Prototypes Abandonnés | By : sneaky666 Category: French > Anime Views: 13104 -:- Recommendations : 1 -:- Currently Reading : 0 |
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Alors cette histoire provient de mon envie de faire depuis longtemps une fem Harry Potter et d’y intégrer Fate Stay Night. Malheureusement je me suis retrouvé bloqué à la scène de sexe avec Saber et Fleur, et après mon ambition de de faire une fic purement porno avec les quatre tenants un bordel est parti en fumée avec mon imagination à l’agonie. Pourtant ça avait bien commencé mais à force de bloquer dessus je n’ai plus eu la motivation de la continuer. Et pourtant j’avais de l’ambition et du choix avec les Univers magiques, ajouter Amélia Bones et Lorelei Barthomeloi contrôlé travaillant dans une maison close ave d’autres personnage de Type Moon. Démarrer une autre guerre du graal pour amener des fonctionnaires comme Nero ou Tamamo à travailler dans une maison close ect… Et elle complétement morte dans mon esprit lorsque j’ai commencé une autre histoire Harry Potter bien avancé (Troisième chapitre en écriture tandis que les deux premiers nécessitent juste un peu de peaufinage). D’ailleurs, tant que j’y pense, si vous avez des questions sur mes histoires vous pouvez me joindre à cette adresse sneaky666@outlook.fr.
Pour cette autre histoire qui est gigantesque multi-crossovers amenant beaucoup de femme je pars sur un principe similaire à Naruto le Messie de la fertilité et de la luxure. Commençant durant l’été de sa quatrième année, Harry passe par un étrange changement. Globalement les deux premiers chapitres montrent un peu son changement à travers des scènes de sexe. Un sissy Harry est pris sur la cuisine par Vernon puis il se transforme pour chasser des femmes la nuit. Un Harry male, sissy, femme et futa, pouvant librement passer à travers ses formes me laissant beaucoup de place à mon imagination. Maintenant place à la lecture.
Résumé : A l’aube du tournoi des trois sorciers, Emeraude Potter obtient enfin ses premières amies.
Personnage principaux : Emeraude Potter (Fem Harry Potter), Rin Tohsaka (Fate Stay Night), Saber (Altria Pendragon, Fate Stay Night), Fleur Delacour
Tags : Gang bang, sexe non-consensuelle puis consensuelle, sexe lesbienne et hétéro, racisme, humiliation…
Chapitre 1 : Les trois première amies d’un serpent solitaire
Emeraude Potter était une jeune fille normal, enfin normale tout est relatif il serait plus exacte de dire que c’était une jeune sorcière presque normale. Sorcière ? Oui, Emeraude Potter était une sorcière, une jeune fille capable de lancer des sorts grâce à une baguette, de tordre les règles du monde selon sa volonté, de cracher à la figure des lois de la physique. Cet immense pouvoir était entre ses mains, comme tant d’autres sorciers et sorcières, et c’est dû à cet immense pouvoir qu’Emeraude Potter aller à l’école de sorcellerie de Poudlard en Angleterre depuis ses 11 ans pour apprendre à le maitriser et réaliser ses rêves.
