Le dragon et la Kitsune | By : sneaky666 Category: French > Anime Views: 14643 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
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Chapitre 3 : La vengeance est un plat se mangeant chaud
Cinq jours plus tard (jeudi) :
Issei bénissait cette diabolique semaine. Se souvenant des actions de sa sœur suffisait à faire son pantalon trop serré. Il avait parfaitement baptisé la petite salope au cours de la semaine. Lui faisant comprendre qu’elle n’était rien de plus qu’une renarde destiné à accueillir son sperme. Chaque soir il l’a laissé au pied de son lit ou sur un des poteaux de son lit, brisée avec le ventre comme un ballon de plage et couverte dans son sperme. Il s’était assurer qu’elle devienne habituer à la seul bite qu’elle était destiné sentir pénétrer sa chatte ainsi qu’à l’entrainer à sucer comme une pro. Quelques fois il l’a sortait quand l’envie li prenait. Sa sœur essayé toujours de le battre dans un concours d’endurance mais vu son état, il était improbable qu’elle y arrive.
Actuellement il se tenait devant la salle du club de kendo. Vous pensiez qu’il allait jeter un regard furtif sur les magnifique oppai que ce club avait ? Eh bien vous auriez à moitié raison. Il allait jeter un regard mais il ne serait pas furtif. Naruko voulait tester les phéromones qu’il dégageait, et elle voulait comme cochon de guinée les membres du club de kendo et voir s’il pouvait les ajouter à son harem. Issei était dubitatif, ces filles le détestaient pour être un pervers, plusieurs fois il avait subi la justice féminine pour s’être faufiler dans leurs club et avoir un regard de leurs oppai. Mais sa sœur avait été très persuasive, Issei n’était pas dupe, sa sœur voulait lui plaire avant tout et savait comment il admirait leurs courbes mais elle voulait aussi se venger. Non seulement elle grommelait comment ses misérables pute osaient lever la main sur Issei-nii, mais là elle voulait les transformer en ses esclaves. La raison était simple, Momo et Tomoe, deux filles qu’il savait que sa sœur considérait comme ses amies les plus proche. Naruko avait toujours détesté qu’on touche ses affaires ou qu’on les abime, il préférait oublier le jour où il avait accidentellement arraché la jambe de sa poupée, et là elle était sur le sentier de la guerre. Lundi une rumeur était apparue comme quoi Tomoe et Momo étaient lesbienne et avait été vu s’embrasser derrière l’école. Comme d’habitude les rumeurs avait tout de suite étaient cru et avait pris des proportions absurde, bien que celle-là n’étonnerait pas Issei, sa sœur était bisexuelle et la proximité et la possessivité dont elle faisait preuve avec Momo et Tomoe lui laissait à penser qu’elle avait déjà eu des relations sexuelle avec elles. Les costumes absolument obscène qu’elle portait ne les aider pas se justifier, même si tous les membres du conseil des étudiants étaient dans une situation similaire. D’ailleurs plusieurs rumeurs couraient là-dessus, on ferait chanter le conseil, on leur aurait volé tous leurs vêtements e laisser cela, le trio pervers aurait réussi à faire passer une règle concernant l’uniforme obligatoire et bientôt toute l’école devrait porter des choses similaire, celle-là avait déclenché une panique de masse où Sona avait dû prononcer un discours pour calmer tout le monde. Un discours de Sona dans un costume de lapin sexy était gravé dans la mémoire de chaque étudiant… Mais celle qu’aimait Issei le plus était celle de la kitsune maudissant Sona pour l’éternité en la condamnant à porter des vêtements obscène pour l’éternité.
Certaines personnes jalouses en avait profitées pour balancer des rumeurs horrible sur les deux, dégradant leurs bureaux avec des graffitis, remplissant leurs casiers de déchet… les trucs habituelle quand on voulait pourrir la vie à une élève. Issei n‘avait rien contre l’homosexualité tant qu’il ne voyait pas le truc d’un gars et qu’on ne voulait pas lui collait ce truc dans le cul. Les auteurs des incidents étaient très précautionneux, on ne s’attaquait pas au conseil des étudiants impunément, mais ils ne connaissaient pas Naruko. Elle avait réussi à situer les auteurs dans le club de kendo et avait vu l’occasion de faire d’une pierre deux coup. Quelle plus horrible punition que celle d’être obligé d’obéir à l’être que vous détestez le plus ? Il fallait savoir que Naruko défendait avec hargne ce qu’elle considérait comme lui appartenant et avait une rancune très tenace. Mais elle aimait ceux avec qui elle se liait, il ne pourrait jamais assez remercier son imouto travaillant pour créer son harem.
Issei respira un grand coup et ouvrit la porte du club de kendo que lui avait déverrouillé Naruko. La porte s’ouvrit sur le paradis et son avenir, les filles venait de terminer un entrainement et était en plein processus de déshabillage, certaine avait leurs culottes et leurs soutien-gorge, d’autres en avait qu’un seul des deux, certaine ne portaient rien. Un bouquet de magnifiques fleurs se tenait dans toutes leurs gloires devant les yeux avide et lubrique d’Issei. Bronzé, pale, rose, pèche, un éventail de différente peau luisante de sueur apparurent devant lui, des hanches large, petite… des oppai gros, petit, rond, allonger, dodue, ferme, moelleux, généreux… attaché à des corps minces et athlétiques. Le rêve de tous les hommes était devant ses yeux.
Ce ne furent pas les pensées des membres qui hurlèrent de surprise en voyant un homme ayant le culot d’entrer dans leur vestiaire pendant qu’elles se changeaient. Tous avaient leurs poitrines et leurs aines couverte par leurs bras par réflexe, il y avait seulement une dizaine de membre du club présent en ce moment.
« Hiiiiii ! »Un cri collectif de femelle surprise et effrayé retentit dans le vestiaire.
« Qu’est-ce que tu fous ici Hyoudou !? »
« Comment il est entré ? »
« Je ne veux pas que ce pervers me voit nue, je ne pourrais plus me marier ! » Divers autres paroles exprimant leurs paniques volèrent dans les airs faisant sourire Issei. A ce moment son sourire lubrique atteignait un niveau qui aurait fait fuir une nonne dans la terreur et ses yeux brillaient de façon malfaisante.
Une des membres se mit devant lui cachant la vue céleste, la regardant il eut le plaisir de voir Ueda Murayama dans toute sa gloire avec un ensemble oser de dentelle bleu qui couvrait ses seins et son aine. Elle avait des cheveux noire coiffée en deux queues de cheval haute attachaient par deux rubans rouges. Sa frange droite était coupée juste au-dessus de ses eux à l’exception de deux pattes plus longues qui encadraient son visage. Ses yeux étaient de couleur noisette et elle avait une peau crémeuse. D’une hauteur moyenne elle était aussi bien dotée, selon Motohama ses tailles étaient B84-W70-H81, la femme la plus en courbe du club.
« Tu es venue prendre des coups Hyoudou ? Ne pense pas t’en tirer indemne après avoir eu le culot d’entrer comme ça pendant qu’on se changeait. » Issei sourit simplement en réponse, ses yeux ayant un feu brulant de désir. Murayama senti son corps être violer lorsqu’elle vu les yeux d’Issei parcourir son corps, malgré ses sous-vêtements elle sentit le besoin de se couvrir, en un regard sur elle, elle s’était sentit souiller comme si on avait vidé un sceau d’eau en provenance des égouts sur sa tête. Mais, elle ne reculera pas, elle protégerait les autres filles de cette bête lubrique
« Non, je suis venue chercher des vêtements que ma sœur a oublié. Je suis un grand-frère modèle, mais la vue de vos oppai est certainement magnifique. » Issei essaya de pousser la production de ses phéromone au maximum pour saturer le vestiaire, Naruko appelait un entrainement pour contrôler ses pouvoirs. Issei était heureux de s’y confirmer. Si Naruko avait raison il fallait une minute pour que les effets se fasse sentir, une minute à faire la discussion et éviter les coups, après quelques stimulations visuelles vas commencer à effriter leurs contrôle.
Issei sentit ses yeux s’élargir en voyant un projectile venir vers lui, l’attrapant en vol il regarda avec incrédulité l’objet avec le quelle on avait essayé de le lapider. Un soutien-gorge rose venant d’une femme plutôt bien doté au vu de la taille du soutien-gorge, très bien doté. Regardant le lanceur il vu Shimizu Katase le bras en position de lancer ayant gelé. Elle avait dû prendre la première chose qu’il lui tomber sous la main pour lui lancer et essayer de le faire fuir, ce qui avait été son soutien-gorge. Katase était la meilleur ami de Murayama, elle avait les cheveux court, avec une couleur unique, un rose très pale avec une légère teinte rouge-orange, sa frange était tenue par son bandeau laissant son front à découvert. Ses yeux étaient d’une teinte plus foncé que ses cheveux, et selon Motohama ses tailles étaient B78.5-W65-H79. Ayant lançait son soutien-gorge et ne portant pas sa culotte, elle ne portait rien. Issei fut surpris, d’une part parce que le soutien-gorge ne correspondait aux mamelles gigantesques que possédait Katase, Issei savait que certaine femmes ne supportait pas leurs oppai quand ils étaient trop gros, une chose qu’il ne comprenait pas. La taille d’un oppai est appréciable, mais son élasticité, son onctuosité, le fait qu’il soit moelleux ou ferme… tout ceci faisait d’un oppai un bon oppai, on ne devait pas maltraiter un oppai en le forçant de rétrécir. Les oppai étaient grand et généreux avec les hommes ! Les oppai recelaient le secret du bonheur. Et c’est pour ça que les hommes doivent vénérer les oppai. Les oppai resteront toujours des oppai, peu importe ce qu’on essaye de leurs faire.
Les oppai de Katase avaient au moins vingt centimètre de plus que les prédictions de Motohama. Comment Katase ne tombait pas à genoux en raison de douleur ou en du manque d’air d’avoir la poitrine compressé comme ça été au-delà de toute logique.
Issei bava à la vue merveilleuse, ces oppai étaient plus grand que ceux de Naruko ! Il sembler bien ferme et doux, il avait envie d’enterré sa bite entre eux. Mais ce qui le choqua le plus ce sont les mamelons, d’épais mamelon presque aussi grand et épais que son petit doigt avec des auréoles sombre et étendue. Ses yeux se baissèrent et il put voir son trésor encadré par deux hanches larges et potelé, une vulve presque glabre avec une fine moquette de cheveux correspondant à ses cheveux. Il y avait des paris pour savoir si sa couleur de cheveux était naturelle ou non, et il semblait qu’il remporterait le pot. Les lèvres de sa vulve étaient grasses et dodue d’une belle couleur rose saine.
Voyant les yeux d’Issei allait vers le sud, Katase hurla de terreur et s’effondra sur les genoux en essayant de couvrir son corps nu en répétant. « Il a tout vue, Il a tout vue, Il a tout vue, je suis sali, je suis sali, mon dieu pitié… » Elle était en état de choc, le simple passage du plus grand pervers que la terre est portée fut suffisant pour que sa corruption prenne effet sur ces pauvres brebis. Il allait s’assurer de conduire ces brebis égaré vers le droit chemin que sont la grandeur des oppai ! Voyant son amie dans cet état fit rougir de colère Murayama qui se lança vers lui, mais Issei d’un simple pas de côté l’esquiva.
« Co… comm… comment peux-tu être autant sans vergogne Hyoudou ?! » Ah, la beauté du club de kendo était là aussi. Yui Kotegawa, une fille incroyablement doué dans de nombreux domaine faisant d’elle une cible tentante pour les moqueries. Contrairement à Rias, Akeno… Yui avait le malheur d’être très prude et de détester les garçons la faisant plutôt impopulaire. Mais pour Issei elle faisait partie des plus belles filles de l’académie, son comportement ne la dérangeait pas car la plupart des filles se comportait de la même façon à son égard. Elle était mignonne et sexy, Issei avait eu un coup de cœur sur elle parce que les traits de son visage tenait une certaine ressemblance avec sa sœur et qu’elle était une tsundere. Son instinct lui hurlait ‘tsundere, tsundere’ quand il était autour d’elle, mais personne ne le croyait, même Matsuda et Motohama ne le croyait pas. Elle avait de longs cheveux noirs brillant d’une teinte violette avec des yeux marron foncé.
Elle s’était enveloppée d’un peignoir blanc espérant échapper à ses yeux avide de chair féminine, en vain. Sa peau bronzé et parfaite se voyait parfaitement, elle avait dû attraper le peignoir d’un kouhai car il arrivait à peine à cacher ses courbes abondantes. Ses seins presque aussi énorme que Naruko faisait un tour de poitrine de 88 centimètres semblait déborder du peignoir, Issei pouvait voir le plus stricte soupçon de ses auréole rose pale, le bas du peignoir n’arrivait même pas à mi-cuisse. Une de ses mains essayait d’empêcher le peignoir de s’ouvrir tandis que l’autre le tirait vers le bas.
« Hyoudou, sort tout de suite de ce vestiaire ! Comme si je laisserais une bête sauvage sans vergogne comme toi voir ma pureté ! Et tu crois qu’on va croire ton excuse ?! Te servir de ta douce et innocente petite sœur pour satisfaire tes pulsions lubriques ! N’as-tu donc point honte ?! » Elle aurait pu être intimidant si ses joues n’étaient pas rouge tomates. Son discours donna du courage aux autres filles qui l’insultèrent et lui ordonnèrent de sortir. Issei ignora calmement ceci grâce à des années de pratiques, se délectant de la chair nue qui s’offrait à lui.
« Kotegawa à raison Hyoudou, dégage ! Et rend son soutien-gorge à Katase-chan ! »
« Je ne peux pas partir sans les vêtements de ma petites sœur, et puis je doute que dans votre état vous puissiez me faire quelque chose. Vous êtes quasiment nue et sans vos shinai vous êtes sans défense. Quant au soutien-gorge…» Railla Issei avant d’amener le soutien-gorge trempé de sueur sous son nez et de le respirer à l’horreur des femmes. Katase failli s’évanouir. Issei sourit de façon libidineuse, la sueur de la poitrine de Katase sentait fruité, une sensation agréable et douce envahit son nez.
Murayama sentit sa colère arriver à ébullition en entendant cela et voyant Hyoudou la raillait en osant faire une chose aussi obscène devant elle, elle s’élança de nouveau à Hyoudou en ayant bien l’intention de le mettre à terre et d’enlever ce sourire lubrique de son visage.
Issei sourit lorsqu’il vu Murayama le charger. Il était temps de mettre en action ce que lui avait appris Naruko. Il s’élança dans sa direction la surprenant, il n’y avait même pas deux mètre séparant les protagonistes.
Murayama sourit en voyant le fou courir dans sa direction, elle allait lui attraper le col, le renverser et piétiner ses couilles avec son talon faisant monter efficacement sa voix dans les aigu. Lorsque sa main s’approchant de son col il disparut de son champ de vision.
« Technique perverse n°1 : Jack Rackan ! » Elle s’arrêta immédiatement au son de sa voix derrière elle, elle se prépara pour le charger une nouvelle fois. Mais elle entendit des exclamations de terreur de ses amis, observant Hyoudou, elle vue quelque chose de bizarre dans sa main droite il tenait le soutien-gorge rose de Katase mais d’où venait le soutien-gorge bleu dans sa main gauche ? Et pourquoi il fixait sa poitrine avec cet horrible sourire ? Baissant ses yeux elle comprit pourquoi.
Issei regarda avec satisfaction les gros oppai de Murayama être libéré du tissus les laissant libre de rebondir. Et quel rebond ! Après s’être arrêter et retourner pour lui faire face, Issei put compter quatre rebonds avec trois balancements ! De beau oppai bien rond avec des mamelons gonflés rouge vif. Mais Murayama les cacha vite en mettant un bras en travers, elle avait les larmes qui perlaient au coin de ses yeux, son visage montré qu’elle essayait de se mettre en colère mais avec la honte qu’elle ressentait cela se transformer en une moue absolument charmante.
Il sentit une intention malfaisante derrière lui, agissant sur l’instinct, il se baissa. Une main passa juste là où avait été sa tête. Lâchant les soutien-gorge il passa à l’attaque.
Claire Farron était une anglaise, très grande par les normes japonaise et svelte, un physique fin avec de très belle courbe, son corps était le plus athlétique du club complétait par une peau bronzé du plus belle effet. Elle avait des cheveux roses très clairs arrivant dans son cou, son visage était plutôt marqué par une beauté européenne avec des traits fins compété par des yeux bleus avec des reflets verts. Ses seins avaient la taille de pamplemousse avec des mamelons rose clair… et il put voir qu’elle avait un piercing au nombril. Un pari de perdu. Elle était surnommé ‘la reine des glace’ car elle ne montrait que peu d’émotion et était connu pour tabasser des adultes qui avaient essayé de toucher ses seins.
Claire sentit ses yeux se creuser lorsque le pervers disparu de ses yeux et blêmit lorsqu’elle entendit sa voix derrière elle.
Issei sourit lorsque d’un pas souple il passa derrière Claire et s’accroupit. Il fut fasse un très beau cul dont le choix de la culotte le surpris. Qui aurait cru que la reine des glaces portait des minces culottes à froufrou rouge ? Cela lui faisait un très très beau cul.
« Technique perverse n°2 : Hatake Kakashi ! »
Un silence lourd de sens tomba sur le vestiaire lorsqu’Issei enfonça ses doigts dans le cul de Claire. Claire, pour la première fois depuis longtemps, exprima des émotions, un mélange de honte, de colère et de rage mélanger à un soupçon d’intention de tuer…
« Haaaaa ! »
…. Avant de voler à travers le vestiaire en hurlant. Mais personne ne manqua que son cri fût l’un de plaisir ou que sa culotte soit devenue trempé durant le vol.
Issei sourit en voyant cela, en revêtant ses doigts d’une mince couche d’énergie démoniaque cette technique devenait extrêmement agréable pour la victime. Et en voyant l’état de sa victime affalait contre le mur avec un sourire sur son visage tandis qu’une flaque de cyprine se formait sous elle. Cette technique était une réussite.
Les autres membres en voyant leurs ace être défait paniquèrent, une qui était derrière lui se rua sur la porte et tenta de l’ouvrir… échec. En se retournant Setsuna, une jeune fille à la poitrine modeste et au teint quasiment blanc avec des cheveux noirs coiffé en une queue de cheval haute sur le côté gauche de sa tête et des yeux noirs fut terrifié à la vue d’Issei Hyoudou, le monstre pervers, auto-proclamé roi harem, meneur du trio pervers s’approcher d’elle avec des mouvements de doigts étrange, les yeux brillant et sa langue humidifiant ses lèvres. Elle n’avait que sa culotte blanche pure avec un nounours dessus pour protéger sa pureté.
« Je peux pas ouvrir la porte ! Pitié laissez-moi sortir ! Non, non, ne t’approche pas ! Laisse-moi vierge, je t’en prie ! Je veux pouvoir me marieerrrrr ! »
« Technique perverse n°3 : Hyoudou Issei ! »
« Où sont mes vêtements ? »
« Où est mon peignoir ? »
« Fuyez pour protéger votre pureté et votre innocence ! »
« Je vais me faire violer. » Issei sourit en les voyants fuir incapable de trouver tout morceaux de tissus autres que ceux qu’elles portaient.
Les autres filles se tassèrent dans un coin du club en voyant l’effet dévastateur de la technique originale de Hyoudou, aucune ne savait comment ceci pouvait être possible, mais Setsuna était affalé contre la porte avec la bouche ouverte avec la bave qui coulait du coin de sa bouche et les yeux vacants. Ses seins semblait avoir pris deux bonnets et bougeaient dans tous les sens comme des tuyaux d’arrosage lâcher et qui expulserait de l’eau sous haute pression… dans le cas présent du lait était expulsé avec force de ses mamelons arrosant les alentours. Sa culotte était devenue transparente, essayant d’absorber son jus de fruit qui coulait en continue de sa chatte. Sa vulve légèrement écartait collée à sa culotte donnant un magnifique aperçu de son intérieur.
Comment ce monstre avait pu devenir aussi fort ?! Et c’était quoi ces techniques perverses ?! Elles se serrèrent entre elle dans l’espoir d’échapper à sa lubricité toute-puissante.
Murayama se remit devant elle, ne cherchant plus à cacher ses magnifiques mamelles.
« Qu’est-ce que tu fais ici Hyoudou ?! »
« Je te l’ai di… »
« Comme si j’allais croire ses connerie ! La porte fermée, les vêtements qui disparaissent… et tu veux nous faire croire que tu es venue chercher les vêtements de ta sœur ?! » Issei continua de sourire, elle était presque mûre. Ses tétons pointaient, ses joues étaient rouges, sa respiration devenait de plus en plus rapide, et une tache sombre se formait sur le devant de sa culotte bleu. Certes l’effet était moins puissant que sur Naruko et n’était pas instantané, mais ce serait un excellent outil pour l’aider à élargir son harem à toute les espèces possible. Il avait toujours son rêve de former son harem, mais en ayant appris que le monde surnaturel existait, il voulait le diversifier autant que possible… Valkirye, yokai, héros, déesse… aucune femme ne serait à l’abri de sa perversité, le club de kendo était juste un échauffement.
« Je souhaite vous ajoutez à mon harem ! » Le silence se fit dans le vestiaire, aucune des filles n’en croyait leurs oreilles. Mais en voyant la nouvelle force de Hyoudou, la plupart n’eurent pas le courage de le dénigrer. Et puis même si c’était complétement stupide, l’honnêteté était une qualité admirable… même chez les pervers.
« Ahahaha ! » Murayama riait à gorge déployée, en se tenant le ventre tellement cela paraissait absurde. Le pire ennemi des femmes, dont la perversité était légendaire dans toute la ville, l’homme qui avait proclamé à qui voulait bien l’entendre être un roi harem, celui qu’elles avaient battues avec ses deux amis du trio pervers pour protégeait leurs pureté. Débarquer sans aucune honte dans leur vestiaire pour les mater ouvertement, avait effectué techniquement un ippon sur les plus forts membres du club et disait qu’elles appartiendraient à son harem. C’était trop ridicule pour être pris au sérieux.
« Ahaha… tu es décidément un imbécile qui n’apprend jamais… » Lui dit-elle carrément en essayant de calmer son rire. « …Tu penses qu’après presque un trimestre à venir nous épier pendant qu’on se déshabillaient, qu’on vous poursuive toi et tes amis pour vous apprendre les bonnes manières on accepteraient quelque chose de si absurde. L’enfer gèlera avant que je fasse partie de ton harem… » Toutes les filles hochèrent la tête à cela. « … et puis je suis sûre que tu serais incapable de satisfaire une femme avec le ver que tu oses appeler une bite dans ton pantalon, alors nous toute c’est impossible. » Murayama voulait l’écraser, elle voulait détruire sa dignité d’homme. Alors pour prouver son point, tout en cachant son buste avec son bras, elle s’approcha de lui, et surmontant son dégout, elle attrapa son paquet avec sa main gauche.
Pour les filles encore consciente, elles avaient sentit un regain de courage grâce à Murayama, mais furent étonné lorsqu’au lieu de voir le visage honteux de Hyoudou et Murayama portant un sourire victorieux, elles virent Hyoudou garder un sourire arrogant qui leurs étaient insupportable et Murayama ayant une tête stupéfaite ressemblant plus au poisson qu’à l’humain.
Elle n’arrivait pas à y croire, sa main pouvait sentir cette chose dans le pantalon de Hyoudou. C’était un monstre ! Comment il pouvait cacher un tel monstre dans son pantalon ! La chose qu’elle pouvait sentir à travers le tissu était gigantesque, même à travers le tissu elle pouvait sentir sa dureté et la chaleur brulante qu’il dégageait. Cela n’aida pas à garder la chaleur en provenance de son aine sous contrôle, en jetant un regard sur les membres du club elle vit qu’elles avaient le même problème qu’elle. Elles étaient excité, la pluparts avaient les joue rouges, respirait rapidement et certaine se frottait inconsciemment les cuisses. Hyoudou les avaient elles droguées ? Impossible, elle ne sentait rien qu’une excitation naissante, pas de confusion ou autres symptômes, et la seule chose qu’elles avaient ingérer était l’eau qui venait du robinet, ça se verrait dans toute l’école. Et elle doutait que Hyoudou puisse trouver facilement des drogues capables de les exciter aussi rapidement et fortement.
