Whore of the Dark Side | By : RavenANCorps Category: French > Harry Potter Views: 26932 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: la majorité des personnages ne m’appartiennent pas...lais les situations, ça oui |
Whore of the Dark Side
By Olga69
Disclaimer : Harry Potter ne m’appartient pas et je ne me fais pas d’argent dessus. Heureusement, j’ai droit d’abuser totalement de son corps.
Chapitre 3
Cela faisait déjà plusieurs années qu’Harry avait quitté le manoir Malefoy pour partir en « formation », comme Lucius l’appelait. Le garçon était passé de famille en famille et chacune avait profité de lui à sa façon. Lucius avait suivi l’évolution du garçon grâce aux lettres coquines et aux souvenirs chauds que ses compatriotes Mangemorts lui avaient envoyés.
Il s’avérait qu’Harry se faisait rapidement à sa vie de pute et y prenait un plaisir grandissant et toujours renouvelé. Thorfin lui avait envoyé une lettre aux alentours des vacances d’hiver, un peu avant qu’Harry ne doive changer de gardien. Il avait rappelé ses fils à la maison et les avait tous invité dans le lit paternel avec le jeune Harry.
« …Tu connais mes fils bien sûr. Mon plus jeune, Brett, à presque onze ans et rentreras à Poudlard l’année prochaine. Au-dessus, il y a bien sur mes deux cadets, Allen et Allan qui sont en troisième année à Poudlard et mon ainé Sean qui est en sixième année. […] Harry a tout de suite été emballé de coucher avec d’autres hommes. Ton choix est le bon, il est très porté sur la chose. […] après nous avoir tous sucé et avoir avalé ce qu’il pouvait (c’est fou comme il aime boire le sperme), nous lui sommes passé dessus. J’avais déjà l’habitude de le foutre tous les soirs depuis près d’un mois mais il est toujours aussi gourmand. […] Le jumeaux lui ont fait une double pénétration, il couinait de plaisir […] plongeait sa main dans son cul pour récupérer le sperme et le lécher »
« Cet enfant est un vicieux, » lui écrivait Selwyn, le second à avoir accueilli Harry. « Il a essayé de me sucer dès qu’il m’a vu. Tu me connais, j’ai ouvert ma braguette […] une telle succion… »
« Son cul est ouvert comme un garage. C’est plus le cul d’un gosse, c’est celui d’une pute. […] il s’est pris mon mandrin sans broncher… »
Cette dernière lettre de Lord Zabini était accompagnée d’un souvenir où on voyait Harry, de dos, son petit derrière écartelé par une bite noire géante. Lucius pouvait voire la longue et épaisse colonne de chaire luisante disparaitre dans le petit anus distendu d’Harry. A un moment où elle était totalement sortie, il put voire l’anus du garçon. Il était ouvert, luisant et semblait extrêmement souple. Combien de queue étaient passés par là et combien allaient encore y passer ?
Lucius fantasma un moment en imaginant la sienne, accueillit dans le cul chaud de leur esclave sexuel.
Un autre souvenir avait fait se dresser la bite de Lucius, une simple image d’Harry, couché sur un lit, couvert de sperme et mettant sa main à sa bouche pour boire le nectar blanc. Il y avait une telle lubricité dans son regard qu’on pouvait douter qu’il s’agissait de celui d’un enfant de six ou sept ans.
Il s’était avéré qu’Harry avait aussi des qualités plus…actives. Lucius doutait qu’Harry apprenne quoi que ce soit avec Rosier. Cette homme était la plus salope des Mangemorts avec un cul tellement souvent visité qu’il avait parfois du mal à se refermer. C’est dans ces moments-là que la magie pouvait être utile. Lucius ne l’avait jamais utilisé mais il savait qu’il existait un sort de soin spécifique pour resserrer l’anus que Rosier avait souvent utilisé.
Evidemment, leur jeune Harry n’était pas encore suffisamment membré pour satisfaire Rosier mais il avait su palier à ce problème. Il avait présenté à Lucius un harnais à enfiler sur le bas-ventre et orné d’un phallus de bois polie. Evidemment, c’était un godemichet magique. Le sexe d’Harry rentrait dans le phallus de bois (par magie) et le phallus devenait comme sien.
