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Prototypes Abandonnés	By : sneaky666 Category: French > Anime Views: 13104 -:- Recommendations : 1 -:- Currently Reading : 0
Disclaimer: I do not own Naruto, RE: Monster or other anime listed in any chapter, nor the characters from it. I do not make any money from the writing of this story

Chapter List
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Cela est une histoire que je tente d’écrire depuis quelques temps qui souffre de mes changements d’humeur. Je veux écrire un Naruto X Overlord avec un Naruto Mal mais impossible de me focaliser sur un scénario, je change d’idée comme une girouette. Et là c’est une idées que je poste, je posterais peut-être quelques autres.
La première est sans sexe bien que j’avais prévu du futa, de l’élevage interracial, du viol, du harem, de l’esclavage… avec une Naruko et un monde parodié.

Prologue
Ce fut une époque prospère, les cinq villages shinobi étaient en paix, les fleurs décorées la terre verdoyante de leurs couleurs chatoyantes, le soleil réchauffait ses habitants telle un papa poule et le vente les étreignait telle une mère inquiète. Les animaux mignons et pelucheux emplissaient ce monde paisible du bruit de leurs roucoulements mielleux, les bébés phoques peuplaient la terre en nombre avec leurs regards pelucheux, les licornes gambadaient joyeusement à travers les vastes prairies fertile et idyllique au milieu des jolis petits papillons multicolore, les fées voltigeaient avec grâce dans la forêt des lumières, les elfes dansaient et chantaient louant l’amour et l’amitié, les hommes s’aimant entre eux… heuuuu, non peut-être pas, faut pas exagérait quand même. Les shinobis commençaient à aller postuler à pôle emploi, les marchands s’enrichissez, le citoyen était heureux avec sa femme fidèle et aimante tandis que ses enfants étaient joyeux et obéissant. La paix et l’amour s’abattaient sur le monde tel un tsunami de licorne pure et innocente et de bébé phoque mignon et duveteux sur fonds coloré de cœur rose bonbon, le bonheur et le bien à portée de tous beurkkk…
Mais ! Dans les tréfonds sombre et profond de la terre se trouvait une tour noir maléfique qui résistait encore et toujours à l‘envahisseur romain… pardon. A l’envahisseur elfique, féérique, licornique… faiseur de paix et d’amour. Ce repaire du mal où dans une époque reculer le sacrifice de vierge était courant, la polygamie légal, Hitler sanctifié et vénéré tandis que Gandhi était maudit et haï, où la graisse de bébé phoque se mariait parfaitement à de la cuisse de fée dans un sandwich de pain démoniaque, la licorne était un met on ne peut plus délicieux accompagné de sang d’elfe. Ayant logé dans ses somptueux mur noir décoré de quelques ossement les plus grands, les plus terribles et les plus vils OVERLORDDD !... Le problème c’est qu’apparemment… ben, elle était vide. L’académie d’apprenti Overlord avait fermée ils y a quelques éons, les jeunes d’aujourd’hui trouvant les Overlord ringard et l’emploi semblait ne pas avoir suffisamment de débouché. Et certains trouvé que les viols, torture, massacre, pillage, génocide de bébé phoque avec pour objectif de dominer le monde était devenu dépassé. Ils préféraient jouer aux héros et préserver l’environnement en écoutant du Bob Marley… quelle triste époque. Mais ne vous inquiéter pas cher lecteurs, comme le dit si bien le vieux Biscornue, le mal trouve toujours un moyen…
Dans un village d’écolo nommé Konoha :
Le soleil était haut dans le ciel tandis qu’une jeune fille était couché dans son lit en attente de quelque chose… n’importe quoi. Cette fille se démarquait par le fait d’habiter dans le manoir de Minato Namikaze, Yondaime Hokage, sauveur et héros de Konoha, éclair jaune, vainqueur du Kyuubi no Yoko, mari de la princesse Uzumaki… et tout un tas d’autre titre ennuyeux à son avis. Et à son grand malheur, elle était sa fille, enfin une de ses filles, Naruko Uzumaki. Contrairement à ses frère et sœurs, elle devait reprendre le flambeau du plus puissant clan de la lumière. Le clan Uzumaki, mais elle préférait botter le cul des chatons et des moutons plutôt que d’apprendre la finesse de la politique ou comment bien se tenir en société, et pire ! Elle devait être l’incarnation du bien ! Toute cette tendresse et gentillesse la faisait se sentir mal à l’aise, cette luminosité insupportable, la bienséance dont faisait preuve sa famille lui tordait le ventre comme si elle avait avalée un citron meringué. Elle détestait tout ça, l’odeur velouté insupportable d’amour parental enrobé dans une bêtise sucré affligeante selon elle.
Naruko Uzumaki était une fille de 13 ans incroyablement belle et très différente de ses frère et sœurs. Elle avait des cheveux blond brillant, légèrement bouclé encadrant son visage et tombant sur ses épaules avec un visage en amande raffiné, des yeux bleu glacé ornés des sourcils délicat et noire, un petit menton avec une adorable fossette et des lèvre naturellement rouge sang. Une peau pale comme du marbre lui conférant une beauté froide mais féérique, son attitude généralement froide et silencieuse pouvait inquiéter, mais tout le monde savait que c’était une façade pour le caractère hargneux et explosif que sa mère avait eu plus jeune qu’elle essayait de dissimuler. Elle était plutôt grande pour son âge avec des courbes inexistantes qui n’enleva rien à la beauté de son corps gracieux. Son corps était fin et élégant couvert le plus souvent par du noir. Elle avait quelques ses particularités comme ses ongles pointus et noir ainsi que ses dents légèrement plus tranchante ou ses pupilles en forme d’amande lui donnant un look exotique incroyablement mignon selon sa mère.
Naruko avait failli l’égorgé lorsqu’elle l’avait qualifié de mignonne. Ne supportant pas les mots adorable ou mignonne. Sa mère la surnommant la princesse des fées ou son adorable poupée, beurk. Pour éviter cela, elle avait commencé à porter des vêtements sombres à l’opposé de sa famille qui préférait des couleurs vive et voyante indigne d’un ninja à son avis.
Et elle adorait son look gothique, actuellement elle portait un corset noir avec des coutures laissant ses épaules nues et censé mettre en valeur ses seins. Mais son manque dans ce département faisait que cela ne mettait rien du tout en valeur à son grand regret. Son corset faisait aussi de jupe, de multiple tissus noir et transparent se superposé arrivant à peine à mi-cuisse pour essayer de cacher sa petite culotte et pour finir elle avait des talons hauts noir qui finaliser son apparence. Elle avait réussi à se distinguer de sa famille… mais sa mère adorait, bavardant à qui voulait l’entendre qu’elle était la chose la plus mignonne dans le village… et cela l’épuiser et l’énervait que son génialissime plan se soit retourné contre elle.
Elle recevait des regards outrés des civils et bizarres des hommes, elle les entendait murmurer à propos d’une jeune fille ne devant pas s’habiller comme ça. Elle ne comprenait pas, mais les shinobi lui envoyé des regards appréciateurs et la félicitait pour avoir compris quelque chose appelé la séduction à sa grande confusion. Lorsqu’elle avait demandée à sa mère, elle lui avait dit que c’était le montant de peau dévoilé qui choquait les civils et qu’elle comprendrait plus tard pour la séduction. Etrange… c’était peut-être une technique supra-méga puissante ? Et elle était un génie dans ce domaine ? Le monde était donc déjà à portée de mains et elle en avait été inconsciente !
Malheureusement le monde devra attendre, elle était dans sa troisième année d’académie shinobi et pour dire qu’elle s’ennuyer était un euphémisme, dans une classe qui était habiter par des débiles profond, fangirl, où régner une atmosphère épaisse d’amitié, de ragots en tout genre agrémenter d’un discours comme quoi la volonté du feu vaincra suffisait à lui donner la diarrhée tellement c’était une chiasse.
C’était un crime de lèse-majesté de devoir supporter ces inepties à longueur de journée. Elle espérait apprendre la torture, la meilleur façon de tuer, mutiler son ennemis, mais au contraire ils apprenaient l‘histoire inintéressant des héros en évitant de mentionner ses idoles comme Orochimaru ou Madara Uchiha.
Décidant que s’ennuyer dans sa chambre n’était pas la meilleur façon de s’ennuyer, elle décida d’aller s’ennuyer dans le salon, peut-être qu’elle verrait un pot de fleur tomber sur une de ses sœurs et qu’elle deviendra un légume, qui sait ? A cette pensée, Naruko commença à siffloter d’un air macabre avec un ressort dans sa démarche, la faisant paraitre comme une adorable et gentille fille selon ses parents. Personne ne soupçonnerait les pensées morbides qui traversaient sa jolie petite tête.
« Ma petite poupée tu descends bien tard. Tu as mal dormi ? Tu veux un câlin de ta maman chéri ? » Roucoula Kushina, Naruko sentit son œil se contracter dangereusement au mot poupée.
Sa mère était considérée comme la plus belle femme du village à 35 ans. De longs cheveux roux flamboyant avec un visage rond et un petit nez, le tout où reposaient deux yeux violet magnifique, son visage étant sexy dans une manière mignonne. Ce qui faisait sa renommée était les ballons de rugby attachés à sa poitrine qui semblaient vouloir s’échapper du débardeur de cette femme vu comme il bougeait dans tous les sens même quand elle s’arrêta de bouger. Une des femmes les plus voluptueuses au monde connu pour sa fidélité, son amour de la famille, sa puissance… et surtout pour ses orbes de chair. La taille de la poitrine et des fesses étant calculé par la puissance de l’amour et de l’amitié que cette personne exprimée selon certains scientifiques renommés de Konoha faisait que cette femme battait tous les records dans ces domaines. Certes, d’autres facteurs intervenaient comme le nombre de bisous, d’embrassades, de calin… comme facteur d’évolution de la poitrine et des fesses faisant que sa mère battait presque toute les femmes connues dans ces départements-là. C’était un complot des dieux du bien ! Naruko en était persuadé ! Son seul trait qui lui donner grâce à ses yeux était qu’elle cuisinait divinement bien. Malgré cela, elle poussait sa patience à bout avec son horrible attitude aimante et sa poitrine géante !
« Ahahah, mais Kushi-chan, tu vois que notre fille adorée est juste ennuyé de ne pas avoir quelque chose à faire. » L’homme qui disait une des rares choses de censé dans cette maison était son père, Minato Namikaze. Un grand homme aux cheveux blond comme elle mais en épis avec deux pattes de chaque côté de sa tête et des yeux bleu chaud contrairement à elle, avec une simple chemise blanche et un jean.
« Hé blondasse tu descends de ton grenier ? Tu sors de ta tanière ? »
« Mais ma chère sœur tu sais bien qu’une araignée comme elle ne sort que pour subvenir à ces besoins. » Natsuki et Natsumi Namikaze, ses plus jeune sœurs âgés de neuf ans… Blonde comme leur père avec les yeux de leur mère, leur tempérament était farceur et énervant, incroyablement énervant. Suffisamment pour elle rêve de les déchirer comme leurs nounours. Quand elle parlait, Naruko avait l’impression qu’on rayer un tableau à côté de son oreille. De la blonde cent pour cent pur jus, en débilité on ne faisait pas mieux…
« Humpf, comme si cette perdante comme elle pouvait même subvenir à ces besoins seul. » Avec un reniflement qu’il a certainement peaufiner pour avoir sa licence d’emo avec son ami Sasuke Uchiha. Memna Namikaze souleva son nez d’un air hautain et se retourna comme excusant un insecte pour l’avoir déranger… et se remit à regarder les teletubbies à la télé. Il ressemblait à une version masculine de leur mère avec comme seul différence les yeux bleu. C’était l’ainé des triplés, son grand frère.
… Quoique, c’était peut-être le plus débile du groupe. Naruko sentit une veine gonfler sur son front et pulser. Calme, calme, Naruko garde ta façade cool. Ces abrutis ne mérite ni ton temps, ni ton attention…
« Mais Memna-kun, ne soit pas aussi méchante avec notre petite imouto. Tu sais bien que ce n’est pas de de sa faute qu’elle soit aussi plate comme une planche à repasser et idiote comme une vache. » Lança sa sœur Natsumi Namikaze.
…ni ton temps, ni to… QUOI ? Arghhhh, salope ! D’un geste élégant et gracieux avec un cri empli de bon sentiment, Naruko sauta de l’autre côté de sa pièce pour pulvériser avec fracas… euh, enlacer avec amour sa salope… bien-aimé sœur. L’embrassade entre les deux êtres aimées se finir lorsqu’elles roulèrent plusieurs fois par terre après de multiples morsures…, pardon, bisous et arrachage de cheveux… Excusez-moi, caresses.
Lors inimités… oui bon, on ne peut pas le cacher éternellement qu’elles sont comme chien et chat… bon, comme je le disais, leurs inimité remonte à quand leur mère s’intéressait à elle en raison de sa beauté. Car la plupart de sa famille était bronzé et plutôt musclé ou voluptueux, elle avec sa peau blanche et son corps maigre faisait tache parmi eux.
