Je taime mais ne leur dis pas | By : AdamPark Category: French > Manga Views: 13 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Tout appartient Yoichi Takahashi de Captain Tsubasa sauf l'histoire que j'ai crite pour le plaisir. Je ne possde aucunement le Fandom ne gagnant pas d'argent. Dmarre en 2010. |
NDA : ce chapitre se trouve normalement au cours du chapitre 08. Mais comme je tente de bien centrer l’histoire sur le couple principal Tsubasa/Sanae avec leurs pensées, j’ai pris la décision de faire des chapitres à part quand je me centre sur Sakura, tout en précisant à quel moment ça se passe afin de conserver la fluidité de l’histoire principale. Si vous ne l’aimez pas, sautez ce chapitre.
Pendant ce temps, le prince des pelouses et la fleur de cerisier étaient à l’abri des oreilles indiscrètes : La chambre de Jun. Vérifiant qu’il n’y avait personne qui les suivait dans le couloir, Jun poussa un soupir après avoir fermé la porte de sa chambre. Il se tourna vers la jeune fille en s’adossant contre la porte, les bras croisés.
Jun : Je suis ton ami, Sakura et je me fiche complètement ce que pense la personne qui t’a faite ça. Alors dis-moi, qui t’a refaite le portrait ?
Sakura : Je ne peux pas, Jun.
Jun : Sakura, tu ne dis rien aux autres pas même Wakabayashi et Misaki comme si tu as peur d’être jugée. Ce que je veux, c’est que tu aies confiance en moi et que tu me parles de tout. Je ferai de même. Alors dis-moi qui t’a fait ça et ne me dis pas que tu ne peux pas.
Sakura : … Elle me déteste certes mais…
Jun leva une main : Je te coupe là. C’est bien une fille et il n’y en a qu’une seule ici qui t’a malmenée… Nishimoto.
Sakura, paniquée : JUN !! (Elle s’approcha de lui et s’agrippa à son t-shirt) N’en parle pas à Genzô, s’il te plait !! Il va péter un plomb !! Il a déjà giflé une fille et c’était Anna Mayuko qui prétendait l’aimer.
Jun la prit par les épaules : Tu ne crois pas que moi aussi, je vais péter un plomb ? En fait Sakura, tout le monde le fera.
Sakura le supplia avec son air de chien battu : S’il te plait, Jun. Ne lui dis pas… Promets-le-moi !!
Le jeune homme soupira mais il ne pouvait pas faire mieux que de garder le silence. Il ne pardonnerait jamais Yukari d’avoir osé de lever la main sur la fleur de cerisier. Il se contenta de l’attirer contre sa poitrine et de glisser ses bras autour d’elle. Il lui caressa les cheveux pour la rassurer. Sakura se laissa faire, sachant qu’elle était en sécurité et qu’elle ne risquait pas d’être blessée par son nouvel ami.
Jun : Je ne dirai rien mais un jour ou l’autre, Nishimoto passera un sale quart d’heure !!! Crois-moi. Qu'a-t-elle dit pour que tu te retrouves amochée ? Et ne tente pas me cacher la vérité !!
Sakura se calma : Elle m'a dit que je ne mérite pas l’amitié de l’équipe, que je suis une allumeuse et une catin car elle ne croit pas à mon histoire d’abus sexuels. Elle m'a traitée de sale menteuse. Elle m'a même conclue que je devrais cesser de faire semblant d’être malheureuse et d’être la victime ainsi de me contenter de Wakabayashi uniquement puisque que je l’ai soi-disant corrompu sans vergogne et de laisser tranquille les autres.
Jun, furieux : Alors là c'est trop fort !! C'est elle qui ne mérite pas notre amitié ! On fait ce qu'on veut ! Au fait, Wakabayashi n’est pas le seul à avoir giflé une fille… Moi aussi, je l’avais faite et c’était Yayoi qui l’avait ramassée parce qu’elle s’était mise entre deux hommes. C’était un duel entre Tsubasa et moi au cours d’un match du championnat national benjamin. Et puis je ne comprends pas pourquoi Nishimoto te voit d’un mauvais œil.
Sakura se retira de ses bras : La jalousie simplement. Vous vous souciez de moi mais pas d’elle.
Jun roula les yeux d’exaspération : C’est ridicule ! Oui, Sakura, on se soucie de toi car tu es spéciale et tu comptes beaucoup pour Wakabayashi et Misaki. Et tu es aussi importante pour moi parce que tu es la deuxième personne qui s’inquiète énormément pour moi. Et je refuse de te voir malheureuse. De mon avis, je pense plutôt que Nishimoto cherche à prouver quelque chose sur toi.
