Je serai toujours la | By : AdamPark Category: French > Manga Views: 13 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Tout appartient Yoko Kamio de Hana Yori Dango sauf l'histoire que j'ai crite pour le plaisir. Je ne possde aucunement le Fandom ne gagnant pas d'argent. Ecrite en 2007. |
Rui en voulait à Yuki car sa confidente était malade. Il veilla sur Tsukushi toute la journée. La jeune malade avait froid et elle grelottait. Rui alla chercher une bonne soupe bien chaude pour Tsukushi. Sôjirô et Akira demandèrent à Rui comment Tsukushi allait...
Sôjirô : Comment va-t-elle ?
Rui : Elle a beaucoup de fièvre.
Akira : Tu veux que Yuki s'en charge ?
Rui sec : Non ! C'est de sa faute ! Si elle n'avait pas insisté pour savoir pourquoi Tsukushi refusait de parler de ses prouesses en sport, rien ne serait arrivé !
Sur ce, Rui retourna dans sa chambre avec un plateau dans les mains. Il s'approcha du lit et regarda tendrement son amie. La jeune femme se réveilla en tremblant de froid mais elle vit la présence de Rui.
Rui : Tu veux manger un peu ? C'est de la soupe et cela te réchauffera.
Tsukushi : Oui.
Tsukushi mangea difficilement sa soupe à cause de ses tremblements. Rui finit par l'aider à terminer le repas en la servant comme un bébé. Peu après Il aida la jeune femme à se rallonger puis il lui passa une serviette humide sur le front. Malheureusement Tsukushi grelottait toujours. Pendant ce temps, Sôjirô, Akira et Yuki s'amusaient au tennis. Yuki n'était pas en forme depuis que Rui l'avait accusée. Sôjirô et Akira s'en rendaient compte.
Sôjirô : Yuki, essaye de comprendre Rui. Il tient énormément à Tsukushi et je suis sûr qu'il ne veut pas qu'il lui arrive malheur.
Akira : Tsukushi a déjà perdu Tsukasa mais elle s'accroche grâce à Rui. Ils sont si attachés l'un de l'autre. Il s'était passé beaucoup de choses depuis leur retour de New York.
Yuki : Je sais bien mais Tsukushi m'avait cachée quelque chose à propos de ses prouesses en sport. Elle refuse de me le dire ! Ne suis-je pas sa meilleure amie ?
Sôjirô : Écoute Yuki, tu es sa meilleure amie mais Tsukushi a trouvé un réconfort et un soutien très solide auprès de Rui.
Yuki : Oh je vois.
Le soir venu, Tsukushi tremblait toujours autant tandis que Rui lui fit prendre sa température. Lorsqu'il vit le thermomètre qui afficha quarante degrés, Rui s'inquiéta de plus en plus. Il alla manger un repas très rapide et il alla chercher un nouveau bol de soupe pour son amie. Le jeune homme remonta dans sa chambre sans rien dire à ses amis et sans avoir jeté un regard noir à Yuki. En arrivant dans la chambre dans laquelle Tsukushi se repose, Rui posa le plateau sur le lit et aida Tsukushi à se redresser. Il lui fit manger la soupe avec difficulté. Voyant que son amie n'arrivait pas à ouvrir la bouche facilement à cause de ses claquements de dents, Rui ne trouva pas d'autre solution. Il but une grande gorgée de soupe puis il se pencha sur Tsukushi. Il posa ses lèvres sur les siennes pour la nourrir. Tsukushi avala avec moins de difficulté mais peu après elle fit un geste signifiant à Rui pour dire qu'elle n'avait plus faim. Le jeune homme finit la soupe lui–même. Peu après, Rui remarqua que Tsukushi tremblait encore. Il se déshabilla, ne gardant que son pantalon sur lui et se coucha dans le lit sous les draps. Il prit Tsukushi dans ses bras pour ensuite lui communiquer sa chaleur. Tsukushi commença à cesser ses tremblements et à se réchauffer au bout d'une heure. Elle se blottissait contre Rui qui resserrait son étreinte.
Le lendemain matin, Tsukushi se réveilla et se rendit compte qu'elle dormait dans la chambre de Rui mais surtout elle était dans SON lit. Elle remarqua qu'il était à moitié nu mais aussi qu'elle était dans ses bras. Elle fut soudainement gênée par cette proximité inattendue qu'elle se mit à rougir furieusement.
Tsukushi : Mais qu'est-ce que je fais dans ses bras et dans son lit ?! Qu'est-ce qu'il s'était passé hier ? Réfléchissons un peu... Je n'avais pas dormi dans la chambre avant hier soir et j'avais passé toute la nuit dehors. Puis j'étais retournée dans ma chambre que je partageais avec Yuki mais je n'avais pas pu rester couchée à cause d'elle. J'ai ensuite été au salon dans lequel je m'étais endormie sur le canapé jusqu'à que j'ai vu Rui puis... Il s'était rendu compte que je n'allais pas bien et il m'a dit d'aller se coucher... Mais qu'est-ce qu'il s'était passé pour que Rui soit dans le lit à moitié nu ?! Rah ! Je ne me souviens plus !