Sa mère la trouvait trop Kaawwwaaaaiiiii ! A sa grande horreur faisant Natsumi jalouse d’elle et de l’attention qu’accordait leur mère à elle. Malheureusement, comme aujourd’hui, elle n’avait pas les courbes luxuriantes de sa famille, étant plutôt petites et plate. Et lorsque Natsumi grandit, elle se moqua d’elle avec plaisir en s’exhibant. Expliquez-moi comment une gamine de 13 ans faisait du bonnet E ?! C’était tellement injuste et surréaliste, certainement un complot des anarchistes communistes faisant des sacrifices de chèvre dans leurs caves dans le but de gonfler la poitrine de cette gamine arrogante et gâté pour l’embêter ! C’était pooo juste ! Et cela donnait lieu à des arguments célèbres dans le village tout entier laissant chaos et destruction dans leurs sillages.
Après que leurs parents les aient séparés à grand renfort de jutsu au grand chagrin de Naruko qui voulait bien plus qu’une poignée de cheveux rouge qu’elle tenait actuellement dans sa main. Son génialissime de père (noter le sarcasme) eut une idée qu’il dû tirer d’un de ses romans d’amour à l’eau de rose qui lui pourrissait le cerveau.
« Comme nous somme trop bête pour faire quelque chose de divertissant, nous allons aller au parc observé les gentils animaux duveteux comme une grande famille bien stupide et mielleuse à souhait !... » Pardon, il avait plutôt dit ceci. Excuser-là, elle avait l’habitude de faire la traduction.
« Je propose que vu que tout le monde s’ennuie et apaiser les tensions d’aller au parc pour resserrer les liens familiaux qui nous unit, ça vous tente les enfants ? »
« Ouais ! » Les seules qui semblaient ne pas vouloir aller se réfugier dehors parmi l’air pur étaient Naruko qui semblait totalement désintéresser et Memna en train de grignoter des chips devant la télé.
Son père attrapa sa mère et l’embrassa tendrement, devant cette élan d’affection Naruko sentit son visage devenir vert, attrapant la poubelle la plus proche et y plongeant sa tête pour extérioriser cette image affligeante tout en faisant des bruits assez prononcé de dégout.

Au parc verdoyant de Konoha :
Naruko s’ennuyer de nouveau en voyant sa famille nourrir une famille de canard avec du pain en se tenant sur un pont traversant une mare. L’été était morne et chaud, une chaleur capable de faire cuire un œuf sur la tête d’un teigneux, la seule chose de marrante était de voir les pouilleux faire absolument tout pour trouver de l’eau…
PLOUUFFFF
« Ahhhh ça fait bien du bien un bon bain d’eau froide ! Hummm, aaaaahhhh ! Ploc. » L’odieux pouilleux n’eut pas le temps de profiter de sa victoire que Naruko lui avait envoyé un caillou de la taille de son poing l’assommant efficacement. Ce gueux avait osé l’éclabousser !
GLOU GLOU GLOU
Au vu des bulles qui remontaient à la surface, l’idiot était en train de se noyer, on ne saute pas à l’eau quand on ne sait pas nager voyons. Tsss, tsss, les pouilleux d’aujourd’hui n’ont plus le sens commun d’avant. Dans un sens c’était plutôt triste.
« Mon dieu, cette homme est en train de se noyer. Que quelqu’un fasse quelque chose ! » Je ne sais pas, tu peux peut-être sauter à l’eau et te noyer à ton tour pour nous épargner tes idioties ?
« Je vais allez le sauver ! » Son adorable frère hurla de sa voix stridente en montant sur la rambarde, gonflant la poitrine avec fierté avant de sauter dans la mare dans un geste héroïque digne des plus grands récits d’aventure sous le regard admiratif de ces parents fière que leur petit Memna-kun ait l’objectif de devenir un grand héros comme eux.
Après quelques secondes durant lequel le nombre de bulle apparaissant à la surface doubla, une prise de conscience apparut dans une lumière éblouissante. Visiblement, ils avaient tous oublié qu’il nageait aussi bien qu’un chat auquel on aurait attaché une statue de Bouddha en pierre.
« Oh mon dieu, mon bébé ne sait pas nager ! » Naruko roula des yeux en entendant le cri de sa mère. Il l’aurait peut-être fallu l’empêcher de sauter au lieu de l’admirer ? Volant une sucette à un enfant qui passer par là, quoi ? Si on veut être un mauvais méchant il fallait bien apprendre les bases. Elle observa le spectacle divertissant de sa mère et de son père paniquant face à la stupidité de son frère et à sa probable future noyade en léchant sa sucette. Cela allait être une bonne journée !
« Pssstt ! Naruko-chan, par ici. » Naruko se détourna du spectacle qui devenait bien vite ennuyeux lorsqu’elle comprit que son idiot de frère n’allait pas se noyer avec l’aide de ses parents, essayant de bloquer les pleurs du bambin et les réprimandes de ces parents qui voulait qu’elle lui rende sa sucette. Tournant la tête Naruko eut un léger sourire en voyant son sous-fifre préféré qui l’appelait.
Louise Françoise Leblanc de la Vallière, la petite dernière jeune fille d’une famille noble d’un pays lointain, sa famille étant riche puissante et effroyablement exemplaire, d’une droiture parfaite. Louise avait le même âge qu’elle faisant qu’elle fréquenter la même classe à l’académie et semblait incapable d’utiliser le chakra faisant qu’elle était mise au ban de la classe. Naruko avait été son premier ami, pour Naruko c’était son premier sous-fifre. Elle était très mignonne avec de long cheveux ondulé et des yeux de la même couleur que ses cheveux, et ayant tous deux les même tailles, que ce soit au niveau de la hauteur ou de la poitrine. Elle porté cette étrange uniforme que sa famille disait porter dans leur pays, un chemisier blanc avec une cape noire et une minijupe noire descendant aux cuisses complétait par des chaussettes noire remontant jusqu’aux genoux.
Elle avait un caractère explosif et orgueilleux avec une légère touche d’arrogance, beaucoup de monde disait qu’elles auraient pu être sœur, bien que Naruko ne comprennent pas pourquoi. La seul chose absolument horrible qu’on pouvait lui reprocher, maltraitant ses rétines à longueur de journée était… LE ROSE ! C’était quoi ce rose bonbon ?! Elle voulait sa mort ? Elle subissait suffisamment cette ignominie à la maison mais la voir se balader avec ses cheveux roses et yeux roses comme ceci était une torture intolérable ! Première chose que fera Naruko lorsqu’elle aura pris le pouvoir de ce pathétique village était d’interdire le rose et obliger Louise à se teindre en noir et mettre des lentilles noires ! Un bon sous-fifre devait avoir les cheveux noirs pour avoir l’air cool !
Elle se connaissait depuis leurs plus tendres enfances, leurs parents étant amis et grand défenseur de la justice, certaines des plus grandes amitiés naissait dans la douleur, le sang et la peur, dans des champs de bataille puant la cendre et la mort, à travers de grands actes héroïque, la leur était née dans les seins. Une promesse incassable aussi solide que les rochers d’Iwa, une promesse de combattre ensemble l’injustice faite aux poitrines plates et la domination des poitrines monstrueuses sur le monde.
Enfin bref, voyant une occasion inespéré d’échapper à cette torture, Naruko jeta un coup d’œil à ses parents qui avait plongeait espérant sauver leurs fils adoré. Parfait, elle pouvait disparaitre sans se faire attraper. Très vite, elle se dirigea vers les buissons, attrapant la main de Louise au passage, elles se dirigèrent vers le point de rendez-vous de son armée.
« Merci Louise de m’avoir tiré de cette torture, je ne pense pas que j’aurais pu survivre encore à ces imbéciles. »
« De rien Naruko-chan, je m’ennuyais moi aussi de toute façon. Ma mère voulait encore me donner des leçons sur le chakra. » Ceci expliquer cela, Louise avait toujours était un peu sensible sur ses problèmes là. Ce n’était pas le même problème qu’un de leurs senpai, c’était juste que le chakra de Louise se manifester plutôt violemment, entrainant quolibet et moquerie de la classe. Naruko connaissait Louise depuis sa plus tendre enfance et avait tout de suite vu le potentiel dans ses explosions bien que leur origine soit un mystère. Mais envoyé à l’hôpital Iruka-sensei et la moitié de la classe après une tentative de faire un clone était digne des plus grands actes malfaisant.
Courant ensemble dans les rues de Konoha, Naruko ne put s’empêcher de sourire à l’idée de retrouver son armée fidèle. Après avoir couru dans Konoha et de se diriger vers les bidonvilles, Naruko aperçut ce qu’elle cherchait désespérément, ‘Le lapin rieur’. C’était une taverne tout à fait ordinaire, fait de bois, de bric et de broc, entre un vendeur de chaussure et un vendeur d’arme. L’établissement était plutôt petit, rupestre, personne ne se doutait qu’ici l’une des triplé de l’Hokage construisait son armée. La seule chose qui pouvait paraitre bizarre était que les passants sembler éviter cet endroit, changeant de trottoir lorsqu’ils semblaient s’en approcher.
Poussant la porte avec un empressement et avec un de ses rares sourires, Naruko entra dans sa tanière du mal. L’odeur de la sciure de bois neuf se mélangeant à la cire et à l’odeur des boissons alcoolisées avec la vue d’un bar traditionnelle bien entretenue faisant de cette destination quelque chose de plus accueillant que ce qu’on pourrait penser de l’extérieur.
« Hohayo Naruko-chan, cela fait longtemps que tu n’étais pas venue, je te sers l’habituelle ? » La femme qui parla était derrière le bar s’appelait Delilah, une jeune femme avec de long cheveux noisettes, des yeux noisettes, un sourire joyeux, et un uniforme de barman noirs et blanc modifié montrant beaucoup trop de peau et mettant en valeur ces courbes rivalisant avec sa mère. Vous pourriez me demander pourquoi avec une aussi belle femme au bar, les gens l’évitaient ? Il fallait un examen minutieux pour comprendre, mais après plusieurs minutes, vous pourriez repérer ces longues oreilles de lapin sur le haut de son crâne, assortit à ses cheveux et légèrement plus foncé aux pointes, la fourrure sur ses articulations ou encore la petite touffe brune au niveau de son coccyx évoquant la queue d’un lapin. Et si vous ouvriez vos yeux un peu plus grands, vous pourriez voir que le bar était rempli exclusivement de femme avec des caractéristiques animales, une femme ayant la partie inférieur du corps semblable à un serpent, une femme ayant des caractéristiques aviaire comme des ailes… Pour Konoha, c’était la foire aux monstres. Ces femmes était des parias de la société, après l’attaque du Kyuubi no Yoko, beaucoup de monde était mort, intoxiqué par les restes de son chakra, le Kyuubi leur laissant un cadeau empoisonné avant d’être emprisonné. Les gens mourrait de douloureuse déformation physique, plus d’un millier de mort en plus rien qu’un mois après l’attaque, et ce chiffre ne cessait de grimper encore aujourd’hui avec les restes de son chakra toxique restant dans les coins les plus reculés du village. Mais parmi tous ces morts, certains survivaient ayant des mutations, étrangement seules les femmes survivaient avec des changements physiques visibles, les habitants de Konoha les appelaient les femmes monstres et disaient qu’elles avaient fait un pacte avec le Kyuubi pour survivre à leurs empoisonnements. Résultat, ces survivantes étaient haï, mise à l’écart, formant leur propre communauté. Dans leurs isolements, elles avaient rassemblé tous les orphelins laissé dans la rue pour essayer de gagner le soutien de différents clans pour diminuer leurs ostracisassions… en vain.
Et c’est là qu’intervenait Naruko, cette communauté était incapable de se soutenir sans rentrée d’argent et Naruko avait vu très jeune une possibilité de commencer son armée maléfique qui lui serait fidèle. Volant un peu d’argent à ses parents. Ils étaient tellement riche qu’il ne remarquait rien, Naruko financé leur petite communauté qui lui avait juré fidélité. Le début de son armée s’était formée, leur apporter de la nourriture, leur offrir ce bar… tout pour entrer dans leur bonne grâce.
« Et un lait chaud pour ma petite Naruko-chan. Un. Et pour toi Louise-chan ? »
Naruko s’assit sur un tabouret tandis que Louise s’assit à côté d’elle en demandant un lait chaud elle aussi.
« Merci sous-fifre. » Naruko avala avec délice son lait chaud. Quoi ? Même si elle voulait devenir une méchante femme maléfique elle avait besoin de lait pour grandir et avoir des seins aussi gros que ces monstre oppai. Sérieusement, avant elle avait cru que sa mère était la seule avec d’aussi monstrueux seins, mais ici la plupart des femmes avait des seins presque aussi gigantesque qu’elle.