Elle aimerait fuir mais la porte était spécialement conçu pour être inviolable, et si elle était verrouillée c’était mission impossible de sortir, et les lucarnes étaient trop petites pour passer à travers, les douches n’avaient aucune issue de secours. Quand à attendre les secours, leurs cris n’avaient rameutés personnes, et le concierge ne passerait que dans environ quatre heures, beaucoup trop long pour attendre.
« Laisse-nous sortir Hyoudou ! » Elle sifflait mécontente, elle était sûre que c’était lui le responsable. Sa patience devenait mince très rapidement, et la sensation de ce gigantesque organe masculin qu’elle avait sous la main ne l’aidait pas à calmer son excitation.
« Pourquoi pense tu que j’ai quelque chose à voir avec notre situation ? Je suis innocent, un simple pervers coincé dans un vestiaire avec une dizaine de fille magnifique. On dirait le scénario d’un mauvais porno. Surtout avec une aussi jolie fille tenant mon outil. Et vu ton silence tu sembles impressionné. » Murayama se surpris à rougir, aucun garçon ne leur faisait des compliments si honnête. Le plus souvent c’était pour entrer dans leurs jupes. Hyoudou était peut-être un pervers dangereux pour la société mais jamais il n’avait mentit, il s’assumait comme telle et ne se cachait pas derrière un masque de civilité avant de violer les jeunes filles sans défense. Bien que leurs situation était… problématique, elle pouvait dire qu’il était vraiment honnête, par contre comparé cette situation à un porno l’irriter.
« D’accord et si… et je dis bien si… c’était réellement toi qui avait organisé cela. Comment on n’arriverait à sortir du vestiaire ? » Murayama était vraiment frustré, elle était coincée ici et elle avait vraiment besoin de ses doigts pour résoudre un certain problème qui se faisait de plus en plus pressant.
Issei failli rire maniaque en entendant Murayama dire ça, elle était désespérée. Il pouvait voir qu’elle était fortement émoustillée.
« Hé, bien dans l’hypothèse où se serait moi l’investigateur de cette situation, je ne vous laisserais pas partir jusqu’à ce que je suis mou. » Murayama gela à ses paroles, et elle put entendre les filles derrière elle souffler de peur et trembler en comprenant ce que Hyoudou souhaitait. Murayama sentit ses poils s’hérissaient de colère, mais ils n’y avaient aucunes autres solutions. Et puis elle lui donnerait une branlette rapide et puis ce serait fini… elle espère. Normalement les jeunes garçons ne peuvent pas jouir plus d’une fois, et même si Hyoudou était très pervers ce ne serait pas plus de deux ou trois fois.
A l’horreur des autres filles, elle lâcha le paquet, découvrit ses seins et s’accroupit devant Hyoudou. Elle était la responsable du club, c’était sa responsabilité, elle ne pouvait pas laisser les autres filles faire la sale besogne. Jetant un regard de côté, elle envoya un regard d’excuse à Katase qui était à l’écart des autres filles et était dans la même position depuis qu’elle avait lancée son soutien-gorge.
Défaisant tremblante le pantalon de Hyoudou, elle le baissa pour voir son boxer blanc arrivant à peine à contenir son érection. Décidant d’en finir avec ça, elle descendit d’un coup le boxer de Hyoudou. La prochaine chose qui se passa fut qu’elle sentit quelque chose heurter sa tête avec la force d’un marteau en l’assommant presque. Elle entendit des cris de terreur et des corps heurtant le sol. Devant elle put voir un scrotum poilu qui contenait les deux plus grosses couilles qu’elle n’ait jamais vues. Reculant, elle vue la verge quittait son crane pour se tenir en face de son visage, aucun des hommes qu’elle avait vue jouée dans les porno ne s’approcher de ce monstre. Même en l’ayant touché à travers le pantalon elle n’avait pas correctement jugée sa taille et sa largeur monstrueuse. Jetant un regard derrière elle, elle vu que toutes les filles étaient pale et tremblante, trois d’entre-elle s’étaient évanouies. Elle ne leur en voulait pas, elle-même n’était certainement pas dans un meilleurs état, si elle n’avait pas été à genoux elle serait certainement tombée sous le choc. Elle vue Hyoudou s’assoir sur le banc et écarter les jambes pour lui laisser la place de se faufiler entre elles, et sa bite dure entre elles pointant directement dans sa direction en attente avec du liquide incolore coulant en abondance du bout.
« Qu’est-ce que tu disais sur ma bite Murayama ? »
Ravalant sa salive, elle répondit. « Je disais qu’elle était minuscule et j’ai eu tort, heureux ? J’espère que tu ne veux pas que je la mette dans mon vagin ? Ca me tuerait. » Elle détestait Hyoudou, mais elle savait qu’il n’était pas un monstre, elle doute qu’il veuille leur faire mal. Et c’était ce qui se passerait si cette perche devait aller en elle, elle se demanda avec qui Hyoudou pourrait avoir des relations sexuel avec quelque chose d’aussi gros. Comment il pouvait cacher un monstre aussi gros dans son uniforme était au-delà de son raisonnement. On aurait qu’un auteur ayant des problèmes mentaux aurait écrit une mauvaise fanfic et doué l’homme d’une bite ayant pour seul objectif de casser les femmes en deux.
« Ca dépend de la suite. Mais effectivement je doute que tu puisses tout prendre. » Le sourire goguenard qu’il portait l’énerva, elle savait qu’il savait qu’il l’avait dans le creux de sa main. Mais même pour tout l’or du monde elle ne ferait pas l’amour avec Hyoudou.
Regardant la tête luisante en forme de champignon, elle enroula ses mains autour de la verge.
C’était incroyable. La peau était douce et brulante au toucher, ses mains n’arrivaient même pas à faire la moitié du tour de ce monstre. En ravalant sa salive et prenant son courage en main, elle commença à le masturber comme elle avait vu faire des milliers de femmes dans les vidéo porno qu’elle regardait en cachette.
Elle était longue et chaude, passant ses petites mains soyeuse sur ce bâton viande était plus excitant qu’elle ne le croyait, elle sentait sa culotte être complétement humide de son jus. Voir l’urètre se contracté avant de cacher de gros globe de liquide pré-éjaculatoire ne l’aidait pas à essayer d’être dégouter de la situation. Une douce odeur de pêche flottait à son nez avec l’odeur salé et viril du liquide pré-éjaculatoire. Murayama espérait que ce serait vite terminé, c’était une torture insoutenable, elle ne pensait pas qu’elle pouvait prendre du plaisir à masturber un homme, mais apparemment si. Elle s’amusait, sentir la bite tremblait et crachait du liquide, voir Hyoudou la fixait avec le désir dans les yeux tandis que sa respiration devenait plus rapide et que de la sueur commençait à perlait sur son corps était réellement excitant. Savoir qu’elle était la source du plaisir d’un homme, qu’il la désirait, ces yeux empli de désir parcourant son corps. Tout cela stimulait son imagination sexuel, et même si d’un côté elle était dégouter que ce soit Hyoudou, contrairement à la majorité des hommes il était un bel homme. Des yeux marrons clair brillant avec des cheveux marron avec des trais du visage bien défini, il était plutôt grand sans une trace de graisse visible. Si ce n’était pas pour son comportement pervers il aurait fait un très bon petit-ami.
Elle sentit ses mains toucher le pré-éjaculatoire qui couler dessous, grimaçant de dégout elle se souvint que c’était un excellent lubrifiant pour faciliter la pénétration ou la masturbation. Et avec ce qui tombait sur le sol et coulait le long de sa verge, elle avait plus que suffisamment de lubrifiant pour couvrir entièrement cette chose d’une longueur et largeur absurde. Une pensé parasite traversa sa tête en regardant un nouveau globe pré-éjaculatoire gros comme une balle de golf coulait le long de sa verge en direction de ses mains menues. S’il produisait autant de liquide pré-éjaculatoire, quelle serait le volume de sperme qu’il éjaculerait ? D’après ce qu’elle savait, toujours grâce au porno, un homme éjaculait au mieux une cuillère à soupe. Hyoudou avait peut-être une bite mettant à la honte la population male sur terre mais elle doutait qu’il puisse éjaculer plus d’une cuillère à soupe.
Sa main glissait beaucoup plus facilement le long de sa bite avec le lubrifiant collant. Une odeur forte en provenance de la bite de Hyoudou rejoignit celle de pêche, et son corps à sa grande honte réagit en conséquence. Sa culotte était imbiber et le jus commençait à couler le long de ses cuisses, malheureusement pour elle Hyoudou remarqua ceci.
« Tu sais Murayama, tu n’as pas à avoir honte d’être exciter. Tu n’as jamais vu ni toucher une aussi grosse bite, et tes amis aussi d’ailleurs. On dirait qu’elles vont se masturbait d’une minute à l’autre. Et si tu supplie en seiza, peut-être que j’accepterais de te baisait et de satisfaire tes pulsions sexuel refoulées. »
Jetant un regard à ses camarades, elle vue qu’effectivement la plupart était dans un état grave d’excitation, la sueur de leurs exercices se combiné à la sueur de leur excitation rendant leurs peau brillante à la lumière des ampoules. Pour celle qui avait des sous-vêtements, ils collaient à leur peau, et si elles avaient le malheur d’avoir des sous-vêtements de couleur claire, on pouvait voir clairement voir leurs mamelons dressés ou leurs vulves collaient à leurs culottes. Le sol en-dessous d’elle était humide de leurs sueurs et de leurs jus, certaines d’entre elle commençaient à voir leurs mains dérivées inconsciemment vers le sud.
« Hyoudou, tu nage en plein délirer si tu croies que je vais te supplier de me faire l’amour. Il n’y aucun moyen que je te laisse me toucher ou toucher les autres filles. Et je ne suis pas exciter ! Il fait juste incroyablement chaud dans le vestiaire. Et je n’ai pas de pas de pulsions sexuel refoulées. » Son excuse sonnait faible, même à ses propres oreilles.
Issei sourit juste en voyant Murayama continuait de le masturber. Murayama était une belle fille, et la voir comme ça après presque un trimestre de brimade pour avoir admiré ce magnifique corps était très satisfaisant. Et elle était un peu inexpérimentée, elle ne changeait pas de méthode, continuant simplement à le masturber avec ses mains douce. Elle passait bien ses mains sur toute la longueur de sa bite, avec un rythme ni trop rapide, ni trop lent. Il avait vu une vue plongeante de ses mamelles et de ses mamelons dur. Il savait qu’elle accepterait de baiser avec lui à terme, avec cette techniques inachevée de masturbation il n’y avait aucune chance qu’elle le fasse jouir. En attendant il profitait des sensations qu’elle lui donnait ainsi que de la vue de ses amies en sueur dont toutes les courbes étaient visibles avec leurs sous-vêtements qui collait à leur corps. Avec sa vue améliorer, il pouvait facilement voir les détails des parties intimes à travers les vêtements humides. La vue de tant de oppai différents et chacun ayant une beauté unique fit une magnifique vue.
Yui était particulièrement sexy avec son peignoir trempe et ses longs cheveux noire collant a son corps, et elle ne semblait pas se rendre compte qu’accroupit comme ça elle lui donnait un angle parfait de son trésor. Sa vulve était une fine fente glabre surmontée d’un clitoris rose dur comme la pierre, des perles de sueur se mêlant à sa cyprine parcouraient sa fente de façon harmonieuse avant de pendre durant quelques secondes à une ses lèvres engorgé et de tomber dans la flaque croissante de liquide ou elle et les membres du club de kendo se trouvait.
Murayama commençait à douter de son plan, ça faisait dix minutes qu’elle était à ce même endroit à effectuer les mêmes mouvements, encore et encore. Ses bras commençaient à fatiguer et elle commençait à ne plus sentir ses jambes à force d’être accroupis si longtemps. Elle pensa à se mettre à genoux, aussi dégradant que cela paraissait d’être à genoux pour masturber ce pervers. Mais était-ce réellement plus dégradant que d’être accroupit pour le masturber ? Pour l’instant autre que d’avoir les mains détremper de la bave de son urètre elle ne voyait pas d’amélioration, elle s’attendait à ce qu’il jouisse rapidement et qu’ils puissent se séparer sans ébruiter l’affaire mais elle commençait à douter de ses compétences naissante. Elle avait essayé de progressivement affiner sa technique, et elle pensait qu’elle devenait bonne, mais elle avait juste eu en récompense une augmentation mineure de la sécrétion du liquide séminal.
Issei commençait à s’ennuyer, Murayama était très bonne, elle avait commencée à faire des mouvements de torsions et lui donnait un excellent plaisir même si elle ne tenait pas une bougie à sa sœur, mais elle semblait avoir frappée un mur.
« Tu sais Murayama, tu peux aussi taquiner les boules, ou encore utiliser la langue et ta bouche. Cela peut aider, je peux voir que tu impuissante, je peux dire que c’est ta première fois mais tu es douée. Et comme conseil évite de mordre, tu aurais plus de chance de te casser une dent que de me faire mal. »
« Tu crois que je m’abaisserait à effectuer des actions si dégoutante Hyoudou. Je n’ai pas besoin de tes conseil, tu vas gémir et jouir mon nom. » Murayama s’arrêta, rougit et baissa les yeux incapable de croire ce qu’elle avait dit. Essayant de bannir cette mémoire de sa tête et le sourire victorieux que devait porter Hyoudou, elle se dit qu’il avait raison. Elle n’avait fait aucune amélioration, et la barre des vingt minutes s’approchait depuis qu’elle avait commencée, et comme il disait, il valait qu’elle évite de mordre. Sentir ce muscle dur et chaud sous ses mains lui avait fait prendre conscience que même en tapant dessus avec son shinai, sa bite n’aurait certainement eu aucune égratignure.
Soudain elle sentit des mains se posait sur la sienne et accompagné son mouvement qui devenait de plus en plus désespéré, en regardant à côté d’elle, elle vue Katase qui avait trouvée assez de courage pour lui venir en aide. Murayama se sentit honteuse, elle n’était pas assez forte pour faire jouir Issei, elle avait eu besoin de l’aide son amante. Sa honte dû se voir sur son visage car elle sentit une main se posait sur sa tête.
« Tu sais Murayama tu n’as pas à avoir honte. Tu es naturellement douée à ça. Mais il y a aucune raison d’avoir honte à accepter de l’aide d’une amie quand tu n’y arrive pas seule. » Murayama sentit ses joues devenir rouge pour une autre raison que son excitation. Comment un pervers comme lui pouvait sortir des paroles si sages et gentilles dans un tel contexte ?
Mais même avec l’aide des mains de Katase la tâche s’avérait difficile. Pour vaincre ce mât de chair et le faire redevenir mou, elle et Katase allaient mettre leurs compétence en commun pour le faire s’écrouler et Hyoudou gémir leurs noms. Cette expérience salissante et épuisante avait un côté érotique insoupçonné pour elle.
Ses lèvres roses et fines se pressèrent contre l’urètre de Hyoudou enduisant ses lèvres d’une généreuse couche de liquide séminal, se déplaçant doucement contre son urètre dans un simulacre d’un lent baiser. Bizarrement elle ne se sentit pas aussi dégouter qu’elle le devrait, le gout ne fut pas si odieux que prévu, au contraire, bien que le gout était un peu trop fort et puissant pour son palais. Sa langue taquina le trou brièvement comme elle effleura timidement. L'appendice glissant glissa sous la tête et courut le long de son gland, glissant entre le prépuce et la chair. Ses douces lèvres glissèrent en bas de la face inférieure de la tête bulbeuse pour s’enrouler autour du prépuce, tirant sur elle avant de tirer doucement en arrière en l’aspirant. La sensation du liquide épais pénétrant sa bouche fut… surprenante, c’était mauvais signe. Plus l’acte avançait, plus elle y prenait du plaisir à participer, et sa chatte avait une démangeaison qui commençait à avoir besoin d’être gratter. Continuant sur sa lancée en remerciant chaque divinité auquel elle pouvait penser que ce n’était pas aussi sale qu’elle était amenée à le penser. Elle avait toujours pensée que lécher la bite d’un garçon ne donnait aucun plaisir à la femme et que cette partie de l’anatomie de l’homme était un repaire à microbe avec des trucs peu ragoutant qui étaient dessus. Mais elle y prenait du plaisir, son imagination était stimulé, chaque fois qu’une goutte de liquide pré-éjaculatoire atterrissait sur sa langue pour couler le long de sa gorge était agréable pour ses sens. Elle continua son travail en saupoudrant de baiser le gland de Hyoudou en déposant quelque seconde ses lèvres contre la chaire molle et humide tirant des gémissements d’exaltation de Hyoudou. Elle prit conscience de quelque chose. Elle était ici, accroupit avec juste une culotte trempe de son excitation, en train de donner sa première pipe à un garçon qu’elle connaissait à peine en usant de technique qu’elle acquise en regardant des milliers d’heures de porno. Cela faisait techniquement d’elle une perverse, avait-elle été simplement hypocrite ? Hyoudou assumait sa perversité, il était honnête avec lui-même. En ce sens il était supérieur à elle sur le plan humain, cela la fit grincer des dents et elle se sentit un peu dégouter d’elle. Elle n’apprécierait toujours pas Hyoudou mais elle devra s’excuser de l’avoir traiter comme ça. Elle ne s’excusera pas pour l’avoir battue après les avoir épiées mais de l’avoir maltraité et dégrader verbalement.
Katase arrivait à peine à croire ce qu’elle allait faire. Elle allait aider sa petite amie à sucer la bite de Hyoudou, l’ennemi numéro un de toutes les femmes, et aucune n’avait eu d’expérience avec les hommes avant. Elle se sentait toujours incertaines de son corps, ses seins trop gros pour être considéré comme normal, contrairement au deux grande dames ses sacs de chaires faisaient moche sur elle, ses grosses fesses, même son vagin était hideux. Murayama l’avait aidait à reprendre confiance en elle un petit peu en lui parlant un peu. Elle était forte et confiante, gentille et douce, ses derniers mois elles avaient explorées un peu leurs corps ensemble, rien de plus que quelques attouchements. Et ironiquement c’était Hyoudou qui venait de l’aider à reprendre le plus confiance, lorsqu’il l’avait vu nue, il n’avait pas crié de dégout ou ne s’était pas moquer d’elle, non, il avait juste bu son corps, ses yeux s’accrochant à sa chair nubile, posant son regard sur ses seins ou sa vulve avec une appréciation qui la surprit. Elle s’était sentit violer parce que c’était Hyoudou, un autoproclamé roi harem, mais la façon dont il l’avait regardé longuement avec luxure l’avait fait sentir fier de son corps, elle s’était sentit désirable, sexy même. Alors elle l’était là en rassemblant son courage pour faire sortir le sperme crémeux des deux grosses boules de Hyoudou.
Et quelles boules s’étaient ! Elles étaient en dessous de la verge de Hyoudou qui était suffisamment immense pour projeter une ombre sur elle, à même pas dix centimètres de ses yeux se trouvait le scrotum de Hyoudou sentant un musc virile, mélange de sueur et du liquide séminal qui était venue s’emmêler dans ses poils longs et noire. Ses mamelons était ériger tandis que sa chatte bavait littéralement son jus de fruit, cette vue était malgré elle très excitante. Prenant en main une de ses couille, elle fut surpris, elle avait l’impression de prendre une petite boule de pétanque chauffé à blanc, elle pouvait ressentir le sperme épais qui ballotter dans ses immense couilles. Prenant l’autre en main elle commençait à les caresser en essayant d’ignorer les chatouilles de ses poils ou le liquide séminale qui collait à ses mains. Non seulement elle était lourde, brulante et pleine, mais elle pouvait sentir à quelle point dur elles étaient. La peau du scrotum était râpeuse mais agréable au toucher, elle continua à jouer avec ébahi par ce qui était devant elle. Elle savait qu’elle devait utiliser sa bouche mais cela lui paraissait une action tellement sale de lécher ce scrotum poilue et en sueur mais elle devait le faire pour accomplir son travail et aider Murayama, mais cela avait l’air plus facile dans les films porno. Prenant une grande respiration pour se donner du courage, elle approcha sa tête de son objectif.
Issei fut surpris lorsque Katase rejoint Murayama, mais la vue de ses deux beauté innocente et inexpérimenté fut une vue mignonne, surtout lorsqu’elles commencèrent à travailler ensemble pour lui procurer une pipe, leurs timidité et hésitation fut vraiment adorable. Le premier contact de leurs lèvres sur lui fut électrique, leurs fines lèvres roses était plus douce et lisse qu’il avait pu imaginer. Il ne put s’empêcher de donner un gémissement d’appréciation que leurs bouches commencèrent leur nouveau travail. Il s’assurerait de les mettre à bonne utilité dans le futur.
Murayama déplaça sa bouche le long de l’immense gland, déplaçant son attention à la courbe juste en dessous de la tête. Sa langue glissa et s’écrasa le long du gland. « C’est… étrange, mais pas désagréable. Même plutôt bon. » Murmura Murayama, Issei sourit à cela. Il semblait qu’elle appréciait l’exercice, elle aurait beaucoup de temps pour améliore sa technique dans le future. Mais il sentit sa fierté gonflait, Naruko l’avait souvent sucé et masturbé depuis qu’il l’avait baisé samedi, elle le complimentait beaucoup mais c’était sa petite sœur qi adorait son grand frère, elle était un peu biaisée. Entendre Murayama, une fille qui le détestait dire cela était un compliment appréciable. Ses lèvres parfois proches contre votre peau, l'aspiration et embrasser brièvement. Elle fit de long léché avec sa langue sur la chair de sa tête bulbeuse, avant de commencer à embrasse le prépuce et de le lécher doucement avec de lent et long léchage semblable à un chat, Issei put presque la voir ronronner. Cela l’amusait tout de même comment elles évitaient ses yeux.
Il commença à avoir chaud, et connaissant la suite il pouvait commencer à se déshabiller et offrir à ses futures esclaves un spectacle. Et puis ce n’était pas justes pour les membres du club de kendo, elles étaient quasiment nue et lui étaient toujours habiller. Il fallait être équitable que diable !
Alors que la bouche de Murayama effectuait son nouveau travail, Katase ne pouvez pas aider mais être consciente de la sensation de besoin qu’elle ressentait en provenance de son aine. Accélérerez la cadence pourrait permettre de bientôt user de ces doigts. Mais à peine qu’elle pensa ceci, qu’elle sentit une chose toucher sa vulve tremper. Jetant un regard en bas, elle vit les pieds nu de Hyoudou se frottait le long de sa fente. Elle put à peine dissimuler son gémissements de plaisir en sentant le gros orteil effleurer son clitoris déclenchant un mini-orgasme. Elle ne savait même pas comment Hyoudou avait eu cette idée mais elle n’allait pas cracher dessus, le plaisir qu’il lui donner était superbe, le feu dans ses reins fut stopper. Son gros orteil continuer son chemin en descendant et remontant le long de sa fente qui réclamer une attention soutenue.
En essayant de mettre à l’arrière de son esprit le plaisir bienvenu qu’elle ressentait, elle roula dans des cercles lents les couilles de Hyoudou que la paume de sa main arrivait à peine à tenir. Elle effectuait un toucher lent, doux, mais en même temps ferme. Elle examinait les premières véritables couilles qu’elle pouvait voir, les pressant doucement sans lui faire mal. Ses doigts effilaient glisser le long des rides, les massant, tandis que son pouce appuie sur le devant de son sac juste assez fermement pour s’assurer qu’elles ne glisseront de sa paume. Ses touches semblaient raillées Hyoudou, lui montrant qu’elle pouvait faire mieux, que malgré son inexpérience elle pouvait lui offrir un plaisir surprenant. En réponse Hyoudou continua son exercice mais fit pénétrer son gros orteil dans sa vulve, écartant ses pétales lui procurant un plaisir qu’elle ne connaissait pas.
