Handcuffs | By : Katoru87 Category: French > Anime Views: 1803 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: I do not own the anime/manga that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story. |
Auteur:
Katoru87
Couple: 4X3X4
Rating: NC-17
Genre: réponse
au défi de Kazusa: un lemon SM 3X4X3.
Disclaimers:
Les persos ne sont pas à moi, je ne fais que les emprunter à
leurs auteurs légitimes.
Handcuffs
Trowa goûta
sa sauce, un sourire satisfait sur le visage. Elle était
parfaite. Tout à ses occupations culinaires, il ne vit pas
Quatre sortir de leur chambre, arborant un sourire pervers qui ne
convenait pas du tout à l'image d'ange qu'on se faisait de
lui. Mais il fallait bien admettre que sur ce point, les gens se
trompaient lourdement. L'arabe n'avait rien d'un ange et il avait
bien l'intention de le prouver, une nouvelle fois, à son
petit-ami. Ce soir, ils allaient fêter dignement un double
anniversaire: cela faisait deux ans maintenant qu'ils étaient
ensemble et Trowa venait de fêter ses vingt-et-un ans. Le blond
se glissa doucement derrière son amant et le prit dans ses
bras.
Tu sais
que tu es sexy avec ce petit tablier?
Pourquoi
crois-tu que je le mets?
Oui, tu
le mets. Mais avec bien trop de choses en dessous!
Les mains de
Quatre dénouèrent le tablier pour se glisser plus
facilement sous le pull du français, caressant sa peau douce
et ses tétons déjà dressés. Le sourire de
Quatre s'accentua, si Trowa réagissait aussi vite, ça
promettait bien des délices pour la suite. Il allait pousser
plus loin son exploration quand Trowa l'arrêta, un peu à
contre coeur.
Quatre,
c'est l'heure de manger.
Ça
peut pas attendre un peu? Demanda le blond en léchant
sensuellement les lèvres du français.
Si on
mange, on sera bien plus en forme pour le dessert. Se contenta de
répondre Trowa en embrassant tendrement son amant, lequel
commençait sérieusement à être plus grand
que lui.
Cet argument
eu raison de Quatre qui s'installa à table pour faire honneur
au repas préparé par son amant français.
_ _ _
Quatre fut
le premier à jeter l'éponge. Il n'en pouvait plus et
pourtant, il n'avait même pas terminé son assiette. Voir
Trowa, si innocent face à lui, déguster sa viande en
léchant la fourchette plus longtemps que nécéssaire
était une torture qu'il ne pouvait plus supporter. Il quitta
sa chaise et s'approcha du brun. Arrivé près de lui, il
lui saisit brusquement le menton et l'embrassa à pleine
bouche, redécouvrant cette caverne chaude et humide dont il
connaissait le moindre recoin. Il aurait pu faire une carte
typographique de la bouche de Trowa si on lui avait demandé!
Trowa
répondit docilement au baiser. Il savait ce qui l'attendait et
il le craignait autant qu'il le voulait. Il sentit les mains de
Quatre passer sous son pull. Encore. Elles caressaient ses flancs,
son torse, ses mamelons durcis par le désir, puis elles
disparurent. Le grognement de déception qu'il poussa se perdit
dans la bouche de son partenaire quand Quatre décida de passer
à la vitesse supérieure. Il ne voulait pas rompre le
baiser, mais toute la raison qui lui restait lui ordonnait d'avoir
plus de contact avec la peau de Trowa. Il avait besoin de sentir la
peau de Trowa contre la sienne. C'était tellement fort qu'il
fit la seule chose qui perçait encore les brumes de son
esprit, il déchira le pull à col roulé.
Trowa
frissonna en sentant l'air frais du salon sur sa peau. L'absence du
pull montrait combien il appartenait à Quatre, corps et âme.