« Oh Naruko-chan agi toujours aussi grande et mignonne, je ne peux pas résister quand elle essaye de se montrer adulte et puissante. » Naruko blêmit lorsqu’elle sentit des écailles froide et glissante chatouiller ses pieds.
« Attend Miia !!! »
« Elle est si kawaiiii ! Je ne peux résister à ma petite Naruko-chan ! Et si chaude et agréable au toucher, je pourrais rester coller à elle toute la journée ! » Ignorant les protestations de la pauvre Naruko, Miia, une femme serpent s’enroula tout autour de Naruko et commença à la serrer et tira la tête de Naruko dans sa poitrine. Piégeant Naruko avec sa queue serpentine. Miia avait une queue serpentine rouge claire de plusieurs mètres de longs, sa queue commençait au niveau de son bassin lui faisant faire des économies sur l’achat de pantalon, sous-vêtement et chaussures. C’était une femme magnifique, ayant des cheveux rouge, d’un rouge qu’elle adorait, comme le sang et les yeux ambre clair, avec des pupilles de serpents fendues. Ses oreilles étaient grandes, pointu et faite d’écaille rouge. Lorsqu’elle souriait à pleine dent, Naruko pouvait apercevoir ses crocs et une longue langue comme un serpent. Elle a aussi de petites écailles sur chacune de ses mâchoire dépassant sur ses joues et porter un clip jaune en forme de 'D' de chaque côté de la tête. Ses seins étaient aussi gros que sa tête expliquant pourquoi personne dans le bar ne pouvait voir sa tête maintenant que Miia l’avait piégé dans son buste. Ses hanches aurait pu laisser bouche-bée toute la population masculine de Konoha de par leur perfection s’il portait attention à sa partie inférieur qui rebutait pas mal de monde.
Naruko pouvait sentir que de nouveau Miia n’avait pas mis de soutien-gorge en dessous de son minuscule débardeur brun, Miia avait toujours été excitable et beaucoup trop friande d’elle. Et elle était sûre que le rituel de l’enfouir entre ses gigantesque monticules était une façon de frotter sa supériorité mammaire… Comme toute les femmes de cet établissement d’ailleurs. Chaque buste de cet établissement était un affront à sa dignité ! Guilleret, rond, énorme et ne s’affaissant pas d’un millimètre malgré leur poids titanesque. Le problème, outre cet excès d’amour rivalisant avec sa mère était sa queue très constrictive, déjà Naruko sentait la queue ayant fait tout le tour de son corps, commençant à la serrer. Les écailles froide et glissante sur sa peau, l’écrasant dans leurs maudits amour. Ses bras piégés dans sa queue, ses côtes grinçant sous son resserrement, son souffle devenant de plus en plus court. D’un autre côté, elle prouvait que sa théorie sur la taille des seins contrôler par les dieux du bien était fausse… ou peut-être qu’elles étaient une exception.
Des bruits sourds provenaient de la poitrine de Miia tandis que Naruko essayait tant bien que mal d’agiter les bras pour essayer d’échapper à l’emprise puissante de son sous-fifre. Heureusement, et sous l’œil goguenard des femmes du bar, Naruko avait de longue années d’expérience de traiter avec Miia. Tâtonnant quelque peu, Naruko réussi à attraper le bout de la queue et commença immédiatement à la frotter vigoureusement les écailles lisse et froide. Les effets commencèrent rapidement à se faire sentir, l’étreinte étouffante se desserra tandis que la respiration de Miia s’accéléra étrangement.
« Non… pas là Naruko-chan… je t’ai déjà dit que j’étais sensible à cette endroit… aaaahhh… s’il te plait arrête. » Tu n’as qu’à me lâcher Miia, elle ne pouvait pas boire son lait chaud sans qu’elle vienne la serrer comme une poupée, et elles ne se rendaient pas compte de leurs forces. Leurs transformations avait non seulement changer leurs morphologies, mais elle s’accompagner de divers effets qui variait selon les caractéristiques animales, force, vitesse améliorer, capacités à produire du poison… Et c’était son armée pensa fièrement Naruko malgré un besoin d’air qui commençait à se faire pressant.
« Naruko-chan est si mignonne avec Miia, il forme un couple si magnifique. » Malgré la chair l’étouffant, Naruko entendit distinctement les ignobles railleries de ses sous-fifres. Même avec leurs forces, ils avaient besoin d’apprendre le respect que diable ! Elle était leurs supérieurs, la femme qui les conduira à la grandeur ! S’extirpant enfin d’une Miia encombrante, Naruko sauta du tabouret et se retourna vers les individus peuplant le bar en ignorant le visage rouge de Miia et le regard qu’elle lui lançait. Cette étrange regard que lui lançait Miia lui donnait envie de courir loin, très loin. Mettant une main sur ses hanches et pointant avec l’autre la populace en face d’elle d’une manière similaire à un personnage de type tsundere d’un anime de Type Moon avec laquelle elle partagé certains traits, Naruko déclara.
« Vous allez voir ! Un jour vous m’obéirez totalement vous et vos gros seins ! Un jour j’en aurais de plus gros que vous et vous arrêterez de frotter votre supériorité mammaire comme ceci ! Votre domination sans partage sera rompue, nos chaines brisées et vous ramperez à mes pieds demandant grâce ! »
« Un autre lait chaud Naruko ? »
« Ah oui, je veux bien merci. »
« N’est-ce pas contradictoire de défendre les poitrine plate et de vouloir de plus gros seins Naruko-chan ? » Naruko foudroya du regard Miia qui avait posée la question en souriant. Elle continuait de se moquer d’elle ! Bien que Naruko se méfia, malgré sa victoire, Miia tourné autour de son tabouret ressemblant à un serpent prêt à bondir sur sa proie la rendant plutôt paranoïaque.
« Je n’ai jamais dit être honnête ! J’ai beaucoup appris en regardant la politique de Konoha ! Faire une chose et penser le contraire est la clé de la réussite ! Si je peux avoir des seins gigantesque j’abandonnerais cette idéal sans aucune honte profitant de mon nouveau statut ! »
« Naruko ! Traitresse ! Moi qui croyais qu’on se battait pour un même idéal ! Qu’on défendrait jusqu’au bout nos petit poitrine face à la vilenie des mamelles adverses ! On s’était même fait un échange de coupe de saké pour sceller notre pacte ! Quelle vile félonie tu commets là ! » Souriant d’un air supérieur, Naruko rétorqua d’une voix sucré similaire aux politiciens véreux à sa chère et tendre Louise.
« Mais mon chère et tendre bras droit, un vilain doit savoir quand respecter ses engagement et quand ne pas les respecter. Si demain je me retrouve avec un bonnet de taille G… »
Pffff
Naruko foudroya du regard la salle se moquant d’elle à cette idée qui leurs semblaient saugrenue. « … je passerais sans aucune honte du côtes obscur de la force. » Et Louise, outrager continua à l’injurier sous les quolibets moqueurs de Naruko donnant un spectacle divertissant à la salle de deux tsundere faisant leurs spectacles hebdomadaire. Elles avaient une façon de détendre l’atmosphère de façon tout à fait accidentelle propre à elles.
« Naruko-sama, Louise-sama, bienvenue. » Naruko sourit en se tournant vers l’entrée pour accueillir le groupe qu’elle avait appelée son cercle intérieur, l’élite de sa future armée.
Nom : Kanu Unchoun (Ikki Tousen)
Age : 15 ans
Taille : 162 centimètres, B94-W60-H91
Apparence et personnalité : Une grande fille malgré son jeune à la peau foncé, à la taille mince mettant en valeur ses courbes ridicule pour son âge. Elle a de long cheveux violet foncé dissimulant son œil gauche se terminant à ses chevilles et étant lié par un petit anneau. Son visage d’ange cachant une des meilleurs guerrière de cette génération. Contrairement aux autres qui ne peuvent pas aller à l’académie, elle refuse d’y aller en arguant que les shinobi n’ont pas d’honneur. Ses yeux bleus peuvent transpercer ses adversaires par la seule force de son regard. Elle était vêtue d’un étrange uniforme, un t-shirt blanc avec des bords bleus et un foulard jaune, trop petit pour dissimuler son ventre musclé et une mini-jupe plissé bleu. Sa détermination n’a d’égale que sa fidélité à Naruko puisque grâce à son aide, les jeunes filles comme elle ne vivent plus dans les poubelles.
Rôle : Un de ses gardes du corps personnel et généraux.
Aptitude : un génie de la bataille, absorbant comme une éponge le taijutsu que lui apprend Naruko. A émis l’envie d’apprendre le maniement de la lance.
Nom : Shyriuu Chou-un (Ikki Tousen)
Age : 15 ans
Taille : 170 centimètres, B89-H59-W87
Apparence et personnalité : Elle a de long cheveux d’argent s’agrémentant bien avec sa peau blanche, descendant jusqu’au bas de son dos avec un frange couvrant son front. On ne connait pas la couleur de ses yeux puisqu’elle ne les a jamais ouverts lui donnant un air mi- taquine, mi- paresseuse, elle lui a avoué qu’elle faisait ça pour avoir cool et qu’elle les ouvrirait si elle se trouvait devant un adversaire fort. Elle est également vue portant un gilet brun, avec une chemise à col blanc en dessous, avec des bandes sur les extrémités et une jupe de couleur brun foncé, et des bandes rouges sur le fond. Elle porte aussi généralement des chaussettes hautes. Gardant son sang-froid et restant cool en toute circonstance, parfait pour gérer les situations de crise. C’est une miko en formation, elle s’occupe du seul temple dans tout Konoha, Naruko la rencontra lors d’une sortie avec sa mère. Chou semblait s’ennuyer elle aussi en balayant le temple, leur ennuie mutuelle les poussa à entamer une discussion qui fit naitre l’amitié entre eux.
Rôle : Son second garde du corps personnel et un de ses généraux.
Aptitude : Comme Kanu, un génie de la bataille avec une force et une vitesse peu commune, mais dit vouloir apprendre le kenjutsu.
Nom : Ryofu Housen (Ikki Tousen)
Age : 16 ans
Taille : 166 centimètres, B91-W58-H90 centimètres
Apparence et personnalité : Ryofu une peau foncé et a les cheveux verts qui sont toujours liée en queues de cochon, et portant ce qu’elle appelle sa tenue de combat se compose d'une jupe très courte magenta, blazer en cuir magenta, chaussettes hautes et des chaussures marron. Elle est très taquine et promiscuité envers sa maitresse, courageuse et vouant protéger son groupe d’amis après avoir vécue dans les bidonvilles toute sa vie. Aussi un monstre perverti au-delà de toute forme de rédemption.
Rôle : Le dernier garde du corps personnel de Naruko et son future grand général des armées. Avec Kanu et Choun, elle forme le trio le plus puissant de son armée, elle avait encore besoin de leurs trouver un surnom cool. Peut-être les trois sannin ? Les trois lui sont totalement dévoué étant orpheline ayant trouvé refuge dans ce bar.
Aptitude : La plus doué du trio au taijutsu, capable d’utiliser le chakra naturellement pour améliorer ses aptitudes physiques malgré le fait de ne pas avoir de formation.
Nom : Teni (Ikki Tousen)
Age : 9 ans
Taille : 135 centimètres, B60-W52-H63 centimètres
Apparence et personnalité : Teni est une jeune fille qui a de longs cheveux noirs ainsi que des yeux bruns. Elle porte une tenue de lolita gothique bleue avec quelques bandes blanches et un ruban dans ces cheveux. Très dévoué et fidèle à Naruko, la voyant comme sa mère, d’habitude calme, elle peut-être aussi très sadique dans la bataille, les quelques pauvres habitants du bidonville sur lesquelles elle s’entraine peuvent en témoigner. A noter que Naruko a demandée à ses parents de la prendre avec elle après l’avoir trouvé à côté du cadavre de ses parents, elle devait au départ être envoyé en prison pour les avoir tuée. Mais Naruko fit des demandes répété à son père (apparemment il a failli avoir une crise cardiaque quand il l’a vue en pleine nuit à côté de lui chuchotant à son oreille, « libère Teni, libère Teni… ») et réussi grâce à sa subtile et efficace négociation à en avoir la garde. L’acharnement paye après tout.
Rôle : Eclaireur, assassin. Sera le chef de la division des éclaireurs lorsqu’elle aura formé son armée giga-puissante.
Aptitude : Plus faible physiquement que le reste de son armée mais à prouver avoir une bonne vue et capable de traquer n’importe quelle être dans n’importe quelle environnement, aussi hostile soit-il, du pauvre sans-abri la fuyant dans les bidonvilles aux percepteur des impôts tentant d’arnaquer le bar. A demander si elle pouvait tester l’arc comme arme.
