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Whore of the Dark Side	By : RavenANCorps Category: French > Harry Potter Views: 26929 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0
Disclaimer: la majorité des personnages ne m’appartiennent pas...lais les situations, ça oui

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Whore of the Dark Side

By Olga69

Disclaimer : Harry Potter ne m’appartient pas et je ne me fais pas d’argent dessus. Heureusement, j’ai droit d’abuser totalement de son corps.

Chapitre 5

Harry poussait son chariot de bagages à la gare de Kings Cross. Il avait été convenu avec ses maitres que pour que le vieux fou ne se doute de rien, il devait faire comme s’il avait été amené par ses moldus.
Au début de l’été, Eliott avait reçu sa lettre et Harry, prenant un stylo et du papier tout ce qu’il y a de plus moldus, avait répondu avec toute la naïveté qu’il pouvait avoir encore (bien sur elle n’était pas réel) une réponse au professeur McGonagall, lui demandant des informations sur ce qu’il devait faire pour obtenir ses fournitures et trouver son train.
La réponse ne se fit pas attendre et Harry lui jeta à peine un coup d’œil. La plupart de ses fournitures étaient déjà achetés avec l’argent de Lucius mais il avait enjoint Harry à se rendre à la banque pour faire croire qu’il venait pour la première fois dans le monde sorcier.
Les Gobelins l’accueillirent d’une façon à la fois pincé et tout juste poli. Jouant le rôle de l’enfant candide qu’il était censé être, il suivit un gobelin qui lui fit passer un test sanguin pour s’assurer de son identité. Heureusement, le rituel n’avait pas modifié ça. Le gobelin lui donna sa clé et lui proposa de s’occuper aussi de son héritage aujourd’hui.
Harry n’avait reçu aucune consigne de Lucius pour cela alors il refusa, préférant revenir avec Lucius pour qu’il puisse profiter de son argent afin de servir la cause du Maitre.
Il était ressortit de la banque avec autant d’argent qu’il avait pu prendre et beaucoup de questions sur la sexualité des gobelins. Alors qu’il rêvait en imaginant des queues de gobelin le défonçant (bien sûr avec l’autorisation de ses maitres), il s’était rendu chez Fleury et Bott pour acheter les livres, seuls choses qui lui manquaient.
Il trouva rapidement ce qu’il cherchait. Une multitude de tête rouge poussant des chariots. Lucius lui avait dit qu’il était plus que probable que Dumbledore enverrait la famille de traitres à leur sang qui lui était la plus fidèle, les Weasley, pour l’aiguiller vers le train et, bien sûr, vers la voie du bien.
Harry avait pris son air le plus ingénue pour demander son chemin, grimaçant intérieurement au ton sirupeux de la mère des têtes rouges et ignorant délibérément les œillades de la benjamines de la famille, probablement celle que Dumbledore avait choisis pour devenir la future Mme Potter. Dans ses rêves !
Harry trouva un compartiment vide et l’ensorcela pour que la plupart des étudiants l’évitent excepté ceux qui le cherchaient personnellement. Cela permettrait de vérifier une autre théorie de Lucius qui disait que l’un des enfants Weasley, probablement Ronald, celui qui avait son âge, le chercherait pour se lier d’amitié avec lui pour pouvoir le contrôler. Evidemment, il avait sur lui de quoi inverser la tendance. Il fouilla dans sa poche pour sortir le paquet de bonbons magique qui allaient l’aider.
C’était une création de Severus. Il avait créé ces bonbons à l’aide de son sang. Ça avait été un long travail mais il y était arrivé. Toute personne qui mangerait l’un de ces bonbons aurait comme Harry une vénération pour le côté obscur et une obéissance aveugle au maitre. Ils devaient aussi servir à augmenter l’endurance et la soif de sexe de ceux qui les mangeaient. Les victimes de ces bonbons deviendraient de bons esclaves sexuels pour le Maitre et ses fidèles. Et se serait toujours des gens en moins dans les rangs de Dumbledore. Bien sûr, ils n’auraient pas autant de capacités qu’Harry.
Capacités auxquels Harry s’était très rapidement habitué. Il avait pu en faire l’expérience aux festivités donnés par Lucius pour le nouvel an. Tout ce que le monde sorcier comptait comme nobles chaud lapins était venus à la soirée. La soirée avait commencé assez simplement. Les hommes s’étaient rassemblés dans le grand salon de Lucius, celui qu’il réservait à ce genre de soirées et le seul indice de ce qui allait se passer c’était la tenue des plus succinctes des enfants (tous mâles évidements), de 10 à 16 ans. C’était la tradition. Les enfants peuvent y assister à partir de 10 ans et jusqu’à leur majorités, ils sont nus. Ce n’est qu’à partir de 17 ans qu’ils ont le droit de s’habiller lors des réunions pour montrer leur statue d’adulte. C’est une chose qui de toute façon a peu d’importance puisque de toutes façon, tout le monde finirait plus ou moins nu avant la fin de la soirée.
