Naruko et la maison close | By : sneaky666 Category: French > Anime Views: 25935 -:- Recommendations : 1 -:- Currently Reading : 7 |
Disclaimer: Je ne possède pas Naruto ou ses caractères. Je ne fais pas de l'argent de l'écriture de cette histoire |
Attention : Il y a une scène d’urophilie forcé dans le flashback et la fin du chapitre contient une scène d’humiliation particulièrement hard ainsi que de la torture. Si vous n’aimez pas, passer votre chemin.
Chapitre 3 : Naruko est prête à passer à l’action
Jiraya aimait sa vie. Commencé la journée assis dans le canapé, avec deux magnifique femme nue à chacun de ses bras et une tête blonde entre ses jambes qui montait et descendait sur sa bite tout en faisant des gémissant obscène était, pour lui, une excellente matinée.
« Je pense que ton petit plan de hier était réussi. Hein, Tsume ? »
Tsume qui était à sa droite et serré son bras entre ses seins, répondit. « Oui, elle a totalement accepté son nouveau rôle dans la vie. Il faut juste la polir et elle sera prête pour la mission, et l’après mission. Maintenant, elle accepte même de se promener nue dans la maison et de servir les membres du clan sans protestation. »
En voyant sourire Tsume, Jiraya eut l’impression que Naruko serait certainement prête pour la mission.
« Qu’a tu préparé Tsume ? »
« Je lui ai trouvé quelques boulots pour qu’elle acquiert de l’expériences. »
Arrêtant de plaire à son maitre, Naruko releva la tête et demanda. « Où ça, Tsume-sama ? » Pour réponse, Naruko se fit gifler par Tsume. Horrifié par le fait qu’elle est arrêtée de sucer dû à la distraction, Naruko reprit de plus belle avec une empreinte de main rouge vif sur sa joue.
« Désolé pour ceci Jiraya-sama. Comme vous pouvait le voir, elle manque d’expérience. »
Jiraya hocha juste de la tête continuant de profiter du service de Naruko.
Naruko se dressa sur ses genoux, puis souleva ses seins attaché par la chaine avant de les faire tomber sur la bite de Jiraya qui passa entre eux. Tout en caressant ses seins et les faisant rebondir sur le long de la bite de Jiraya, elle sucé son gland. Appréciant la chaleur entre ses seins et le liquide pré-éjaculatoire dans sa bouche, Naruko se questionna pourquoi elle n’avait jamais réalisé qu’être une femme était merveilleux. Le sexe était étonnant, le gout, l’odeur et la sensation du sperme était un des meilleurs au monde, qu’il soit dans sa bouche, sur sa peau ou sa chatte.
« Alors, où tu vas la faire travailler ? Rien que de l’observé m’a permis d’avoir des idées pour mes 3 prochain livres. »
« Chez Oga, le tatoueur qui veut qu’elle divertisse ses clients. Konoha porno souhaite prendre des photos d’elle dans diverses postures et scènes, un photographe la suivra dans ses travails. Et enfin à Ichiraku. »
« Ichiraku, pourquoi ? »
« Eh bien, c’est peu connu, mais quand Naruko y allée, les clients ont déserté. Teuchi a été obligeait de prostitué sa fille pour payer les factures et amené de nouveaux clients. Au menu il proposait sa fille aux clients. Elle était très populaire vu qu’elle était très jeune à l’époque. Ca a boosté son chiffre d’affaire. Donc je lui ai proposé Naruko gratuitement, elle lui rapporte de l’argent et il ne paye rien. »
« Je vois et je suppose que tu touches un pourcentage ? » Jiraya apprécié toujours la douceur des seins et de la bouche de Naruko.
Il vu Tsume lui adressé un sourire avant qu’elle et Hana descende du canapé. Il les regarda interrogateur, jusqu’à ce qu’elle saisisse des pagaie en bois.
« Allez putain ! Met bien ton cul en évidence ! » Sans attendre, Naruko tout en continuant de servir Jiraya, monta ses fesses pour leur donner une cible.
Sans plus attendre, en voyant les deux joues de ses fesses bien en vue, Tsume abattit la pagaie avec une telle force que le bruit résonna dans la salle. Voyant que sa mère retiré sa pagaie, Hana abattit à son tour la sienne. Ainsi se déroula la séquence dans la salle, chaque fois qu’une retiré sa pagaie, l’autre l’abattait. La salle, qui était rempli des bruits de succion de Naruko et des gémissements de Jiraya, était maintenant couverte par le bruit des gifles des pagaies sur les fesses de Naruko.
Naruko était incroyablement excité, sucé cette magnifique bite dès son réveil et sa révélation au sujet du sexe la mettait de bonne humeur. L’odeur qui flottait dans la pièce était indéniablement de nature sexuelle, la stimulation visuelle et olfactive l’avait préparé pour sa journée et son futur travail. Maintenant, elle pouvait sentir la douleur et la chaleur qui lui était familière de ses fesses. A chaque coup, un frisson mélangeant douleur et plaisir la traversé. Au fil des coups, elle se sentait de plus en plus humide, l’excitation était telle qu’elle avait commencé à se frotter les cuisses pour essayer de se faire plaisir, ses mains étant prise par la magnifique pièce de viande devant elle. Une petite voix essayait de lui dire qu’elle ne devrait pas faire ça, mais elle l’écrasa impitoyablement, renvoyant son alter ego masculin dans les tréfonds de son esprit. Pourquoi elle ne devrait pas obéir à ses maitres, le plaisirs qu’elle recevait du sexe était une des meilleurs choses qu’elle connaissait. Chaque dégradation verbale, chaque jet de sperme était le plus grand honneur qu’elle n’avait jamais reçu. Elle voulait continuer à ressentir ce sentiment toue sa vie, elle doutait qu’elle puisse jamais sans lassé.
Jiraya aimait ce spectacle, il pouvait voir les mamelles massives de Naruko essayait d’ensevelir sa bite, ainsi que la pur joie qu’avait Naruko dans ses yeux. Non seulement l’idée de le sucer l’avait allumé, mais lorsque les pagaies avait commencé à frapper, au lieu de se plaindre ou gémir dans la douleur, cette étincelle dans ses yeux avait redoublé. Et s’il penché la tête, il pouvait voir distinctement les ondulations de ses fesses à chaque coups, mais aussi leur nouvelle couleur, rouge sang.
Il l’aurait voulue apprécié encore ce spectacle, mais sentant son orgasme se rapprocher, il saisit sa tête et la baissa le plus possible pour jouir directement dans son estomac.
« Allez putain, le temps de boire ta boisson ! »
Naruko pouvait littéralement sentir les couilles de son maitre se contracté contre son ventre et le gland dans sa gorge être prêt pour expulser son délicieux sperme dans sa bouche de salope affamée. Augmentant le rythme de ses seins, elle attendait pour sa récompense. Sentant sa tête être saisit, elle n’opposa aucune résistance, son maitre fit descendre sa tête sur sa bite jusqu’à ce que le gland se trouve directement dans son œsophage. Déçu de savoir qu’elle ne pouvait apprécier sa boisson dans sa bouche, elle accepta néanmoins sa récompense.
Elle put sentir un déluge de sperme traversait la bite de son maitre, à chacune de ses contractions, elle sentait un flot de sperme bouillant et crémeux être expulsé dans son œsophage pour aller remplir son estomac. Après une minute de ce traitement et de sentir son estomac régulièrement gonflé pour accueillir l’énorme quantité de sperme, Naruko se sentit reput, c’était le meilleur déjeuner qu’elle avait eu. « Si seulement j’avais pu le déguster. » Pensa-t-elle. Sachant ce que voulait son maitre, sans perdre de temps, elle se leva et alla s’accrocher à une des barres ornant le mur. Puis elle se cambra pour mettre son cul bien en évidence à la vue de tous, tout en écartant les jambes. Elle apprécié la sensation de son petit-déjeuner ballotait dans son estomac en pensant qu’elle pourrait s’y habituer.
Jiraya soupira de bonheur après son orgasme, cette salope était vraiment douée. Il sourit lorsqu’il la vue en position pour se faire prendre comme la salope qu’elle était. Il pouvait voir son entrejambe brillait à la lumière de la salle. Se levant avec sa bite dressée à sa pleine longueur, il s’approcha de sa proie.
Une fois arrivé, Tsume et Hana à genoux de chaque côté et qui avait posé leurs pagaie de Naruko, écartèrent les joues des fesses de Naruko révélant son anus rose pâle mignon, encore serré.
« Ne vous inquiéter pas Jiraya-sama, on s’est assuré qu’elle a effectué son lavement matinal. Son trou du cul de salope est tout à vous » Expliqua Tsume. Jiraya sourit en guidant avec une main sa bite vers sa destination, tandis que l’autre alla toucher l’estomac gonflé de la salope. Au contact, il put littéralement sentir la chaleur provenant du sperme dans son estomac ainsi que le léger gonflement qu’avait subi son ventre.
Il s’arrêta brièvement pour admirer l’étoile rose qui allait lui servir d’entrée. Très propre et mignon, Jiraya put voir que Naruko s’occuper de tous les aspects de son corps pour être parfaite dans les activités sexuels. Il sourit en pensant que dans un quart d’heure il n’aurait certainement plus le même aspect.
« Allez salope, il est l’heure que je défonce ton petit cul. »
Sans autre cérémonie, il posa son gland contre l’entrée des intestins de Naruko et s’apprêta et à faire sien cette partie du corps qu’il n’avait encore point revendiqué. En une puissante poussé de ses reins, il gainât sa bite entièrement dans son cul incroyablement serré. Appréciant le cri de douleur de Naruko, il resta quelque instant immobile. Sa bite était entourée par le four qu’était les intestins de Naruko. Son anus ne semblait pas apprécier l’intrusion violente et soudaine dont il était victime, ni était Naruko si les sanglots qui provenait d’elle était toute indication. En réponse, malgré l’élargissement soudain, il pouvait sentir serré sa bite pour essayait de l’expulser lui procurant une incroyable sensation de plaisir.
En regardant l’endroit où sa bite rejoignait le cul de son jouet, il pouvait voir le sang coulait de l’anus signe qu’il y avait des blessures.
« Logique la seul lubrification est sa salive et je doute qu’elle est déjà pris quelque chose de si massif par ce trou-là. » En y regardant de plus près, il pensé que si Naruko n’avait pas sa capacité de régénération son anus ne retrouverait jamais sa taille normale. Le sexe anal était vraiment agréable, un des rares défauts de baisé une femme par ce trou était qu’il n’y avait pas la même satisfaction de remplir son lieu le plus sacré et de la mettre enceinte. Il avait enfin une femme qui ne risquerait pas de mourir lorsqu’il mettait son sexe en elle. Il allait la traire pour tout ce qu’elle valait.
Après quelque instant de ce traitement céleste, Jiraya pensa qu’il était tant d’entrée en action. De chacune de ses mains il saisit une queue de cheval de Naruko qu’il enroula autour de ses mains puis les serra dans ses poings, tout en continuant d’ignore les sanglots qui s’échappait de son jouet.
« Tu es prête salope. Je vais défoncer ton cul tellement fort que tu seras incapable de marcher et de chiez sans avoir mal pour le reste de la semaine. » N’entendant pas de réponse, Il libéra une de ses mains et donna une violente fessé à la fesse droite de Naruko.
« Tu as entendu salope ? »
« Ou… Oui, maitre. Snif. »
Naruko ne pouvait s'empêcher de la grimace de douleur qu'elle ressentait comme son maitre poussé en elle. Depuis tout son corps commençait à se sentir engourdi, elle a jugé que la douleur aurait probablement été moins pire s’il l'avait élargi et lubrifiait en premier. Pour l’instant, son cri et ses sanglots était les seuls signes de la douleur qu'elle a donnée. Elle a simplement pris tout cela sur ellle comme son maitre rentré son énorme bite dans son colon. La sensation était tellement bizarre. Naruko se sentait comme Jiraya pratiquement réorganisé ses entrailles pour accueillir la présence de sa bite. En fait, pratiquement pas. Il a été littéralement réorganise ses entrailles afin de tenir sa bite. Vous n'avez pas de 35 centimètres de bite aussi large que votre poignet fourrer dans le cul sans avoir à se déplacer autour un certain nombre de choses. Malgré son excitation était clairement dominant, elle était impatiente de savoir à quoi le sexe anal ressemblerait une fois que la douleur se serait un peu calmé.
« Bon. Alors accroche-toi bien à la barre. On a peu de temps devant nous avant que tu aille travailler, donc je ne vais pas me retenir. »
Sans autre mots, il commença à la baiser avec une brutalité rarement vu. Ses coups de hanche étaient si puissants que l’on pouvait les pieds de Naruko dérapé. Non seulement cela mais on remarquait très clairement que ses bras à la barre avait du mal à tenir pour éviter que son corps percute le mur tête la première. Ses seins secouait fortement et complétement désordonné par rapport à la baise brutal dont été victime le corps auquel ils étaient rattaché. Les coups de hanche étaient si rapides et brutaux que malgré tous les efforts de Naruko son corps était déplacé plus proche vers le mur.
L’esprit de Naruko était entre le ciel et l’enfer. Elle était incroyablement douloureuse, il y a quelques semaines, elle ne savait même pas que le sexe anal existait. Son trou du cul était déchirait à un point telle qu’elle était heureuse d’avoir un lavement et rien mangé ensuite. Elle n’y avait aucun doute dans son esprit que ses muscles anaux ne fonctionnerait pas pour le reste de la journée. Elle devrait être prudente, elle n’avait aucune envie de se chier dessus et encore moins en public. L’autre chose qui lui procurait une magnifique douleur était les joues de ses fesses encore sensible de sa punition et qu’à chaque coups de son maitre, ses hanches les frappés, accentuant la douleur qu’elle ressentait. Son maitre tirait ses tresses tellement fort que sa nuque était perpendiculaire à son dos. Le sentiment d’avoir ses cheveux tiré comme ça était extatique, la douleur que son crane subissait était stupéfiant. Ses larmes de douleurs se mélangeaient à ses larmes de plaisir. La sensation des couilles de son maitre qui frappait sa chatte, caressant son clitoris, lui donnait une immense sensation d’extase. Elle pouvait toucher les nuages du paradis et sentir la chaleur de l’enfer.
Jiraya apprécié un des meilleurs culs qui lui été donner de voir. A chaque pénétration il pouvait sentir l’ensemble des intestins, de ses muscles anaux essayant de l’expulser lui donnant un massage paradisiaque à sa bite. Il été heureux que ses fesses avait une bonne quantité de chair pour amortir le choc de ses pénétration. Ses couilles était humide du jus qui coulait de sa chatte, à chaque coups, elles frappaient directement cette ouverture humide. Sa brutalité avait rendu ses fesses saignantes, des traces rouges vives coulées de ses fesses démontrant la brutalité de la baise à laquelle il soumettait son corps. Nul doute que toute personne normale se serait évanoui suite à la douleur que la salope subissait. Mais la salope en redemandait encore.
« ENCORE MAITRE !!! CONTINUER DE DECHIRER LE FION DE CETTE SALOPE INUTILE !!! S’IL VOUS PLAIT MAITRE CONTINUE DE ME BAISER JUSQU’A CE QUE MON CORPS NE PUISE EN PRENDRE PLUS DE CETTE MAGNIFIQUE DOULEUR !!! »
Souriant à ces paroles, il n’eut pas besoin de ce le faire dire deux fois. Il continua de donner ses coups de hanche tout en appréciant le dos de la salope devant lui, elle était recouverte de sueur qui donnait à sa peau bronzé un lustre brillant. Il pouvait voir les muscle bien défini de son dos être tendu dû à la position dans laquelle elle se trouvait. Soudain il sentit un resserrement au niveau de sa bite presque douloureux.
« OUIIIIII !!! » Naruko hurlait son bonheur, son orgasme l’avait frappé comme un train à pleine vitesse. Elle pouvait sentir chaque poils de son corps se dressait et le plaisir qui parcourait tout son corps jusqu’à ses extrémités, ne laissant aucune partie épargné. Elle sentit ses yeux roulait et sa langue sortant de sa bouche pour pendre et montrait au monde son bonheur d’être utilisé comme une pute. L’orgasme anal était différent d’un orgasme vaginal, pour elle la douleur ressenti était comme un stimulus qui amplifié les sensations de plaisir, son seul regret est que son maitre ne remplirait pas son utérus de son sperme.
Comprenant que Naruko venait d’avoir un orgasme, Jiraya ne ralentit pas un seul instant pour le prolonger et donner un aperçu à Naruko du paradis. Il pouvait sentir une flaque se formait sous ses pieds, le liquide qui était expulsé de sa chatte avait déjà fait une flaque plutôt conséquente sur le parquet. Il pouvait sentir le resserrement désordonné des fesses de Naruko signe que son orgasme se prolongeait.
Jiraya était proche de sa limite. Le cul de Naruko était serrée autour de lui, malgré le fait qu’il soit entré en force et essentiellement déchiré ses muscles du sphincter, la guérison de Naruko essayait de guérir son sphincter, entrainant son anus à essayait de reprendre une taille normale. Malgré le fait que sa bite soit dure come une barre de fer, s’en était presque douloureuse, et sa chatte était maintenant dégoulinante du jus de son apogée et il pouvait dire qu’elle s’approcher rapidement d’un autre orgasme. Sentant ses couilles se resserré, Jiraya compris que c’était le moment de décharger son sperme dans le cul de cette magnifique salope. Avec une dernière poussée, il enfonça ses 35 centimètres de bite dans le cul abusé de cette putain et profita de son orgasme.
Naruko sentit le sperme être expulsé dans son colon, le remplissant rapidement. Après une minute d’être rempli, elle sentit le débit de sperme commençait à diminuer. Soupirant dans le soulagement et l’irritation. Naruko était proche d’un second orgasme mais n’avait pas pu l’atteindre. Son corps était douloureux, ses bras et ses jambes sentait comme de la gelée à se maintenir dans cette position durant la session, de ses fesses et son anus émettait une des plus fortes douleurs qu’elle est jamais connu dans sa vie. Et malgré son excitation et sa tendance masochiste, des larmes de douleurs perlaient ses joues et des reniflements occasionnels s’échappaient d’elle. Suite à son orgasme, elle avait commencé à percevoir beaucoup trop de douleur pour l’associer au plaisir. La seule chose qui lui avait permis de jouir en premier lieu était son incroyable excitation pour sa première fois d’être baisé par ce trou ainsi que son acceptation de son côté féminin. Ce matin, elle avait été très pressée de comprendre pleinement ce que signifiait d’être une femme, accepté pleinement son statut de salope lui avait ouvert de nouvelles portes qu’elle s’empresserait d’ouvrir.
Maintenant le contrecoup se faisait sentir, et même son état actuel d’excitation ne pouvait enlever cette douleur déchirante qui émanait de son arrière-train. La seule chose positive était que la sensation du sperme gluant dans son colon sentait incroyable de son point de vue.
Elle gémit de douloureux lorsqu’elle sentit la bite de Jiraya se retirait de son colon et de son anus qui essayait de se remettre en place. Avec un ‘pop’ sonore, elle sentit finalement un grand vide dans son ventre. Elle voulait restée dans cette position le temps que les tremblements de ses membres s’arrête et qu’elle puisse à nouveaux marcher.
Jiraya regardé aux côté de Tsume et Hana son œuvre avec fierté. Les fesses de Naruko étaient rouge vifs, des sillons sanglants parcouraient la peau autrefois bronzé. Elle était debout sur une flaque de son jus et son corps brillait d’un mélange de sa sueur et de son jus qui l’avait éclaboussait ou coulait sur ses jambes. Sa tête était baissé et l’on pouvait entende les reniflements qu’elle émettait périodiquement.
Mais le paroxysme de son œuvre se trouvait son anus. Même avec la guérison de son jouet sexuel, son anus semblait incapable de se refermait. Les bords du sphincter était clairement déchiré et saignait abondamment, Tsume passait d’ailleurs un chiffon humide pour essuyer le sang de sa bite. Il pouvait clairement voir son sperme qui s’était accumulé à l’intérieur de son colon. Il pouvait voir la façon dont il coulait sur les lèvres externe de sa chatte et le long de ses jambes. Il pensa que la façon dont été le sphincter de Naruko ressemblait curieusement à son vagin après sa première fois, pas que cela est changé grand-chose pour les fois d’après.
Une fois sa bite essuyé, Tsume s’empressa de la sucer en louant Jiraya pour son endurance incroyable pour être encore dure après 2 orgasmes.
Hana s’approcha de Naruko en tenant une feuille de papier, elle était pressée de rejoindre sa mère pour plaire à Jiraya.
« Tient, Naruko. C’est ton emploi du temps des travails qu’on a réussi à te trouver pour les deux prochaines semaines. »
Naruko releva la tête presque timidement et lui sourit, retirant un bras tremblant de la barre pour saisir la feuille de papier, elle la remercia.
« Merci, Hana. » Ensuite, Hana disparut de son champ de vision. Naruko se reposa pendant quelques minutes, le temps de se reposer et de calmer ses membres tremblants. Elle était bercée par le bruit de siphonage qui se trouvait derrière elle et la sensation du sperme chaud qui coulait lentement de son cul abusé le long de ses jambes. La sensation du sperme qui était venue sur sa chatte et caressait son clitoris n’aidait pas à diminuer son excitation douloureuse, ni ses pensées qui était tourné vers le sexe. Par contre la sensation de l’air frais dans son colon, la calmait certainement. Elle ne voulait même pas savoir à quoi ressemblait son sphincter après avoir été baisé par quelque chose de si massif.
« Hana et Tsume doivent s’en donner à cœur joie. Moi, je vais devoir allé au boulot et voir ce que ma préparer sensei. »
Se sentant suffisamment confiant pour se tenir debout, elle se mit en position toujours en se tenant à la barre. En se redressant, elle sentit une grande quantité de sperme coulait vers le bas et alimenté la flaque à ses pieds. Grimaçant à la sensation et à l’idée d’abandonner du précieux sperme, elle se dit que c’était inévitable. Son sphincter ne donnait aucun signe de guérir malgré les meilleurs efforts de son corps pour accélérer sa guérison. Et il était hors de question de boucher l’entrée avec un objet, elle était trop douloureuse pour cela.
Se résignant elle sortit de la salle en jetant un bref coup d’œil à Hana et Tsume qui était à genoux, de chaque côté de Jiraya, entrain de lécher le long de son sexe.
En sortant de la salle, elle déplia son emploi du temps.
« HEINNNN ? » Sa surprise était compréhensible puisque la majorité du temps elle travaillerait à Ichiraku. Se demandant en quoi ça avait un rapport avec sa formation, après elle jeta un coup d’œil sur le reste de son emploi du temps.
La grande majorité du temps elle serait à Ichiraku, avec, éparpillé durant la semaine, des rendez-vous avec Oga le tatoueur. Elle ne voulait même pas savoir ce que lui ferait faire le vieil homme perverti. Et le dimanche, elle aurait une simple séance photo pour un magazine porno. Elle s’inquiétait des photos qui circulait sur elle, et se demanda si ça ne risquait pas de faire sauter sa couverture une fois la missions commencer.