Sakura fronça les sourcils : Quelque chose ? (Elle eut un déclic dans son cerveau car elle l’avait déjà vécue) Ça ne va pas recommencer !!
Jun fronça les sourcils : Recommencer quoi ?
Sakura : Eh bien… C’est une histoire d’allumeuse. Je crois qu’elle cherche à savoir si j’en suis une.
Jun rétorqua sèchement : Tu n’en es pas une. Pas d’après ce que j’ai entendu de Wakabayashi. Il te connaît trop bien.
Sakura, incertaine : Tu le penses même si j’ai tendance à embrasser près de la bouche mes amis ?
Jun : Bien sûr ! Ne sois pas aussi incertaine, Sakura car personne te reproche tes actes. Tu as juste une façon de montrer ton affection qui n’a pas l’air déranger tes « Grands frères ». Je suis certain que Wakabayashi soit très conscient de tes sentiments que tu as pour lui malgré sa jalousie. Bref, je voulais aussi m’excuser…
Sakura fronça les sourcils : Pourquoi ? Je ne comprends pas.
Jun : Je ne savais pas du tout qu’un médecin t’avait menti sur la santé de ton petit frère car je n’aurai pas dit que je ne mentirais pas sur les diagnostics de la santé.
Sakura : Je vois. Genzô lui avait touché un mot…
Une personne passa près de la porte et elle entendit des voix. Elle décida de les écouter afin de découvrir des choses qu’elle pourrait utiliser pour éloigner définitivement la gêneuse.
Jun : Je ne savais pas…
Sakura le coupa : Tu ne pouvais pas deviner. Ce médecin n’était pas le seul à avoir menti, Jun. Mes parents m’avaient eux aussi dupé uniquement parce que je n’étais pas celle qu’ils voulaient. Je suis une fille mais ils voulaient un garçon. À cause d’eux, j’ai été élevé comme un garçon qui pratiquerait le football. J’en fais depuis que j’avais su marcher. Mais comme je suis une fille, j’ai vu des scènes obscènes que je n’aurai jamais dû voir.
La personne, qui se trouvait derrière la porte, avait reconnu les voix de Jun et de Sakura. Furieuse, elle quitta sa position pour aller avertir Yayoi sans écouter la suite de la conversation et en imaginant les pires scénarios. Pendant ce temps, la conversation entre Jun et Sakura continuait…
Jun fronça les sourcils : C'est-à-dire ?
Sakura, dubitative : T’es sûr que ça ne te dérange pas de savoir ce que j’ai vraiment vécu ?
Jun la rassura : Non Sakura. Je te l’aurais dit. De toute façon, pourquoi garder tout ce que tu as sur le cœur pour toi si tu ne veux pas le dire à Wakabayashi ou à Misaki ? Je suis ton ami, Sakura et je veux partager tes peines. Allons-nous asseoir sur le lit car rester debout longtemps va nous fatiguer les jambes.
Mais la fleur de cerisier s’agrippa à lui de crainte que ses jambes flageolent. L’as de verre se contenta de la guider vers le lit et l’aida à prendre la place assise. Le jeune homme s’assit donc à ses côtés, constatant qu’elle ne le lâchait pas et qu’elle tremblait de peur. Pendant ce temps, Yukari prévint Yayoi ce qu’elle croit avoir entendu.
Yayoi, exaspérée : Je ne te crois pas, Yukari ! Comment peux-tu faire une telle chose pareille !!! Si Jun veut parler à Sakura en privé, c’est son droit !! Tu n’as donc aucun respect de vie privée ?!
Yukari protesta : Mais…
Sanae : Assez, Yukari, tu vas trop loin. Tu es parano ! Il me semble que Sorimachi t’a dit de la lâcher !
Tarô, excédé : N’as-tu donc aucun respect pour Wakabayashi, Dan et Dana ?! Sakura est plus que sa petite amie et elle est mère !!
