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L\'amant venu du passé	By : Elehyn1 Category: French > Harry Potter Views: 4019 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0
Disclaimer: I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.

Chapter List
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Disclaimer : Pas à
moi. Contexte tiré des livres de J. K. Rowling.

Cette histoire est dédiée à Caro à qui je fais d’énormes poutouxes.

Chapitre 5 : Confidences

Les yeux
toujours fermés, Severus gémit et porta la main à son front. Il avait fait un
horrible cauchemar. Il avait rêvé qu’il avait voyagé dans le temps, dans le
futur plus exactement et que ce satané James Prétentieux Potter avait eu un
fils. Il avait même rêvé – comble du ridicule – qu’il s’était rencontré
lui-même à son âge théorique et que son double lui avait avoué être amoureux du
fils de Mr Arrogant en chef.

Severus
sourit. Il sentait bien le matelas de son lit sous lui. Oui, tout cela avait
été qu’un horrible et ridicule cauchemar. Il éclata alors de rire et bientôt,
une voix calme mais légèrement goguenarde brisa net son hilarité.

« Ce
n’était pas un rêve. »

Severus se
redressa alors d’un mouvement brusque sur le matelas qui avait amorti sa chute
lorsqu’il s’était évanoui.

Oh
Merlin ! Ce n’était pas un délire entièrement créé par son esprit
persécuté! Il s’agissait bien de la réalité.

A cette
pensée, le jeune homme se dit qu’il aurait bien voulu rejoindre à nouveau
l’inconscience… Inconscience… Merlin oui, c’était bien cela !

« Tu
es complètement inconscient ! » s’écria l’étudiant en se relevant
très vivement. « Qu’est-ce qui t’a pris de tomber amoureux d’un
Potter ? »

Snape
ricana et lui répondit « Je n’ai pas choisi… »

« C’est
bien ce que je pensais ! » le coupa-t-il avec triomphe. « Je
savais bien que jamais je n’aurais pu tomber amoureux du fils de cet imbécile.
Quelqu’un t’a lancé un… »

« Rien
du tout » coupa son homologue plus âgé en soupirant.

‘Merlin,
étais-je si exaspérant ?’ se demanda-t-il intérieurement avant de
poursuivre.

« Je
n’ai pas dit que j’avais été forcé par quiconque ou quoi que ce soit. J’ai
simplement dit que je n’ai pas choisi… mais mon cœur oui. »

Severus le
regarda avec une expression médusée et dégoûtée.

« Oh
non ! Te rends-tu compte que tu es en train de parler comme les romans à
l’eau de rose que la tante Adélaïde… »

Snape
balaya son commentaire d’une main lasse et répliqua « Cela te paraît
peut-être inconcevable de tomber amoureux maintenant… qui plus est du fils de
James Potter… mais je peux t’assurer que tu vas réellement, sincèrement,
éperdument, affreusement être amoureux de lui. Jamais tu ne seras amoureux
d’aucun autre homme… Il n’y a que lui. Rien que lui. Et je l’aime encore. Si
fort que ça me fait mal. »

Le jeune
Severus vit le visage de son reflet se tordre en une expression de souffrance
poignante. Ce n’était pas la première fois qu’il voyait cet air douloureux
déformer ses traits et cela le rendait toujours perplexe et ému. Il
appréhendait. Il ne voulait plus souffrir et lorsqu’il entrevoyait son avenir,
il se désespérait.

« Dis-moi
ce qui va se passer entre nous ? » demanda le Gryffondor.

« Je
ne peux pas tout te divulguer mais il sera ton premier amant… et le
dernier… » murmura l’enseignant d’un ton rêveur.

« Oh
non ! Mon amant ! Le premier ! C’est dégueulasse ! Je veux
pas que ça soit lui ! »

« Oh
si tu le voudras » gémit Snape en fermant les yeux. Ses joues avaient prit
une teinte rosée et il serrait avec force sa tasse de thé qu’il tenait toujours
dans sa main.