Sur le chemin de sa chambre, elle s’interrogea sur son acceptation de son statut. Devenir une fille était probablement la meilleure décision qu’elle n’est jamais faite. Outre le sexe, elle n’était plus regardée avec dégout ou haine, mais avec luxure, une grande amélioration. Les magasins ne lui interdisait plus d’entrée et lui faisait même une réduction. C’est comme si on avait enlevé un poids de sa vie. Elle avait l’impression qu’elle pouvait enfin prendre son envol. Son côté masculin ne comprenait pas ça, tout ce qui l’intéressait était d’être Hokage pour être reconnu. Elle était la première a reconnu être devenue une salope, même sans la mission elle était sûr qu’elle serait devenue nymphomane au bout d’un moment.
Une des rares choses qu’elle peut reprocher à sa forme féminine sont ses seins…
Quoi ? Sérieusement, elle aimait ses seins, ils attiraient les hommes comme du miel attire les abeilles et ils étaient des zones érogènes de premier ordre. Mais lors du sexe et quand elle se déplacer nu ou sans soutien-gorge leurs rebondissement étaient extrêmement gênant, et sans parlé de ses maux de dos qui lui provoqués.
Il fut sorti de ses pensées qui erraient vers son récent changement physique et plus récent de personnalité par quelqu’un l’appelant.
« Hé, bébé. Ça te dit un bon moment ? »
Sortant de ses pensées, elle vu quelqu’un dans le couloir en face d’elle. Il semblait être un membre du clan Inuzuka, un chunin au vu de la veste qu’il porté. Il ressemblait à n’importe quels membres du clan Inuzuka. En baissant les yeux, elle put voir que son pantalon devenait serrer en la voyant. Logique, Naruko était bien consciente de son attractivité, et se balader nue avec de la cyprine et du sperme coulant le long de ses jambes avait de quoi exciter tout personne, que ce soit homme ou femme.
Le temps qu’elle s’arrête, l’homme avait déjà réduit l’écart entre eux.
« Alors qu’est-ce que tus dit de ma proposition ? »
Soupirant, Naruko répondit : « Je suis désolé, je suis encore douloureux de ma formation et Tsume-sama m’a donné du travail. Je dois aller me préparer. »
« Douloureux ? Comment ? »
Pour lui montrer, Naruko se retourna et écarta les joues de ses fesses. Elle entendit un souffle surpris de l’homme avant de l’entendre dire.
« Hé ben, je ne sais pas qui ta former mais j’aimerais le féliciter. Après cela tu seras certainement capable de prendre la plupart des bites des nations élémentaires. »
« Il y en a une que je sais que je n’arriverai pas à prendre. » Pensa Naruko en se rappelant de la taille monstrueuse de la bite de Kuromaru.
« Hé, tu bosse dans combien de temps ? »
« Une heure et demie, monsieur. »
« Allez, ta largement le temps pour une petite baise rapide, ça te tente pas ? »
Naruko était sur le point de refuser lorsque sa chatte se contracta lui rappelant qu’elle était toujours excité et qu’elle avait fortement besoins d’être baisé. Naruko pesa le pour et le contre, elle était douloureuse mais malgré le fait que ça faisait une demi-heure que Jiraya l’avait baisait, son excitation refusait de diminuer. So corps était douloureux et incroyablement réceptif à toutes les sensations autour d’elle, même une baise rapide risque de la surcharger de douleur et de plaisir.
Après une courte délibération, et malgré les risques, son besoins de sexe l’emporta.
« Bon d’accord, mais rapide, d’accord ? »
« Ouais, mais attend… Je suis sûr de t’avoir vu quelque par… Hum, mais où ? »
Naruko pencha la tête sur le côté en le regardant avec un air interrogateur.
« Ah, ça y est. Tu es l’urinoir du parc. Ahahah !!! »
A cette remarque Naruko rougit comme une tomate et cela lui rappela une de ses plus grandes humiliations publiques.
Flashback
C’était la journée suivant sa première fois avec Jiraya. Naruko était dans le parc appréciant le soleil. A proximité se trouvé des toilettes pour le cas où la sensation de plaisir venant de son entrejambe devenait trop forte.
Elle était vêtue d’une simple minijupe blanche et d’une chemise blanche trop petite qui montrait son estomac tonique et gonflé ainsi qu’une bonne partie de son clivage. Elle était le centre de l’attention à sa grande gêne, non seulement à cause de sa beauté mais aussi du fait que le gonflement de son ventre donnait l’impression qu’elle était enceinte.
Elle maudissait son sensei, elle lui avait imposé quelque chose de particulièrement sadique ce matin.
Flashback dans un flashback
Naruko venait juste de manger. Son corps était encore douloureux de sa première fois avec Jiraya et elle pouvait sentir le sperme restant balloté dans son utérus la mettant mal à l’aise. Et malgré tout, elle ne pouvait enlever ce sourire de son visage qui semblait illuminer la pièce.
Lorsque sensei lui présenta ses vêtements de la journée, Naruko lui lança un regard noir.
Son sensei lui présenté une minijupe, une chemise et une paire de talon haut, tous blanc.
Voyant son regard, Tsume lui expliqua. « Aujourd’hui j’ai décidé qu’on passerai au niveau supérieur. Pas de soutien-gorge et pour la culotte… » Tsume sorti quelque chose que Naruko reconnut tout de suite, et ceci ne la rassura pas du tout.
Dans sa main droite Tsume portait un minuscule morceau de tissus incolore et transparent, avec une lanière cassé. Naruko la connaissait bien puisqu’elle l’avait gardé dans sa bouche toute la nuit.
« Et pour le jouet je te propose ça. » Dans sa main gauche, Tsume révéla un simple œuf en plastique blanc, d’une taille d’un œuf de poule normale. Cela rentrera facilement dans son vagin avec l’étirement qu’il avait subi ce matin.
Grommelant, Naruko saisi l’œuf, quitta son pyjama qu’elle avait mis pour manger, et le rentra à l’intérieur de son vagin.
Grimaçant lorsque l’œuf toucha les parois sensibles de son vagin, elle l’enfonça entièrement et sentit immédiatement l’œuf vibrer. Prenant ensuite le morceau de tissus, elle l’enfila et fit un nœud rapide de la lanière cassé. Puis elle partit faire sa promenade quotidienne.
Fin du flashback
Alors, elle était là dans un parc hautement fréquenté en attendant à son orgasme d’arrivait. Ce qui ne devrait plus prendre longtemps vu comme le plaisir provenant de son entrejambe continué d’augmenter. Elle était devenue très bonne à dissimuler les signes de son excitation, la respiration qui devenait plus forte et rapide, le rougissement, les yeux qui devenait brumeux. Il était impossible de les masquer complétement, mais elle se débrouillait pour concentrer l’attention sur d’autre parties de son corps.
Elle se leva prit son sac à main pour se diriger vers les toilettes. Soudain, elle mit un genou à terre.
« Merde, merde, merde… Sensei ne peut pas me faire ça. Je n’attendrais pas les toilettes. »
En effet, venant de l’œuf était provenu une décharge électrique suffisamment forte pour stimuler ses nerfs de son vagin. Le plaisir qui en résultat lui fit mettre un genou à terre sous le regard interrogateur des personnes aux alentours.
Malgré le plaisir surprenant que lui procurait le fait d’être électrocuté, la terreur qui la prit envoya son esprit dans le surmenage. Elle essaya de se relever seulement pour une autre décharge la renvoyant à genou. Les décharge se rapprocher et devenait plus puissante, son état actuelle attirer l’attention des passants.
Naruko paniquait de plus en plus, elle était sur ses genoux et essayait de se relever pour fuir vers les toilettes.
Une décharge l’envoya sur son dos, elle essaya de serrer ses jambes mais le plaisir augmenter de manière exponentielle l’en empêchant.
Suite à une dernière décharge, elle sentit le barrage céder et laissa échapper un cri de jouissance.
Si le cri n’était pas un indice suffisant de ce qui se passait, son orgasme le confirma.
Une des choses qu’il faut prendre en compte c’est que Naruko était pressé de quitter la maison ce matin et donc qu’elle a fait un simple nœud pour faire tenir son string. C’était une erreur qu’elle allait regretter.
La force de son orgasme fit que la cyprine expulsé fut tellement puissante et le nœud peu solide ne tient pas, le string s’envola dès le premier jet de sa cyprine sous l’œil médusé des spectateurs. Des cris de surprise s’élevaient parmi la foule qui l’entourait.
Son orgasme ne se calmait pas et était même renforcé par l’œuf qui vibrait et lui envoyé des chocs électriques aléatoire à intervalle rapide. Son orgasme lui parut interminable, non seulement en raison de son intensité mais aussi du fait qu’elle avait un public. Elle sentit quelqu’un relevait sa jupe déjà trempe et exposé sa chatte à tous ceux qui l’entouré et ils avaient une vue certainement parfaite de sa chatte qui expulsé sa cyprine. En passant, il en profita pour peloter ses seins et les sortir de sa chemise pour les montrer aux chanceux qui l’observait. Naruko n’avait plus la force de se défendre et ne pouvait que le laissait faire.
Elle pouvait sentir ses jambes être aspergé en intégralité par les retombés de son orgasme. Elle ne pouvait pas savoir combien de jets elle expulsait, ni son intensité, ses yeux roulaient à l’arrière de ses orbites à cause de son orgasme. L’herbe et la terre sous elle devenait trempe de son jus.
Après ce qui sembla être une éternité, son orgasme s’était calmé, elle pouvait vaguement entendre les gens se moquait d’elle et prendre des photos. Dû aux décharges et à son orgasmes, elle était pris de spasmes, et son corps était trop fatigué pour se lever.
Incapable de se lever, elle ne pouvait que prendre les moqueries et les insultes de ceux qui l’entourent.
« Quelle sale pute, jouir en public comme ça. Hé on peut voir l’œuf qu’elle utilisait. »
« C’est la première fois que je vois une femme jouir comme ça. »
« Si c’est pas honteux de faire ça en public. »
« Sa chatte est magnifique, je me demande combien je devrais payer pour la baiser. »
« Ca ne peut-être qu’une pute, elle se promène sans soutien-gorge, on voyait ses tétons pointait à travers le tissus de la chemise. Elle est tatouée et se promène avec un jouet dans sa chatte. »
« J’ai toujours pensait que les femmes enceinte était en manque de sexe, mais pour aller à de telle extrémité… »
Et d’autres phrases volé autour d’elle, elle pouvait sentir les larmes coulait sur ses joues.
Mais sa malchance ne semblait pas tarir. Elle pouvait sentir une envie pressante se faire connaitre. Naruko n’était plus en état de paniqué, ni de se retenir. Elle sentit un jet chaud provenant de sa chatte frappé ses jambes. Naruko avait envie de se terrer dans un trou pour le reste de sa vie. S’urinait dessus devant tous ces gens qui l’observaient étaient ce qu’elle pensait, la honte ultime.
Elle pouvait sentir son urine recouvrir ses jambes, avant de diminuer à un simple filet qui disparaissait dans la raie de ses fesses. L’idée même que ces personnes prenaient plaisir à son humiliation l’envoyé dans une spirale négative.
« Décidément elle est irrécupérable, s’urinait dessus en public… »
« Ces photos vont me rapporter un sacré paquet d’argent. »
« Moi, je pense qu’on peut pas la laisser comme ça. »
Un élan d’espoir surgit lorsqu’elle entendit cette phrase particulière. Avant qu’il soit écrasé par le bruit de sa braguette qui s’ouvrait et du pantalon qui descendait.
« Ils ne vont tout de même pas me violait alors que je viens de me pissais dessus ?!!! » La panique commença à lui redonner des forces, malheureusement pas assez pour ne lui permettre que quelques maigres soubresaut. Mais au lieu de la violait, elle sentit un jet de liquide chaud éclaboussait contre ses seins. Intrigué, elle ouvrit les yeux. Ce qu’elle vu lui a donné l’envie de ne les avoir pas ouvert.
Outre la foule d’une quinzaine d’hommes et de femmes qui la regardait d’un air moqueur, un avait le pantalon et son caleçon à ses chevilles. Il pontait sa bite en direction de sa poitrine et expulsait un jet jaunâtre qui heurtait sa poitrine.
Comprenant qu’on lui urinait dessus, Naruko ne pouvait qu’être horrifié de son sort. Elle ne savait pas si elle préférait être violé ou servir d’urinoir à ces hommes et femmes.
« Non, non. S’il vous plait ne fait pas ça. » Sa faible demande ne sembla pas atteindre leurs oreilles.
L’homme visait sa poitrine, au contact le jet était assez puissant pour que ses seins soit légèrement poussé. Des éclaboussures de l’odieux liquide lui frappaient le visage. Elle ferma les yeux mais entendit plusieurs personnes suivre son exemple et défaire leur pantalon.
Elle sentit l’homme visait aussi sa chemise, la trempant dans son urine. Avant même qu’il est terminé, de multiple jets le rejoignirent dans le but de lui donnait une véritable douche de pisse.
Fermant les yeux, Naruko accepta son funeste destin. Tandis que tout son corps était pris pour cible, 4 jets particulièrement puissant visaient pour son visage. Cela l’obligé à garder la bouche fermé et d’éviter de respirer par peur que l’urine entre par son nez ou sa bouche et qu’elle goute l’immonde liquide. Elle sentit ses cheveux devenir humide de sa douche, certains visaient même ses oreilles les remplissant. Ceci était particulièrement désagréable.
Ses vêtements étaient rapidement devenus détrempé, les faisant devenir transparent. Elle pouvait sentir sa jupe et sa chemise collait à la peau de son ventre de manière désagréable.
Elle pouvait sentir le liquide chaud et nauséabonde être pulvérisé sur son corps, trempant ses vêtement et chaque partie précédemment sec de sa peau. Les cibles privilégiées semblaient-être ses seins et son visage.
A sa grande honte les jets, qui était assez puissant et qui venait de différentes directions sur ses seins, fournissait un agréable massage. Ce qui envoyait des signaux de plaisir à son cerveaux, encore plus quand ils arrivaient à frapper ses tétons durs et sensible suite à son orgasme. Le fait que de la pisse lui causait toute forme d’excitation lui fit se détester.
Un autre homme visa entre ses jambes, avec pour objectifs sa chatte. Le sentiment de sa chatte être pulvérisé de pisse était malheureusement agréable, surtout quand son clitoris était touché, ce qui envoyé d’agréable sensation dans son corps à sa grande honte. Elle pouvait sentir une partie de la pisse coulait dans sa chatte ouverte lui causant un certains inconfort.
Une fois que le flot se soit tarit et qu’elle était complétement humide, elle ouvrit les yeux dans l’espoir que son humiliation soit terminé. Ce qui l’accueillit ne fut pas la plus belle, juste au-dessus de son visage, une femme était en position accroupit, sa chatte découverte à l’air libre. Avant de comprendre ce qu’il se passait quelque saisit son nez. A cause de son manque d’air elle fut obligé ouvrir la bouche pour avaler de grande bouffé d’air frais. Et une autre paire de mains attrapa sa mâchoire pour lui garder la bouche ouverte
La sentence ne se fit pas attendre. La femme au-dessus d’elle commença à urinait directement dans sa bouche. Incapable de respirer, Naruko ne put que déglutir le liquide infâme, elle eut le déplaisir de pouvoir gouter la pisse de la femme qui aspergeait sa langue. Le gout fit soulever son estomac, elle priait pour que ça s’arrête au plus vite mais la femme semblait tenir une réserve inépuisable de d’urine. Ce débit impressionnant d’urine fit que sa bouche était rempli à ras bord, et que tout le monde pouvait voir sa bouche débordait laissant l’urine coulait sur ses joues. Plusieurs personnes observé sa bouche dans une sorte de fascination morbide. De leur point de vue, malgré la couleur du liquide, il était suffisamment incolore malgré sa couleur jaunâtre et le soleil avait une inclinaison suffisante pour qu’il puisse observer la langue de Naruko marinait dans le liquide et essayait de se débattre le plus possible pour faciliter le passage du liquide et éviter qu’elle se noie dans la pisse. Ils observaient aussi avec amusement sa gorge déglutir le plus vite possible pour avaler le liquide dorée. Au bout de plusieurs longue minute où elle alternait entre suffoquer et l’envie de vomir, le jet se réduisit à un filet, elle se pencha juste au-dessus d’elle pour laisser les dernière gouttes dans sa bouche qui commençait à désemplir du travail de sa gorge qui essayait d’avaler le plus d’urine le plus vite possible.
Une fois terminée comme une dernière gifle à sa dignité, la femme se baissa encore plus et essuya les lèvres de son vagin contre les lèvres de sa bouche, comme si elle n’était rien de plus que du papier toilette. A ce moment-là, Naruko était dans un état catatonique, l’estomac rempli de pisse et être utilisé comme urinoir publique pour une foule d’inconnu l’avait suffisamment traumatisé pour que sa conscience se retire au fin fond de de son esprit. Elle ne résista même pas au fait que plusieurs personnes utilisèrent ses cheveux ou lèvres pour s’essuyer.
Une fois le spectacle terminé, la foule se dispersât, la laissant trempé dans leurs urines mélangé. Après quelques minutes, Naruko réussit à se relever, ramassant son sac et ne trouvant pas son string, elle prit la direction des toilettes le plus vite possible sans remettre ses seins dans sa chemise.
Une fois la porte verrouillé, elle remarqua que la journée chaude et le soleil n’avait pas été à son avantage. L’urine sur sa peau avait déjà séché la laissant avec une forte odeur de pisse, suffisamment forte pour recouvrir l’odeur habituelle des toilettes publiques. En jetant ses vêtements trempés d’urine et tout aussi malodorant dans le lavabo, qu’elle remplit immédiatement d’eau espérant les nettoyer. Saisissant ses cheveux, elle les pressa pour éliminer le surplus de liquide qu’elle déversa dans les toilettes. Prenant ensuite le produit pour se laver les mains des toilettes, elle espéré qu’elle pourrait l’utiliser pour se laver ainsi que ses vêtements.
Mais sa chance n’était pas avec elle aujourd’hui. Le produit était déjà vide.
Voyant sa situation, dans une toilette qui empestait la pisse, son odeur corporelle plus forte que celle des toilette, les vêtements trempé et transparent, sans sous-vêtements, les cheveux humide. Naruko sortit ses vêtements du lavabo et les mis à sécher à l’intérieur. S’asseyant ensuite nu sur la cuvette des toilettes, calmement et presque religieusement. Elle ramena ensuite ses jambes vers sa poitrine et enfouit sa tête à l’intérieur, enfin elle commença à pleurer de tout son saoul.
Fin du flashback
En y repensant, cette événement est certainement celui qui l’avait le plus traumatisé avec le fait d’apprécier de sucer Kuromaru. Son psychisme et égo masculin avait certainement était le plus fracturé à cause de ses 2 événements spécifique. Encore plus quand des photos de cette débâcle circulaient dans Konoha, alimentant déjà ses précédentes photos. Si jamais elle retrouvé ces hommes et femmes, elle ferait en sorte qu’ils regrettent d’être née. Elle était devenue nymphomane mais il y avait des limites. Et tous ces traumatismes lui faisaient se poser des questions sur son état mental. Elle n’était pas un expert, mais entre sa vie de solitude et son brusque changement de sexe avec les événements qui avait eu lieu, on pouvait se demander si elle était endommagée mentalement. Haussant les épaules à cette pensées, elle la jugea pas pertinente, elle était parfaitement heureuse comme ceci.Sa transformation mentale en femme ne s’était pas faite en un jour, sensei l’avait dans un certain sens aidé, les épreuves qu’elle avait du passé avait affaibli son égo masculin et lui avait permis de pleinement renaitre en tant que femme. La preuve était que maintenant outre la formation qu’elle continué pour garder son corps en forme, elle avait des activités plus féminine, aller au shopping pour acheter des tenues sexy était son activité préféré avec la formation de son corps et le sexe.
« Allez assez jouer. » En disant cela, l’homme l’attrapa par le bras et la plaqua contre le mur, lui tirant une grimace de douleur que ses fesses frappèrent le mur. Ecartant les jambes, elle put observer l’empressement de l’homme à la baisé. Tandis que d’une main il tâtonnait un de ses seins, de l’autre il s’empressait de baisser son pantalon et son caleçon.
Dévoilant sa virilité à elle, elle put voir qu’il était supérieur à la moyenne avec ses 22 centimètres. Fébrilement il la saisit et la guida en direction de son pot de miel. Après plusieurs essais infructueux, il arriva à l’aligner avec sa chatte et poussa son gland contre les lèvres de sa chatte. Il n’arrivait pas à croire qu’il allait baiser une telle femme, c’était la femme la plus sexy qu’il ait jamais vu, ou tout du moins dans le top 5 des femmes de Konoha. Le fait qu’elle ait seulement 16 ans laissé place à l’imagination à ce qu’elle ressemblerait dans le futur. Le fait qu’elle soit tatouée et percée était la cerise sur le gâteau, les femmes qui se faisaient ceci étaient pour la plupart d’excellente pute.
Fébrile, il entra lentement dans sa chatte, savourant les sensations qu’elle prodiguait à sa bite. Une fois entièrement gainé, il ne put que penser. « C’est la meilleure chatte que j’ai jamais baisé. » Ses murs tirait sa bite à l’intérieur comme si elle ne pouvait jamais avoir assez de bite et qu’elle supplié d’en mettre plus à l’intérieur. Non seulement ça mais la chaleur et l’humidité qui s’en dégagé était parfaite, et bien que serrer ses murs étaient doux comme de la soie et semblait caressé sa bite comme si c’était un amant longtemps perdu.
Il dû se retenir de ne pas jouir de suite après être entrée. N’en pouvant plus, et sachant qu’il ne tiendrait dans un telle environnement céleste. Il commença à la baiser comme s’il était un animal en rut.
Naruko était dans le ciel, le fait que son corps soit sensible à l’extrême après sa baise avec Jiraya ne rendait pas la baise trop douloureuse. Certes la douleur de ses fesses frappant le mur existait, mais elle était minime par rapport au plaisir qui assaillait ses sens. La taille jouait un bon rôle aussi. Certes la taille massive de Jiraya lui apporté un plaisir incroyable mais aussi suffisamment de douleur pour être inconfortable et la laissé douloureuse pour tout ce qui aurait suivi. En plus l’enthousiasme de son amant lui assurer d’atteindre son orgasme tant convoité.
La vitesse de ses coups lui procurait un grand plaisir et le sentiment de ses couilles frappant on périnée ne faisait que multiplié le plaisir qu’il lui apporté. Avant aujourd’hui elle ne savait pas que le périnée était une zone érogène. Et elle faisait connaitre les sensations qu’il lui donné plutôt vocalement.
« OUI, C’EST BON. CONTINUE DE ME BAISER. NE T’ARRETE SUROUT PAS. »
Son discours entrecoupé de ses gémissements de plaisir semblait stimulé plus loin l’enthousiasme et la motivation de son amant qui fit du mieux pour lui plaire en apportant une de ses mamelles massives à sa bouche et commencés à sucer et mordillé son téton, à son grand plaisir. Le fait qu’il lui apporté du plaisir sans être douloureux était nouveau pour elle. Etant masochiste, elle aimait la douleur, mais le sexe sans douleur semblait tout aussi incroyable, différent mais encore incroyable. Le fait qu’une de ses mains avait commencé à malaxer son autre sein lui faisait gagner des points dans son estime et son plaisir.