Elles entendirent le bruissement du tissu, levant leurs têtes dans la curiosité, elles virent Hyoudou enlevant son uniforme, révélant ses muscles. Elles sentirent leurs mâchoires tomber au sol en voyant le corps de Hyoudou, il n’y avait pas un gramme de graisse, des muscles défini et ciselé comme une statue grecs avec des abdos bien définis, des bras musclés… elles pouvaient voir chaque muscle bombé sous sa peau. Aucune d’entre-elle n’avait pu imaginer que Hyoudou cachait un corps si… alléchant sous l’uniforme. Murayama et Katase se léchèrent les lèvres à la vue d’un spécimen male aussi bien musclé. Aucune des filles dans le vestiaire ne renia la vue, au fait Katase et Murayama entendirent même certaine ronronnement de plaisir, en jetant un coup d’œil au groupe, elles purent voir que les filles se rinçaient abondamment l’œil et ne pouvait plus contenir leurs désirs. Elles avaient tous au moins une main en train de commencer à se frotter la vulve ou qui avait commencée à attaquer leurs seins, certaines avait dégrafées leurs soutien-gorges et baisser leurs culottes offrant encore plus de chair pour l’œil de Hyoudou. Même Kotegawa ne tenait plus son désir qui semblait suinter de tous les pores de son corps, sa main gauche avait écarté le bas du peignoir et elle plonger dans ses pétales avec trois doigts de manière sauvage tout en haletant. « Quelle comportements sans vergogne, aucune pudeur, ni décence, mais je ne suis pas mieux. Que quelqu’un arrête ça sinon je ne sais pas ce que je vais faire. J’ai tellement envie que le sexe de cette bête lubrique écarte mes pétales vierge. Mon dieu quelle pensées sans vergogne, j’ai besoin d’aide sinon je vais réellement me livrer tout entière à ce pervers. » Une simple pression sous son sein gauche le fit sauter violement hors de du peignoir serrer, sa mamelle parfaitement ronde et mouiller de sueur rebondit cinq fois sous les yeux envieux de la plupart les filles de la salle. Son mamelon rouge sang fut immédiatement attaquer par sa main droite.
« Vous nous donnerez une belle, grande charge avec cette grosse bite, pas vrai ? » Ronronna Katase en soufflant sur ces grosse noix graisseuse à la surprise d’Issei et de Murayama. Ses yeux brillaient d’une lueur taquine dans la lumière, et Issei pouvez sentir le sang flambée à travers sa bite dans l'excitation. Elle parlait à proximité de ses boules, veillant à ce que son souffle chaud les taquine comme elle énonce lentement chaque mot. Dans les films les hommes étaient vraiment excités lorsque leurs partenaires parler de façon vulgaire. Elle rougit de gêne à chaque mot obscène qui passaient entre ses douce et innocente lèvres, mais vu comme son scrotum se contracter en prévision de son éjaculation, son plan marchait, à l’approche des quarante minutes, elles arrivaient enfin à leurs objectif tant convoité. « Donnez-moi tout le sperme que nous voulons. Juste vider tout ce sperme collant et épais sur nos visages de putain. »
Issei sentit son sperme vouloir se libérer de la prison dans laquelle il était enfermé, grognant et haletant comme un animal que sa libération se rapprocher. Il ne voyait aucun intérêt à retenir son orgasme, pour leur bon travail et vu que leurs première fois était très réussi, il pouvait bien les récompenser. Les deux se mirent de chaque côté de sa bite embrassant chaque côté de son gland, leurs mains se rejoignirent sur sa verge et leurs doigts s’entrelacèrent pour synchroniser leurs axes le long de sa verge. La vue était incroyablement sexy, deux filles indépendante et belle comme Katase et Murayama accroupit de chaque côté de son immense bite en train de l’adorer.
« Je vais jouir ! »
Il était temps de mettre fin à cette mascarade, elles n’étaient pas prêtes à aller plus loin. S’assurant de ne pas se mettre devant l’urètre, elles le masturbaient furieusement dans un ultime sprint. Elles ne se rendirent pas compte qu’elles pointaient l’urètre sur leurs amies impuissante qui observaient la scène. Katase et Murayama sentirent qu’il y avait quelque chose de mal lorsque la bite de Hyoudou commença à trembler de façon incontrôlable.
Lorsque le premier jet fut expulser, les deux amies regardèrent ébahi le jet volait dans les airs et frapper le visage de Erza Scarlet qui se tenait à cinq mètres de distance. Une senpai avec de de gros seins, surmonter d’adorable tétons rose avec des beaux cheveux rouge raide, un visage mature compléter par des yeux noisette. Elle était complétement nue et se doigtait sauvagement la vulve avec une main tandis que l’autre taquinait son clitoris. Elle ne comprit jamais ce qui lui était arrivée, le jet éclaboussa son visage avec suffisamment de puissance pour la faire tomber, plâtrant complétement son visage. Des gouttes éclaboussèrent les filles aux alentours qui étaient sous le choc de la puissance explosive de l’orgasme de Hyoudou.
Il fallut deux jets de plus de Hyoudou qui renversèrent deux autres filles pour que les membres du club de kendo s’arrêtèrent de se masturber et commencèrent à essayer de fuir. Mais entre leurs sueurs, leurs cyprine et le sperme de Hyoudou qui s’accumuler avait rendu le carrelage très glissant entrainant les filles à glisser et tomber le visage en avant dans le mélange de jus ou le cul dessus.
Issei gémissait de plaisir, et la vue de ses magnifiques athlètes féminins recouvert de sa semence était superbe, il avait pris la base de sa bite et viser les filles qui courait. Parfois il les manquer frappant un casier ou le mur, d’autre fois il ne les manquait pas et dans l’équilibre précaire dans lequel elle se trouvait elle retombait par terre. Il aimait particulièrement viser celle qui avait déjà glissées et essayer de se relever pour les enfoncer dans le sol. Durant son exercice de tir, il vu Yui qui était toujours immobile, elle avait arrêtée de se masturber avec ses mains toujours sur son oppai et sa vulve et regarda ce qui se passait le regard vide, incapable de comprendre la scène tout droit sorti d’un hentai qui se déroulait devant ses yeux.
Lorsque Yui vu les yeux d’Issei la fixait, elle perdit toute la couleur de son visage, elle se leva et se retourna pour fuir mais elle eut à peine le temps de faire ça qu’elle sentit un jet frapper ses fesses la poussant à terre. A quatre pattes les mains dans leurs sueurs et leurs cyprine combinées, genoux à terre avec un liquide épais et collant sur ses fesses qui coulait dans sa raie pour rejoindre sa fente humide. Elle sentit un second jet frappé ses fesses dodues, avec le tapis de liquide sur laquelle elle reposait elle glissa en direction du mur. Mettant en avant, elle empêcha la collision, mais elle sentit plusieurs vagues de sperme frapper son arrière, couvrant ses jambes et son arrière, un tir passa entre le peignoir et elle, laissant le sperme couler le long de son dos. Elle n’arrivait pas à croire que cette bête sans vergogne la peignait de son sperme. Même à plusieurs mètres de distance, les vagues de sperme avaient assez de force pour écarter les joues de ses fesses et venir taquiner son anus et son vagin lui laissant une sensation agréable de la douche de sperme.
Issei regarda satisfait l’état de Yui, une fois son orgasme terminé elle se releva les jambes tremblante avec de grosses sphère de sperme qui coulait du bas de son peignoir et de l’intérieur de ses reins. Le regard qu’elle lui jeta fut rempli de haine… et de gêne mélangeait au plaisir de savoir qu’un homme viril venait de la marquer comme la sienne. Tout autour de lui se trouver quatre autres filles n’ayant pu échapper à ses tirs, poitrine, bas du dos… divers partie de leurs corps plâtraient. Les autres survivante se tenaient contre les murs du vestiaire terrifiaient, c’était comme joué à la balle au prisonnier avec sa bite envoyant les balles. Baissant les yeux, il vu Katase et Murayama regardaient le nouveau décor du vestiaire avec incrédulité, il était réellement fier de sa performance.
Murayama regardait le résultat de leur masturbation avec un mélange d’horreur et d’excitation. Un telle orgasme relevait de la science-fiction pensa-t-elle, mais savoir qu’un homme pouvait avoir une telle éjaculation renforça son excitation et vue le regard glacé de Katase elle pensait de même. Elles avaient cru qu’il y aurait quelque petits jets de sperme, pas que cela ressemble à un tuyau d’arrosage ! Elle n’avait jamais imaginé avoir le sexe avec un homme, et être forcé dans cette expérience était une découverte décidément agréable. Peut-être que dans le futur elle et Katase accepterait d’avoir un trio avec un homme. Tournant sa tête, Murayama sentit tout son enthousiasme se dégonfler comme un ballon, la bite de Hyoudou se tenait toujours fièrement debout, sans aucun signe de s’affaisser. Une goutte de semence grosse comme une pomme se tenait en apesanteur au bout de l’urètre, cela tenait décidément des récits fantastiques ou d’un porno mal écrit.
Presque timidement, Murayama amena sa main droite en dessous de la goutte, la soulevant et la détachant du gland, elle s’émerveilla du sperme masculin, incroyablement épais et chaud, il s’accrochait à sa main et coulait entre ses doigts comme de la résine. Elle pouvait ressentir les spermatozoïdes frétillaient dans la paume de sa main, la couleur nacré du liquide et l’odeur de javel et de ramen qui s’en détachait l’attira comme une abeille vers le miel. Elle vit Katase s’approcher de sa main en respirant rapidement et rougissant, elle continua de surprendre Murayama et Issei. Elle lapa timidement le sperme qui se trouvait dans la paume de Murayama. Apparemment elle trouva le sperme à son gout puisque les prochains coups de langue fut plus enthousiasme et tentèrent de prélever plus de sperme.
Katase avait noté que l’odeur de prune dans l’air était devenue très forte. Mais cela ne l’intéressa très peu, elle était plus intéresser par les sensations que l’orteil de Hyoudou lui faisait découvrir en titillant sa vulve qui était absolument inonder de son jus de fruit. A ce train-là elles allaient remplir le vestiaire de cyprine. Hyoudou était doué avec ses pieds, elle sentait l’orgasme s’approchait à grand pas, même quand elle fut ébahi par la quantité faramineuse de semence que Hyoudou offrait à ses amies, il n’arrêta pas de lui plaire. Regardant Murayama jouait avec la semence l’hypnotisa, elle ne put s’empêcher de vouloir gouter ce sirop épais et qui dégageait une odeur divine. Lapant une fois le sperme, elle fut surpris par le gout de ramen salé, avec une touche de javel, ce n’était pas mauvais mais le côté bestial qu’il dégageait l’appelait à continuer à en boire. Sans plus attendre elle lapa avec plus d’empressement le sperme sur la main de son amante, ça n’avait pas d’importance que le sperme venait de Hyoudou, il était juste à son gout et elle en voulait plus.
Sluuuuuuurrrrrrrrrrrrpppppppp !
Lorsque lapait ne lui suffit plus, elle posa ses lèvres charnues sur le sperme et commença à aspirer le sperme produisant un son qui se répercuta dans le vestiaire silencieux. Une fois qu’elle jugea qu’elle avait une quantité suffisante de sperme dans la bouche elle s’extirpa de son succulent régale. Attrapant la tête de Murayama, elle l’embrassa déversant son précieux chargement dans sa bouche, leurs langues dansant ensemble en se baignant dans le sperme.
Murayama était surpris de l’audace dont faisait preuve Katase. Elle espérait que tout le monde penseraient qu’elle avait fait cela dans la chaleur du moment et qu’on ne les prennent pas pour des lesbienne. Mais elle était contente que son amie prenne du courage et de l’audace. Elle lui rendit son baiser avec plaisir, le gout du sperme mélangeait à la salive de sa petite amie était plutôt gouteux, elles jouèrent longuement avec le sperme en bouche, se le partageant, se le volant et le dégustant avant de l’avaler. Elle sentit soudain la main qui l’avait attrapé à l’arrière du crâne serrait tandis que Katase tremblait, et les bruits qui émanait de sa gorge était manifestement des bruits de plaisirs. Se séparant à contrecœur des douces lèvres de Katase, elle nota avec amusement qu’elles étaient reliées par une corde de sperme.
Elle comprit tout de suite que Katase avait un orgasme en voyant les signes annonciateur sur son visage. Les traits crispé, les yeux partant à droite et à gauche rapidement sans prendre le temps d’enregistrer ce qu’ils regardaient, le mordillement de sa lèvre inférieur, l’abaissement les yeux, brisant la ligne de sperme qui tomba sur son menton, elle saisit tout de suite comment. Hyoudou masturbait Katase avec son gros orteil. Et s’il avait réussi à faire jouir Katase avec il devait être très doué.
La suite la surprise à quel point Hyoudou pouvait les amener loin dans la dépravation. Il l’amena son pied à la tête de Katase, son gros orteil trempe du jus de chatte de Katase avec des filaments qui s’accrochait, son pied était juste à portée de langue de Katase. Et sans qu’il ait besoin de dire quelque chose, Katase prit immédiatement en bouche son gros orteil et le suça abondamment pendant plusieurs secondes pour le nettoyer de son propre jus, en négligeant à quel point sale le pied de Hyoudou pouvait être.
Murayama décida de faire quelque chose, elle ne savait si s’était à cause de l’excitation, de son devoir, ou l’envie d’avoir sa première fois avec un aussi gros et juteux bâton de viande, ou encore que son instinct lui susurrait que peu importe ce qu’elle ferait, elle n’arriverait pas à descendre ce mât sans le mettre dans sa chatte vierge. Elle était un peu incertaine de son action future, mais elle était décidé à enlever se sourire lubrique de Hyoudou et de lui faire gémir son nom… mauvaise pensées, mauvaise pensées, elle devait éviter de penser au corps parfaitement musclé de Hyoudou, son immense et magnifique bite qui faisait l’envie de toute les femmes de la terre. Non ! C’était pour épargner les autres filles à effectuer ces actes dégoutant. Bien que vu la façon dont elles avaient repris la masturbation elle devait certainement vouloir être à sa place.
Elle se mit ensuite à genoux avec ses mains sur ses genoux, baissant sa tête, elle cracha sur sa dignité. « S’il te plait Hyoudou, transforme-moi en femme. »
« Hum, excuse-moi ? Je crois que je ne t’ai pas entendu. » Issei avait daigné détourner la tête de son nouvel animal de compagnie qui nettoyer son gâchis et regarda son deuxième animal de compagnie, il était clair qu’elle n’arrivait plus à contenir l’excitation grandissante en elle.
« S’il te plait fais-moi l’amour, je t’offre ma virginité. »
« Cela ne me semble pas sincère, Murayama. Dit le avec plus de sincérité, d’envie, je veux t’entendre. Tu murmures là, personne n’arrive à t’entendre. »
« Hyoudou, baise-moi ! Met ta putain de monstrueuse bite dans ma chatte vierge ! Visse moi, baise mon ventre, arrose le de ton chaud et épais sperme, content ?! » Elle entendit des hoquets de surprise dans la salle, les filles incapable de croire ce qu’elle demandait. Elle sentait Katase se raidir à côté d’elle. Aucune d’entre elles n’arrivaient à croire que Murayama, la fière et gracieuse kendoka, demandait à un des membre du trio pervers de lui prendre sa virginité devant plus d’une dizaine de personnes, et encore moins avec des mots si vulgaire, elle qui paraissait toujours si bien élevé, c’était en totale contradiction avec son personnage habituel.
Murayama rougit de honte, elle était en totale disgrâce auprès des membres du club après une telle explosion, mais elle était trop exciter pour en prendre considération. Ses doigts ne suffirait plus à calmer la bête qui faisait rage dans son aine, elle faisait ça maintenant avant tout pour elle. Son club et ses amies venaient en second.
« Allonge-toi sur le banc. » Ce n’était pas une demande, c’était un ordre et elle n’eut aucune envie de résister. Elle s’allongea sur le dos le long du banc en bois, et laissa ses jambes tomber de chaque côté du banc. Son dos colla contre le bois, cette événement la faisait tellement sué, l’entrainement, l’excitation, la masturbation… tout cela la rendait faible, elle était incapable de prendre une décision rationnelle, elle pensait plus avec sa chatte qu’avec son cerveau.
Issei ne put s’empêcher d’éructer de joie à la soumission de Murayama.
« Yahhoooouuuu ! Ses oppai sont à moi, je te jure Murayama que tu reviendras pour un deuxième tour avec moi. Toi et tes oppai vont plus ne pouvoir se passer de moi ! »
« Ba… baba… Baka ! Dépêche-toi de collait ta bite dans ma chatte, j’ai l’impression d’être en feu ! » Issei comprit que ce n’était pas le temps de fêter, même alors il avait gardé une petit peu de crainte envers Murayama et une femme excitée qui n’obtenait pas ce qu’elle veut est une femme dangereuse. Mais il n’aurait jamais véritablement pensé que Murayama mendierait pour sa bite, surtout devant tout le club de kendo qui la respectait et où elle était admirée pour sa morale et sa droiture.
Observant sa prise, il ne put s’empêcher de remercier Naruko, le club de kendo est le troisième club où la concentration de jolies filles avec les plus beau oppai était le plus élevé. Regardant sa futur… il ne savait pas quoi avait prévue Naruko pour elles. Mais il les voulait dans son harem. Voir Murayama allongeait comme ça, ses gros oppai se soulevant à chaque respiration avec ses tétons dressaient, la sueur perlant sur sa peau, sa main droite blanche de son sperme avec un brin parasite sur son menton était sexy à souhait.
Il regarda son prix entre les jambes recouvert par une magnifique culotte bleu en dentelle devenue presque noir de son jus, ses cuisses littéralement inondées de son jus. Elle avait vraiment besoin d’être baiser. Mettant ses jambes de chaque côté du banc ses jambes, il guida sa bite en direction de la vulve de Murayama, passant plusieurs fois sur sa culotte la tachant du sperme nacré restant sur son gland.
« Merde Hyoudou ! Dépêche-toi de me baiser, je n’ai pas toute la journée ! » Elle était vraiment impatiente de perdre son innocence, son excitation ayant atteint des sommets. Il n’allait pas lui refuser, mettant sa culotte de côté, il vit sa magnifique vulve rosâtre qui semblait mendier pour l’attention d’une bonne bite. Une véritable cambrousse noir se trouvait dessus, elle devrait prendre soin de son apparence, Katase était parfaitement raser, Yui avait une légère chaume, mais Murayama était plutôt poilue. Lorsqu’elle serait à son service il la rendrait plus acceptable. Passant quelque fois son gland le long de sa fente engorgé, il se souvint d’être plutôt doux, Naruko lui avait rappelé que ce n’était que des humaines et que leurs corps n’était pas aussi flexible et élastique que le sien.
Rien que de voir sa petite chatte serrée à côté de son gargantuesque gland lui fit se demander comment ça allait rentrer.
« Bon, j’attends ici ! » Elle l’aura demander, et puis le sperme restant sur son gland combiner avec sa sueur et sa cyprine devrait faire un excellent lubrifiant. Il poussa en regardant avec une sorte de fascination morbide sa vulve essayait vainement d’engloutir la chair violette de son gland. Avec une poussé finale, il arriva à introduire les premiers centimètres dans la chatte de Murayama. Il la vue serrer les dents dans la douleur, et il s’étonna de sa résilience, sa chatte était étirer dans un parfait O capable de prendre facilement une canette. Toute autres femmes auraient pleurées, hurler, criait au viol mais pas elle. Il allait la ruiner, elle ne pourrait plus être satisfaite par un autre homme que lui et il allait en faire sorte qu’elle aime et en redemande.
Il s’enfonça lentement pour l’habituer à sa taille excessive, sentant une barrière, il comprit qu’il venait de toucher l’hymen. Il se baissa et l’embrassa passionnément avant de pousser. Au lieu de le repousser, elle répondit à son baiser leur langue se battant en duel, il la sentit se crisper lorsqu’il brisa son hymen, les larmes perlèrent du coin de ses yeux et elle mordit sa langue. Heureusement qu’il n’était plus humain sinon elle aurait pu lui couper sa langue, au lieu de cela il sentit un léger picotement sur sa langue. Stoppant sa poussée pour lui laisser le temps de s’habituer à sa taille monstrueuse, il s’amusa à taquiner sa bouche en léchant ses gencives, l’intérieur de ses joues… et vu comment elle répondait elle aimait leur petit jeu. Après quelques minutes d’un baiser torride, ils durent prendre des bouffées d’air frais, ses yeux étaient glacé, sa respiration ressemblait à ce qu’elle venait faire trois heures d’entrainements. A côté d’elle était Katase accroupit qui avait saisi sa main pour l’aider.
Poussant toujours, il sentit enfin heurter le col de l’utérus, regardant il vu qu’elle avait avalée la moitié de sa bite. Pas mal pour une première fois, il voulait lui laisser encore quelques minutes pour s’adapter… mais mademoiselle perdait patience.
« Hyoudou. Baise-moi ! Je veux que tu desserre ma chatte de salope refoulée ! » Il ne savait pas qu’on pouvait essayer de donner un ordre et qu’il paraisse comme une demande désespéré.
« Avec plaisir Murayama, mais n’oublie que tu la demander. » Avec ça, il saisit ses hanches et claqua en elle avec la force d’un humain. Il grogna, malgré le fait qu’elle prenait plus de viande qu’aucunes autres femmes humaine dans son canal et était suffisamment étiré pour qu’il mette sa main dans sa chatte. Elle était encore injustement serrée, essayant de traire le sperme de sa bite. Même en diminuant sa force, il la baisait assez fort pour déplacer tout son corps sur le banc à chacun de ses axes. Ses gros oppai sautillaient sur sa poitrine lui donnant une vue magnifique. Son visage était coincé dans une expression de plaisir heureuse, la douleur n’étant que passagère. Son canal étant étiré plus qu’il n’aurait jamais été si elle avait baisée un autre homme. Il allait s’assurer qu’elle n’imagine plus baiser un autre homme que lui, que lorsque l’on lui parle de bite, la première chose qu’il lui vienne à l’esprit est sa bite déliant sa chatte. Il gémit lorsqu’il ne sentit qu’après même pas cinq pousser, sa chatte serrait de façon incontrôlable sa bite.
« OUUUUIIIIIII ! HYOUDOU J’AI JOUIE ! IL A JUSTE COMMENCER DE ME BAISER ET J’AI DEJA JOUIE ! OH MON DIEU, J’EN SENS UN AUTRE SUR LE CHEMIN ! OOOOOOUUUUUUIIIII ! PUTAIN ENCORE UN ! OUUUUUIIIII ! OH SEIGNEUR ÇA NE S’ARRETE PAS, J’AI L’IMPRESSION D’ETRE BRULER VIVANTE MAIS C’EST SI BON ! SI J’AVAIS SU QUE BAISER AVAIT ETE AUSSI BON J’AURAIS ECARTER LES JAMBES PLUTOOOOOOOOOOOTTTTTTT ! » Issei regarda avec satisfaction sa nouvelle salope perdre le contrôle de son corps en étant envoyé dans une spirale d’orgasme hallucinant. Son regard semblait avoir voyagé vers des contrées inconnu, sa langue se prélassait hors de sa bouche, tout son visage montrait une expression d’une femme baisé au-delà de sa capacité à résonner. Sa chatte pissait littéralement un jet de cyprine qui retombait sur son ventre tonique. Katase avait du mal à comprendre l’ampleur du plaisir que ressentait son amie. Les autres filles dans le vestiaire semblaient incapables de saisir que leur amie fière et prude se soit transformée en une salope hurlant son plaisir au monde. Yui semblait terrifié, la vue d’une des rares filles qui ne se moquait pas d’elle devenue une salope dévergondée demandant qu’on la baise, s’était pour elle la preuve que Hyoudou était une bête lubrique dont le simple toucher pouvait vous contaminer avec sa perversité.
Sa bite claquait contre son col de l’utérus, malgré ça Murayama en demandait toujours plus, elle voulait plus de viande dans sa chatte anciennement vierge. A chaque poussé il casait de plus en plus de viande dans son canal, jusqu’à ce qu’il arrive à caler les deux tiers de sa monstrueuse bite dans la chatte affamait de Murayama qui avait subi une totale transformation en nymphomane addicte à sa bite. Décidant de pousser le vice un peu plus loin il amena son pouce au clitoris engorgé de sang de Murayama et commença à le frotter sans pitié tout en continuant de la baiser.
Murayama était au ciel, la sensation de sa chatte étirée à ses limites était le plus beau sentiment qu’elle n’ait jamais eu. Son canal était traversé par un véritable train, aussi gros et très rapide qui dévastait sa chatte. Le baiser de Hyoudou avait juste ajouté plus de carburant sur l’incendie qui brulait chaque parcelle de son corps. Leurs corps nus et en sueur pressé l’un contre l’autre, se frottant ensemble pour atteindre le nirvana était comme un rêve, un fantasmes qu’elle n’avait jamais pu imaginer et qui se réaliser à son immense satisfaction. Même le fait de frapper son col ne produisait plus que du plaisir. Elle ne savait plus où elle était, ni ce qu’elle faisait ou qui elle était. La seule chose qui lui importait était que Hyoudou continue de bousculer sa bite dans sa chatte et que ce sentiment dure toujours. Ce sentiment valait plus que tout l’or du monde.