Le col dissimulait un collier de cuir noir sur lequel était
inscrit en lettres complexes et dorées: propriété
de Quatre Raberba Winner. Sa peau était marquée par les
suçons et était ornée de quelques bleus. Une
fine chaîne en argent courait sur son torse, reliant les
piercings de ses tétons. Quatre adorait ces deux piercings,
d'ailleurs, ils étaient son oeuvre exclusive. Les marques, les
preuves que Trowa était à lui. Personne n'avait le
droit de toucher le français. Personne. Quatre avait horreur
de prêter ses affaires, un homme l'avait appris à ses
dépends.
Cet homme,
un petit diplomate sans importance, sans charisme, sans ambition et
sans avenir, l'exemple type du raté notoire, avait osé
caresser les fesses fermes et musclés du français.
Trowa l'avait giflé. Quatre avait tout vu. S'en était
suivi une longue séance de torture physique et psychologique.
L'homme s'était jeté du haut d'un immeuble peu de temps
après et Trowa n'avait jamais rien su de ce qui s'était
passé.
Pour
l'instant, Quatre avait autre chose en tête que de remuer le
passé. Ça lui faisait toujours un rival de moins non?
En admettant que Trowa ait un jour l'idée de le tromper, ça
faisait un candidat possible de moins.
La
respiration de Trowa s'accéléra encore quand Quatre
glissa sa main sous son pantalon, sous l'élastique de son
boxer pour caresser la partie la plus sensible de son anatomie.
Rapidement, les vêtements ne furent plus qu'un souvenir. La
nudité magnifique de Trowa était le plus beau des
tableaux, en tout cas, le favori de Quatre. Le blond fut d'ailleurs
incapable de résister plus longtemps. Décidémment,
il se trouvait bien impatient ce soir. Il souleva Trowa et le porta
dans leur chambre.
Trowa ne fut
pas surpris de voir des chaînes pendre dans un des coins de la
pièce, qu'elles n'y soient pas aurait été le
plus étonnant. Il allait passer à la casserole façon
Quatre. Une méthode aussi délicieuse que vicieuse.
Quatre déposa son précieux fardeau sur le lit et reprit
ces lèvres tentatrices dans un baiser charnel, dévorant
qui les laissa tous les deux à bout de souffle. Les lèvres
de l'arabe s'attardèrent sur celles du français, les
frôlant, liant leurs souffles qui se faisaient saccadés,
avant de descendre pour s'attarder sur le cou tendre à demi
caché par le collier. Laissant un nouveau suçon
derrière lui, Quatre fit courir sa langue sur une épaule
douce et ferme traçant un sillon humide, brillant et ardent
qui alla se perdre dans le doux creux d'un coude, avant de descendre
encore plus bas. Arrivé au poignet, le blond remplaça
sa langue par un bracelet de cuir noir orné d'une boucle en
acier. Il fit de même avec l'autre bras et les deux jambes,
préparant son amant pour la suite des évènements.
Si Trowa était déjà complètement perdu
dans son plaisir, ce n'était pas le cas de Quatre qui n'avait
pas oublié ses projets initiaux. Encore une fois, il souleva
Trowa dont les jambes vinrent se nouer automatiquement autour de sa
taille et l'emmena vers « le » coin de la
chambre.
Le français
se laissa guider jusqu'aux chaînes, il avait l'habitude. Mais
contrairement à ce qu'il avait cru, il ne se fit pas enchaîner
et à voir la tête de Quatre, ce dernier venait
brusquement de changer d'avis, trouvant une idée qui risquait
de s'avérer bien plus délicieuse pour tous les deux.
Ils s'allongèrent par terre, Quatre dominant Trowa de toute
son poids et de toute sa taille. Le jeu pouvait commencer, il n'y
avait plus ni Quatre, ni Trowa, mais un maître et son esclave.
Écarte
les jambes mon coeur! Ordonna Quatre, son sourire lubrique de
retour.
Trowa
s'éxécuta docilement. Il ne savait pas encore ce
qu'avait prévu de faire son amant mais il commençait à
sérieusement appréhender le début des « jeux ».
