon thé est chaud ou froid, je ne suis plus certain de mon prénom et je bénis Merlin d’être déjà assis sur une chaise. Je crois que mes neurones viennent de prendre la poudre de cheminette. Les yeux me sortent de la tête et si j’arrive à les remettre dans leur orbite, peut-être pourrais-je retrouver l’usage de la parole.
Elle ne cache absolument rien sous sa cape.
Elle est nue. Toute nue… nom d’un p’tit loupiot…
Avant même que je parvienne tout simplement à fermer la bouche, elle s’avance doucement. J’étais parvenu à détacher mon regard de ses …. protubérances mammaires quand elle se met à onduler des hanches. Mes yeux et ma mâchoire descendent encore d’un étage. Par Merlin ! Elle est vraiment complètement nue…
J’abandonne l’espoir d’avoir la moindre réaction sensée. Je me sens comme la proie hypnotisée par le serpent.
Subitement, la nature profonde de ma rose séductrice reprend pied, plus exactement les pieds dans sa cape sur laquelle elle trébuche. Elle se vautre sur la table de la cuisine, expédiant ma tasse et son contenu sur le sol. Le danger du thé brûlant projeté me sort de ma stupéfixtion et je me lève vivement. Mon exclamation et mon souffle se trouvent coincés dans ma bouche par un bouchon humide qui l’obture.
Qu’est-ce qui se passe ?
Je mets quelques secondes à rétablir le lien entre les événements qui viennent de se succéder : Tonks quittant sa cape, Tonks nue, Tonks s’avançant encore nue, Tonks se vautrant sur la table toujours nue, Tonks contre moi, beaucoup trop nue, les lèvres de Tonks nue m’embrassant…. Ses lèvres….
Nom d’un p’tit loupiot en rut, mes lèvres réalisent enfin ce qui se passe et finissent par répondre avec ardeur aux siennes. Mon loup hurle de ne pas m’en priver. Mais l’information n’est cependant pas parvenue jusqu’au cerveau qui ne peut donc en informer le reste de mon corps. Je reste là, bras ballants, le reste aussi.
Une chaleur subite sur mes paumes et un signal d’alerte s’allume en moins. Je sursaute comme si je venais de me brûler : mais que font mes mains sur ses fesses ? Ce n’est pas possible ! Le vil coyote se serait-il emparé de mon corps ? Je me redresse nerveusement et nos nez entrent douloureusement en collision.
– Pardon…
Je suis stupéfait d’avoir retrouvé suffisamment mes esprits pour parvenir à balbutier cette piètre excuse. Je me recule avant de commettre une autre bévue.
Ne me laissant ni répit ni échappatoire possible, elle me plaque contre le mur pour récidiver. Cette fois-ci je ne perds pas le nord, ni de ses lèvres, ni de ses fesses. Tel un serpent qui se glisse, je sens sa main qui s’immisce vers un lieu stratégique : mon pantalon. Est-elle folle ? Et Harry, Ron, Arthur, s’ils venaient à descendre, s’ils venaient ici ? Pire ! Molly !!!
- Tonks ! On risque de nous surprendre !
- N’est-ce pas encore plus excitant ?
La preuve est faite : elle est complètement folle… Mais qu’est-ce qu’il lui prend ? Ne me dites pas que les filles d’aujourd’hui sont excitées par le risque d’être surprises en train de baiser ? A moins qu’en guise de farce quelqu’un ait versé dans son thé une potion aphrodisiaque. Et qu’elle ne compte pas m’amadouer avec son regard d’ange, cette Mat-à-Harry.
Mas c’est qu’elle insiste la bougresse, menant de front une attaque sur mes lèvres et sur mon ceinturon. Les deux battent pavillon blanc, couleur de mon caleçon lorsque mon pantalon s’effondre en accordéon sur mes chevilles. Merlin soit loué, Tonks n’est pas Yvette Horner ; elle ne s’attarde pas sur la vision pitoyable de mon sous-vêtement. Succédant à l’exploration manuelle de cette dernière barrière, je sens pourtant contre ma bouche sa moue déçue. Je ne sais ce qui lui déplait le plus du caleçon ou de son contenu ramolli. La pensée de Molly entrant en cet instant souffle ma flamme et mon cierge personnel.
