Hogwart Fuck Fest | By : snakeBZH Category: French > Harry Potter Views: 9071 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
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CHAPITRE III : DECOUVERTE SENTIMENTALE
La journée avait si bien commencé. Megan Jones, élève de première année à Poufsouffle ne souhaitait que la passer en s’amusant avec ses amies et condisciples Susan Bones et Hannah Abbot. Mais voilà, cet imbécile venait encore lui chercher des noises. Que lui avait-elle fait pour mériter ça ? Rien sûrement. Il l’avait choisie pour être sa cible durant les premiers jours de l’année scolaire. Elle espérait que ce ne serait pas ainsi pendant l’année prochaine. Car, heureusement, il ne lui restait qu’un an à faire à Poudlard. Que lui faisait-il me demanderez-vous ?
« Tiens, voilà la miss Prudjones.
-Tu ne vas pas me lâcher de l’année White, répliqua aussi sec Megan.
-Il ne me reste plus qu’une journée avant la trêve estivale. J’en profite. A tout’, miss Prudjones. »
Miss Prudjones. Il ne cessait pas de l’appeler ainsi. Tout simplement parce qu’elle s’était offusquer alors qu’il parlait de ce qu’il avait fait durant ses vacances en Espagne. Il se vantait d’avoir couché avec plusieurs filles qu’il qualifiait de bombes sexuelles. Et même d’avoir passé une torride nuit avec trois filles en même temps. Ne supportant pas ses rires et son vocabulaire salace, Megan, qui tentait de travailler à un devoir à la table d’à côté, lui avait dit sa façon de penser. Et depuis, il l’appelait ainsi.
Sans réellement y croire, Megan continua sa visite en espérant qu’elle ne le croiserait plus. Mais il était toujours là. Où qu’elle aille. A croire qu’il la suivait. Mais force était de constater qu’il était souvent là où elle souhaitait se rendre avant qu’elle n’y arrive.
« A croire que vous êtes liés par quelque chose, dit Hannah.
-Arrête, je préfèrerais sortir avec un troll, répliqua Megan.
-Pourquoi un troll ? sourit White en sautant sur l’occasion. Tu n’arrives pas à trouver plus beau ?
-Au moins un troll aurait de meilleures manières que toi.
-Je le plains par contre. Coincée comme tu es, il va sûrement te quitter très vite.
-Tout le monde ne pense pas au sexe tout le temps.
-Oh que si ! Mais personne n’ose en parler.
-Ne prends pas ton cas pour une généralité. Ce n’est pas parce que monsieur a une bite à la place du cerveau que c’est le cas de tout le monde. J’en ai ras le bol ! Je rentre. »
Laissant sur place ses amies et White, Megan partit d’un pas rapide vers la tour de Poufsouffle.
Megan s’enferma dans sa chambre. Ce White lui avait gâché sa journée. Et pourtant, il était pas mal du tout. Megan ne le dirait jamais à ses amies mais elle le trouvait physiquement attirant. Le problème, c’était son comportement et la façon dont il traitait les filles. A l’entendre, ce n’étaient que des objets seulement utiles pour assouvir ses pulsions sexuelles. Ne pensait-il pas une seule seconde que les filles puissent avoir des sentiments ? Ou simplement qu’elles n’étaient pas faite pour seulement donner du plaisir aux garçons mais également en recevoir ?
Les heures passèrent et Megan sentit la faim approcher. Elle se décida à sortir de son isolation pour se rendre à la Grande Salle et prendre son repas. Elle était à peine sortit de son dortoir qu’elle entendit des voix dans la salle commune. Apparemment une fille qui gloussait. Mais ce fut l’autre voix qui figea la gamine sur place. Ce ne pouvait être que lui : Sam White. Il avait encore séduit une fille et allait sûrement tenter de la glisser dans son lit. Il faut dire que c’était le meilleur jour pour ça. Tous les Poufsouffle avaient déserté les dortoirs et la salle commune. Megan se pensa maudite. Et puis qu’importe, elle ne ferait que passer.