De même qu’ils sont nus, les enfants qui sont amenés à la fête sont aussi à la disposition de qui les veut. Corvéables à loisir, les mineurs sont sous l’autorité du père qui les offre en cadeaux aux invités.
Evidemment, ce soir, l’attraction principale est Harry. Il était le seul absent. Les adultes buvaient du champagne en discutant alors que les enfants jouaient, les plus âgés profitant des plus jeunes pour se défouler sexuellement sachant qu’eux aussi passeront à la casserole plus tard dans la soirée.
Des petits plateaux garnis de canapés flottaient entre les convives s’arrêtant au moindre signe pour laisser une personne se servir. Il était près de neuf heures quand Lucius annonça le diner. Déjà, pas mal d’invité avait commencé à être moins guindés. La plupart étaient assis sur des canapés avec des jeunes, jouant avec leur corps, les nourrissant, leur faisant boire du champagne.
Rosier s’était accaparé le fils ainé des Zabini, le jeune Armando, âgé d’un peu plus de 16 ans et caressait amoureusement la longue queue et épaisse queue brune seulement à moitié bandé du garçon tout en le nourrissant de canapés.
Travers s’amusait presque gentiment avec le jeune Goyle. Il s’amusait à tourner les tétons du garçon entre ses doigts jusqu’à ce que le sang jaillisse. Quand les deux tétons étaient éclatés, il versait quelques gouttes d’une potion régénérante et recommençait. Gregory chouinait doucement mais ne pouvait rien faire, il devait obéir à l’homme.
Thorfin Rowle, lui avait commencé par se débarrasser de son benjamin, trop collant à son gout. Le jour de l’an devait être un jour de nouvelles expériences et malgré ses 16 ans, le jeune Brett voulait rester avec lui. C’était le dernier de ses enfants encore mineur et celui qu’il avait le plus choyé. Il avait peut-être eut tort. Heureusement, c’était un fils obéissant et il accepta d’être donné à Yaxley par son père. Si celui-ci arrivait à le calmer un peu il verrait à le lui laisser plus longtemps. Pour l’instant Brett Rowle se trouvait attaché dans une position indécente, à genoux, les jambes écartés, la tête contre le tapis, les mains liés dans le dos et la bouche bâillonnée tandis que Yaxley, derrière lui, sur un canapé, posait ses pieds sur ses fesses tout en discutant avec un ami. Thorfin savait que son fils passerait rapidement de table basse à jouet sexuel.
Lui, s’était mis à son tour à déambuler dans la pièce, cherchant du regard un enfant avec qui passer la soirée quand il attrapa le jeune Rosier pour le poser sur son épaule. A 9 ans, c’était le plus jeune accepté à la fête et le fils de son père, il trémoussait son petit derrière déjà tout enfoutré par les plus âgés. Thorfin ne savait pas combien lui était passé dessus et il s’en moquait.
Eliott Monger, invité pour la soirée n’avait pas eu l’autorisation d’amener Dudley et devait se consoler de l’absence de son compagnon de jeu par un substitut. Il avait pris le jeune Crabbe sur ses genoux et s’amuser à le gaver de nourriture. Il était déjà un peu gras et comptait le faire encore grossir pendant la soirée. Avec délice, celle de ses mains qui ne nourrissait pas l’enfant, caressait ses formes rondes.
Lucius, qui jusque-là avait flâné dans la salle, saluant les invités, flattant les fesses des enfants les plus jeunes et caressant les queues des plus âgés, annonça à ses hôtes que le buffet allait être ouvert dans la pièce d’à côté.
Les invités avaient afflués vers la grande salle à manger contre les murs de laquelle étaient placés des tables avec des mets dans des plats ainsi que des assiettes et des couverts. Au centre, se trouvait une table plus petite que les autres. Dessus était posé un plat qui prenait toute la table et recouvert par une cloche de métal.
- Messieurs ! avait annoncé Lucius. Avant de commencer, je tiens à vous présenter le plat principal.