Subitement ma prétendante au titre d’amante prend les choses en main… passez moi l’expression. Par Merlin, qu’elles s’y trouvent bien mes choses ! Sa main testant la fermeté de sa prise autour de mon membre m’arrache un gémissement. Mes yeux se ferment. Elle serre davantage encore. Foutre Merlin ! Pas si fort, c’est fragile ces petites choses ! A manier avec délicatesse mademoiselle ! On ne l’appelle pas un petit oiseau pour rien ; c’est délicat tant qu’il n’a pas pris son essor ! Sous le coup, je me recule, rejetant la tête en arrière.
Très déplaisante idée lorsqu’on est adossé à un mur. Le bruit sourd de mon crâne contre ce dernier stoppe sa frénésie. Je ne finirai pas eunuque : merci Tonks, mais je risque une sacrée bosse. Pas au bon endroit malheureusement. Bah ! Au moins quelque chose aura gonflé aujourd’hui. .
– Désolée, murmure-t-elle, contrite.
Mais à peine réveillé, mon petit oiseau réclame déjà un nid. Afin de clore son bec à toute autre piteuse excuse, j’utilise ma langue dans une action bien plus agréable que le bavardage avant de dévier vers la peau veloutée de son cou que je bécote éperdument. Mes lèvres et les petits coups discrets de mon membre contre son ventre lui parlent mieux que des mots. Elle reprend là où elle s’était arrêtée, jouant de chacun de ses doigts sur mon flûtiau.
A la claire Branlette
M’en allant poireauté
J’ai trouvé Tonks si belle
Que j’me la suis….
Aïe ! Un de ses ongles m’égratigne le bout de mon bout à la peau si sensible. Je viens de grogner ; sa dextérité débarrassée de toute maladresse est délectable. La grosseur et la raideur envahissant cette partie centrale de mon individu en témoignent. Même Buck irait pleurer dans son grenier en découvrant ça… Mais revenons à mes sensations et quelles sensations !
Encore….
Je ne veux pas qu’elle cesse.
J’emmerde Harry, Ron, Arthur et même Molly.
Je ne veux pas qu’elle arrête et pour m’en assurer, je l’étreins encore plus fort.
Pourtant, elle ne semble pas apprécier mes mains la serrant tout contre moi. L’aurais-je meurtrie sans m’en apercevoir ? Elle en détache une et l’abaisse.
Ma respiration manque un tour, mes neurones aussi.
Je ne comprends pas tout de suite ce qu’elle attend de moi, de mes doigts en un tel endroit… humide déjà. Heureusement, elle me montre. Merci Tonks, j’ai compris la leçon, je ne suis pas enseignant pour rien quand même. Le moment de lui rendre la pareille est venu. Attention ma biquette, le loup va sortir de son bois et rentrer dans ta bergerie. Mumus, montre-toi à la hauteur ou plutôt profondeur de la tâche. Il est bien connu que les lycanthropes ont de grands doigts et une grande…
Bon, ne brûlons pas les étapes. Soyons attentif aux réactions… Tentons le classique ascenseur manuel : je monte et je descends et inversement. Ses mouvements fort explicites du bassin m’indiquent que j’ai raison d’appuyer sur son bouton de plaisir, avant d’entrer dans le vif du sujet. Juste un doigt, pour commencer, mais sans glaçon, pas comme au dernier pot de l’Ordre.
Vraiment, cette position coincée comme un grumeau de colle entre le mur et le papier peint ne me permet aucune initiative. Il est temps pour moi d’inverser les rôles. J’en connais un qui insiste pour pointer le bout de son museau dans la chaude caverne. Il me démange, me brûle même. Saisissant Tonks par les épaules, j’essaie de la pénétrer à tâtons sauvages, méthode troll en rut.
Mais….. je ne l’ai pourtant pas assommé, pourquoi s’effondre-t-elle ainsi sur ses genoux ? Sa tête n’a pas heurté le mur ou le buffet ? Je ne l’ai quand même pas secoué à ce point ?