« Tu
as encore envie de lui… J’arrive pas à le croire » murmura le jeune homme
en fixant son double.

Ce dernier
éclata d’un rire sans joie. « Tu comprendras plus tard… une fois que tu
auras goûté à ses lèvres, à sa chair… Il est comme une drogue. Il est sensuel,
tendre, passionné. Parfait ! Et il était amoureux de moi… »

Le jeune
Severus vit son homologue baisser la tête à ces mots. Une nostalgie, un regret
intense mêlés de crainte se lisaient sur son visage. Une lueur d’espoir,
pourtant, tentait vainement de décrisper ses traits.

« Amoureux
de toi ? » répéta le jeune élève avec incrédulité, peur et une
certaine envie. « Il est tombé amoureux de moi ? »

Snape
hocha la tête lentement, douloureusement. Ses yeux étaient toujours clos et
derrière ses paupières, des souvenirs insouciants et heureux défilaient sans
discontinuité.

« Sincèrement
amoureux ? »

L’homme
hocha de nouveau la tête et son interlocuteur l’interrogea davantage.

« Quand ? »

« Dès
que tu commenceras à être plus gentil avec lui. Montre-lui celui que tu es
vraiment au lieu de te comporter comme un imbécile impoli. N’oublie pas que tu
n’as que deux mois à passer ici ! »

Le jeune
homme avait pincé les lèvres mais ne répondit rien. Au bout de deux minutes
d’un silence songeur, il ajouta « Mon dernier amant ! Ca n’en fait
pas beaucoup… »

Le maître
des potions éclata d’un rire amusé et répliqua « Non, ça n’en fait pas
beaucoup mais crois-moi, après l’avoir eu dans ton lit, tu ne penseras qu’à le
retrouver entre tes draps et tu ne verras même pas les autres. Il est le seul
dont tu auras envie et le seul que tu vas aimer. J’ai toujours pensé que je
pouvais l’attendre. Je veux moi aussi être son dernier… »

« Tu
as été le premier ? »

« Oui. »

« Et
comment peux-tu être sûr que tu seras le dernier ? »

« Je
ne le peux pas. Je voudrais l’être mais… »

« Mais ? »
poussa un peu le jeune homme en voyant la même souffrance qu’il avait vu plus
avant assombrir le visage de l’homme qu’il deviendrait.

« Je
– J’ai » commença le professeur en s’étranglant sur les mots. « J’ai
dû me comporter avec lui d’une manière inqualifiable… J’ai été cruel avec lui
mais il le fallait… »

Comme le
jeune Severus voyait l’expression ravagée de son homologue et constatait son
manque de loquacité, il demanda encore « Pourquoi ? »

« Parce
que… il s’est passé certaines choses dans ma vie qui font que je n’ai pas pu me
conduire plus gentiment avec lui sans perdre toute ma crédibilité mais je ne
peux pas t’en parler plus en détail. Tu sauras tout quand, pour toi, le temps
sera venu. Et aussi, si j’avais laissé parler mon cœur, comment aurais-je pu
supporter… ? Lorsque je l’ai revu… la première fois après la fin de mon
voyage dans le temps… il faisait sa rentrée à Poudlard en première année. Il
n’avait que onze ans. Il était trop jeune alors j’ai attendu qu’il grandisse
mais je devais être méchant avec lui pour le maintenir éloigné. S’il avait
senti en moi un allié, un ami, je ne sais pas si j’aurais pu résisté… et s’il
m’avait vu comme un père… Merlin… »

Le jeune
Severus baissa les yeux, comprenant ce que son double n’arrivait plus à dire.
Il repartit cinq minutes plus tard, un peu chamboulé par toutes les révélations
dont il avait été le confident.