Mais après l’avoir attiré dans son étreinte en lui faisant miroiter le ciel, il allait lui faire visiter sa véritable maison… l’enfer. Lorsqu’il attaqua son clitoris et continua de scier dans et hors de son vagin avec une vitesse que même les meilleurs acteurs porno ne pouvait égaler et une délicatesse certaine pour éviter de lui faire trop mal. Ce fut trop pour son esprit, avant le plaisir était comme si elle avait été branché à un transformateur, maintenant c’était comme si l’océan s’écraser sur elle.
« STOP HYOUDOU, ARRETE, J’ETOUFFE, HUMPF, JE NE PEUX PLUS SENTIR MES REINS ! OOOOOHHHHH, PUTAIN DE MERDE, J’EN PEUX PLUS, J’AI L’IMPRESSION DE MOURIR, GARGH ! » Son cerveau était surchargé de plaisir, l’orgasme semblait s’étendre indéfiniment grillant ses nerfs et faisant fondre son cerveau. Son corps secouait dans un plaisir douloureux, ses poumons se sentaient comme si on les écraser, l’empêchant de respirer correctement. Les bords de sa vision commencèrent à noircir jusqu’à l’extinction totale des feu.
Katase tenait ferment la main de Murayama qui s’était mis à serrer sa main comme une pince de crabe. Elle pouvait voir les convulsions de son amante prendre de l’ampleur jusqu’à ce qu’elle s’arrête soudainement, la main qui l’avait prise dans une poigne de fer devint mou. Inquiète, elle se leva, ce qu’elle découvrit la laissa sans voix.
Issei s’était arrêter de basculer ses hanches contre celle de Murayama, incrédule à ce qu’il voyait. Cela faisait dix minutes qu’ils avaient commencées. La sensation de sa chatte compressant sa bite pour éviter de la laisser fuir était céleste. Mais il semblait que pour sa première fois elle était tombée au champ de bataille. Ses yeux étaient révulsés ne montrant plus que le blanc, de la mousse sortait de sa bouche suite à ses difficulté respiratoire, sa poitrine couverte de sa sueur et de sa cyprine se soulevé à peine. Apparemment il avait poussé le bouchon un peu trop loin pour sa première fois et elle n’avait pas été en mesure de gérer l’afflux du plaisir divin qu’il était capable d’offrir aux femmes. La voyant inconsciente et lui toujours enterré en elle sans qu’il ait pu jouir l’irrita un peu.
SMACK
« Je n’en ai pas terminé avec toi salope ! Tu crois que tu vas réussir à fuir dans l’inconscience ! »
SMACK
Même en giflant ses oppai avec force ne sembla pas provoquer de réaction, elle était tombée dans un coma sexuelle, son corps surcharger par le plaisir divin qu’il lui avait fourni. Il avait laissé une empreinte de main rouge sur chacun de ses gros oppai en guise de représailles. Avant qu’il ne puisse continuer de la punir pour avoir osé tomber inconsciente alors qu’il lui faisait l’honneur de la baiser avec sa bite il sentit quelque l’embrasser.
Katase ne put s’empêcher d’être bouche bée en voyant sa petite amie sans connaissance. Elle ne pensait pas que cela été possible, mais Hyoudou leur avait prouvé dans la dernière heure que beaucoup de chose qu’elles pensaient impossible était réelle. Et voyant que Hyoudou était irriter lui fit comprendre qu’il n’avait pas eu le temps d’éjaculer. Murayama avait été gourmande lorsqu’elle avait voulu le baiser, donc elle ne pourrait pas se mettre en colère contre elle pour prendre le relais, n’est-ce pas ?
Forte de cette résolution elle se leva et embrassa Hyoudou en s’assurant d’écrase ses seins contre sa poitrine. Et puis même pour elle ce serait cruelle de laisser Hyoudou dans un tel état d’excitation après qu’il est offert une expérience inoubliable à son amante. Le moins qu’elle pouvait faire et de l’aider à vider la charge coinçait dans ses belles grosses boules.
Issei gémit lorsqu’il sentit Katase prendre le relais. Il pouvait apercevoir une légère partie de l’océan qu’était son excitation. Elle était totalement perdue dans la brume d’excitation, prête à être cueilli. La sensation de ses merveilleux et mou oppai pressant contre sa poitrine fut juste l’excitation nécessaire dont il eut besoin pour se retirer de Murayama et de passer à la proie suivante.
Durant leur baiser, Hyoudou se déplaça en se retirant avec un POP de Murayama et se mit en face d’elle en répondant férocement à son baiser, la dominant complétement. Elle se sentait fondre sous la domination de sa langue, un bourdonnement agréable envahissait son esprit. Leurs corps s’imbriquant l’un dans l’autre, ses muscles dur et ferme pressant contre elle lui permettant d’apprécier leurs puissances. Elle avait l’impression d’être une biche dans la gueule d’un lion. Elle n’était pas en contrôle, il l’était, c’était une domination animale qu’il exerçait sur elle et ça lui plaisait. Et la sensation de sa gigantesque bite bavant sous la houle de ses seins démontrant sa grandeur créait des pétillements dans son ventre.
« HEEEEE ?! » Katase fut surpris lorsqu’il saisit les joues grasses de son cul et la souleva facilement. Elle encercla ses bras et ses jambes autour de lui pour se maintenir en équilibre, sans s’arrêter il continua de piller sa bouche, échangeant abondamment leur salive. Elle pouvait sentir sa convoitise qu’il mettait dans le baiser, pure convoitise pour son corps lui donnant une étrange sensation. Toute sa vie sa mère et son entourage lui avait dit qu’elle était moche avec son cul gras et ses mamelles graisseuses, l’entrainant à essayer de minimiser ses courbes. Et là un homme semblait apprécier son corps, elle se sentait un peu ivre de joie de savoir que son corps pouvait plaire contrairement à ce que l’on lui avait rabâché toute sa vie.
Se séparant à contrecœur de ses lèvres Issei regarda une beauté insoupçonnée, Katase avait toujours parut comme une jolie fille, mais dissimuler des oppai et des fesses comme ça relevait de l’hérésie. Enfonçant ses doigts dans la chaire molle de son cul, il ne put s’empêcher de murmurer d’un ton grave et lourd de luxure à son oreille en soufflant dessus.
« Dis Katase, pour quoi te cacher ? »
Katase sentit un frisson de plaisir lorsque l’air chaud du souffle de Hyoudou caressa son oreille sensible. « Je… je suis moche avec ses choses, elles sont trop grosse, trop grasse, elles sont disgracieuse sur mo… » Katase n’eut pas le temps de finir que Hyoudou lui mordit le lobe de l’oreille la faisant taire.
Laissant une marque de dent sur son oreille, Issei lui révéla la vérité. « Ne dit plus jamais ça Katase, ton cul est parfaitement désirable, il donne envie de te prendre en levrette et de le voir trembler à chaque pénétration… » Pour appuyer ses dires, Issei pétrit les joues de ses fesses profitant de leurs douceur. « Et tes oppai sont généreux et ont juste ce qu’il faut de graisse pour être parfaitement rond. Chaque homme qu’il soit hétéro ou homo aurait envie d’enterrer leurs bites entre ses oreiller moelleux et de les peindre de leurs sperme… » Katase se sentit rougir de plus en plus durant le discours de Hyoudou, incapable de croire ce qu’elle entendait. Ce qu’on lui aurait dit été faux ? Murayama essayait de lui faire prendre conscience de ceci depuis quelques temps, mais l’entendre dire d’un homme vénérant les courbes des femmes lui fit comprendre qu’elle n’avait pas à avoir honte de son corps. Elle ne sentit pas gêner ou honte de la façon dont il décrivait son corps d’une manière tellement obscène que même un palefrenier se serait enfui dans l’effroi. Venant d’un pervers comme Hyoudou c’était de réels compliments. « … tu as un corps suffisamment lascif pour rivaliser avec des déesses, les seuls qui peuvent rivaliser avec toi, et à peine, sont Gremory-senpai et Himejima-senpai. » Katase gela à cela, et elle commença à faire de l’hyperventilation. Hyoudou la comparer aux deux plus belle filles de l’académie ! Elle avait du mal à croire qu’on pouvait la comparer à des femmes qui faisait passer les plus beaux tops modèle pour des mochetées.
« Sur ce, je vais rendre honneur à ce corps. Itadakimasu ! » Issei prit tout de suite un des gras et sombre mamelons en bouche, s’assurant qu’une fois en bouche il le tordit avec sa langue.
« Hyoudou, arrête, je suis trop sensible au niveau des seins et je vaaaaiiiisss… » Katase n’eut pas le temps de finir qu’un mini-orgasme la transperça. La stimulation de ses seins s’était avérée trop pour son corps attendri par les stimuli qu’elle avait subi au cours de la dernière heure.
Issei écarquilla les yeux lorsqu’il sentit un liquide doux, chaud et sucré qu’il identifia comme du lait être pulvérisé dans sa bouche. Il continua à aspirer le mamelon en pressant dessus pour aspirer le précieux liquide s’étonnant de la quantité qu’elle produisait. Combiné à sa sueur cela faisait un gout sucré-salé étrange mais plutôt agréable lorsque cela heurtait son palais. Passant à l’autre en laissant une épaisse trace de salive dessus, il continua durant plusieurs minutes en passant d’un oppai à l’autre en essayant d’assécher ces mamelles pleines de lait. Katase produisait du lait comme une vache, elle aurait une place de choix dans son harem avec ses courbes et sa particularité.
Katase gémit de plaisir, les heureuse surprise se succédaient l’une après l’autre, au lieu d’être dégouté, Hyoudou semblait aimé le fait que ses seins soit plein de lait. Elle en profita pour passer ses mains dans ses cheveux pour l’encourager à sucer le lait hors de ses mamelles, elle ne se reconnaissait plus, elle était plus en confiance, plus joyeuse. Si le sexe pouvait la rendre comme ça elle aurait dû le tester plutôt.
Issei décida qu’il avait été suffisamment distrait, il était temps que Katase résout un problème que Murayama lui avait léguée. Il la souleva encore plus haut la surprenant, et la descendit lentement en s’assurant qu’elle soit pénétrée par son bâton de viande. Lorsque la tête de sa bite arriva contre les lèvres grasses et engorgé de jus, il ne put s‘empêcher de la railler.
« Mon adorable kendoka lascif est-elle prête à perdre sa virginité ? Je vais briser ta chatte et comme punition pour m’avoir caché ses délicieux oppai, je te menotterais et je te baiserais jusqu'à ce que tu saches comment agir autour de ton maître. » Dit Issei, le son de sa voix plus sombre mais toujours empli de convoitise et d’une confiance absolue. Il avait la tête juste en face des immenses monticules dont le lait suinté en continue, la stimulation offert par sa bouche suffisante pour que la lactation soit autonome. Il glissa lentement son gland contre la fente de Katase, la torturant en savant exactement comment elle était frustrée par ses actions.
« Tu as de si grand melons Katase, je parie que tu as toujours eu le fantasme d’avoir ces grands mamelons pincés et tirés, n'est-ce pas ? Je suis sûr que tu as fait beaucoup d’homme heureux. » Roucoula Issei, une de ses mains jouent avec ses gigantesque seins tandis que l’autre agrippait son cul, les deux largement plus grand que ceux de Naruko, sa peau était tellement mou et visqueux qu'il aimait laisser ses mains s'enfoncent dans sa chair blanche. Chaque femme avait ses atouts, et son buts en ayant un harem était d’avoir le plus de diversité possible.
« N… non Hyoudou, personne ne m'a jamais touché là-bas. » Grinça Katase. Où était passée sa pudeur, sa fierté ? Hyoudou la traitait comme si elle était déjà une de ses putes, et elle ne ripostait pas. Au contraire, chaque fois qu’il insinuait qu’elle était sous lui cela sentait bien, naturelle.
« Non? Personne ne t’a jamais touché ici ? » Demanda Issei, glissant sa main sur son petit ventre mignon et musclé par des heures d’entrainements acharnées, pour frotter les lèvres de sa chatte.
« Non, tu es le premier Hyoudou à me toucher là-bas. » Grinça Katase tout son corps serait devenue rouge d'embarras s’il ne l’était pas déjà. Issei se contenta de sourire et amena sa main pour lécher le jus hors de ses doigts. Le sourire devint plus sombre, grâce à sa transformation et les enseignements de sa sœur repérer un mensonge aussi mal dissimulé était un jeu d’enfant.
« Mmmm, mensonge~. Quelle mauvaise fille tu es. Et les mauvaise filles sont punie~. » Katase sentit son cœur bondir dans sa poitrine lorsque la pression contre sa chatte augmenta écartant de plus en plus ses pétales humide, avant de commencé à se plaindre lorsque la sensation disparu complétement.
« Hyoudou ! Qu’est-ce que tu fais ! Je croyais que je devais être punie ! » Dans les pornos la punition était la pénétration de la femme, non ?
« Bien sûr. On s’arrête là. Après tout, les mauvaises filles n’ont pas de récompense. Je suis sûre que parmi les filles dans le vestiaire, toute sont de bonne fille, n’est-ce pas oppai sur patte ? » A part Setsuna et Clair qui étaient inconscient, et Yui qui se blottissait dans un coin en raison de l’ambiance devenue glauque selon elle dans le vestiaire. Toute observaient avec une attention soutenue ce qui ce passer au centre du vestiaire, elles avaient enlevées leurs vêtements et se masturbaient sans aucune considération pour le fait qu’elles se donnaient en spectacle devant le pervers numéro un de l’académie. Lorsque la question d’Issei parvint à leurs cerveaux embués par le sexe, elles hochèrent toute la tête furieusement en accord. Un déluge de « Oui Issei-sama ! », « Choisissez-moi Issei-sama ! », « Ma chatte est ouverte à vous maitre ! »… surgit à la grande satisfaction d’Issei.
« Alors les filles, laquelle va se faire rôtir en premier sur ma bite ? » Mais avant qu’Issei puisse faire descendre Katase elle s’agrippa à lui et hurla.
« MURAYAMA ! »
« HEIN ?! » Le cri collectif des personnes encore consciente dans le vestiaire.
« Murayama et moi on a un peu exploré nos corps ensemble… Mais rien de plus que quelques masturbation ensemble et léchage de la chatte de l’autre. Je le jure. » Reprit Katase plus calmement, gêner de révéler un telle secret devant tout le monde.
« C’est bien, tu es une bonne fille. Donc je vais te récompenser. » Katase couina de joie lorsqu’elle sentit le gland de retour à l’entrée de son pot de miel. En ignorant le regard dégouté de certaines à l’information mis en lumière.
« Mmm, donc ma petite kendoka sale est une lesbienne, je vais profiter de baiser ta sale petite chatte vierge devant ton amante, non mieux au-dessus de ton amante. Est-ce que ça t‘a exciter de voir ton amante, la femme que t’aimes se faire saccager la chatte par ma grosse bite ? De savoir que la femme que tu aimes a écartée les jambes pour un homme et lui donner sa virginité ? De savoir que la première chose quand elle se réveillera ce sera de voir la chatte de la femme qu’elle aime transpercée par ma grosse bite ? » Rien ne gonflait plus l’égo d’un homme que d’avoir faire jouir un couple de lesbienne avec sa bite, savoir qu’une femme qui préférait les relations sexuel avec les femmes et n’envisageait même pas la même chose avec un homme puis que grâce à vous elle est devenue accroc aux bites était un stimulus puissant. Et comme il lui a promis, il plaça Katase juste au-dessus du visage inconscient de Murayama, offrant à Murayama la magnifique vue à son réveil de la chatte de sa petite amie étant détruite par sa grosse bite.
Katase gémissait de pur plaisir comme elle sentait taquiner sa chatte en glissant la tête de sa verge dessus. « S'il te plaît, baiser-moi Hyoudou, je veux que tu baises ma petite chatte vierge et me remplir de ton sperme ! Baise-moi comme tu as baisé ma petite amie. Je veux ressentir le même plaisir qu’elle ! Je veux qu’elle sache que tu m’as baisé ! Je veux qu’elle voit quelle salope de tricheuse je suis, que ma chatte à était totalement détruite par toi Hyoudou ! »
C'était juste les mots qu’Issei voulait entendre. « C'est ça Katase prie ton nouveau maître et celui de ton amoureuse de baiser ta petite chatte, tu veux que je prenne ta cerise ? Tu veux que je remplisse tous vos trous avec mon sperme chaud à toi et ton amoureuse tous les jours pour le restant de vos vies, n’est-ce pas ? » Questionna Issei s’accrochant à ses fesses et ses lèvres murmurant à son oreille. Sa bite étant prête de l’entrée de son lieu le plus sacré et s’apprêtait à le corrompre avec son sperme pervers. En la laissant tomber d’un coup, il l’empala sur sa lance, enfonçant une bonne dizaine de centimètre dans son ventre.
« OOOHHHHHH PUTAIN C’EST SI BON ! J’AI L’IMPRESSION D’AVOIR ATTENDUE CA TOUTE MA VIE ! OOOUUUUUIIIII ! »
Katase ne pouvait pas le supporter et cria au sommet de ses poumons, sa chatte connaissant un orgasme qu’elle n’avait jamais imaginée pouvoir être aussi puissant. Rien que d’avoir ce monstre dans sa chatte lissé par le jus de sa petite amie lui donnait un plaisir inconnu à ses sens. Arrêtant pour reprendre son souffle, elle regarda dans les yeux de Hyoudou… non, Issei. En voyant la luxure sans fin pour son corps qu’il trouvait sexy avec un soupçon de tendresse lui causa d'avoir un autre orgasme fracassant. Peut-être que ce n’était pas qu’une bête lubrique, après tout un homme pouvant donner autant de plaisir à une femme ne pouvait pas être totalement mauvais, c’est logique ?
« Mmmm, ma petite salope de kendoka ne semble plus vierge, quelle fille sale elle est. Dit moi est-ce un gars au hasard dans la rue qui ta prit ta virginité ? Tu la ramener dans une ruelle sale et malodorante, tu as soulevée ta jupe lui montrant que tu ne porter rien en dessous et lui as demandée de te baiser contre le mur où d’innombrable prostituer ont déjà été baisées, c’est ça ? » C’était incroyable à quel point une femme pouvait produire du jus, déjà que les jambes l’encerclant était trempe, il pouvait sentir le jus qu’elle produisait comme ne fontaine coulait sur ses boules et glisser le long de ses jambes. Quoiqu’en regardant autour, lui-même n’était pas en reste sur la question du volume d’éjaculat que pouvait produire un humain.
«Ahhhhh… ne dit pas des choses aussi sale et dégradante ! HUMMMMM ! C’est juste que j’aie été peu trop enthousiaste avec mes jouets ! OUUUIIIII PUTAINNNN ! » Avoua Katase entre ses cris de plaisir, elle sentait sa bite se frayait un chemin dans son canal. Issei ne pouvait plus se retenir et plongé dans Katase en apprenant qu’il n’avait plus besoin de se retenir. Il la soulevait par ses fesses bombé de manière obscène et la laisser tomber sur sa bite dure comme l’acier en s’assurant de la retenir au dernier moment, pas besoin de lui faire mal. Une pute cornée qui obtenait du plaisir était une bien meilleure baise.
Les murs de son canal étaient soyeux comme de la soie. Murayama était un étau chaud cherchant à tout prix à traire son sperme par la force brute, Katase était plus subtile, ses murs caressant et massant doucement sa verge, lui chuchotant avec tendresse de les peindre de sa semence. Les chattes des deux filles étaient diamétralement opposées, mais ce complété à merveille, subir ces deux sensation complémentaire l’une après l’autre mettait à rude épreuve sa résistance. Il sentait ses couilles se préparaient à vider leurs chargement en préparation de son orgasme. C’était l’orgasme le plus rapide de la semaine, même Naruko n’arrivait pas à la cheville du travail d’équipe involontaire de ces deux-là.
« Quelle salope tu es, perdre ta virginité à un sex toy et non à ton maitre. Il faudra que je pense à une punition approprié plus tard. »
En sentant son orgasme montrait des signes d’apparition, il augmenta la cadence décidant de réellement la baiser et de faire honneur à ce corps voluptueux. Appréciant la vue de ses immenses mamelles rebondissant devant son visage. Ne pouvant plus se retenir en voyant ses mamelons dur et jaillissant de lait aspergeant au passage son visage, il en attrapa un entre ses dents la faisant japper de douleur et suça le lait hors de son oppai droit qui devint piégé entre ses dents. Son autre sein continua sa folle course rebondissante.
Katase ressentit un immense bonheur, perdre sa virginité à un gode avait semblait comme une bonne idée. Certes elle avait pensée qu’elle éviterait la douleur pour sa première fois, c’était avant qu’elle comprenne qu’elle était lesbienne. Ou était-ce bisexuelle maintenant ? D’un côté cela lui avait permis d’être suffisamment souple pour accueillir ce monstre en elle, mais imaginer être étirer pour la première fois par une bonne grosse véritable bite aurait été certainement une expérience inoubliable. Mais la réponse à sa question si le meilleur était un gode ou une bite avait été trouvée. Une bite ! Aucun gode ne pouvait égaler la circonférence, la longueur absolument monstrueuse de la bite d’Issei. La chaleur qu’elle dégageait, la façon dont elle pulsait toujours plus rapidement en elle et frapper son col comme un bélier. Et même quand elle avait expérimentée avec Murayama, elle n’avait jamais atteint autant son point G ! La bite à Issei semblait tout écraser sur son passage laissant juste du pur plaisir traversant son corps. Et un gode ne pouvait sucer ses seins sensible comme ça, oh merde ! Un autre orgasme explosa dans ses reins. Depuis qu’il l’utilisait comme un manchon pour sa bite la fréquence de ses orgasmes ne dépassait pas trente secondes, et se rapprochait de plus en plus. Elle allait terminer dans le même état que Murayama si Issei continuait à la baiser et sucer son mamelon comme ça. Déjà son sein droit était plus léger que son sein gauche, elle ne savait pas combien de litre il buvait à son sein, et elle n’allait pas s’en plaindre.
"Quel petite pute j'ai trouvé, je me demande si toute les lesbiennes sont aussi salope que vous ou si j'ai juste eu de la chance?" Demanda Issei en se séparant quelques secondes de l’oppai, mais Katase n'était pas en état de répondre que ses yeux roulèrent dans le dos de sa tête et sa voix s’était transformée en une longue plainte. Issei a continué à claquer dans sa petite pute de kendoka, sa bite claquant dans le fond de son ventre à chaque poussée comme il l’utilisait comme un simple manchon sur sa bite. Un très beau et voluptueux manchon auquel il allait faire honneur en la baptisant avec sa semence.
« OUIIIII ! ISSEI-SAMA TOUTE LES LESBIENNES SONT AUSSI SALOPE QUE NOUS ! ONT VOUS APPARTIENT TOUTE TANT QUE VOUS CONTNIUEZ DE NOUS BAISER COMME CA ! CA ARRRRIIVE ENNNNCORRREEE ! TOUTE LES CHATTES DES SALOPES DE LESBIENNE VOUS APPARTIENNENT ! OUUUUUIIIII ! ALORS CONTNIUEZ DE BAISER CETTE HUMBLE CHATTE ! » Katase disait tout ce que voulait entendre Issei pour qu’il continue à la baiser. Le sens des mots n’avait plus aucune importance, elle voulait juste le pousser à continuer de la baiser jusqu’à ce que sa chatte ait trait tout le sperme de ses magnifiques boules. Ses seins ressemblait à des fontaines de lait, les orgasmes l’entrainant à expulsait du lait en raison de tout son corps qui se tordait dans le plaisir.
Issei gémit aux mots de soumission absolue de Katase, ce fut suffisant pour couper le dernier fil retenant son orgasme. Claquant les deux tiers de sa bite dans son ventre, il sentit le premier jet de sperme être expulsé dans son ventre, sa bite étant juste à l’entrée maltraiter de son utérus. La puissance de son orgasme défonça la porte de son lieu le plus sacrée et remplit son ventre la faisant hurler comme une furie.
