Brisé | By : kokoroyume Category: French > Harry Potter Views: 7487 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
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Brisé
Chapitre 7
31 juillet
Potter ne me croit pas.
Ce damné, foutu, Harry
Potter ne me croit pas !
Et il a la prétention de
vouloir faire de moi
son chien obéissant, n’hésitant pas,
comme un pauvre lâche, à lever sa baguette sur moi ! Pour une satané
vengeance alors qu’il-
Pauvre fou. Ton séjour à
Azkaban t’a rendu bien crédule si tu as sérieusement pensé qu’il empêchait ton
exécution par bonté d’âme. Il a traversé une guerre où il a perdu beaucoup, et
aussi par ta faute. Considère-toi chanceux de ne pas faire face à un détraqueur
à l’heure actuelle.
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3 août
Il ne me sera pas donné de
pouvoir comprendre Potter.
Je suis ici depuis quatre
jours et il semble tout simplement… m’ignorer. Il était sérieux lorsqu’il m’a
offert chambre et laboratoire, un luxe – il serait stupide le nier – auquel je
n’aurais plus cru pouvoir goûter. Mais je ne dois pas oublier la facilité avec
laquelle il a coulé l’Aegrotus sur moi ; on ne sait jamais à quoi
s’attendre avec un Potter, et on finit souvent par devoir affronter le pire.
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7 août
Peut-être mes conclusions
étaient-elles trop hâtives.
Ma colère s’est apaisée au
fur et à mesure des jours, ma baguette me manque toujours mais ces journées
passées en laboratoire me calment. A-t-il conscience de l’ampleur de l’espace
qu’il m’offre ? Si ce n’était à quelques détails près, j’aurais
l’impression d’être revenu au temps de mon enseignement dans cette école.
Potter n’a jamais eu cet
éclat de cruauté dans ses yeux, le genre d’éclat que j’ai eu l’occasion de voir
sur bien des visages, et sur celui du Seigneur des Ténèbres en premier. J’ai
cru qu’il était masqué par sa haine le jour de mon arrivée ici… mais la haine
n’est plus ce qui occupe principalement son regard.
C’est un enfant, non, un
jeune homme brisé que je vois lorsqu’il oublie ma présence. Il n’est pas sorti
indemne de tous ces combats, et je le savais déjà avant qu’il me choisisse
comme un cadeau d’anniversaire d’assez mauvais goût, mais peut-être son mental
est-il plus atteint encore que je ne me l’imaginais…
Ca n’explique en rien
pourquoi il s’est tant battu pour empêcher mon exécution, et ce que signifient
ces longs regards indescriptibles qu’il me lance en croyant que je ne m’en
aperçois pas.
Je lui parlerai aujourd’hui.
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8 août
Je le hais.
Harry
arrêta sa lecture aux trois mots tracés durement dans le parchemin. Son cœur
s’était serré, sans qu’il ne puisse se l’expliquer, en même temps que la colère
avait remplacé l’incrédulité.
En
commençant à explorer cette sorte de « journal », il s’était attendu
à une haine brûlante, à des mots durs et insultants, mais certainement pas à ce
que le maître des potions considère sa situation avec un tel calme. Et encore
moins à le voir remettre ses pensées à son sujet en doute.
Mais,
finalement…
Je le hais.
…rien
n’était différent.
8 août
Je
Evidemment,
réalisa-t-il soudain en se demandant comment il n’avait pas pu faire le lien
directement. C’était le lendemain de son viol.
Le
gryffondor reposait les yeux sur le parchemin, pas tout à fait certain qu’il
voulait lire ce passage, lorsqu’un bruit dans le salon le fit se raidir. Il
entendit le son diffus de déplacements.
Revenait-il
dans sa chambre ? Allait-il le découvrir fouinant dans ce qu’il devait
sans nul doute considérer comme l’exposition de pensées plus que
personnelles ?
Les
pas se rapprochèrent… puis une porte se referma. Rogue devait être retourné
dans son laboratoire ; le jeune sorcier soupira presque de soulagement.