Nom : Shimei Ryomou (Ikki Tousen)
Age : 14 ans
Taille : 170 centimètres, B85-W58-H86
Apparence et personnalité : A les cheveux bleu coupé en bol, un œil vert tandis que l’autre est dissimulé par un cache-œil suite à un accident avec le chakra du Kyuubi. Portant traditionnellement une tenue de bonne française avec des gants bleus. Elle est généralement calme et dévoué, essayant tant bien que mal d’être la voix de la raison de Naruko qui n’est jamais à court d’idée excentrique, mais elle capable d’être extrêmement sadique avec ses adversaire, mais aussi très doux avec ses amis. Est une des orphelines que les filles monstres ont ramassées dans la rue après la mort d’un de ses amis.
Rôle : Un des lieutenants de Naruko, Naruko en a fait accessoirement sa femme de chambre puisque Ryomou semblait avoir ce fétiche particulier, elle vient tous les deux jours nettoyé sa chambre à sa grande satisfaction. Ce n’est pas le rôle d’un héraut du mal de nettoyer sa chambre enfin !
Aptitude : Experte en taijutsu, elle privilégie les prises de soumissions avec l’aide de ses fidèles menottes. Plusieurs fois elle a exprimé l’envie d’user des menottes sur Naruko à son incompréhension, bien que le sourire étrange quad elle dit cela entraine d’étrange frissons et une forte envie de s’éloigner de Ryomou de quelques kilomètres à chaque fois.
Nom : Ayane (Ninja Gaiden)
Age : 13 ans
Taille : 155 centimètres, B93 - W54 - H84
Apparence et personnalité : Son apparence est l'une des plus distinctifs de son armée, en raison de ses yeux rouges et les cheveux violets court, qui sont coupés à la nuque, avec une frange avant, et il est lié avec un bandana violet que Naruko lui avait offert il y a quelque année. Fortement dévoué à Naruko qui la sauvé de son clan, le Mugen Tenshi, considéré comme une nuisance étant née d’un viol, sa mère ayant été violé par un shinobi d’un clan rivale d’Iwa. Le clan voulant la bannir de Konoha, Naruko a vu son potentiel et décida de demander à son père de l’avoir comme cadeau de noël. Initialement réticente d’être traité comme un objet et ayant une énorme quantité de colère refoulé contre son clan, Naruko l’a traité comme une amie et lui fournit la formation pour qu’elle puisse prendre sa revanche contre son clan un jour l’entrainant à être totalement dévoué à Naruko. La plupart du temps froide, frigide et cynique, elle entretient une rivalité avec le trio et Teni pour savoir qui lui est la plus utile. Sa tenue se compose d’une robe pourpre, bustier sombre avec un papillon rose imprimé sur la jupe complète avec des manches et des bas correspondants, bottes à talons assortis, et un arc géant orange obi nouée autour de sa taille.
Rôle : Kunoichi (espion, éclaireur, assassin…), chef des ombres (englobe l’ensemble des assassin et espion) de sa future invincible armée.
Aptitude : Une maitre dans l’utilisation de chakra, la dissimulation, la traque des proies (elle enseigne à Teni), les renseignements, la torture, l’utilisation des outils shinobi. Malgré l’interdiction d’intégrer l’académie mis en place par son clan, Naruko ne s’est pas privée de lui donner accès à a bibliothèque de sa famille pour qu’elle s’abreuve de connaissance et s’améliore dans tous les domaines possible et inimaginable motivé par sa vengeance et sa fidélité à sa maitresse.
Nom : Mikasa Ackerman (Shingeki no Kyojin)
Age : 12 ans
Taille : 145 centimètres, B83 - W52 - H88
Apparence et personnalité : Mikasa à les cheveux noirs mi-long, lui tombant sur ses épaules, des yeux gris orageux sur un visage stoïque la plupart du temps. Fortement musclé en raison de ses heures de musculation, elle est plutôt froide et fortement protectrice de Naruko qui l’a amenée au bar après la mort de ses parents assassiné hors du village par des bandits. Sa mère étant sorti pour une mission passa à l’endroit où elle se trouvait, est arrivé trop tard pour sauver ses parents mais la sauva des bandits voulant la transformer en esclave. N’ayant aucune autre famille, Kushina la ramena à Konoha où elle se lia d’amitié avec Naruko qu’elle vit comme sa seule amie étant la seule ayant essayé d’interagir avec son attitude taciturne. Elle vêtue normalement d’une chemise brune et d’un short blanc avec une écharpe rouge foncé que lui a donnée Naruko lorsqu’elle l’a laissé dans le bar.
Rôle : Eclaireur, intervention rapide.
Aptitude : Très doué dans le taijutsu, extrêmement agile et rapide avec d’incroyable réflexe, diligente dans son entrainement, elle a exprimé le souhait de manier des épées.
Nom : Chutatsu Shibai (Ikki Tousen)
Age : 14 ans
Taille : 164 centimètres, B87-W58-H85 centimètres
Apparence et personnalité : Shiba a les cheveux rose clair à longueur d’épaule parsemé de plusieurs épis et les yeux gris clair. Vêtue d’un débardeur gris avec un pantalon brun, elle est plutôt manipulatrice et intelligente. Elle est coincée dans un fauteuil roulant depuis l’attaque du Kyuubi no Yoko. Ayant perdu l’usage de ses jambes, elle fut une proie facile pour tous les habitants du bidonville. Trouvé par Miia dans une ruelle, elle l’a ramenée au bar et lui a fourni le fauteuil roulant qu’elle utilise encore aujourd’hui pour se déplacer.
Rôle : Tacticien.
Aptitude : Grâce à son intelligence et son sens tactique, Shiba est capable même à son jeune âge d’organiser de grandes armée, préparer les champs de bataille, mettre en place des pièges, des embuscades… elle gère parfaitement tous les facteurs possibles et inimaginable sur le champ de bataille, même ceux que l’on pense dû au hasard comme la météo ou les catastrophes naturelles.
Nom : Fiona Ran Winchester (Triage X)
Age : 16 ans
Taille : 166 centimètres, B73-W58-H75
Apparence et personnalité : Fiona a des cheveux blond clair tombant au niveau de son cou avec des yeux bleu caché par des lunette, elle ressemblait beaucoup à Naruko avec sa peau blanche mais était réellement calme et cool. Elle avait réussi à trouver un vieux costume de secrétaire bleu avec une chemise blanche, combiné avec sa mini-jupe, cela lui donné un air digne grâce à son physique maigre et élancé. Elle était le stéréotype de la secrétaire sexy sur lesquelles sont frère fantasmé avec ses magazines…. Sans l’immense buste. Ce fut une orpheline que Delilah a trouvée dans les bidonvilles, mystérieuse, elle n’a jamais souhaitée parler de son passé mais a toujours été reconnaissant à Naruko de financer le bar les empêchant de retourner vivre dans la rue.
Rôle : Secrétaire (après avoir l’aperçu des montagnes de papier que son père, Naruko en été venue à la réalisation que ces choses-là pouvaient freiner son désir de conquête. Il n’y avait aucun moyen qu’elle passe sa vie après avoir conquis les nations élémentaire, après être devenue Hokage derrière un bureau à lutter contre des feuilles de papiers sans valeur. Elle aurait un empire à diriger, ce sera le boulot de Fiona.).
Aptitude : Fiona est une personne très organisé et ponctuelle avec un petit côté maniaque, elle trié même les sous-vêtements ! C’est dire !
Nom : Morgiana (Magi)
Age : 12 ans
Taille : 143 centimètres
Apparence et personnalité :
Rôle : combattant de première ligne
Aptitude :
Je n’ai jamais terminer les fiches de personnages…
Naruko hocha la tête avec fierté à la vue de ses fiches très précise de son cercle intérieur, plusieurs notes étaient gribouillées dessus. Certaines mensurations étaient raturé avec le papier déchiré, l’écriture étant très pressé comme si on avait appuyé la mine du crayon sur le papier jusqu’à ce qu’elle la casse au niveau des tailles appartenant aux membres de son groupe ayant des seins rivalisant avec sa sœur. Bizarre…
« Qu’est-ce que tu fais Naruko, encore en train de jalouser ceci en regardant nos fiche ? » Naruko sentit deux orbes de chair bien grasse et ferme s’appuyer contre ses frêles épaules tandis que leur propriétaire regardé par-dessus sa tête les fiches qu’elle avait méticuleusement faite. Naruko n’avait même pas besoin de se retourner pour savoir qui c’était, Ryofu était un de ses sous-fifre les plus pervers et incontrôlable. Elle sentit deux bras s’enrouler autour d’elle la pressant encore plus contre ces orbes qu’elle ressentait dans son dos.
« Absolument pas ! J’étudiais juste pour notre future sortie hors des murs du village ! C’est tout ! » Répondit Naruko en espérant que personne ne remarque sa gêne, soit par ce que Ryofu frottait ses mamelles contre son dos ou qu’elle était démasqué restait à voir. Heureusement pour Naruko elles furent interrompues.
« Naruko-sama, nous allons réellement à l’extérieur du village ? Ce ne serait pas dangereux pour vous ? » Naruko se tourna vers Kanu qui avait prononcé ses paroles. Elle ne comprenait pas pourquoi elle s’inquiétait, elle était impatiente de sortir. De voir l’extérieur de ce village étouffant, ses sous-fifres vivaient dans la rue, elles n’étaient pas impatiente de sortir aussi ? De voir la vie derrière ces murs ? Vivre des aventures hors du commun ? Où était passé leurs esprits combattifs ?
« Bien sûr que oui nous y allons. Nous allons commencer notre conquête du monde libre ! Et les abords de Konoha me semblent un début plus que prometteur ! »
« Ma dame, je pense que Kanu faisait plutôt référence aux possibles espions et assassin qui aimerait ramener votre tête aux ennemis de votre père. » Dit Ayane sereinement, essayant de cacher qu’elle aussi n’était pas pressée de sortir et de mettre en danger son maitre.
« Pfou, mon père n’est pas à courant. Je doute que les incompétents qui essayent depuis des années de l’assassiner sans succès sachent que je sorte par un tunnel top secret et sans ma garde anbu. Et puis vous êtes là donc je ne risque rien. » Ayane voulu préciser que le nombre de tunnel top secret frisait la centaine dont une bonne moitié certainement creuser par des ennemis de Konoha rendant la sécurité de Konoha semblable du gruyère et qu’elle ne voulait pas que sa maitresse meurt… mais le sourire que sa maitresse lui envoya en disant qu’elle avait confiance en eux la fit taire et rougirent comme une tomate trop mure avec les autres serviteurs de sa maitresse. Même Ryofu s’était caché dans les cheveux doré de Naruko pour cacher sa joie d’être loué par Naruko, enfonçant ses seins plus loin dans le dos de Naruko.
« Bon maintenant que ceci est dit, il tant de montrer au monde extérieur ma grandeur. A l’assaaaaauuuuuuuttttt ! Qu’est-ce que tu fais Ryofu ?! » Ryofu avait soulevé Naruko pour la mettre sur ses épaules, révélant au passage son gout douteux de sous-vêtement par rapport au reste de sa tenue.
« Hé bien c’est le moment de sortir de cette endroit ennuyant et on n’a pas l’envie d’écouter un discours retardant notre liberté, on part maintenant ! » Et sans plus de cérémonie, Ryofu courut dehors…
BAM
… assommant au passage Naruko lorsqu’elle passa la porte.
« Je vous remercie de votre hospitalité Dalilah-san et désolé pour le dérangement, bonne journée. » Dit Fiona en saluant la barman avant de suivre le reste du groupe avec Morgiana qui portait Shibai dans ses bras.
« Ne vous inquiétez pas pour ça. Lorsque vous reviendrez je vous aurez fait des cookies et du chocolat chaud, amusez-vous bien et ne faites rien de trop dangereux ! » Dalilah vit Fiona lui faire un sourire reconnaissant avant de quitter son bar.
« Ah les enfants aujourd’hui, si insouciant et aventureux. » Murmura Dalilah avant de retourner astiquer son bar et essayant d’éviter que Arachnera vole des bouteilles de Vodka supplémentaire avec ses fils.

Il fut plutôt facile de semer la garde anbu de Naruko, passant à travers les dédales des bidonvilles, se séparant en plusieurs groupe se croisant de temps à autres, usant de la foule, des égouts, des multiples cachettes, de leurs connaissance presque parfaite de Konoha.Elles leurs fallu juste une demi-heure pour se retrouver tous ensemble près du murs.
Elles se trouver toute devant un trou menant sous terre qui était caché dans une vieille cabane en bois, que ce soit une ancienne issue de secours oublié ou d’un tunnel de contrebande était un mystère, la seule chose qui comptait été à la fin de ce tunnel se trouvait la liberté.
Naruko s’adressa à ses sous-fifres en essayant d’ignorer son mal de tête ou la bosse de la taille d’un œuf d’autruche qui trônait sur son front.