Elle allait se lancer dans l’escalier pour descendre à la salle commune et sortir de la tour quand elle remarqua que plus aucun son ne lui parvenait. Elle décida de changer de tactique et de s’approcher discrètement pour voir ce qui se passait. Elle se baissa pour profiter au maximum de la protection du garde-corps de pierre. Elle tendit l’oreille et n’entendit pas plus de paroles. Par contre, des soupirs lui parvinrent. Elle osa alors faire passer ses yeux au dessus du garde-corps. Elle manqua de peu de pousser une exclamation de surprise. White était assis sur un des canapés de la salle commune. Et une fille de la même année que lui s’était penchée sur son bas-ventre et lui prodiguait une fellation. Une main de White avait relevé la jupe de l’adolescente et massait ses fesses sensuellement. La fille devait être douée car White, la tête en arrière et les yeux fermés, souriait de plaisir.
Megan savait qu’elle ne devrait pas regarder. Elle devrait signaler sa présence et sa désapprobation devant le fait d’effectuer un tel acte dans une salle où n’importe qui pourrait les surprendre. Mais elle resta immobile à les observer. La main de White écarta la culotte de la fille et agaça son bouton d’amour. La fille se mit à gémir sans lâcher le membre de ses lèvres. Megan sentait la chaleur lui envahir le bas-ventre. Elle ne résista pas et descendit sa main entre ses cuisses. Elle fut surprise de découvrir que sa culotte était trempée, elle ne regardait que depuis quelques minutes à peine. Elle glissa sa main sous le tissu blanc et joua avec son clitoris. Elle ferma même les yeux un instant pour en apprécier pleinement la montée de plaisir.
Mais quand elle les rouvrit, elle crut que son cœur arrêtait de battre. White avait ouvert les yeux et la fixait. Elle resta immobile, incapable du moindre mouvement. Mais ce qui la troubla le plus, c’était qu’il ne la regardait pas comme d’habitude. Megan vit même de la tristesse et de la honte dans son regard.
« Qu’est-ce qui t’arrive ? demanda la fille en cessant sa tendre caresse.
-Quoi ? questionna White sans comprendre.
-Bah regarde. »
White suivit son regard pour découvrir qu’il avait débandé. Cela ne lui était jamais arrivé avant. Il parut un instant déboussolé mais finit par sourire étrangement.
« Que veux-tu ? finit-il par dire. Ça ne doit pas être le moment.
-Ah oui ! s’enflamma la fille. Et moi je fais quoi ? Je vais aux toilettes et je me branle ?
-Je pense que c’est en effet la meilleure option pour toi.
-Enflure ! hurla-t-elle en le giflant. »
La fille remit sa culotte et sa jupe en place et sortit sans se retourner.
White resta silencieux, la queue à l’air durant un moment.
« Tu peux descendre miss Prudjones, invita-t-il. A moins que tu ne préfères rester là-haut où je ne peux pas t’atteindre ? »
Megan ne savait pas quoi faire. Elle luttait entre retourner dans sa chambre et courir hors de la tour de Poufsouffle. Mais elle voulait aussi savoir ce qui c’était passé. Pourquoi un type se décrivant lui-même comme un étalon venait de débander en pleine action ? Et puis, elle ne pouvait oublier l’effet que ce spectacle lui avait fait. Ses doigts étaient encore moites de son humidité intime.
Elle descendit lentement les escaliers. White avait rangé son engin. Il lui souriait. Mais pas comme d’habitude. Son sourire était presque tendre. Elle s’assit sur un fauteuil en face de lui. Elle osait à peine le regarder.
« Je pensait qu’il n’y avait personne, dit-il. Et même, tu es la dernière personne que j’aurais aimé me voir en une telle position.
-Pourquoi ? questionna-t-elle.
-Parce que maintenant, je vais devoir t’entendre me parler des bonnes mœurs. Vas-y, je t’écoute. »
C’est vrai que normalement elle lui aurait dit qu’il ne fallait pas prendre la salle commune pour un baisodrome ou les filles pour des jouets. Mais elle n’y arrivait pas. Elle se penserait hypocrite de dire ça alors qu’elle était entrain de se masturber en les regardant.