Quatre ôta sa chemise offrant son torse blanc et imberbe à
la vue du français et sourit en voyant le désir
enflammer les magnifiques yeux verts. Depuis qu'ils étaient
ensemble, Trowa s'était sacrément dévergondé!
C'est
bien mon coeur. Met tes bras au dessus de ta tête...
Qua....
Chuuuuuuuuut.
Tais-toi mon chéri. Tu n'as pas le droit de parler ce soir!
Là. Ne bouge plus.
Quatre se
leva pour aller fouiller dans un des placards. Il revint quelques
minutes plus tard auprès de son esclave allongé par
terre, une boîte en bois dans les mains. Quand l'arabe voulait
« jouer », il préparait tout le
nécéssaire à l'avance, mais ce soir là,
le changement brutal dans ses idées l'avait obligé à
réarranger rapidement le contenu de la boîte. Ça
lui avait fait perdre un peu de temps mais tant pis, ils avaient
toute la nuit.
Ce soir
Trowa, je m'occupe de toi.
Il sortit de
la boîte un harnais buccal et une solide chaîne d'acier.
Il bayonna son amant et se servit de la chaîne pour lui ligoter
les poignets avant de s'installer entre les cuisses largement
écartées du français, profitant de la vue.
Les
piercings aux tétons de Trowa semblaient le narguer et Quatre
commença à jouer avec, tirant sur les anneaux avec ses
dents, les léchant, les suçant, les pinçant sans
répit. Sous l'arabe, Trowa se cambrait, la douleur se mêlant
au plaisir, l'accentuant. Le blond finit par adandonner le torse de
son esclave, embrassant le torse, le ventre et léchant le
nombril il finit par arriver à l'entrejambe du brun. Il
caressa la peau douce à l'intérieur des cuisses et
laissa ses lèvres glisser jusqu'aux bourses qu'il embrassa
amoureusement, faisant frémir le français dont
l'érection commençait à se faire douloureuse.
Quatre suçota le gland avant d'engloutir complètement
la hampe dressée du français, lui imprimant un –
trop – lent mouvement de va-et-vient. Trowa n'en pouvait plus.
Si ça continuait comme ça, il allait jouir dans la
bouche de son maître. Le harnais l'empêchait le crier son
plaisir, de hurler le nom de son maître. Ses hanches se mirent
en mouvement, immédiatement stoppées par Quatre.
Non mon
coeur. Pas de ça ce soir. Au fait, j'oubliais, tu n'as pas le
droit de jouir sans mon autorisation! Compris?
Le français
lui répondit d'un mouvement de tête. Ça aurait
été trop facile s'il avait pu jouir quand il en avait
envie. Il connaissait trop bien Quatre, pour croire qu'il l'aurait
pris en pitié. Il leur arrivait de faire l'amour normalement,
comme deux amants. Mais leurs ébats étaient, le plus
souvent, pimentés par ce genre de pratiques sado-masochistes
que Quatre lui avait fait découvrir. Oh que non, l'arabe
n'était pas un ange!
Bien!
Quatre
reprit ses activités sur le membre palpitant du français,
en un mouvement trop lent pour permettre à Trowa d'atteindre
la jouissance, mais le gardant quand même au bord de l'orgasme.
Le français faisait appel à tout son self-contrôle
pour ne pas se laisser aller. Il n'en avait pas l'autorisation. À
l'instant précis où il ne tint plus, quelque chose vint
enserrer son sexe. Quelque chose de fin, de métallique et de
froid: un anneau pénien. Le genre d'anneau qui garantie une
érection constante – même après
l'éjaculation – et interdit l'extase. Le genre d'anneau
que Quatre affectionnait tout particulièrement, car ils lui
donnaient encore plus de contrôle sur Trowa. Impossible de
jouir avec un accessoire pareil et impossible pour Trowa de s'en
défaire sans provoquer la colère de son maître.
Le jouet parfait!