Il avait désigné la cloche que deux elfes avaient entrepris d’enlever. A l’intérieur était Harry. Couché dans une grande assiette, il était sur un lit de salade garnie de crudité autours. Au niveau de son torse se trouvait de la charcuterie, jambons, saucissons, bacon fumé, disposés autour et sur lui et au niveau des jambes, des viandes grillés froide aspergé de jus plus chaud. Le sexe du garçon, dressé au milieu de tout cela et agrandie par la magie qui lui avait été donnée par le rituel était entouré d’une mousse d’avocat qui remontait jusqu’à son nombril sur lequel était planté une tomate cerise. Le reste de son torse était garnies de sauces fraiches et épaisses, deux ronds de curry autour des tétons, des motifs de crème blanches sur le ventre et d’autres remontant jusqu’à son menton. L’intérieur de sa bouche ouverte était tapissé de fine tranches de poisson fumée d’une blancheur nacré qui était disposé en forme de fleur.
Affamé et amusés par le plat si original de Lucius, la plupart des hommes avaient pris des assiettes et des couverts afin de pouvoir gouter aux aliments et peut-être à un peu d’Harry. Si on approchait, on pouvait voir que le corps entier d’Harry était luisant, probablement parce que sa peau avait été recouverte d’huile.
Harry s’était sentit assailli par les invités. Sur tout son corps, des mains et des doigts l’avait déchargé des aliments tout en le caressant. Certains s’étaient attaqués à lui directement avec leur bouche. Un homme lui avait saisi la tête et retirait les tranches de poisson de sa bouche avec la sienne. Deux autres homme l’avait rejoint et se relayaient pour manger le poisson et Dès qu’il n’y en eut plus, ils s’étaient relayés pour dévorer les lèvres d’Harry, plongeant la langue jusqu’au fond de sa gorge et aspirant le sienne dans leur bouche. Harry avait senti ses lèvres gonfler au fur et à mesure des baisers. Pendant ce temps, plus bas, d’autres hommes prenaient des légumes et les faisaient courir dans les sauces et sur sa peau. Ils prenaient aussi les viandes grillées et sauçaient avec des morceaux de pains qu’ils faisaient courir sur la peau de ses cuisses, de ses mollets, sur la plante de ses pieds…
Soudain, il ne sentit plus rien. Thorfin Rowle avait écarté tout le monde. Il avait fait glisser Harry du plat qu’il avait fait léviter plus loin tandis qu’il le tirait sur le bord de la table. Passant la main sur son corps, il ramassa de l’huile, de la sauve et du jus et avait voulu préparer son anus mais s’était arrêté quand il avait vu l’épi de maïs qui fermait l’orifice. Il avait sorti la céréale qu’il avait passé sous son nez avant d’enfoncer son sexe dans l’anus.
C’avait été le premier d’une longue liste. Aucun des orifices d’Harry n’avait été laissé inoccupé. Les hommes jouissaient dans sa bouche et dans son cul, les deux trous avalant le sperme, nourrissant Harry et lui redonnant toujours plus d’énergie. De la table, il était passé au sol. Il était au centre d’un cercle d’homme et d’enfants nus. Les premiers ainsi que certains des enfants plus âgés poussaient tout à tour leur queues bandés dans son trou du cul tandis que d’autres baisaient sa bouche. Certains des petits léchaient sa queue qui faisait près de 15 centimètres et certains, en se contorsionnant étaient arrivés à se la planter dans le cul.
Rosier avait pris la place d’un jeune qu’il avait tiré de sous Harry pour prendre sa place. Son anus qu’il avait resserré pour l’occasion s’ouvrit tout de même pour le sexe d’Harry. Quand il avait senti les petites couilles contre ses fesses, il lui avait demandé d’user de son pouvoir sur son sexe. Occupé à l’avant et à l’arrière, Harry avaient tout de même put obéir. Rosier avait senti le sexe d’Harry grandir et grossir dans son anus. Il avait grossit au point de presque fendre la peau de l’anus pourtant détendu du Mangemort. La queue puissamment amélioré par magie s’était enfoncé jusqu’au fond de son anus et sa largeur, près de 10 centimètre de diamètre, écartelait son anus. Comme Harry était occupé, c’était Rosier qui s’était mis à bouger jusqu’à ce qu’Harry jouisse. Son sperme, boosté par la potion d’augmentation que lui avait donné Severus pour la soirée, se mit à remplir l’homme qui poussait de long gémissement. Une fois qu’Harry se fut vidé, c’était Rosier qui avait dut sortir tout seul de sous Harry, toujours occupé par tous les autres invités. Il rampa sur le côté, tremblant de sa propre jouissance. Dès que le gland de la queue d’Harry sortit de son anus martyrisé, comme si un bouchon avait sauté, le sperme gicla de son anus, tachant le parquet d’une longue et abondante trainée blanche. Le fils Rosier s’était précipité, et, suivant la piste du sperme avec sa langue, il rejoignit l’anus paternel béant dans laquelle il engouffra sa langue et même un bout de son visage.