Pas qu’il se sentait en tort, loin de là, tout ce qui faisait l’homme lui
appartenait. C’était juste… que ses futurs écrits perdraient de leur
authenticité s’il avait le moindre soupçon sur leur découverte, formula rapidement
son esprit comme une raison valable.
Le
survivant referma le grand livre, veillant à bien remettre en place chaque page
indépendante qu’il avait pu déranger, et incanta un sort pour en obtenir une
copie parfaite. Quelques minutes plus tard, il traversait silencieusement le
salon pour rejoindre sa chambre.
Harry
posa simplement le livre sur sa table de chevet et le fixa sans vraiment savoir
ce qu’il ressentait. Il avait l’occasion de découvrir les pensées les plus
intimes de l’ancien espion. Et, en même temps, il prenait le risque de se
retrouver face aux mots cruels de l’homme qui, là, ne seraient plus de simples
paroles mais le reflet de ce qu’il pensait réellement de lui. Il lirait combien
il le haïssait, il le trouvait repoussant et il l’estimait malade.
Il
n’était vraiment pas certain qu’il pourrait en récolter quoique ce soit de
positif.
Lorsqu’il
ouvrit à nouveau le livre, le sorcier se demanda à quel point ses désirs
étaient devenus malsains pour qu’il choisisse de vouloir s’enfoncer dans les
pensées de Rogue en dépit de tout le mal qu’il allait, sans nul doute, se faire
à lui-même.
8 août
Je le hais.
Je ne sais même pas
combien de temps il a fallu pour que je me lève de ce lit, horriblement
conscient de son sperme gluant encore profondément enfoui en moi, et que
j’essaie d’effacer toute trace de ce viol avec rage. Ce n’est pas blessé et
perdu qu’est ce dernier descendant des Potter, mais atteint de folie, de
démence, d’une haine si grande envers moi qu’il prend son plaisir dans mon
avilissement total !
J’ai l’impression
d’entendre encore son souffle bestial trop proche de moi. Je n’arrive pas à
effacer de mon esprit la sensation de ces mains, bien trop masculines,
agrippant mes jambes, de ces yeux verts brillant d’une sinistre excitation, de
son membre pulsant obstruant mon anus vierge… S’il y avait encore quelque chose dans mon estomac,
je crois que je vomirais.
Mon corps (ce corps si
laid, n’a-t-il pas oublié de me rappeler) m’a trahi, à ma plus grande
humiliation, et j’ai joui pour l’amener à sa propre jouissance.
Pauvre chose pathétique.
Il ne vaut pas mieux que ces quelques mangemorts, plus détraqués que les
autres, qui s’excitaient à la simple pensée de pouvoir violer femmes et hommes
moldus et de les entendre crier de douleur.
Harry Potter, vous êtes
une ordure.
Le
parchemin tremblait entre ses mains. Le survivant s’attendait à une chose du
genre – quoiqu’il l’aurait imaginé plus imprégnée de
désirs de meurtre – mais il n’arrivait plus à garder ses yeux sur les mots.
Colère,
haine, culpabilité, dégoût, déception, et même sombre désir en revoyant cette
nuit-là par fragments en lisant l’écriture serrée, ces sentiments rampaient
sous sa peau et il ne savait pas lequel était le plus fort. Tout ce qu’il
voulait pour l’heure était déchirer sauvagement ce parchemin marqué de la main
de Rogue.
Il
s’attela simplement à supprimer les tremblements de son corps, et remit le
texte à sa place avant de fermer d’un claquement sec le maudit bouquin.
Harry
ne savait pas ce qui le troublait le plus dans tout ceci. La répugnance
évidente du bâtard à son égard ? La désillusion et l’humiliation qui transpiraient
clairement à travers ses mots ? Ou cette abjecte comparaison aux
fanatiques désaxés qu’il avait eus pour compagnons ?