Son esclave
était prêt, l'héritier de l'empire Winner allait
pouvoir passer aux choses sérieuses. Saisissant un tube de
lubrifiant, il versa une grande quantité du liquide froid et
légèrement gluant sur sa main et recommença à
jouer avec les tétons percés de son amant pendant que
sa main lubrifiée alla se perdre entre les cuisses du
français. Il mordilla un téton, pinça l'autre de
sa main libre faisant rouler l'anneau de métal dans la chair
malmenée du brun dont les gémissements étouffés
par le baillon devenaient de plus en plus bruyant, de plus en plus
excitant. Les doigts coquins de Quatre tracèrent des cercles
concentriques sur les fesses de Trowa, re resserant de plus en plus
autour de l'entrée de son intimité. Lorsque le premier
doigts le pénétra, Trowa se cambra violemment. Se
répétant comme un mantra qu'il ne pouvait jouir, il
résista aux assauts de son maître. Quatre ne perdit pas
de temps et inséra tout de suite deux doigts supplémentaire
dans le corps de son amant, qui gémit de douleur, continuant
son travail sur les muscles internes du brun. Il abandonna le torse
en sueur du français pour se concentrer davantage sur ce que
faisait sa main. Ses doigts entamèrent un lent mouvement de
va-et-vient pour habituer Trowa à cette intrusion pourtant
familière et, quand les hanches du français se mirent
en mouvement, ils s'écartèrent en un mouvement de
cisaille qui étira les muscles du brun. Quatre continua
plusieurs minutes, pour préparer son esclave à la suite
et aussi pour l'entendre gémir de plaisir.
Trowa était
perdu dans un monde où penser est une hérésie,
réfléchir une folie. Son monde s'était réduit
à lui, Quatre, les doigts en lui qui l'étiraient, les
chaînes pendues au plafond et qui se balançaient
doucement et à cette chambre, ce sol sur lequel il était
allongé. Il n'avait pas le droit de jouir, pas le droit de
parler, mais qu'est-ce que c'était bon. Quatre lui faisait
découvrir des plaisirs chaque jour – et surtout chaque
nuit – renouvelés, il n'aurait échangé sa
vie ou son amant pour rien au monde. Il aurait voulu que Quatre
continue encore et encore à lui donner du plaisir comme il le
faisait en cet instant, mais les doigts se retirèrent
brusquement, ne laissant à Trowa qu'une impression de vide et
de frustration insupportable. La main de Quatre remonta, caressante,
jusqu'à son cou où elle toucha le collier de cuir,
redessina le contour légèrement en relief des lettres.
Tu es
moi! Le ton était possessif. Sans appel! À moi pour
toujours.
En réponse,
Trowa gémit. Il avait compris. Il le savait depuis toujours,
depuis qu'il avait croisé le regard trop clair du petit arabe
– enfin, « l'anciennement » petit arabe
qui était aujourd'hui aussi grand que lui et qui commençait
même à le dépasser – en sortant de son
Gundam, prêt à se rendre.
Quatre défit
le harnais qui muselait son amour pour l'embrasser passionnément.
Pour reprendre à nouveau possession de cette bouche qui était
sa drogue, son nirvana. Trowa était son enfer et son paradis:
quand il le possédait toute ses pensées quittaient son
esprit, quand le français n'était pas là,
l'arabe vivait dans l'angoisse constante de le perdre. Il avait déjà
pensé à l'enfermer dans leur appartement, mais le brun
était un magnifique animal sauvage et comme eux, il avait
besoin de liberté. Quatre avait donc dû se résoudre
à le laisser travailler, à condition qu'il porte ce
collier. Trowa avait accepté. Ils durent mettre fin au baiser
pour respirer, mais à peine Trowa avait aspiré une
goulée d'air que Quatre l'embrassa à nouveau. Le brun
avait l'impression que son maître tentait de souder leurs deux
bouches par la seule chaleur du baiser.