« OOUUUUUUUIIIIIIII !!! PUTAIN DE MERDE !!! JE LE SENS DANS MON VENTRE, PUTAIN C’EST COMME AVOIR UNE LANCE A INCENDIE DANS LE VENTRE ! OUUUUUIIIII ! OH MON DIEU, IL EST EN TRAIN DE JOUIR DANS MON VENTRE FERTILE ! CA POURRAIT ME METTRE ENCEINTE MAIS JE M’EN FOUS TANT QU’IL CONTINUE DE ME POMPER DE SPERME ! » Katase n’exagérait pas ses paroles, l’orgasme qu’elle traversait avait éteint toute les fonctions de son cerveau gardant juste celles utiles pour qu’elle continue de se faire baiser. La sensation chaleureuse du sperme débordant dans son ventre était magnifique. Malheureusement son ventre n’était pas aussi extensible que celui des yokai, bien qu’il est essayé d’accueillir le plus possible de sperme ce n’était tout simplement pas possible. Très vite elle sentit la pression de son ventre atteindre le point de rupture. Avec la sortie complétement bouché par le bâton de viande, la physique fit le reste. Après une dizaine de seconde, elle se sentit soulevé de la bite d’Issei. Après avoir été soulevé d’une vingtaine de centimètre elle comprit que quelque chose était mal. Son ventre commençait à avoir une légère boule, et la pression menaçait de la faire sauter comme un bouchon.
« SUGOOIIIII ISSEI-SAMA ! VOUS AVEZ JOUI TELLEMENT DANS LE VENTRE DE VOTRE SALOPE ! SUGOI AHAHAHA ! ON DIRAIT QUE JE VAIS SAUTER COMME UN BOUCHON DE CHAMPAGNE CA A L’AIR MARRANT ! AHAHA ! SUGOIIII ! » Issei roula des yeux au comportement de sa salope tellement baiser qu’elle n’arrivait même plus à voir à quelle point dépraver elle était devenue, il espérait qu’elle ne resterait pas comme ça. Bien qu’avoir une salope folle soit tentant, il préférait le côté mignon et timide de Katase avec une pointe d’affirmation. Lorsque son corps fut remonté jusqu’à gland il la souleva libérant des torrents de sperme sur Ako et Riko devant lui qui au lieu de s’enlever comme toute à l’heure commencèrent à exhiber leur corps pour être bien arroser de sperme sous tous les angles et de passer leurs mains sur leur peau bronzé pour le répartir efficacement en prenant de grosse bouché de sa crème nacrée. Un tir partant légèrement sur le côté plâtra la poitrine de Claire toujours évanoui.
« Issei-sama. » La voix de Katase était tellement faible qu’il dû tendre l’oreille pour l’écouter. « J’aimerais me reposer sur Murayaaaa… » Trop fatigué de l’épreuve il semblerait qu’elle se soit endormi. Répondant à son souhait, il la posa sur sa petite amie, immédiatement elle fouina dans le cou de Murayama avec un sourire heureux. Le visage de Murayama n’était pas sorti indemne des activités qui s’était déroulées au-dessus d’elle. Elle était couverte de lait, cyprine avec du sperme, et sa bouche ouverte sembla se préparer à déglutir automatiquement le sperme qui était sorti de la chatte de Katase et était tombé dedans.
Le plus impressionnant était la paire de trou qui avait était leur chatte, les trous ont été suffisamment béant pour y enfiler des bouteilles et ne sembler pas prêt de se refermer. Une épaisse cascade de sperme gluant coulé de sa chatte dans le trou de Murayama qui avait toujours sa culotte mise de côté. Des cordes de spermes s‘emmêlaient dans la cambrousse noire de Murayama donnant un tableau plutôt attirant, mais il avait d’autre chatte fraiche à baptiser. En jetant un regard à Setsuna, il vu que l’effet de son attaque avait cessé laissant l’environnement être détérioré. Outre son corps devenu blanc comme le lait sortant de ses oppai et sa chevelure s’étant éclairci, le sol et le mur autour d’elle était dégoulinant de lait tandis que ses petits seins avaient retrouvé une taille normale. Une chance pour elle, il avait entendu dire que ce baignait dans le lait était bon pour la peau.
Il eut à peine le temps d’admirer son travail que les trois autres filles, Erza Scarlet, Asuna Yuki et Tsukiumi Mizuhime dans le vestiaire se jetèrent sur lui en criant « Mon tour Hyoudou-sama ! », « Non c’est mon tour salope ! Je l’ai vu la première ! », « Tu rêves putain ! Hyoudou-sama va me baiser ! ». Soupirant, il pensa que c’était les inconvénients d’un harem. Levant sa main, il annonça.
« Vous allez toutes les trois me sucer et je baiserais en premier celle que je trouverais la meilleur. Et ne vous inquiétais pas, j’ai suffisamment de réserve pour baiser les trois d’entre vous. »
Dans un coin du vestiaire sous une illusion :
« Issei-nii est incroyablement chaud… » Murmura Naruko dans son uniforme de Kuoh en retirant sa main de sous sa jupe et l’amena à sa bouche pour lécher le jus dessus. Elle regardait les trois nouvelles salopes d’Issei-nii adorer sa bite, une à chaque couille et la dernière s’attaquant au gland. « … qu’est-ce que vous en pensez Momo-chan, Tomoe-chan ? » Ses deux amies avaient dû être envoyées par Sona quand elle a senti le sort utiliser. Par chance c’était ses deux amies qui avaient été envoyées, lorsqu’elle les avait vues fouiner en dehors du vestiaire elle avait envoyé ses clones les kidnappées. Le sort utilisé était un sort très utile mais très drainant, elle avait combinée les sceaux et la magie pour ralentir le temps. Le sort n’était pas exactement au point, une heure devenait dix minute pour l’espace piéger dans le sort et elle pouvait à peine l’appliquer à un bâtiment plus grand que ce vestiaire. Mais cela serait parfait pour permettre à Issei-nii pour relâcher la pression dans ses boules. Depuis qu’il était devenu un diable il était intenable, toute la semaine, l’école s’était posé la question de pourquoi elle boitait comme ça.
Elle avait sorti l’excuse classique des hentai quelle était tombée dans les escaliers, mais les railleries de Sona et de ses amies était très vicieuse. Elle se demanda pourquoi, elles lui en voulaient encore pour les blagues ? Elle était trop fatiguer pour répliquer. Plusieurs fois par soirée il la baisait, elle avait beau utiliser sa chatte, sa bouche ses mains, ses seins… impossible de le satisfaire. Elle avait depuis longtemps compris la nécessité d’un harem. Ce n’était plus pour satisfaire le fantasme de son frère mais pour la sauver elle ! Sa régénération n’arrivait tout simplement pas à suivre ! Aujourd’hui elle ne pouvait pas marcher, la seul raison pour laquelle elle était debout était grâce à une astuce qui lui permettait de contrôler son corps comme une marionnette. Et c’est sans compter sur sa monter en puissance tout le long de la semaine, hier il avait brisé son bassin en la baisant ! Alors entendre que ses deux amies étaient victime de brimades lui avait permis d’établir un plan pour la sauver, après que sa colère soit redescendu. Elle trouvait les coupables et les jetaient en pâture à Issei-nii. Plutôt eux que elle, que les coupables se trouvaient dans le club de kendo était un bonus. Bien qu’elle regrette avoir voulue regardait la scène, son excitation avait dépassée sa raison et elle s’était masturber avec sa chatte crue, il lui faudrait peut-être attendre trois jours sans relation sexuel avec Issei-nii pour la laisser guérir, une torture nécessaire au vue de l’état de délabrement de son corps.
« Ouiii, Naru-chan, c’était un spectacle… instructif… » Murmura Momo rougissante en regardant le gang-bang inversé devant elle. Voir le frère de Naruko dominait complétement les pauvres filles avait été incroyable. Elle n’arrivait pas à se sentir triste pour elle, non seulement certaines d’entre elles avaient essayées de les brimer, mais et plus elles prenaient plaisir à la punition que leur avait préparé Naruko.
« Instructif ?! Mon cul bien foutu oui ! Foxy-chan ton frère est membré comme un cheval ! Le voir baiser à mort ces deux prudes hautaines fut magnifiquement satisfaisant ! » La seconde personne à parler était Tomoe Meguri était sa seconde amie, une fille en seconde, la chevalière de Sona. C’était une fille de taille moyenne avec des cheveux brun rougeâtre tombant sur ses épaules attaché en deux courtes queues de cheval à l’arrière de sa tête, un regard constamment enjoué avec deux yeux brun chaleureux. Son visage respirait la joie de vivre avec des traits gracieux, mais elle paraissait tout à fait normale physiquement par rapport aux beautés qui peuplaient Kuoh. Un petit buste arrivant à peine au bonnet C, mais un corps entretenu, et un petit cul parfaitement guilleret. Mais tandis que Naruko avait été attiré par la timidité de Momo qui lui rappelait Hinata, Tomoe lui rappelait elle. Une fille joyeuse et facétieuse chérissant ses amis et positive, elle s’assurait qu’elle ne passe pas par les mêmes tragédies qu’elle.
Naruko avait trouvé une tenue parfaite pour mettre en valeur son corps, un maillot de bain shorty noire, épousant parfaitement les courbes de son corps. Mettant en valeur ses petits monticules bien formés ainsi que son petit cul qui devait déclencher des fantasmes des adolescents pré-pubères qui peuplaient cette académie.
Actuellement les deux étaient sur les genoux des clones de Naruko qui massaient leurs poitrine, Momo avait encore son ruban qui avait pris la fuite tandis que Tomoe se faisait masser la poitrine à travers le maillot.
« Tu as entendu la rumeur Tomoe-chan ? A ce qui parait masser les oppai d’une femme permet de les faire grandir. Nous allons vérifier ensemble, après tout tu manques un peu dans ce domaine~. » Pour ponctuer sa déclaration le clone pressa encore plus ses mamelles contre le dos de Tomoe.
« J’aimerais qu’ils grossissent… mais arrête de frotter tes mamelles de vache contre mon dos ! C’est déloyal Foxy-chan de frotter ta supériorité mammaire contre moi ! Et tu n’aurais pas un sort pour l’augmentation mammaire dans ton répertoire ? » Les yeux de chiot battu que lui fit Tomoe à ce moment lui fit bondir le cœur. Se reprenant, elle s’assit sur ses genoux en faisant face à Tomoe, s’assurant d’appuyer sa poitrine supérieur contre celle de Tomoe. Enroulant ses bras autour du cou de son amie, elle lui murmura.
« Naruko a effectivement ça… » Le regard d’espoir de Tomoe lui fit presque rire… presque. « … mais elle te préfère comme ça Tomoe-chan, avec ta petite poitrine mignonne, après tout Tomoe-chan avec des oppai gigantesque ne serait pas Tomoe-chan. Et Naruko aime Tomoe-chan comme elle est. » Elle ponctua sa déclaration d’un baiser avide, leur douce et fine lèvre pressèrent l’une contre l’autre. Contrairement à Momo qui était timide dans leur baiser, Tomoe essayait de dominer Naruko à son grand amusement. Leurs langues faisant une danse endiablées, s’enroulant l’une autour de l’autre, repoussant l’adversaire dans ses retranchements. Naruko aimait le fait que Tomoe était têtue, leur relation était naissante et Tomoe croyait pouvoir lui résister… amusant. Mordant sa lèvre inférieure jusqu’au sang lui faisant baisser sa garde, Naruko en profita pour ravir la ravissante bouche de son amante, goutant son sang. Il sembla que Tomoe avait arrêté de se battre… dommage, ses amantes essayant de résister étaient plus amusante à briser.
D’un coup elle glapit, Tomoe n’avait pas abandonnée. Elle avait faufilée ses mains dans son dos et agrippait ses cheveux pour les lui tirer. Et pendant qu’elle était surprise lui avait fortement mordue sa lèvre inférieure en représailles. Naruko fut encore plus surprise en sentant le gout du sang remplir sa bouche. Brisant le baiser, elle regarda le regard empli de défi et de satisfaction de Tomoe. Passant le doigt le long de sa lèvre inférieur, elle guéri la coupure qu’elle avait infligé à Tomoe.
« Hummm, il semblerait que la petite amie de Naruko ait du mordant… Ca n’en sera que plus satisfaisant quand tu mendieras à ses pieds. Mmmm, Naruko ne peux pas attendre de vous voir comme ça. » Murmura Naruko le regard rêveur, le sang rouge faisait un magnifique contraste avec son rouge à lèvre rubis, lorsque passa sa langue dessus essuyant le sang, Tomoe pouvait voir que la plaie avait déjà guéri.
« Dans tes rêve Foxy-chan, moi et Momo on vas dresser notre petite renarde désobéissante. J’ai hâte de voir la tête des élèves de Kuoh lorsque l’on t’amènera à l’école comme une chienne avec comme seul vêtements le collier par lequel on te trainera. » Au défi de Tomoe, Naruko sentit un frisson d’excitation traverser sa colonne. Le regard empli de confiance de Tomoe l’électrisait, même Momo la regardait avec défi. Sa douce et innocente Momo était encouragée par les paroles de son amie. Pour être honnête, dominé ou être dominé lui importait peu, les deux lui procurait un plaisir incroyable. Mais son côté animal lui ordonner d’être la dominante, et les seul qu’elle considérait comme pouvoir la dominer étaient Rias, son maitre, sa petite sœur, Issei-nii, son alpha et enfin Tomoe et Momo, ses compagnons. Akeno était amusante, mais leur temps d’amusement ensemble allait bientôt prendre fin, elle pouvait déjà voir le regard d’incrédulité d’Akeno lorsque son animal de compagnie qu’elle croyait avoir brisé se retourner contre elle et la transformer en salope pour son frère.
« Des mots bien arrogant de deux filles capturaient par les clones de Naruko et à sa merci. Mais Naruko se sent de bonne humeur de voir son frère baisait ces salopes donc elle ne vous punira pas pour lui résister. Résister les petites souris de Naruko, résister… la chasse n’en sera que plus excitante. » Naruko ronronnait, même en ayant le corps détruit par les baise multiple et hard d’Issei-nii, la mort et la résurrection de son frère bien-aimé… c’était la meilleur semaine de ses deux vies. Perdre sa virginité à son frère bien-aimé, et acquérir ses compagnons étaient comme un rêve.
Tournant la tête, elle ordonna à son clone tenant Momo. « Tient la bien, Naruko s’occuperas d’elle après. Et elle espère que tu apprécies le spectacle. C’est certainement mieux que le porno que tu caches sous ton matelas, hein Momo-chan ? »
« Naru-chan ! Ne révèle pas ça devant tout ce monde ! »
« Mais il ne peuvent pas vous entendre, et ce n’est pas comme Naruko et Tomoe-chan ne le savait pas. »
« Momo à du porno ? Notre douce et innocente Momo ? »
« Naru-chan !! »
« Elle devait bien être au courant un jour ou l’autre. »
« Ne, ne, quel genre elle a Naruko ? De l’homo, de l’anal, des tenues de soubrettes ? Allez dis-moi, je veux savoir ! » Naruko sourit d’un air prédateur, colla sa bouche contre l’oreille de Tomoe et murmura d’un air conspirateur.
Momo ne put que voir son amie ayant eu l’air si confiante commença à prendre une teinte de rouge inconnue au bataillon en lui envoyant de temps à autre des regards incrédules.
« QQUUUOOOOOIII !? J…je… je ne pensais pas que ton esprit était aussi sale et tordue Momo. » Momo failli mourir de honte. Elle savait qu’aucune des deux ne la rejetterais en raison de ses gouts… particuliers en manière de porno. Apprendre l’existence de la magie et du monde surnaturel lui avait donné l’espoir de réaliser une infime partie de ses sombres fantasmes.
« N’est-ce pas ? Qui aurait pensé que derrière la douce comptable du conseil des étudiants aduler par une partie des étudiants se cachait une fille dont l’esprit était si pervers que même moi et Issei-nii reculeraient. »
« Nous deux n’arriverons pas à satisfaire ses fantasmes tordue. »
« Naruko amènera quelques jouets. Et si vous voulez Issei-nii se fera une joie de lui venir en aide. »
« Foxy-chan je t’aime, mais voir ton frère membré comme ça me fait honnêtement me demander comment ça sentirais dans ma petite chatte serrée. »
« Ce sera pour une autre fois. Naruko veux juste profiter du spectacle avec vous deux. »
« Qui aurait pensé quand même que Foxy-chan, réputé comme étant la déesse du sexe pour les diables de Kuoh soit littéralement brisé comme une poupée fragile par son frère. Un problème d’endurance ? » Naruko mis de côté les railleries de Tomoe et quitta les genoux avant de les lui écarté les jambes. Son état n’était pas difficile à comprendre pour eux deux et ses familiers, elle ne souhaitait plus recevoir de plaisir, elles avaient vite comprit pourquoi et les taquineries avait volées.
Une fois devant l’entrejambe de Tomoe, d’un coup net avec son ongle, elle trancha le maillot révélant les pétales de Tomoe.
« Hééééé, mon maillot. Comment je vais me promener dans l’académie ? »
Naruko mis de côté les gémissements plaintif de sa petite amie et observa son trésor. Une chatte glabre, des pétales engorgés de jus et d’une couleur rose. Naruko se lécha les lèvres au festin devant elle.
« Rasé Tomoe-chan ? »
« Humm ? On ne savait pas ce que tu aimais avec Momo-chan, donc l’une se rase tandis que l’autre non. Comme ça tu as les deux. »
« Naruko aime les deux.» Elle passa doucement son ongle le long de sa fente faisant frissonner sa petite amie. Se retirant elle décida qu’un petit jeu été en ordre.
« Naruko va jouer avec toi Tomoe-chan. Naruko va être très occupée pour te plaire, et le moins que tu puisses faire est de décrire ce qui se passe dans le dos de Naruko… »
Tomoe hocha la tête, impatiente de commencer à être lécher par la file sur laquelle elle avait fantasmé des années.
« Mais si Naruko est ennuyé de ta description ou ne t’entend pas. Il est fort probable que si Naruko s’ennuie elle échange pour un meilleur conteur, Naruko est sûre que Momo est impatiente qu’elle s’occupe d’elle, n’est-ce pas Momo ? »
« O…oui Naru-chan. » Momo regarder les deux avec désir, jalouse que Naruko commence avec Tomoe.
« Ne t’inquiète pas Momo, moi je suis là. » Un clone de Naruko lui rappela en lui pinçant les mamelons la faisant gémir.
« D’accord, d’accord ! Juste lèche moi Foxy-chan, je suis humide rien que pour toi, dévore ma chatte ! »
« Tu es si impatiente. »
Tomoe sentit les mains de son amante courir le long de ses cuisses et les guider plus éloignés de son pot de miel. Sa peau nue senti les doigts glissent le long comme Naruko vient sans cesse plus étroite du cunnilingus promis. Une dernière poussée sur chacune des cuisses propageant ses jambes encore plus loin, et comme Naruko leva la tête pour regarder son corps, Tomoe se sentit heureuse de voir la moue ludique de Naruko. Son beau visage bouffi de sa masturbation précédente se préparant à lui donner son premier cunnilingus, imaginer ce visage sexy avec sa petite langue qu’elle venait d’embrasser enterrer entre ses jambes suffisait à lui donner des frissons.
« Maintenant. » Elle ronronna, puis descendit. Elle sentit sa langue faire des cercles autour de son pot de miel. Il y a une noblesse dans le toucher, comme elle glisse lentement sur sa peau. Un gémissement force son chemin hors de sa gorge plus de détente que de plaisir. Les tensions du travail au conseil étudiant, des actes cruels qu’on lui a imposée quand on a appris son homosexualité… tout ceci disparurent sous le toucher talentueux de sa petite amie. Ses mains se tendirent vers le bas pour courir à travers ses mèches blondes désordonnées.
« N’oublie pas Tomoe-chan, description… » La façon dont ses lèvres quand elle parla se courba vers le haut l’excita à nouveau, se souvenant du travail à faire pour continuer à recevoir ce plaisir céleste, Tomoe s’exécuta.
« Tsukiumi suce toujours le gland de ton frère tandis qu’Erza et Asuna ont quittées ses boules et lèche chacun de leurs côtés son immense verge qui a l’air si délicieuse. Toute les trois semblent bien motiver. Ton frère s’est rassit sur le banc en attendant que ces trois salopes le fasse jouir. Sa main gauche semble saisir une des joues des fesses de Katase toujours évanoui à côtés de lui. »
Sa lèvre inférieure effleura son vagin et un autre gémissement laissa sa gorge. Elle ne s’attendait pas à une touche aussi sensuelle, mais il envoya le plaisir tout au long de son corps et son souffle commença immédiatement à s’accélérer. Ces douces lèvres glissèrent vers le bas alors qu’elle ouvrait la bouche et posa ses lèvres sur sa vulve en continuant à offrir plus de stimulation. Son maillot de bain commençait à s’assombrir absorbant la sueur de leurs ébats, collant à elle comme une seconde peau, ses mamelons pointant à travers le tissu humide.
« Les trois se sont rejoint aux niveau du gland de ton frère et le lèche abondamment comme si c’était une délicieuse sucette avec un air ravi sur leur visage. Chaque globe de liquide pré-éjaculatoire qui sort est immédiatement pris d’assaut par les trois gourmandes qui essaye de ne pas en laisser échapper une goutte. »
Les ongles creusèrent dans ses cuisses brusquement comme Naruko resserra son emprise sur sa proie, avide de détail qu’elle lui fournissait. Avidement elle ouvrit la bouche large et poussa sa langue dans ses pétales dégoulinant de miel, tortillant sa langue comme un serpent pour entrer. Elle poussa contre ses murs curieusement et expérimentalement, cherchant agressivement à assouvir son plaisir. Avec un soupir étranglé, Tomoe ne pouvez pas aider mais balancer ses hanches vers l'avant, pressant contre la bouche chaude et séduisante. Une chaleur lascive et familière monte à travers son corps comme cette langue de renarde râpeuse apporte la même réaction en elle comme ses godes préférer… non mieux encore. Elle s’étouffa en sentant le plaisir devenir insupportable, couvrant d’éloges silencieux sa petite amie pour ses administrations orales, gémissant alors qu'elle avale son nectar.
« Ton frère gémit et caresse avec sa main libre la tête de Erza qui a l’air ravi de l’attention qu’il lui porte. Vu comme il gémit et sa bite tremble je pense qu’il va bientôt jouir. Mais Asuna et Tsukiumi redouble d’effort pour lui plaire en essayant chacun leur tour de prendre son gland en bouche tandis qu’Erza semble se contenter de lécher le prépuce. »
Naruko siffla dans le vagin de sa petite amie appréciant la description de son frère remettant en place ces filles à leurs places légitimes de putain. Son nez caressa brièvement le clitoris humide en face d’elle tandis que sa langue parcourait le canal gouteux de sa petite amie, son gout était exquis et coulait le long de sa langue et de sa gorge telle le nectar des dieux. Un petit gout fruité et acide s’attardait sur ses papilles. Le jus de Tomoe venait d’entrer dans le top 3 des meilleurs choses qu’elle est jamais gouter avec la nourriture des dieux qu’était les ramen et le sperme d’Issei-nii. Elle était déjà accroc. La pointe de sa langue cherchait à atteindre tous les endroits sensible de Tomoe, dans une quêtes désespéré pour atteindre son point G avec toute la hargne et la détermination qu’elle était connue avoir. Tomoe serait mendier son pardon à la fin de cette session de torture sexuelle.
« Oh putain ton frère est sur le point de jouir ! Aaaahh…Je le vois prendre sa verge avec sa main droite et commençait à se masturber avec les trois salopes avide de sperme à genoux devant lui avec la bouche ouverte en attente de leurs récompenses. Huuummmm… Par les 72 piliers des enfers, il envoie des gerbes de sperme blanc sur la figure et dans le gosier de ses salopes ! Par Lucifer ! Je n’aurais jamais imagier ses trois-là dans un telle poste à bouffer du sperme comme des chiennes mangeant leurs pâtés ! C’est chaud Foxy-chan sérieusement ! Tu n’imagines même pas combien c’est bon de voir ces trois-là perdre leurs dignités et sombrer dans la dépravation ! Oh putain de merdeeeee !!! Tu viens de toucher mon point G avec ta langue ! Je n’arrive pas à y croire ! »
« Beeuuuurrrrkkkkkk ! »
« Ah ! Un tir errant vient de frapper Momo et de la peindre en blanc. Momo ta nouvelle couleur te va bien. Hahaha, oooohhhh fuck ! »
Sa bouche et les lèvres descendirent sur sa fente avec plus d’enthousiasme encourager par la description vulgaire de Tomoe et ses gémissements, tirant légèrement à ses lèvres et vandalisant sa chair pur avec leur contact. Elle ouvrit grand et avala pratiquement sa fente rosâtre, couvrant l'ensemble de celui-ci avec sa gueule et envoyant de l’air chaude en elle. Sa langue poussa et revient à son assaut, le broyage contre sa chair sensible et aspirant son jus comme un aspirateur en alternance avec l’envoi d’air chaud dans sa caverne. Rodant comme une renarde qui buvait dans un bol rempli de lait, Les sons de siphonage était si fort que même Momo qui profiter d’un massage mammaire avec les mains du clone glissant facilement sur elle avec l’aide du sperme d’Issei-nii comme lubrifiant l’entendait clairement. En effet, elle semblait ronronner de plus en plus fort que le jus de Tomoe coulait sur sa langue, glissant dans son gosier, faisant vibrer le clitoris de Tomoe qui essayait tant bien ue mal de continuer sa mission ne voulant pas décevoir son amante.