« Je t’ai connue plus bavarde miss Prudjones, lança-t-il.
-Ne m’appelle pas comme ça ! s’écria Megan.
-Alors montre-moi que tu ne mérites pas un tel surnom.
-Je ne veux pas faire partie de ton tableau de chasse.
-Pas besoin. Viens juste t’asseoir sur le canapé à côté de moi. On sera mieux pour parler. »
C’était comme un défi. Elle se leva en le fusillant du regard et vint s’asseoir à un mètre de lui.
Sans le vouloir, ses yeux se portèrent sur son sexe maintenant caché. Elle osa poser la question qui lui brûlait les lèvres :
« Qu’est-ce qui s’est passé ?
-A propos de quoi ? répliqua White. »
Elle était sûre qu’il faisait exprès de ne pas comprendre ce de quoi elle parlait. Juste pour l’entendre le lui dire.
« Tu sais bien, continua-t-elle.
-Non je ne vois pas, assura-t-il.
-Pourquoi tu… ?
-Pourquoi je… ?
-Pourquoi tu n’es pas allé jusqu’au bout avec elle ?
-Elle ne m’intéresse pas vraiment. C’est juste une petite chaudasse.
-Et c’est juste pour ça que tu as… ?
-Quoi ?
-Que ton… ?
-Tu sais finir tes questions parfois ?
-C’est pour ça que ton sexe est redevenu mou ? »
Megan n’osa pas le regarder. Elle était rouge de honte d’avoir dit ça.
White ne savait pas quoi répondre. C’était vraiment la première fois que ça lui arrivait. Il ne savait pas pourquoi il avait débandé mais il savait quand. Quand il avait ouvert les yeux et vu Megan en haut de l’escalier. Normalement, cela ne le gênait pas d’être vu pendant l’acte sexuel. Mais dans son cas, il ne voulait pas qu’elle le voit le faire avec n’importe qui. Il devait se rendre à l’évidence que cette gamine lui faisait faire n’importe quoi. Il passait parfois des heures à espérer entrapercevoir ses longs cheveux noirs voleter dans les couloirs. Et pourtant, ce n’était qu’une petite fille et lui serait bientôt un homme. Il aurait dix-sept ans à la fin du mois d’août. Il ne voulait pas lui dire mais par contre, il voulait savoir ce qu’elle avait ressenti en le voyant se faire sucer.
« Et toi, tu n’as pas mouillé en nous voyant ainsi ? demanda-t-il.
-Je… je…balbutia-t-elle.
-Tiens tiens ! Est-ce que miss Prudjones commencerait à s’ouvrir aux plaisirs charnels ?
-Non je…
-Lorsque je t’ai vu, tu avais les yeux fermés. C’était pour mieux ressentir la chaleur envahir ton corps ?
-Non je…
-Je suis sûr que ta culotte est encore humide.
-Arrête, je…
-Et tu as dû y glisser ta main. Voyons ça. »
Megan aurait voulu résister mais White était bien plus fort qu’elle. Il lui saisit la main et la tira à son visage. Il sentit, fermant les yeux pour en apprécier le parfum. Il sourit.
« Ça sent bon la mouille, dit-il doucement. »
Megan allait lui dire de la lâcher ou retirer sa main d’un coup mais elle se contenta de rougir quand White commença à lui suçoter les doigts tendrement. Malgré tout ce que lui avait dit le garçon durant l’année, elle ne voulait pas que ce moment s’arrête. Elle était surprise qu’il puisse se montrer aussi doux. Sentir ses lèvres sur ses doigts lui fit un effet auquel elle ne s’attendait pas. Elle sentit de nouveau la chaleur lui envahir le bas-ventre et sa culotte devenir de plus en plus humide. Elle ne pouvait plus détacher ses yeux des lèvres de White. Elle ne désirait qu’une chose, que sa langue remplace ses doigts.
