Servitude | By : MarieLaTerrible Category: French > Games Views: 1231 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Pokémon est la propriété de Nintendo et GameFreak. Je ne tire aucun avantage monétaire de ce texte. |
Dracaufeu fixe le membre artificiel au harnais, et pour ne pas être en reste, elle rajoute un deuxième, tourné vers l'intérieur et logé dans ses profondeurs féminines. Délicatement, elle retire le plumeau du derrière de Maganon. Profitant que le sphincter est encore ouvert, elle vide un tube de lubrifiant à l'intérieur.
- Fuu, fufufu ! fait Maganon en s'agitant.
Elle retire le bâillon.
- Quoi ?
- C'est froid ! répète le canard.
- Oh là là, petite fleur sensible…
- Fais doucement, murmure Maganon en serrant dans sa main la clochette qui sert à arrêter le jeu.
- Aussi doucement que toi avec moi tout à l'heure ! rétorque Dracaufeu.
D'un seul coup, elle plonge dans son amant.
- Ouh ! soupire Maganon.
La sensation est différente de tout à l'heure, plus profonde mais moins imposante.
- C'est bizarre, s'amuse Dracaufeu.
- Qu'est-ce qui est bizarre ? s'enquiert Maganon.
Étant un mâle, il ne comprend pas ce à quoi sa compagne pourrait bien faire référence.
- Je n'ai pas l'habitude de bouger comme ça, confie Dracaufeu.
Elle fait aller et venir ses hanches, luttant contre ses réflexes féminins qui lui dictent d'orienter son bassin vers le haut tout en s'avançant. C'est difficile.
Le petit accessoire plongé dans sa féminité la chatouille et la titille ; toute la zone autour, particulièrement sensible, est stimulée par le harnais qu'elle porte.
- Mhm, Mag, tu es délicieux…
- Ah, Drac, je pensais pas vivre ça un jour, encore moins avec toi !
Dracaufeu s'interrompt.
- Tu n'aimes pas ?
- Je ne sais pas trop, avoue le canard de feu. C'est bizarre comme sensation, pas désagréable, mais bizarre. Je n'ai pas l'habitude.
Dracaufeu lui donne un coup de hanche un peu plus violent que les autres ; il gémit de surprise.
- Grrr, gronde la dragonne en s'agrippant à la taille de son amant. Grouar.
Elle le plaque contre le matelas, s'agitant, la bave aux lèvres. Maganon crache un nuage de fumée noire.
La dragonne sent que les chairs de son compagnon lui opposent moins de résistance, qu'elles sont moins serrées, qu'il est plus détendu. Discrètement, elle tend la main vers le coffret d'accessoires. Prétextant devoir rajouter une dose de lubrifiant, elle se retire, échange son membre artificiel pour une taille plus imposante, et plonge à nouveau dans le fondement de Maganon.
- Oh, Drac ! gémit le canard enflammé. Je te sens tout partout !
Elle glisse une main sous le ventre de son compagnon, atteignant sa virilité qu'elle empoigne fermement. Elle aime la sensation de pouvoir que ça lui donne. Elle cale ses coudes sur les cuisses de Maganon, affermissant son emprise. Prudemment, elle repose son torse et son cou contre son dos, entre les deux rangées de piquants qui l'ornent. Sa gueule se referme délicatement sur la nuque courte de son amant.
Maganon est transporté, abandonné, confiant. Il n'a pas besoin de penser, pas besoin de réfléchir. Tout ce qu'il a besoin de faire, c'est ressentir. La douceur des écailles de la dragonne sur ses plumes. Son souffle chaud sur sa nuque. Ses dents pointues sur les côtés de son cou. Ses pattes avant autour de sa virilité, la ranimant encore une fois malgré sa fatigue. Le membre artificiel dans ses chairs, large, long, occupant tout l'espace disponible, frottant contre cet endroit sensible qu'il n'aurait jamais imaginé sentir être caressé un jour, remuant tout son être.
Le plaisir est très intense, mais il ne peut plus en ressentir le climax, il a déjà trop donné. Tout son corps réclame la libération qui refuse de venir. C'est horriblement agréable. Il ne sait pas s'il pourra supporter de tels sommets de plaisir bien longtemps.
- Oh, Mag ! gémit Dracaufeu en s'agitant un peu plus.
Le harnais la chatouille juste assez pour lui donner envie de plus, mais pas suffisamment pour l'emporter dans une grande vague de frémissement. La frustration et le désir montent dans ses reins. Ses mouvements se font plus violents.