Non ?…… oh ? Ouuuuuuiiiiiiiiii
Par Merlin ! Que c’est bon ! Je m’inquiétais vraiment pour rien. Ma rose en chaleur a décidé de me faire fondre ce soir, dans tous les sens du terme. J’adore qu’elle transforme mon sexe en esquimau qui n’a plus rien de glacé et enfourne mon gros bâton tout au fond de sa gorge.
Mais j’ai surestimé la profondeur de sa gorge… à moins que je n’ai sous estimé la taille de mon bâton. Je la vois, l’entends qui tousse et avale sa salive avec la plus grande difficulté.
Pas de geste réflexe par pitié ! Ne referme pas la mâchoire pour déglutir ! Ne me mords pas. Je suis trop vieux pour devenir castra. Je glapis d’appréhension et m’excuse :
– Oh pardon ! Ça va ?
- Oui oui, me répond-elle entre deux quintes irrépressibles.
Pourvu qu’elle ne s’étouffe pas. J’aurais du mal à expliquer à Molly et aux autres la cause de ce malaise… Mais quel enthousiasme mes aïeux ! Et lorsque je vois son regard gourmand et décidé, sa langue qui recommence son petit manège tout le long de ma queue, euh mon sexe, j’ai dû mal à conserver mon calme. Je sens déjà mes jambes flageoler. Par Merlin, mon sexe et Tonks me pompent toute mon énergie. Il devient si dur que j’ai envie de crier et ce ne sont pas ses caresses sur mes bourses qui diminueront mes sensations. Dès que je ne risque plus d’être émasculé par une crispation brusque de ses mâchoires, je passe à l’attaque. Je ne vais pas tenir bien longtemps encore.
Devinant à ma raideur que le moment de passer à l’étape suivante est venu, Tonks cesse sa dégustation gourmande et se redresse. Tant mieux, elle commençait par me baver dessus et c’est un vrai Tue-l’amour. Je ne lui laisse le temps d’aucune initiative, la plaque contre le mur, lui saisit fermement ses cuisses et les écarte pour la prendre enfin à coups redoublés.
Mais pas moyen de trouver cette foutue entrée ! Pourquoi faut-il toujours que mon sexe tressaute ainsi et loupe à chaque fois l’entrée du palais des délices ? Bon sang ! Mon loup se débrouille certainement bien mieux avec sa queue que moi avec la mienne… Je relâche une de ses douces jambes pour guider mon membre. Faut savoir se prendre en main et tout faire soi même.
Enfin j’y suis !!!
Aussitôt, pressé par mon désir qui me ronge les reins, j’entreprends de prouver mon désir et mon amour à grands coups. C’est chaud, c’est humide, c’est bon et mon plaisir n’est troublé que par les légers bruits de succion, par mes halètements et l’absence des siens. Il faut dire qu’à voir dans les films, cette position semble bien plus confortable que dans la réalité. D’ailleurs, mon sexe s’échappe. Foutre Merlin, manquait plus que l’oiseau cherche à s’enfuir !!!
Je la saisis alors par la taille et la retourne, plaquant son ventre contre le vaisselier tandis qu’elle s’accroche aux étagères. Enfin, je m’engouffre, lentement, amoureusement, m’agrippant à ses hanches. Mais pas moyen d’accélérer. Ce foutu meuble est beaucoup trop haut. Ma queue est toute tordue à l’intérieur et ce n’est plus du plaisir mais une torture. Je serre les mâchoires et pense à Tonks mais le bruit des assiettes et des verres se heurtant et menaçant de se briser est très loin de l’angélus qui devrait tinter à mes oreilles ou des doux gémissements de mon amante étrangement absents. Aime-t-elle garder la bouche fermée pendant ? Elle m’avait pourtant prouvé le contraire il n’y a pas cinq minutes. Faut vraiment trouver autre chose…Et puis, je n’en puis plus : s’agiter ainsi à mon âge, debout sur la pointe des pieds… je suis presque crevé. Je halète, je tremble ; je crois que je vais me casser la figure.