Mais
ce n’était que les mots d’un mangemort, essaya-t-il de se répéter, ceux d’un
assassin, il n’avait rien d’une victime innocente. Et puis, le maître des
potions avait en partie tort sur un point. L’avilir n’avait été, en fin de
compte, qu’une conséquence peu importante pour lui. Pire, cela lui avait
apporté, par la suite, un vif dégoût de lui-même. Il avait voulu l’homme – et
le voulait toujours – pour des raisons peu en rapport avec l’humiliation, à
commencer par une simple mais ardente envie charnel. Et… Non. Il n’y avait
que ça.
Il
fixa le livre encore sur ses genoux, en caressant distraitement la reliure.
Pourquoi
ne ressentait-il pas la moindre satisfaction à découvrir ces réactions que
Rogue lui avait jusque-là habilement cachées ?
Il
n’y avait pas le moindre repentir dans ses mots. Depuis le premier parchemin,
il n’y avait pas la plus petite trace de regret. Pas qu’il aurait pu croire
qu’il méritait ce genre de châtiment, non, cela n’aurait pas été dans le
caractère de l’homme – du moins, ce qu’il en connaissait. Et il n’y avait pas
non plus lu la moindre volonté de soumission. Ni…
En
fait, tout cela était trop fragmentaire, et c’en était frustrant.
Harry
prit à nouveau le livre et reposa le regard sur les parchemins.
Des
dizaines de lignes raturées, des phrases répétées, et un pauvre contenu
finalement. Des comptes-rendus très formels se mêlaient à de rares expositions
soudaines d’émotions qui, comme ce qu’il en avait lu jusqu’à présent,
révélaient interrogations, colère et haine. Il aurait sans doute était
présomptueux de sa part de réduire toutes les pensées de l’homme à ces simples
écrits.
C’était
peu. Aussi paradoxal que cela pouvait être face à sa première réaction, le
survivant voulait en savoir plus.
Il
mit de côté plusieurs parchemins puis tomba sur ce qu’il cherchait.
9 août
J’ai traversé cette
guerre, je ne laisserai pas un Potter croire qu’il peut me détruire.
Il n’y a pas eu de
remarques grossières et obscènes, pas de nouvelles tentatives d’intimidation, pas
même de gestes déplacés ou violents. Je pourrais presque croire à des remords…
s’il n’y avait pas son regard.
Il va recommencer.
Et je refuse de lui
laisser croire que j’en éprouve la moindre crainte.
Cela serait sans doute
plus facile pour moi si je possédais les ingrédients nécessaires à certaines
potions capables d’annihiler le sens du toucher. Ou si les sorts qu’il a choisi
d’utiliser sur moi possédaient quelque propriété semblable au Doloris. Sait-il
seulement que deux des sortilèges qu’il a choisis rendent le corps plus
sensible, non seulement à la douleur mais aussi à n’importe quelle autre
approche ?
-----
11 août
Nu dans son salon. Nu dans
son salon après qu’il ait éjaculé dans mes entrailles !
Ce ne sont plus des traces
fantômes de son passage qui restent sur mon corps mais ses marques encore
douloureuses. Comme ces bleus sur mes hanches ou ce sang qui s’arrête à peine
de couler.
Ma vie sera-t-elle donc
réduite à cela ? A servir de jouet sexuel à Potter ? Cet homme même
pas capable d’entendre la vérité sur ses actes. Ce sauveur qui s’amuse de
ma honte et jouit lorsque mon corps cesse de m’obéir.
Voir son
« ennemi » cherchant à sentir son sexe plus profondément enfoui en lui,
sa turgescence violant son intimité en coups effrénés… C’est de cette façon que
Potter profite de tout cela, en mêlant sa fureur à son plaisir, dans le sens le
plus immoral du terme.
C’est donc tout ce qui
reste de l’insolent gamin qui s’est pourtant si longtemps battu pour le côté de
la lumière ?
…
Ces pensées ne seront
guère capables de m’aider.
C’est plus que la
vengeance qui le guide. Son âme est
devenue noire, trop souillée par la guerre (je le soupçonne même de s’être
laissé tenter par l’apprentissage de quelques maléfices - plus sombres encore
que ceux qu’il m’a révélé - vers sa fin).
Harry Potter est déjà
perdu.