Quatre se
releva d'un coup, abandonnant par terre son esclave à demi
ligoté et pantelant, pour aller se pencher au-dessus de la
boîte en bois. Il se baissa de tel sorte que Trowa pouvait
admirer ses fesses et saisit un objet qu'il cacha derrière son
dos avant d'aller s'agenouiller entre les cuisses écartées
de l'ancien clown. Celui-ci ne chercha même pas à savoir
ce que lui cachait son amant, ça ne pouvait être qu'un
« jouet ». Doucement, les mains de Quatre
caressèrent l'intérieur des cuisses d'albâtre, de
plus en plus haut, de plus en plus indiscrètes, trois doigts
retrouvèrent leur place dans l'intimité de Trowa pour
une dernière séance d'étirement avant d'être
retiré. Trowa serra les dents en sentant un objet pousser
contre son entrée, la dilatant, l'ouvrant encore plus que ne
l'avait fait les doigts de Quatre. Il gémit plus fort, de
douleur et de plaisir en sentant l'objet le pénétrer
entièrement. Quoi que ce soit, c'était en lui. C'était
en lui et les vibrations provoquées par l'objet le firent se
cambrer en criant.
MAÎTRE!
Les
vibrations étaient lentes, torturantes. Son érection
devint encore plus douloureuse et l'anneau encore plus sérré.
Il haletait, cherchant son souffle et la volonté de ne pas
jouir. De toute façon il n'aurait pas pu avec l'anneau qui
enserrait son membre, mais dieu savait combien il avait besoin de se
libérer. La sueur perlait sur tout son corps, il gémissait,
balançant sa tête à droite et à gauche,
criant le nom de son maître quand l'objet – certainement
une balle – vint cogner contre sa prostate, envoyant des ondes
de plaisir dans tout son corps.
S'il
vous plaît, Maître! Je..j'ai besoin de....
Calme-toi
mon ange! Ce n'est pas encore fini. Dit Quatre en caressant
doucement la joue de son esclave.
Le blond
déboutonna son pantalon, devenu trop étroit, et le jeta
à un bout de la chambre. Il était désormais nu à
son tour et cette vision libertine de Trowa au bord de l'orgasme,
haletant, suppliant pour sa délivrance, lui donna envie
d'accélérer les choses. Pour lui, bien sûr. Il
rampa sensuellement sur le corps de son amant, pour que la tête
de Trowa se retrouve entre ses jambes.
Maintenant
suces-moi, esclave! Ordonna Quatre.
Le blond
aida Trowa à soulever sa tête, lui maintenant la nuque à
la bonne hauteur. Trowa commença par embrasser doucement le
bout du sexe palpitant devant lui, avant de le lécher sur
toute sa hauteur, lentement. C'était sa petite vengeance.
Plus
vite esclave!
Trowa prit
alors la totalité du membre dans sa bouche, luttant contre sa
propre envie de jouir et contre les trop agréables sensations
provenant de la balle, commençant par un lent mouvement de
haut en bas, qu'il accéléra en sentant les mains de son
maître se crisper de plaisir sur sa nuque. Il laissa courir sa
langue sur ce membre doux et chaud qu'il connaissait aussi bien que
le sien propre maintenant. Tous les muscles de l'arabe se tendirent
et il se libéra dans la bouche chaude de Trowa dans un cri de
pure jouissance.
Quatre
revint à lui quelques minutes tard. Il constata avec amusement
que Trowa avait toujours son sexe en bouche et que ledit membre était
à nouveau dur.
Très
bien mon coeur, puisque que tu veux continuer à jouer....
Quatre prit
une autre balle, qu'il inséra, comme la première dans
le corps de Trowa. Le français se raidit. La seconde
balle....ses vibrations étaient plus rapides que la première.
Il ne tiendrait plus longtemps.
Maître!
S'il vous plaît! Je...
Quatre le
fit taire d'un baiser passionné avant d'insérer une
troisième balle à l'intérieur de Trowa. Ses
vibrations étaient identiques à celles de la deuxième.