« Ohhhhhhhh, Ouuuuiii làààààà ! Il semble que ton étalon de frère est décidé que de souiller le beau flocon neige Asuna en premier soit le mieux ! J’aurais préféré qu’il démolisse la rousse aux gros seins, toi aussi nonnnnn !? Après tout tu as un fétiche pour les rousses, voir cette fille rousse la chatte démolie avec le sperme de ton frère s’échappant de ses trous aurait été incroyableeeee ! D’accord, d’accord, je ne te taquinerais plus, ne mord plus mon clitoris en échange, pitié ! Merdddeeee ! Et comment tu vas faire, il parait que cette fille soit dans un contrat de mariage, l’intégrer au harem de ton frère risque d’être difficile ! Huuummmm !! Mais voir cette richarde être au pied de ton frère, le cul en l’air tandis que ton frère pilonne sa chatte qui avait été aussi fermée que les coffres suisses en vaut la peine ! Aaaahhhh ! »
L'appendice chaud et glissant pressa contre les murs tendre du canal de son amante, en commençant à chercher exactement où était le point G de Tomoe et l’assaillir jusqu’à plus soif, jusqu’à ce que Tomoe demande grâce à sa déesse. Les hanches de Tomoe essayèrent de se soulever du sol, Naruko appuya ses mains contre ses cuisses, enfonçant ses ongles dans la chaire moelleuse pour la maintenir au sol. Avec une passion en bordure de l'agression possessive, sa langue violait chaque centimètres de son vagin sans lui laissez le temps de respirer, la passion qu’éprouvait Naruko et lui transmettait été telle que Tomoe sentit qu’elle pouvait spontanément prendre feu. Elle voulait crier, pleurait dans le plaisir, mais sa mission lui interdisait de s’arrêter de conter. Sa respiration sortit de plus en plus vite et de plus en plus irrégulier, ses paroles sortant de façon saccadées.
« … Ton frère membré comme un géant baise avec une violence inouie Asuna… Hummm… sans lui laisser le temps de respirer… Aaaahhh… il la bouscule jusqu’à ce que son visage soit maintenu dans une flaque de sperme… Merdeeeee… on dirait qu’il essaye de la noyer…. Haaaaaaaaaaa ! Et la tsundere blonde et la rousse aux gros seins masse les monticules de la richarde pilonnée en faisant les visages les plus obscène et dégueulasse possibleeeee… Fuck… pour supplier ton frère de les baiser comme les putes qu’elles ont toujours été…. Hummmm… mais ton goujon de frère semble concentré sur le fait de d’étirer la chatte de sa nouvelle salopeee ! »
Tomoe perdit la trace de combien de temps elle surfa sur de la vague de plaisir après que Naruko est décider de mordre son clitoris, déclenchant un véritable jet d’eau dans la bouche assoiffer de sa petite amie. Elle pouvait sentir ses lèvres sur son entrejambe, ressentir la langue essayant vainement d’avaler l’afflux soudain de cyprine pour tenter de boire le plus de liquide possible, mais cela sembla comme si une éternité passer. Pur bonheur l’avalait et elle se sentait heureux de sauvagement jouir dans la bouche de Naruko encore et encore, basculant ses hanches dans la joie et serrant fortement les cheveux blonds sous sa poigne. Enfin la femme qu’elle admirait, sa sauveuse, son modèle lui avait fait un cunnilingus qui dépassait tout ce qu’elle avait pu faire avec ses doigts ou ses jouets. Il suffit de savoir que ces petites lèvres roses étaient pressées contre sa fente est assez pour faire son plaisir dépasser tout ce qu’elle avait pu imaginer en rêve, perdu dans la brume la plus profonde de l'orgasme.
Elle gémit pitoyablement, essayant de retenir sa déesse du moment en s’accrochant à ses cheveux soyeux. Mais la clone toucha un point de pression sur son épaule l’obligeant à lâcher prise.
« Non, non, Tomoe, Naruko à encore Momo à plaire. Ne t’inquiète pas, vous avez encore de nombreuse heures à passer ensemble. Bien que Naruko soit déçu. Où est passé cette bravoure, ce courage au moment où tu disais qu’elle serait ta chienne ? Apparemment c’était juste un coup de folie… Décevant, mais pas inattendue. Attend Naruko ici, elle va dresser Momo et revenir boire à la source. Naruko va s’assurer que tu sois à ses pieds à la fin de la journée, Naruko traite bien ses animaux de compagnie. Elle a vu une laisse en ville qui irait bien autour de ton petit cou. Avec des diamants, Naruko veut le meilleur pour ses plus beaux trophées. »
Naruko regarda les yeux brumeux de Tomoe, sa petite renarde courageuse jusqu’à la fin. Lui faisant une bise sur la joue en donnant l’autorisation à son clone de continuer à peloter Tomoe pour la maintenir dans cet état et éveiller. Elle essuya son visage humide, enlevant les quelques mèches collantes à son front et bouchant sa vision. Se tournant vers Momo, elle se lécha les lèvres en voyant son gâteau recouvert d’une épaisse couche de crème, comme lui avait conté Tomoe. Jetant un regard sur les activités charnelles de son frère adoré, elle vu qu’il s’était retiré de la chatte béante et remplit de sperme d’Asuna pour terminer de vider ses boules sur son dos. Apparemment il aimait son cadeau, bien. Elle allait profiter de ses amantes tandis que lui profitait des nouvelles chattes offertes sans penser à lui faire écarter les jambes. De longues heures de plaisirs se profilaient devant eux.
Onze heures plus tard :
Issei regarda surpris sa bite… elle était molle. Pour la première fois depuis qu’il était un diable il n’arrivait plus à avoir une érection. En voyant l’état des filles et de la salle, on pouvait comprendre pourquoi. Claire et Setsuna commençait juste à se réveiller, ses sorts avait été un peu trop chargés semble-t-il. Yui était toujours prostré dans un coin de la salle en se balançant doucement d’avant en arrière avec la tête entre les genoux murmurant des psaumes de divers religion… il l’avait tout de suite fait taire en l’arrosant lorsqu’elle avait commencée à réciter la bible, d’ailleurs elle ressemblait plus à une boule gluante blanche qu’à un être humain, la seule preuve qu’elle était en vie était son balancement régulier. Les autres s’étaient surtout occuper de lui avec leurs seins, bouche et mains, quelques fois avec leurs chattes. Dans l’ensemble cela avait été une bonne après-midi, bien qu’il doive remercier sa sœur pour ralentir le temps… la magie était vraiment utile et lui avait permis de profiter des merveilleux oppai de ce club. Mais il était vidé, et la plupart des filles semblaient trop épuisées pour continuer, certaine commencé à réaliser où leur excitation les avait menées, c’était particulièrement amusant lorsqu’elles commençaient à reprendre leurs esprits en train de lécher les divers fluides sur le sol ou lorsqu’elle se gavait en pelletant le sperme avec leurs mains dans leurs bouche grande ouverte en en renversant une bonne partie sur leurs visages déjà souillé de divers fluide et presque complétement blanc. La vue de Katase pataugeant dans les divers fluide comme un enfant, n’hésitant pas à prendre des poignées de sperme pour les mettre dans la caverne qui avait été anciennement son vagin et essayait de la boucher avec les sous-vêtements qui trainait pour garder ses graine en elle était particulièrement excitante et hilarante.
Naruko vit son frère reprendre ses vêtements et se rhabiller, avant de quitter les vestiaires il lui lança un clin d’œil coquet lui faisant bien comprendre qu’il savait qu’elle était dissimulée et avait tout observé depuis le début.
Naruko attendit quelque minutes, le temps de laisser le temps aux phéromones de se dissiper et aux filles de reprendre leurs esprit. Le regard tacite de gêne et de honte quelle s’envoyèrent suite aux débordements la fit rire, elles voulaient très clairement mettre ce gang-bang inversé derrière elle et ne plus en parler… dommage pour elle.
Murayama avait encore du mal à réaliser ce qui s’était passé, elles avaient baisées Hyoudou et avaient aimées ! C’était une honte pour toutes les filles… mais ça avait été si bon. Encore en ce moment elle sentait des picotements de plaisir parcourir sa chatte crue et béante dégoulinante de sperme. Elle avait baisée Hyoudou trois fois ! Trois fois ! Et en regardant l’heure il n‘y avait aucun moyen que cela ce soit passé en deux heure, elle avait depuis bien longtemps perdu la trace du temps rythmé par le gémissement de plaisir et le sons de la chair humide frappant contre la chair humide, les sons priant pour plu… mauvaises pensées, mauvaises pensées, si elle continuait dans ce chemin là il y a fort à parier qu’elle irait courir après Hyoudou pour qu’il pilonne sa chatte douloureuse avec sa gigantesque bite une nouvelle fois, outil de plaisir ultime pour les femmes. Et elle ne préférait même pas parler de leurs états, leurs vagins écartés de telle façon que chacune pouvait probablement enfoncer leurs vêtements à l’intérieur et avoir encore de la place pour stocker d’autres choses en elles. L’odeur du sexe était tellement puissante que cela ne l’étonnerait que leurs peaux en soient imprégner et qu’elles sentent le sexe pour le prochain mois, et elles boiteraient aussi pour le prochain mois. Leurs hanches n’ayant pas pris l’assaut bestial de Hyoudou sans dommage.
Murayama vit Asuna visiblement planant comme si elle avait pris de la drogue, cherchant le sperme du pervers ayant profité d’elle. Ayant engloutit tout autour d’elle, ceux-lui se trouvant sur ses seins, dans sa chatte… elle avait encore de grosses tâche blanche dans ses cheveux ou sur son corps, des flaques dans laquelle elle aurait pu se rouler dedans comme une chienne. Mais dans son délire sexuel, elle voulait toujours de plus de sperme délicieux de l’étalon lui ayant révélé la vérité sur son but dans la vie, seul le sperme le plus frais possible ne pouvait satisfaire cette gourmet tordu par des heures de sévices sexuelles heureusement subi. Voyant un seau où reposait le balai pour nettoyer la salle, Asuna vit que le seau était rempli à ras bord du liquide sacré. Certainement la conséquence du bombardement qu’avait subi les filles, mais ceci importait peu pour l’addicte au sperme. Pour son esprit malade, brisé par les heures à servir Hyoudou avec une joie littéralement transcendant le fanatisme, c’était un cadeau de son dieu tout-puissant.
Elle se rua dessus comme un animal ayant aperçu une proie particulièrement alléchante, poussant au passage une Tsukiumi qui avait saisi son shinai, ancienne représentation de sa force, de sa fierté, un lien indestructible entre ses filles autrefois intolérante aux pervers. Un objet coutant cher, que sa mère lui avait acheté en lui disant de devenir une fille ne tolérant pas les odieux singe ignare qu’était les hommes. Une représentation de son vœu de ne jamais laissé un homme la touchée après qu’un homme est laissé sa mère seul et enceinte. Un serment inviolable de punir les pervers, similaire à un anneau de mariage dans son esprit la liant à son objectif de devenir la femme la plus forte du japon et de vivre sans avoir besoin d’un homme. Cette partie de son âme était actuellement souillé de la plus odieuse manière, comme si elle avait pissée sur ses serments, objectifs avant de les jeter dans les égouts comme si ce n’était que des mots vides de sens. Roulant, ce simple morceau de bois qui avait été son soleil dans les moments difficile, dans une flaque de sperme qui avait débordé de sa chatte lorsque son merveilleux amant lui avait montré la véritable voie. Une fois qu’il fut bien enduit de la substance sexuel qui l’aurait fait fuir avant, se mettant à genoux avec le côté droit de son visage collant contre le sol gluant et humide. Elle prit la pointe de son shinai recouvert du bouillon sexuel et le guida lentement vers la petite étoile marron qui contrastait avec sa peau pale, prisonnière des deux globes rebondis et fortement arrondi qui avait une marque noire de la forme des mains d’Issei. Issei n’ayant pu résister à ce cul graisseux de la vache blonde et s’étant accroché à sa chair tendre et blanche pour étirer à l’extrême limite son pauvre trou d’humaine. Dans cette position avec son cul laissant penser qu’on avait devant soi une chienne en chaleur plutôt qu’un être humain, ce qui devait avoir été son vagin était une parodie tordue de l’entrée d’une mine, Issei avait tellement pilonné le pauvre corps fragile de Tsukiumi que toute personne saine d’esprit se demander s’il retrouverait sa taille normal et comment elle ne se tordait pas de douleur par terre en hurlant comme un goret. Tandis que le résultat sur les autres filles qu’Issei avait baisé été horrible, sur Tsukiumi on battait des record d’horreur et de gore. Ce qui devait être son trésor qu’elle avait juré de ne laisser aucun homme toucher avait été horriblement violé… plusieurs fois… brutalement… avec les encouragements de l’ex-propriétaire blonde aux cheveux bouclés. On aurait dit que Tsukiumi venait de donner naissance à une douzaine de bébé obèse, son périnée avait disparu, les bords des lèvres inférieur flirtant avec son trou à merde, tout le monde pouvait voir que ses entrailles qui avait été d’un rose sain avait tourné noir donnant vaguement la vision d’une immense caverne dont on ne pouvait voir le fond avec des parois rocheuse sur les bords en raison des ecchymoses qu’elle avait subi avec le sexe hard.
Mais Tsukiumi n’en avait cure, tout ce qui l‘intéressait était de continuer à soutirer à son pauvre corps les dernières gouttes de plaisirs possible. Ses mamelles de vaches était bleu tournant noir de l’abus d’Issei ne transmettant plus que de la douleur après avoir usé de chaque parcelle de peau encore blanche, sa chatte n’était qu’agonie, un trou menant vers l’enfer dans lequel on avait versé de la lave pour augmenter son agonie. Et comme une essoreuse professionnelle, Tsukiumi essorée son corps de la moindre goutte de plaisir, cherchant ses points érogène dans une pathétique tentative de continuer à connaitre ce bonheur. Elle s’était souvenu de certaines filles qui avaient discutée du sexe et avait évoquées qu’on pouvait avoir des relations sexuel par ce trou-là. Même en étant renversée par la nouvelle accroc au sperme ne la tira pas de son hébétude sexuelle la conduisant à perdre sa virginité anale avec son précieux shinai dans une pathétique tentative de ressentir ce plaisir béat d’avoir été transpercé par le monstre entre les jambes d’Issei-sama. La vache était physiquement et mentalement au bout du rouleau… malgré cela, comme l’obsédé sexuelle qu’elle était devenue en ayant perdu sa virginité à la plus monstrueuse bite jamais vu par ses jeunes yeux bleu anciennement pur et innocent, elle essayait de continuer à stimuler son corps dans une quête désespéré de garder ce plaisir céleste en elle. Quitte à torturer son corps jusqu’à ce qu’il soit user comme la chatte d’une pute dans les bidonvilles.
Se remettant en position, pataugeant dans la boue de divers fluide sexuel pour se remettre dans la position précédente avec le shinai couvert du mélange dans les mains, le tenant bien serré pour éviter qu’il ne glisse entre ses mains Le positionnant, elle l’enfonça d’un coup sec et nette dans son cul, sans une once d’hésitation, le kendo qu’elle avait polie comme une véritable artiste martial, sa fierté guidant son shinai, sa force qu’elle avait cultivé pour devenir la femme la plus forte du japon, le shinai qu’avait offert sa mère qui croyait en elle et sa croyance en la supériorité féminine… tout ceci servi à détruire sa virginité anale avec une violence inouïe, à l’aide d’un lubrifiant fait en partie par la semence d’un homme qu’elle avait considérée comme le plus grand déchet de la terre, l’incarnation de la dépravation des hommes qu’elle haïssait tant. Et malgré la douleur de se poignardait le cul avec son shinai en bois, Tsukiumi gémit de plaisir, passant à travers la douleur pour aller retrouver ce plaisir perdu. Le tenant à deux mains dans une position plutôt inconfortable avec ses bras tirés derrière son dos, elle fit faire immédiatement des va et vient avec le shinai pour pénétrer son cul qui avala goulument ce simple morceau de bois.
Asuna passa les jumelle Ako et Riko qui étaient dans la position du soixante-neuf, avec Ako au-dessus ayant enterrée son nez dans le cul de sa sœur pour que sa bouche ait accès à la chatte rempli de semence perverse d’Issei-sama. Sa langue lapant comme une simple chienne le bol de sperme et de jus de sa jumelle devant elle pour en avaler le plus possible. Sa sœur avait simplement la bouche grande ouverte, attendant simplement que le sperme visqueux d’Issei-sama tombe sur sa langue. Des grosses gouttes du liquide coulant lentement du vagin d’Ako jusqu’à ce que le poids ajouté soit trop important et tombe dans le puits sans fond que semblait être l’estomac de la jeune fille.
De l’autre côté, une Erza Scarlet qui avait été championne de kendo du Japon en était maintenant réduit sucer le sperme à même le sol en faisant d’horrible bruit de succion semblable à un aspirateur qui résonné dans la salle. Un des rares endroits où l’on pouvait voir le carrelage, la forte rousse étant réduit maintenant à rien de plus qu’à un aspirateur à sperme.
Arrivant en glissant dans les liquides tapissant la salle à son objectif, Asuna retira immédiatement le balai la gênant dans son péché de gourmandise. Le seau bleu rempli de sperme était plutôt banal, mais Asuna n’en avait cure. Le saisissant, elle le versa directement dans sa bouche grande ouverte, le foutre froid et collant glissant lentement du sceau avant de s’écouler dans sa bouche avide. Une salope avaleuse de sperme était née, malgré tout son engouement pour sa nouvelle boisson préféré. Asuna dans son empressement versa une grande quantité de sa boisson froide dans sa gorge. La quantité était telle que cela débordait sur ses joues et sa gorge travaillait des heures supplémentaires pour essayer d’avaler le délicieux liquide. Déglutissant de grande gorgée de l’épais liquide.
Une fois le seau vide, Asuna coinça sa tête dans le seau pour lécher les restes. Cette débauche obscène se poursuivit durant encore plus d’une demi-heure durant lesquelles les filles continuèrent cette ruée dépravée digne des plus grands succubes, maudits par la luxure et la gourmandise.
Une fois leurs esprits reprirent, aucune des filles présentes dans le vestiaire à ce moment voulaient partager cet événement déplaisant avec des gens de l’extérieur. La plupart été couvert de sperme, trop honteuse pour se dévoiler ainsi et ruiner leur image de jeune étudiantes parfaites, même Farron et Setsuna qui était sorti de leurs coma orgasmique semblait vouloir mettre ceci derrière elle. Leur jetant un regard désolé à leur état et à ce qui s’était passé durant son coma pensant que Hyoudou avait violer le retse des filles contre leurs gréer, chose qu’elles ne firent rien pour démentir. Elle eut un soupir de soulagement, même Katase semblait honteuse de son comportement. Jusqu’à ce qu’elle entendit quelque chose qui lui fit monter des frissons de terreur dans le dos.
CLAP, CLAP, CLAP
« Bravo ! Absolument magnifique Naruko n’aurais jamais attendue quelque chose d’aussi chaud de votre part les filles ! Couper c’est dans la boite ! »
Tout le monde tourna lentement le regard vers l’autre bout du vestiaire avec une pointe d’horreur qu’aurait envié Marilyn Manson. A l’autre bout de la salle du vestiaire se tenait Naruko Hyoudou, une des deux mascottes de l’école, une loli blonde aux gros seins et accessoirement la petite sœur de l’homme pour lequel elle venait d’écarter les jambes comme des prostitués pas chère. Outre le fait d’être pris en flagrant délit de baiser dans l’académie, c’était une des filles les plus enviées de l’école qui les prenaient sur le fait, rien ne pouvait être pire… outre le fait qu’elle tenait une caméra vidéo ! Une chose étrange aussi était son apparence, son visage, son uniforme, et ses cheveux étaient trempé faisant couler son mascara bleu sur ses joues.
Chacune des filles eurent plusieurs questions à ce moment-là, commet se fait-il qu’elles ne l’aient pas remarqué durant tout ce temps ? Pourquoi deux membres du conseil était assis par terre et les regardaient avec une sorte de satisfaction perverse ? Depuis combien de temps elles étaient là ? Et à soupçonné le sourire démoniaque de Naruko, après avoir été baisé par Hyoudou, la sœur allait les enculer avec du verre pilé. Le fait de voir Hanakai couvert de sperme prouvé qu’elles étaient là depuis un petit moment pour observer leur chute dans la dépravation des fosses les plus profonde de l’enfer.
« Naruko-sama ? Attendait ce n’est pas ce que vous croyait ? On peut tout expliquer… »
« Explication ? » Coupa Naruko, la pauvre Tsukiumi semblait sur le bord des larmes et prête à babiller n’importe quoi pour essayer d’éviter de se tourner en ridicule. « … quelles explications ? »
« Et bien… » Tsukiumi semblait incapable de répondre, difficile de trouver une explication plausible à leurs états, et encore moins quand tous savaient qu’elles avaient été observées.
« Cela veut dire que si Naruko n’ouvre pas sa caméra, qu’elle ne fait pas retour en arrière rapide et puis lecture… »
« OHHHH OUIIII ! ISSEI-SAMA, VOUS VENEZ DE PRENDRE MA VIRGINITE ! C’EST SI BON, POURQUOI EST-CE QUE J’AI PENSEE GARDER CETTE CHOSE INUTLE POUR LA PETITE BITE QUI AURAIT ETE MON FUTURE MARI ! JE VOUS L’OFFRE ISSEI-SAMA EN ECHANGE CONTINUER DE ME BAISER ! OUUIIIII ! »
« … alors Naruko n’auras pas des cris de pure jouissance de ta part Tsukiumi tandis qu’Issei-nii ne pilonnait pas ton corps anciennement vierge ? »
Tsukiumi semblait vouloir creuser un trou dans le sol et y rester pour les prochains millénaires tellement elle était honteuse de son comportement.
« Qu’est-ce… qu’est-ce que vous voulez Naruko-sama ? Et pourquoi ces lesbiennes sont dans la salle montrant leurs atouts à tout le monde ? Elles sont dans un état encore plus déplorable que le nôtre. » Setsuna sut tout de suite que Asuna avait fait une erreur, les yeux autrefois joyeux de Naruko se sont assombri et ont pris un bord tranchant. En ignorant la question d’Asuna, Naruko continua.
« Au fait Naruko est là car elle vous as aperçu en train de vous amuser avec son frère et elle fut plutôt surpris. Naruko as toujours supportée son frère et est très heureuse que vous intégrez son harem. »
« HEINNNN ! » Ce seul mot pouvait décrire la surprise des filles. Elles ? Intégraient le harem de Hyoudou ? Pas moyen, absolument pas. Elles ne savaient ce qu’avait fumée Naruko mais il n’y avait aucun moy…
« C’est une blague, n’est-ce pas ? C’est une blague Naruko-chan ? Ce n’est pas possible, on ne peut pas faire ça. On ne peut pas faire ça, c’est illégal, immoral… et on n’aime pas ton frère comme ça. Réfléchissons en calmement Naruko-chan. » Setsuna remercia Murayama pour parler diplomatiquement à Naruko, avec ce qu’elle avait dans la main il valait mieux éviter de l’irriter.
« Bien sûre que non, vous savez Naruko encourage votre relation polygame. Elle de tout cœur derrière vous. »
« Mais on te dit que non Naruko ! » Il semblait que les événements avaient effiloché la patience de Claire, tout le monde voulait rentrer chez eux pour oublier tout ça. Et non pas intégrer le harem de l’homme qui venait de voler leur virginité et de les violer dans leurs esprits, oubliant commodément qu’elles avaient participées avec joie à leurs déflorations. Le fait que ça sœur semblait faire une fixation sur le fait qu’elles intègrent le harem de Hyoudou et ne les écoutaient pas était énervant. Parler à un mur n’est pas agréable.