« Mes braves sous-fifres, je serais bref. Aujourd’hui on va botter le cul des lapins, poney et toutes autres créatures cherchant à ralentir mon désir de conquête ! Alors, tous dans le trou sombre et puant ! »
« OUAIS ! » Aucune ne remit en question son désir de conquête, elles la suivraient coûte que coûte, c’était celle qui les avaient sauvée et aider. Et puis, le bien et la paix étaient démodés, en jouant avec Naruko elle trouvait que c’était bien plus amusant de jouer les méchants. Et puis devenir des héros sans méchants (c’était une espèce en voie de disparition) c’était appelé le dieu du chômage dans son antre, donc être un imbécile représentatif de ce village.
S’engouffrant dans le tunnel, Naruko fut rapidement suivi par le reste de ses sous-fifres pressé de sortir de Konoha pour connaitre l’extérieur. Elles allaient enfin sortir et connaitre la liberté qui leurs furent refusé tout ce temps.

Elles explorèrent l’immense forêt verdoyante entourant Konoha, chassant les lapins et autres petits animaux à l’aide de bâton trouvé à même le sol. S’épuisant à courir partout entre les arbres heureux d’être en dehors de ces murs étouffant, respirant un nouvel air empli de liberté et de méfait.
Poursuivant un innocent lapin albinos cherchant à défendre ses enfants qu’elles avaient honteusement tué et cuit pour assouvir leurs faims. Il disparut dans une grotte dissimulé entre deux énormes arbres et par un feuillage touffu.
« Mauvaise troupe halte ! » Dit Naruko, tandis que Morgiana écarta le feuillage révélant le trou ténébreux semblant sans fin. Plissant les yeux, Naruko eut une sensation étrange dans le ventre.
« J’ai l’impression que l’auteur essaye d’utiliser un odieux stéréotype sans saveur pour faire avancer l’histoire, restons prudent. »
« Qu’est-ce que tu dis Naruko-chan. » Murmura Shiba, toujours sur les épaules de Kanu.
« Des paroles de sagesse Shiba-chan. Des paroles de sagesse. »
« Maitresse, on le poursuit ? » Murmura Morgiana pour ne pas faire fuir la cible.
« Bien sûr ! » Siffla Naruko, encore énervé par cette boule de poil duveteuse qui avait osé la mordre alors qu’elle dévorait une cuisse de ces enfants.
« Je ne suis pas sûr que ce soit conseillé. » Dit Fiona, essoufflé par la journée, aussi heureuse qu’elle était de sortir de ce village d’arriéré, elle n’avait pas l’endurance du reste de ses amis.
« Ho allez, Fiona. Ne soit pas peureuse, on peut s’occuper des petites bêtes à l’intérieur de la grotte. » Parla Ryofu avec confiance.
« Et s’il y a un ours ? »
« J’ai toujours voulu savoir qu’elle goût ça avait. » Fiona leva les mains au ciel en voyant que tout monde sauf elle et Shiba pensait la même chose. Une fois que ses amis avaient une idée en tête, il n’y avait plus rien à faire pour les convaincre du contraire. Alors elle les suivit à contrecœur dans le tunnel ténébreux.
« Aie, c’est mon pied ! »
« Enlevez ses cheveux de mon visage ! »
« Ça avance ?! »
« Bougez-vous le cul devant ! »
« Je crois que Naruko-chan a couru dans un mur ! »
BOUM
« Et Ayane aussi ! »
« Impossible je suis là ! »
« Alors c’est qui ?! »
« Bonne question ! »
« Mais quelle sous-fifre stupide vous faites ! Comment moi la grande Naruko-sama pourrait foncer dans un mur ! » Tout le monde pouvait entendre les reniflements dans sa voix.
« Mais alors, sur qui je marche ? »
« C’est moi, et si tu ne retires pas ton pied de sur main, je vais te l’enfoncer dans ton putain de cul jusqu’à mon coude. »
« Hiiii, désolé Ryomou-chan ! »
« Hého, ça avance devant ! »
« Où est-ce qu’on est ? »
« La question est plutôt où est ce qu’on va ? »
« On ne peut pas faire demi-tour ? J’ai peur dans le noir… snif. »
« Allons Teni-chan, on ne peut pas faire demi-tour avant qu’on est trouvé ce lapin m’ayant mordu. »
« Qui c’est qui m’a tiré les cheveux ? »
« Hé ! Ils y en a qui mordent ! »
« Qui c’est qui a sa main dans ma culotte ? »
« D’après toi Naruko-chan~. Tu as une chatte très juteuse tu sais ça~. » La voix sensuelle appartenait indéniablement à la plus perverse de l’équipe
« J’allais demandait que tu retires ta main de mon cul mais je suis soulagé que ce ne soit pas toi Ryofu. »
« Alors j’ai mes doigts dans qui ? »
PAF
PAF
« Ryofu, la prochaine fois que tu fais ça. Tu auras bien pire qu’une petite baffe. »
« Gomen Mikasa-chan je ne le ferais plus. » Pleurnicha Ryofu. Une petite baffe, cette fille avait une force folle ! Elle avait senti sa mâchoire se fissurée !
« C’est qui que j’ai giflé que je le tabasse à la sortie ?! »
« Bon vous avancez ! »
« T’es méchante Naruko-chan, j’avais rien fait ! »
« Go… gomen Louise »
« Hihihi. »
« Que celui qui rit se dénonce ! »
« Je la tiens… attendez, cette taille, cette texture, cette agréable sensation au toucher. Shyriuu ?! »
« J… je… je suis innocent. »
« Shyriuu…. Je me suis trompé sur ton compte… prépare toi à la sortie. Merci Ryofu. »
« De rien Naruko-chan. » Ryofu sentit son sourire grandir en sentant une certaine jeune fille aux cheveux d’argent transpiré comme une folle dans la terreur. Elle avait été grasse avec Naruko dis donc. Qui aurait pensé que l’épéiste calme avait un tel culot ? Donnant un dernier resserrement à la chair molle et ronde, elle se retira dans le noir en attendant avec délice la sortie. Un bon spectacle ne se rate jamais.
« Alors vous allez avancer bordel de merde ! »
« TA GUEULE ! » Toue la compagnie de Naruko gueula en même temps avant de réaliser quelque chose.
« T’es qui toi ? »
« Heureux que vous me posiez la question. Je suis Dédale, le constructeur de ce labyrinthe et je cherche mon fils depuis une éternité est-ce que vous pourriez m’aidez à le trouver ? »
« Et pourquoi on t’aiderait. »
« Parce que vous êtes de gentille fille ? »
BAM
« Incroyable Naruko-chan de toucher cette abruti en pleine tête dans le noir ! »
« Crois en l’âme du caillou et il guidera ton poignet malfaisant vers le vers de terre responsable de tes maux. Bon on reprend le chemin aaaahhhhh ! »
« Naruko-chaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh ! »
« Putain de cliché à la noix ! » Hurla Naruko glissant le long d’un toboggan naturel pour rejoindre une destination inconnu.
Après ce qui sembla être une éternité, la troupe s’écrasa dans un chaos désordonné et totalement pervers dont l’auteur n’est pas absolument pas responsable.
Naruko sentit sa colère se développer, comment elle pouvait se retrouver dans une telle situation ! Sa tête s’était mystérieusement retrouver sous le débardeur d’une des filles. Prisonnière d’un enfer de chair molle et douce, coincé dans le soutien-gorge de la fille sensé retenir ses deux gigantesque orbes et non sa tête ! Elle se sentit rougir en sentant la fille gémir de manière sensuelle lorsqu’elle se débattit, ses cris étouffé par la chair tendre.
Elle gémit elle-même lorsqu’elle sentit quelqu’un s’être retrouvé entre ses jambes et soufflé sur sa petite culotte lui procurant des picotements étrangement agréables. Saisissant les deux premières choses passant sous ses mains pour s’extirper des mamelles de vache géante, elle hurla de colère faisant trembler les seins l’étouffant dans leurs généreuses chairs. Ses mains s’étaient posé totalement par hasard… sur deux gros orbes gras qu’elle n’arrivait pas à saisir complétement avec ses mains fines, deux choses piquant la paume de ses mains alors qu’elle pressa par réflexe la chair molle.
Ce n’est pas possible ! La déesse des vache frottait du sel et du piment sur sa plaie ou quoi ?! Poussant en se servant des mamelles comme levier, elle ne réussit pas à s’extirper du buste géant. Parce que la femme se leva, Naruko n’était pas petite, même plutôt grande par rapport à la moyenne, mais par rapport à ses sous-fifre qui étaient de gigantesque asperges ayant eu leur poussé de croissance elle était minuscule. Alors qu’elle se leva et que Naruko pendu au-dessus du sol comme une nouille molle ses pieds ne touchant plus terre, sa tête irrémédiablement coincé dans les affres de l’enfer des seins. Entendant parfaitement ses sous-fifres se moquant d’elle malgré l’insonorisation du buste où elle était prise au piège, elle devint folle de rage. Encore plus lorsqu’elle se sentit balancer comme une poupée.
Se débattant comme un beau diable, elle arriva à s’extirper de ce doux enfer dans un claquement sonore signifiant que l’agrafe du soutien-gorge venait de casser. Tombant sur ses pieds et s’éloignant, Naruto jeta un regard noir à ses sous-fifres pliait en deux de rire… tous sans exception ! Et leur rires reparti de plus belle lorsqu’elles la regardèrent.
Arrachant le soutien-gorge en dentelle blanche sur sa tête, elle écarquilla les yeux en voyant la taille du monstre. Sa tête pouvait entrer dans chacune des bonnets. Jetant un regard de jalousie haineux au propriétaire, une certaine Shyriuu la regardant avec les larmes au bord des yeux à force de rire.
« Tiens, tiens. Mais que voilà ? Des humains ? Cela fait si longtemps que cette tour fut vide que mes vieux os se réjouissent à l’idée d’une mauvaise compagnie. »
Se tournant vers la voix, le groupe écarquilla les yeux à la vue de son propriétaire. C’était une petite chose laide, incroyablement laide. Laide comme un pou. Petite, la chose ne mesuré pas plus de 75 centimètre et était grisâtre. Un visage tordu et inhumain portant un sourire exhibant ses dents jaunes et tranchante avec un bouc gris. Deux très longues oreilles abimées et pointues avec une branche dans son dos bossu portant une lanterne brillante à son bout, éclairante la pénombre de ce tunnel. Etait-elle-même encore dans le tunnel ? La chose avait trois griffes aux pieds avec le pouce rétracté vers l’arrière pour l’équilibre, ses mains composées de quatre doigts ave des ongles pointues au bout. Habillé de loque grise et marron, c’était une des statues les plus moches qu’elle lui était donnée de voir.
Naruko regarda autour d’elle, bien que sombre, elle pouvait distinguer les alentours en raison d’une lueur rougeâtre en provenance de fissure.
« C’est moche ici. » Naruto n’aurait pas dit mieux, l’endroit où elles se trouvaient devait être un ancien couloir dont il ne restait que des ruines. Les murs écroulés et d’immenses blocs étaléq le long du couloir qui était tout de même aussi immense que la porte de Konoha. Et elles étaient venues de l’un des multiples trous aux plafonds.
« Comment tu peux dire ça gamine ! Ce fut la demeure et la base d’innombrable Overlord ! Des gens dont tu ne comprendrais même pas la grandeur ! »
« Mon dieu ! Cette chose a parlé ! »
« Bien sûr que j’ai parlé, tu croyais que c’était les rochers ayant parlé avant débile d’humaine ! »
« J’aurais préféré. »
« Ça veut dire quoi ça ?! » Les autres humaine et minions brun observèrent l’échange avec une certaine incrédulité pour différente raison.
« Et comment êtes-vous arrivé ici d’abord ! »
« On s’est infiltré ! Et c’est quoi ton over-machin là ! » Il n’y avait aucun moyen qu’elle avoue qu’elles avaient glissées.
« Overlord ! Inculte ! Ce sont les hérauts du mal ! Semeur de destruction ! Maitre du saccage ! Expert en pillage et torture en tout genre ! Ce sont les représentants du mal sur terre ! Et s’il y en avait ici aujourd’hui il te pendrait par les pieds pour se servir d’une infecte gamine toi comme cible pour se divertir ! »
« Ça a l’air cool ! Je m’inscris où ? »
« Hein ? » Au lieu d’être terrifié, de tremblait dans ses bottes, de se pissait dessus avec des yeux remplit de larmes demandant grâce. L’odieuse gamine lui demandait où s’inscrire pour devenir Overlord, il avait trop fumé de champignon des profondeurs lui. Ce n’était pas bon pour sa santé. Essuyant ses yeux, il vit la même gamine le regardant en sautant joyeusement partout avec des yeux brillant d’espoir. Regardant plus près, il vit que les caractéristiques physiques de cette gamine étaient étrangement et une odeur douce de sang pourri, de fer rouillé et de cadavre en putréfaction lui remplit les narines le revigorant d’un coup ! Il n’avait pas senti l’odeur d’une magie aussi merveilleuse depuis Sylviana, la nécromancienne nécrophile. Une des plus terrifiante Overlady !
Plus il regardait la gamine, plus il sentait un immense potentiel maléfique en elle ! Cette rencontre est le fruit du destin, mais d’abord l’embauche !