Enveloppant ses jambes autour de sa taille, elle mit une de ses mains sur sa tête se tenir profitant des vagues de plaisir qui déferlait sur elle.
Il ne pouvait pas croire qu’il baisait cette beauté, la façon dont elle l’encourager l’avait rendu fière, et puis commençait la journée par baisé une telle beauté était un excellent moyen de commencer la journée. Il sentit son égo gonfler. En attendant il avait saisi un de ses seins et avait commencé à sucer et mordiller le téton, ainsi que joué avec le piercing. Quittant le mamelon, il commença à lécher son sein, goutant le gout de la peau ainsi que profiter de sa texture parfaite. Il badigeonnait abondamment de salive son sein gauche avant de retourner au mamelon tout en jouant avec l’autre sein.
Naruko sentit une orientation différente d’une de ses poussés, sa bite touchait une partie inconnue de son vagin. Sans qu’elle ait le temps de comprendre son orgasme s’écrasa sur elle.
« OUUIIIII !!! »
Sans faire exprès, il avait frappé son point G, ce qui l’envoya dans un orgasme fracassant.
Il fut surpris de sentir sa bite être subitement serrer et voir qu’il l’avait amené à l’orgasme si rapidement. Son égo continua de grimper de savoir qu’il avait fait jouir cette beauté. Il fut encore plus surpris de sentir des jets frappaient son ventre, se rappelant qu’elle était une femme fontaine, son orgasme était vraiment explosif, il dura plus d’une minute et il pouvait sentir tout ce qui était en dessous être trempé par les multiple jets sortant de sa chatte. Encore mieux, sa chatte était devenue frénétique et semblait tout faire pour traire le sperme de sa bite.
En l’observant, il put apprécier à qu’elle point elle était belle, ses petites lèvres roses donnait envie de l’embrassait, ses yeux saphir brulait d’une passion brulante et semblait réclamé quelque chose que seul elle connaissait, ses 3 moustaches sur chaque joues renforçaient son côté espiègle et sexy.
Souriant, une fois qu’elle fut calmé il attrapa sa tête et a tira pour un baiser brulant. La dominant, il sentit sa langue douce se soumettre à la sienne, lui tirant des gémissements de plaisir dans le baiser. Sentant son self-control commençait à diminuer. Il commença à préparer à déverser son chargement en elle.
Naruko était là, sortant d’un des meilleurs orgasmes qu’elle eut. Sa situation actuelle aidait certainement à l’apprécié. Nu, en sueur dans un couloir, caler contre un mur avec ses jambes enroulé autour d’un inconnu qui l’embrassait et l’embrassait avec passion et elle qui répondait à son baisé avec tout autant de passion, le sperme qui continuait de couler de son sphincter. Et elle adorait chaque seconde de cela, si c’était cela son futur travail elle ne pouvait pas attendre de commencer à travailler. Et si son rythme et les contractions de sa bite indiquaient toute chose il était sur le point de jouir en elle.
Passant ses bras autour de son cou elle approfondit le baiser. Cela sembla l’envoyait sur le bord comme après quelque poussé de plus il enfonça sa bite jusqu’à ce que leur bassin se touche.
Même pas une seconde plus tard, elle sentit plusieurs jets de sperme chaud et épais frappant son col. Bien que la quantité et la force de son orgasme était largement inférieur à celui de Jiraya, elle put sentir une quantité raisonnable la remplir. Si elle ne se trompait pas, il avait expulsé plus d’une dizaine de jets d’une taille raisonnable en son sein.
Rompant le baiser pour respirer, elle l’observa tendrement. Essuyant la salive de ses lèvres, elle rapprocha sa tête pour pouvoir lécher la salive qui avait coulé sur son menton. Passant plusieurs coups de langue pour la léché elle termina par un simple baiser avant de le libérer de ses jambes enrouler autour de lui.
Souriant d’un air satisfait, il lui dit en tendant un billet de 3000 yen. « Faudra refaire ça, tiens c’est ton salaire. »
Souriant, elle acquiesça avec enthousiasme en saisissant le billet.
Ensuite, elle se dirigea vers sa chambre avec du sperme frais qui coulait maintenant aussi de sa chatte le long de sa jambe s’entrecroisant avec celui provenant de ses fesses. Et malgré la douleur évidente, elle marchait avec un sourire sur son visage.
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3 jours plus tard :
Naruko se dirigé vers le tatoueur, cela faisait 3 jours qu’elle avait commencé à travailler comme serveuse à Ichiraku. Ils avaient utilisé l’excuse comme quoi elle était la jumelle cachée de Naruto pour expliquer leur ressemblance. Travaillé là-bas n’était pas ce qu’elle avait imaginé, savoir que la jeune fille qu’elle considérait comme une grande était obligé de se prostituer pour subvenir à leurs besoins lui avait fait développer un grand sentiment de culpabilité.
Entrant dans le salon de tatouage, elle se demander ce qu’elle allait lui faire faire le vieil homme. Il était actuellement en train de discuter avec un client. Le vieil homme n’avait changé tant que ça, d’une petite taille avec une barbe et des cheveux longs cendrée, son client par contre était énorme. D’une taille approximative de 2 mètre 10, taillé comme une armoire à glace, sous son t-shirt noir sans manche, elle pouvait clairement voir ses muscles défini. Chauve, et ayant plusieurs tatouage quelle pouvait voir telle qu’une araignée sur sa tête chauve et un dragon chinois non fini sur le bras droit. Il semblait alimenté au stéroïde.
« Ah, tu es là, enfin. » Tandis que Oga l’accueillait, son client semblait la regardé comme si elle était un morceau de viande lui tirant des frissons d’anticipation. Ses vêtements laissés aussi peu de place à l’imagination. Elle était vêtue de d’une tenue attirant les regards, une minijupe tout court noir avec un corset bustier noir dont ses seins semblait débordé laissant un clivage conséquent pour tout le monde de voir accompagné d’un nœud noir qui le fermé. Pour le bas elle portait une porte jarretelle noire rattaché à des bas noires transparents avec des talons hauts noirs. Les touches finales étaient deux rubans noirs qui tenaient ses queues de cheval de chaque cote de sa tête laissant quelques mèches blondes tombé sur son visage, ainsi qu’un peu de maquillage qui consistait en un mascara noir et du rouge à lèvre rubis. Ses vêtements noirs et le resserrement du corset sur ses mamelles faisait ressortir son tatouage qui sortait du bustier, attirait le regard du spectateur autant dans la vallée de ses mamelles que les parties des rose visible sur le dessus de ses mamelons qui étaient à peine dissimuler par le corset, ainsi que celle entièrement visible sur ses épaule et le cou.
Dans cette tenue, Naruko s’était trouvé sexy, autre le fais que ses seins était compressé, elle aimait la façon dont elle révélait sa peau sans montré les choses les plus importante. Le nombre de regard lubrique qu’elle avait reçu en venant ici n’était d’égale que le nombre de fois qu’elle s’était fait accoster.
Naruko ne comprenait pas pourquoi les femmes n’aimait pas ça, elle avait été flatté de l’attention reçu, cela prouvait à quel point elle était sexy et la rendait fière d’elle de savoir qu’elle plaisait tellement. Les gens pouvait dire que c’était indécent de se promener dans la rue comme ça en pleine journée, mais pour elle, ils étaient juste jaloux qu’elle attiré le regard de leurs maris et de leurs femmes.
« Qu’est-ce que je dois faire… Patron. »
Souriant, Oga enchaina. « Bob m’a payé un supplément pour être diverti durant le tatouage. Comme tu sais les tatouages peuvent être longs. Donc tu vas le garder occupé durant le temps que je termine son tatouage sur son bras droits. »
« Tu n’imagines pas combien de temps j’ai passé à admirer l’affiche quand j’étais entrain me faire faire le tatouage. Et le soir je me branlais en pensant à toi, quand j’ai su que tu allais travailler à temps partiel, j’ai usé de toute mes économies pour que tu sois ici aujourd’hui. »
« Vous m’en voyez très honoré monsieur. Et j’espère que je serais à la hauteur de vos espérances. » Tout en disant cela, Naruko fixé l’entrejambe de l’homme en se léchant les lèvres. La raison ? Les boutons de la braguette de son jean semblaient prêts à exploser, la chose à l’intérieur devait être massive.
En voyant son regard, Bob sourit. « En tout cas, tu ne vas être déçu de ce que je vais te présenter. »
Bob s’assit ensuite sur le fauteuil en cuir noir qu’elle avait précédemment lécher. Cet ancien souvenir traumatisant était maintenant source de fierté, savoir qu’elle plaisait à tant d’homme permettait à son égo de se remettre un petit peu de ses années de négligence, d’abus et d’être ignoré. En se mettant sur le fauteuil, il enleva son t-shirt et baissa son jean et libéra le monstre.
Naruko regarda sous le choc, elle ne pensait pas que quelqu’un autre que Jiraya pouvait atteindre de telle taille. Bien que pas aussi massif, Bob n’avait pas à avoir honte de sa taille. Déjà en érection complète, sa bite mesurait 28 centimètres et était aussi large que son poignet. De peau mate, elle était parsemait de veine bien visible, la tête en forme de champignon fuyait de liquide pré-éjaculatoire. De plus, le long de sa verge était tatoué un serpent vert émeraude qui s’enroulait autour et à la l’approche du gland ouvrait sa bouche révélant ses crocs. Le pubis était rasé, mais son sac était poilue et semblait contenir 2 couilles de la taille d’une mandarine.
En voyant ceci, Naruko commença à saliver et ne put retenir de se lécher les lèvres en prévision de la suite.
Oga sourit et la prévint. « Pas trop vite ma jolie, le tatouage de Bob va prendre une heure à faire. Et il a payé pour le supplément, alors évite de le sucer à sec pendant les premières minutes. Il doit profiter de tes services durant l’heure entière. »
Naruko soupira mais hocha la tête. Sucer une heure sans pause allait être difficile et douloureux pour sa mâchoire, sans compter qu’elle allait devoir éviter certaine technique trop stimulante au risque de le fatiguer. Mais enfin bon, l’idée de déguster ce magnifique spécimen d’une bite durant une heure était en soi un véritable plaisir. Elle était sûre qu’elle allait s’amusée.
S’asseyant sur le tabouret à la gauche de Bob, placé là pour elle tandis que Oga se mettait en place de l’autre côté se préparant pour le tatouage.
Observant la bite qui pointait vers le plafond avec le liquide pré-éjaculatoire qui coulait le long, elle passa sa main sur les abdos, appréciant à qu’elle point ils étaient solide. Elle ne savait pas pourquoi elle avait développé une telle fascination pour les muscles. Lorsqu’elle était un garçon, voir un homme musclé ne l’aurait pas attiré, et encore moins intéressé. Elle devina que c’était quelque chose ancré dans le psychisme de la femme. En tout cas, elle ne pouvait qu’observer avec fascination son physique musclé.
Enveloppant sa main autour de sa verge massive, elle commença à le pomper lentement, en se servant du liquide pré-éjaculatoire comme lubrifiant. Elle apprécié beaucoup le sentiment du liquide pré-séminal qui courait le long de sa main, sa chaleur et sa viscosité était très agréable au toucher. Et avoir sa main envelopper autour de cette barre de fer qui était brulante au toucher, stimulé beaucoup son imagination. Elle montait et descendait dessus avec sa main d’un rythme lent et soutenue. A chaque fois que sa main arrivait jusqu’en haut, elle s’assurait que son pouce taquinait le dessous du gland pour augmenter son plaisir.
Continuant ce manège, elle apprécié beaucoup la vue de sa main montait de haut en bas de sa verge, et devenir de plus en plus humide du liquide pré-séminale qui fuyait de l’urètre et coulait le long de sa verge. Sa bite brillait tout comme sa main du liquide pré-éjaculatoire, elle retira sa main pour continuer à le masturber avec l’autre main.
Elle gémit de manière sensuelle lorsqu’elle approcha sa main de sa bouche et commença à la nettoyer lentement en la léchant, elle savourer le gout du liquide qui collait sur sa main. N’hésitant pas aspirer de manière obscène ses doigts. Durant tout ce temps elle n’arrêta pas une seconde de le masturber ni de détourner son regard de Bob en fixant ses yeux qui regardait ses moindres faits et gestes. Et si les gémissements qu’elle arrivait à lui faire sortir de sa gorge disait quelque chose, il apprécié le traitement.
Durant ce temps, Oga n’avait pas lâché le tatouage des yeux, il faisait preuve d’un professionnalisme surprenant, totalement concentré sur le tatouage en face de lui malgré la putain qui était en train de masturber son client.
Pensant qu’il était temps de passer au plat principal, Naruko mis ses 2 queues de cheval derrière ses épaules et abaissa sa tête pour que ses lèvre caresse le gland. Respirant l’odeur virile qui s’en dégageait, elle ouvrit la bouche et continua sa descente. Une fois la moitié de la verge engloutit, elle referma ses lèvres autour et passa sa langue le long de sa verge. Le gout qui emplissait sa bouche était incroyablement puissant et lui donner encore plus envie qu’il jouisse dans sa bouche. Elle se retint à peine d’augmenter la cadence pour le faire jouir le plus vite possible.
Tandis que sa tête montait et descendait sur la partie supérieure de sa bite, sa main en synchronisation avec sa tête faisait pareil avec la partie inférieure.
Le gout émanant de sa bite était encore plus intense et délicieux qu’elle l’avait imaginé. Continuant sur sa lancé, elle allait savourer cette heure passer à sucer cette énorme bite.
Durant plusieurs minutes, elle continua à le sucer variant le rythme ainsi que la synchronisation entre sa tête et sa main. Sa langue passait sur chaque centimètre de peau disponible dans sa bouche, elle savourée chaque goutte de liquide pré-éjaculatoire comme si s’était des ramen.
Elle adorait taquiné le gland de Bob avec sa langue, surtout les moments où le liquide pré-éjaculatoire sortait.
Elle sentit une main massive saisir le haut de son crâne, elle était suffisamment grande pour envelopper toute sa tête. La respiration de Bob était devenue bruyante et ses gémissement bien plus fort. Comprenant le message, Naruko remonta jusqu’à ce que seulement le gland reste dans sa bouche. Tout en continuant à le masturber, elle attendait à sa bouche d’être remplie du délicieux sperme.
Quelques secondes plus tard, elle sentit du sperme être envoyé dans sa bouche. Son orgasme était impressionnant, il cracher plusieurs liasses de sperme dans sa bouche. Elle gardé le sperme en bouche sans cherché à l’avaler.
Une fois que sa bouche fut suffisamment remplie de sperme, elle releva la tête en gardant la bouche hermétiquement fermé. Fermant les yeux, elle se prépara. Une fois que le gland fut à l’air libre, il continua de cracher du sperme, les derniers jets frappèrent ses lèvres, sa joue ainsi que son front touchant une de ses mèches la laissant collé à son front. Le dernier reste de son orgasme coulait sur sa verge pour arriver sur sa main qui continuait à le masturber.
Naruko ouvrit les yeux et regarda d’une manière fasciné, sa main ayant des lignes de sperme blanc. Le sperme était chaud, collant et beaucoup plus visqueux que le liquide pré-éjaculatoire. Ce n’était pas un excellent lubrifiant, mais le sentiment du sperme sur sa main et coulant sur le long de la verge faisait une image incroyablement érotique. Du sperme avait aussi atterrit sur ses cuisses et sur ses couilles ainsi que ses abdos. Son orgasme fut impressionnant, il avait bien du jouir au moins deux tasses de sperme.
Regardant brièvement l’heure, seulement un quart d’heure s’était écoulé, elle devait ralentir. Mais elle ne pouvait pas rester inactive, en observant la situation Naruko eut une idée pour la suite.
Relevant pour regarder les yeux de Bob, elle ouvrit la bouche pour montrer qu’elle était pleine à ras-bord de sperme. Le gout du sperme de Bob était légèrement différent de celui de Jiraya, plus doux et fort. Il était délicieux, pour le montrer, elle fit tourner le sperme dans sa bouche plusieurs fois sous l’œil appréciateur de Bob. Après avoir suffisamment eut le sperme en bouche, Naruko la ferma et déglutit avant de la rouvrir pour montrer qu’elle avait tout bu. Passant sa langue sur ses lèvres pour lécher le sperme qui était dessus. Elle gémit de la perte de sa boisson préféré, mais le gout qui resté encore en bouche la garderait heureuse quelque temps. Elle voulait garder le sperme sur le visage parce qu’elle savait qu’elle était incroyablement sexy comme ça et elle aimait le sentiment du sperme sur sa peau.
Sentant la main s’enlever de sa tête, elle l’entendit la féliciter. « C’est bien salope. »
Souriant avec sa manière unique, Naruko répondit. « Merci messieurs, mais j’ai encore trois quart d’heure à vous garder heureux. »
Gardant sa bite en main, Naruko se dit que ce serait un crime de gâcher du sperme. Approchant sa tête de ses abdominaux, elle commença à les lécher. Passant sa langue sur les magnifiques muscles, elle pouvait déguster la sueur salé qui était apparu suite à leurs activités.
Elle prit soin de lécher méticuleusement les muscles en évitant les sillons de sperme. Elle ne pensait pas qu’elle pourrait apprécier le gout de la sueur, mais le gout salé qu’elle donnait à la peau l’amener à vouloir parfaitement nettoyé ses muscles avec sa langue. Une fois qu’elle eut bien badigeonné de salive le ventre musclé, elle passa à ce qui l’intéressait vraiment.
Prenant une ligne de sperme qui commençait du pubis jusqu’à sa poitrine, elle léchant lentement cette ligne du pubis en remontant jusqu’à sa poitrine. Elle refit cette scène pour chaque ligne de sperme se situant sur son ventre. Elle accorda une attention particulière à son nombril en prenant soin de nettoyé chaque recoin avec sa langue. Durant toute l’opération, elle ne pouvait pas retenir ses gémissements de satisfaction, mangé du sperme sur les abdos d’un homme ne faisait pas partie de ses fantasmes jusqu’à aujourd’hui, mais ça avait été une expérience très intéressante. Regardant son œuvre, elle vit qu’elle avait parfaitement nettoyé le ventre de Bob qui brillait maintenant d’une couche de sa salive.
Elle répéta la même opération pour lécher les tâches de sperme sur les cuisses et ses couilles. L’opération était moins satisfaisante, l’odeur était plus forte et moins agréable, et les poils se mettaient sur la route de sa langue l’empêchant de savourer le sperme. Mais suçait ses couilles pour le sperme, l’avait excité fortement, sa culotte était devenue mouillé de son jus et collait agréablement à son aine. Avec sa main de libre, elle s’était mise à caresser sa chatte à travers le tissu lui procurant un plaisir indéniable. Mais elle retenait son envie de se masturber totalement, sachant qu’à la fin elle aurait droit à une baise qui l’amènera au nirvana.
Durant toutes ses actions, elle continuait lentement de le masturber le tenant en érection.
Elle se remit ensuite à le sucer en alternant de lécher sa bite comme une sucette et de mettre sa bite dans sa bouche en ramassant le sperme qui la couvrait. Mais plus le temps avançait, plus elle prenait des pauses où elle utilisait juste sa main pour lui faire plaisir. Sa mâchoire devenait douloureuse de cet exercice long et épuisant, et même son enthousiasme initial faiblissait.
Après elle ne sait combien de temps un second orgasme moins puissant explosa, elle utilisa une de ses mains pour la mettre au-dessus de l’urètre tandis que l’autre le masturber. Les jets frappèrent sa main qui laissa ensuite les gouttes de sperme tombé en-dessous. Ses 2 mains était couverte du sperme de Bob, tandis que sa verge était caché sous une couche de sperme qui coulait vers son pubis et ses couilles.
Sucer était amusant, mais l’ennui avait commencé à s’installer et le fait que son excitation lui rappelé constamment qu’elle avait besoin d’être baisé n’aidait pas son état. Pris d’une folie, elle amena sa main qui était au-dessus de la bite vers son visage et le badigeonna entièrement du sperme recouvrant sa main sous l’œil ahuri de Bob. S’étant fait un soin du visage avec le sperme, elle lui lança un sourire séduisant avant de poser ses lèvres religieusement pour un simple baiser sur le haut du gland recouvert de sperme.
Sa main tenant sa verge qui était recouverte elle aussi de sperme était immobile, amenant sa langue juste au-dessus, elle lécha jusqu’en haut sa verge en ramenant le sperme qui la recouvrait dans sa bouche. Elle donnait vraiment l’image de lécher une glace savoureuse et si ses gémissement de contentements étaient exacte, la glace était très savoureuse. Elle répéta plusieurs fois cet exercice pour nettoyer entièrement sa verge ainsi que ses couilles et son pubis de nouveau. Durant cet exercice, elle ne cacha pas sa bonne humeur de mangé encore plus de sperme et mis en place un spectacle pour Bob en faisant sorte de lécher le sperme comme un chaton en imitant des ronronnements. Pour être honnête, après avoir avalé tout ce sperme, malgré le fait que ce soit délicieux, elle commençait à avoir l’estomac rempli.
Si ses yeux grands ouverts étaient une indication, la stimulation visuelle fonctionnée, nul doute qu’il ne pouvait attendre la fin du tatouage pour la punir.
Elle était devenue une mauvaise fille donc c’était normale de la punir, non ?
« Est-ce que maitre est satisfait de mon traitement, nya ? » Elle put voir ses poings serrer dans la retenue, décidant de jouer avec lui, elle fit en sorte de remuer sa poitrine faisant trémousser ses seins emprisonné dans le corset, et de lécher ses lèvres. Elle vu que ses yeux ne perdait pas une miette du spectacle. Elle se redressa un peu, juste assez pour que de son angle, il pourrait voir en dessous de sa jupe et apercevoir sa culotte noire humide de son excitation. Elle sut qu’elle avait atteint son objectif en sentant la bite qui avait commencé à devenir molle revenir en pleine érection.
« C’est bon, j’ai fini. On va pouvoir punir la petite salope pour t’avoir taquiné comme ça. »
« Avec plaisir, je vais la baisé tellement fort qu’elle ne pourra plus prendre d’autres bites dans sa petite chatte serré de salope. »
« Oui, oui, punissez-moi, maitre. Baisez cette pauvre petite chatte. J’ai attendu toute l’heure pour ça, nya. » Pour souligner son point elle souleva sa jupe avec le bout de ses doigts pour éviter de la tacher, ceci montra aux deux hommes son état d’excitation. Elle avait littéralement inondé sa culotte qui collait à son vagin. Les deux hommes pouvaient vaguement voir à travers le matériau humide. En jetant un regard sur le tabouret où elle avait été assise, ils pouvaient voir qu’il était devenu humide de son jus. Le haut de ses cuisses brillait et les lanières du porte jarretelle avait absorbé une partie de son excitation.
Oga sourit, 2 semaines avec Tsume avaient radicalement changé son avis du sexe. Avant pour ce qui était du sexe, elle était timide comme une souris et plutôt rebuté par tout ce qui était de nature sexuelle. Sa personnalité n’avait que peu changé, elle s’était juste épanouie comme les roses qu’ils lui avaient tatoué, on remarquait bien son côté espiègle. Au niveau sexuel, elle ressemblait maintenant à une nymphomane confirmée, dire ceci et venir à son travail dans cette tenue en était des signes révélateurs. Elle avait totalement accepté sa nouvelle condition de femme.