Dans le souvenir que lui avait fait parvenir Rosier, Lucius avait vue l’enthousiasme de l’enfant à faire des allers et retour dans le fondement accueillant (il l’avait essayé) de Rosier. Le sexe de bois, sous l’effet de la magie semblait s’être fait de chair et Harry, debout derrière Rosier qui avait juste besoin d’être à quatre pattes, les mais sur ses fesses, le visages rouges et un sourire extatique sur son visage, tentait de le pousser toujours plus loin, toujours plus vite sous les supplications de Rosier.
Les Mangemorts faisaient preuve de beaucoup d’imagination, et, il fallait l’avouer, de perversion pour trouver de nouveaux défi pour le jeune Harry que celui-ci relevait tous.
Yaxley, lui, aimait l’humiliation. Sous sa férule, le jeune Harry devient moins qu’un esclave. Les mains toujours attaché dans le dos, il le faisait manger par terre, dans une gamelle. L’un de ses passe-temps était d’aller trouver Harry dans son lit la nuit, pendant le sommeil de l’enfant et de l’enculer sans préparation. La première fois, Harry avait crié, fort. Il avait pleuré, saigné, supplié mais Yaxley ne l’avait pas écouté. Le sang qui sortait de l’anus martyrisé servait à peine de lubrifiant jusqu’à ce que le Mangemort ne jouisse. Il avait ensuite laissé Harry couché, sanglotant, des bleus sur le corps et un mélange de sang et de sperme sortant de son anus. Yaxley avait continué et Harry avait commencé à apprécier. A partir de la quatrième nuit, Harry ne criait plus, il ne pleurait plus et Yaxley s’ennuyait.
Heureusement, Harry était intelligent et il comprit rapidement que ce qu’aimait le Mangemort, c’était de le violer et comme il aimait faire plaisir. Il se remit à se débattre, à crier et à pleurer au grand plaisir du Mangemort.
Chez Travers, le sexe était plus extrême encore. En plus de l’humiliation, il aimait faire souffrir ses esclaves sexuels. Son manoir était plein de garçons moldus dont le seul moyen de sortir était de mourir, que ce soit par les excès de ses séances où tout simplement parce qu’il s’en été lassé. Bien évidemment, la consigne de Lucius avait été de ne pas tuer le garçon. Travers avait carte blanche tant que le garçon restait en vie et qu’il ne soit pas handicapé à vie (ce qui, avec la magie était pratiquement impossible). Une autre condition était aussi qu’il assiste tous les jours à ses cours. Lucius n’était pas naïf au point de croire que sans son ordre, Travers n’aurait pas laissé Harry sortir de ses cachots.
La première chose qu’avait fait Travers, c’était de fouetter Harry. Il n’y avait pas vraiment de raison, il en avait juste envie. Mais le Mangemort, contre toute attente, y était allé doucement pour une première fois, avec un fouet qui entaillait à peine la chaire. Mais ce n’était qu’un court répit pour Harry dont les vraies tortures ne commencèrent que le lendemain. Travers avait couché Harry au fond de l’un de ses cachots, un bandeau sur les yeux et dans la bouche un anneau attaché derrière sa tête par deux lanières de cuir qui lui gardaient la bouche ouvertes. Il avait les mains attachés dans le dos et était couché nu sur la paille. Le lendemain, Travers l’avait réveillé très tôt et l’avait couché sur un cheval d’arçon pour le fouetter à nouveau avant de baiser sa bouche ouverte puis son cul. Pour l’envoyer à ses cours, il avait utilisé une corde de chanvre humide pour attacher le corps d’Harry avant de recouvrir de ses vêtements. Le chanvre rétrécissait en séchant et Harry avait senti toute la journée la morsure irritante des cordes sur sa peau…ce qui ne l’avait pas empêché de rester bandé toute la journée.
Douleur, humiliation, domination…tout cela plaisait énormément à Harry qui prenait beaucoup de plaisir. Même attaché à des chaines par les bras et ses pieds touchants à peine le sol, fouetté par une longue lanière de cuir dur, Harry bandait et jouissait.
