Love and Pain | By : Katoru87 Category: French > Anime Views: 1610 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: I do not own the anime/manga that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story. |
Auteur:
Katoru87
Couple: 2X1
(définitif!)
Rating: NC-17
Disclaimers:
Pas à moi. Je vais pleurer un coup et ensuite je recommence à
les martyriser quand même!
Love and pain
Le nez
d'Heero frémit, chatouillé par une délicieuse
odeur de café chaud. Il ne mit pas longtemps à émerger,
sortant sa bouille toute chiffonée de l'oreiller dans lequel
elle avait trouvé refuge. D'habitude, il dormait blotti dans
les bras de Duo, mais son natté adoré semblait avoir
décidé de lui apporter le petit-déjeuner au lit.
Il venait à peine de s'asseoir quand un plateau garnis de tout
un tas de choses délicieuses se téléporta dans
son champ de vision, accompagné d'un américain souriant
de toute ses dents. Duo s'installa à côté de lui
et ils commencèrent à manger en silence, se dévorant
des yeux.
Ils avaient
pris une semaine de vacances et étaient bien décidé
à en profiter. Heero leva une main et la passa à
l'endroit qui le démangeait, une zone de son cou, dissimulée
par un large collier de gundamium doublé de cuir que Duo avait
fait à partir des restes du Deathscythe et du Wing, sur lequel
était gravé une rose dont la tige s'enroulait autour du
manche d'une faux. Il le lui avait offert le jour où ils
s'étaient mis ensemble, depuis déjà deux ans.
Deux années passées en compagnie d'un Shinigami
possessif et jaloux à l'excés. Heero ne pouvait pas
approcher un autre homme sans que Duo voit rouge. Les seuls en qui le
natté avait confiance, les seuls dont il était sûr
qu'ils ne toucheraient pas à son Kitten, étaient les
anciens pilotes de Gundam.
Kitten.
C'était le petit nom que Duo lui avait trouvé. Il ne
l'appelait que par ce surnom dans l'intimité. Et Heero, lui,
quand ils étaient seuls, appelait son amant Maître. Le
maître de son coeur, le maître de son corps, celui à
qui il appartenait sans rémissions. Son maître.
Assez
mangé Kitten. Il est temps d'éliminer. Quand Duo
souriait comme ça, à raison d'au moins vingts par jour
quand ils étaient en congés, Heero savait qu'il était
surtout temps pour lui de passer à la casserole. Et dieu
qu'il aimait ça.
Oui
Maître. Répondit Heero. C'était devenu
automatique, Duo ordonnait et il se soumettait avec une joie à
peine dissimulée.
Duo éloigna
les restes de leur petit-déjeuner en les posant au pied du
lit, mais il garda quand même à portée de main un
pot de confiture d'abricot – la préférée
d'Heero. Le natté embrassa son esclave. Leurs lèvres se
rencontrèrent, d'abord légèrement, souffle
contre souffle, puis Duo se fit plus insistant, léchant les
lèvres de son esclaves pour en demander l'entrée. Heero
ne se fit pas prier, il acceuillit la langue de son maître avec
la sienne, luttant avec elle sans chercher à la dominer. Le
japonais se rallongea, entraînant son maître avec lui.
Les mains de Duo s'égarèrent sur le torse ferme de son
esclave, pinçant les tétons déjà dréssés,
sur son ventre plat et musclé avant de remonter, de longer les
bras, de caresser les poignets. Heero leva inconsciemment les bras
au-dessus de sa tête, son maître en profita pour
l'enchaîner à la tête du lit grâce à
des menottes qu'il avait caché sous son oreiller quand son
petit japonais dormait encore.
Maître...
Duo le fit
taire d'un baiser. Heero comprit qu'il n'avait pas le droit de
parler. Les lèvres se fondirent à nouveau en une seule
bouche, dans un baiser qui les laissa tout deux à bout de
souffle. Tremblant de désir, Heero soupira de frustration
quand son maître lui banda les yeux. Heero devrait se contenter
de ressentir, avec un sens en moins.