Attrapant soudainement une de ses queues de cheval, il la tira vers lui la faisant trébucher sur le siège en cuir où était assis Bob quelque instant auparavant. Elle était maintenant couchée en travers du fauteuil en cuir avec sa tête atterrissant juste devant son entrejambe.
Naruko gémit de douleur, la surprise d’avoir sa queue de cheval tiré comme ça n’était pas agréable. En plus ses seins était piégé entre elle et le fauteuil la mettant dans une position plutôt inconfortable.
Oga défit son pantalon et baissa son caleçon présentant sa bite déjà dure au visage de Naruko. Pendant ce temps, Bob était passé derrière Naruko, il baissa rapidement sa culotte jusqu’à ses genoux puis prenant sa queue en mains il décida d’accepter sa demande et enfonça sa queue dans sa chatte.
Naruko était heureuse, elle allait enfin être baisée comme elle le méritait. Sa chatte quémandé l’attention et la bite du tatoueur était juste sous son nez orné d’une touffe de poils cendré. Elle n’était pas particulièrement impressionnée par sa taille, mais elle la sucera avec le même dévouement que celle de Bob. Son sourire s’élargit à des proportions épiques lorsqu’elle sentit sa culotte être tiré vers le bas. Elle eut juste le temps d’essayait de poser ses mains sur le sol avant le début de ce qui allait se révéler comme une de ces meilleurs sessions de sexe à Konoha.
Sans perdre de temps, Oga saisit le cuir chevelu de Naruko et amena sa bite en direction de sa bouche.
Naruko ouvrit sa bouche pour accepter gracieusement le présent qu’on lui offrait, sans qu’elle est le temps de commencés à sucer elle sentit une pénétration rude de sa chatte. La brusque stimulation perçut lui fit subir son premier orgasme. Elle sentit une première libération qui lui aurait fait arquer le dos dans le plaisir si les deux hommes ne la tenaient pas si fortement. Le coup fut suffisamment rude pour la déplacer et cela lui fit prendre entièrement dans sa gorge la bite qui était en face de son visage. Son nez heurta le pubis et s’enfonça dans la touffe de poils.
Naruko était partagé, d’un côté elle avait une son premier orgasme de ce qu’elle espérait une longue série, d’un autre côté elle était obligé de faire une gorge profonde à Oga. Elle était devenue doué à sucer, mais elle n’avait toujours pas supprimé son réflexe nauséeux et bourré sa gorge de bite était douloureux et mal à l’aise. Haussant les épaules mentalement, elle accepta de prendre les 18 centimètres de bite dans sa gorge et ferma ses lèvres autour ainsi que positionné sa langue de telle sorte qu’elle caressait le dessous de sa bite à chaque entré et sorti de sa bouche.
A chaque coup de hanche de Bob qui la pénétrer avec force elle était envoyé en avant pour prendre la bite d’Oga qui frappait le fond de sa gorge.
Malgré cela, elle gémissait de plaisir de son traitement, ceci envoyé des sensations agréables à la bite d’Oga. Il ne mit même pas une minute avant de jouir dans sa bouche. Serrant son cuir chevelu, il déversa son sperme alors que le rythme de Bob ne diminué pas, son sperme allait en alternance dans son estomac et dans sa bouche en raison du rythme imposé. Incapable de l’avaler dans sa situation, elle était obligée de la laisser dans sa bouche.
Oga ne sembla pas lâcher son cuir chevelu et à sa grande surprise il était encore dur et resté dans la même position. Il baisait maintenant sa bouche remplîtes de sperme entrainant le sperme sortant de sa bouche pour coulait sur son menton en raison de la baise brutale qu’elle recevait.
Bob avait saisi chaque côté de ses hanches et Avait mis en place un rythme brutale où chacun de ses coups atteignait son col sans le frapper. Sa bite étirait sa chatte de manière délicieuse et ses boules frappaient ses cuisses humides avec un bruit distinctif. La bite de Jiraya l’avait habitué à prendre des choses énormes dans sa chatte. Mais contrairement à Jiraya, la position et la taille de Bob était pour elle parfaite. Il ne déchirait pas sa chatte et au lieu d’abuser de son col, il le caressait lui donnant une nouvelle forme de plaisir auquel elle aspirait à mieux connaitre.
Sa chatte étant étiré au maximum sans être déchiré lui donnât un plaisir qu’elle n’avait jamais encore expérimenté durant les rapports sexuels. Son rythme brutal et rapide était son rythme préféré, et elle en jouissait un maximum. Sa longueur était parfaite, à chaque coup il venait caresser son col et son poing G la rendant folle de plaisir. Elle voulait plus, si plus tard, il lui demande de se mettre nue et de la trimballer en laisse à quatre pattes comme un chien jusqu’à son appartement pour continuer à connaitre ce genre de plaisir, elle le ferait sans hésiter.
Elle remercia Kami pour avoir des fesses ayant une quantité de chair suffisante pour amortir ses coups, sinon nul doute qu’il aurait mis son bassin en pièces. Elle aimait sa position, l’impression d’être utilisé comme jouet sans qu’elle n’ait rien à faire juste d’être baisé, la rendait encore plus sensible aux sensations de plaisir. Bien que sa gorge commence à être douloureuse, elle profitait grandement de sa position.
Elle sentait ses mamelles être écrasé contre le cuir était étrange mais cela permettait d’éviter qu’elles pendent dans le vide et de la gêner. Sentant un deuxième orgasme sur son chemin elle remercia de nouveau Kami, d’être tombé sur Bob pour la punir.
Ce fut ses dernières pensées cohérente. Le second orgasme sentit comme si on la frappait physiquement, tout son corps se tendit comme si elle venait d’être frappée par la foudre. Elle ne regrettait certainement pas ce travail.
Elle ne sut pas combien de temps Bob continua de la baiser alors qu’une brume obscurcissait lentement ses pensées. Elle s’était jamais sentit autant en vie et consciente de son corps que durant cette état. Etre baisé semblait comme son seul but dans la vie, le sentiment de sa chatte être massé par cette énorme bite qui ne ralentissait pas une seule seconde semblait céleste. Ses orgasmes se succéder à une vitesse époustouflante, court-circuitant toute autre pensé qui ne concernait pas le sexe.
A un moment, le fait de se déplacer comme ça sur le siège occasionnait un frottement entre elle et le siège. Ce frottement fit que ses seins sautèrent hors de son corset. Maintenant libre de leurs attachent, elle pouvait directement apprécier le frottement de ses mamelons sur le cuir souple et chaud du fauteuil. Ceci permis une montée en puissance de son plaisir, puisque maintenant ses mamelons étaient stimulés à chaque poussée en se frottant contre le cuir.
Sa chatte et ses mamelons était devenue incroyablement sensible, chaque micro-déplacement de la bite logeait dans sa chatte semblait déclencher un orgasme. Vu sa longueur et le temps qu’il l’a baissé, elle avait arrêté de compter depuis longtemps. Son vagin se contractait et pulsait, stimulant la bite qui la pénétrer. Cherchant à la faire remplir de sperme son ventre qui n’attendait que ça. Elle sentit sa cyprine atteindre ses doigts, preuve de ses orgasmes. Elle devait expulser sa cyprine presque continuellement sur le carrelage qui avait formé une flaque conséquente.
Même la douleur de sa gorge et le sentiment de l’avoir baisé passé au second plan. Tout son être était concentré sur le sentiment de sa chatte être baisé. Elle les entendait vaguement parlé. Elle était au courant du sperme qui remplit sa bouche une nouvelle fois, ainsi que des dernières gouttes qui vinrent recouvrir son visage de sperme. Avalant plus par réflexe le sperme que par réelle envie. Elle sentit l’orgasme de Bob arriver, maintenant ayant la bouche vide, elle put lui crier son amour.
« OUUUI, REMPLIS MOI DE SPERME AVEC TA GROSSE BITE, FAIS MOI TA CHIENNE. TU PEUX ME DEMANDER TOUT CE QUE TU VEUX. ME METTRE ENCEINTE, ETRE TON ESCLAVE SEXUELLE… TOUT. JUSTE N’ARRETE PAS DE ME BAISER !!! »
« J’ESPERE QUE TU TE RAPPELLERAS TA PROMESSE PLUS TARD, PUTAIN !!! » Et sur ses mots, Bob ne pouvant plus se retenir après avoir été sucé et taquiné durant une heure, puis d’avoir réussi à tenir son orgasme pendant la demi-heure qu’il l’avait baisé. Les mots qu’elle avait prononcé lui avait envoyé dans un des meilleurs orgasmes de sa vie. S’enfonçant une dernière fois, il pulvérisa un déluge de sperme bouillant directement dans son utérus.
Le sentiment d’accomplissement qu’il reçut de cette action était merveilleux et resteras un de ses plus beau souvenir. L’action d’inondé son ventre de son sperme fertile ne faisait qu’accentuer son orgasme. Sentant enfin, après ce qui semblait être une éternité, les derniers jets se calmèrent, il se retira à contrecœur, une fois sortit, il se masturba rapidement pour laisser ce qui rester de sperme dans sa verge dans la culotte noir qui était sur les genoux de cette merveilleuse putain, laissant une cuillère de sperme à l’intérieur, puis il l’utilisa pour s’essuyer avant de se rhabiller. Il se dirigea ensuite vers Oga qui les observaient de la caisse pour le payé.
Naruko avait du mal à se relever, elle dû faire de gros efforts et attraper le siège pour éviter de tomber. Reprenant sa respiration, elle observa Bob payé Oga. Elle espérait vraiment le revoir, si chacune de leur rencontre était comme ça alors elle devrait prendre rendez-vous avec lui pour réitérer l’exploit. Non seulement il était de très bonne taille mais au vu de son expérience durant l’heure et la sensation du sperme dans on utérus et coulant sur ses cuisses, il jouissait une quantité de sperme bien supérieur à la moyenne.
Soupirant, elle était sur le point de remettre se seins dans le corset et en regardant la flaque en dessous, elle savait qu’elle devra passer la serpillière.
« BURPPPP !!! » Naruko rougit et mit immédiatement sa main devant sa bouche, honteuse.
« Il semble que la salope s’est régalé, hein Bob ? »
« Si je pouvais être de nouveaux être dur, je lui en aurait fourni plus. »
Les deux souriaient à son rot. Naruko rougit surtout qu’une odeur distinctive de sperme était sortie de sa bouche après ce rot. Il semblait qu’elle avait trop mangé, même le sperme recouvrant ses mains ne lui faisait plus envie. Qui savait que le sperme était tellement nourrissant ?
« C’est comme on dit, il faut manger avec modération. Mais vous m’avez fourni un festin que je suis sûr de ne pas oublier. »
« Attend, j’arrive. » Dit Oga, elle remarqua qu’il avait un appareil photo dans ses mains. Elle était heureuse que son état soit immortalisé, elle lui demanderait une copie pour se rappeler de ce jour.
Arrivant à elle, il l’aida à remettre son corset en place et remettre ses seins à l’intérieur.
« Voilà, maintenant place toi avec l’affiche de toi derrière toi, voilà. Tend les bras vers moi et fait le signe de la victoire en souriant. Parfait. » Elle se demandait à quoi elle devait bien ressembler, sa culotte sur ses genoux, ses deux mains et son visage recouvert de sperme. Sans compter le sperme qu’elle pouvait sentir coulait le long de ses cuisses en provenance de sa chatte.
Elle remonta sa culotte avec ses bas, lorsque sa culotte fut mis en place elle sentit tout de suite le sperme collant qui l’imbiber, coller à ses fesses et sa chatte. Riant de la blague et remettant en place ses bas, elle appela Bob avant qu’il parte.
« Hé, Bob. Si tu veux qu’on remette ça, je travaille durant deux semaines à Ichiraku ! »
« Ah, je serais sur de passer pour vider mes couilles. » Sur ses mots doux, il sortit de la boutique.
Se dirigeant vers la salle de bains pour essuyer ses cuisses, ses mains et son visage, elle pensa que la sensation du sperme dans sa culotte était vraiment bizarre. Mais, elle aimait le sentiment collant à cet endroit contre ses parties intimes. Et quand elle marchait, ça la mettait mal à l’aise, mais le sentiment d’être une salope dévergondé qui se promenait avec du sperme dans sa culotte agissait comme un puissant stimulant, surtout qu’à chaque mouvement de ses hanches elle pouvait sentir du sperme de Bob s’échapper de sa chatte salissant encore plus sa culotte.
Arrivant devant le miroir de la salle de bain, elle fut déçu son masque au sperme était très sexy, on voyait à peine ses marques de moustache, mais son mascara noir avait coulé se mélangeant au sperme. Heureusement son rouge à lèvre avait tenu. Après s’être nettoyé, elle revint vers Oga.
« Tient, c’est ta part. » Sur ces mots, il lui tendit 10 000 yen qu’elle prit et enfonça dans son décolleté sous l’œil attentifs d’Oga.
Après avoir nettoyé les dégâts que son orgasme avait faits. Elle n’arrivait toujours pas à croire le volume de liquide que sa chatte avait expulsé. Elle s’apprêta à partir.
« N’oublie pas, on un autre client dans deux jours. »
Le rassurant d’un geste de la main, Naruko continua sa route appréciant la sensation de sa culotte sale sur son aine et le ballotement du sperme à l’intérieur d’elle.
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5 jours plus tard :
« Naruko !!! Il y a un client qui a commandé un ramen miso spécial, apporte lui !!! C’est Ayano qui a commandé !!! »
« Tout de suite, Teuchi !!! » Naruko saisit le bol et l’amena au comptoir. Elle était vêtue d’un simple t-shirt noir et une jupe noire. Elle n’avait pas envie de tacher ses vêtements préférés. Pardessus, elle portait un tablier blanc. Elle avait attaché ses cheveux en un chignon torsadé retenu par deux baguettes en argent.
Arrivant au comptoir avec le bol, elle vu le client en question. Ayano était un habitué, il ressemblait à tout le monde dans Konoha, une personne dont on oublie facilement le visage. Lorsqu’il la vue, ses yeux prirent un air lubrique et fixa ses seins. Posant le bol devant lui en souriant, elle lui dit.
« Voilà votre commande bon appétit. »
« Merci, Naruko-chan. Cela semble délicieux, comme toujours. » Vu son regard, il ne parlait pas des ramen. Souriant, elle croisa ses bras sous ses seins les rendant encore plus imposant que la normale. Il déglutit à cette vue, confirmant que c’était plutôt ses seins qu’il trouvait appétissant.
Souriant mentalement, Naruko le trouva stupide. Présente-lui une paire de seins et il sortira son portefeuille automatiquement. C’était un vrai pigeon, il devait être une des personnes qui venait le plus souvent à Ichiraku et y dépensé le plus. Son travail en tant que serveuse avait ramené beaucoup de monde. Avant selon les dires d’Ayame, elle faisait 20 à 25 commandes spéciales par jour en moyenne. Pas étonnant qu’elle était fatigué pensa-t-elle aigre, le nombre de personnes qu’elle devait servir seul était déjà important, si on rajouté le fait qu’elle était dégouté d’elle-même après avoir servi chaque clients… Cela l’étonner qu’elle n’était pas tombé en dépression.
En arrivant, elle s’était arrangée pour devenir proche d’elle et la soutenir. Avoir une épaule sur laquelle elle pouvait pleurer, et s’était mis en tête de servir tous les clients, même si elle devait finir la journée morte de fatigue. Et puis après tout, Jiraya était un monstre d’endurance et elle avait été formée par lui. Les résultats de sa formation se montré, après avoir baisé Bob, elle ne s’était même pas évanoui et avait mis dix minutes avant de pouvoir de nouveau marcher. Bon, en rentrant elle ne marchait pas trop droit, mais elle marchait.
Le problème est qu’elle s’était largement sous-estimé. Lorsque certains surent qu’elle travaillait là, ils venaient pour commander un ramen spécial. Certes ça rapporté plus d’argent à Teuchi et Ayame. Mais le nombre de commande spécial approché maintenant les 50 par jours !!!
Heureusement pour Ayame, elle était très têtue. Les journées de travail ressemblaient maintenant plus à une course de vitesse et d’endurance. Elle utilisait tous ses atouts et techniques pour terminer les commandes spécial le plus vite possible. Cela lui permettait d’éviter de se fatiguer et passer le plus vite possible à la commande spécial suivante.
Elle l’avait dû maitriser l’art de la stimulation visuelle, des sous-entendus et de la comédie. Un homme fortement excité avant le sexe jouit beaucoup plus vite, et elle gagne le temps des préliminaires au cas où elle aurait dû les mettre en érection.
Même avec son augmentation de compétence, elle arrivait à peine à faire 45 services, heureusement Ayame n’en faisait plus beaucoup et certains jours où le nombre de commande spécial passait sous la barre des 45, Ayame n’avait pas une seule spéciale à réaliser. Et cela se voyait, Ayame était beaucoup plus joyeuse, mais elle insistait pour prendre ses commandes ne supportant pas l’état dans laquelle elle terminait ses journées. Chaque fois Naruko devait la rassurer que ce n’était rien pour elle… mais Ayame n’était pas dupe. C’était logique, il est pas possible de le cacher quand elle était obligé d’aller au toilette plus de 5 fois par jour. Soit pour faire ses besoins et en profiter pour vider l’excédent de sperme dans sa chatte et son colon. Elle était tellement remplie, qu’au bout d’un moment on pouvait la suivre à la trace. Elle le savait car elle avait fait une expérience malencontreuse. Pour gagner du temps, elle avait retiré sa culotte, les clients qui comprenaient qu’elle était sans culotte durant son travail étaient fortement excités et elle n’avait pas à la baisser. Elle n’avait pas fait ça avant car il lui restait une certaine décence que son Ji-san lui avait apprise. Enfin, après deux heures de service, ses jambes était recouverte de sperme et coulait périodiquement par terre, tout le monde lui avait fait remarqué. La honte qu’elle avait ressenti était assez importante, surtout qu’heureusement que c’était des clients spéciaux qui lui avait fait remarquer, sinon elle n’osait pas imaginer la réputation qu’aurait eu Ichiraku. Et elle remercié la forte odeur de ramen du magasin, sinon tous les clients auraient senti la odeur de sexe qu’elle dégageait en tout temps.
L’autre raison qui faisait qu’Ayame savait qu’elle avait du mal à suivre était certainement le bruit provenant des toilettes et le fait qu’elle roter plutôt souvent. Une fellation représenter environ la moitié des demandes, et ne pouvant qu’avaler pour ne pas salir son habit de travail et annoncé au monde ce qu’était les commandes spéciales, elle était obligé d’avaler. Elle adorait le gout du sperme et de jouer avec dans sa bouche, mais elle avait très vite compris que sa demande était dépasser par l’offres. Elle devait périodiquement se forcer d’avaler et dès le premier jour, elle s’était précipiter au toilette pour vomir. Voir les toilettes remplie de sperme l’aurait excité dans un autre contexte, mais là être obligé de le vomir avait considérablement réduit l’effet qu’il aurait pu avoir.
Durant ces jours de travail à Ichiraku, elle ne mangeait qu’une barre nutritive le matin pour avoir les éléments nutritifs nécessaires pour son corps. Durant tout le reste de la journée, elle mangeait du sperme, bien que nourrissant était un peu trop pour elle. Comme elle l’avait dit, il faut consommer ce qu’on aime avec modération. D’un point de vue extérieur, elle devait ressembler à une gloutonne avide de sperme, ce qu’elle était, mais pas à ce niveau. Elle avait récemment trouvé une technique pour diminuer la quantité de sperme avalé, cela lui permettait d’éviter au toilette toute les 2 heures pour vider son estomac plein de sperme. Ce rythme infernal la fatigué, le soir lorsqu’elle rentrait, elle prenait une douche et s’effondrait sur son lit pour dormir.
Elle ne doutait pas un instant de ce qu’elle faisait, ceci était pour Ayame onee-chan. Son pure entêtement et sa détermination ferait qu’elle la protégerait. Une chose que son travail lui avait fait prendre conscience était la position de la femme dans la société.
Peu de femme arrivait à percé et à devenir célèbre et gagnait un revenu stable. Dans beaucoup de travail le sexisme était prépondérant, et donc les femmes était soit pas embauché ou resté en bas de la hiérarchie avec très peu qui arrivait à monter dans la hiérarchie. Une autre solution était de devenir une kunoichi, mais c’était difficile, les risques étaient grand et au final peut arriver à survivre et gagner un revenu correcte. Pour une Tsunade, 5 000 kunoichi s’engager, pour une Kurenai, 1 000 kunoichi s’engager. Une autre méthode était soit d’être d’une ligné noble ou d’épouser un homme riche, dans ses cas-là, elle finirait comme une femme-trophée. Finalement le métier qui payait le mieux était d’être prostituer, on travaille à son compte, on faisait ses horaires… et la seule chose qu’on vérifie avant de te faire travailler, c’était ton corps.
A cela s’ajouter le fait que les femmes étaient les cibles privilégiées des bandits qui les violaient et les vendaient en esclavage. Une belle femme valait environ 300 000 yen au marché noir, c’était un de ses clients qui lui avait dit cela. Le fait que certains pays autorisaient l’esclavage et organiser des marchés aux esclaves, n’aidait pas à faire reculer cette pratique barbare. Même les villages cachés pensaient comme cela, Kumo en tête qui avait essayée d’enlever sa mère et Hinata pour essayer de démarrer les clans Uzumaki et Hyuga chez eux, ayant privilégié l’enlèvement deux femmes, il n’était pas difficile d’imaginé qu’elle allait être leurs techniques pour faire prospérer le clan à partir d’une seul femme. Ils auraient pu essayer de soudoyé un homme, cherchait un membre du clan Uzumaki. Ils auraient même pu demander à une femme de les rejoindre en lui proposant de donner ses ovules. Au contraire, ils les avaient enlevés, montrant bien qu’un homme était considéré comme plus difficile à enlever et faire coopérer, et que les femmes étaient considéré comme des objets facile à manipuler.
La somme de ces facteurs, le fait que la plupart des femmes étaient obligées ou on étaient obligés de se prostituer pour subvenir à leurs besoins, a laissé une image très négative de la femme dans la société. Lui donnant une image d’objet sexuel.
Et cela l’amener au problème d’Ayame. Pour l’instant seul un cercle restreint de personne étaient au courant de ce qui se passé à Ichiraku, des habitués, des personnes ayant les bonne connexions… Si le fait que les serveuses d’Ichiraku se prostituer dans l’arrière salle devenait publique, alors en considérant les impôts qu’ils devront payés, Ayame avait de bonne chance de ne pas pouvoir entrée dans une grande école de cuisine et de ne pas avoir de bourse.
Naruko avait mangé la cuisine d’Ayame onee-chan, et son onee-chan était très talentueuse. Et son rêve était de monter son propre restaurant, et apprendre qu’elle s’était prostituée détruirait son rêve. Naruko protégerait à tout prix le rêve de son onee-chan.
« Alors, est-ce que le ramen est bon, monsieur ? » En disant cela elle se courba en veillant à ce que ses mamelles se reposent sur le comptoir.
« Oui, très bon. » Naruko sourit, elle ne perdrait pas beaucoup de temps avec lui, si la façon dont il regardait ses mamelles et comment il semblait essayé de cacher son excitation était de bons indicateurs de son excitation.