Il avait déjà subi des sévices de l’oncle Vernon. Il l’avait fouetté avec sa ceinture, l’avait humilié mais jamais il n’y avait pris de plaisir. Les potions dont il avait été gavé depuis que le plan de Lucius s’était mis en place avaient parfaitement fait leur effet. Harry n’était plus qu’un être qui recherchait le plaisir et le trouvait partout. Même sous les coups de fouets de Travers, même sous les multiples humiliations, Harry en voulait toujours plus.
D’autres choses qui semblaient se développer chez Harry, c’est son intelligence et ses instincts de Mangemort.
Il avait rapidement quitté l’école qu’il fréquentait avec les autres enfants de Mangemorts, son professeur n’ayant plus rien à lui apprendre. Lucius lui avait alors adjoint un professeur particulier qui avait été vite dépassé. Il avait alors dut lui donner des tuteurs de plus en plus qualifier dans toutes les matières. Potions, Métamorphose, Sortilège, Magie Noire, Magie Blanche, Combat Magique, Escrime, Astrologie, Botanique, Vol, Runes, Arithmancie,…Harry les épuisait tous. Son esprit semblait être un véritable gouffre qui enregistrait tout ce qu’on lui disait ou tout ce qu’il lisait. Dès qu’il avait eu une baguette dans les mains, il avait fait preuve d’un talent et d’une puissance peu commune, une puissance au niveau de leur Seigneur.
De plus, chaque Mangemort qu’il avait visité avait vu sa bibliothèque visité et ses livres lu. Lucius savait qu’à onze ans, Harry serait un sorcier accomplie et savant.
Ses instincts de Mangemort étaient aussi en éveil. Pour Harry, les seuls sorciers qui valent la peine sont les Mangemorts et ceux qui les servent. Les autres sont des traitres et les moldus, des esclaves en sursis. Les fouets de Travers n’ont pas seulement pelé son dos, ils ont aussi été entre ses mains. Ils les avaient testés sur certains des jeunes garçons, se réjouissant de leurs cris et de leurs pleurs, comprenant à quel point Travers comme Yaxley avaient raisons de les aimer.
L’une des dernières épreuves que Lucius voulut faire passer à Harry, c’était la confrontation avec sa famille. A tout juste dix ans, après avoir passé près de 5 ans avec différents Mangemorts qui avaient usés et abusés de son corps pour son plus grand plaisir, Harry allait être confié aux soins d’Eliott Monger, dans la maison des Dursley. Il devait y rester pendant près de deux mois, jusqu’à la mi-décembre.
0OoO0
Lucius rentra après avoir amené Harry dans le Surrey. Il était allé le cherche quelques temps plus tôt au Manoir Lestranges. Il voulait le confier personnellement à Monger pour lui donner des consignes précises.
Il se dirigea vers sa propre chambre où il savait que son fils se trouvait. Draco était nu, comme d’habitude, alanguie sur le matelas, attendant l’étreinte paternelle comme presque tous les jours depuis que, pour ses sept ans, son père lui avait fait connaitre les plaisirs du sexe.
Se déshabillant d’un coup de baguette, Lucius se coucha sur son fils, embrassant sa petite bouche et dévorant sa langue. Draco était prêt, prêt à recevoir son membre paternel jusqu’aux tréfonds de son anus. Son père s’assit contre la tête de lit et, prenant Draco par les aisselles, amena son dos contre son torse, positionna son anus contre son gland rouge et le fit glisser sur sa bite. Draco, le visage rouge de plaisir, gémissait de se sentir ainsi rempli par le sexe de son père qui malaxait d’une main son petit sexe et ses couilles qui venaient tout juste de descendre, l’autre bras autour de son torse, le visage dans son cou et ses hanche faisant bouger lentement le long sexe dans son cul.
- Père ! Gémit Draco.
- Mon fils, gémit Lucius à son tour.
Les gémissements de Draco étaient de plus en plus forts à mesure que Lucius le baisait. Lucius enleva sa main du sexe de son fils et remonta pour lui pincer les tétons. Il les maltraités l’un après l’autres au plus grand plaisir de son fils qui jouit sans se toucher. Le resserrement du sphincter poussa Lucius au bord de l’extase. Il se retint encore quelques secondes avant de jouir. Plusieurs jets de foutres vinrent tapisser l’intérieur de l’anus de Draco.