Le japonais
cria quand une matière froide et gluante se répandit
sur sa peau au niveau du nombril, Duo était en train de le
couvrir de confiture. Trempant ses doigts à même le pot,
le natté enroba soigneusement son amant, commençant par
le ventre, il descendit sur les jambes, redoublant d'application sur
l'intérieur des cuisses et l'entrejambe. Ces caresses
sensuelles sucrées et collantes, agrémentées par
une légère odeur d'abricot rendaient Heero fou. Il ne
retenait plus ses gémissement tant les caresses expertes du
châtains lui faisaient du bien. Duo connaissait par coeur la
moindre de ses zones hérogènes et il n'en laissait
aucune tranquille, titillant ou caressant le moindre centimètre
carré de chair qu'il savait sensible, comme cette minuscule
parcelle de peau située au creux du coude gauche du japonais
ou celle, à peine plus grande, près de son nombril. Le
brun avait l'impression que son maître avait des dizaines de
mains et que toutes le touchaient en même temps, partout sur
son corps. Le torse, Duo prit particulièrement soin des
tétons, les dressant encore plus et le ventre. La jambe
gauche, puis la droite. Le bras gauche – où Duo
s'attarda au creux du coude – puis le droit. Heero était
couvert de sa confiture favorite du cou aux orteils.
Duo se lécha
la langue,dans ses yeux la gourmandise luttait contre le désir.
Il prit le bras gauche. En commençant par les doigts, puis la
main, il lécha toute la confiture. Heero couina quand Duo posa
ses lèvres au niveau de son coude, où il suca la peau,
la lécha jusqu'à l'apparition d'une petite trace
violacée.
À
moi. Dit Duo, dont la possessivité atteignait son paroxysme
quand ils faisaient l'amour. Rien qu'à moi.
À
toi. Répondit simplement Heero. Il sourit quand, en échange
de sa réponse, son maître lui donna un baiser au goût
d'abricot.
Arrivé
à l'épaule, Duo reposa doucement le bras d'Heero sur le
drap, comme on dépose son plus précieux trésor
sur un coussin de satin, et s'attaqua à sa jambe. La cheville,
la jambe, le dessus des cuisses. Il évita soigneusement
l'intérieur des cuisses, sachant pertinemment que c'était
un des endroits où Heero était le plus sensible. Il
reposa la jambe, s'attaqua à l'autre bras, puis à
l'autre jambe.
Puis ce fut
au tour du torse. Il lécha le cou d'Heero, l'embrassa avant de
remonter vers la bouche. Il ne pouvait pas se passer trop longtemps
des baisers d'Heero. Il ne pouvait pas se passer d'Heero. Il ne
concevait même plus sa vie sans le japonais. Sous les assauts
de son maître, Heero gémissait de plus en plus fort. Il
avait envie de plonger ses mains dans la chevelure de son maître,
d'être recouvert par ce voile de soie couleur d'or liquide.
Heureusement qu'il était nu - quand il étaient chez
eux, ils ne portaient que rarement des vêtements – un
pantalon, ou même un simple boxer, aurait comprimé trop
douloureusement son érection déjà importante. Il
se cambra en criant quand Duo s'attaqua à ses tétons,
mordillant et léchant ces deux petites boules de chair durcies
par le plaisir.
Je
t'aime Heero. Souffla Duo, comme s'il s'était agi du plus
important des secret, de la plus capitale des confession.
Moi
aussi Duo, je t'aime.
Ils
n'employaient jamais leurs surnoms pour se dire ce qui était
important et, pour les deux hommes, cette déclaration était
trop importante pour être dite à la légère.
Kitten et Maître n'avait pas leur place dans ces trois tout
petits mots qui signifiaient tant et si peu à la fois: « je
t'aime. » Ils s'embrassèrent, sans violence ni
passion, avec amour tout simplement.
Laissant le
japonais tout pantelant d'un baiser qu'ils auraient tout deux voulu
sans fin, Duo reprit son travail sur le torse imberbe de l'homme de
sa vie. Il lécha le torse, les abdominaux joliment mis en
valeur par une plaque de chocolat, s'attarda autour du nombril pour
entendre son amant gémir et le voir se cambrer. Lentement, il
descendit vers la zone critique.
Embrassant
la peau douce recouverte de confitude à l'intérieur des
cuisses, il remonta tout doucement, laissant derrière lui un
sillon brûlant et humide de salive mêlée de sucre.