Il cessa de lui sucer les doigts mais ne lâcha pas sa main pour autant. Il se contenta de lui caresser le dos de la main d’un doigt. Il sourit quand il sentit les doigts de la gamine bouger pour s’entremêler aux siens. Il se leva, la tirant en lui disant un vague « viens ». Il l’emmena dans le dortoir des garçons de sixième année. Il referma la porte derrière eux et la guida jusqu’à un lit qui devait être le sien. Ils s’y assirent sagement. White dévorait littéralement la gamine des yeux. Megan n’y tint plus et se rapprocha de son visage pour l’embrasser passionnément. Elle n’aurait jamais imaginé faire ça un jour. Mais maintenant qu’elle le faisait, elle avait l’impression qu’elle attendait ce moment depuis des mois.
Les bras de White l’entourèrent pour approfondir le baisé. Elle était si douce, si fraîche, si fragile. Son baisé était un peu maladroit mais il aimait ça. Il commençait même à se demander pourquoi il l’avait embêtée durant toute l’année. Peut-être pour cacher le fait qu’une fillette de cinq ans sa cadette lui plaisait. Enfin quatre ans et demi pour être exact, il se souvenait lui avoir gâchée une partie de sa fête d’anniversaire en janvier. Bref, c’était la seule explication qu’il trouvait.
Ils s’embrassèrent un moment, basculant sur le lit. Megan sentit son compagnon grandir dans son pantalon. Et loin de se montrer choquée, elle était fière d’être la source de son excitation. Lorsqu’ils cessèrent de s’embrasser, la main du jeune homme vint lui caresser la joue doucement. Il n’y avait aucune moquerie dans ses yeux, juste le bonheur d’être auprès d’elle. Elle voyait le reflet de ses yeux pétillants de joie dans ceux de White.
« Je voulais te dire, pour toute à l’heure, dit-il. Je crois que c’est le fait de t’avoir vu qui m’a fais ramollir.
-Ah bon ? fit-elle.
-De toutes les filles que je connais, tu es la seule avec qui je m’imagine sortir sérieusement. Et ne plus courir de fille en fille. Et en plus, il t’a suffit d’un baisé pour me rendre toute ma vigueur. »
Megan rit à la dernière phrase de son compagnon. Mais tout d’un coup, elle prit un air sérieux.
« Je… commença-t-elle. Je voudrais…
-Dis-moi, invita-t-il en l’embrassant. Qu’est-ce que tu veux ?
-Je voudrais que tu m’apprennes. »
White resta abasourdi par ses paroles. Il ne voulait pas faire d’elle une victime de plus à son tableau de chasse. Elle était… spéciale. Il était prêt à attendre.
« Tu es sûre ? questionna-t-il à brûle-pourpoint.
-Oui, assura-t-elle à demi-voix. Je ne veux plus que tu m’appelles miss Prudjones.
-Je ne t’appellerais plus ainsi, je te le promets. Alors ne te sens pas obligée. Je ne veux rien gâcher et prendre le temps qu’il faudra.
-Je ne me sens pas obligée. Je le veux, c’est tout. »
White garda le silence en plongeant dans son regard noisette. Que devait-il faire ? Il ne voulait pas la brusquer, risquer de la perdre en voulant aller trop vite. Il voulait la garder. Mais c’était elle qui lui demandait. Il n’osait pas bouger. Un combat intérieur venait de s’engager. Devait-il accéder à sa demande ou refuser. Il ne pouvait nier qu’il avait envi d’elle.
Megan le voyait hésiter. Elle décida de prendre les choses en main même si elle ne savait pas vraiment comment faire. Elle décida d’y aller à l’instinct. Sa main descendit doucement jusqu’à atteindre la bosse qui s’était formée sous la robe de son compagnon. Par des gestes peu sûrs mais sensuels, elle massa son sexe. Elle vit avec bonheur la respiration de White se faire plus profonde. Il ne résista pas longtemps à ce traitement et l’embrassa fougueusement. Les mains du jeune homme parcoururent le corps frêle de la fillette. Il retroussa sa jupe jusqu’à pouvoir accéder à la chair tendre et velouté de ses fesses. Il les massa sensuellement alors que la langue de la jeune fille s’entremêlait avec la sienne. Obligeamment, elle écarta les jambes en faisant monter un genou sur celles de White, accentuant le contact de son bassin contre le sien. White y vit une invitation et sans écarter le tissu cotonneux de la culotte, il envoya ses doigts exploré la chaude contrée cachée entre les douces cuisses de sa compagne. Il sourit malgré la bouche de Megan toujours sur la sienne en constatant qu’il avait eu raison : elle était trempée par le désir. Il frôla presque imperceptiblement le tissu recouvrant ses lèvres intimes mais cela suffit à la faire gémir d’envie. Il n’imaginait pas ce que ça donnerait quand ils commenceraient les choses sérieuses.