- Drac, doucement, plaide Maganon.
- Je peux pas, gémit-elle en réponse. Je peux pas…
Elle s'agite encore plus violemment.
Un tintement de clochette l'interrompt. Elle s'immobilise, haletante, suante, tremblante. Elle en veut plus, elle a besoin de plus, mais Maganon l'a arrêtée. Elle claque ses mâchoires dans le vide.
- Ça fait mal, murmure Maganon. Il faut remettre du lubrifiant, je crois.
Fébrilement, la dragonne se jette sur la table de nuit, se retire de son amant, le remplit à nouveau de la substance visqueuse et froide. Il proteste faiblement, ne sachant plus, sous l'effet de l'excitation, s'il apprécie ou pas le traitement.
À nouveau Dracaufeu change son membre artificiel pour la taille supérieure. Le diamètre et la longueur sont à peine inférieurs à ceux de son avant-bras.
- Je peux ? interroge-t-elle, plus par acquis de conscience qu'autre chose.
Son amant acquiesce. Elle plonge à nouveau, profondément.
- C'est une impression, soupire Maganon, ou tu es plus grande qu'avant ?
- Ça doit être une impression, ment Dracaufeu.
La cascade de son désir rend le harnais glissant et diminue ses sensations. Elle a besoin de plus, pour maintenir le niveau de stimulation.
Elle commence à mieux maîtriser l'inclinaison du bassin à respecter. S'avancer sans trop se tortiller n'est pas facile.
Elle plonge dans Maganon. Elle n'y tient plus. Elle a besoin d'aller jusqu'au bout.
Elle cale son imposant membre artificiel dans les chairs de son compagnon, ajuste la prise de ses genoux autour de ses jambes.
- Qu'est-ce que tu fais ? halète Maganon.
- J'en peux plus, gémit Dracaufeu, j'ai besoin, besoin de…
Elle n'achève pas sa phrase, agitant furieusement les hanches pour s'auto-stimuler à l'aide du harnais et du membre artificiel glissé en elle. Maganon rejette la tête en arrière, vocalisant les sensations que cette agitation éveillent en lui.
- Oh ! Ouh ! Oh ! Ah ! Han ! Han ! Han ! Dra-a-ac !
Il a la sensation d'appartenir totalement et inconditionnellement à sa compagne. Il la sent dans son ventre, il la sent autour de ses hanches, il sent ses griffes sur son épaule. Il est véritablement comblé. Les différentes orientations de Dracaufeu dans ses chairs lui donnent l'impression qu'une créature vivante est en train de s'agiter en lui. Instinctivement, il se détend et s'ouvre pour la recevoir.
S'il pouvait l'accueillir mieux encore, il le ferait. Il est prêt à tout et n'importe quoi pour satisfaire son amante.
- Je n'y arriverai pas comme ça, gémit Dracaufeu sans pour autant s'immobiliser.
Maganon est trop submergé de sensations pour parvenir à lui répondre. Il se contente de pousser des « han ! » aigus au rythme des mouvements dans ses chairs.
Soudain, Dracaufeu se retire, arrachant le harnais. Maganon se retrouve, la queue en l'air, encore tout ouvert. Le vide soudain qu'il sent à l'intérieur de lui le surprend et le chagrine.
Dracaufeu ne lui laisse pas le temps de se refermer. Violemment, elle le retourne, saisit sa tête à deux mains et plaque son bec sur la fente de sa féminité.
- Allez, Mag, montre-moi ce dont tu es capable !
Maganon a du mal à penser. Son esprit est tout embrouillé. Il frôle les limites de ce qu'il peut supporter. Mais comme lesdites limites ne sont pas encore dépassées, il s'exécute. Pour faire plaisir à Dracaufeu. Pour pouvoir être fier de ce qu'il est capable de faire et de supporter par amour pour elle. Pour continuer à se perdre sous la coupe de la dominante femelle. Pour oublier le poids des responsabilités qui pèse tous les jours sur ses épaules.
Il ouvre grand le bec, couvrant la totalité de la fente féminine de sa compagne. De puissante et agile langue d'oiseau, il caresse le bord des lèvres humides couvertes de jus acide. Il n'aime pas la nourriture acide, mais lorsqu'il s'agit des profondeurs de son amante, toutes ses appréhensions fondent comme neige au soleil.
Il tente de reculer un peu la tête pour se reposer quelques secondes ; la poigne de son amante l'en empêche. Alors, respirant par les narines, il continue. Il ne s'arrêtera pas tant qu'elle ne l'aura pas lâché, ou qu'il ne sera pas pris d'une crampe violente le contraignant à agiter la clochette pour demander grâce.