Un peu avant Minuit, tout le monde avait joui dans un grand saladier et ils avaient donnés le sperme à manger à Harry au moment des douze coups de minuit.
La suite de la nuit devait se perdre dans une sorte de jouissance ininterrompue. Tous les hommes et adolescents avaient continués à se relayer dans ses trous. A des moments, il en avait eu deux en même temps dans son cul tandis que deux autres écartelaient ses lèvres pour y enfoncer leur queue. En comptant seulement les adultes et les enfants les plus âgés, assez âgés pour commencer à baiser des culs, il devait y avoir près de 50 personnes qui lui passèrent tous dessus. Malgré l’absence de fatigue due au rituel, les nombreux frottements dans ses orifices commençaient à le bruler mais rapidement, il fut complètement engourdi. Il y avait toujours des gens avec lui. Ceux qui ne le baisaient pas allaient dormir pour se réveiller entre une ou deux heures plus tard pour le baiser à nouveau. Le matin n’arrêta personne. La fête s’était poursuivie dans toute la journée avec seulement une pause vers midi où Harry avaient été emmené pour être nettoyer et remis sur un autre plat, cette fois-ci de désert. Couvert de crème sucré, de fruits découpé, de chocolat fondu et de sucreries, il avait de nouveau été le centre d’attention de la fête et surtout de celle des enfants qui avaient léchés les moindres parties de son corps.
A la fin de la journée, la plupart des invités étaient déjà partis, il ne restait plus que quelques amis notamment les Mangemorts du cercle intérieur qui avaient continué à essayer de satisfaire le garçon. Harry avait arrêté de compter le nombre fois qu’il avait joui mais les nombreuses flaques de foutre sur le sol lui faisaient penser que c’était beaucoup puisque la majorité du sperme qui avait juté cette nuit-là avait fini avalé par sa bouche ou par son cul.
Finalement, Lucius l’avait baisé en dernier et s’était effondre nu dans un fauteuil parmi ceux qui étaient autour du feu avec Severus, Rodolphus Lestrange, Thorfin Rowle, Yaxley et Rosier. Harry, lui, hésitant à se dire satisfait se mit à lécher le sol pour le nettoyer de tout le sperme qui s’y trouvait. Désœuvré, il s’était amusé tout seul avec son sexe, le faisant grandir pour qu’il atteigne sa bouche et grossir pour pouvoir tout juste le saisir à deux mains. Suçant son gland qui remplissait sa bouche, malaxant ses couille d’une main, sa seconde disparaissant complètement dans son cul, il s’était donné en spectacle devant les Mangemort épuisé pendant plusieurs dizaines de minutes avant que son sexe ne décharge son sperme, remplissant trop rapidement sa bouche pour qu’il l’avale et en faisant jaillir de sa bouche. Harry avait ouvert la bouche, faisant couler encore plus de crème blanche sur son menton. Il se tourna vers Lucius, lui montrant sa bouche pleine de foutre gluant puis l’avala. Il fit passer ses mains sur son menton, son cou, sa queue et le reste pour ramasser les dernières gouttes. Puis il s’était frotté les yeux et s’était endormis.

Harry était encore dans sa rêverie, bandant en repensant à cette formidable soirée, lorsque la porte s’ouvrit. Heureusement qu’il n’avait pas baissé son pantalon.
Comme Lucius l’avait dit, c’était le jeune Ronald Weasley qui venait pour essayer de devenir ami avec lui. Si l’enfant ne l’avait pas spécifiquement recherché, il n’aurait jamais eu l’idée d’ouvrir la porte de son compartiment.
- Je peux venir, les autres compartiments sont pleins, dit-il
Bien sûr pensa Harry. Il avait dut faire tous le compartiment pour arriver à le trouver. Il salua néanmoins sa performance d’acteur quand il lui avoua avec une fausse ingénuité qu’il était le célèbre Harry Potter. Il ne devait pas faire d’erreur. Il commença à parler avec lui en attendant le moment où il pourrait lui donner un bonbon. Il lui aurait suffi de lui lancer un imperium pour le forcer à manger ou tout autre sort de contrôle ou d’hypnose mais il n’y tenait pas. Il s’apprêtait à proposer un bonbon à Ron quand la porte du compartiment se rouvrit à nouveau.
- Excusez-moi, je m’appelle Neville Londubat et je cherche Trevor, mon crapaud. Vous ne l’auriez pas vu ?