« Je veux bien voir si tu as les qualifications requises pour être une Overlady parce que je me sens de bonne humeur ! Mais si tu échoue, toi et les autres humaines iront prendre un petit bain ! »
« Ah, moi je veux bien. Je suis plein de poussière… » Le groupe hocha la tête, le voyage ce n’était pas fait proprement.
Souriant la chose leur fit signe de les suivre. « Je me présente je suis Biscornu, le plus ancien des minions et leur maitre en l’absence d’un Overlord. C’est moi qui informe les nouveaux Overlord sur les spécificités de la tour. Ah si vous voulez allez prendre le bain en avance je vous en prie. » Dit la chose connu maintenant comme Biscornu en souriant d’un air sadique en montrant d’un simple geste de la main un immense pan du mur écroulé qui éclairait l’ensemble du couloir d’une sinistre lumière orangé.
Regardant dehors, les filles déglutirent. Elles étaient dans une caverne géante que la lumière n’atteignait pas. Une caverne suffisamment immense pour accueillir plusieurs fois le village de Konoha. Elles semblaient se trouver dans une structure au centre de la caverne, certainement une tour de ce qu’avait dit biscornu, et en bas se trouvait être un lac de lave en fusion, elles sentirent immédiatement un courant d’air brulant se frayé un chemin dans l’ouverture desséchant leurs peaux en même pas dix secondes leurs faisant fuir le mur écrouler.
« Je me passerait de bain… » Murmura Teni.
« Si vous échouez vous n’aurait pas le choix. » Ricana Biscornu. Les filles haussèrent les sourcils. Ce n’était pas de moche demi-portion qui allaient les obliger à faire le grand plongeon. Même désarmé de leurs bâtons pendants leur chutes, elles étaient plus que capable de s’en occuper. Un des minions bruns s’approchèrent d’elle pour faire passer le message, faisant les filles froncer le nez à l’odeur de viande pourrîtes émanant du minions encore plus moche que Biscornu, ses dents semblaient beaucoup plus tranchante que celle de Biscornu, son visage moins humains encore avec ces deux gros yeux jaunes et globuleux et son nez inexistant.
Agitant un bâton de bois pour leur faire peur, il fut particulièrement surpris lorsque s’approchant de Naruko, Morgiana se déplaça plus vite qu’il ne put réagir, lui envoyant un coup pied dans la tête qui l’envoya dans le mur, créant une fissure dans le dit mur à la stupéfaction de Biscornu.
« Dite-moi ? Vous ne serez pas des nations élémentaires par hasard ? »
« Et on vient d’où sinon bouffon ? » Ses sourcils se crispèrent au manque de respect de la gamine blonde qui allait réchauffer son lit si elle échouer à se faire embauche. Cela faisait des millénaire que lui et les minions survivant n’avait pas eu une femme. C’était la première fois qu’un Overlord venait de ces terres et souvent il terminait leurs vies, ces terres étant d’une dangerosité sans pareil avec la majorité des humains pouvant utiliser cette énergie chakra. Et puis cela cliqua, elle ne risquait pas de réchauffer son lit pensa-t-il en se souvenant comme l’humaine à poil rouge s’était déplacé et avait blessé le pauvre Alfred en l’envoyant dans le mur. Il n’y avait pas assez de minions pour tous les prendre si elles utilisaient tous le chakra. La tour où avait vécue des centaines d’Overlord, terrorisant depuis des éons les forces du bien, détruite à cause d’une bande de gamine humaine étant arrivait ici totalement par hasard. Biscornu frissonna de terreur à l’idée d’une telle fin indigne.
« J’aurais pensé que vous serez venu en provenance d’un des empire ou d’un petit pays humains, et non de l’autre côté du monde ! »
« Un empire ? »
« Ce sont des terres gouverné par les humains que vous ne pouvait pas connaitre. Les nations élémentaire étant un continent éloigné et à l’écart des autres civilisations. »
« Il y d’autre terre ? Je pensais que seules les nations élémentaires existé, il y eu des expéditions en mer mais aucune n’est revenu… » Murmura Shiba.
« Certainement dévoré par les Krakens, les dragons des mers ou autres joyeuseté habitants les mers. » Siffla joyeusement Biscornu d’un air funèbre du plus belle effet en se répercutant sur les murs du couloir en pensant à la fin horrible qu’on dû subir des milliers d’humains perdu en mer.
Elles arrivèrent enfin à la salle du trône. Une immense salle d’une centaine de mètre de long pour une cinquantaine de mètre de hauteur et une trentaine de mètre de large. Au fond se trouvait un immense trône en pierre surélevé dont des morceaux manquaient, gisant sur les escaliers autour de lui. Le long du couloir se trouvait plusieurs escaliers endommagés allant en haut ou en bas. Et eu bout se trouvait d’immense pilier autour d’une fosse étrangement rempli d’eau malgré la chaleur, le mur protégeant l’intérieur de la tour s’était complétement écroulé au bout du couloir, offrant une vue magnifique sur une immense cascade de lave plus impressionnante que les chutes du Niagara en face du trône et se trouvant à plusieurs kilomètres de la tour.
« Bon, voyons voir votre C.V. » Murmura Biscornu. Immédiatement la tour avec ce qu’il lui restait de magie fit apparaitre une feuille contenant les informations sur Naruko.
« Alors voyons voir… Naruko Uzumaki ?... me dit quelque chose… âge 13 ans… date de naissance… poids »
« Hé ! »
« … taille… » Tirant son nez hors de la feuille, Biscornu regarda la prétendante au poste d’Overlady de haut en bas.
« … plate comme une planche à repasser… »
« Tu veux que je tabasse salopard de déchet ? »
« … Hum… hum… Concerné par une prophétie de classe SSS, mes condoléances ce sont toujours des trucs tordu où vous mourrez à la fin... » Naruko sentit quelque chose de mauvais lorsque Biscornu parla d’une soi-disant prophétie et de son destin. « Héritière du clan Uzumaki…. Clan de la lumière………………….. Hein ?! »
« Un problème ? » Biscornu la regarda de nouveau avant de secouer la tête dans le déni.
« Non rien, juste un bug dans la matrice. Reprenons… Fils des héros de la paix ?.... Future impératrice des héros ?... » Impossible de continuer, son esprit n’acceptant pas que cette abomination foule le sol de sa bien-aimée tour. L’esprit de Biscornu se ferma, l’entrainant à heurter le sol dans un bruit sourd. Les minions l’entourant pour le piquer avec des bâtons pour vérifier s’il était encore en vie.
« Euh ? Ça va ? » Se relavant comme apporté de nouveau à la vie par un sort maléfique, Biscornu beugla s’étouffant presque.
« Non ça va pas ! Qu’est-ce que c’est que ce C.V ?! Je sais que l’académie a fermé depuis des éons mais pourquoi le seul candidat Overlord devait être un amoureux des chatons et de la lumière ? »
« Euh ?! Je passe ? » Naruko ne comprenait pas, le vieux truc rabougri s’était relevé d’un coup gueulant des trucs incompréhensible crachant de la bave et ses yeux fous allant partout sauf sur elle, cherchant un coupable imaginaire pour quelque chose.
« NON ! RECALE ! » Prenant un tampon apparut de nulle part, Biscornu tamponna férocement la pauvre feuille qui était maintenant marqué dans un rouge sang beaucoup trop réaliste ‘recalé’.
Naruko sentit ses lèvres se lever vers le haut dans un sourire colérique tandis qu’un feu prit place dans ses yeux bleu froid comme la glace. Tout le monde s’écarta en voyant une des colères légendaire de Naruko sur le point de se déclencher. Comment osait-il ?! Comment osait-il lui refuser ce qui lui appartenait de droit ?! Lui enlever son rêve de répandre le mal et conquérir ce monde ?! Elle allait lui montrée ce qu’elle valait !
Biscornu trop absorbé par sa colère manqua le fait que la gamine avait des reflets rouge dans ses yeux, ou que ses dents et ongles s’étaient agrandi. Son sourire révélant une série de dents pointues avec ses lèvres retroussé vers le haut montrant ses gencives, lui donnant l’air d’un prédateur très dangereux. Naruko ne souvint pas d’être entrée dans une colère aussi noir, sa vision était devenu rouge… littéralement.
Tuer, mutilé, torture, tué, tiré ses entrailles hors de son corps chétifs, massacre cette être inférieur arrogant, mutile-le…
Des voix sombre et sifflante comme des serpents résonnaient dans sa tête, l’ordonnant de tuer cette pathétique créature devant elle, ayant eu le culot de lui refuser ce qu’elle voulait. Les choses les plus sombres lui étaient murmuré au creux de son oreille. Une douce mélodie de carnage et de mort résonnait accompagné par des tambours résonnant dans sa tête. Ces voix venant des fosses infernal les plus sombre et profonde des dimensions ténébreuse, coulant dans son oreille pour y déverser leurs haines et leurs poisons. L’encourageant à céder à ses plus bas instincts et tout écraser autour d’elle. Les hurlements de haine jurant vengeance d’un milliard archidémon scellé dans les tréfonds du ciel ainsi que les susurre envoutant des dieux des ténèbres se joignirent aux cris primaux des monstres.
Ecrase-les, écorche-les, brule-les, mange-les, détruit-les, fait les souffrir de mille morts, brise-les, écartèle leurs membres jusqu’à ce que leurs corps chétif de mortels soit mis en morceaux, annihile-les, amuse toi à les découpez jusqu’à ce que leurs vies quitte leurs yeux, repait-toi de leurs chairs…
Naruko sentit cette douce musique faite de haine et de violence l’encourageait. Lui donnant le pouvoir, un pouvoir euphorisant, addictif, puissant au-delà des rêves les plus fous. Tout ce qu’elle devait faire c’était écouter les voix et leur obéir pour avoir le pouvoir suprême. Elle serait capable de raser facilement Konoha, de se débarrasser de sa famille. Sa vision rouge lui offrit une vision orgasmique d’elle sur un tas de cadavre, une pluie de sang s’abattant sur elle avec un ciel rouge et des éclairs titanesques s’abattant sur le champ de cadavre l’entourant, une puissance qu’elle contrôlait à sa guise. Le bras de son père dans sa main tandis qu’elle était assis sur la tête décapité de Natsumi.
TUER, MUTILER, TORTURER, TUER, MUTILER, TORTURER, TUER, MUTILER, TORTURER, TUER, MUTILER, TORTURER…
Tout ce qu’elle avait à faire pour faire devenir ce rêve réalité était d’accepter l’offre des voix dans sa tête. C’était si tentant, elle le ferait avec grand plaisir. Se préparer à sauter dans cet abime de chair rouge leur offrant leur pouvoir en échange de son corps, laissant tout derrière elle. Elle repéra ensuite quelque chose qui la mit dans une rage encore plus meurtrière que celle dont elle s’abreuvait actuellement comme une assoiffée. Sa colère fut-elle qu’elle surprit les voix, sa rage atteignant des sommets improbable lui permettant d’aller plus profondément dans sa folie meurtrière, prenant le contrôle de ce qui se passait. Buvant les rivières de sang des corps torturé des démons prisonnier des enfers, gloutonnant des membres entiers des archidémon aussi haut que des montagnes cloué aux murs des lieux saints du paradis. S’abreuvant sans soif des âmes des innocents et des héros. Les dieux des ténèbres reculèrent face à l’assaut de la jeune fille contenant une rage infini. Tout n’était que sang et carnage dont elle se repaissait, ne laissant que destruction et mort derrière elle. Alors pourquoi…
TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER, TUER…
ASSEZ !
… voir ses sous-fifres dans cette pile de cadavre qu’elle avait fait la mettait autant en colère ?
Biscornu trembla de terreur, sa vessie vidé depuis longtemps, les minions étant parti se réfugiés derrière les blocs de pierre dès le début dans une tentative de fuir l’horreur devant eux. Depuis sa naissance, il n’avait jamais vu ni ressentit cela à un telle niveau. Les Overlord étaient dangereux et puissant. Mais cette gamine était à un tout autre niveau !
Tout son être tremblé pour la toute première fois de sa vie, son esprit lui disant de se barrer de là fissa, mais son corps paralysé par la terreur, l’empêchant de ne lever ne serait-ce qu’un doigt. Non content d’avoir une puissance en elle aussi immense, cette fille avait une magie terrifiante ! La garce était ultrasensible à la magie ! Une émotion forte avait dû lui permettre de ressentir la puissance et la méchanceté de la tour ! Et au lieu d’être brisé par l’origine de la magie noire et l’empreinte des âmes damnées prisonnier dans cette tour, cette garce s’était éveillée !