*****
La pute d’Harry
Potter ! Je n’aurai pas pu trouver mieux !
Ca n’a pas eu l’air de lui
plaire. Mais quelle importance ? C’est la réalité !
Potter, toujours si facile
à mettre en colère… Il aurait pu me punir durement pour mon
« insolence ». Pourquoi ne l’a-t-il pas fait ? L’hésitation
coupable ne fait plus partie de son caractère après tout.
J’aimerais que quelques
potions utiles fassent partie de mes…devoirs. Je pourrais ainsi me rendre un
peu de lucidité.
Je ne suis pas si certain
de vouloir cela cependant.
Et je doute que Potter
fera encore l’erreur de permettre aux elfes de m’apporter du whisky.
Dommage.
-----
14 août
Serait-il vraiment capable
de mettre cette menace à exécution ?
J’aurais certainement dû
éviter l’alcool. J’ai commencé à perdre mon sang froid cette nuit-là et j’ai
pris un malin plaisir à le provoquer. Je me suis laissé guider par mon amertume
également.
Il a fallu que tout effet
de ma beuverie disparaisse pour que je me rende compte que j’aurai pu amèrement
le regretter. Et que j’avais encore trop vite fait mes conclusions.
Mes paroles le touchent
encore – même si elles ne sont pas capables de totalement le réfréner – car il
n’est pas vraiment si différent de l’enfant que j’ai connu à Poudlard. Et je ne
suis pas persuadé qu’il pourrait réellement me laisser moisir dans un coin de
ses quartiers uniquement pour assouvir ses appétits.
Il n’y a eu aucune
récidive face à mes accusations et mes insultes et, bien que je ne serais pas étonné qu’elles viennent plus tard, cela me
pousse malgré moi à vouloir revoir mon jugement.
Il me suffit de lui prêter
un peu d’attention pour que je décèle des incohérences face à mes certitudes.
Mais je ne me fais pas
d’illusions, je suis encore bien destiné à lui servir de défouloir sexuel – ses
yeux emplis d’avidité ne pourraient me faire en douter.
Cette perspective me rend
malade.
C’était
dix jours plus tôt. Et il y avait encore un certain nombre d’écrits après ce
dernier. Mais il ne pouvait pas se décider à en lire plus pour l’heure.
Harry
avait suivi le cheminement de ses pensées avec une certaine fébrilité ; il
y avait comme un liquide acide qui brûlait sa gorge, et pourtant son bas ventre
était chaud d’un désir et d’un espoir insensé, et inexplicable.
Toutes
les suppositions qu’il avait lues n’étaient pas exactes, bien heureusement,
mais il y avait plusieurs observations
qu’il ne pouvait pas nier, comme la simple question de la nature de ses regards,
par exemple. Toutefois, le plus important était que le maître des potions
n’était pas indifférent à ses actes, loin de là. Il les abhorrait, ils
l’emplissaient de fureur et, en même temps, il… il…
Il,
quoi ?
Le
survivant ne savait pas vraiment, c’était une étrange impression qui revenait
par moment, comme tout au début de sa lecture, et qui lui donnait l’envie de
continuer à lire pour la retrouver… Vraiment, il ne savait pas comment la
définir.
Et
ce n’était pourtant que des mots. Des parties éparses de ce qu’il avait vécu.
Il ne pouvait pas réellement savoir ce qu’avait ressenti Rogue. Ni même si
toute l’aversion qu’il semblait éprouver intervenait pendant qu’il le possédait,
qu’il se tortillait sous lui, qu’il…
Le
jeune sorcier abandonna toutes les notes et s’enferma dans sa salle de bain.
Son
sexe était gonflé, un filet d’excitation s’étant coulé en lui au fur et à
mesure de ses lectures, les images de ces fois où il s’était enfoncé en Rogue
revenant à la surface de son esprit. Et c’est sur la dernière fois où il
l’avait pris, quelques jours plutôt seulement, que son esprit se focalisa.