Alors que Lucius reprenait son souffle, il remarqua qu’il était observé. Sur le pas de la porte, Rodolphus Lestrange, l’un de ses meilleurs amis, accompagné de son frère Rabastan, le regardait. Tous deux étaient nus, le sexe dur qu’ils se caressaient mutuellement.
- Tu m’avais dit de passer pour te faire un rapport final sur la situation de la petite pute Potter. Je me suis dit que ça ne te dérangerais pas que je prenne mes aises.
- Pas du tout, dit Lucius d’un ton décontracté. Je dirais même qu’au vu de tes dispositions physiques, tu tombes à pic. Ça te dirait d’essayer mon fils ?
Draco leva les yeux vers son père. Depuis sa première fois, il n’avait jamais été avec quelqu’un d’autre que son père. Mais sur ce sujet, il savait que Lucius serait inflexible. Il était son fils et jusqu’à se majorité, il disposerait de son corps comme bon lui semblerait. Il savait qu’il aurait pu avoir pire, surtout à une autre époque que celle-là. Les livres sur les anciennes familles nobles étaient pleins de récits de fils qui avaient tellement été abusé par leur père qu’ils en étaient morts. Aujourd’hui, il y avait tout de même des lois pour protéger les enfants et son père n’était pas quelqu’un d’excessivement cruel. Draco frémit en repensant à une histoire qu’il avait lu au sujet de Casper Snowbell qui avait tué tous ses enfants en abusant d’eux et dont la lignée s’était éteinte à cause de ça.
Rodolphus monta sur le lit et se positionna entre les jambes de Lucius. Ce dernier fit sortir son sexe à présent mou du cul de son fils pour laisser la place à son beau-frère. Celui-ci prit son sexe dans sa main et fit passer son gland sur la raie des fesses de son neveu pour recueillir le sperme qui s’était échappé de l’anus ouvert puis s’y enfonça. Il était d’un calibre moindre que Lucius tout en restant assez respectable si bien que Draco l’accueillit tout entier en lui. Il était pris entre les torses de son père et de son oncle qui s’embrassait pendant que le second l’enculait profondément. Il tourna la tête pour voir le sexe de Rabastan juste devant lui. Ce dernier le guida dans la bouche du garçon qui commença à le sucer. Ils restèrent dans cette position pendant de nombreuses minutes.
Draco commençait à avoir mal à la bouche et au cul à force des bites qui y étaient. En même temps, il était excité par les caresses de son père. Il avait repris ses deux mamelons entre ses doigts et les pinçaient et les tordaient, provoquant à chaque fois des décharges dans le corps du garçon. Ces mouvements en lui et sur lui l’amenèrent à nouveau à la jouissance.
Les trois hommes jouèrent encore près d’une heure avec le corps de l’enfant qui s’effondra bientôt, vaincu par la fatigue. Il s’endormi, le corps recouvert de sueur et de sperme.
Lucius soupira.
- L’inconvénient avec les jeunes, c’est qu’ils ne sont pas très endurants.
- Tu as raison, acquiesça Rodolphus qui regardait son frère jouer avec l’anus dilaté de Draco, plongeant sa main à l’intérieur et la ressortant pleine de sperme qu’il suçait ou étalait sur les fesses de l’enfant endormis que ces manipulations ne semblaient pas réveiller. J’ai remarqué le même problème avec Harry, c’est une bonne pute, mais il tient pas la distance.
Lucius se dit qu’en effet, c’était un problème, un problème auquel il devait réfléchir…ce qui ne l’empêche pas de baiser le cul de Rabastan que son frère lui prêta.
0OoO0C’est la première fois qu’Harry retournait chez les Dursley depuis que Lucius était venu le chercher et il avait peur. C’était comme si c’est presque deux ans ne s’étaient pas déroulé, comme s’il n’était pas entre temps devenu une parfaite pute de Mangemort pleine de capacités.
Mais la peur s’était rapidement dissipée. Monger, le Mangemort qui s’occupait de lui s’était chargé de le rassurer en lui montrant ce qu’il avait fait à sa « famille » et ce qu’il pourrait lui faire.
Monger n’aimait pas vraiment les femmes, du moins sexuellement. La Tante Pétunia avait donc été réduite à l’état de poupée parlante qui gardait la maison propre et une certaine façade de normalité en participant à la vie sociale du quartier.