Seul son sourire avec ses dents brillantes et tranchante comme des rasoirs, une brume noire conduisant au tréfonds de l’univers, là où même la lumière des étoiles étaient aspiré ne laissant qu’un vide sans fond, la recouvrant intégralement, coulant comme la brume d’hiver à partir de sa tête jusqu’à ses pieds. Le sol absolument recouvert de cette brume glaçante qui le faisait frissonner jusqu’à ses os. Son souffle commença à se voir, se cristallisant dans l’air. Et la température commença à baisser rapidement lui faisant claquer des dents. Ils étaient dans une grotte remplie de magma bordel ! Comment cette gamine pouvait… Biscornue sentit ses yeux s’écarquillaient en voyant une fine couche de givre se former sur la pierre. La brume montant et descendant les escaliers, recouvrant la totalité du sol de l’immense tour. La tour fuyant de cette brume noir de par toutes ses fissures, la brume se déversant sur la lave plus bas, la refroidissant immédiatement, créant un îlot de pierre ne faisant que grandir au fur et à mesure que toujours plus de cette brumes ténébreuse se déversé.
Biscornu failli avoir une crise cardiaque lorsque un squelette fait de brume essaya de s’accrocher à lui poussant un râle qui résonna dans la tour tout entière le faisant sursauter de terreur. Une véritable armée de ses fantômes nageait dans la brume. Les minions ayant sautés sur les pierres ne voulant pas se faire attraper par eux.
Cette fille était alignée avec la nécromancie ! Comme Sylviana ! Détournant le regard du sourire quasi psychotique et animal de la fille qui divisait probablement son visage en deux. Biscornu tournant la tête vers les humaines en essayant de trouver du réconfort à la vue de leurs visages terrifi… Quoi ? Elles avaient toute posées un genou à terre, le poing sur le sol tandis que l’autre main venue se reposer sur l’autre genou. La tête baissée en signe de soumission vers la masse noire se tordant au centre de l’immense hall. Absolument immobile malgré la température glaciale ou les âmes damnées cherchant à se repaitre des âmes des vivants voyageant dans la brume.
Ce qui se passa ensuite le laissant béant. La tour utilisa ses dernières réserves de magie pour réveiller le potentiel et la magie de la fille ! L’air déjà lourd sembla encore plus lourd, comme s’ils étaient tout au fond de l’océan. La pression devenant insupportable, même pour les courageuse humaines qui commencèrent à ployaient. Des fissures vinrent se rajouter à celle déjà existante, l’air était visible à l’œil nu, la pression étant immense que les molécules d’air était littéralement collé les uns contre les autres. Empêchant tout le monde de respirer. Il voulait se barrer d’ici ! Même la tour venait en aide à cett…
Les mots de Biscornu lui manquèrent. Cette fille avait un deuxième alignement ! Ce n’était jamais arrivé ! Le problème ? C’était que ces deux alignements étaient opposés. Les deux extrêmement dangereux pour la santé mentale des utilisateurs et leurs entourages. Biscornu eut une clarté d’esprit étrange parmi le maelstrom de magie qui étouffait la vie de la tour. Cette fille était complétement folle. C’était la seul explication pourquoi elle était aussi un berserk.
Et il sut qu’ils allaient tous mourir, les Overlord berserk était particulièrement cruelle, autant que les nécromanciens. Et complétement, irrémédiablement, totalement fou. Le mélange de deux alignements était unique, une merveille, de ces deux alignements en particulier ? Une connerie.
Les innombrables fissures suintèrent de sang. Lentement, puis de plus en plus vite, glissant comme des serpents cherchant leurs proies le long des murs. De partout la tour suintait du sang, chaque fissure, chaque trou, aussi minuscule soit-il, suintait du précieux liquide rouge carmin se dirigeant tout vers une seul direction. La source de la brume noire.
Biscornu failli pour la pleurer fois de sa vie tellement l’atmosphère était irrespirable, empli de souffre, de rouille et chargé d’une malice et rage sans fin qu’aucun dieux ne pouvait égaler. La sensation du sang se faufilant entre ses pieds pour arriver à sa maitresse. Il pouvait littéralement gouter le sang dans l’air, entendre les femmes mendiaient leurs violeurs, les soldats rirent de leurs massacre, les innocents suppliaient les juges de leurs innocence alors qu’ils se balançaient au bout d’une corde… le rire des dieux des ténèbres à la naissance de ce monstre.
Et puis… tout s’arrêta. Le calme plat contrastant avec la colère divine qui avait semblée s’abattre sur la tour. Biscornue eu juste le temps de prendre une grande respiration avant qu’un tourbillon de vent se déclare, la brume ayant sorti du corps de Naruko se rua vers son point d’origine écrasant tout sur son passage, le sang accélérant vers la salle du trône à une telle vitesse qu’il laissa des sillons dans la pierre.
Tout le monde put observer la tornade de magie brute composée de sang et de brume noire se contorsionner comme un être vivant, hurlant d’un cri assourdissant si aigue que les oreilles des êtres vivants se mirent à saigner, leurs esprits mit à rude épreuve. Se focalisant en un seul point jusqu’â ce qu’un silence tout aussi assourdissant s’installe.
Les maigres restes de brume noire disparut enfin, révélant se qui était caché en dessous. Naruko avait été transformé, elle avait grandi jusqu’à atteindre la taille de Shyriuu, un corps fin et svelte d’une perfection absolue. Ses cheveux bouclé s’était allongé jusqu’à son cul. Et à son grand mécontentement sa poitrine était minuscule comparé aux vaches l’entourant, arrivant presque au bonnet C malgré sa croissance. Ses yeux brillaient de pouvoir à peine contenue, une véritable tempête faisant rage à l’intérieur de ces glaciers, ses pupilles étaient devenues fendues et brillaient d’un rouge sinistre. Sa peau pâle comme les glaciers et brillant d’une lueur surnaturelle semblait fait du marbre blanc le plus parfait qui soit, reflétant tous les spectres de couleur. Mais ce qui manqua de faire fuir Biscornu était le gant encombrant en acier noir recouvrant son avant-bras droit avec une immense perle rouge encastré sur le dos de la main du gant. Ainsi qu’une étrange couronne fait d’os avec un diamant rouge en son centre trônant sur sa tête.
Haussant les sourcils, comme si rien ne s’était passé. Naruko murmura.
« Comment… inesthétique. » D’un simple geste de la main, elle fit surgir la brume noire faisant se tendre tous les minions prêt à détaler comme des lapins. La brume couvrit toute la partie inférieure de son corps. Une fois que la brume disparu, Ryofu osa jetait un coup d’œil furtif tout en restant dans sa position de soumission absolu… et se mit à baver sur le sol au corps divin de sa déesse.
Naruko avait imaginé une toute nouvelle tenue d’une pudeur totalement inexistante et d’une obscénité à faire pâlir de jalousie les succubes. Son gant d’Overlord disparu, à la place deux gant d’opéra en soie noir remontaient jusqu’à ses épaules avec des figure complexe de rouge les traversant, la perle faisant maintenant partie du tissus. Des bottes à talon-aiguille faites de cuirs noirs remontant jusqu’à ses cuisses traverser tout le long par des lacets faits de deux fines chaines rouges. Et pour couvrir son corps, elle ne disposait que de quatre bandes en cuir noir, une passa sur son épaule gauche, couvrant son mamelons droits avant d’aller disparaitre dans le dos de Naruko juste au-dessous de sa poitrine, croisant une autre bande faisant le contraire créant un X sur la poitrine de Naruko et ne couvrant que ses mamelons. Les deux étant reliées à un anneau d’or se situant sous sa nuque. Les deux autres se trouvaient plus bas, faisant également un X, couvrant son nombril en laissant son estomac tonique et plat à l’air libre. L’anneau d’or où se rejoignaient les deux bandes se situant juste au-dessus de son coccyx. Une dernière bande de cuir noir était juste enrouler autour de son cou. Son pubis n’était couvert que par un minuscule morceau de tissus noir tenu par trois lanières, le tissu montrant son mont de Vénus glabre et dissimulant à peine sa fente. Permettant aussi à voir lanière noire disparaitre entre les joues de son cul tonique et serré. Et pour finir la couronne avait disparu, juste deux senbon en os tenait ses cheveux arrangé dans un simple chignon juste au-dessus de la nuque avec quelque mèche tombant sur son visage et sa nuque. Le diamant rouge venait se greffer sur son font comme un troisième œil. Sa nouvelle apparence lui donna l’apparence d’une reine maléfique sans aucune vergogne, un air de majesté tranquille autour d’elle ordonnant à la plèbe autour d’elle, d’obéir. Un masque de beauté et de noblesse peinant à cacher une bête assoiffé de sang et empli de rage.
Tellement éhonté, si sexy, si beau, si appétissant, si puissante et sans vergogne… Ce n’était pas seulement les pensées de Ryofu, toutes les filles au-dessus de quinze ans avaient des pensées similaires en jetant un furtif coup d’œil à leur maitresse. Même les plus jeunes sentaient quelque chose de bizarre dans leur aine.
« Biscornu ? » Murmura Naruko de sa voix doucereuse qui s’entendit parfaitement bien dans l’immense salle. Ses sous-fifres frissonnèrent de plaisir en ayant l’impression que Naruko venait de leur murmurer à l’oreille.
« O… O… ou…oui…. Oui… mai… mai…maitresssssseee. » Grelota Biscornu absolument terrifié.
D’un simple saut, Naruko parcourt les cinq mètres qui la séparer de la dégoutante chose et l’écrasa au sol avec son talon sur sa gorge avant de siffler d’un air mauvais.
« La prochaine fois que tu me refuse quelque chose je t’utiliserais comme cible avant de te laisser un prendre un petit bain de lave ! Je me suis bien fait comprendre ?! » Elle n’entendit pas les mots étouffé de Biscornu, difficile de parler quand votre trachée est écrasé par un talon-aiguille.
Enlevant son talon permettant à Biscornu de respirer, elle se tourna vers ses adorables sous-fifres toujours dans la même position de soumission absolue lui tirant un discret de sourire qui illumina son visage. Elle remarqua avec amusement que tout sans exception était agenouillé dans une flaque assez importante de liquide, leurs jambes absolument trempé, et vu l’odeur, ce n’était pas de l’urine.
Elle s’approcha de Shyriuu, se plaçant devant elle, elle dit d’une voix empli de pouvoir transportant et de force, faisant trembler les murs de la salle du trône. « Relève-toi. »
Son sous-fifre le fit sur le champ, obéissant docilement à ses ordres. Mais la tête toujours baissé, évitant son regard.
« Regarde-moi dans les yeux. » La voix n’avait pas besoin d’être levé, chaque mot apparaissant comme un ordre absolu faisant trembler les fondations de ce monde. La maturation de sa voix en faisant une voix douce mais d’une puissance incommensurable.
« Je ne mérite pas de croiser votre regard, ho ma déesse. » Naruko sourit en entendant l’admiration, la dévotion absolue et un véritable fanatisme vibrant dans la voix de Shyriuu. Quelque chose qu’elle avait manqué avant de transcender l’humanité, la croissance de son corps s’accompagnant par un gain de maturité fort appréciable en ce moment. Elle prit conscience que ses sous-fifres semblaient avoir adorés le sol où elle marchait. Leurs affections et dévotions s’exprimant par ses pulsions inconscientes d’avoir des amis la taquinant, jouant avec elle. Elles lui avaient été toute fidèles et loyale, quelle déesse serait-elle si elle ne récompensait pas ses serviteurs comme ça ? Maléfique ? Oui, mais elle ferait une exception pour ces humaines.
« Je t’ai ordonné de lever la tête. Vas-tu désobéir aux ordres de ta déesse ? »
« Non ! Ce n’ai pas ce que j’ai voulu dire ho ma déesse ! Jamais je ne vous désobéira… » Shyriuu se tut, la tête relevé le doigt fin et gracieux de sa déesse posé sur ses lèvres pour lui faire signe de se taire. Shyriuu fut hypnotisée par les magnifiques yeux bleu luminescent de sa déesse. Avant, ils étaient froid comme la glace, cachant une force et un charisme immense qui les avaient toute attiré vers elle. Des pauvres gamines au passé tragique cherchant à donner un sens à leurs vies. Un sens qu’elles avaient trouvées en croisant cette jeune fille forte au potentiel illimité. Maintenant, ces yeux étaient toujours aussi froid comme la glace, mais acéré comme la lame d’un katana. Avant sa puissance et rage constante au fond de ses yeux bleu était un obstacle à la croissance de sa déesse, maintenant c’était totalement diffèrent. Elle était dépourvue de pitié et de pardon, s’élevant au-dessus des simples mortels à ses yeux.
Maintenant, lorsqu’elle plongea au fond des pupilles fendu et rouge comme le magma entourant la tour, elle vit le feu, le sang, la douleur, la mort, sa maitresse sur une pile de cadavre d’où dégoulinait des cascades de sang avec un monde en cendre et vide de toute vie. Sa rage maitrisé mais n’attendant qu’à sortir pour tout ravager sur son passage au moindre mot de Naruko. Sa déesse sera la femme qui fera bruler ce monde pourri pour le reconstruire à son image en devenant son maitre. Et elle donnerait sa vie pour voir les désirs de sa maitresse se réalisé.