Je m’excuse et tente une nouvelle position. Son dos ploie pour que mon périscope se déplie et puisse naviguer en elle. Par Merlin, je ne suis pas Mozart et ma flûte n’est pas enchantée !
En effet j’avais raison et à nouveau, je replonge, c’est le cas de le dire, dans un monde peuplé d’étoiles et de sensations chaudes. Elle bouge avec moi. Y’a pas à dire, elle aime cela, faisant des petits sauts pour me suivre dans cette valse des corps.
Mais pourquoi faut-il que cette foutue vaisselle sonne encore le tocsin de mes délices ? Alors que justement Tonks commençait à réagir ; ses petits cris en sont la preuve. Quoiqu’ils soient bien étranges pour des soupirs de plaisir. Il vaut mieux s’en assurer.
– Qu’est-ce qui ne va pas ?
- Moi je ne suis …hi…pas très…hi…à l’aise.
Patatras. Toutes mes illusions viennent de se faire la malle. Heureusement que mon état est trop avancé sinon j’en débanderais pour un peu. Je ressors mon engin, faisant tout mon possible pour ne pas montrer à quel point je suis dépité.
Mon vil coyote m’aboie à l’oreille de ne pas en rester là. Mon loup hurle, lui, de désir et de frustration. C’est un peu trop de canidés pour un seul homme et décide, pour une fois, de laisser parler l’animal en moi. Viens là ma Tonks, viens avec moi, sois ma louve chaude et soumise.
Je me mets à genoux et l’incite à m’imiter. La voici à quatre pattes. Comme elle se plie à mon caprice, je la presse, grogne, me place derrière elle entre ses cuisses, ralenti par mon fichu pantalon toujours en accordéon entravant mes chevilles et m’appuie sur elle. Mes efforts digne d’un pénitent sont récompensés : vue imprenable sur la croupe de ma douce et, ne résistant pas à l’appel du désir, je lance un grand coup de rein tentant de plonger mon sexe jusqu’à la garde.
Aïe ! Mais pourquoi la queue, aussi raide soit-elle, se met toujours de travers, tressautant au moment où il le faut le moins ? Je suis obligé encore de lâcher mon amante pour saisir mon gros engin et le guider, pire que la canne d’un aveugle. Mais quel délice !!!! Enfin je peux laisser parler la bête de sexe qui sommeillait depuis beaucoup trop longtemps au fond de moi. J’agrippe très fermement ma belle par les hanches, regrettant l’inexistence de poignées d’amour. Elles m’auraient donné une bien meilleure prise. Et nous voici partis dans la déclinaison du ballet de la bête à deux dos. Je ne sens ni le froid du carrelage, ni sa dureté. Seule la chaleur et la douceur de mon amante m’importent en ce moment. Mon sexe et moi-même sommes pour une fois en parfait accord : sortir pour mieux pénétrer encore et encore, tel est notre credo.
Je resserre mon étreinte, j’entre et sors à coups redoublés. Ma vision est troublé par le plaisir, l’audition aussi et je ne sais pas si les gémissements rauques que je perçois à peine s’échappent de ma gorge ou de celle de mon amante. Sans aucun doute des deux. Les étoiles s’intensifient dans ma tête et je ne ressens plus que trois types de sensations : celles de mes mains sur ses hanches, la chaleur remontant de mon bas-ventre jusque dans mon cerveau et mon sexe, plongeant sans fin en elle, toujours plus vite, plus fort, plus loin, jusqu’à l’extase suprême, lorsque je perds tout contrôle et laisse ma semence jaillir en elle.
Tout au fond d’elle….
Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii !
Oh NOOOONNNN !
Aussitôt, je me redresse. Une douleur, un nerf dans le bas du dos me reproche cette ardeur qui n’est plus de mon âge. Je me meus doucement pour éviter que cette sensation si désagréable s’intensifie. Par les couilles de Godric, pourquoi fallait-il que ces douleurs se réveillent justement à ce moment là ? Je me réconforte en songeant qu’elles auraient pu commencer dix minutes plus tôt.