Heero n'entendait plus que son coeur battre dans ses tempes ainsi que
ses propres gémissements qui allaient crescendo. Son maître
évitait encore son entrejambe mais ils savaient tous les deux
qu'il ne pourrait plus le faire éternellement. Comme pour
répondre à cette pensée, Duo embrassa le gland
rougis avant de prendre le membre gonflé dans sa bouche,
imprimant un lent mouvement de va-et-vient qui devint de plus en plus
rapide. À l'instant où il sentirent tous deux qu'Heero
allait jouir, Duo abandonna sans plus de cérémonie le
sexe de son amant.
Tu n'as
pas le droit de jouir Kitten! C'était un ordre. Un ordre
auquel le japonais était habitué depuis le temps, mais
qu'il avait toujours beaucoup de mal à respecter sans qu'on
lui rappelle son existence
Maître,
s'il... j'ai besoin de ....
Chuuuuuut!
Je sais, je sais. Mais pas tout de suite mon Kitten. Attend encore.
Maître..
Kitten!
Heero se
tût. Il ne fallait pas pousser son maître à bout,
sinon, il risquait de se faire punir. Une bonne petite punition bien
vicieuse comme Duo les aimait tant, comme la fois où, pendant
trois nuits d'affilées, il avait obligé Heero à
dormir avec un vibrateur inséré dans « son
jolie petit cul étroit » comme il le disait
lui-même. Les pires nuits de sa vie, le vibrateur était
réglé pour se mettre à vibrer toutes les heures
pendant cinq minutes. Heero avait cru devenir dingue.
Duo n'en
pouvait plus. Heero, ainsi abandonné à ses caresses,
gémissant de plaisir et de frustration, le corps tendu comme
un arc près à tirer était l'illustration
parfaire de l'incitation à la débauche. Un appel au
viol avec d'incroyable yeux bleus. Ses yeux. Duo avait envie de voir
les yeux d'Heero, de se perdre dans leurs profondeurs glacées.
La main qui ôta le bandeau tremblait de désir. Dés
qu'Heero dévoila la couleur cobalt de ses iris, Duo fondit sur
ses lèvres comme un assoifé se jette sur de l'eau.
Écartant les jambes d'Heeo, il s'allongea sur son esclave. Sa
main glissa le long des côtes du japonais, se faufila dans son
dos et entre ses fesses. Préparant doucement son esclave grâce
à ses doigts coouvert de salive et de restes de confiture. Les
hanches d'Heero se mirent en mouvement toute seules, cherchant plus
de contact, plus de friction avec les doigts qui lui donnaient tant
de plaisir. Brusquement, Duo retira ses doigts et les remplaça
par son propre sexe qui réclamait qu'on s'occupe de lui.
Tu n'as
pas le droit de jouir Kitten.
Duo
n'attendit pas de réponse et commença immédiatement
à bouger, s'enfonçant de plus en plus profondément
dans le corps de son amant qui se tendait en criant à chaque
va-et-vient.
So
tight. So damnit tight.
Comme à
chaque fois, quand le plaisir lui faisait perdre toute contenance,
Duo revint à sa langue maternelle. Heero devait se concentrer
sur le plaisir de Duo pour ne pas jouir, mais il avait beaucoup de
mal. Le natté avait acceléré la cadence et
modofié l'angle de ses pénétrations afin de
toucher la prostate de amant à chaque coup. Ils gémissait
et criait ensemle, de plus en plus fort.
Kitten.
Duo accéléra
encore, il était au bord de la jouissance. Soudain, ses yeux
ne furent plus capable de voir autre chose qu'une lumière
blanche, aveuglante et son corps lui sembla exploser en un millier
d'étoiles.
KITTEN!!!
L'américain
s'écroula sur son esclave, la respiration saccadée et
couvert de sueur.
Je
suis...fière de toi...Kitten. Tu n'as...pas jouis.
J'ai eu
du mal Maître. Heero avait du mal à se retenir de
jouir. Son sexe pulsait littéralement contre le ventre de son
maître, il pouvait sentir chaque battement de coeur se
répercuter dans cette colonne de chair qu'il avait tant
besoin de libérer.
Tu
mérites une...récompense.
Heero se
doutait bien qu'il en aurait une, mais pour l'instant, il se
contentait de profiter du poids de son maître sur lui, des ses
bras qui se refermaient sur lui pour l'enlacer. Il aurait voulu
caresser la peau douce de son maître, glisser ses doigts dans
ses cheveux pour les libérer de la natte qui les emprisonnait
mais ses bras étaient toujours liés au montant du lit.