« Vous savez, ce que j’adore le plus dans les ramen, c’est la soupe. Je ne peux jamais me lasser dans boire. » En disant cela, son regard errait à l’érection dissimulé par son jean ne laissant aucun doute qu’elle type de soupe elle aimait boire. Pour renforcer cela, elle lécha ses lèvres de manière exagérée en simulant un gémissement de frustration.
« Le denier client n’a pas laissé de soupe. Vous m’en donnerais beaucoup à boire n’est-ce pas A-y-a-n-o-s-a-m-a ? »
« Je pense pas, j’ai très faim et je dois aller acheter des roses pour ma femme. » A cette réponse Naruko fit la moue. Le sous-entendu de la rose était facile à comprendre, lorsqu’elle avait commencé à travailler, beaucoup de client avait été indiscret et lui demandé jusqu’où descendait le tatouage sur son cou. Le regard sur le visage des clients quand elle avait répondu directement « jusqu’à ma chatte » avait été hilarant.
« Merci c’était très bon, au revoir. »
« Au revoir, monsieur Ayano. » Naruko se dirigea vers l’arrière salle sachant qu’Ayano faisait juste le tour.
En entrant dans l’arrière salle, les premières choses qui marquait était l’odeur distinctive du sexe qui flottait et semblait imprégner les murs ainsi que sa petite taille. Le tout était vide et gris avec une chaise, une bassine, du sopalin et une poubelle ainsi que des portes manteaux. Le sol était recouvert de diverse tache d’origine inconnue, enfin elle serait inconnu si la personne observant ne connaissait pas la véritable fonction de la pièce.
Dès qu’elle entra, elle enleva son tablier et sa jupe. Jetant un regard autour de la pièce, Naruko sentit des pulsions meurtrières se faire connaitre en elle. Les mains contre le mur et la jupe et sa culotte à ses pieds, Ayame se faisait enculé par un client qui avait attrapé ses seins.
Au vu de ses grognements, il devait être à sa limite.
« OUI, MAITRE, DEFONCE MON CUL AVEC VOTRE GROSSE BITE. REMPLISSER MOI DE VOTRE SPERME, UNE SIMPLE PUTE COMME MOI NE LE MERITE PAS !!! » Ayame le stimuler par ses paroles pour le pousser à jouir. Pour une vue extérieur, elle ressemblerait à une pute enthousiasme. Mais Naruko était très clairement capable de voir au-delà de son masque, ce fut encore plus frappant qu’elle n’aimait pas sa position quand elle vu qu’elle était entrée et avait ensuite détournée le regard la fuyant des yeux. Naruko savait que Ayame se détestait pour apprécier de se vendre comme ça à des inconnus, elle était toujours honteuse après avoir aimé le sexe avec eux.
Naruko eut très envie d’égorger le porc qui baisait son onee-chan, mais se retint sachant qu’elles avaient un travail et devez rapporter de l’argent pour les études de son onee-chan. Malgré l’aide qu’elle avait apporté, elle se sentait coupable de voir cette scène. Elle avait juré de ne plus laissé son onee-chan se prostituer, et elle était là, contre un mur tandis qu’un homme lui tripotait ses seins et enfoncé sa bite dans son cul. Et elle se sentait encore plus coupable sachant que c’était parce que trois quart d’heure avant Bob était passé.
Avec ses techniques, les hommes mettaient cinq à dix minutes à jouir. Mais Bob la baisait au minimum pour une demi-heure, c’était elle qui lui avait indiqué qu’elle travaillerait ici et qu’il avait qu’à commander une spécial pour qu’elle s’occupe de lui. Certes elle adorait se faire baiser par lui, mais à cause de sa délicieuse endurance, elle manquait parfois des clients qu’Ayame devait s’occuper.
Retenant son envie meurtrière, Naruko mis un sourire séduisant sur son visage en voyant l’autre porte s’ouvrir révélant Ayano.
« Je suis là maitre, prête à servir. » Elle ne parlait pas, elle ronronnait. Sa voix était suave et avait une qualité hypnotique, on pouvait littéralement sentir la promesse caché de plaisir inavouable dans sa voix.
« Je l’espère bien salope. » Non seulement, il jeta un regard à ses seins où l’on pouvait voir ses deux mamelons dur à travers sa chemise. Mais aussi sur sa petite culotte blanche, sa culotte était déjà complétement souillé par le sperme de ses précédents clients et son excitation la rendait transparente. Les lèvres de son vagin collait dessus et on pouvait voir à travers du sperme qui continuait de couler de son ouverture, venant souillé de plus en plus sa petite culotte imbibé de liquide.
« Vous aimait ce que vous voyait maitre ? » C’était un jeu avec lui, il la connaissait bien.
« Dis-moi garage à bite, combien ont tiré un coup à l’intérieur aujourd’hui ? »
« Vous serez le vingt-septième visiteur à user de cette humble benne à sperme, maitre. »
« Bien, je vois que tu es toujours une aussi bonne putain, baisse ta culotte que je puisse te baiser et met tes mains contre le mur. »
« Avec plaisir maitre. Usait de moi autant que vous le souhaitez. » Elle disait cela, mais il savait tous les deux qu’il ne pouvait jouir qu’une fois, sinon il devait prendre un second spécial. De toute façon, elle était devenue si doué que la plupart des hommes étaient satisfait après une seule fois. Elle mit baissa sa culotte jusqu’aux genoux et se mit en position.
Mettant ses mains contre le mur qui était à l’opposé de l’endroit où se déroulait la scène avec Ayame, une fois en position elle tourna la tête et tout en lui souriant, elle remua ses fesses.
« Je n’attends que vous maitre, collait votre grosse bite dans la chatte affamé de cette salope impatiente. »
« Hum, tu t’es déjà tapé 26 hommes et tu en redemande ? Tu es vraiment une putain affamé de sexe. » Il se mit derrière elle et prit un sopalin pour essuyé ses fesses et sa chatte souillé par les multiples hommes qui l’avaient baisée depuis ce matin.
Une fois ceci fait, il baissa son pantalon et son caleçon et guida sa bite vers sa chatte pour la gainer en elle.
Naruko soupira lorsqu’elle le sentit écarter les lèvres de son vagin. Il n’avait pas de chance, non seulement sa chatte n’était plus fraiche, mais son utérus était rempli à ras bord de sperme. Des gouttes de sperme parsemaient les murs de sa chatte ainsi que ses lèvres, cela facilitait la pénétration mais certains hommes n’aimaient pas le fait que la marchandise soit déjà utilisée. Et si cela ne suffisait pas, il passait juste après Bob, sa guérison n’arrivait jamais à rendre son vagin à une taille normale et de nouveau serrer après son passage. Et après une quinzaine de clients, on lui faisait remarquer que sa chatte s’était desserrée. Cela faisait que sa régénération n’avait le temps de guérir son vagin seulement pendant la nuit. Le rythme infernal auxquelles elle était soumise faisait qu’elle était incapable de guérir entre 2 clients et être de nouveau serrée.
L’avantage est que lorsqu’elle en levait son tablier, elle montrait à ses clients son ventre ayant grossi. Au départ, ils pensaient qu’elle était enceinte, mais lorsqu’elle expliquait que c’était le résultat des multiples charges de sperme qu’ils pompaient dans son estomac, utérus et colon, ils la regardèrent surpris. L’idée même qu’elle était capable d’accueillir une telle quantité en elle avait créé un certain engouement de ses clients. Ils avaient décidé de mesurer à chaque fin journée la taille de son ventre, le record actuel était de 83 centimètres. Aujourd’hui, pour l’instant, il y avait une houle assez conséquente au niveau de son ventre
Elle avait entendu des clients dire qu’elle était née pour être baiser. Elle sourit à ce terme, ‘’créer’’ serais plus juste. Tsunade ne pouvait pas expliquer pourquoi son corps était fait pour le sexe. Elle avait une hypothèse, quand elle était jeune, elle avait remarqué les regards étranges que jetaient les hommes aux belles femmes. Elle avait interprété ces regards comme une attention positive. S’y intéressant, elle avait appris que plus une femme était apte au sexe, meilleur sera l’attention qu’elle recevra. Lorsqu’elle avait développé son sexy no jutsu, elle avait inconsciemment imaginé son corps selon des caractéristiques bien précise, des caractéristiques que les hommes trouvaient attirante, et le chakra du renard avait certainement aidé.
« Je devrais vraiment arriver plus tôt. Ta chatte n’est pas aussi souillée ou desserré le matin. Je ne sais pas comment le lendemain tu es capable d’être à nouveau serrer et avoir ta chatte ressemblant à une chatte de vierge ayant bien sa place sur une jeune fille pure et innocente. Ah, comme si t’était pure et innocente, on sait tout deux que t’es qu’une putain avide de sexe. » Pour prouver son point, il claqua sa fesse droite, la faisant glapir.
« Oui, maitre punissez-moi plus fort ! Je sais que je suis une mauvaise fille, je ne me prostitue pas pour l’argent, juste pour être rempli de sperme et j’adore ça ! »
« Très bien, salope. Je vais ajouter une nouvelle charge dans ta chatte, comme tu le désire ! »
Une fois entièrement en elle, il attrapa ses seins et commença à les maltraiter. Il n’était pas doux, il les serrer fortement et malaxer sans soins pour l’inconfort qu’il pouvait lui causer. Naruko était devenue habitué avec la fascination de ses clients pour ses seins et elle terminé souvent la journée avec ses seins douloureux. Mais, elle apprécié ce traitement durant les rapports sexuels. Une autre chose qu’elle apprécié et le sentiment du gland de la bite qui lorsqu’il arrivait assez profondément, pataugé dans le sperme qu’elle avait accumulé, ceci le faisant bouger à l’intérieur d’elle.
« J’ai dû passer plusieurs fois pour te voir au comptoir. Tu passes combien de temps dans cette salle ? Tu travailles plus dans l’arrière-boutique que de servir les clients. »
« Oui, maitre. Je passe la plupart de mon temps dans cet endroit sombre et humide à satisfaire les clients. »
Ses phrases l’excitaient beaucoup, elle pouvait sentir qu’il approchait déjà de l’orgasme. Elle était très douée pour faire jouir ses clients rapidement. Son premier vrai travaille en tant que prostituer lui avait donné une bonne expérience. Savoir répondre aux attentes de ses clients, les voir repartir satisfait après s’être servi d’elle, lui procurait un intense sentiment de satisfaction. Se faire traiter comme un objet sexuel et baiser par des inconnus sans aucune considération pour elle la faisait se sentir comme une simple marchandise dans une vitrine, cela allumer un puissant feu dans ses reins. Son corps ne lui appartenait plus, seul ceux qui payait pouvez en disposer, et elle adorait cela, ce sentiment de soumission sentait comme si c’était ce qu’elle avait toujours recherché. Elle souriait toute la journée, elle n’avait plus besoin de mettre un masque pour cacher une douleur qui n’existait plus, et son bonheur se transmettait à ses clients. Et elle voulait transmettre ce bonheur à ses clients.
« Kami, que ta chatte est chaude et accueillante, putain de pisseuse ! »
Naruko rougit à ce terme, ce n’était pas de sa faute. Le nombre constant de client qui affluait faisait qu’elle avait très peu de pause. Elle arrivait à aller au toilette, mais avec la quantité d’homme qui la baisait constamment, qui appuyait sur sa vessie et l’obligée de boire fréquemment faisait que quelque fois pendant la journée, il lui arrivait des accidents durant les rapports sexuels. Baissant la tête, elle put voir le mur qui était humide de sa cyprine et de son urine. A chaque fin de journée, elle devait nettoyer ceci, Ayame s’était porter volontaire pour alléger sa charge de travail, mais il n’y avait aucun moyen qu’elle laisse son onee-chan nettoyé ceci.
« Putain, je vais venir, prépare toi ! »
« Hé, maitre ! Je vais vous montrez à quel point une bonne salope je suis. Sortez s’il vous plait. »
Ayano lui jeta un regard interrogateur, mais obtempéra, curieux.
Se retournant et se baissant, elle enleva sa chemise libérant ses seins. La première chose qui marquait était son soutien-gorge blanc qui était trop petit, ses seins semblaient à prêt à sortir de leurs fixations. Le choix d’un soutien-gorge trop petit était osé, toute la journée elle avait senti la pression désagréable sur ses seins. Mais lorsqu’on regardait de plus près on comprenait la raison de ce choix, ses seins était serré ensemble faisant un décolleté assez profond, et Ayano vu très clairement que ses seins étaient humide et parsemé de tâches de blanc. A l’intérieur de son décolleté, il pouvait voir une flaque de sperme qui s’était amassé. Naruko était fière de sa trouvaille, elle avait cousu à l’intérieur de son t-shirt du tissus absorbant évitant de tacher sa chemise et que l’on lui pose des questions de la provenance de ses taches.
« Alors qu’est-ce que vous en pensez maitre ? Non seulement je me promène avec une petite culotte sale, mais en plus j’ai ma propre réserve de sperme dans mon décolleté. » Pour accentuer cela elle souleva ses seins et sourit, Ayano été au-dessus d’elle avec une parfaite vue plongeante de son décolleté remplie de sperme.
Ensuite, elle prit sa verge en main appréciant le fait qu’elle soit humide de son jus avec des taches blanches la parcourant. Elle se mit à le masturber en l’orientant vers ses seins. Il ne fallut que quelques secondes avant que sa bite se mette à cracher du sperme qui alla tacher ses seins. Savourant les jets qui frappaient ses seins, Naruko se dit qu’elle avait réellement eut une bonne idée, la sensation de transporter une flaque de sperme chaude dans son décolleté était réellement agréable. Elle fut déçue de ne voir que cinq jets de sperme atterrir sur ses seins, avant que seulement quelques gouttes de spermes commencent à couler de l’urètre, approchant la bite de sa bouche, elle se mit à la nettoyer consciencieusement en la prenant en bouche savourant l’arôme qui s’en dégageait.
Une fois ceci fait, il remit ses vêtements et partit, en la complimentant sur son talent de putain.
Après qu’il fut parti, Naruko se tourna vers Ayame qui semblait d’avoir aussi terminé avec son client.
Elle regarda surpris Ayame se dirigé vers elle, nue, tournant son regard elle put voir qu’elle avait abandonné ses vêtements dans un coin de la salle. Sans qu’elle ait le temps de comprendre, Ayame prit ses poignets et la coinça contre le mur.
Naruko se trouvai plutôt mal à l’aise, elle ne comprenait pas ce que son onee-chan faisait et le fait que ses fesses frottait contre le mur humide était gênant.
« Dis-moi Naruko, quand est-ce que tu avais prévue de me dire que tu étais Naruto sous forme féminine ? »
Les yeux de Naruko se creusèrent à la révélation qu’Ayame l’avait démasqué.
« Co… comment ? »
« Tu penses vraiment qu’une fille ressemblant à une version féminine de Naruto qui apparait tandis que Naruto disparait ne soulèverait pas quelques questions ? Même ton excuse d’être sa sœur jumelle ne tenait pas debout, encore moins que je connaissais l’existence de ton jutsu qui te permet de te transformer en fille. »
« Alors, pourquoi tu n’as rien dit ? »
« Parce que je voulais voir quelle serait on comportement sous cette forme, je ne pensais pas que c’était une transformation complète. Alors imagine ma surprise lors du premier jour, lorsque je t’ai vu dans l’arrière-salle, la jupe et la culotte baissé en train de gémir comme une pute en manque en sexe tandis qu’un homme te baisait. Plus je t’observais, plus j’étais surprise de voir ton changement, mon petit otouto était devenue une véritable salope. Moi qui espérait qu’un jour tu t’intéresserais à la spécial. J’aurais enfin put t’emmener dans l’arrière salle et me faire baisait par un homme que j’aimais vraiment. Qui savait que tu préférais prendre une bite ? Je te suis vraiment reconnaissante de ce que tu fais Naru-chan, je compte bien te rembourser, et ce n’est pas grave si tu es une femme. »
L’esprit de Naruko était dans la tourmente incapable de comprendre ce que disait son onee-chan. Avant qu’elle puisse lui demander pourquoi et ce qu’elle entendait par rembourser, elle sentit une paire de lèvre claquer contre les siennes et une langue envahir sa bouche. La langue qui envahissait sa bouche était douée, le massage buccal qu’elle subissait allumer encore plus loin le feu inextinguible dans ses reins.
Quittant sa bouche, Ayame alla lui mordiller l’oreille, avant de descendre tout en laissant une trainée de salive le long de sa mâchoire. Continuant de descendre en laissant des baisers fugaces le long de son cou.
« Fufufu, j’adore vraiment le tatouage que tu t’es fait. C’est vraiment sexy sur toi. » Pour prouver son point, Ayame lécha la rose qui se trouvait sur son cou.
Toujours dans un état de confusion, Naruko réussit à dire. « Onee-chan ! On ne devrait pas faire ça, il y a des clients qui attendent. » Mais même à ses oreilles, sa défense semblait faible. Elle savait qu’Ayame était une pute expérimenté, bien qu’à contrecœur, mais elle faisait l’expérience de première main du talent de son onee-chan. Chacune de ses action semblait envoyé des étincelles de plaisirs à travers son corps, chaque fois qu’elle léchait ou mordillait sa peau, elle semblait cibler des zones érogènes dont elle ne connaissait même pas l’existence.
« Ne t’inquiète pas, Naru-chan. Mon père à un rendez-vous important, on va être fermé pour le reste de la journée. » Durant ses paroles, Ayame avait relâché ses poignets, défaisant son chignon puis laissa ses mains descendre le long de son dos pour allait agripper ses fesses humides. Libre, ses cheveux descendirent comme une cascade d’or sur ses épaules. Ayame malaxa ses fesses quelques secondes, semblant apprécier leur fermeté. Remontant ses mains vers sa poitrine, elle les souleva pour les pesait.
« Muuuu, je suis si jaloux de toit Naru-chan et de tes mamelles. Moi j’ai des petits seins. » La moue que fit Ayame était absolument adorable pensa-t-elle.
« Ne t’inquiété pas onee-chan, j’aime tes petits seins. »
« Héhé, je le savais Naru-chan. Chaque fois que tu voyais un gars me baisait, tu le regardais comme si tu voulais le tuer. Je suis contente que tu aimes mon corps. » Suite à cela, elle lui donna un baiser brulant que Naruko était plus qu’heureuse de lui retourner avec vigueur. Elle n’arrivait pas à croire que son onee-chan allait la baiser. Elle avait plusieurs fois fantasmé de faire l’amour avec elle quand elle était un jeune garçon.
Se séparant de leur baiser, elle vu son onee-chan se lécher les lèvres de la salive, elle suivait des yeux chacun des mouvements de sa langue. Apercevant un regard dans ses yeux, elle comprit que c’était sur ce but. Donc c’était ça le sentiment qu’on avait quand on était taquiné ? Elle était impatiente d’arriver au plat principal, et le fit savoir.
« Hum, s’il te plait, onee-chan, baise-moi. »
« Patience, Naru-chan. »
En disant cela, Ayame baissa la tête et donna un coup de langue sur un des jets de sperme d’Ayano se trouvant sur ses seins. Naruko ne pouvait que regarder avec incrédulité son onee-chan lécher ses seins jusqu’ils soient propre.
« Hum, Naru-chan tu peux serrer tes seins ? » Hochant la tête automatiquement, Naruko avait pu voir son onee-chan nettoyer ses seins, cela l’avait tellement surpris et choqué qu’une nouvelle fois elle ne savait plus comment réagir. Obéissant, elle se demanda ce que comploter son onee-chan.
Pendant qu’elle serrait ses seins, Ayame détacha son soutien-gorge. Hochant la tête d’un air satisfait lorsqu’il tomba au sol.
« Je ne savais pas que tu avais des piercings, Naru-chan. Ils sont vraiment mignon et corresponde bien à ton tatouage. » Ayame parlé de sa nouvelle paire de piercing, l’ancienne était utilisait exclusivement quand elle avait la chaine. Ces piercings étaient en argent, plutôt fin et fait en arc de cercle. A chaque bout de l’arc de cercle se trouvait un petit rubis qui brillait et se complétait bien aux roses qui se trouvaient sur chacun de ses seins. Ils avaient coutés cher, elle avait demandé à sensei de participer et dû effectuer… un certains service pour le vendeur. Mais elle ne regrettait pas son achat, ses seins les portait magnifiquement bien et ils complétaient à merveille son tatouage.
Les prochaines actions de son onee-chan la laissèrent pantoise.
Son onee-chan se mit à genoux dans sa cyprine et son urine. Ecartant ses mains de ses seins pour les remplacer par les sienne, elle leva la tête vers puis ouvrit grand sa bouche avant d’enfoncer son menton entre ses seins jusqu’à seul sa bouche était visible. Puis elle tira ses seins vers le bas en desserrant la pression dessus. Naruko regardait avec fascination le sperme qui se trouvait dans son décolleté commençait à couler dans le canal que son onee-chan avait créé pour tomber directement dans sa bouche. Une fois qu’il n’y avait plus de sperme, elle laissa sa bouche ouverte pour lui montrer qu’elle était rempli de sperme avant de la fermer et de la rouvrir montrant qu’elle avait avalé. Ensuite, elle enfonça sa tête entre ses seins et commença à sucer, lécher, mordiller sa peau et de chercher toute traces de sperme qu’elle pouvait trouver. La vue de sa tête disparaissant entre ses seins, avec comme seul chose pouvant être vu étant ses cheveux et les vibrations qu’elle émettait, continuait d’alimenter l’excitation dans ses reins.
Sentant les mains qui tenaient ses seins disparaitre, Naruko les rattrapa et serra bien ses seins. Elle n’eut pas longtemps à chercher où les mains de son onee-chan était passé. Elle sentit une main attraper ses fesses tandis que l’autre atterrit sur son vagin et commença à le caresser.
« Onee-chan, continue s’il te plait. » Elle avait une manière de jouer avec son corps qu’elle n’avait jamais ressenti. Elle la sentit enduire ses doigts du sperme qui continué à couler de son vagin et puis continué à la caresser. D’un coup, elle la sentit plongé deux de ses doigts dans sa chatte et commença à la masturber.
Ses deux doigts étaient légèrement recourber lui permettant d’atteindre ses endroits les plus sensibles et lui procurant un plaisir qu’elle ne pensait pas possible d’atteindre avec seulement des doigts. Pour jouir, elle avait toujours que le moyen le plus efficace et agréable était d’être bourré de bites. Ayame effacé rapidement cette notion avec ses doigts magiques, elle se sentait de plus en plus proche de son orgasme rien qu’avec l’utilisation des doigts de son onee-chan.
Sans la prévenir, Ayame arrêta ces mouvements.
« Onee-chan, ne t’arrête pas je suis si proche. Ne me laisse pas comme ça. » Naruko pleurnicher et était prêt à mendier pour sa libération. Elle bougea ses hanches dans l’espoir de relancer les mouvements de son onee-chan, mais ce fut vain.
Elle sentit son onee-chan retiré sa tête de ses seins, elle vit des traces de sperme sur ses joues et ses lèvres, le regard qu’elle portait n’annonçait rien de bon.
Elle amena très lentement la main qui avait servi à la masturber quelques secondes plus tôt, elle était brillante de son nectar et recouvert du sperme qu’elle lui avait volé. Et tout aussi lentement, sans jamais lâcher du regard ses yeux, lécha sa main en faisant des bruits de succion obscène. Durant toute l’opération, Naruko pouvait voir l’étincelle rieuse dans les yeux de son onee-chan Une fois que sa main fut bien propre, son onee-chan lui demanda.