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Il se
sentait détaillé intensément et cette sensation d’yeux scrutateurs posés sur sa
personne le mettait profondément mal à l’aise. Harry leva la tête et laissa ses
prunelles vagabonder vers la source de cette gêne. Son regard émeraude rencontra
deux onyx fixes qui ne se détournèrent pas immédiatement après avoir été
découvertes. Sebastian Passionis l’observait avec insistance et une sorte
d’incrédulité. Harry leva un sourcil interrogateur qui provoqua de la part de
son interlocuteur muet une œillade méprisante et il se détourna enfin.

Harry
fronça les sourcils et se remit à savourer son petit déjeuner. A la seconde où
il abaissa les yeux sur son assiette, il sentit à nouveau des yeux intensément
posés sur lui et il soupira avant de prendre une autre bouchée.

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A la table
des professeurs, le maître des potions s’efforçait de cacher son sourire tandis
qu’il voyait son jeune double fixer Harry. C’était comme cela que tout avait
commencé. Il se souvenait qu’après avoir discuté avec lui-même la veille, il
n’avait cessé de contempler le fils de son ennemi pour comprendre pourquoi,
plus tard, il deviendrait son amant. Il se souvenait aussi que c’était en ce
même jour et, pour la première fois, qu’il avait ressenti de la tendresse pour
Harry.

Severus
soupira, plongé dans ses souvenirs avec nostalgie. Il savait que son homologue
ne voyait et ne verrait plus Harry comme il l’avait vu en arrivant dans ce
temps. Il n’était alors que le fils de James Potter, son ennemi juré.
Désormais, il était celui qui allait devenir son premier amant et son dernier
amour. Et celui qui allait l’aimer… Pour quelqu’un qui n’avait jamais eu
d’autre amour que celui de sa mère, cette dernière pensée valait de l’or.

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Harry se
demandait si Sebastian allait arrêter de le regarder comme cela un jour et
releva la tête pour le lui dire lorsqu’il vit, derrière le jeune voyageur du
temps, un certain Serpentard blond de dix huit ans, lui sourire et lui faire un
clin d’œil. Le blond essaya de lui dire quelque chose que Harry ne comprit pas
puis, comme il avait perçu la confusion de son ami, il lui fit signe de
s’attendre après le repas.

Harry lui
sourit et lui adressa un clin d’œil complice. Il ne vit pas que le jeune
Severus s’était détourné pour voir à qui il adressait ces signaux de séduction
et il vit rouge lorsqu’il découvrit que c’était le même jeune homme blond qu’il
avait remarqué un peu la veille et qui semblait très – trop – familier de son guide.

Après
avoir fusillé Draco du regard, Severus se retourna et lança des regards noirs à
Harry.

Harry
était l’être qui savait qui il était et d’où il venait. Il était celui qui
devait l’aider dans cette époque et non pas draguer tout ce qui portait un
pantalon et qui était plutôt mignon. A cette pensée, Severus serra tellement
fort son verre qu’il se brisa entre ses doigts, lui blessant la paume.

Heureusement
que le repas était fini et que les autres élèves étaient occupés à sortir de
table en bavardant ou étaient déjà partis en direction de la grande porte ce
qui fit que personne ne remarqua son geste colérique.

La main
ensanglantée, il se leva en prenant un petite serviette blanche qu’il pressa
contre sa main pour faire cesser l’écoulement. Il grimaça en sentant qu’il
venait d’enfoncer plus profondément un morceau de verre et rejeta la serviette
en faisant comme si rien ne venait de se passer. Il se soignerait dès qu’il
serait seul.

Severus
suivait Harry lorsque Draco vint rejoindre son ami.

« Tu
as quel cours ce matin ? » demanda-t-il au brun qui répondit
aussitôt.