« Effectivement Naruko-chan, nous n’avons aucun intérêt dans ton frère. Mais on peut savoir ce que font Hanakai-san et Meguri-san ici ? »
Le sourire de Naruko devint de plus en plus en nette, se recourbant vers le haut révélant ses canines les plus nette. D’un pas gracieux, elle se plaça derrière Momo et Tomoe, elle les encercla ses bras autour d’elles attrapant chacune un de leurs sein. Et s’en attendre de réponse, posa ses lèvres sur celle de Momo dans un geste qui n’avait rien d’un simple bisou, plutôt un baiser ressemblant plus à celui que l’on ferait à son amants, une fois terminé elle passa à Tomoe.
Les membres du club de kendo furent stupéfaits par le toupet qu’avait Naruko et sentirent un nuage noir s’approchant, signifiant un malheur imminent prêt à s’abattre sur eux. Et plus les événements s’avançaient, tout ceci semblait clair à leurs yeux effarés.
« Hyoudou que fais-tu ? » Yui était prête à s’enfuir au moindre problème.
« Mmmm… » Se séparant à contrecœur des douces lèvres de Tomoe essuyant la salive qui les reliait, Naruko la regarda comme si elle était une tâche sur sa chaussure qui ne valait pas son attention. Aucune des filles pensaient qu’une des si adorables mascottes de l’école pouvait avoir l’air si condescendant, et cela ne les rassurait pas pour la suite des événements. « … Naruko embrasse ses petites amies, Il n’y aucun mal à ça. Pourquoi ? Il y a un problème ? » Le sourire et les paroles chaleureuses de Naruko contrasta fortement à l’atmosphère du vestiaire, Setsuna eu l’impression que la température avait chuté de cinquante degré.
« Mais… »
« Naruko n’a que faire de votre avis, tout autant que vous êtes. Vous êtes sous Naruko, vous croyez pouvoir blesser ses amantes ? Vous vous êtes cru intelligente ? Puissante ? Maligne ? Désolé mais vous n’êtes rien, si vous aviez gardées ces gamineries hors du domaine de Naruko, elle vous aurez laissées seul. Mais vous avez touché ce qui était à Naruko, et elle ne tolère pas ceci. Une punition doit être effectuée. »
A ce moment la plupart d‘entre elles comprirent que la Naruko qu’elles voyaient tous les jours n’était que la surface de de l’iceberg. Et cela les terrifiaient. Actuellement, la sœur d’Issei Hyoudou avait toutes les cartes en main pour faire de leurs vies un enfer.
« Ecoute Naruko je pense que notre punition a été suffisante, alors pourquoi se séparé maintenant ? Tu as eu ta vengeance et nous on a été punis, hein ? » Setsuna essayait de la résonner, mais son instinct lui disait que ce n’était pas terminer.
« Ca une punition ? » Remettant en marche la caméra, des cris de plaisirs indubitablement féminins retentissent dans le vestiaire les faisant tous rougir. « Naruko ne voit pas ceci comme une punition. Elle voit juste un tas de pute pas chère écartant les jambes pour le premier venu et offrant ce qu’elles ont de plus précieux à quelqu’un qu’elles détestent, apparemment elle ne le déteste pas tant que ça. Ça ne ressemble pas à une punition, juste à un moment de plaisir entre putain. Donc Naruko a pensée à une excellente punition. Vous allez servir Issei-nii pour le reste de votre vie ! » Le visage de Naruko ressemblait à une jeune fille qui rayonnait de joie après avoir trouvé la solution à un problème de mathématique ardu sur lequel elle avait travaillée toute la nuit. Pour elles, c’était le visage du diable prenant leurs âmes, chacune sentit leurs cœurs s’arrêter en entendant ça.
« Ahahah, c’est une excellente blague Naruko-chan. » Yui semblait désespérée de croire à une blague inoffensive. Mais la plupart comprenait que Naruko ne plaisantait pas, et que sous ce visage d’ange auquel on donnerait le bon Dieu sans confession se cachait un être malfaisant qui vous prendrez le bras si vous lui tendiez la main.
« Ça suffit ! On n’a qu’à récupérer l’enregistrement et fesser cette gamine qui se croit suffisamment forte pour nous faire chanter ! »
Tomoe fut beaucoup amusé lorsqu’elle vit Claire foncer sur Naruko sûre de sa victoire. Personne ne sut ce qui s’était passé, une seconde Claire était prête à attraper Naruko, la seconde suivante elle était vautré dans le sol trempé avec un talon haut noir appuyant sa tête contre le sol pour s’assurer qu’elle ne se relève pas.
« Quelle mauvaise fille tu es Claire, essayé d’attaquer ta nouvelle maitresse. Est-ce que Naruko doit faire votre situation plus claire ? Vous voyez, demain vous serez tous à 17h00 à la résidence Hyoudou, vous partirez à 23h00. Les week-ends, les vacances, vous viendrez travaillez tous les jours pour rembourser l’humiliation qu’a subi Tomoe-chan et Momo-chan. Et ce n’est pas négociable. » Pour faire passer son point, Naruko enfonça la tête de Claire dans la flaque de liquide, son talon appuyant contre le crane de la jeune fille qu’elle essayait de noyer dans le mélange de fluide sexuel tapissant le vestiaire. Toutes étaient trop épuisées après l’orgie qui avait eu lieu, et voir Naruko mettre à terre Claire leurs fit comprendre qu’il n’y avait aucun moyen de récupérer la caméra.
« Mais c’est inhumain ! On ne peut pas travaillez avec de telle horaire ! On a le lycée, nos devoirs, nos parents… on ne pourra pas faire ça ! » Le désespoir commençait à apparaitre sur le visage des filles. Incapable de lutter contre les évènements, elles mendiaient pitoyablement pour essayer d’échapper à leurs destins. Elles notèrent aussi que les bulles remontant à la surface des fluides se firent de plus en plus rares, les faisant s’inquiéter pour Claire.
« Alors Naruko devras malheureusement envoyer cette vidéo sur internet, vos parents, l’académie… quelle dommage, Naruko se demande quelle sera la réaction de tout le monde lorsqu’ils verront à quelle point vous êtes dépraver. Naruko imagine déjà les regards que vous recevrez, peut-être que vos parents ne voudront plus de vous après avoir vu à quelle point sale sont leurs filles ? Abandonner par vos soi-disant amies lorsqu’elles verront à quelle point dépraver vous êtes. Virer de l’académie pour avoir eu des relations sexuelles illicites dans l’enceinte de l’académie. Vos seuls choix seront d’être des putes dans les quartiers miteux, dormir dans des hôtels de merde la nuit, le jour sur vos genoux en train de sucer des inconnus. Naruko pense que cette vie vous conviendrait bien mieux que cette vie de fille de richard, qu’en pensez-vous ? »
« Na… Na… Naruko-chan, pitié, je t’en supplie. Tu ne peux nous faire ça. Et on n’a pas tous fait ça à Hanakai et Meguri, c’est injuste d’être puni pour les actions de quelques-uns ! »
« C’est vrai c’est injuste…. » La plupart des filles sentirent un regain d’espoir à cette phrases. « … mais la vie est injuste. Et aucun de vous n’a fait d’action pour les arrêter ou les dénoncer. Ne rien faire vous rend tout aussi coupable que les auteurs de ces actions. Il est donc logique que vous ayez la même punition. »
« Même alors c’est disproportionné ! Une vie de servitude pour quelques humiliations c’est trop ! »
« Non, c’est approprié. » Le regard que porta Naruko à ce moment-là révéla qu’elle le pensait vraiment. Comment une fille aussi jeune pouvait penser qu’une telle chose était appropriée comme réparation contre quelques exactions mineures ? « Et considérez-vous comme heureux car la première idée de Naruko était moins charitable mais quelqu’un a décidé de vous épargner. Donc demain vous serez à la maison Hyoudou à 17h00 sans faute. Et tenez… » Naruko leur jeta des serpillères, balai, sceau. « …Naruko crois que vous avez environ une heure avant que le gardien passe, si il voyait le vestiaire maintenant il comprendrait vite ce qui s’est passé, et personne ne veux ça ? »
Effectivement la salle en raison de l’immense quantité d’éjaculation qu’il y eu lieu dans les dernières heures ressemblait plus à une salle des horreurs dédié au sexe qu’à un vestiaire ou encore un marais blanc. Les casiers avec les murs étaient parsemaient de liquide blanc qui avait commencé à se solidifier et jaunir, le sol avait bien un centimètre de profondeur d’un mélange de cyprine, sueur et de sperme rendant la salle absolument impropre à être visiter et une odeur de sexe s’accrochait à chaque parcelle de la salle. Lorsque les membres du club de kendo comprirent l’ampleur de la tâche qui les attendaient la pluparts failli défaillir, nettoyé ça en un peu plus d’une heure relevé des douze travaux d’Héraclès. Mais malheureusement, aucune ne protesta, elles savaient ce qui se passeraient si le vestiaire était découvert dans cet état. Tout le monde saurait les évènements qui s’y serait passés et il faudra regarder simplement la liste des étudiants ayant emprunté le vestiaire en dernier pour connaitre les coupables. Elles seraient la risée de l’académie si cela venait à sortir, et ce serait aussi leurs derniers jours dans cette académie et probablement de leur vie si leurs parents l’apprenaient.
« Naruko-chan, rend nous au moins nos vêtements. On ne peut pas rentrer chez nous nu et dans cet état. » Naruko fit mine de réfléchir avant d’ajouter.
« …mmmm, non. Amusez-vous bien après avoir nettoyez la crasse de cette endroit. Mais Naruko peut vous donnez quelques astuces. Essayer au moins de nettoyer vos pieds, ce serait triste qu’on vous suive à la trace, empruntez les petites ruelles, attendez que la nuit tombe, évitez de prendre les transports en commun, éviter de rentrer en groupe, ne faites pas confiance aux inconnus… Humm, Naruko pense qu’avec ses astuces vous avez au moins un pour cent de chance de rentrer chez vous sans vous faire voir. Bonne chance. » Sans leur laissez le temps de répondre Naruko mis chacune de ses petite amies sur ses épaules et décolla vers la porte avec une vitesse surnaturelle pour quelqu’un portant deux personnes sans se laisser attraper par les filles congelé en état de choc. Non seulement elle rentrer nue, mais aussi tout aussi sale que maintenant… Naruko avait coupé l’eau des douches.
Derrière elle, les membres du club de kendo tombèrent à genoux dans le désespoir… comme l’avait souhaitée Naruko.
Le lendemain :
Murayama rentra chez elle avec Katase, aucune ne parlait des événements de hier, tous avaient convenu de ne pas aller chez Hyoudou et donc de ne pas céder à cette odieux chantage. Il fallait juste qu’elles mettent leur plan en application pour dérober la cassette et ses éventuelles copies. Hier avait été un vrai cauchemar, la plupart d’entre elles avaient perdu leur virginité à Hyoudou, elles avaient à peine réussi nettoyer le vestiaire et dans un effort surhumain avaient réussi à se cacher du concierge. Fuir l’académie, traverser Kuoh nu et couvert de sperme durant une nuit glaciale avait été une torture. Encore elle et Katase habitaient relativement proche de l’académie, mais certaine comme Tsukiumi habitait de l’autre côté de la ville. Leurs retours relevant d’un véritable défi de furtivité, ainsi que d’humiliation en ne pouvant échapper aux yeux vifs des pervers rodant la nuit. Même si certaines de leur club avait effectivement effectué ces humiliation sur Hanakai et Meguri, Naruko prenait les choses beaucoup trop loin. Elle ne voulait pas défendre les auteurs de ces humiliation mais aucune d’entre-elle ne voulait céder à un chantage aussi odieux.
Malgré le plan, la vitesse et la force de Naruko combinait avec ce sadisme cachait sous un masque de civilité leur donner encore des frissons de terreur, et ce sans compter à quelle point elle pouvait aller pour venger ses petites amies. Déjà que pour certains un amant du même sexe était bizarre, et pour d’autre contre-nature, alors la polygamie était contre les lois établi par la société pouvait faire un véritable scandale au sein de l’académie. Certaines avaient proposé de révéler ça au étudiants… c’est là qu’elles avaient pris conscience à quel point bien intégrer Naruko était dans l’académie. Qui irait croire leurs versions des faits ? La douce, adorable, innocente, parfaite Naruko-chama, idole de l’académie serait juste un personnage fictif ? Ce serait une sorte d’Hannibal Lecter ? Aucune chance qu’on les croit. Il fallait préparer minutieusement leur contre-attaque. Au moment de penser ça, l’horloge de la ville commença à sonner 17h00… et elles ne virent plus que du noir.
Lorsque Murayama se réveilla elle sut tout de suite que quelque chose clochait. Tout était noir autour d’elle, elle entendit des gémissements plaintifs. Elle gela en reconnaissant les voix, toute faisait partie de leur groupe bafoué hier.
Elle eut à peine le temps de réfléchir que deux flammes de chaque côté d’elle s’allumèrent et perça le rideau des ténèbres les entourant. Comme elle le craignait, les dix membres du club de kendo étaient présents. C’était une simple déduction de savoir qui les avaient kidnappées. Comment, c’était une autre affaire.
Ensuite dans le prolongement des flammes, une vingtaine de flambeaux dans une parfaite ligne droite et parfaitement écartés s’allumèrent chacun leur tour illuminant la pièce et faisant une route vers une destination spécifique. Une fois cette destination, comme attendue, elles virent Naruko sur un autel surélève avec cinq marches. Comme si elle était une reine ou… une déesse. Mais… comment dire ça. C’était Naruko mais… en même temps ce n’était pas elle. Elle se prélassait paresseusement allongé sur le côté et plusieurs oreillers la soutenant. Sa main gauche soutenait sa tête tandis que son coude reposait sur un oreiller rouge brodé d’or. Sa main droite tenait un kiseru en or d’où s’échappait une fumée blanchâtre. Ses yeux bleu brillants les regardaient paresseusement.
Elle était simplement habillé d’une toge rouge sang laissant ses cuisses crémeuse à la vue de tous, chacune de ses respirations semblaient pousser la toge toujours plus loin de sa poitrine menaçant de révéler ses énormes mamelles. Outre cela, elle semblait… plus animale. Murayama ne savait pas si ‘cétait la distance d’une bonne dizaine de mètre, les reflets des flammes… mais elle aurait juré que les yeux de Naruko était plus sombre et fendue et que ses marques de moustaches semblait réelle. Apercevant quelques choses derrière Naruko, elle fut surprise de voir neufs immenses queues d’or avec une touffe blanche dont chacune étaient aussi grande que le corps de Naruko se balançait derrière elle. Cela lui fit prendre conscience que Naruko avait aussi deux oreilles de renard sur la tête avec les mêmes codes de couleurs… elle aimait le cosplay ?
Elle entendit soudain un bruit d’étranglement et une odeur acide pénétra ses narines. Tournant la tête vers la source du bruit et de l’odeur, elle vit Setsuna pâle comme un fantôme et tremblante comme une feuille. Une flaque de liquide s’étendait en dessous d’elle. Murayama ne comprenait pas pourquoi l’épéiste stoïque venait de s’uriner dessus… et les autres ne comprirent pas non plus. Et leurs incompréhensions atteignirent des sommets quand Setsuna se mit en position de seiza la tête contre le sol. Elles n’eurent pas le temps de lui poser la question qu’une voix se répercuta dans la vaste salle ténébreuse.
« Alors les agneaux espéraient échapper à leurs peines ? Vous êtes vraiment amusante, complotaient contre Naruko quelle surprise. Même pas un jour d’esclavage et vous cherchez à vous rebellez. » Les yeux de tous s’élargir en entendant ceci. Comment elle était au courant ?
« Tellement amusante que Naruko dans sa grande mansuétude va laisser passer cette infraction. » Naruko était incroyablement amusée par l’élan de courage qu’elles avaient eu, elles avaient honnêtement surpassées ses prévisions. Elle ne voulait pas de mauviettes aux côtés de son frère, le monde surnaturel était dangereux. Bien sûr, elle devra certainement les recadrer de temps en temps mais rien de bien grave, elles avaient du potentiel. Quant au fait qu’elles soient non-consensuelles à cette relation forcée ? Les êtres humains cherchaient le pouvoir et le plaisir… et elle et son frère étaient la définition même de ces notions. Elles apprendraient à apprécier cette relation particulière. Les êtres humains enfouissent leurs désirs profondément dans leurs âmes, elle le savait bien puisqu’elle en avait été victime. Ces bourgeons rabougris par des normes et une morale étouffante imposée par les humains allaient fleurir en des roses éblouissantes sous sa domination et celle de son frère bien-aimé. Elle devrait être un peu cruelle pour bien faire ressortir leur potentiel mais c’était mieux que d’avoir une vie morne et ennuyeuse à son avis.
« Tu crois que l’on va se laisser faire ?! Tu rêves salope ! On va se battre jusqu’à notre dernier souffle pour notre liberté ! » Les autres hochèrent la tête en accord aux paroles de Claire… jusqu’à ce qu’elles entendirent quelqu’un de leurs groupes dirent des paroles qui allaient dans le sens contraire des leurs.
« Excusez les Naruko-sama. Elles ne savent pas ce qu’elles disent ni votre grandeur. Je vous prie de les pardonner, j’endosse l’entière responsabilité de leurs paroles. »
« Mais qu’est-ce que tu dis Setsu… » Claire tourna la tête vers Setsuna lui demandant pourquoi elle disait ça. Mais elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’elle aperçut quelque chose du coin des yeux. Lorsqu’elle se retourna, elle vit Naruko juste devant elle. Mais comment ? Il y a même pas une seconde elle étai… Les pensées de Claire moururent dans son esprit lorsqu’elle comprit quelque chose de vitale pour sa survie future. Le cosplay de Naruko n’en était pas un. Ses ajouts animales étaient de véritable oreille et queues de renard laissant une seul conclusion possible… Naruko Hyoudou était une kyuubi no kistune. Une légende, un mythe… Claire avait étudiée la mythologie japonaise et avait lu quelques écrits sur les kitsune, et arrivait donc plus ou moins à saisir à quel point elle était dans la merde. Par contre elle arrivait moins à comprendre comment cela était possible. Elle était partagée entre l’envie d’imiter Setsuna en s’urinant dessus, ou fuir en hurlant de terreur…. Peut-être que les deux seraient un mécanisme de défense acceptable dans sa situation ? L’idée de se battre ne lui vint même pas à l’esprit, soi-disant les yokai étaient supérieur aux humains, et devant elle se trouver encore une fois soi-disant devant l’un des plus fort yokai. Elle se savait forte mais elle connaissait ses limites, et dans l’état actuelle des choses, elle savait qu’elle perdrait comme hier.
Partager entre la surprise et la terreur, Claire n’eut aucune chance de se défendre lorsque Naruko lui empoigna la gorge avec une de ses queues et la souleva au-dessus du sol. Pour se mettre au même niveau que Clair, Naruko se souleva elle-même à l’aide d’une autre de ses queues.
« Maintenant reprenez, vous avez un nouveau rôle à endosser animales de compagnie. Pas d’objection ? » Naruko expira un épais nuage blanchâtre et acre de sa bouche en plein sur le visage Claire.
« Elles n’ont aucune objection maitresse. »
« Tu es une bonne fille Setsuna… mais Naruko se souviens que tu as dit que tu endosserais la responsabilité de cette rébellion, Naruko espère que tu ne vas pas essayer de te défiler ? »
Setsuna frissonna visiblement au ton taquin de la voix de Naruko, elle avait fortement l’impression d’être une souris devant un renard ayant envie de jouer avec sa proie avant de la dévorer.
« Absolument pas maitresse. Je ferais tout ce que vous désirez. »
« Au départ tu devais effectuer les moindres désirs de Naruko. Donc tu réitère juste ce que vous deviez faire. Non, Naruko te réserve une place… spéciale. » Setsuna sembla trembler de terreur au ronronnement de la voix de Naruko. Les lèvres de Naruko s’étirèrent dans un sourire sadique aux pensées fantaisiste qui traversait son esprit.
« Bon mesdemoiselles, Naruko pense qu’il est temps de vous donner vos uniformes et de vous expliquer vos fonctions. Mais avant. » Naruko lâcha Claire qui tomba sur le cul et toussa d’avoir la gorge serrée et respiré la fumée. Naruko fit dix symboles de feu dans l’air à l’aide de son index sous les yeux éberlué des membres du club de kendo. Une fois terminé, les symboles accélèrent en direction de chacune des filles à une vitesse trop rapide pour les éviter et s’enfoncèrent en elle.
« Qu’est-ce que c’est ?! » Hurla Tsukiumi paniquée, en sentant sa nuque brulée où s’était poser la rune de feu.
« Oh ? Ça c’est tout simplement un sceau d’esclavage. Cela me permet de savoir vos signes vitaux, positionnement, état mental… et aussi de vous envoyer des chocs électriques et de vous faire exploser. Naruko a eu du mal à créer un sceau aussi avancé. Elle espère que vous appréciez son cadeau. Avec ça elle saura si quelque chose de mal vous arrive. »
Et le fait de pouvoir nous faire exploser à n’importe quelle moment ne nous dérangerais pas peut-être ? La pensée de tout le monde se résuma à cela. Mais aucune n’osa le dire à haute voix. Mieux valait éviter de fâcher une sociopathe ayant leurs vie entre les mains avec des pouvoirs étant dit divin. En voyant cela, elles surent qu’elles étaient fichu et que résisté à cette folle n’étais qu’un fantasme.
D’un claquement de doigts Naruko fit apparaitre un tourbillon de multiple couleur de rouge déchirant l’air et violant une centaine de lois de la physique. De ce tourbillon sorti une dizaine d’uniformes. Elles eurent à peine le temps de les regarder que Naruko les saisit et disparu.
La seconde d’après elles ressentirent un vent froid.
« Voilà c’est fait, alors vos uniformes sont comment ? Naruko a beaucoup réfléchi sur comment habiller les esclaves de son frère. Alors c’est comment ? »
Yui ne pouvait regarder avec une sorte d’horreur abjecte, Naruko tranquillement plié leurs vêtement et sous-vêtements qu’elles portaient il y a même pas une seconde. Regardant se nouveaux vêtements, elle sentit son cœur s’arrêter tellement ils étaient sans vergogne. Une minijupe plissé noire couvrant à peine le pubis, un corset rose parcourut de veine noire faisant ressortir leur buste, des gants d’opéra noire, des chaussures à talon haut noire et pour finir un bandeau à froufrou noire retenant leurs cheveux avec une rose rouge vif légèrement sur la gauche de leurs cranes. Et de la sensation sous la jupe ou de ses seins elles ne portaient rien d’autre la faisant rougir. Entre son pubis qui au moindre coup de vent pouvait être révéler et d’une quantité indécente de son clivage, cette tenue dépassait toute l’indécence qu’elle avait pu imaginer tout au long de sa courte vie. Tandis qu’elle, Claire, Tsukyomi, Murayama et Katase portaient ceci, le reste portait une tenue de femme de ménage sexy. Leurs jupes tombaient à mi-cuisse et leurs décolletés étaient moins visibles, un bandeau blanc retenait leurs cheveux et elles portaient des collants noirs. Leur couleur dominante était le noir complétait avec du blanc.
« Vous êtes encore plus sexy que Naruko l’imaginait. Arrêter d’essayer de vous couvrir, il n’y a pas à avoir honte. Ces vêtements complète magnifiquement vos corps et permette de laisser la majorité de votre peau révélé. C’est parfait. » Les filles essayait tant bien que mal de se couvrir, la majorité de leur peau était révéler par le ‘costume’ de telle façon que cela serait considérer comme de l’exhibitionnisme par la société. Jusqu’à ce qu’elles se rendirent compte de quelque chose. Setsuna était nu aux pieds de Naruko avec un collier en cuir noir relié à une laisse tenue par Naruko, elle avait comme seul vêtement des oreilles de chat noir et une queue de chat noir attaché à un plug enfoncer dans son anus.