La
peau blanche et frissonnante lorsqu’il l’avait écrasé de son poids sur le lit,
ses vêtements pressés contre la chemise ouverte et la chaleur du torse du
maître des potions, ses mains passant sous le tissu fin pour lui enlever son
dernier vêtement mais s’attardant plus que nécessaire le long de ses côtes…
Harry
commença à se caresser avec lenteur, durcissant encore un peu plus aux
délicieux souvenirs.
Le
silence de l’homme brisé par son souffle lourd, son sursaut difficilement
contrôlé au moment où il lui avait écarté les cuisses avec plus de douceur que
dans ses habitudes, l’homme déjà à moitié dur comme-ci son corps avait attendu
ce moment avec appréhension…
Il
glissa ses doigts le long de la chair tendue, taquinant son prépuce avec plus
de vigueur.
Les
yeux obstinément clos mais les cheveux noirs étalés sur les oreillers et
collant à son front alors qu’il préparait son entrée de ses doigts, les
soubresauts qui auraient pu s’exprimer par de longs gémissements si Rogue
n’avait pas pressé si durement les lèvres, la chaleur accueillante qu’il
ressentait déjà sous ses phalanges…
Le
survivant accéléra son mouvement, pressant sa main de la racine jusqu’à la naissance
de son gland, plus impatient, son pouls battant à sa tempe et sous ses doigts.
Le
moment où il s’était glissé dans l’antre étroite, se sentant emprisonné entre
les fesses minces et luttant presque pour ne pas se libérer immédiatement, le
frottement rugueux puis assoupli de la chair contre la chair, de plus en plus
rapide…
Le
jeune sorcier entendait son souffle laborieux alors qu’il avait fermé les yeux
pour mieux revoir la scène, oubliant presque que c’était ses mains qui
enserraient son excitation, imaginant parfaitement les draps en-dessous d’eux
et les mouvements frénétiques de Rogue, bougeant de plus en plus vite,
finissant par perdre son contrôle et jouissant au moment où tout se resserrait
merveilleusement autour de son membre.
Il
se libéra sur le dallage de sa salle de bain.
Au
bout de plusieurs minutes, il entra finalement sous sa douche, très conscient
qu’il se sentait mal d’avoir laissé son corps reprendre le contrôle malgré les
découvertes récentes qu’il avait faites. Rogue n’avait peut-être pas eu tort en
le traitant de « détraqué ». Il venait de lire toute l’impuissance que
le maître des potions éprouvait à être dans une telle situation et il n’avait
rien trouvé de mieux que de se branler.
Les
mains à plat contre le mur, laissant l’eau se précipiter sur sa nuque, il
essayait vainement de se sortir de la couche de pensées confuses qui lui
occupaient l’esprit.
Ce
n’était pas ça. Ce n’était pas de le voir en difficulté qui le mettait dans des
états pareils. C’était ce qu’il avait cru lire entre les lignes. Et c’était
cette même impression qui venait de faire jaillir dans son esprit une idée - profondément
obscure mais assez séduisante – qui, bien qu’il ne songeait pas pour l’instant
à la mettre sérieusement en application, lui paraissait être une option non
négligeable à étudier.
Harry
ne pouvait pas s’empêcher de penser qu’il devait en savoir plus à propos de
Rogue. Et ce, depuis longtemps, en réalité, mais c’était la première fois que
cette pensée menaçait de passer au-delà de sa raison logique et de son bon
sens.
A suivre…
…
J’ai vraiment envie de supprimer tout un passage de la fin >.<
A la première lecture, ça me semblait pertinent… pourtant, après avoir relu l’ensemble…
U.U
Pour l’instant je le laisse, mais j’éditerai peut-être plus tard pour l’enlever :x
Enfin, j’espère quand même
que le reste de ce chapitre vous a plu ;’)
Le chapitre suivant est
déjà écrit et je n’ai plus qu’à le relire… mais si je le poste ce week-end, il
y a de très fortes chances pour que vous n’ayez plus de chapitre avant fin
septembre ou début octobre -_-« C’est à vous de me dire ce que vous
préférez ^^’’
Sur ce, à la prochaine !
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