« Deux
heures de Soins aux Créatures magiques et ensuite Défense avancée Contre les
Forces du Mal. Et toi Dray ? »

« J’ai
Potions puis Soins aux créatures magiques. Ils auraient pu nous mettre ensemble
quand même ! » s’insurgea encore Draco. « Il n’y a que nous deux
qui avons des cours différents des autres septièmes années ! Et il n’y a
que nous deux qui avons DACFM alors je ne vois pas pourquoi ils nous ont séparé
pour tout ce trimestre ! »

Le
Serpentard serra les dents avant de soupirer « Bon, de toute façon, nous
ne pouvons rien y faire mais j’aimerais que nous déjeunions ensemble ce
midi. »

« Oui,
pas de problème » répondit Harry en lui souriant. Il ne se rendit pas
compte qu’un certain jeune homme aux longs cheveux noirs le fusillait du regard
et il ajouta « Ca me fera plaisir. Tu voudras manger dans la Grande Salle
ou dans mon salon ? »

Draco
sourit, n’avisant pas l’expression choquée de Severus qui tourna à nouveau son
regard noir vers son guide.

« Dans
ton salon, nous serons plus tranquille » répondit le blond. « Tu
pourras aussi venir dîner chez moi et visiter mes appartements. Bon, je dois y
aller maintenant parce que depuis que Voldemort n’est plus, Snape nous traite
tous pareillement et le connaissant, si je suis en retard, il me donnera soit
une retenue, soit ôtera des points à Serpentard ou me torturera avec un poison
violent. »

Harry
éclata de rire et fit un petit signe de la main à son ami qui partait en
direction des cachots. Toujours en riant, il se tourna vers le Gryffondor qu’il
devait guider et son rire s’étouffa dans sa gorge lorsqu’il vit l’expression du
jeune homme.

Voulant
couper court aux sarcasmes et autres insultes qu’il voyait se profiler à
l’horizon, Harry lui attrapa la main pour l’entraîner vers son premier cours et
fût surpris de le voir grimacer et laisser échapper un petit cri. C’est alors
qu’il vit du sang couler le long des doigts fins de son condisciple.

Harry
étouffa une exclamation et porta immédiatement la main à son regard pour avoir
un aperçu de la blessure.

« Merlin,
Sebastian, comment t’es-tu fait ça ? » demanda-t-il avec brusquerie
avant de sortir sa baguette et prononcer un vif evanesco qui fit
disparaître le bout de verre.

Severus ne
répondit rien. D’une part, il ne voulait pas lui dire pourquoi et de l’autre
part, il était bien trop troublé par ces doigts frais sur sa main pour pouvoir
énoncer quoi que ce soit. Il vit son vis-à-vis utiliser la magie pour guérir sa
plaie et étouffa un gémissement de protestation lorsqu’il relâcha sa main.

« Merci »
murmura Severus d’une voix légèrement rauque.

Harry
écarquilla les yeux de surprise devant cette politesse tellement étrangère au
voyageur du temps en ce qui le concernait et répondit doucement « De
rien. »

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Harry se
massait toujours les côtes en entrant dans le cours de DCFM qui, pour lui,
serait d’un niveau supérieur aux autres élèves et distingua Remus Lupin debout
derrière son bureau. Il lui sourit et son professeur lui rendit son accueil.
Severus et lui étant les premiers arrivés dans la classe et Remus connaissant
la véritable identité du voyageur du temps, il se dirigea vers eux et prit
Harry dans ses bras pour une brève étreinte chaleureuse.

L’homme
vit Harry grimacer et se recula l’air inquiet et interrogateur.

Le jeune
homme lui répondit aussitôt « Hagrid a aussi été très content de me
voir… »

A son
tour, Remus grimaça de compassion.

« A
part des os légèrement douloureux, comment te sens-tu ? » demanda
l’enseignant.