Quand Duo
revint à lui, il détacha Heero et le porta dans la
salle de bain pour le débarasser des derniers résidus
de sucre et nettoyer la substance collante accrochée à
sa peau.
Kitten.
Murmura doucement Duo, le nez enfui dans les cheveux brun de son
amant. L'eau chaude coulait sur leurs deux corps soudés l'un
à l'autre, lavant Heero tout en calmant son désir,
détendant leurs muscles encore tendu.
Duo coupa
l'eau et s'empara d'une serviette propre. Il sécha
délicatement son chaton de la tête aux pieds tout en
prenant soin, par ses caresses, de rallumer le désir presque
éteint du japonais. Il ne prit pas la peine de se sécher
lui-même, il voulait son Kitten. Il avait besoin de sentir
leurs deux corps s'unir pour, cette fois, jouir ensemble.
L'américain
prit son amant dans ses bras pour l'embrasser, faisant passer tous
ses sentiments, tout son désir dans ce baiser auquel Heero
répondit avec une passion égale. Faisant glisser ses
mains dans le dos du nippon, il caressa ses fesses avant de les
soulever. Heero vint nouer ses jambes autour de la taille fine de son
petit-ami, sans cesser de l'embrasser, alors que Duo le portait dans
le salon. Le brun ne savait pas pourquoi, mais Duo adorait faire
l'amour sur le fauteuil gonflable en plastique bleu qu'ils avaient
acheté l'été dernier – peut-être
parce-qu'il permettait les positions les plus érotiques! - sur
lequel il se retrouva assis avant même d'avoir pensé
« ouf ».
Lève-toi
mon petit Kitten. Demanda-t-il en lui caressant les cheveux.
Heero se
releva. Duo s'installa dans le fauteuil, parfaitement appuyé
contre le dossier, son sexe à nouveau dressé.
Viens.
Heero
s'installa sur les genoux de Duo, une jambe de chaque côté
de ses cuisses, face au natté. Ils se regardèrent
quelques secondes avant que leurs lèvres commencent à
se chercher, s'effleurant avant de se toucher. Peau contre peau.
Souffle contre souffle. Lentement, Duo laissa courir sa langue sur
les lèvres douces de son amant, demandant l'entrée de
sa bouche. Heero acceuillit la langue de son maître, sucant et
léchant le petit envahisseur, pendant que les mains de Duo
caressaient son dos, remontant jusqu'à son cou, où
elles détachèrent le collier de cuir et de gundamium.
Maître et Kitten laissèrent ainsi la place à Duo
et Heero, deux amants fou amoureux l'un de l'autre. Heero se
positionna afin d'acceuillir en lui la hampe dressée de son
natté, abaissant ses hanches pour s'empaler sur le membre. Il
le sentait pulser en lui, contre sa chair, dans sa chair. La bouche
de Duo se posa sur la gorge offerte du japonais, la mordant pour
étouffer ses gémissements.
Habitué
à la présence de l'américain en lui, Heero
commença à aller et venir sur le sexe palpitant de vie.
Ses coups de reins devinrent de plus en plus fort et il bougea
légèrement afin de trouver le meilleur angle de
pénétration. Il cria quand sa prostate fut atteinte.
Les hanches de Duo se mirent alors en action, se précipitant à
la rencontre des siennes dans un rythmes éffrené qui ne
cessa que lorsque les deux jeunes hommes se tendirent en hurlant. Duo
se libéra dans le corps d'Heero, tandis que ce dernier se
libéra entre eux. Il n'avait plus besoin de permission, Duo
lui avait enlevé son collier, il n'était donc plus son
esclave. Heero se laissa aller contre le torse de son amant avant de
s'endormir, la tête enfouie dans l'épaule chaude et
moite du châtain.
Le nez
d'Heero frémit, chatouillé par une délicieuse
odeur de nourriture. Pour la deuxième fois de la journée,
il sortit sa tête de son abris en oreiller. Il ne fut pas
surpris de ne pas sentir le contact, pourtant familier du collier sur
sa peau, après tout, il ne passait pas sa vie à le
porter. Un petit bruit attira son attention.
Duo, un
merveilleux sourire illuminant son visage, se tenait debout au pied
du lit, un plateau garni de deux assiettes remplies à ras-bord
dans les mains.
Ils avaient
pris une semaine de congès, et avaient bien l'intention d'en
profiter.
FIN
Ai-je
seulement le droit de demander une reviews?
À
vous de voir ^^
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