Naruto sourit en voyant pour la première fois les yeux argenté de Shyriuu, lui faisant penser à la lune. Calme dans le ciel mais inarrêtable. Enfin pour les autres, pour elle c’était un jeu d’enfant. Ces magnifiques yeux remplis d’une loyauté fanatique, d’admiration et… d’amour ? Naruko sentit ses lèvres légèrement s’élever.
« Je crois que je devais te punir non ? » Lorsque ses ongles noirs de sa main droite devinrent aussi longs que des couteaux et qu’elle l’apporta à la gorge pâle, caressant légèrement la carotide de Shyriuu. Elle fut déçu que malgré ça, Shyriuu ne broncha, comme heureuse de mourir pour elle. Cela l’énerva un petit peu.
« Tu n’as pas peur de mourir ? »
« Tant que c’est pour vous ho ma déesse, je mourrais avec un sourire sur le visage. » La prochaine action de Naruko laissa sans voix Shyriuu. Elle attrapa ses cheveux argentés derrière son crâne et la tira vers elle. Posant ses lèvres sur les sienne et bombardant sa bouche avec sa langue. Ce qui suivit fut un coup de tonnerre dans son être, alors que sa déesse échanger leurs salives, expérimentant leurs premiers baisers. Une Shyriuu catatonique face à son rêve le plus fou se réalisant, eut un orgasme fracassant, la sensation de la brume noire se déversant dans sa gorge pendant le baiser était électrique. Une marée de puissance inconnue surchargea chacune de ses cellules, elle avait l’impression de déborder d’un pouvoir torrentielle. Elle pouvait maintenant prendre le monde entier et gagné pour l’offrir à sa déesse. Ses orteil se et sa peau picota en raison de la magie remplissant son corps. Son corps se branla comme un fou dans les bras mince mais forts de sa déesse, l’orgasme pulvérisant toutes pensées cohérentes qui aurait pu éventuellement passé dans son esprit. Et dans sa culotte se fut un véritable ouragan qui se déclencha, sa chatte se crispant et expulsant un montant irréelle de jus qui trempa non seulement sa culotte mais aussi sa jupe. Elle sentit à peine un tatouage se formait sur son bras droit, des lignes noires et rouges s’entrecroisant tout le long de son bras, dansant entre elles pour former un dragon squelette aux yeux rouge dont le bout de la queue arriver jusqu’à sa clavicule et crachant du feu jusqu’à son poignet.
Une fois le baiser fini, Naruko murmura assez fort pour que tout le monde entende.
« Tu as un gout délicieux Shyriuu-chan. Maintenant tu ne te tiendras pas derrière moi, mais à côté de moi comme un serviteur de confiance ma belle fleur. » Et Naruko embrassa de nouveau la pauvre Shyriuu qui était complétement perdu mais s’abandonna au plaisir des lèvres de sa dé… non, de Naruko-sama.
Les bruits de baiser durèrent plusieurs minutes faisant grincer des dents et rager les autres filles se trouvant à genoux et tête baissé. Naruko sourit dans le baiser quand Shyriuu y répondit avec enthousiasme, sa langue se débattant mollement sous la sienne. Apportant sa jambe ente les siennes, elle frotta sa botte en cuir contre la culotte trempé de jus déclenchant un nouvelle orgasme chez la pauvre Shyriuu à peine remis du premier.
Tirant une Shyriuu souriante bêtement et sans voix vers le trône détruit, elles grimpèrent les marches avant que Naruko s’y asseye et pose sa jambe droite sur sa jambe gauche, chacun de ses bras se posant sur les accoudoirs en pierre. Souriante lorsqu’elle entendit des soupirs de déception venant de ses sous-fifres agenouillé, preuve qu’ils avaient discrètement observé.
« Relevez-vous. » Dit Naruko, immédiatement, ils obéirent à ses mots comme si c’était ceux du Créateur lui-même.
« Comme vous le voyez, Shyriuu est maintenant mon serviteur le plus fort et le plus proche. » Shyriuu qui était juste debout à côté se sentit sourire en sentant la jalousie de ses amies. Se concentrant sur sa nouvelle source d’énergie, elle réussit à se fabriquer des vêtements comme Naruko. Un tourbillon d’eau cacha sa forme durant quelque secondes avant de la révéler dans toute sa gloire.
Un simple filet de maille couvrait son buste et maintenait ses mamelles, laissant ses immenses mamelles qui avait encore grandit en vue et ses mamelons rose pâle à l’air libre. Des brassards faits d’un étrange métal brillant comme la mer couvrant ses tibias et son avant-bras gauche, laissant le droit à découvert et exposant son tatouage serment de fidélité à Naruko-sama. Les brassards étaient couverts de motifs complexes représentant une mer déchaînée rempli de monstre. Des bottes faite du même métal similaire à Naruko avec des talons aiguille mais ne remontant que jusqu’aux brassards. La dernière partie de son nouvel uniforme était un simple triangle de métal relié à trois chainettes, fait de la même matière que ses brassards couvrant à peine son pubis et exposant sa touffe blanche soigneusement taillé. Elle fronça les sourcils en comprenant que ces vêtements n’était que de fragile construction faite de magie n’offrant aucune protection Mais le facteur sexy était un plus non-négligeable pensa-t-elle discrètement en sentant les yeux de Naruko parcourir son corps à peine couvert par quelque artifices, appréciant son cul potelé et charnu qui lui était révélé.
« Si vous voulez vous tenir à côté de moi. Vous devrez arrivez à ce trône et m’offrir le baiser le plus passionné et obscène possible. » Elle vit les yeux de tous s’élargir avant de prendre un pas vers elle. La récompense et le statut les attirant comme des sucreries. Naruko sourit… puis relâcha la totalité de son pouvoir. C’était juste comme pendant sa transformation, un véritable océan s’écrasa sur elles, les mettant à genoux dans la surprise et les faisant glapir de douleur. Mais aucune ne recula, si Naruko voulait s’amuser en les regardant galérer jusqu’à elle, elle le ferait avec joie. Surtout en pensant à la récompense au bout du chemin.
Naruko vit les sous-fifres faire un effort surhumain pour se lever et avancer vers elle avec un feu brulant eu fond de leurs yeux.
« Je vous offre tout ma maitresse bien-aimée. » Morgiana arrivant après à peine une minute, devançant toutes les autres filles lui fit un baiser timide. Naruko regarda ébahi les cratères dans le sol marquant chaque pas de son animal de compagnie.
« Kami-sama, je vous offre mon bras pour qu’il puisse anéantir vos ennemis au moindre de vos désir. » Dit Kanu avant que Naruko attrape ses cheveux doux cheveux noir pour lui donner un baiser passionner qui fit rougir Kanu jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse.
«
« Je vous ai toujours été fidèle, et je le serais jusqu’à la mort, goshujin-sama. »
Et je n’ai jamais terminé la scène où elle prêtait serment à Naruko

« Bien, maintenant que tout cela est fait. Je pense qu’il est temps que le monde réapprenne ce qu’est le mal. Biscornu ! »
« O…oui ? » Biscornu était prêt à défaillir, il n’osait pas dire quelque chose à la nouvelle Overlady de peur de déclencher sa colère. Jamais un Overlord n’avait partagé ses pouvoirs ! Jamais ! C’était une hérésie ! Une diffamation ! Mais ce qui le surprit le plus était le fanatisme des filles la suivant. Aucune n’avait bronchée, elles étaient resté agenouillé et avait obéi aux ordres de l’Overlady comme si c’était les ordres du Créateur. Comment la jeune Overlady avait trouvée des serviteurs aussi obéissants et bien dressés ?
« Tu as dit qu’il y avait d’autres continents ? »
« O…oui Overlady. La tour peut techniquement vous téléporter mais j’ai peur qu’elle n’est plus de magie pour vous y emmener. De vieux cercles de téléportation sont laissé sur les continents, mais au fil des millénaires ils ont perdu leurs magie et sont devenu inactif donc même si la tour avait encore de la magie, je doute que l’on puisse vous y téléporter. Overlady. »
Fermant les yeux, Naruko se concentra sur la tour. Effectivement elle ne contenait plus de magie. Mais le cercle de téléportation devant elle n’était pas endommagé, un miracle avec la destruction qui avait eu lieu. Mais il était vidé, et malheureusement elle aussi avec ce petit spectacle de pouvoir.
Mais heureusement elle avait d’excellent serviteur. Les blocs de pierres gros comme des hommes adultes volèrent sur les côtés avec les cailloux sous les efforts de Fiona qui visiblement avait des difficultés d’utiliser ses nouveaux pouvoirs. Mais c’était magnifique pour un premier essai ! Comme attendu de sa secrétaire !
Une fois le cercle de téléportation devant le trône débarrassé de toute la caillasse. Naruko fronça les sourcils en voyant la complexité du cercle principal, d’un rayon de vingt mètres, il était fait de plusieurs cercles dans lesquelles étaient marqué des phrases dans une langue étrange et incompréhensible faite de point et de courbe.
Ensuite Shyriuu s’avança, et d’un geste de la main ralluma le cercle qui prit une teinte bleuté créant un étrange contraste avec la lumière orangé du magma en fusion qui pénétrait la tour. Ce simple geste révéla ses immenses réserves de magies qui étaient probablement les plus grandes après elle.
« Tu as tort Biscornu. »
« Hein ? »
« Il reste un cercle actif. Moi et mes serviteurs nous nous y dirigeons pour observer le lieu qui marquera la renaissance du mal… AHAHAHAHAHAHAH. »
« Ma dame, votre rire maléfique est mal placé. »
« Vraiment ? »
« Oui ma dame, Il serait préférable de le faire avant les combats après un monologue de méchant long et ennuyeux ou quand votre ennemi s’étouffe dans son sang. »
« Zut. Ayane, prévient moi quand il est temps de lancer des rires maléfiques. Je n’ai pas passé des années à m’entrainer devant mon miroir pour paraitre ridicule. » Au moins elle était consciencieuse et avait une véritable envie de répandre le mal. Ça aurait été du gâchis de perdre ce maléfique potentiel aux forces du bien.
« Avec plaisir ma dame. »
« Fiona tu reste ici avec Shiba pour faire l’inventaire de la tour. Les autres suivaient moi. On va prospecter mon futur royaume. »
« Maitresse, maitresse ! Vous oubliez vos armes ! »
« Ah, je me disais bien que j’oubliais quelque chose. Merci mon brave. »
« AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH ! »
« Qu’est-ce qu’il y a ? »
« Ma Overlady, un maitre du mal ne dit pas merci ! Il prend de force, pille, saccage, massacre. Mais en aucun cas il ne dit merci. Les jeunes de nos jours, plus aucun respect pour la bible maléfique ou le Necronomicon. Je vous jure par Hechytckapolusyzerutakoylosritum. »
« Vos souhaits. »
« Essayer de contrôler vos serviteur ma dame. Ces formules de politesse sont des incantations sacrées du ciel. Les archanges ou les dieux pourraient prendre conscience de notre emplacement maintenant que la tour est à sec. »
….
« C’est ça nos armes Biscornu ? » Biscornu sentit un frisson glacé remonter le long de sa colonne vertébrale tandis que Naruko exposer son arme. Un bâton de bois en chêne ayant apparemment déjà servi au vu du sang séché au bout. Du sang de jeune lapin si son flair ne le trompait pas, de très bonnes armes qu’ils avaient trouvé à l’endroit où était tombé le groupe et ayant déjà servi le mal avec fierté.
« Euh… nos armurerie sont vide ? » Essaya de justifier Biscornu.
Elles étaient sensées partir à la conquête du monde avec des bouts de bois ?
« Biscornu… »
« Oui, Overlady-sama ? »
« Serre les dents. »
« Quoiiiiiiii ! » Naruko sentit avec satisfaction son arme fracassé la mâchoire du vieux minions, l’envoyant voler à l’autre bout de la salle.
« HOME RUN ! »
« Bon, maintenant que c’est fait, nous allons explorer mon futur royaume. »
« Hai Naruko-sama ! »
« Shiba, Fiona vous restez ici et essayez de voir ce qu’on peut tirer de ce tas de gravats ainsi que faire une estimation des dégâts. »
« Bien compris Naruko-sama. J’en informerais Shiba une fois qu’elle se sera réveillez. »
« Alors allons-y mauvaise troupe ! » Dit Naruko sous les acclamations de ses sbires. Marchant dans le cercle, elle et les autres filles disparurent.
Pour réapparaitre sur une colline verdoyante et florissante où se reflétait la lueur orangée du soleil couchant.
Le cercle gravé dans la pierre était entouré par des colonnes de pierre organisées en arc de cercle. Regardant aux alentours, Naruko ne décela aucune présence autre celle d’un troupeau de mouton à proximité.
Voila, je me suis retrouvé complétement bloqué dans ce qui devait être le véritable début de l'histoire.
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Prototypes Abandonnés