« Je
vais bien. Un peu écœuré de voir comment le ministère se comporte avec Draco et
moi mais sinon ça va et toi ? »

« Je
vais bien aussi. Hermione t’a peut-être dit qu’elle faisait des recherches
poussées concernant les loup-garous et, apparemment, elle a trouvé certaines
choses intéressantes, en associant la médecine moldue à celle magique. Ce n’est
qu’un début, elle m’a dit de ne pas trop m’enthousiasmer dès maintenant mais je
croise les doigts. »

Un
reniflement méprisant se fit entendre et Remus se tourna vers le jeune Severus.
Il lui sourit et lui dit le bonjour.

« Je
ne pensais pas que tu serai un jour professeur Lupin » répliqua le jeune
homme avec haine. « Je me demande ce qui a pris à Dumbledore pour
embaucher un… »

« Tais-toi ! »
coupa Harry d’un ton sec.

Severus
n’eût pas le temps de répliquer que la cloche sonnait déjà et que les autres
élèves entraient tous dans la salle. Il serra pourtant les dents, défiant de
son regard méprisant le fils de son ennemi. A contrecœur, il s’installa à la
même table que Harry, au fond de la pièce, mais demeura muet et très rigide sur
sa chaise.

Il savait
que ce jour allait être difficile pour lui. Non seulement, il devait suivre un
des cours d’un maraudeur mais en plus, il était forcé de rester à côté d’un
Potter. Il tourna la tête en direction du dit-Potter en vu de lui montrer toute
la morgue qu’il lui inspirait lorsqu’il se retrouva face à face avec le postérieur
du jeune homme qui s’était penché pour chercher quelque chose dans son sac.

A ce
moment-là, Severus se rappela que ce fessier allait lui appartenir sous peu et
il sentit une vague de chaleur partir de son cerveau, envahir ses veines à une
vitesse fulgurante pour venir brûler son sexe qui se gonfla tout aussi
rapidement.

Ses joues
s’empourprèrent et il serra les poings.

« Nous
allons apprendre aujourd’hui un sort complexe qui permet de renvoyer un autre
sort à son expéditeur… » commençait Lupin.

Severus ne
pouvait détacher son regard de cette croupe tentante qui l’attirait
irrésistiblement. Cachée par la robe noire qui la drapait, elle était pourtant
bien visible et parfaitement moulée par le tissu. Severus pouvait deviner la
chair ferme et musclée comme seule les joueurs de Quidditch la possédait. Douce
aussi et belle et bombée… Oh Merlin ! Son érection se durcit davantage et
il déglutit avec peine.

« …
Vous allez vous mettre bien sûr par pair mais d’abord je veux vous éclairer un
peu sur la théorie… »

Si
charnue… Et il lui appartiendrait. Un jour, il se glisserait entre ses deux
fesses pour se perdre dans sa chaleur, dans sa moiteur. Il y pénétrerait si
lentement que son amant le supplierait de l’empaler avec force. Sans s’en
rendre compte, sa main s’avança vers ce postérieur pour en éprouver sa chair.

Harry
cherchait désespérément son petit carnet de notes qu’il avait soigneusement
préparé en vue de ce premier cours mais ne le trouvait pas dans son sac.
L’avait-il oublié dans sa chambre ? Il ne se souvenait pas de l’avoir posé
sur son bureau. Il lui semblait l’avoir glissé dans l’une des poches pourtant.

Il
entendait Remus commencer sa classe normale pour les septième année et il
savait que son professeur allait bientôt venir le voir pour l’organisation de
ses propres cours. Il devait absolument retrouver ce bloc.

Au bout de
deux minutes, Harry soupira de soulagement en posant le main dessus et allait
se redresser lorsqu’il sentit un contact chaud se glisser sur ses fesses. Il retint
sa respiration soudainement en écarquillant les yeux et se retourna vivement
vers son camarade.

Harry
dévisagea Severus avec incrédulité et étonnement et il vit le jeune homme
rougir furieusement en retirant la main de son fessier. Severus avait l’air
tout aussi déconcerté que lui par son geste et ils restèrent là, à se fixer
comme deux ronds de flan.

A suivre...
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