« Bon… » Naruko reparti en marchant lentement, montrant que sa toge couvrait à peine son dos laissant voir une petite partie de la raie de ses fesses, vers ses oreillers en tirant sur la laisse. Setsuna marchait derrière à quatre pattes la tête baissée. « … vos fonctions ne diffère pas trop d’une femme de chambre ou de ménage normal, nettoyer les maisons, faire la vaisselle, la lessive, accueillir les invités…. Bien sûr si Issei-nii ou Naruko vous ordonne d’écarter les jambes ou de sucer vous le faite. Vous devez une obéissance absolu à Naruko ou Issei-nii, ce sont vos dieux, toute infractions sera sévèrement punis, compris ? » Durant son discours, Naruko était revenus à sa position de départ et s’était de nouveaux couché avec Setsuna se couchant à ses pieds telle un chat apeuré. Les autres filles du club de kendo n’étaient pas dans un meilleur état, elles étaient toutes terrifiées et venaient de se rendre compte qu’il n’y avait aucune échappatoire à leur situation.
« En rang salope ! » L’aboiement de Naruko les sortit de leurs stupeurs et elles se précipitèrent pour faire une ligne convenable ne voulant pas déplaire à leur maitresse sous peine de voir les choses s’aggraver. La plupart triturer leurs jupes de façon inconsciente, le stress et la peur prenant leurs péages sur leurs esprits.
« Bon, vous avez compris. Set-chan tu restes ici avec Naruko. Murayama et Katase vous allez être envoyé nettoyer un autre endroit, et Claire, Yui vous allez aider d’autres personnes. » Murayama et Katase furent tout de suite aspirer dans un tourbillon rouge sous l’œil horrifié des autres filles.
« Claire, Yui, une fois que vous arrivez à destination vous donnerez ça au responsable. » Naruko envoya une lettre scellée aux deux femmes de chambre qui eurent à peine le temps de la réceptionner avant de disparaitre de la même façon que Murayama et Katase.
« Pour les autres vous avez du pain sur la planche. » Naruko claqua des doigts, ce qu’elle pensait être des ténèbres derrière elle était un mur. Le mur s’écarta laissant la lumière pénétra dans la salle qui montra son immensité aux occupants restant. La salle était immense, suffisamment grande pour accueillir des maisons entière, mais vide juste meublé par l’autel et les flambeaux.
« Naruko a créé ce domaine il y a quelques années et y a établi son repère. Naruko veut accueillir le harem d’Issei-nii en ces murs, mais Naruko n’avais aucun serviteur pour s’occuper de tout ceci. Maintenant grâce à vous ce domaine va pouvoir briller pour accueillir Issei-nii et ses femmes. »
Tout le monde s’approcha des rambardes et sentirent leurs mâchoires frappé le sol à ce qui les accueillit. Elles étaient au dernière étage d’un immense manoir japonais, elle devait bien se trouvaient à cinquante mètres du sol. Elles pouvaient vaguement apercevoir en bas d’autre bâtiments, des étangs, un jardin… le tout entouré d’un mur. Au-delà de ce mur tout ce que pouvait apercevoir les filles était une étendue d’arbre immenses et des montagnes. Et vu l’endroit où elles trouvaient, il y avait fort à parier qu’elles se trouvaient sur une montagne. A ce niveau-là, plus rien devait les surprendre mais elle continuait à être surpris. Elles ne savaient même pas si elles étaient encore au japon.
« Bienvenue au domaine Hyoudou ! Vous êtes au dernier étage du manoir principal. C’est le seul étage que Naruko utilise pour l’instant. Naruko attend du professionnalisme de votre part lorsque vous effectuerez votre travail. Et ne vous inquiétez pas, Naruko s’assura que vous serez rejoint par d’autres filles pour vous aider. »
« Naru… »
« Goshujin-sama. Vous appellerez Naruko et Issei-nii goshujin-sama. Ne vous pensez pas être leurs égaux. Vous n’êtes rien de plus que des meubles dont ils peuvent se débarrasser à tout moment. Compris ? » Elles eurent des frissons de terreur, elles avaient l’impression que se débarrasser d’elles ne signifiait pas se faire licencier.
« Bien compris. Goshujin-sama… » Tsukiumi décida de se pencher comme dans les animés qu’elle voyait à la télévision. Leurs destins étaient scellés, il n’y avait aucune raison de se battre, le mieux qu’elles pouvaient faire été de s’assurer de ne pas fâcher leurs maitres.
« C’est bien animaux de compagnie. Commencez votre travail, pour votre premier jour Naruko vous autorise à rentrer à 20h00. Elle vous téléportera chez vous. » Naruko n’oublia pas de leur envoyer aussi un plan du manoir pour éviter qu’elle se perde.
« Nous vous remercions goshujin-sama, veuillez nous excusez. » Chacune tenter d’imiter au mieux les femmes de ménages des animés qu’elles avaient vu. Une fois ceci fait, elles sortirent de la salle et rendirent compte de l’immensité de la tâche qui se dressait devant elle. Regardant le plan, elles décidèrent de se séparer pour finir leur tâche au plus vite ne voulant pas subir de punition si elles désobéissaient aux ordres.
Une fois que Naruko fut surent qu’elles allaient réellement faire leur travail, elle se tourna vers sa plus récente acquisition.
« Bon mon petit corbeau. Ta maitresse est fatiguée d’avoir dû expliquer cela à tes amis. Elle est stresser de travailler pour construire le harem d’Issei-nii et de punir les mauvaise filles. Et une Naruko stressée est une Naruko dangereuse donc tu as intérêt à être efficace. Et sort tes ailes Naruko à envie de voir les ailes de son plus récent animal de compagnie. »
« Bien maitresse. » Setsuna n’avait pas besoin de demander comment Naruko était au courant qu’elle était en partie yokai. Sur l’ordre de sa nouvelle maitresse, elle déploya ses ailes, elles étaient encore plus étendue que son corps, d’une blancheur parfaite et imitant des ailes de corbeau.
« Alors non seulement tu es une hybride du clan des corbeaux et d’une humaine, mais tu es aussi albinos. Tu dois maudire ta chance, déjà que cela ta valu d’être bannie de ton clan, maintenant tu tombes entre les griffes d’une Kyuubi no kitsune. » Naruko s’était mis à caresser les douces ailes de son animal de compagnie qui haleta dans le plaisir en raison de la façon sensible ses ailes étaient. Naruko admira à quel point les ailes de son nouvel animal de compagnie sentait sous ses doigts, aucun tissu ou éléments sur la terre ou dans les autres dimension ne semblait pouvoir posséder quelque chose pouvant rivaliser avec la douceur légère des deux magnifique ailes brillante de Setsuna.
« Non maitresse. C’est un honneur pour une humble hanyo comme moi de servir un être aussi puissant que vous. » Naruko sourit à la façon dont sa Set-chan essayait de lui cacher ses véritables sentiments. Mais dans quelques semaines elle ferait tout ce qu’elle lui ordonnera avec plaisir et impatience.
« Vous verrez, en attendant masse les pieds de Naruko pour que Naruko vois comment tu peux la servir. » Naruko souleva son pied droit nu devant le visage de Setsuna qui prit une teinte de rouge similaire à la tomate. De cet angle elle pouvait parfaitement voir sous la toge de Naruko et apercevoir son pot de miel nu. Prenant son pied en main, elle commença immédiatement à masser la voute plantaire de Naruko la faisant gémir de plaisir. Set-chan était très talentueuse avec ses mains semble-t-il. Elle avait fait le bon choix d’en faire son animal de compagnie. On avait toujours besoin d’une masseuse quand on était une Kyuubi no Kitsune travaillant durement pour assembler un harem pour son frère.
A la cuisine avec Ako et Riko :
« C’est quoi cette montagnes Riko ? »
« Je ne sais pas Ako ! » Même sa sœur Ako d’ordinaire calme et douce semblait abasourdie par la vue devant. C’était une très belle et grande cuisine, une cuisine de luxe avec tous les outils possible et inimaginable avec plusieurs tables de travail. Cela ressemblait plus à une cuisine pour un restaurant de luxe qu’une cuisine pour une simple maison de roturier. Naruko voulait vraiment loger le harem de son frère ici, avec une cuisine comme ça elle pourrait facilement nourrir plusieurs dizaines de personnes.
Mais pas dans cet état, la vaisselle s’amoncelait dans les éviers. En ouvrant les frigos elles trouvèrent plusieurs produits périmés dont une majorité de ramen instantané, les ustensiles étaient sales, des formes de vies inconnues au bataillon… il semblerait que la maitresse de maison ne se soit pas occupée de la cuisine depuis plusieurs années.
« Cela vas nous prendre un an, rien que pour nettoyer la cuisine ! »
Ako ne put qu’hocher la tête à la monstrueuse vue devant eux.
La chambre de Naruko avec Asuna et Erza :
La chambre de Naruko était colorée de rose et orange donnant une décoration… unique. Un grand lit king-size à baldaquin qui semblait pouvoir accueillir une dizaine de personnes était au centre. La pièce était remplie d’armoire ouverte contenant toute sorte de vêtements, mais une majorité de vêtements trainait sur le sol avec des tasses de ramen instantané vide et des baguettes entre autres choses… Levant la tête Asuna ne voulait même pas savoir comme une baguette, un string rose et une tasse de ramen était arrivé à être coller ensemble au plafond.
« C’est quoi ça. » Lorsqu’Asuna tourna sa tête vers Erza pour lui demander ce qu’était quoi. Elle rougit, Erza tenait entre ses mains de la ficelle attaché, Asuna sut tout de suite que la ficelle attaché était un string. Mais elle ne pensait un jour connaitre une femme ayant le cran de porter quelques choses comme ça.
« Je crois que c’est un string Erza-chan. »
« Un string ? Mais comment ? Ca ne couvr… » L’image mentale sembla faire son chemin dans l’esprit d’Erza la faisant rougir jusqu’à ce que son visage soit de la même couleur que de ses cheveux.
« Dire que la mascotte de l’école est une kitsune et ne semble pas capable de faire le ménage. »
« J’ai l’impression qu’elle nous fait du chantage plus pour faire le ménage chez elle que pour rejoindre le harem de son frère. » Soupira Asuna, qui aurait pensé que la mascotte de l’académie était une personne si désordonné et peu soucieuse de la propreté de son espace de vie.
Dans une salle un peu spéciale avec Tsukiumi :
Tsukiumi avait du mal à croire ce qu’elle voyait. En face d’elle se trouvait un mur avec quatre photo accroché dessus, une d’Issei, de Sona Shitori, de Momo Hanakai, de Tomoe Meguri. Et en dessous de chaque photo se trouvait une série de boxer, petites culottes, string… qui avait certainement dû leur appartenir. C’était tellement pervers que Tsukiumi sentit son cerveau grillé à la pure absurdité de ce décor.
Avec Murayama et Katase :
Lorsque le monde s’arrêta de tourner, la première chose qu’elles virent fut la plus belle fille de l’académie assis à son bureau, Rias Gremory. La salle était également peuplée par les personnes les plus célèbres de l’académie de Kuoh.
« Hiiiiii ! » c’était la première chose que faisait tout individu mentalement sain s’il se retrouvait devant ses idoles dans cet accoutrement.
« Ah, Murayama-chan, Katase-chan c’est un plaisir de vous accueillir parmi nous. Veuillez prendre un siège. »
« Ahaha, je crois qu’il y a erreur senpai. Heu, je crois que nous allons tout de suite sortir. »
« Tu as fait une augmentation mammaire Katase-chan ? » Pour des femmes comme Katase, le corset arrivait à peine à contenir ses énormes mamelles. Il semblait prêt à exploser à tout moment donnant un aperçu de ses auréoles sombres invitant les yeux à s’égarer par ici plutôt que vers son visage.
« Non senpai, c’est juste que… » Katase devenait rouge, la timidité prenait le relais, incapable de continuer à parler. Et le changement brutale de sujet combinait à leurs surprises ne les aidaient pas à comprendre la situation.
« Fufufu, Naruko-chan a envoyé d’adorable jeune filles. »
« Akeno-senpai… » Lorsqu’elles comprirent ce qu’a dit Akeno, elles gelèrent.
« Excusez-nous senpai, mais qu’est-ce que vous dites ? Naruko nous aurai envoyé ici ? » Logique, deux femmes à moitié nu apparaissant au centre de la pièce aurait dû avoir déclenché des réactions de surprises. Mais au contraire ils semblaient tout simplement les attendre.
« Bien sûr, Naruko m’a parlé de son… plan. »
« Et vous n’avez rien fait pour l’arrêter ! » Murayama et Katase se sentait trahi, leur idole n’avait rien fait pour leur éviter l’esclavage sous la coupe de cette sociopathe.
« Pour être honnête lorsque j’ai entendu Naruko fomentait son plan de vengeance j’ai tentée de l’arrêter… sans réussite. Mais j’ai réussi à diminuait votre peine. »
« Notre peine ?! Notre peine ?! Elle nous a réduits en esclavage sexuel ! On ne peut rien faire sans que cette sociopathe le sache ! Elle nous force à porter ça ! Cette chose que cette folle appelle des vêtements. ! »
« Lorsque je l’ai attrapé, elle était en contact avec des trafiquants d’humains thaïlandais. Tu aurais préféré qu’elle continue sur sa lancée ? » Cela stoppa nette les deux kendoka. Savoir qu’elles étaient passées tout près d’un destin encore pire ne les rassurèrent pas sur l’état mental de leur nouvelle maitresse.
« Ah, alors je vous remercie senpai de nous avoir évité cette horrible destin. Euh, quelle est votre lien avec goshujin-sama. » Goshujin-sama sorti telle un sifflement de haine de la bouche de Murayama. Incapable de croire qu’elle pouvait détester quelqu’un qu’elle admirait il y a à peine un jour.
« Euh… senpai vous êtes aussi des yokai. » Katase rajouta ceci à sa question, la journée devenait rapidement épuisante mentalement.
« Non, non. Naru-chan est mon adorable serviteur, autres que les quatre princesse qui sont des yokai. Nous sommes tous des diables. » Lorsque Rias eut terminée son discours, pour accentuer le côté dramatique elle et sa nobiliaire déployèrent leurs ailes diabolique.
« Euhhhh, des diables ? »
« Oui. »
« Des diables comme des diables ? »
« Exactement. »
« On parle bien des diables de la bible ? »
« C’est ça. »
« Ceux qui vivent dans les enfers et tourmente les pécheurs ? »
« Effectivement. »
Avalant sa salive, Murayama ne put s’empêcher de demander avec une pointe de fascination morbide. « Et on va terminer en ragout ? Ou encore vous servir de divertissements ? Peut-être de sacrifice ? » Dans son esprit, la seul solution possible pour laquelle Naruko l’ait envoyé ici fut pour servir de sacrifice. Bien qu’elle fût surprise qu’une Kyuubi no Kitsune soit le serviteur d’un diable. Ou peut-être qu’elles étaient juste des sacrifices servant à cimenter une alliance entre les deux ?
« Pas assez de viande. Mais Katase semble gouteuse et a plus de viande au niveau de la poitrine. »
BOUMMM
Ce bruit était la suite logique de Katase s’évanouissant. Murayama devint pâle comme un linge et sentit un filet humide courir le long de sa cuisse. Elle nota que Kiba en bon gentilhomme évita de regarder sous la jupe de Katase qui ne couvrait absolument rien dans cette position, ce ne fut pas le cas des autres occupants de la pièce.
« Koneko-chan ne terrorise pas nos invités comme ça. Désolé, à force d’être proche de Naruko, Koneko a pris que qu’unes de ses habitudes. »
« Le fait d’apprécier le gout de la chair humaine sur la langue et la sensation des os craquant en bouche ? »
« Hahahaha, non, non. Plutôt sa nature facétieuse. »
« Hahaha… » Le rire de Murayama était beaucoup plus tendue, et elle remercia les êtres dans la salle pour ne pas commenter son... accident. Ceci était plutôt gênant de s’uriner dessus devant les idoles de l’école.
« Enfin, pour votre travail. J’aimerais que vous et Murayama servent de femme de ménage et de coursier. Surtout avec des tenues pareilles. » Gremory-sama la regarda bizarrement à cela, peut-être qu’elle était out aussi pervers que Naruko. Cette pensée lui donna des frissons, elle ne sut pas que sa tenue qui était du cosplay avait envoyé l’âme otaku de Rias en overdrive.
« Je peux comprendre femme de ménage, mais… coursier ? »
Rias lui tendit des prospectus avec des inscriptions bizarre dessus et des formes géométrique étrange. « Oui j’aimerais que vous distribuez ces prospectus dans la rue s’il te plait. » Gremory-senpai paraissait si gentil et polie que Murayama eut dû mal à croire qu’elle un diable.
« Dans la rue ? Dans cette tenue ? »
« Pourquoi il y a un problème ? Justement, je pensais que vous auriez plus de succès avec ses tenues. J’ai eu tort ? » La façon dont senpai pencha sa tête et la questionna de façon innocente failli réellement lui faire croire qu’elle ne voyait pas le problème.
« Non, non rien, et ces prospectus ils servent à quoi ? »
« Ah oui. Ils permettent aux humains de nous convoquer et de conclure des pactes avec eux. »
En plus de marcher dans la ville dans cette tenue, elle allait condamner les humains à l’enfer en leurs offrants l’occasion de leur vendre leurs âmes. Quelle vie de merde. Elle devait voir un très mauvais karma pour subir ça.
« Murayama-san il y a une douche juste derrière le rideau. Après t’être nettoyé tu pourras commencer à travailler avec Katase. » Elle ne demanda même pas pourquoi une douche se trouvait dans la salle du club.
« Je vous remercie Gremory-senpai. »
« Tu peux m’appeler Buchou Murayama-san. » Rias eut à peine le temps de lui dire qu’elle se cacha derrière le rideau.
« Fufufu. »
« Qu’est-ce qu’il y a Akeno ? »
« Peut-être que Buchou aurait dû lui dire que les diables d’aujourd’hui sont différents des diables d’il y a plusieurs siècles ? »
« Tu le pense vraiment ? »
« Bien sûr. Il y a eu quelques sous-entendus dans cette conversation laissant présager de mauvaises choses à la pauvre petite fille. » La façon dont Akeno se lécha les lèvres et gémit en se frottant les cuisses, les sous-entendus devaient avoir brisé la pauvre Murayama.
« Pourquoi tu m’as rien dit, maintenant la pauvre vas penser que nous sommes des monstres. » Rias se sentaient réellement mal pour Murayama qui devait s’imaginer les pires horreurs sur eux.
« Parce que c’était amusant~. » En regardant les princesses et sa nobiliaire, la plupart semblait prêt à exploser de rire. Chaque fois que des humains découvraient leurs véritables identités, leurs réactions étaient comiques et ses serviteurs prenaient un malin plaisir à les terrorisaient. Elle blâmait Naruko pour ceci, même elle prenait plaisir à faire ces petites blagues de temps en temps.
Avec Yui et Claire :
Lorsqu’elles sortirent de cet étrange endroit, Yui et Claire entendirent des cris de surprise.
« Des ennemies ?! »
« Comment ils ont passés les barrières ? »
« Qu’est-ce qui se passe ? »
« Je n’en sais rien ! »
« Tout le monde reprenez-vous et préparer vous ! »
La salle où elles avaient téléporté était sans conteste le bureau du conseil des étudiants. Et une fois la confusion passée…
« Kotagawa, Farron ? Qu’est-ce que vous faite ici ? Et comment vous êtes arrivé ici ? Non, non qu’est-ce que c’est cet accoutrement ? » Sona ne savait pas ce qui se passé, d’un coup deux étudiants arrivé à percer la barrière magique qui entouré l’académie et atterrissait dans son bureau dans un accoutrement rivalisant av… Le déclic se fit, la seule qui oserait faire quelque chose comme ça, était un être dont la perversité ne connaissait pas de limite, un être auquel elle avait perdu un nombre innombrable de sous-vêtements à ce monstre. Naruko Hyoudou.
Ramassant une lettre trainant par terre qui semblait être arrivée avec eux, elle la déplia et la lut…
Tout le monde resta silencieux lorsqu’elles virent leur roi lire silencieusement la lettre. Ses sourcils devinrent de plus crispés, ses joues prirent une teinte de rouge arrivant jusqu’aux oreilles, ses doigts se crispèrent sur la lettre la froissant bruyamment, ses lèvres formèrent une fine ligne… tous les signes avant-coureur d’une colère que les membres du conseil étudiants connaissait bien et ayant pour origine une élève aux cheveux blonds. C’était la seule capable de rendre leur présidente généralement calme, furieuse…. Mais il sembla que cette fois, la lassitude prit le pas sur la colère.
Le corps de Sona Shitori sembla se dégonfler d’un coup tandis que ses muscles se relâchèrent. Se frottant les tempes pour conjurer le mal de tête arrivant, elle déclara.
« Vous savez quoi, je ne veux pas savoir. Je ne veux pas savoir comment elle a réussi à vous expédier passant des barrières rivalisant avec celles de la chambre des lords des 72 piliers. Je ne veux pas savoir pourquoi vous portez ces tenues. Je ne veux pas savoir pourquoi elle parle de cadeau de mariage. Je ne veux pas savoir quelle référence aux filles magiques elle a glissé dans cette lettre. Je ne veux pas savoir comment deux humaines tout à fait normale et sans histoire sont venus à être au courant du surnaturelle. Je ne veux pas savoir parce que cette créature à suffisamment joué avec mes nerfs depuis que je l’ai rencontré, alors je vous présente nos deux nouveaux membre du conseil des étudiants. Claire Farron et Yui Kotegawa, maintenant mettez quelques choses de décent, faite moi un thé et apporter moi une aspirine. A la réflexion apportez moi la boite entière d’aspirine je vais en avoir besoin. »
Sona ne voulait absolument pas savoir ! Les derniers lambeaux de sa santé mentale en dépendaient ! Subir les farces, les vols de sa culotte en plein couloirs, ses taquineries, savoir qu’elle avait une obsession avec les filles magiques qui rien que d’y repenser lui donner de l’urticaire, la paperasse qui était capable de tripler si l’envie lui prenait de mettre le chaos dans l’école juste pour voir si une diablesse pouvait se noyer sous la paperasse. Tout ceci faisait de Naruko Hyoudou le fléau de son existence, juste en dessous d’une autre fille magique. Inutile de dire que les efforts qu’elle déployer chaque année pour éviter que les deux se rencontre était titanesque et qu’elle aurait été capable de faire la paix dans le monde et entre les trois factions si elle avait dirigé ses efforts vers ces objectifs. Bien que la voir boitée et épuisée toute la semaine en essayant de cacher la véritable raison de ceci fut amusante. C’était un véritable défouloir de faire des sous-entendus dans les couloirs et de la narguer, dommage qu’aucun des étudiants n’ait compris le message qu’elle essayait de faire pass… Oh par Satan ! Elle vient de se rendre compte que cette créature du mal et de la perversion l’avait infectée ! Elle avait pris du plaisir à faire des sous-entendus sexuels !
A cette révélation Sona blanchit, trembla. Avant de saisir les rebords de son bureau.
BOUM, BOUM, BOUM
Sort pensée impure, sort pensée impure… je ne deviendrais pas comme ces filles magiques perverse, il n’y avait aucun moyen qu’elle se convertisse pensa-t-elle en abattant sa tête plusieurs contre le bureau dans une méthode assez archaïque pour essayer d’expulser la perversion hors d’elle. Mais une fois que la perversion s’est installée en nous, la transformation en fille magique perverse a déjà commencé. Pauvre Sona.
Les membres du conseil étudiants se regardèrent et haussèrent les épaules. Les voies de Naruko Hyoudou étaient impénétrables. Saji essayait furtivement de voir sous les jupes des nouvelles arrivantes pour voir si elles avaient le même fétiche que la loli blonde, tandis que Momo et Tomoe envoyaient des regards amusés aux victimes de leur amante. Tomoe se demanda si Naruko avait un fétiche pour les femmes de chambre où autre, elle devait peut-être investir dedans si c’était le cas.
Yui et Claire était confus face à l’acceptation désabuser de celle qu’on surnommé la présidente de l’école. Certes apparemment elle n’était pas humaine avec le reste du conseil des étudiants, mais comparer à être mis en esclavage par une Kyuubi no Kitsune se faisant passer pour une collégienne et mascotte de l’académie, c’était plutôt facile à gérer sans fondre en larme. Et intégrer ce conseil avait toujours étaient leur rêve donc elle n’allait pas cracher dessus, même si pour ça elles devaient obéir à une psychopathe.
Personnages : Erza Scarlet (Fairy Tail), Claire Farron (Final Fantasy XIII), Yui Kotegawa (To Love Ru), Asuna Yuki (Sword Art Online), Tsukiumi (Sekirei), Setsuna Sakurazaki (Maho Sensei Negima), Riko et Ako (Kiss X Sis)
Version révisé le 02/11/2016
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