La dragonne soupire de contentement. Enfin, enfin, quelque chose de familier entre ses jambes, quelque chose de vivant. La langue de Maganon s'agite ; elle en veut plus, elle en veut toujours plus. Elle maintient fermement la tête de son amant bien serrée contre elle. Doucement, elle s'agite, change l'orientation de ses hanches, offrant de nouveaux points subtils aux caresses buccales du canard de feu.
C'est vraiment le paradis. Elle serre ses pattes arrière autour des côtes de Maganon, juste sous ses bras – le seul endroit qu'elle parvient à atteindre. Elle étend sa queue contre le ventre de son partenaire, jusqu'à atteindre la sienne. Les deux extrémités se rejoignent. Celle de la dragonne s'enroule autour du croupion du canard.
La tête de Dracaufeu pend au bord du lit, son museau caresse le carrelage.
- Oh, Mag, mon canard ! Oh, oui ! Encore ! Plus vite ! Uh ! Ah ! Oui, c'est bien !
- Mmmpffff, répond l'intéressé, incapable d'articuler le moindre son.
Le souffle commence à lui manquer ; par mesure de prudence, il change de position, tenant la clochette bien haut en équilibre entre deux doigts. Comme ça, s'il commence à perdre connaissance, la clochette lui échappera et préviendra aussitôt sa compagne.
La dragonne, sans ménagement, frotte le bec ouvert de Maganon contre sa fente féminine. Elle y est presque.
- Hin han ha ha ha ha hiiiii ! couine-t-elle.
Le canard cracheur de feu est soulagé. L'articulation de son bec lui fait vraiment mal, sa langue est prise de crampes. C'était moins une.
- Han, Maganon… gémit Dracaufeu. Maganon… ouh… tu fais du bien…
Il se laisse rouler sur le côté, au milieu du lit défait, reprenant son souffle. La dragonne sourit largement.
- Ouais, ça c'est bon… gronde-t-elle en soufflant de la fumée noire par les naseaux.
Puis, soudain, elle se reprend.
- Je n'ai toujours pas oublié que tu as sali mon carrelage, tout à l'heure !
Maganon sursaute, il essaye de s'enfuir, mais la dragonne est trop vive pour lui. Elle le maintient fermement.
- Et puis, continue-t-elle, tu es trop fatigué pour être capable de me satisfaire de ta virilité. Ça aussi, ça mérite une punition, tu crois pas ?
Malgré sa fatigue, il reste vigilant, prêt à faire tinter la clochette en cas de besoin. Dracaufeu se rapproche à chaque seconde un peu plus dangereusement des limites à ne pas franchir.
Furieusement, Dracaufeu plonge à nouveau un imposant accessoire dans les chairs de son amant.
- On va voir combien de temps tu vas tenir avant de crier grâce !
Le canard cracheur de feu pousse un couinement de surprise et de protestation. La dragonne n'agite pas le membre artificiel, se contentant de le laisser enfoncé au cœur de son amant. Ce dernier ne parvient pas à voir ce qu'elle est en train de faire.
Discrètement, Dracaufeu est en train d'enfiler un gant sur sa patte avant droite, un gant spécialement renforcé aux extrémités des doigts pour ne pas être déchiré par ses griffes acérées. Elle recouvre le tout d'une bonne dose de lubrifiant.
- Et ben, faudra pas faire ça tous les jours, gronde-t-elle pour elle-même. Je vais finir par me ruiner ! C'est bien la peine de réaliser toutes ces missions de secours si c'est pour tout dépenser en accessoires érotiques !
De sa patte restée libre, elle saisit par la base le membre encore enfoncé dans Maganon et, doucement, le fait aller et venir.
- Alors, mon canard, tu aimes ça, hein ? Hein que tu aimes ça ?
Il ne sait s'il doit dire oui ou non. Son jugement critique a abdiqué pour de bon. Tout ce qui compte, c'est de faire plaisir à Dracaufeu, autant qu'il lui plaira, jusqu'à ce que le corps du puissant pokémon mâle finisse lui aussi par déclarer forfait, relâchant la clochette et arrêtant la féroce reptile.
Le mouvement prend de l'amplitude peu à peu. L'accessoire est retiré entre deux plongées.
Maganon regrette d'avoir attendu si longtemps avant de laisser Dracaufeu lui faire ce genre de choses.