Bien sûr, Emeraude avait d’autres caractéristiques que d’être simplement une sorcière, c’était une sorcière de 14 ans appartenant à Serpentard et dans sa quatrième année d’apprentissage de la magie, une des quatre maisons de Poudlard, héritière et dernière représentante de l’ancienne et noble famille Potter. Elle était incroyablement douée frôlant le génie dans de nombreux domaines concernant la magie, la métamorphose, les duels, la défense contre les forces du mal, les enchantements… Beaucoup de ses professeurs la louée et lui affirmer qu’elle serait une grande sorcière. En plus de cela elle était incroyablement belle faisant naitre des rumeurs qu’elle aurait fait un pacte avec une succube pour obtenir un corps que toute femme de deux fois son âge tuerait pour avoir. Des cheveux noirs comme la nuit la plus sombre en épis au-dessus de sa tête faisant ressembler ceci à un nid à corbeau. Une peau blanche et lisse comme le marbre contrastant fortement avec ses cheveux, des pommettes haute, des traits aristocratique mélanger à une expression à mi-chemin entre la timidité et la séduction donnant quelque chose d’unique à elle et d’incroyablement sexy. Un petit nez sur un visage en amande avec des sourcils fin et des lèvres fine et rose saine. Des lunettes ronde cachait ses yeux ressemblant aux couleurs de la forêt lors du printemps, un vert si pure et si transperçant leur donnant une ressemblance aux émeraudes d’où son nom, que cela été la seconde chose que les gens retenaient d‘elle lorsqu’ils la voyaient pour la première fois. La première chose qu’il retenait en la voyant, et cela malgré les robes de Poudlard dissimulant les courbes des jeunes femme étudiant dans ce château, était son buste. Son gigantesque buste, grandi encore plus par sa petite taille, que même les robes de Poudlard n’arrivaient pas à dissimuler. Aucune femme à cette école que ce soit un professeur ou une élève n’arrivait près d’égaler la petite fille de 14 ans expliquant ainsi les rumeurs qu’elle toucherait à la démonologie et la magie noire chez les étudiants. La jalousie et la luxure qui découlait des étudiants en raison de sa beauté rivalisant avec les princesses d’anciens contes, pouvaient littéralement se ressentir dans l’air des salles où elle pénétrait, tout chez elle appelait au sexe, grossissant les rumeurs la faisant passer pour une salope.
Emeraude était actuellement attablée à la table de Serpentard en ce soir d’octobre, ses trois nouveaux amis l’encerclant. Emeraude avait toujours été une solitaire, vivre dans l’abus et la solitude la plus totale depuis sa plus tendre enfance ainsi que d’être réparti à Serpentard ne l’avait pas aidé à se faire des amis. Sa maison était un repaire de vipère prêt à s’entre dévorer au moindre signe de faiblesse ne laissant aucune place à l’amitié. Heureusement Emeraude avait toujours su utiliser son corps à son avantage pour se protéger et obtenir ce qu’elle voulait, et si ça ne suffisait, un petit coup de baguette avec une humiliation particulièrement méchante suffisait à lui obtenir ce qu’elle désirait. Vous me direz comment une fille de quatorze ans pouvait utiliser son corps ? Les sorciers grandissaient plus vite que les moldus, ceux n’ayant pas de magie, la magie faisant murir leurs hôtes plus vites pour faciliter leurs survie. Il ne fallait pas oublier aussi qu’Emeraude était particulièrement mature depuis sa plus tendre enfance lui permettant de comprendre que toute les armes était bonne pour obtenir ce qu’elle voulait, son corps compris. Quant au sexe, cela faisait bien longtemps qu’elle n’était plus vierge, entre son oncle qui a enfoncer sa bite pour la première fois dans sa gorge pour lui faire avaler son sperme quand elle avait huit ans et la cérémonie d’initiation de Serpentard pour les première années qui consistait à violer les premières années pour qu’elles perdent leurs virginité et ne soit plus utilisable en tant que sacrifice vierge lors de rituel de magie noir, Emeraude avait réalisé qu’elle adorait le sexe, qu’elle était une salope, une pute prête à écarter les jambes. Là où d’autres filles étaient traumatisées, pleurées, elle gémissait et hurlait de plaisir en en demandant plus. Aussi loin qu’elles se souviennent elle avait toujours était une nymphomane avec un grand côté soumis en raison de ses abus et de sa solitude pour combler le vide qu’elle ressentait en ayant créé aucun lien social, l’homme étant une créature social de par sa nature, ce handicap lui pesée lourd… jusqu’à ce qu’elle arrive enfin à se faire ses premiers amis lors de l’arrivée d’autres écoles pour le tournoi des trois sorciers.