Megan ne voulait pas être en reste. Elle parvint à passer la barrière de la robe de White et tomba sur son caleçon, emprisonnant sa virilité. Elle en sentait mieux la chaleur sous ses doigts. Elle put même l’entourer entièrement et le masturba doucement. Ce fut au tour de White de gémir. Contente d’elle, Megan ne put s’empêcher de pousser un petit rire. White interrompit leur baisé.
« Qu’est-ce qui te fais rire ? demanda-t-il.
-Rien, je me disais juste que c’était la première fois que je faisais ça mais que je ne m’en sortais pas trop mal au vu de tes gémissements.
-Ah oui ? Je pense être capable de te faire crier de jouissance en quelques minutes, vu comment toi tu as gémi alors que je t’ai à peine touchée.
-Montre-moi. »
White ne se le fit pas dire deux fois. Il poussa Megan pour qu’elle s’allonge et passa ses deux mains sous sa jupe. Il retira doucement sa culotte blanche en lui lançant un sourire gourmand. Les étoiles pétillaient d’autant plus dans les yeux de la fillette en pensant à ce qu’allait lui faire White. Il lui donna un dernier baisé. Lui lança un dernier clin d’œil avant de disparaître sous sa jupe. Sous la pression de ses doigts, la jeune fille écarta les cuisses. Elle attendait le premier contact avec impatience. Et soudain, elle sentit tous ses sens s’enflammer. Elle n’avait jamais senti un tel plaisir. La langue de White titillait son clitoris d’une manière experte. Elle sentait l’humidité de son intimité devenir plus intense si c’était possible. Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Ses doigts cherchèrent à s’accrocher à quelque chose et elle ne trouva que les mains de son compagnon. Son bassin se mit à onduler, mu par une volonté qui lui échappait. Elle n’en pouvait plus. Elle était sûre que tout le château entendait ses cris. Mais elle ne pouvait les taire. Elle ne le voulait pas. Et bientôt, elle sentit la chaleur s’intensifier encore. Elle ne pouvait même plus crier tellement le plaisir était fort. Elle sentit son intimité se déverser sur les lèvres de son compagnon.
Megan ne s’était jamais sentie aussi bien. Elle était totalement détendue, les yeux fermés. Elle sentit à peine White quitter sa jupe pour remonter jusqu’à son visage. Elle ne s’en rendit compte que quand il posa ses lèvres sur les siennes. Elles avaient un léger goût salé qu’elle appréciait.
« Alors, qu’est-ce que j’avais dit ? fit-il.
-J’ai envi de plus, dit-elle.
-Tes désirs sont des ordres. Mais il va falloir enlever quelques uns de tes vêtements. »
Ce n’était pas réellement un problème. Elle avait tellement chaud qu’en fait, elle se demandait pourquoi elle les avait gardés si longtemps. Bientôt, elle se retrouva avec seulement son soutien-gorge. Mais, comme se rendant compte de quelque chose, elle tenta vainement de cacher sa nudité en serrant les bras et les jambes et en se recroquevillant sur le côté. White ne s’en montra pas démonté, devinant ce qu’elle pensait.
« Megan, souffla-t-il en déposant un baisé sur son épaule.
-Je ne veux pas que tu me voies, fit-elle. Je ne suis pas belle.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Je n’ai pas de poitrine. Je ne suis pas comme toutes ces filles avec qui tu as l’habitude de coucher.