Mouaif. N’empêche que je ne puis serrer contre moi mon amante, tous deux alanguis sur le sol, comme je souhaitais ardemment le faire. Le grand mâle recouvrant sa femelle après l’orgasme.. miam-miam ! Tant pis, ce sera pour une autre fois. Je sors enfin délicatement d’elle pour préserver mon dos, me redresse et l’aide à s’asseoir.
Son hésitation me rappelle qu’un sort de nettoyage s’impose. Mais pour cela, une baguette autre que mon sexe est nécessaire. Evidemment, elle se trouve dans une des poches de ma cape restée sur une chaise à quelques mètres. Je me lève donc, tachant de garder toute ma dignité malgré mon flûtiau maintenant réduit et en berne, et mon pantalon m’entravant encore et toujours dans mes mouvements.
Afin d’éviter la moindre perte de temps supplémentaire, je garde mon flegme en pensant à l’Ordre au grand complet faisant irruption dans la pièce à cet instant précis en criant “Trick or Treat !”…. ou pire….Molly…
Donc, un : remonter le pantalon. Deux, attraper la baguette. Trois, le sort de nettoyage. Quatre, couvrir Tonks de sa cape… on ne sait jamais. Je m’aperçois qu’elle manque étrangement d’enthousiasme après le moment fabuleux que nous venons de partager. Je me rends compte à cet instant qu’elle n’a pas crié, sauf quand la position était douloureuse, que je n’ai pas entendu cette sorte d’encouragements caractéristiques comme “Oh oui c’est bon!” ou encore “Vas-y, prends-moi”, mieux encore, le summum « C’est merveilleux, je le sens en moi, il est énoooorme !!! » Mais là, il ne faut pas rêver quand même… Je commence à avoir des doutes sur ma performance.
Mince….
Prendre les devants en gardant un air désabusé et un petit sourire réconfortant.
– Ce n’était pas vraiment comme dans les livres, n’est-ce pas ?
- Non, tu as raison, acquiesce-t-elle à mon grand désespoir, faisant s’envoler mes dernières illusions.
– Tu n’as même pas joui.
– Tu m’as donné du plaisir, n’en doute pas, m’assure-t-elle gentiment…. Mais justement, je n’ai plus aucun doute : piètre performance, T comme Troll…
- Pas trop déçue ?
- Bien sûr que non ! Ce n’était que la première fois. Avec de l’entraînement, nous ferons beaucoup mieux !
Je ris. Nous …. Quelle gentillesse et quelle délicatesse sous ce simple mot. C’est vrai que l’Auror en elle refait surface. L’esprit d’équipe, l’esprit de corps, l’entraînement. De la déformation professionnelle à la déformation personnelle il n’y a qu’un pas. Je la prends dans mes bras. C’est l’instant précis que choisit Molly pour faire son entrée… trop heureux qu’elle ait attendu jusque là.
– Excusez-moi,… Le repas va commencer ! Pourquoi restez-vous seuls ?
Elle ne remarque pas la rougeur subite sur les joues de Tonks. J’évite de lui expliquer la cause de notre isolement, la dégustation du thé étant la seule partie racontable.
– Nymphadora tu n’es pas déguisée ?
- Mais si ! Avec sa cape noire, elle est déguisée en Severus Snape ! ai-je la bonne idée d’intervenir… en croisant les doigts pour que personne ne demande à ma douce de montrer une des fameuses envolées de cape du sombre professeur.
– Tu es trop jolie pour ça, ma chérie…. Et vous, Remus, votre déguisement ?
- Je suis déguisé en loup-garou déguisé en professeur, dis-je, déguisé en apprenti dieu du sexe nécessitant la reprise des entraînements, je poursuis pour moi-même.
Tonks éclate de rire et me plante un baiser sur la joue. Aurait-elle eu des cours de Legilimencie ?
Molly nous regarde, attendrie.
Si elle savait ce que nous avons fait contre son vaisselier et sur son carrelage, son regard serait tout autre. Tonks doit penser la même chose car elle me serre discrètement la main.
–Venez dîner les amoureux. Je sais bien que vous flirtiez avant mon arrivée.
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