A sa droite se trouvait Fleur Delacour mangeant gracieusement sa bouillabaisse, une vélane de 17 ans appartenant à la délégation de Beaubâton. C’était une vélane, ce qui suffisait à expliquer sa beauté, les vélanes était cousines de la harpie. Des créatures aviaires prenant forme humaines dégageant un charme de séduction similaire au succube pour séduire les hommes car il n’existait aucun vélane male. Cousin des Yokai, les vélanes maitrisé le feu, la légende dit qu’un oiseau est entré en contact avec un élémentaire de feu. Et qu’au lieu de mourir au contact de cette être destructeur, l’oiseau avait absorbé la magie de l’élémentaire le faisant muter. Une jolie histoire invérifiable mais qui paraissait sensé. Fleur avait de long cheveux argenté-doré atteignant normalement sa taille mais actuellement attaché en un chignon complexe, son visage gracieux reflétait à perfection la sensualité que dégageait son genre doublé par des yeux bleu foncé qui brulait de luxure les faisant paraitre plus foncé qu’ils ne l’étaient vraiment rendant fous les hommes en ne sachant plus quelle femmes regardé à la table tellement elles étaient toute magnifique, bien que leurs yeux restait plus longtemps sur Fleur en raison de son charme. Grande et élancée, son corps était parfaitement proportionné mis en valeur par l’uniforme bleu clair de l’académie avec un chapeau qui restait conservateur en dissimulant ses longues jambes et son très beau cul avec une longue jupe serré de la même couleur que le reste de l’uniforme. Malgré cela, il n’arrivait pas à cacher son buste généreux, une belle paire de bonnet D frôlant le bonnet E complétant à merveille sa beauté luxuriante qui semblait trop gros pour le pauvre uniforme prêt à exploser sous la pression.
Fleur était une nymphomane comme elle, mise à l’écart en raison de sa beauté par les filles, et avec aucun ami masculin, les garçons ne voyant qu’une chatte à baiser. Fleur à vécue une scolarité plutôt solitaire malgré le sexe qu’elle avait presque tous les jours, son style de vie plutôt libertin lui attirant encore plus la haine des filles de Beaubâton. Bien que beaucoup de mauvaise langue disait que c’était juste une pute (ce qui n’était pas entièrement faux) et que personne ne devrait s’étonner puisque toute les vélanes étaient comme ça. Les filles disaient cela pour casser le moral de Fleur en insinuant que sa mère était une épouse infidèle à son mari actuellement un membre du gouvernement français haut placé en course pour les prochaines élections du président du congrès qui était la plus haute position politique en France, ces rumeurs pourrait discrédité son père et lui faire perdre l’élection. Bien que les vélanes sont des êtres de magie n’ayant aucun rapport avec les humains et plutôt incliné vers le feu, la passion, la luxure. Ce faisant, elle se nourrissait grandement des sentiments de luxure de façon similaire au succube. Les vélanes se nourrissaient de la luxure, l’excitation autour d’eux, leur permettant de gagner en force et d’augmenter leur magie, donc certaines vélane était effectivement les plus grande salopes du monde. Mais une majorité préféré s’installer avec un mari et avoir une vie de famille confortable, même si elles étaient moins puissantes que les membres de leurs espèces plus libertines. Fleur ne recherchait pas la puissance, elle aimait juste le sexe, elle-même ayant avouée à ses amis se considérait comme une salope. Se faisant, elle et Emeraude était devenu incroyablement proche dès sa première journée à Poudlard aimant partagé leurs frasques sexuelles ainsi que les garçons lorsque leurs libido mendiait pour une bite. Le côté sarcastique et chaleureux de Fleur en faisait une femme qu’Emeraude aimait appeler un ami, appréciant ce côté légèrement piquant de Fleur. De plus, Fleur était elle aussi extrêmement doué, facilement capable de surpasser certains professeurs. En une semaine, Fleur était devenu sa première et meilleur amis tellement les similitudes entre elles étaient effrayantes.
La troisième femme à table se tenant à table avec elle, se situant en face d’Emeraude se nommer Rin Tohsaka. Une mage venant du japon affilié à la tour d’horloge. Attention, une mage, pas une sorcière, la différence est importante. Les sorciers suivent la voie de Merlin, qui est considéré comme le plus puissant sorcier de tous les temps et un très puissant mage. Les sorciers ont sacrifié leurs circuits pour un système de magie plus flexible et moins soumis aux règles de Gaia suite à une demande de Merlin qui souhaité crée un nouveau type de mage, plus puissant et capable de tenir tête facilement aux apôtres. Ce qui fut considéré comme une hérésie aux yeux des mages qui virent une perte de puissance et de connaissance inutile, les sorciers ne pouvant plus se passer la crête de famille puisque possédant dorénavant un noyau magique et non plus des circuits magique L’expérience de Merlin étant considéré comme un échec en raison de ses facteurs malgré une certaine réussite, le fait que leurs magies soient effectivement plus flexible, presque pas soumis aux rgle de Gaia. La différence d’architecture rendant ceci quasiment impossible. L’arrogance des deux parties, les deux guerres qui se sont produit, fit que mage et sorcier se détestait et s’évitait en étant incapable de se tolérait. Rin était à Poudlard seulement parce que Dumbledore souhaité apaisé les tensions qui rongeaient les deux parties. Ainsi Rin fut envoyée à Poudlard en tant qu’ambassadeur par la reine de la tour d’horloge.