-Megan. Aucune ne m’a jamais fait autant d’effet que toi. Ta poitrine, ce n’est qu’un détail qui ne durera pas. J’ai envi de toi comme tu es. Je n’en veux aucune autre. »
White dut encore la caresser tendrement pour la détendre et la ramener vers lui. Il enleva la dernière protection de tissu. C’était vrai qu’elle n’avait pas beaucoup de poitrine. Elle commençait à peine à s’ériger mais elle laissait présager que plus tard, elle serait d’une taille tout à fait appréciable. Il ne résista pas et vint déposer ses lèvres sur un de ses beaux fruits pour en sucer l’extrémité rose. Megan se détendit presque aussitôt et entoura son amant de ses bras.
Megan appréciait les caresses de White. Mais elle ne voulait pas que tout soit à sens unique. Elle voulait aussi lui donner du plaisir. Elle parvint maladroitement à lui retirer sa robe et son tee-shirt. Elle glissa une main tremblante sous l’élastique du caleçon et atteignit sans barrière la verge dressée de White. Elle frémit à son contact mais vint tout de même l’entourer de sa petite main. Elle débuta un léger va-et-vient qui le fit gémir alors qu’il continuait à sucer le sein de la gamine.
« Tu as la main toute douce, dit-il. »
Elle retira le caleçon, libérant enfin la virilité de son amant. Elle l’observa un moment. Elle était étrangement fière que ce membre soit dressé pour elle et rien que pour elle. Elle le reprit en main, le sentant palpiter entre ses doigts.
C’est alors que lui revint en mémoire ce que lui faisait la fille de sixième année précédemment. Elle trouvait l’idée étrange mais ce genre de caresses avait l’air de plaire aux garçons d’après ce qu’elle avait compris en écoutant leurs conversations. Et puis, aujourd’hui, rien ne lui semblait interdit, ni impossible. Elle lui adressa un sourire coquin et descendit le long de son torse. White ne s’attendait pas à ce qu’elle aille jusque là dés leur première fois. Il se dit qu’elle aurait besoin d’être guidée. Mais il ne put s’empêcher de rejeter sa tête en arrière quand les lèvres de la petite bouche se refermèrent sur son membre. Elle se montra douée pour lui pompé le dard palpitant en lui donnant un maximum de sensation. Il en vint presque à se demander si c’était vraiment la première fois qu’elle suçait un homme. Il ne résista pas à l’envie de lui demander.
« Non, répondit-elle. C’est la première fois. Je me débrouille bien ?
-Oh que oui ! assura-t-il. »
Contente, elle le gratifia d’un sourire rayonnant avant de reprendre sa gâterie. Elle sentait le membre vibrer entre ses lèvres et elle aimait ça. Elle fit tourner sa petite langue autour du gland ce qui eu pour effet de faire gémir plus fort son amant.
White sentait qu’il ne résisterait pas longtemps aux douces intentions de sa compagne. Et il craignait qu’elle ne sache pas ce qui arrivait quand un homme arrivait au bout de son plaisir et surtout, il ne voulait pas la choquer en éjaculant dans sa bouche.
« Attend, fit-il à bout de souffle. Si tu continues, je sens que je vais bientôt jouir.
-Et alors, demanda Megan en lui souriant.
-Quand un homme jouit, il y a quelque chose qui gicle de son sexe.
-Ce n’est pas parce que je suis miss Prudjones que je ne sais pas certaines choses sur la sexualité. Je sais déjà ce qu’est une éjaculation. Et je veux te donner ce que tu m’as donnée sans retenu. »
Comment résister à ça ? White n’ajouta rien et laissa Megan continuer sa tendre caresse buccale. Il se laissa totalement aller et se déversa dans la bouche de la gamine en poussant un râle de plaisir. Megan n’en laissa pas une seule goutte s’échapper et avala tout. Elle nettoya le sexe à coups de langue et s’évertua à lui rendre de la vigueur. Elle savait qu’ils arrivaient maintenant à la partie la plus importante.