C'était à ce moment-là que Rui se réveilla à son tour. Il surprit Tsukushi en pleine observation. La jeune femme se mit à rougir furieusement dès que ses yeux se posèrent sur ceux de son compagnon. Rui se redressa et toucha le front de la jeune femme pour voir si elle avait encore de la fièvre. Il lui fit reprendre sa température et le thermomètre afficha trente neuf degrés. Peu après, Rui reposa le thermomètre sur une table de nuit puis il passa la main droite vers le visage et se mit à caresser doucement la joue gauche de Tsukushi qui était surprise.
Rui : Comment te sens-tu ?
Tsukushi : Moyen, je suis encore si fatiguée.
Rui : C'est normal, tu as encore beaucoup de fièvre.
Tsukushi : Mais que fais-je ici ?
Rui : J'ai préféré veiller sur toi. Je ne pouvais pas laisser faire l'autre...
Tsukushi : Oui c'est vrai...
Rui : Tu aurais aimé que ce soit elle...
Tsukushi : Tu es stupide ou quoi ?! Insister comme elle avait fait, je ne peux pas accepter ça ! Qu'est-ce qu'elle pouvait comprendre ? J'ai souffert !
Rui : Ne te fâches pas, Tsukushi. Jamais je ne l'aurai laissée faire ! Je... Je...
Tsukushi: Rui... Tu étais inquiet ?
Rui : Oui.
Tsukushi ne disait rien mais elle ferma les yeux pour savourer la caresse que Rui n'avait cessée.
Rui : Tu es si belle mon herbe sauvage... Ma Tsukushi ! Je ne pourrais jamais te laisser repartir avec Tsukasa ! Je ne peux pas imaginer ma vie sans toi... Non je ne pourrais plus supporter que tu appartiennes à lui !
Tsukushi : Cette caresse est si douce... Rien à voir avec celle de Tsukasa... Je me demande parfois si j'ai bien choisi entre les deux... J'aime toujours Tsukasa mais il n'arrête pas de me faire souffrir... Et chaque fois qu'il me rend malheureuse, je me tourne vers Rui... Non je ne pourrais pas supporter une seconde fois ce que Tsukasa avait fait. Pourquoi est-ce si confus ? J'aime encore Tsukasa mais j'aime aussi Rui ! Lequel dois-je choisir ?
Rui en remarquant des larmes couler des joues de son amie : Tsukushi ? Pourquoi pleures-tu ?
Tsukushi : Non ce n'est rien...
Rui : Tsukushi... Tu ne peux pas me mentir et tu le sais très bien ! Je m'inquiète de te voir dans cet état !
Tsukushi émue : Tu es si mignon quand tu t'inquiètes pour moi. Rui, il s'agit de mes sentiments, ils sont encore un peu confus ! Tu sais que j'aime toujours Tsukasa mais d'un autre côté je le déteste pour le mal qu'il m'a fait. Rui, ça ne veut pas dire que je te repousse vraiment. Je pense que tu avais compris lorsque je t'avais pris la main...
Rui : Oui je l'ai compris. Il n'y a que toi qui peux décider. Mais je ne laisserai pas passer ma chance une seconde fois ! J'ai fait une bêtise de partir une fois mais cette fois-ci je ferai tout pour conquérir le cœur de Tsukushi même si elle aime toujours mon meilleur ami.
Soudain, on frappa à la porte, Rui s'empressa d'enfiler un t-shirt et de sortir du lit pour ouvrir la porte. Il se retrouva nez à nez avec Sôjirô.
Rui : Que se passe-t-il ?
Sôjirô : Hé bien Je suis venu voir comment va Tsukushi.
Rui : Entre.
Sôjirô entra et s'approcha du lit sur lequel il s'assit sur le bord. Tsukushi ne dormait pas mais elle était encore si fatiguée.
Sôjirô : Comment ça va, Tsukushi ?
Tsukushi : Encore fiévreuse.
Sôjirô : Je voulais te parler de Yuki. Est-ce que tu lui en veux toujours ?
Tsukushi : Encore un peu. Je ne veux pas qu'elle sache pourquoi je refuse de parler de mes prouesses en sport. J'ai mes raisons et je veux qu'elle respecte ma décision.
Sôjirô : Ne t'en fais pas, je lui dirai. Elle n'est pas si stupide.
Tsukushi : Je le sais.
Rui : Dis Sôjirô, tu aurais pu apporter de quoi manger pour Tsukushi.
Sôjirô : Akira va arriver avec un repas pour tous les deux ! On n'allait pas laisser Tsukushi toute seule !
Tsukushi rouge : ...
Rui rouge : Vous n'allez tout de même pas...
Sôjirô : Non, on va vous laisser tous les deux, seul à seule !
Sôjirô alla ouvrir la porte dès les premiers coups et Akira et Yuki entrèrent avec deux plateaux pour Rui et Tsukushi. Rui dut se mettre à côté de la malade pour pouvoir manger. Sôjirô, Akira et Yuki quittèrent la chambre pour laisser les deux « amoureux », ce que Sôjirô et Akira aimaient croire, ensemble. Rui et Tsukushi étaient tous les deux rouges pivoines et ne savaient plus quoi dire.
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