« Hé, Naru-chan, tu veux venir dans ma chambre ? » A cette phrase, les yeux de Naruko se creusa, sans attendre saisi la main de son onee-chan et courra avec elle en direction de sa chambre qui était à côté.
Ouvrant la porte, elle jeta à peine à coup d’œil à la chambre. S’approchant du lit, plutôt simple, elle sentit son onee-chan la saisir et la jeté sur le lit. Atterrissant sur le dos, elle entendit son onee-chan montait sur le lit. Ouvrant les yeux qu’elle avait brièvement fermé à l’impact, elle fut accueilli par la vue du vagin serré de son onee-chan, contrairement à elle, ses lèvres était plutôt proéminente et ressortait beaucoup, signe de sa vie sexuelle active, et l’odeur aigre-douce qu’elle dégageait lui donné envie de lécher pour gouter son onee-chan, et elle était ornée d’une touffe de poil brune taillé soigneusement en triangle inversé. Avec les genoux de chaque côté de sa tête, elle comprit qu’elles étaient dans la position du soixante-neuf. Elle sentit immédiatement son onee-chan lapé sa chatte envoyant des frissons de plaisir le long de son dos.
« Muuuu ! Onee-chan voleuse ! » A ceci, elle l’entendit rire.
« C’est pas de ma faute si j’ai un buffet à volonté juste en face de moi. Et je trouve que ton nectar relève beaucoup le gout du sperme des hommes qui t’ont baisé. »
Puis reprenant, Ayame entreprit de continuer de laper de la chatte en face d’elle. Naruko était heureuse, son onee-chan l’aimait. Elle sentit son cœur se gonflait de joie, sentant quelque chose tombé sur la joue, elle leva les yeux.
Des fesses de son onee-chan coulaient le sperme de l’homme qui l’avait enculé.
« Le sperme est le sperme, bien que je n’aime pas cette homme, il serait criminel de gâcher du bon sperme. » Et sur ses belles paroles, Naruko saisit les fesses de son onee-chan pour avoir accès son trésor. Elle regardât attendrit, le petit anus rose sombre de sa bien aimé onee-chan. Il était légèrement ouvert de son activité ultérieur et du sperme coulait de son orifice.
Elle approcha sa tête et commença à lécher le sperme coulant du trou. Le sperme avait bon gout mais il était beaucoup plus amer du fait d’avoir été à cet endroit. Malgré l’idée repoussante de manger du sperme sortant du trou du cul, Naruko ne se laissa pas démonter et commença à lécher avec enthousiaste.
« Non !!! Naru-chan ne fait pas ça, c’est sale ! » Arrêtant de lécher un instant, Naruko répliqua.
« Ne t’inquiète pas onee-chan, rien n’est sale chez toi. Je trouve tout mignon chez toi, même ton trou du cul. » Pour prouver son point, elle posa ses lèvres contre l’anus devant elle dans un simulacre d’un baiser, souriant mentalement quand elle entendu Ayame souffler de surprise. Elle pouvait imaginer facilement à quel point les joues de son onee-chan étaient rouges de gêne. Mais elle reprit le cunnilingus qu’elle lui faisait et posa sa bouche sur son vagin et ferma hermétiquement les lèvres autour avant de commencer à aspirer.
La sensation que son onee-chan qui chercher à aspirer le sperme de sa chatte et de sa langue qui caressait son canal faillit la faire défaillir sous la surprise du plaisir qui l’assaillit. Ne voulant pas être en reste, elle fit de même pour l’anus devant elle. Appréciant le gout du sperme qui était aspirer par sa bouche, caressant les bords du sphincter avec sa langue, elle essaya de mettre à l’arrière de son esprit le gout de merde qui s’attarder.
Son onee-chan voulut monter d’un cran quand elle ouvrit la bouche suffisamment grande pour prendre son clitoris qui fut assaillit par sa langue. Sentant son orgasme se rapprocher et ne voulant pas perdre à leur concours de qui jouirait en premier. Elle utilisa une petite astuce que son sensei lui avait apprise. Canalisant du chakra à sa langue, elle l’agrandit et commença à caresser l’intérieur du colon de son onee-chan en ramassant le sperme qui était allé trop profondément. Le gout de merde était fort mais Naruko était têtue, elle ne voulait pas perdre, et au vu des frissons qu’émettait le corps de son onee-chan ainsi que le resserrement de son sphincter qui appuyait sur sa langue, elle était proche de l’orgasme. Même si Naruko était compétitive, elle remercia Kami de ne trouver aucun morceau de merde à l’intérieur du colon de son onee-chan. Elle la soupçonné de se faire des lavements, elle avoua qu’elle avait plutôt mal choisi son angle d’attaque, dans son empressement à faire jouir sa bienaimée onee-chan, elle avait risqué de manger quelque choses qu’elle ne souhaitait pas
Sentant son orgasme se rapprocher, Naruko accéléra le massage intestinal de son onee-chan. Mais d’un coup, elle sentit son onee-chan attraper avec ses dents son clitoris. La stimulation fut trop, elle sentit son orgasme être déclenché et tout son corps en senti les vagues de plaisir s’écraser en elle. Son onee-chan ne lâcha pas son clitoris, elle pouvait sentir qu’elle essayait d’avaler tout son nectar qui était actuellement expulsé avec la même force d’un jet à base pression. Et malgré tout son expérience, elle ne put avaler les derniers jets qui sorti de sa chatte après avoir tenue une minute.
« Ton orgasme est vraiment incroyable Naru-chan, et je pourrais boire de ton nectar toute la journée. »
La seule réponse de Naruko était de grogner, l’orgasme était vraiment incroyable. Elle ne savait pas qu’on pouvait recevoir du plaisir d’une femme comme ça. Elle devait beaucoup en donner à la maison, mais ne jamais en recevoir. Elle arriva tout de même à dire.
« Je dois te faire jouir, onee-chan. Tu étais si proche. »
« Ahahaha, tu es marrante Naru-chan. Bien que je n’aime pas mon travail, je suis devenue une prostituer expérimenté. Ce que tu as fait été vraiment agréable, mais il en faut plus pour me faire jouir si je retiens mon orgasme. »
Naruko était piqué au vif, sa fierté était blesser. Toute son énergie disparue revint d’un seul coup et elle se précipita de nouveau aux fesses de son onee-chan pour la faire jouir la faisant glapir de surprise. L’entendant rigoler, elle crut qu’elle se moquer d’elle et fut bien décider à lui faire payer cet affront.
Avant qu’elle puisse faire abattre la justice divine sur sa bienaimée onee-chan sous la forme d’un orgasme. Elle sentit quelque chose de massif, chaud et spongieux caressé les lèvres de son vagin. Curieuse, elle sortit sa tête des fesses de son onee-chan et jetât un coup d’œil.
« Teuchi ji-san !!! » Teuchi semblait se tenir debout à côté du lit, et il n’y avait aucun doute sur ce qu’il était en train de faire, elle était capable de reconnaitre la sensation du gland d’une bite contre sa chatte. Elle n’était pas surprise, si la fille connaissait son secret, le père aussi. Nul doute qu’ils avaient utilisé le rendez-vous comme excuse.
« Héla, Naruto-kun, j’ai vu la porte ouverte et j’ai décidé de me joindre à vous. Enfin je devrais dire Naruko-chan, maintenant ? »
« Oui, ji-san. J’ai décidé de devenir une fille. C’est bien plus amusant. »
« Alors, ça te dérange pas que je te baise ? »
Au vu de la chose massive qui caressait son vagin, elle était plus que d’accord. Mais une chose la gênée.
« Onee-chan ne semble pas gêner d’être face à ta bite. Il y a quelque chose entre vous ? » Il fallait savoir que Naruko n’avait aucun concept de l’inceste, son manque d’éducation quand elle était jeune lui avait laissé de grand trou dans les normes sociales. Pour elle, une famille qui baisait entre eux, s’aimait. C’était normal, non ? Après tout le sexe était une forme d’expression de l’amour.
Teuchi répondit un peu gêné. « Ayame s’était porté volontaire pour rapporter de l’argent. Le fait de se prostituer ne lui plaisait pas. De mon côté j’avais perdu ma femme. Une nuit où on avait bu, c’est arrivé comme ça. Et ensuite ça a continué quand on avait le temps. »
« Mon père était le seul homme qui me montrait tout de forme d’amour avec toi. J’espérais que vous pourriez me partager, mais si on peut plutôt partager mon père, je serais heureuse. » Naruko hocha la tête dans l’enthousiasme.
« Je serais heureuse de partager avec toi onee-chan. Ji-san peut me baiser comme il le souhaite. »
« Ah, ça j’en suis sûr Naruko-chan. Avec l’empressement que je vois quand tu travailles, je n’avais aucun doute. Tu peux m’appeler tou-san. Je t’ai toujours vu comme un fils… heu pardon, une fille. »
« Alors n’attendait pas tou-sama, mettait votre grosse bite, bien grasse, dans la chatte de votre petite fille. » Elle le regardait dans les yeux avec gourmandise quand elle dit cela.
« J’y compte bien. Mais quelle langue vulgaire tu utilises, je suppose que c’est à force de suçait des bites. »
« Tou-sama, soit douce avec elle, d’accord ? »
Naruko avait baissé sa tête entre les jambes de son onee-chan pour savoir à quoi elle était confrontée. Sa mâchoire se baissa sous le choc, elle n’avait pas un bonne angle de vue, mais la chose qui caressait ses lèvres excité était plus large que celle de Jiraya, elle ne pouvait pas dire pour la longueur, mais elle sut qu’elle allait adorer avoir ce monstre étiré son canal à son extrême limite.
« Tou-sama, ne t’inquiète pas pour moi. Pousse juste ce monstre dans la chatte serré de ta petite fille. » Elle pouvait sentir l’inquiétude des deux autres personnes dans la salle, mais elle les rassura avec un sourire.
Elle sentit le gland massif poussé contre son ouverture, l’étirant à un niveau qu’elle ne pouvait pas imaginé. Elle remercia ses clients et Bob pour l’avoir préparé à l’avance.
« Hum, putain. Je n’ai pas senti une chatte aussi serrait depuis ma première nuit avec Ayame. »
« Fufufu. Depuis papa, tu as littéralement détruit ma chatte. C’est un de mes meilleurs souvenirs. »
« A moi aussi chéri. Mais je pense que ce regroupement familial remplacera se souvenir au panthéon de nos meilleurs souvenirs. »
« MOINS DE PARLER, PLUS DE BAISER !!! » Naruko était impatiente, la sensation de ce monstre caressait puis étirait doucement ses lèvres l’avait allumé, et elle désirait se faire baiser par l’homme qu’elle considéré comme son père.
« Quelle fille impatiente j’ai. Très bien, je vais te baiser comme jamais aucun homme ne t’a baisé. » Sur ce, il enfonça sa bite d’un coup, heurtant son col la faisant hurler de plaisir. Une fois calmé, elle sentit qu’il n’était même pas complétement gainé en elle.
« Quelle monstre, le seul autre ayant fait ça était Jiraya. Quelle taille fait-il ? » Pensa-t-elle, l’idée de la réponse envoya son esprit dans le surmenage.
Avant même qu’il commence à la baiser pour de bon, Ayame attaqua son clitoris. La double attaque envoya des ondes de plaisir dans son corps qu’elle ne connaissait pas, et il n’avait même pas commencé à se déplacer à l’intérieur d’elle.
« Quelles filles gourmandes j’ai, une semble aspirer ma bite pour essayer de traire mon sperme et l’autre lèche l’endroit où ma bite rejoint la chatte de sa sœur. Quelle mauvais père j’ai été, je dois les punir pour être de si mauvaise filles.»
A l’unisson les deux dirent.
« Oui tou-sama. Punis-nous avec ta grosse bite et détruit nos petites chattes. »
« Ahahah, avec plaisir mes chéris. »
Sur ceux, Naruko sentit enfin son tou-sama la baisé. Et comme elle pensait, c’était glorieux. Pas une partie de son canal n’était épargné par le frottement de la magnifique bite qui faisait des aller-retour en elle. A chaque coup il frappait son utérus et son point G, avec son onee-chan qui suçait son clitoris la rendait folle de plaisir. Le seul point négatif était que son tou-sama se retenait pour elle, il allait à un rythme moyen et n’essayait pas de la bourrer, s’arrêtant à chaque fois qu’il touché son col. Frustré par ceci, elle lui fit savoir.
« TOU-SAMA, NIQUER CETTE SALOPE, DEFONCER MON COL ET REMPLISSEZ MOI DE VOTRE SPERME. »
« Tu penses qu’elle peut le prendre chéri ? »
« Bien sûr, tou-sama, on ne serait pas tes filles sinon. »
« C’est rassurant de savoir que mes deux filles sont des salopes affamé alors. » Il prit les alors ses hanches et commença à la baiser à une vitesse qu’elle ne pensait pas que les civils possédaient.
Dès le premier coup, elle le sentit entré dans son lieu le plus sacré et leurs hanches se rejoignirent. En faisant cela, il avait ouvert les vannes. N’étant plus retenu par le col de l’utérus, le sperme qui était logeai à l’intérieur était libre de couler. Heureusement la bite de son tou-sama agissait comme un bouchon qui l’empêchait de s’écouler. La combinaison de son tou-sama et son onee-chan était une des meilleures combinaisons possibles. Ils étaient parfaitement synchronisés pour tirer le maximum de plaisir de son corps. Leurs assauts étaient brutaux et destructeur pour son esprit. Il ne fallut pas longtemps avant que son esprit soit surchargé de plaisir, et pour la première fois depuis qu’elle était devenue une femme, elle mendiait pour qu’ils arrêtent de la baiser.
« NON, S’IL VOUS PLAIT ARRETER. JE VAIS ME BRISER. JE SENS QUE JE FONDS A L’INTERIEUR, SI CA CONTINUE MON ESPRIT VA SE BRISER !!! S’IL VOUS PLAITTTTT !!! » Son esprit n’arrivait tout simplement pas à gérer l’afflux de plaisir qui se propageait dans son corps pour venir surcharger son cerveau. Elle semblait être dans un orgasme quasi-constant, son corps était sensible de sa journée de travail et même pas une heure avant Bob l’avait baisé. Son corps était tout simplement trop sensible, elle s’était surestimer et elle le payait.
« Tu l’as demandé Naruko-chan, assume la responsabilité de tes actes. Je vais te baiser, et je vais le faire bien. »
Teuchi était ravie, sa seconde fille arrivait à prendre l’ensemble de sa bite en elle. Il la baisait avec tout ce qu’il avait et la sensation du sperme remplissant son col ne le dérangeait pas plus que ça. Il trouvé ça excitant, Naruto était devenue une femme et aimait le sexe. Lorsque sa fille lui avait dit son béguin pour Naruto, il avait été un peu contrarié. Il était très possessif, sa fille se prostituer certes, mais aucun homme autre que lui était dans son cœur. Alors lorsqu’il avait compris que Naruto s’était transformé en femme, il avait jubilé. Il aimait Naruto sincèrement, mais l’idée qu’il se transforme en femme et deviennent sa petite salope obéissante lui avait fait passer des nuits blanches en imaginant ce qu’il lui ferait. Et elle était là, en train d’être baisé par sa bite massive et le priant d’arrêter car il la surchargeait de plaisir. Il n’y avait aucun moyen qu’il s’arrête, il n’avait pas pris de journée de congé depuis des lustres. Il pourrait enfin profiter de ses deux salopes de filles toute la journée. Il avait plus de vingt ans à rattraper. Sur cette pensée, il allait apprendre à Naruko ce qu’était un véritable homme.
« Fufufu. Je crois que c’était trop pour elle. » Interrogateur, il regarda le visage humide de sa fille. Ensuite, il se rendit compte qu’il n’entendait plus Naruko. Il l’avait rendu inconsciente de la surcharge de plaisir. En clair, il l’avait littéralement baisé dans le coma.
« Je crois que c’est mon tour tou-sama ? » Dit Ayame en remuant son cul. Il sourit avec deux filles comme ça, il n’avait pas besoin de se remarier.
« Non pas tout de suite chéri. Laisse-moi au moins profité de sa chatte, il faut baptiser ma nouvelle fille de façon correcte. » Tout de suite après, il recommença à baiser Naruko. Même si Naruko était inconscient, il pouvait sentir les efforts de sa chatte pour le faire jouir.
« C’est une vraie salope chéri. Même inconsciente, elle essaye de me faire jouir. »
« Qui aurait pensé que le jeune garçon maigre, à qui on avait donné des ramen, deviendrait une putain avide de bite ? »
« Lorsque je l’ai vu commencé à travailler, ça m’a surpris. Non seulement il ramène des clients, mais il est capable d’en baiser 50 en une journée. Je n’ai jamais vu une pute capable de faire ça et aussi enthousiaste. Et je l’ai trouvé excitante quand elle était entre tes fesses en train de bouffer ton cul.»
Ayame rougit, elle fixer la chatte de Naruko qui était étiré autour de la bite de son père en attendant qu’il soit fini avec elle. L’idée du tatouage était vraiment sexy pensa-t-elle. On avait réellement l’impression que son père baise une rose. Elle ne pouvait pas attendre que son père la baise à son tour.
Après près d’une heure à baiser sa nouvelle fille et de libérer de multiple charge de sperme en elle. Teuchi gémit et s’enfonça une dernière fois en celle qu’il considéré comme sa cadette pour la remplir de sa semence. Il observa avec satisfaction son ventre gonflé de l’énorme charge qu’il vidait en elle jusqu’à ce qu’il ressemble qu’elle était enceinte de neuf mois. Retirant sa bite, un véritable torrent de sperme faillit s’échapper, mais son ainée mis son poing pour éviter de perdre le précieux liquide.
Interrogateur, il sourit quand il vu les actions de sa fille. Elle les avait simplement retournés, toujours dans la position du soixante-neuf, cette fois c’était le cul de sa fille qui était en l’air en face de lui, tandis que la tête de Naruko se trouvait en dessous de la chatte de sa fille.
« Allait tou-sama, ça fait une éternité que je n’ai pas eu ta bite dans ma chatte. Mes clients ne pouvaient pas se comparer à ton énorme bite. J’en ai vraiment besoin tou-sama. Et te voir baptiser Naru-chan m’a vraiment allumé. » Sa fille mendiait pour sa bite, il ne pouvait pas refuser. Saisissant ses hanches, il enfonça en une seule fois sa bite dans le canal serré de sa fille la faisant hurler de plaisir.
Plus tard :
Naruko se réveilla de sa bienheureuse inconscience. Se souvenant de ce qui s’était passé, elle se demanda comment s’était terminée la journée.
« TOU-SAMA, CONTINUE DE DEMOLIR MA CHATTE. REMPLI MOI DE TON SPERME JUSQUE CE QUE J’EXPLOSE. N’ARRETE TOUT SIMPLEMENT DE ME NIQUER !!! » Il semblerait que la journée ne soit pas terminé.
Ouvrant les yeux, elle vu un immense scrotum velu qui semblait contenir deux boule de la taille d’une orange, son scrotum était assez proche pour qu’elle soit chatouillé par poils qui le recouvrait. Extrêmement impressionner par son tou-sama, elle décida que dans son état affaibli, elle ne pouvait lui plaire que d’une seul façon. Enfouissant son nez dans le périnée en face d’elle, elle lécha immédiatement le scrotum de son tou-sama.
« Ayame, il semble que ta salope de imouto soit réveillé. Et elle d’humeur taquine. »
« NARU-CHAN, AIDE-MOI. TOU-SAMA EST INSATIABLE, IL N’A PAS ARRETE DE ME BAISER DEPUIS QUE TU T’ES EVANOUI !!! » Amusé par la légère contradiction des paroles de sa nee-chan. Naruko était plus motivé pour lui venir en aide. Elle s’assura de lécher entièrement les grosses boule poilue de son tou-sama, tout en bougeant son nez pour lui masser le périnée.
Après une minute, elle put sentir ses couilles être prêt à expulser leur sperme. Souriant d’un air ravi en entendant son tou-sama déclaré.
« TIENS AYAME-CHAN, UNE CHARGE DE PLUS POUR TON VENTRE AFFAME !!! »
« Victoire » pensa-t-elle. Jusqu’à ce qu’elle remarque que Teuchi ne ralentissait pas. Faisant l’inventaire des lieux, elle sentit une flaque de liquide chaud et collant entre ses jambes et le ventre de son onee-chan pendre pour toucher ses seins… Attend. Pendre !?
Usant du peu de force qu’elle avait récupéré, elle glissa vers le bas, délaissant les couilles de son tou-sama. Ses yeux s’écarquillèrent, le ventre de son onee-chan avait grossi de telle façon qu’elle semblait être enceinte. Entre ses seins et le ventre de son onee-chan, elle avait la vue complétement bouché.
Incrédule, elle leva les yeux pour voir son tou-sama pénétré son onee-chan en se demandant depuis combien de temps elle s’était évanoui.
« Alors c’est à ça que ressemble une chatte étiré à ses limites. » Pensa Naruko, la bite de son tou-sama ne semblait avoir aucune pitié pour la chatte de sa fille. Les lèvres extérieur semblait qu’elle ne pouvait pas s’étirer plus, elle observa, très exciter malgré la douleur à son entrejambe, son tou-sama faire des mouvements de va et vient dans la chatte de sa bienaimée onee-chan. Sa monstrueuse bite brillant de jus et ses grosses couilles se balançant devant son nez.
« Tou-sama est vraiment le meilleur père que l’on peut avoir. » Pensa Naruko tendrement en se rappelant de ses actes de gentillesse quand elle était orpheline. Et maintenant elle découvrait que c’était un monstre d’endurance au lit avec une bite d’une taille démesuré. Et il la partagé entre ses deux filles gourmandes.
Sur ses pensées, elle s’attaqua au clitoris de son onee-chan qui semblait dur comme la pierre.
« AH, NON, NARU-CHAN ARRETE. » Ignorant les mises en garde de son onee-chan, Naruko continua d’attaquer son clitoris et lécher la bite de son tou-sama qui travaillait dur pour s’occuper de son onee-chan.
Durant plusieurs minutes elle lécha son onee-chan qui semblait ne plus avoir un discours cohérent. Et selon les grognements et gémissement qu’émettait son tou-sama, il aimait sa position. Naruko souhaité retrouver l’usage de ses jambes avant qu’il passe de nouveau à elle. Elle sourit en pensant qu’elle avait pris sa revanche sur son onee-chan actuellement inconsciente, elle était certaine qu’elle était inconsciente car elle pouvait sentir sa tête juste entre ses jambes et ne semblait plus bouger. Elle pensa avec amusement qu’elle était tombée certainement tête la première dans la flaque de fluides qui s’était échappé de sa chatte.
Alors qu’elle était en train de sucer le clitoris de son onee-chan, elle le sentit se tendre. Pensant que son onee-chan allait jouir, Naruko redoubla d’attention au petit paquet de nerf. Jusqu’à ce que du liquide soit expulsé dans sa bouche, elle avala le liquide mais après le premier jet dans sa bouche elle remarqua quelque chose.