Elle remonta pour l’embrasser sans arrêter de le masturber tendrement. La main de White vint lui caresser son antre des plaisirs. Ils se masturbèrent l’un l’autre durant un moment. Puis, White la bascula sur le dos et vint se placer au dessus d’elle. Il l’interrogea du regard. Elle ne répondit qu’en l’embrassant et en lui souriant. Elle écarta doucement les jambes pour l’inviter à venir explorer sa terre vierge. Il plaça son gland contre la contrée humide. Et sans relâcher les lèvres de la fillette, il s’immisça doucement en elle. Elle gémit dans un premier temps. Mais quand il atteignit son hymen, son visage se déforma sous la douleur. Malgré tout, elle entoura son cou de ses bras pour lui interdire de reculer et s’accrocha à ses lèvres comme si elle représentait la dernière bouffée d’air de sa vie. Il continua à s’enfoncer en elle. Doucement. Millimètre par millimètre. Et quand il arriva au bout, il resta immobile. Il savait que le sang de la virginité de Megan se mêlait à son fluide de plaisir.
Les joues de Megan étaient rouges. Elle soupirait profondément, sentant la virilité de White entièrement en elle. Elle aimait se sentir uni à lui. Elle se décolla de ses lèvres pour enfouir son visage près de son oreille, lui murmurant un léger : « vas-y ». White ne se fit pas prier mais décida d’y aller tout doucement. Il commença à aller et venir dans son fourreau de chair si chaud. Au moindre mouvement, Megan se cambrait de douleur et de plaisir. Il avait l’impression qu’elle pouvait se briser au moindre coup trop fort. Mais bientôt, la douleur quitta ses yeux totalement. Elle ne ressentait plus que du plaisir. Elle gémissait plus fort que jamais. White se mit à accélérer le rythme. Il la sentait se contracter sur son membre à chaque coup de rein. Elle mouillait de plus en plus. Au bout de quelques minutes, elle ondulait tellement du bassin que White n’avait plus à faire le moindre geste. Il la serra alors dans ses bras et il passa sur le dos.
Megan parut contente de le dominer ainsi. Elle l’embrassa tendrement sans cesser ses ondulations sur le sexe bien dur. Il ne lui fallut pas longtemps pour accélérer la cadence de son propre chef. Elle criait de plus en plus fort à mesure qu’elle montait et descendait sur la virilité de son amant. Elle sentait de nouveau la jouissance arriver. Elle ne la retint pas et se cambra entièrement se laissant emporter par l’orgasme. Son jus de plaisir se déversa sur le bas-ventre de son amant. Elle s’effondra sur son torse, secouée de soubresauts en gémissant. White la retourna de nouveau pour reprendre leur position de départ. Il reprit ses va-et-vient en essayant d’imiter le rythme qu’elle avait atteint avant de jouir. Rapidement, Megan se remit à gémir sous les assauts de son compagnon. Elle ne savait plus où mettre ses mains. Elle parcourut le torse de White, ses fesses, son visage. Elle sentait que White allait bientôt jouir également. Mais surtout, elle sentit un nouvel orgasme l’envahir sans prévenir. Elle se cambra en hurlant de bonheur, son vagin se contractant autour de la verge de White. Ce dernier n’y résista pas et se laissa entraîner par le plaisir.
White resta un moment fiché dans Megan avant de se laisser tomber sur le côté. Megan, haletante, vint se blottir contre lui. Ils restèrent silencieux, attendant que l’émotion passe. Ils s’embrassèrent tendrement.
« Je ne pourrais vraiment plus t’appeler miss Prudjones, dit-il. Tu es vraiment formidable.
-Je n’aurais jamais imaginé que cette journée se passerait ainsi, avoua-t-elle. Mais je ne regrette rien. Pour quelqu’un qui a débandé tout à l’heure, tu t’es vite remis.
-Merci.
-Et maintenant ?
-Si tu en veux encore, laisse-moi me reposer un peu s’il te plait.
-Non. Je veux dire, vas-tu faire avec moi comme avec toutes les filles avec qui tu as couché ? »
White plongea ses yeux dans ceux de la fillette et y vit le doute. Il l’embrassa.
« Si on allait ensemble au bal ce soir ? A moins que tu ne préfères y aller avec un troll. »
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