Yayoi : Et s’il se passe quelque chose entre Jun et Sakura, je ne serai pas blessée ! Même si ça me brise le cœur, je sais que ce ne sera pas la faute de Sakura car elle n’aurait rien demandé et Jun m’aime. S’il veut expérimenter, je ne pourrais pas l’empêcher…
Dépitée de se faire rembarrée, Yukari décide de retourner afin d’essayer d’écouter la conversation mais elle rata la partie la plus importante de la vie de Sakura. Entre temps, Jun et Sakura étaient toujours en train de discuter sur le lit. Le jeune homme la rassura et lui certifie qu’il voulait tout savoir même s’il serait dégoûté par ce qu’il entendrait. Sakura n’eut d’autres choix de se calmer et de relâcher son étreinte.
Jun reprit : Quelles scènes obscènes as-tu vu ? À quel moment as-tu subi des violations sexuelles de la part de tes parents ? Désolé mais tout le monde a entendu ce que tu disais à Hyuga…
Sakura soupira : Je vois mais ne me coupe pas avant que j’ai terminé. Raconter ça en détails n’est pas simple pour moi. (Jun acquiesça sans prononcer un mot et il était toute ouïe) Les scènes obscènes que mes parents m’obligeaient à assister sont des représentations d’ordre sexuel. Je ne pouvais pas détourner mon regard de leurs ébats au risque de me faire violer. Si je ne parlais pas les douze langues correctement, je risquais aussi d’avoir des rapports sexuels et des coups de poing ou de pied. J’ai subi des violations sexuelles de la part de mes parents lorsque je faisais mes devoirs de langues étrangères à la moindre erreur. Ils m’ont obligée de ne porter aucun vêtement de sorte que mon père puisse insérer ses doigts en moi sans que je perde ma virginité au départ tandis que ma mère passait son temps à me titiller les pointes de mes seins. Lorsque mon père avait besoin de se vider de sa semence, il retirait ses doigts de mon sexe, m’arrachait de la chaise pour m’allonger sur le bureau que ma mère avait vidé et m’écartait les cuisses. Avec l’aide de ma mère qui me maintenait les jambes écartées en l’air, il frottait son pénis sur ma vulve ouverte sous ses yeux tout en m’obligeant de réciter mes leçons sans faute, mais un jour, j’ai fait une erreur dans mes leçons… Mon père m’a pénétrée brutalement, ne me laissant même pas m’habituer à sa présence, et m’a ôtée ma virginité jusqu’à qu’il jouisse sa sève à l’intérieur de moi. Ensuite ma mère remplaça mon père et elle léchait mon sexe. Mon père, lui, n’en restait pas là et chevauchait ma mère sous mes yeux dans ses deux orifices. (Jun se sentit à l’étroit dans son pantalon et il se rendit compte qu’il bandait juste en écoutant son amie raconter sa vie sexuelle forcée. Il ne put s’empêcher d’aimer cette sensation.) J’avais toujours agi comme une petite fille très obéissante car mes parents m’avaient même obligée de coucher avec le hollandais Brian Kleifort, l’uruguayen Ryoma Hino, mon « Grand Frère » et l’italien Gino Fernandes, mon autre « Grand Frère ». À cause de ça, je me suis juré de ne plus jamais revivre ça après la mort de mes parents. Et c’est à cause de ça que je ne laisse pratiquement aucun garçon me toucher sans que je raidisse mon corps.
Jun, choqué : C’est horrible !! C’est une famille de fous !! Ça explique pourquoi tu es devenue ce que tu es maintenant. Indomptable, très têtue, froide en apparence… Ce n’est pas une enfance à vivre !! C’est du viol !!
Sakura : Je sais… Mais je ne peux même plus changer ce que je suis… C’est l’éducation de mes parents que j’ai reçue.
Jun : Ryoma Hino et Gino Fernandes t’en ont-ils voulu de ce que tu leur as fait subir sous la contrainte de tes parents ?
Sakura : Quand ils ont su comment mes parents m’élevaient, ils ne m’en ont jamais voulu et ils m’ont pris sous leur aile autant de fois qu’ils pouvaient. Ils avaient même continué à coucher avec moi pendant tout mon séjour, bien que mon père les avait obligé à avoir aussi des rapports sexuelles avec lui. Et Brian Kleifort… Il en a voulu à mon père pour ses viols.
Jun : Il ne t’en a pas voulu ?
Sakura : La première fois oui il m’en a voulu mais quand il a découvert comment mes parents me traitaient, il m’a pardonné. Après leur mort en Italie, j’étais partie en Suède avec mon petit frère Dan. Et c’était la première fois que j’étais tombée amoureuse de Stephan Levin mais il était déjà fiancée. Je le lui avais jamais dit mes sentiments car sa fiancée Karen était ma première amie. Quant à Karl Heinz Schneider, c’est lui qui voulait m’offrir sa virginité car il ne voulait coucher avec celles qui lui couraient après. Karl Heinz avait compris que je pouvais coucher avec lui sans en être amoureuse et que mon cœur appartenait à Stephan Levin jusqu’à que je finisse par être amoureuse de Genzô après lui avoir collé trois râteaux.