Pour l’oncle Vernon et Dudley, en revanche, c’était une autre histoire. Ayant créé des golems qui iraient travailler chez Grunnings ou iraient à l’école, les deux hommes ne quittaient jamais la maison. Constamment sous Imperium comme pour la Tante Pétunia, ils servaient d’esclave sexuel à Monger qui avait une préférence pour les gros. Outre baiser Dudley lui-même, il aimait voir Vernon Dursley baiser son fils avec la queue démesurée que le Mangemort avait donnée au plus âgé grâce à une potion d’engorgement injecté à cet endroit précis. Son fondement s’était aussi élargi grâce aux nombreuses séances de gang bang et de fist-fucking auquel Vernon avait pris part sur les ordres de Monger. Eliott s’était délecté de voir des hommes virils et musclés envahir la maison pour enfoncer leur queue dans le cul ou dans la bouche de Vernon, de voir des mains, des poings voir des avant-bras entier pénétrer son anus distendu.
La venue d’Harry n’avait pas trop changé ses habitudes. Il regrettait qu’Harry soit trop jeune et ait une trop petite queue pour jouir des divers plaisirs qu’il lui offrait. Heureusement, Rosier avait prêté l’un de ses harnais magique à Eliott qui en avait enfilé un à Harry.
Le garçon aimait sentir la prothèse magique entre ses jambes, sa texture qui, par magie, ressemblait à de la vraie chaire et sa forme de vraie queue qui bandait, durcissait et le faisait jouir mais toujours pas éjaculer (il était encore trop jeune). Il aimait baiser des trous avec. Il aimait presque autant ça que se faire baiser et manger du sperme. Il avait plus particulièrement aimé baiser sans retenue son cousin et son oncle, ses anciens bourreaux devenus ses esclaves. Il aimait sauter sur Dudley pendant qu’il dormait et prendre violemment son trou jusqu’à ce qu’il saigne. Il aimait aussi ordonner à Vernon de se mettre à quatre pattes pour le baiser au milieu du salon. Il était tellement petit et son oncle était tellement grand qu’il arrivait à atteindre son trou sans se pencher.
La première fois qu’il vit son oncle se faire fister, il avait des étoiles qui dansaient dans ses yeux. Il regardait avec ravissement trois puis quatre puis cinq doigts être inséré dans l’anus de son oncle, la main disparaitre ensuite jusqu’au poignet avec que l’homme ne reprenne le lubrifiant dont il se badigeonna l’avant-bras avant de l’enfoncer. C’était un homme fort. Ses avants bras étaient impressionnants et pourtant Harry pouvait voir l’un d’entre eux pénétrer plus profondément encore dans le fondement de son oncle, écartelant son anus à un tel point qu’Harry pensait qu’il ne pourrait plus jamais se refermer. Quand l’homme était partie, laissant son oncle sur le dos, Harry s’était approché.
L’anus de son oncle n’était plus qu’un trou béant et graisseux. Il passa la main sur le bord, recueillant la graisse, puis avança sa main à l’intérieur. C’était tellement large qu’en restant bien au milieu, il pouvait ne pas en toucher les bords. Il était déçu, il aurait aimé savoir ce que ça faisait de se sentir serré dans cet amas de chaire. Il eut alors une idée. Il avança son pied et le fit pénétrer dans le trou béant. La sensation de l’intestin glissant de son oncle sous la plante de son pied le fit frissonner. Il continue à avancer lentement avant de se retrouver au fond. Mais il n’avait pas une jambe assez large.
Heureusement, Eliott veillait. D’un sort, les chaires élargies de Vernon se resserrèrent autour du pied d’Harry qui poussa un petit glapissement avant de sourire. Sa jambe enfoncé jusqu’au genou, il commença à la faire ressortir puis rentrer à nouveau. Harry riait, il baisait son oncle avec sa jambe, c’était une sensation très agréable. Après s’être bien amusé, il changea de jambe, puis utilisa de nouveau ses bras, les deux à la fois.
A la fin de la journée, Harry était épuisé. Tout graisseux, il laissa son oncle dans le salon pour aller se coucher. Très content de ses résultats, Eliott se coucha à côté de lui et le pénétra faisant sourire Harry de contentement, sourire qui durera toute la nuit.
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