Rapides. Trowa gémissait de plus en plus fort. Les balles se
relayaient pour atteindre sa prostate. Il essaya d'imaginer tout un
tas de chose qui pourrait le calmer, aucune ne fonctionna. Il avait
tellement besoin de jouir qu'il en avait mal. Il savait que supplier
ne servirait à rien, son maître lui donnerait sa
permission quand, lui, en aurait envie. Mais Trowa avait...
C'est
bon, mon ange, tu peux jouir! Dit Quatre en retirant l'anneau.
Trowa se
libéra en criant. Mais ce n'était pas encore la fin du
jeu. À peine l'anneau avait-il été enlevé
qu'il revint en place, bloquant à nouveau Trowa qui cria de
frustration.
Non
bébé, ce n'est pas encore fini! Le sourire de Quatre
était celui d'un sadique.
Trowa,
n'ayant pas joui complètement, était toujours
extrêmement dur, mais cette pseudo-jouissance lui permettrait
de tenir encore un peu. Jusqu'à ce que son maître décide
de se montrer enfin clément. Les balles dans son corps se
mirent à vibrer plus fort et le français se cambra en
hurlant. Quatre ne perdit plus de temps, lui non plus ne pouvait plus
attendre. Il s'agenouilla au-dessus de Trowa et retira l'anneau qu'il
jeta par terre. Positionnant son entrée au-dessus du membres
impatient de Trowa, il descendit lentement, s'empalant peu à
peu, ses gémissement allant crescendo. Trowa encercla son cou
de ses bras liés par les poignets, l'encouragenat à
bouger. Le blond ne se le fit pas dire deux fois. Soulevant doucement
son bassin, il redescendit sur le membre tout aussi doucement. Le
plaisir leur fit rejeter la tête en arrière, à
tous les deux. Quatre souleva ses hanches et les abaissa de plus en
plus vite, s'empalant un peu plus à chaque fois sur la hampe
dressée de Trowa. De plus en plus vite. De plus en plus fort.
Les sensations devenant plus intense à chaque à-coups.
Quatre hurla, répandant entre leurs deux corps son sperme
blanc laiteux et collant. Sentant son amant se ressérer autour
de lui, Trowa jouit à son tour. Vraiment cette fois-ci.
Quand Trowa
rouvrit les yeux, il était dans le lit, blotti dans les bras
de son amant qui le regardait avec une inquiétude mêlée
du soulagement de le voir revenir à lui.
Ça
va mon coeur? Demanda-t-il en embrassant tendrement le front du
brun.
Je
crois oui. Mais qu'est-ce qui s'est passé?
Tu t'es
évanoui. Quatre parlait doucement, comme s'il avait peur. De
quoi? Que trowa lui en veuille?
C'est
vrai?
Oui.
J'ai même eu peur. Je t'ai libéré, je t'ai donné
un bain, rien ne t'a réveillé.
Désolé
de t'avoir fait peur, Quatre.
Ils
s'embrassèrent tendrement. Ils étaient à nouveau
Quatre et Trowa, deux jeunes amants fous amoureux l'un de l'autre. Le
blond était à nouveau le Quatre possessif et
excessivement jaloux qu'il était devant tout le monde et Trowa
était à nouveau le jeune homme peu bavard qui
supportait la jalousie et la possessivité extrême de son
petit-ami.
Trowa?
Quatre avait chuchotté. Son amant, son homme était sur
le point de s'endormir dans ses bras.
Hum?
Joyeux
anniversaire, mon Trowa.
Toi
aussi, mon Quatre.
FIN
Bon
maintenant, j'ai plus qu'à changer de nom, de nationalité
et de pays. Mes excuses à Quatre et Trowa mais, c'est Kazusa
qui m'a forcé (fortement soufflé l'idée
puisqu'elle ne peut pas admettre m'avoir forcé ^_~). Oserai-je
vous demander des reviews pour cette chose?
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