« Beurk ! » Retirant sa bouche, elle fut immédiatement aspergée d’urine, enlevant son visage de la trajectoire du jet, elle ne put qu’observer avec stupéfaction son onee-chan se soulager sur elle. Le jet frappé sa poitrine et elle pouvait sentir le liquide jaunâtre et nauséabonde coulait sur sa poitrine laissant une flaque dans son décolleté qui débordé pour couler sur son cou. La sensation de l’urine chaude sur son corps n’était pas désagréable, c’était comme prendre une douche, mais savoir ce qu’était le liquide la révulsait profondément.
Pendant qu’elle était perdue dans ses pensées et qu’elle pensait à sa vengeance, Teuchi avait retiré sa bite de l’étreinte chaude de sa fille et observé avec un mélange de joie perverse et regret. Il s’était assis sur une chaise du bureau de sa fille et attendait. Naruko put jetait un coup d’œil sur son tou-sama en se tortillant le cou, il était fortement poilue, ses année en cuisine l’avait rendue un peu enrobé mais signe de sa fierté était sa monstrueuse bite qui était encore dure, d’une longueur de plus de 30 centimètres et aussi large que son avant-bras, c’était l’un des plus beaux spécimens que Naruko avait vu.
Voyant ceci, Naruko l’interpella. « Tou-sama, retire onee-chan de moi. S’il te plait, elle est en train de me pissait dessus. Muuuuuuuuuuu. » Teuchi devait avouer que la moue de sa cadette était incroyablement mignonne et sexy, surtout lorsque son visage était humide dû au premier jet d’urine qui avait frappé au visage.
« Désolé, Naruko-chan. Je n’ai pas envie que le jet parte dans tous les sens et de me faire toucher. Le mieux à faire c’est d’attendre qu’elle finisse de se soulageait. C’est dommage, j’avais hâte de te téter tes mamelles, mais maintenant qu’elles sont couverte de pisse… »
« Muuuu, baka onee-chan, ecchi tou-sama. »
Relevant les yeux elle put voir le jet d’or être expulsé en flux continue sur ses seins, mais ce qui attira son attention était le trou béant qui avait remplacé le vagin de son onee-chan. Ne voulant pas y croire, elle y approcha sa main et la mit à l’intérieur effleurant juste les parois du canal de son onee-chan.
« C’est à ça que ressemble la tienne Naruko-chan. » Se tournant vers Teuchi, Nauko demanda.
« Mais… mais tou-sama, comment ça se fait que tu ne l’es pas déchiré ? Et est-ce qu’elle retrouvera une taille normale ?! » Naruko était un paniqué, la chatte de son onee-chan ressemblait qu’on avait poussé une batte en elle et qu’elle en avait pris la forme. Elle ne s’inquiétait pas pour elle, elle avait le renard pour la guérir, mais onee-chan n’avait pas de biju pour la guérir.
« Calme-toi Naruko-chan. Ayame a des années d’expériences de plus que toi. Elle s’est entrainé et quand elle a su ma taille, elle utilisé tout ce qu’elle avait sous la main pour s’élargir et me prendre sans crainte pour sa santé. Laisse-lui trois jours de repos et il sera revenu à la normale. »
Sceptique et incrédule, Naruko décida d’attendre et voir. Mais elle voulait tester quelque chose avant.
Elle enfonça son avant-bras dans le trou béant qui avait été le vagin de son onee-chan, remerciant son corps pour être petit et fin. Elle s’émerveilla de la chaleur qu’émettait le corps de son onee-chan, à l’intérieur elle pouvait sentir son bras être au chaud et elle ressentait la forte humidité qui s’accrochait à sa peau. Tordant son bras un peu, elle arriva enfin au col abusé de son onee-chan. En raison de la position de son onee-chan, aucune goutte de sperme n’avait coulé et elle voulait sa boisson. Passant son col abusé, elle sentit sa main entrée dans le lieu le plus sacrée de son onee-chan, jubilant elle plongea sa main dans la gelée chaude et gluante qui avait élu domicile dans le ventre de sa sœur. Incapable de croire ce qui se passait, elle remua sa main à l’intérieur de sa sœur la trempant dans le sperme. Prenant en le plus possible dans la paume de sa main, elle la ramena à l’extérieur en essayant de faire attention à en verser le moins possible sur le chemin du retour. Une fois sortie, elle versa sa paume directement dans sa bouche, elle ressemblait à une de ses goinfres qui ne pouvait jamais assez manger, et elle avait renversé du sperme autour de sa bouche comme une cochonne.
« Onee-chan à raison, le sperme est bien meilleur quand il sort d’une chatte. Surtout que le sperme de tou-sama est le sperme le plus délicieux que j’ai mangé, il goute légèrement comme les ramens. » Pensa-t-elle. Relevant ses yeux, elle remercia kami que son onee-chan avait terminé de se soulager sur elle.
« Tu sais Naruko-chan, il y a une chose sur laquelle tut te méprend. » Regardant interrogateur son tou-sama elle attendit pour lui de développer. « La mère d’Ayame avait une ligne de sang mineure qui permettait aux femmes d’avoir des corps plus résilient avec une guérison accru. C’est pour ça que je m’inquiète pas, tu sais avec une bite pareil si j’avais épousé une femme normale, je l’aurais tué dès notre nuit de noce. »
Naruko sourit à cela. Entendant des gémissements, elle tourna la tête comprenant que son onee-chan se réveillait. Lorsqu’elle se leva, Naruko compris tout de suite ce qui allait arriver et ouvrit la bouche.
« Cette gourmandise va me faire grossir. » Elle bannit vite la pensée loin..
En raison du changement d’angle, le sperme qui était stocké dans le ventre d’Ayame se déversa comme une cascade sur Naruko. Du fait de la nature du sperme, la cascade ne descendait pas trop vite et coulé comme du miel et si Ayame était entièrement consciente elle n’aurait pas entrée dans cette position, trop horrifié de perdre le précieux sperme de son tou-sama.
Naruko en profita pleinement, le délicieux sperme tomber dans sa bouche et sur son menton. Elle avala goulument le délicieux sperme qui lui tombait dessus. Mais ceci ne dura pas trop longtemps, son onee-chan se renversa sur son côté gauche.
Voulant être au même niveau, elle utilisa ses bras pour se tourner et se placer à côté de son onee-chan.
« Attention avec tes pieds, Naru-chan ! »
« Désolée onee-chan ! »
Une fois terminé, elle était côte à côte, leur tête tournée vers l’autre en se souriant avec une lueur de reproche à l’autre. Leur jambe pendait sur le bord du lit et leur ventre ressemblait à des femmes prêtes à donner naissance. Teuchi à cette vue redevint dur, il s’était concentrer pour perdre son érection, mais la vue de ses filles comme ça avec leurs chattes béante d’où son sperme coulé juste sous ses yeux avait relancé son excitation.
« Tu m’a pissé dessus onee-chan. » La voix de Naruko était plate, elle parlait de ceci comme si elle parlait de la météo.
« Alors nous somme quitte, Naruko-chan. » Effectivement, en regardant son visage, elle pouvait voir que son visage était humide avec ses cheveux.
« Muuuuu, baka Naru-chan. Je ne pouvais même pas me défendre, tou-sama était en train de me baiser. Tu m’as rempli la bouche avec ta pisse. » A cela Naruko grimaça de sympathie.
« Et ça amuse tou-sama. » Elles firent la moue toute deux à l’amusement de leur père concernant leur malheur et leur humiliation.
« Oui ça m’amuse beaucoup. Les filles ça vous dérangerait de vous occuper d’un problème qu’a votre père ? » A ceci, les deux grimacèrent à l’unisson, leurs corps trop douloureux pour continuer.
« On aimeraient bien tou-sama, mais tu nous as tellement bien baisé qu’on est douloureux. Et je doute qu’on puisse prendre ton outil dans notre cul sans dommage interne. » Teuchi sourit fièrement à ses filles, après qu’il les ait baisés une fois, elles étaient parfaitement synchronisé en pensées et en paroles.
Réfléchissant à un moyen de prendre soin de son problème, il sourit en pensant à une idée. Montant sur le lit en évitant les divers fluides qui le parsemaient, il se mit du côté droit de Naruko, posant le bout de son outil sur sa bouche.
« Tou-sama, je veux bien essayer de te sucer, mais avec des mouvement limité je ne pense pas que j’arriverais à te faire venir. »
« C’est bon Naruko-chan, lèche juste le bout, je m’occupe du reste. »
Ne comprenant pas, mais obéissant, Naruko s’exécuta et sortit sa petit langue rose de sa bouche pour commencer à plaire à son tou-sama. Elle lécha avec enthousiasme le dessous du gland appréciant le liquide pré-éjaculatoire qui sortait par intermittence de son urètre.
Teuchi sourit à l’enthousiasme de sa fille pour lui plaire, saisissant une poignée de ses cheveux d’or propre, ils les enroulèrent autour de sa verge et commença à se branler avec.
Naruko sourit en sentant son tou-sama utilisé ses cheveux de manière obscène. Sentant un mouvement à sa droite, elle aperçut son onee-chan se tortiller de telle sorte que sa tête soit juste côté de la sienne. Etant juste à côté, elle essaya de lécher le gland de Teuchi, Teuchi voyant cela, s’avança pour permettre à sa fille de lui faire plaisir.
Naruko lécher du mieux qu’elle pouvait le gland au-dessus de sa bouche et était reconnaissante de l’aide apporté par son onee-chan. Leur langue travaillait en synchronisation pour faire venir le plus vite possible leurs tou-sama. De temps en temps leurs langues se croisaient, se caressaient, s’enroulaient l’une autour de l’autre comme dans un spectacle de contorsion où leur langue étaient les contorsionnistes. Une main saisir sa main gauche et entrelaça ses doigts avec les siens, comprenant que c’était sa bienaimé onee-chan, Naruko la serra en retour.
« Hummm. Naruko chan, tes cheveux sont vraiment doux et soyeux, ils sont parfaits pour branler une bite. » Naruko ne répondit pas, trop occuper à jouer avec le gland de son tou-sama et la langue de son onee-chan, entièrement concentré sur sa tâche. La vue de Naruko et Ayame faire ceci était exquis pour Teuchi et la douceur des cheveux de sa cadette faisaient qu’ils glissaient facilement sur la longueur de sa bite lui procurant des sensations incroyable.
« Je vais jouir, profiter de votre repas, c’est offert par la maison ! » Mettant sa bite hors de portée de ses deux filles et enlevant les cheveux de Naruko de sa verge. Teuchi commença frénétiquement à se branler en visant les deux visages souriant de ses salopes préférées qui avaient leurs bouches d’ouverte.
Lorsque Teuchi commença à jouir, Naruko ne fut pas surpris. Les autres individus qui avaient une taille pareils et des aussi grosses couilles semblaient produire un montant ridicule de sperme. Ce qui la choqua c’est que Teuchi, malgré le fait qu’il était évident au vu de la taille de leur ventre, les baisaient déjà depuis plusieurs heures et avait joui une quantité considérable de sperme. Il devait avoir un orgasme moins puissant et son sperme devait commencer à s’éclaircir. Mais rien de ceci ne se passa, le premier qui avait pour cible sa bouche, fut assez puissant pour se forcer à l’intérieur de sa gorge et remplir sa bouche ; elle le vit visé à coté, et au vue du bruit de son nee-chan, le résultat devait être le même. Son orgasme semblait avoir pris la forme d’un jet continue de sperme épais et blanc. Avec ceci il put peindre leur visage entièrement et leur poitrine avec une épaisse couche de sperme avant que le débit ne se calme.
Prenant le reste de ses cheveux propre, il s’essuya avec.
« Merci les filles, ça faisait des années que j’en avais besoin, bon je vous laisse, dormez bien. Naruko je vais prévenir Tsume-sama que tut reste ici cette nuit. » Teuchi ne pouvait qu’observer fièrement l’état dans lequel il avait mis ses filles. Sa bite était enfin devenue molle après ce dernier orgasme explosif.
« C’est dur de s’occuper des filles adolescentes de nos jours. » Sur cette pensée, il sortit de la chambre laissant ses filles dans cet état.
« Ça fait combien de temps que tou-sama n’avait pas eu une bonne chatte à baisé ? »
« Humm. Depuis que ka-chan est morte, je pense, donc environ dix-huit ans. Il avait eu du sexe occasionnel avec moi, mais c’est la première journée de congé qu’il prend depuis la mort de ka-chan. »
« Ah, donc il a sorti dix-huit ans de d’envie sexuel refoulé sur ses adorables filles ? »
« Il semblerait que oui Naru-chan. Il a l’air bien plus heureux depuis qu’il a commencé à me baiser, mais là il avait un sourire vraiment satisfait. »
« Donc on continue de le consoler et de remplir son cœur de la perte de ka-chan ? » Naruko ne connaissait pas la mère d’Ayame, mais elle était sûre que c’était une personne merveilleuse.
« Oui, on met à sa disposition nos humble chatte pour le consoler. Quand à remplir son cœur… c’est plutôt lui qui remplit nos ventres. » Elles gloussèrent à cette blague.
« Hé onee-chan ? »
« Quoi Naru-chan ? »
« On fait quoi maintenant ? »
« Tu veux dire avec les jambes écartées au bord du lit, notre chatte tellement desserré qu’on pourrait y mettre une bouteille facilement à l’intérieur et dont le sperme coule à flot, le ventre rempli de tellement de sperme qu’on dirait qu’on est sur le point de donner naissance, notre visage et notre poitrine couvert de la semence de tou-sama, couché sur mon lit humide divers fluide dont notre pisse et ce sans aucune force pour se déplacer ? »
« Ouiiiiii, onee-chan. » La voix de Naruko malgré leur état avait une qualité ludique que seul elle pouvait avoir.
« On ferme les yeux ma chère imouto et on profite de la situation, après tout ce n’est pas tous les jours qu’on est baisé comme ça par notre tou-sama. » Et sur ses paroles, les deux fermèrent les yeux et s’endormirent les mains toujours liées.
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2 jours plus tard :
Naruko sourit en se levant ce matin. Son sensei lui avait donné un jour de congé, elle n’avait pas de rendez-vous avec Oga, Ichiraku était fermé avec Ayame se remettre de la baise intense d’il y a 2 jours. C’était la première fois depuis presque un mois qu’elle ne savait pas quoi faire de sa journée. Elle pensa brièvement chercher tou-sama ou Jiraya mais jeta cette option par la fenêtre. Elle aimait vraiment le sexe, elle s’était complétement assumé comme une nymphomane, putain, salope… et tous autres adjectifs que vous pourriez lui trouvé. Mais le sexe ininterrompue ce mois-ci et souvent brutale commencé à porter son corps a ses limites. Elle était souvent fatigué le matin, et sa guérison commencé à avoir du mal à suivre. La journée d’après son baptême avec tou-sama, lorsqu’elle avait pris sa douche à Ichiraku pour se nettoyer des divers fluides et vider son ventre, elle avait eu la désagréable surprise de trouver sa chatte encore complétement desserré et béante. Certes on ne pouvait plus y entrée une bouteille comme disait onee-chan, mais on pouvait y mettre la main facilement. Les deux seuls partie baisable de la journée avait été son cul et sa bouche.
Aujourd’hui, elle prenait donc une pause. Arrivant en bas, elle eut enfin assez faim pour manger de la vraie nourriture. Elle s’assit à la table où le déjeuner était prêt et salua Tsume qui était présent. Enfournant le croissant et le jus d’orange devant elle dans sa bouche, elle sentit de mauvaise vibration.
Tournant lentement son regard sur Tsume qui était assis de l’autre côté de la table, elle la vit sourire d’une manière dangereuse. Se méfiant de ce sourire sachant qu’il n’apportait rien de bon, Naruko se mit sur ses gardes. Le repas sembla se passer sans incidents, mais Naruko ressentait toujours cette impression de danger.
« Le jus d’orange… »
« Le jus de quoi !? Ohhhh merd… » Ce fut les dernière pensées de Naruko avant qu’elle se sentit perdre conscience.
Plus tard :
Lorsque Naruko se réveilla, elle sentit ses mains et ses pieds attaché, ouvrant les yeux pour jeter un coup d’œil à son environnement, elle comptabilisa ce qui l’entourait.
Elle semblait être dans un sous-sol d’une certaine sorte, plus exactement une arène, le sol était couvert d’une bâche en plastique. Jetant un autre coup d’œil autour d’elle, elle vit des caméras avec des techniciens, des photographes ainsi qu’une estrade avec des gens dessus. Le centre de l’arène où elle se trouvait était éclairer par plusieurs projecteurs.
Son état était… préoccupant. Elle était agenouillée sur la bâche en plastique, avec une barre de fer dans son dos et ses poignets menottés par-dessus derrière son dos, la laissant dans une position inconfortable. Ses jambes était écarté et semblait attaché à deux piliers derrière elle. Elle avait une laisse tirant vers l’avant attaché à un autre pilier en face d’elle. Dans sa bouche était un bâillon. Elle était nue et si le fait que ses seins pendaient comme ça, alors on avait remplacé ses piercings et mis la chaine. Sa situation semblait très précaire.
Essayant de se débattre, il semblerait que ce fut vint, les piliers et les menottes semblaient très résistante tandis qu’elle n’arrivait pas à canaliser son chakra. Tandis qu’elle se débattait elle entendit une voix reconnaissable annoncé.
« Mesdames et messieurs, aujourd’hui je vous présente Naruko Pinku. C’est la jeune fille que j’ai formé durant le mois et ce soir je vous aie invité pour sa dernière épreuve. Elle va baiser vingt chiens nin venant de notre clan. Et tout cela devant vous ! » A ce moment-là une véritable ovation ce fit entendre et des sifflets résonnaient dans l’immense salle pendant que chaque personnes se mettaient en place pour assister au spectacle.
Naruko en entendant cela gela, puis redoubla d’effort pour se libérer. Elle n’était pas tombée assez bas pour baiser des chiens. De plus, baiser autant de chien du clan Inuzuka mettrait un stress incroyable sur son corps. Ils étaient élevé pour être supérieur aux chiens normaux, et la taille de leur bite était énorme, plus proche de la taille de Bob que de l’humain moyen, avec certains comme Kuromaru encore plus grand.
Elle sentit quelqu’un passer derrière elle pour mettre du lubrifiant sur son vagin et son cul, certainement pour rendre les prochaines heures confortables. La fraicheur du lubrifiant sur sa peau brulante la fit frissonner.
« Maintenant mesdames et messieurs je ne vais pas vous ennuyé avec plus de paroles et je vais passer aux actes, lâcher le premier chien ! »
Elle entendit tout de suite des bruits de course de l’animal qui arrivait derrière elle. Naruko paniquait, attaché, incapable de bouger et de parler, et elle savait exactement ce qui se passé ensuite.
Sentant, le chien se positionnait au-dessus d’elle, elle ne put s’empêcher de penser qu’il faisait cela trop naturellement et qu’elle n’était pas la première fille que le chien baisait.
Elle put sentir sa bite caressé son cul et essayé d’entrer plusieurs fois, laissant à chaque tentative une trainée de liquide pré-éjaculatoire sur son ventre ou dans la raie de ses fesses. Ceci ne faisait qu’augmenter son anxiété pour ce qui allait se passer ensuite.
Elle pouvait voir ses deux pattes massives qui se reposait de chaque côté de sa tête et sa fourrure frotté contre ses bras menotté. La fourrure était douce et chaude lui procurant un sentiment de bien-être.
Après une minute à chercher à la pénétrer, il y arriva. Naruko hurla dans le bâillon à la pénétration soudaine. Elle pouvait dire qu’il était large de la façon dont il l’étirait ainsi que grand. Il frappait son col à chacun de ses coups. La sensation d’une bite de chien passant dans son canal était différente d’une bite humaine. La bite d’un chien était plus chaude, elle avait l’impression qu’on avait mis une bougie dans son canal. Ceci alluma un feu en elle inconnu, tout de suite après qu’il est pénétré, elle sentit sa chatte s’humidifier à cause de son excitation honteuse. Le sentiment d’une bite de chien dans son lieu le plus sacré envoyé des vagues de plaisir en elle.
« Je suis baisé par un chien, cela ne devrait pas se produire. Les chiens et les humains ne devraient pas avoir le sexe ensemble. Mais je suis là, à quatre pattes tandis qu’un chien me baise, et j’en joui ! » Naruko était pris dans la tourmente de ses sentiments, d’un côté sa logique lui dictait que ce n’est pas naturelle, son côté émotionnelle lui disait qu’elle aimait ça et de juste profiter de sa position.
Une chose était le rythme infernal qu’avait le chien lorsqu’il la baisé, le rythme de n’importe quel humain semblait lent en comparaison. La vitesse de ses coups envoyé des ondes de plaisir à travers son corps. La vitesse était telle, qu’elle créait une friction particulièrement agréable dans sa chatte. Malgré elle, elle sentit le plaisir familier de se faire baisé monter dans ses reins.
« C’est un chien, cela ne devrait pas se faire. Je ne devrais pas être excité. Alors pourquoi cela sent-il si bon, pourquoi est-ce que sens que mon orgasme arrive ? »
Alors que ses protestations commencé à devenir des gémissements, elle sentit le chien déversé son sperme dans son utérus. Elle pouvait le sentir pompait charge après charge de son sperme canin dans sa chatte. Son lieu le plus sacré était en train de devenir souillé par un chien, et elle s’en fichait. La seule chose qui l’intéressait était son propre plaisir. Tout de suite après, le nœud du chien commença à se former emprisonnant sa bite dans sa chatte. Elle pouvait sentir le nœud les liant étirer sa chatte à un endroit précis. Gémissant de frustration de voir son orgasme refusé comme ça, elle se résolu à attendre et à profiter du sperme dans son ventre. Analysant son état, elle a vite compris que le nœud du chien logeait en elle allait poser problème.
« Ce truc est énorme, ça n’arrivera jamais à sortir ! » Pensa-t-elle, surtout que le chien tenter de sortir d’elle. Cela mettait une pression incroyable sur sa chatte, elle était incapable de bouger et le chien tirait dans l’autre sens pour sortir. Malgré cela, savoir qu’elle était noué à un chien lui procuré des pensées perverses qui stimulait son imagination.
« C’est comme si j’étais marié au chien. Noué dans ma chatte comme ça, il cherche à s’assurer que le sperme féconde mes ovules. Il veut que je porte ses chiots. Noué éternellement comme cela devant tous ses gens. » S’imaginant avec un ventre enceinte lui causé sa chatte à fuir littéralement de son excitation. Avant qu’un brusque mouvement, plus fort que les précédents, lui tira une douleur en son lieu le plus sacré.
« Arrête tu vas déchirer ma chatte ! » Elle avait envie de le crier pour qu’il arrête de tirer. Sentant le chien arrêter de tirer, elle soupira de soulagement. Le temps passa, elle sentit progressivement le nœud dégonfler, lorsqu’il eut suffisamment dégonflé, le chien tira d’un coup sec, la faisant glapir à travers le bâillon, se séparant de la femelle qu’il venait de baiser et reparti avec satisfaction.
Naruko se sentit extrêmement frustré, elle était là devant une foule qui apprécié le spectacle, le ventre remplit de sperme de chien, et elle n’avait pas eu la satisfaction d’un orgasme.
Soudain, elle ressentit une douleur intense et piquante ainsi que brève au niveau de ses seins. Criant à travers le bâillon, elle souhaitait savoir ce qui était arrivé.