Sans que son amant ne s'en rende compte, Dracaufeu met le membre artificiel de côté et le remplace par sa propre patte avant.
- Uh, soupire Maganon.
Il ne dit rien de plus. Ses muscles lui tirent, il ne supportera pas une taille supérieure.
Doucement, Dracaufeu fait aller et venir sa patte dans les entrailles de son compagnon. Elle ferme à demi les yeux, savourant les battements de la chair autour d'elle. C'est tout doux, c'est confortable. Elle en jalouse presque son compagnon qui a la chance de pouvoir la sentir tout autour de lui à chaque fois qu'ils font l'amour.
- Mhm, Drac, fait doucement, gémit Maganon.
- Je fais comme je veux, siffle la dragonne en réponse.
- Je suis sérieux, ma grenouille, insiste le canard cracheur de feu.
La pokémone acquiesce. Elle comprend. Elle est réellement en train de flirter avec les limites de ce que son compagnon peut supporter, et ne peut pas se permettre de perdre son sang-froid.
Maganon ne comprend pas tout de suite ce que Dracaufeu est en train de faire. Il soupçonne d'abord qu'elle utilise simplement un accessoire d'une taille encore supérieure au précédent. Mais soudain, il sent l'extrémité de ce qui est glissé en lui pivoter pour mieux frotter les flancs de sa cavité interne.
- Drac ?
Il se retourne à demi et voit, yeux écarquillés, ce que sa compagne a enfoui à l'intérieur de lui.
- Quelque chose ne va pas, mon canard ? minaude la dragonne.
L'intéressé se débat, essaye de s'éloigner, agite la clochette. Dracaufeu, surprise, se retire.
- Qu'est-ce qui ne va pas, mon canard ?
- Tu… tu avais… bredouille Maganon..
- Ben… répond Dracaufeu en exhibant sa patte encore recouverte du gant renforcé.
- C'est pas possible ! C'est pas possible ! panique Maganon.
Dracaufeu en reste gueule bée.
- Mais, mon canard…
- Je vais être incontinent le reste de ma vie ! piaule Maganon.
Dracaufeu éclate de rire bien malgré elle.
- Espèce de cervelle d'oiseau ! se moque-t-elle. Tu n'as jamais fait attention à la taille de ce qui sort habituellement par là ?
Maganon croise les bras.
- C'est pas une raison, proteste-t-il. Tu aurais pu me prévenir !
Dracaufeu baisse la tête.
- Bon, bon. Je préviendrai la prochaine fois.
- Mouais, grogne le canard. On verra si tu arrives à me convaincre.
Doucement, la dragonne se rapproche de son compagnon, s'excusant à nouveau, se blottissant contre lui. Maganon est épuisé. Elle lui en a beaucoup demandé, elle s'en rend compte à présent. Sans doute est-elle allée trop loin. Regagner sa confiance ne sera pas facile.
- Tu sais que tu peux me mordre comme tu veux, soupire Maganon. Me griffer, me fouetter… tu peux faire tout ça. Pourquoi a-t-il fallu que tu insistes tellement pour enfiler ta patte entière dans moi ?
La reptile cligne des yeux.
- Eh ! se défend-elle. T'étais bien d'accord ! T'as pas dit non ! T'avais même l'air plutôt content !
- Mais ça, c'était avant de me rendre compte de ce que tu étais en train de m'enfiler ! rétorque Maganon.
Les deux amants se toisent l'un l'autre.
- En fait, insiste Dracaufeu, c'est uniquement une question de savoir ou pas savoir. Tant que tu savais pas, ça te plaisait.
Maganon lui souffle un âcre nuage de fumée noire dans les naseaux.
- C'est pas une raison, rétorque-t-il.
- Bon, soupire Dracaufeu, l'air passablement énervée. Très bien. Je n'ai plus qu'à remballer mon coffret Super Spécial Spinda et à l'enterrer dans un coin pour ne plus jamais y toucher.
Catastrophé, Maganon proteste.
- Ehlà, non ! Qu'est-ce que tu racontes ?
- Ah ben, vlà aut'chose, grogne Dracaufeu.
- Ne l'enferme pas là où on ne pourra plus jamais jouer avec !
La dragonne penche la tête de côté et plisse les yeux en direction de son amant.
- Tant que tu y vas pas avec quelque chose d'aussi grand que ton poing, continue le canard enflammé, je veux bien que tu recommences. Doucement.
La dragonne secoue la tête en hurlant de rire.
- Toi alors, t'es un sacré phénomène !
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