Harry se figea quelques instant. Londubat…une honorable famille de sang pur, même si elle était du côté de la lumière. La ramener du côté du Seigneur des Ténèbres serait une grande victoire pour son Maitre. Mais le garçon était entré dans le compartiment. Le recherchait-il aussi ? Un autre envoyé de Dumbledore ?
Il allait répondre quand il entendit un croassement.
- Trevor ! s’exclama Neville en ramassant le batracien.
Bien sûr, qu’il était bête. Le sort était spécifique pour éloigner toute personne qui ne cherchait pas spécifiquement ceux qui se trouvaient à l’endroit où le sort était posé. Le crapaud devait y être depuis le début et comme le jeune garçon potelé cherchait son crapaud, il avait pu entrer dans le compartiment. Harry allait le commencer à lui parler, mais déjà Neville l’avait remercié et était partie en grondant son animal. Zut, raté. Il devrait tenter une autre fois.
Ron se moqua du garçon en reniflant d’un air dédaigneux. C’était vraiment un gamin détestable. Heureusement, Harry avait de quoi changer cela. Il prit le sac dans sa poche et le tendis à Ron en lui proposant de prendre un bonbon. Ron accepta avec un air goulu et prit l’une des petites billes qu’il fourra dans sa bouche. Heureusement, cela avait bon gout, du moins d’après ce qu’avais dit Severus. Les potions avaient généralement mauvais gout à l’exception des poisons et ce ces bonbons étaient bien un poison, un poison mental certes mais un poison quand même.
Ron suçait le bonbon avec appétit puis l’avala. Harry observa ses yeux devenir vitreux, puis noir avant de redevenir normaux…peut-être un peu plus sombres. Ron se tortilla sur sa banquette.
- Le Maitre, gémit-il. Comment puis-je servir notre Maitre.
Harry savait qu’il pouvait le commander. A partir du moment où une personne prenait l’un des bonbons, il pouvait tout lui ordonner et la personne envouté lui obéirait sauf si un Mangemort donnait un autre ordre. Selon leur rang, la vois des Mangemorts et du maitre était la loi.
- Ouvre ton pantalon, ordonna Harry.
Ron obéit tout de suite. Il ouvrit son pantalon qu’il fit glisser jusqu’à ses cheville et fit la même chose pour son sous vêtement jaunâtre et troué. Son sexe, bien que bandé, n’était pas très gros. Après tout c’était normal, il était encore jeune. Mais Harry n’avait pas envie d’attendre. Il avait dans son sac plusieurs potions données par Severus. L’une d’elle allait parfaitement lui servir. Il fit boire Ron qui gémit lorsque son sexe grossissait et grandissait. Harry regarda avec des étoiles dans les yeux la colonne de chaire s’allonger jusqu’à mesurer un peu plus de 20 centimètre. Le gland du garçon était large, luisant et rouge, des perles de mouilles coulant sans discontinuer de son méat. En dessous, le sexe devait faire en moyenne 5 centimètre de diamètre avec un renflement au milieu où il devait faire près de 7.
Gémissant, Harry défit son propre pantalon et ses sous vêtement avant de s’assoir à califourchon sur les genoux de Ron, enfonçant le sexe du garçon en lui sans se préparer, la mouille qui coulait du méat suffisant à lubrifier la bite. Harry soupira de contentement en se sentant rempli de la sorte. Les genoux sur la banquette, il se mit à monter et descendre. Pressé contre le torse de Ron, les vêtements du roux branlaient son sexe avec délice. Harry se sentait bien…jusqu’à ce que la porte s’ouvre.
C’était trois garçons. Deux roux et un noir. Les deux premiers, il était facile de voir que c’était les frères de celui qui le baisait, ils devaient chercher leur frère, tandis que le noir devait être de la même promotion qu’eux. Rapidement, Harry sortit sa baguette et fit léviter trois bonbons qu’il expédia dans la bouche ouverte de surprise des trois garçons. C’était une bonne baguette, 20 centimètre, la taille minimum que doit avoir un sexe pour être intéressant, poil de couille d’incube et bois bandé, puissante baguette pour les sorts et enchantements, la magie noir et les sorts érotiques.
Instinctivement, les trois garçons avalèrent la sucrerie empoisonnée. Comme pour Ron, leurs yeux changèrent deux fois avant de redevenir normaux bien qu’un peu plus sombre. Soumis à lui, ils avancèrent à la demande d’Harry, fermant la porte du compartiment que le jeune sorcier noir scella définitivement pour éviter d’autres visites. Il les fit se déshabillé et se lécha les lèvres quand il les vit nu. Le voyage avait commencé depuis à peine deux heures…ils avaient au moins quatre ou cinq heures devant eux pour s’amuser.
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