Elle n’eut pas attendre longtemps, entrant dans son champs de vision était Hana vêtue d’une tenue de dominatrice en cuir noire avec une cravache à la main, et si son hypothèse était exacte alors la cravache était la source de la douleur à ses seins. Elle admira Hana, la tenue collait à son corps comme une seconde peau ne cachant absolument pas ses courbes.
« Regarder mesdames et messieurs les mamelles de cette vache ! Regarder comme elle a apprécié être baisé par un chien ! Ne pensez-vous pas que c’est une putain qui se baigne dans la dépravation ?! Ne pensez-vous pas que je devrais la punir !? » Le sourire qu’avait Hana à ce moment-là était vraiment et effrayant et lui tira des frissons de terreur qui lui parcoururent le dos. Elle se demanda brièvement si la douleur que lui infligera Hana lui permettrait de jouir.
Sentant la cravache froide contre sa joue, un sentiment d’anticipation se développa en elle. Un rugissement d’approbation de la foule apparut suite aux paroles d’Hana.
« Très bien, en attendant le prochain chien. Je vais la punir selon votre souhait ! » Retirant sa cravache, elle la gifla fort sur la joue la faisant hurler dans le bâillon. Tout le monde pouvait voir la marque rouge vif sur sa joue gauche.
« Que diriez-vous de s’acharner sur ses mamelles ? Regardez comme ils pendent, on lui à même mis des anneaux avec sa chaine favorite. Aller, avant le prochain chien on va faire… hum, disons vingt coups de cravache ! » Naruko essaya de se préparer pour la douleur à venir, mais elle savait que ses seins étaient très sensible et qu’elle allait en pleurer.
Sans avertissement un coup s’abattit sur le dessus de ses seins, si le coup sur sa joue était douloureux, alors celui-ci était sur un toute autre niveau de douleur. Durant les vingt coups, Hana alternait entre frapper le dessous et le dessus de ses seins lui causant une douleur inimaginable. Une fois les vingt coups terminé, Naruko était sueur et sa gorge lui faisait mal d’essaya de crier. Ses seins sentaient engourdit dans un effort pour endiguer la douleur, et elle pouvait sentir un liquide chaud s’en écouler.
« Certainement du sang. » Pensa-t-elle, ses seins devaient être marqué par les coups de cravaches. Soupirant enfin à la fin de son calvaire. Elle se retendit tout de suite après. Elle pouvait sentir la cravache caressant les lèvres de son vagin qui coulait du sperme injecté à l’intérieur d’elle.
« Regardé, la salope est humide d’avoir été baisé par un chien et même après que je l’ai torturé un peu ! » Sentant la cravache glissé le long de sa fente humide lui procurait d’agréable sensation, le sentiment frais contre son vagin semblait apaiser les douleurs de son corps. Elle gémit à la perte de la sensation, avant d’hurler de douleur absolue.
Hana avait abattu avec force sa cravache sur son vagin sensible, l’agonie était absolument inimaginable, elle sentait comme si on avait posé un fer chaud sur son vagin, des larmes de douleur coulait de ses yeux. Essayant de reprendre son souffle, elle sentit un autre coup sur chatte, et un autre, et un autre… Au bout de cinq, Naruko se sentit comme si elle pouvait s’évanouir de la douleur qui parcourait sa chatte, son aine était brulant de la douleur qu’elle ressentait et sa gorge rauque à force de criait. Ses larmes avaient coulé abondamment sur ses joues et la morve coulait de son nez à force de renifler.
« Bon passons au prochain chien, j’ai eu assez de plaisir. » Naruko pleurait littéralement, remerciant Kami pour stopper ses souffrances.
Le prochain chien arriva vers elle, Naruko sentit l’anxiété monter en elle.
« Pas la chatte, pas la chatte, pas la chatte… » Pria Naruko en espérant éviter la l’atroce douleur que la mettrait à travers le chien durant le fait qu’il semblait essayé de viser un trou. Chaque fois que sa bite caressait ses lèvres abusées, des boulons d’agonie la traversaient et elle sentait le stress apparaitre en elle à l’idée qui la prenne de ce trou-là. Enfin après quelques essais ses prières furent répondues lorsqu’il força sa bite dans son sphincter.
Il était tout aussi enthousiaste que le chien précédant, mais Naruko n’arrivait pas à profiter du plaisir qu’il lui fournissait en raison de l’agonie que son corps traversait. Le chien vint tout aussi rapidement dans son colon la remplissant de sa semence. Restant coincé en elle, elle eut tout le loisir d’observé Hana devant elle qui semblait attendre son tour.
Jamais de sa vie Naruko avait eu aussi peur, comprendre que la matinée se passerait par se faire baiser par un chien et torturé par Hana en alternance la terrifiait plus que tout ce qu’elle pouvait imaginer. Ni Gaara, Zabuza et Orochimaru ne lui avait jamais inspiré un telle sentiment de terreur débridé. Elle souhaitait que le chien reste lier à elle pour toujours en voyant Hana sourire profitant de la terreur qu’elle lui inspirée.
Une fois que le chien fut dénouer et sortit d’elle, Hana s’approcha. Terrifié, Naruko fit ce que tout être humain normale dans cette situation, elle essaya de se débattre le plus possible pour fuir malgré la futilité de ses actes. Une fois qu’Hana était sorti de son champ de vision, si possible la terreur de Naruko redoubla.
Elle essayait de supplier Hana à travers son bâillon. « Non, s’il te plait pas la chatte, tout mais pas la chatte ! » Mais ses mots trop étouffé par le bâillon n’atteignirent pas Hana, pas que cela aurait changé grand-chose.
« Allez, dix coups sur chaque fesses, pour la forme. Tu devrais me remercier sale pute, après tout j’épargne ta chatte. » Malgré l’agonie à laquelle elle était soumise, Naruko remerciait abondamment Hana pour éviter de frapper sa chatte. Son cul était maintenant incroyablement douloureux des lignes rouges qui le parsemaient.
Lorsque le troisième chien arriva, elle glapit de douleur lorsque sa fourrure frotta contre ses fesses douloureuses. Et s’égosilla lorsqu’il rentra dans sa chatte. Après qu’il eut terminé, sa voix semblait avoir disparu. Elle avait tellement crié que sa voix s’était éteinte. Dans un état second, elle n’enregistra même pas qu’il jouit en elle à travers son agonie. Sa baise constante de sa chatte semblait démultiplier la douleur à laquelle elle était soumise.
Dans un état second, elle se répéter. « Encore dix-sept, encore dix-sept… » Dans un effort pour essayait de garder sa santé mentale intact. Lorsqu’elle sentit de nouveaux coups de cravache sur sa chatte, elle retrouva la force de hurler à l’agonie. Elle nota brièvement que son bâillon semblait été avoir enlevé si elle pouvait s’entendre crier.
Elle perdu la trace de combien de temps sa torture durait. Son ventre était rempli de sperme de chien. Ses fesses, seins et chatte devait plus ressemblait à des masses difforme de chair et de sang si l’agonie qu’elle ressentait était toute indication. Son esprit avait essayé de s’éloigner pour échapper à la douleur. Mais Hana l’avait forcé à soustraire trois à chaque fois du nombre mille pour qu’elle ne puisse échapper à la douleur. Plusieurs chien l’avait baisé dans sa chatte douloureuse et ente chaque chien sa maitresse la torturé avec sa cravache visant ses seins, sa chatte ou ses fesses.
Les yeux de Naruko était vide, elle ne savait pas combien de chien l’avait baisé ni combien de fois Hana avait abattu sa cravache sur elle.
Sentant une nouvelle fois sa cravache s’abattre sur sa chatte, Naruko hurla de douleur.
« On en est à combien putain ? »
« 397, maitresse ! »
« Bien encore un chien et se sera la fin de ton calvaire. »
« Merci ! Maitresse est trop bonne avec sa putain ! » Naruko avait lentement tout fait pour diminuer l’horrible douleur à laquelle elle était soumis, obéissant à chacun des ordres de sa nouvelle maitresse.
« Je sais. » Sur ces mots, Naruko sentit la botte en cuir de sa maitresse caressait sa chatte gorgé de sang, lui tirant des frissons de douleur et de peur. Lorsqu’elle retira sa botte, Naruko soupira de soulagement.
Sa maitresse réapparut dans son champ de vision.
« Tiens animal de compagnie, lèche ma botte. » Hana leva sa botte au niveau de sa bouche. Naruko put voir que la pointe était recouverte de sperme qui avait dû s’écouler de sa chatte avec quelques gouttes de sang.
Sans protester, Naruko se mit au travail, léchant entièrement la pointe de la botte en ignorant le gout de son sang, préférant se concentrer sur le gout du sperme de chien qu’elle trouva délicieux. Une fois que la botte en cuir fut parfaitement nettoyée, Naruko déposa un baiser dessus.
« Très bien salope. Faite entrer Kuromaru ! » Lorsque Naruko entendit ces mots, son cœur s’arrêta de battre un court instant. Sachant qu’elle ne pouvait faire changer d’avis sa maitresse, Naruko se prépara pour la suite.
Elle sentit le chien massif se mettre en place comme les dix-neuf autres. Contrairement aux autres il posa ses pattes sur son dos la poussant vers le bas la faisant plutôt inconfortable. Elle pouvait sentir les griffes contre ses omoplates. Priant pour la suite, Naruko ne put s’empêcher de penser qu’elle aurait pu profiter de la session et devenir volontairement leur chienne avec plaisir si ce n’était pas pour les coups de cravache.
Elle sentit sa monstrueuse bite poussé contre son ouverture. De nombreuses nuits, elle avait fantasmé sur comment se serait de prendre sa monstrueuse bite dans sa petite chatte serré de salope. Le pire c’est lorsque son fantasme fut enfin exaucé, elle était trop douloureuse pour en profiter. Elle regrettait vraiment de ne pas pouvoir rentrée cette merveilleuse bite dans sa chatte dans d’autre conditions.
Sentant ses lèvres s’écarté au passage de sa bite, Naruko grimaça de douleur, son corps et son esprit était devenu trop engourdit. Mais la sensation de ce faire baisé par l’animal de ses fantasmes déclencha un incroyable feu dans ses reins, ce qui arriva à supplanter en partie la douleur ressenti.
Lorsque Kuromaru commença vraiment à la baiser, elle sentit le plaisir monter en elle malgré la douleur. Ses gémissements de douleur était devenu des gémissements de plaisir devant un public stupéfait. Si elle avait pu crier son plaisir, elle l’aurait sans un instant d’hésitation.
Naruko se fichait de la douleur, Kuromaru avait passé son col et la martelait comme jamais elle n’avait été martelée. A chacun de ses coups, elle pouvait le sentir frappé le fond de son ventre et poussé le sperme accumulé sur les côtés. Outre ses gémissements et le son de la chaire frappant contre la chair, il y avait un silence stupéfait dans la salle. Aucune personne ne pensait qu’elle pourrait prendre autant de la bite de Kuromaru en elle, à chacun de ses coups, il pouvait voir son ventre se déformé pour l’accepter en elle. Le plaisir montait à un rythme effréné, être baisé par Kuromaru semblait avoir déclenché tous ses capteurs de plaisir.
Il ne fallut que quelques minutes de ce rythme infernal pour qu’enfin, Naruko puisse jouir. Son premier orgasme de la soirée mélangea la douleur et le plaisir comme aucun autre orgasme qu’elle avait eu. Ses yeux roulèrent à l’arrière de sa tête et sa langue pendait de sa bouche, elle avait enfin atteint son orgasme tant attendu.
Il ne fallut qu’une autre minute avant que Kuromaru ne viennent en elle prolongeant son orgasme incroyable. Son ventre gonfla sensiblement à chaque secondes qui passait. Lorsqu’il se retira, l’esprit de Naruko commença enfin à revenir à la réalité. Elle pouvait sentir une coulée de sperme sortir de sa chatte et son ventre était devenu tellement énorme qu’il pendait et touchait par terre.
« C’est impossible ! » Pensa-t-elle, et au vu du silence des spectateurs, ils devaient penser pareil.
Elle sentit ses mains être détaché ainsi que ses pieds, mettant ses mains par terre pour éviter de tomber, elle pouvait sentir la gravité s’appliquait à son ventre rempli de sperme. Entendant la chaine devant elle se détacher, elle leva les yeux et vu Hana tenant la chaine.
« Bon, maintenant je vais te promener chienne. Bien compris ? »
Naruko se prépara à lui répondre, mais…
« Ah, ah ! Les chiennes ne parlent pas. Ils aboient ! » En disant cela elle agita sa cravache devant ses yeux. Elle fut satisfaite de voir les yeux sans vie de Naruko s’allumer d’une terreur primitive en voyant la cravache.
Naruko avait l’air merveilleuse pensa –t-elle. Sa longue chevelure d’or tombante sur le sol, les yeux bleu saphir qui avait toujours eu un feu en eux et une lueur de défi, étaient maintenant vide et sans vie. Ses seins pendaient entrainer par la chaine qui trainait au sol. Son ventre était devenu tellement énorme du sperme de chien stocké dedans qu’il touchait le sol. Ses seins, ses fesses et son aine étaient parsemé d’innombrable trait rouge vif dû à son utilisation excessive de la cravache. Et une simple ligne rouge passé par sa joue en travers de ses marques de moustaches.
« Woof, woof ! »Naruko aboya de sa voix rauque et Hana hocha la tête d’approbation.
Satisfait de son travail, Hana se mit à côté de Naruko et donna un coup de pied dans son ventre tirant un glapissement de douleur de la chienne. Hana pouvait voir fasciné son ventre absorbé l’impact et se balançait de gauche à droite suite à l’impact.
« Allez, viens animal de compagnie. » Hana tira sur la laisse, satisfaite de voir Naruko la suivre à quatre pattes. Elle fit le tour de la bâche l’exhibant aux spectateurs qui la sifflaient tandis qu’elle aboyait régulièrement. A chacun de ses mouvements de hanche qui lui permettait d’avancer, son ventre se balançait de droite à gauche, Naruko pouvait sentir l’énorme quantité de sperme balloté à l’intérieur. Une fois le tour fait, Hana remarqua avec amusement que l’on pouvait suivre à la trace le parcours de Naruko, une ligne blanche faisait le tour de la bâche. Demandant à ce qu’on lui apporte quelque chose pour la suite du spectacle, elle décida de s’amuser en attendant.
« Chienne, fais le beau. » Conformément à ses instructions, Naruko se mit sur ses genoux avec difficulté à cause de son ventre et leva ses mains, imitant parfaitement un véritable chien qui faisait le beau. Elle pouvait entendre les acclamations du public en la louant pour son talent de dressé un chienne en un peu plus d’une heure.
Reprenant sa position à quatre pattes Naruko vit quelqu’un jetait des vêtements blanc sur la bâche, les observant elle se rendit compte que c’était ses vêtements.
« Vient animal de compagnie. » Tirant sur la laisse, sa maitresse l’amena vers les vêtements.
« Animal de compagnie, tu dois avoir envie de pisser, non ? Si tu en as besoin alors tu peux le faire maintenant. » Le sourire de Hana était compatissant mais tout le monde avait comprise l’ordre implicite. Sans même une hésitation, Naruko se plaça à côté de ses vêtements, leva sa jambe gauche en l’air et soupira de soulagement en sentant sa vessie pleine se vider.
Un jet jaunâtre fut expulsé de sa chatte et atteint ses vêtements les trempant.
Une fois ceci fait, Hana lui tapota la tête.
« Bonne chienne. »
« Woof, woof »
« Allez, viens. C’est bien sur le dos. » Naruko se mit sur le dos avec ses mains en l’air replié vers elle-même comme un vrai chien.
Posant sa botte sur son ventre immense, Hana enchaina.
« Tu as aimé être baisé par une vingtaine de chien ? Hein, chienne, être noué à eux pendant qu’il fécondait ton ventre de chienne en espérant que tu portes leurs chiots ? »
« Woof, woof ! » Tout le monde pouvait sentir son affirmation dans ses aboiements et il pouvait imaginer une queue rattachée à ses fesses s’agitait joyeusement.
« Bien, je vois que tu es une excellente chienne, et les bonnes chiennes sont récompensé. Apporté la gamelle ! » Naruko entendit quelqu’un courir et mettre quelque chose de froid sous ses fesses. Ensuite, elle sentit sa maitresse appuyé sa botte contre son ventre. Un gémissement d’inconfort sorti de la bouche de Naruko, elle pouvait sentir le sperme être expulsé avec force de sa chatte suite à la pression émise sur son ventre.
Après un certain temps, elle sentit enfin la pression sur son ventre diminuer. Regardant vers son ventre, elle donnait toujours l’impression d’être enceinte, mais plus qu’on lui avait fourré dans son ventre des triplés et qu’elle était sur le point de donner naissance. Elle soupira de soulagement, se trimballer avec un ventre aussi énorme était étonnamment difficile et fatigant.
« Relève-toi. » Entendant cela, Naruko se remit à sur ses mains. Sa maitresse la retourna pour lui montrer ce qui avait été entre ses jambes. C’était une simple gamelle en fer avec le nom de Naruko gravait dessus. Entouré du sperme qui était sorti de son ventre, Naruko put analyser son contenu. Recouvert sous une épaisse couche de sperme, elle vu du pâté. Du pâté pour chien pensa-t-elle révolté. Mais son ventre lui rappela qu’elle avait à peine eu le temps de toucher son petit-déjeuner, qu’elle avait été inconsciente durant un temps et qu’elle sortait d’un exercice physique épuisant.
« Hum, tu as faim ? C’est bien je t’ai pris du pâté qu’on donne à nos chien et avec pour sauce du sperme de chien venant directement de ton ventre. C’est encore chaud régale toi. »
Sentant son ventre gronder, Naruko se résigna. Elle commença à laper le sperme recouvrant le pâté avec les grumeaux du sperme de Kuromaru. Soudain elle sentit un coup de cravache atterrir sur les joues de ses fesses.
« C’est pas comme ça que les chiennes sont censé manger ! » Naruko sentit ensuite la botte se posé sur le dos de sa tête et avant qu’elle puisse opposer toute forme de protestation, la botte appuya sur sa tête ensevelissant son visage dans la gamelle.
« C’est ça chienne avale goulument la nourriture qu’on t’a si généreusement donné. » Dit Hana en retirant sa botte et en observant Naruko commençait à manger en prenant de grosses bouchées de la nourriture contenue dans la gamelle.
Naruko se régalait, son esprit avait été sous trop de pression et la seule chose qui pouvait la soulager était d’obéir comme une chienne à sa maitresse en essayant de mettre au dos de son esprit ce qu’elle était forcée de faire. Elle plongea sa bouche de sa gamelle en prenant des grosses bouchées de nourriture qui mélangeait le sperme de chien et le pâté. Et autant elle voulait le nier, c’était délicieux, elle profitait de chaque bouchée en mastiquant bien. La saveur du mélange restait sur sa langue et la faisait saliver la poussant à ensevelir sa tête dans la gamelle pour remplir son ventre affamé. Ses cheveux tombaient dans la gamelle et sur le côté dans la flaque de sperme. Son ventre grondait de satisfaction d’être nourri. Une fois qu’elle eut fini la gamelle et eu bien lécher le fond pour qu’elle soit parfaitement propre, elle releva sa tête pour montrer qu’elle avait tout bien mangé. Elle pouvait sentir les morceaux de nourriture glissait le long de son visage pour tomber par terre.
« REGARDER LE VISAGE GOURMAND DE LA CHIENNE, SON VISAGE COUVERT DE PATE POUR CHIEN ET DE SPERME ! ELLE A ADORER CA ! » Un véritable rugissement d’approbation secoua la salle devant ce spectacle. Naruko avait le visage recouvert de sperme et de pâté, et une partie de ses cheveux était souillé du même mélange. Enfin, Hana la conduisait en dehors de l’arène. Une fois en dehors, Naruko fut libéré de sa laisse et put enfin se relever, ses genoux protestèrent, douloureux de ramper comme elle avait fait. Elle avait fin une pause, le soulagement qui la traversa lui permit de retrouver ses fonctions mentales.
Elle voulait juste prendre un bain et oublié cette journée. Jusqu’à ce que Hana lui tendit quelque chose de reconnaissable.
« Tient, ses tes vêtements. » Dans ses mains, elle tenait un short blanc et un t-shirt blanc. Malheureusement, ils étaient encore humide dû fait qu’elle eut uriné dessus. Naruko voulut protester, mais ce tut tout de suite en voyant que la cravache toujours à la main d’Hana.
Grimaçant, elle enleva la chaine et remit son autre paire de piercing. Puis mis les vêtements humides de son urine, grimaçant à la sensation inconfortable, ses vêtement était froid, transparent, puaient l’odeur d’urine et collaient à sa peau. Hana lui fit signe de suivre, soupirant, elle espéra que dans peu de temps elle pourrait prendre un bain chaud.
La suivant, elle passa une porte et vu en face d’elle un escalier à une dizaine de mètres qu’elle supposa remonter à la maison et donc qu’elle était dans le sous-sol. De chaque côté du chemin menant à la porte elle vu tous les spectateurs, photographe et technicien qui s’occupait de faire le film de son humiliation s’arrêter de parler entre eux en la voyant, puis l’applaudir. Mettant en place un faux sourire, Naruko agitât le bras pour les remercier comme une star particulièrement fière de sa performance.
Elle se demanda qu’elle apparence elle devait avoir à leur yeux. Après tout, elle ne portait aucuns sous-vêtements et ses vêtements blanc humide ne cachaient rien de ce qu’il y avait en dessous. Sa chatte béante de la baise continue, son ventre enceinte, ses seins… Et elle était sûre que les marque de cravache répartir sur son corps était visibles. Sentant quelques choses atterrir dans son décolleté, elle baissa les yeux. Dans son décolleté était un morceau assez important de nourriture parsemait de sperme qui avait coulé de son visage.
Elle avait presque oublié comment elle était sale, prenant avec une de ses mains ce qui était tombé dans son décolleté, elle l’amena à sa bouche pour l’avaler sous les flashes des photographes. Une fois arrivait aux escaliers, elle se retourna une dernière fois pour leur faire un au revoir et se précipita dans les escaliers pour se diriger vers la salle de bain.
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3 jours plus tard :
Naruko quittait Konoha pour remplir sa mission, elle avait dit au revoir à tout le monde. Baa-chan était particulièrement inquiète pour elle. Jiraya avait remis en place le joint pour éviter qu’elle tombe en enceinte et mis en place des joints qui scellait son chakra, elle avait juste à faire toucher les joints pour que son chakra lui revienne.
Elle se dirigeait avec Anko, Kurenai et Yugao vers une caravane qui partait pour Nami, les marchands prenaient des voyageurs contre de l’argent et les emmenaient avec eux.
Elle portait chacune leur valise, dans la sienne était ses vêtements les plus sexy, un peu d’argent, son piercing de rechange avec la chaine, son rouge à lèvre et mascara ainsi qu’un dossier contenant toute les informations sur l’organisation à laquelle appartenait la maison close quelles infiltraient. Avant de partir elle avait donné toute ses économies à Tou-sama et onee-chan pour les aider.
Leur infiltration commençait déjà en mettant en place une fausse identité en tant que civil. La mission ne faisait que commencer.
Fin de l’arc de formation à Konoha
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