Jun : Et Wakabayashi sait tout ça ?
Sakura: Oui, j’ai mis Genzô au courant de tout ça avant que je me donne à lui par amour. Genzô ne m’avait jamais abandonné.
Jun : Et Misaki ?
Skura : Il est aussi au courant. C’est pour ça qu’il nous aide beaucoup avec les enfants dès l’occasion se présente.
Près de la porte, Yukari avait entendu les dernières paroles de la fleur de cerisier à son insu. Elle avait du mal à croire cela mais ça ne changerait pas grand-chose pour elle : Sakura restait toujours l’allumeuse et la catin de service. Mais la manager, mise à part par les autres, n’avait pas conscience que c’était la vérité et ce que Sakura était réellement capable de faire. Elle allait un jour apprendre à ses dépens qu’elle serait fautive de son état dépressif mais à un degré bien plus grave que ça. Ayant eu assez d’écouter, elle s’en alla sans savoir la suite de la conversation.
Sakura : Mais maintenant je comprends mieux pourquoi tu ne me lâches plus. Jun, je sais que tu vas bien alors je n’ai plus à m’inquiéter.
Jun la serra dans ses bras : Et moi, je n’ai pas envie de te laisser toute seule. Si tu as besoin de parler de tout, je suis là.
Sakura : Merci Jun.
Jun : Y a-t-il quelqu’un qui avait su que tu avais subi ces vices sexuels ?
Sakura : Oui. Gino Fernandes l’avait découvert par hasard. Il était à la fois choqué et furieux que mes parents aient osé de me faire ça. Il a même vu mon père jouir de sa sève en moi et ma mère me lécher le sexe. Mais au moment où mon père allait sauter ma mère, il était intervenu.
Jun : Si j’avais vu ça, je serai outré et j’aurai appelé la police.
Sakura : C’est ce que Gino avait fait mais mes parents l’avaient traité de menteur. Et l’affaire avait été étouffée car nous sommes une famille ancestrale et mes parents ne se sont pas gênés de continuer leurs vices. Cependant j’avais payé cher cette découverte car mon père avait continué à jouir en moi mais il s’était mis en tête de me pilonner l’anus… Et il l’avait fait pour la première fois, me pénétrant d’un coup sec sans prévenir et accélérant la cadence de ses va et vient sans se soucier de ma douleur ni de ma virginité anale jusqu’à qu’il se vide de sa semence dans mon rectum. Ma mère ne cessait de titiller mes seins pendant tout l’acte sexuel puis elle prenait ma place pour que je les regarde faire. Le pire est que mon père s’était aussi mis en tête d’obliger Gino de coucher avec lui. Et il en était parvenu. Brian et Ryoma avaient subi les premiers la même chose que Gino.
Jun : Les malades !! C’est tellement écœurant !! (Il la sentit pleurer) Pleure, Sakura. Relâche-toi. Ne garde plus jamais cette peine en toi !! Je veux que tu viennes me voir quand tu veux parler de ce qui te tracasse même si ça concerne Nishimoto.
L’as de verre n’avait pas lâché son amie même quand il s’allongeait pour détendre les muscles sur le lit. Il la gardait dans ses bras serrés et lui caressait les cheveux, se fichant s’il la trouvait complètement allongée sur lui malgré son érection. Sakura ne bougeait pas malgré ses pleurs car elle sentait le renflement du pantalon de son ami, signe qu’il avait le sexe dur comme elle avait toujours senti lorsqu’elle était dans les bras de ses « Grands frères » qu’elle tenta d’ignorer.
Jun : Sakura, as-tu couché avec Misaki ? Sache que je ne te juge pas…
Sakura renifla : … Oui et c’est aussi avant que je couche avec Genzô. Jun, Genzô sait que je ne peux pas m’en empêcher à cause de cette éducation et il prend beaucoup sur lui. Tout ce qu’il veut, c’est que je me sente bien dans ma peau même si ça inclut que j’ai le sexe avec un autre.
Jun : Tu sais qu’il n’est pas un saint…
Sakura : Je le sais mais il l’a accepté par amour pour moi.
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