Rin approché les 20 ans et étai originaire du Japon, elle avait de longs cheveux brun coiffé en deux couettes tombant sur ses hanches qui étaient maintenue par des rubans noirs. Un visage sévère et mature, malgré cela elle avait une aura unique de danger autour d’elle, probablement en raison d’être un mage expérimenté qui la rendait sexy aux yeux de Fleur et d’Emeraude. Presqu’aussi grande que Fleur, elle avait des petits seins de bonnet C qui semblait parfaitement pouvoir s’adapter à sa paume pour son plus grand plaisir. Des yeux aqua brillant d’une intelligence démoniaque avec un petit nez raffiné qui semblait parfaitement à sa place sur ce visage en amande. Emeraude avait toujours eu un faible pour les traits asiatiques, elle pouvait passer des heures à observer les jumelles Parvati ou Cho Chang, alors voir ce magnifique visage qui oscillait entre un sourire amical à ses amis, la sévérité d’une enseignante et un sourire si doux que la seule chose à laquelle on pouvait penser en le voyant était de se suicider pour échapper à la terreur qui s’emparerait de notre cœur. Emeraude fantasmer sur les grosses bites, le sexe hard, les gang-bang avec un ratio d’une femme pour cent hommes, mais depuis qu’elle connaissait Rin, à ses fantasmes s’ajoutait une Rin habillait de cuir la dominant au côté de son serviteur avec divers objets sexuels démesurés.
Elle était habillée d’un trois-quarts rouge avec en dessous un pull rouge avec au niveau du col une croix en argent faisant penser au symbole de l’église. Elle avait une jupe noire plutôt courte, arrivant à mi-cuisse à la surprise de Fleur et d’Emeraude puisque leur ami était plutôt frigide, et pour finir elle avait de longue chaussettes noires qui arrivait jusqu’à ses cuisses. En arrivant à Poudlard elle avait essayé de se mettre à l’écart pour rester en tant qu’observatrice. Mais Fleur l’avait repéré avec Emeraude et avait entamé plusieurs fois la discussion avec elle jusqu’à ce que Rin et son compagnon se joigne à eux et qu’elles se lient d’amitié. Leurs intérêt et facilité commune pour la magie facilitant leur amitié avec la découverte de leurs solitudes respectives. Rin avait un comportement plus de grande sœur stricte que d’amis, mais pour Emeraude qui cherchait de la compagnie, elle prendrait tout société qu’elle pouvait telle une femme perdu dans le désert en quête d’eau. Et s’imaginée être dominé par sa grande sœur stricte en tenue d’enseignant était dans le top 5 des fantasmes les plus chauds d’Emeraude. Et il fallait préciser que Rin était un prodige, alors que Fleur et Emeraude était doué, elle tenait à peine une bougie à Rin qui avait trois ans d’avance sur Fleur certes, mais détenait une intelligence terrifiante.
La dernière personne à leur table était un individu étrange appelé saber. Elle ne savait pas grand choses de saber qui était plutôt sympathique et suivait le code des chevaliers. Elle n’avait montré aucune magie ni participé à un de leurs débat sur la magie ou thaumaturgie comme l’appelé les mages. Malgré le fait que c’était une personne très calme, saber savait trouver les mots justes quand il fallait, jouant le rôle de l’adulte dans leur groupe. L’aura de commandement qui l’entouré intimidant même les professeurs joué certainement un rôle dans sa prise de position dans leur groupe. C’était une jeune femme androgyne qui suintait un charisme d’une puissance incroyable par tous pores, avec son visage proche de la perfection lui donnait une autorité royale que même le plus aguerri et charismatique être humain pourrait difficilement égaliser. Des cheveux d’or tombant normalement sur ses épaules étaient tressés puis attaché en un chignon avec un ruban bleu. Des yeux verts plus clairs que ceux d’Emeraude mais étrangement similaire rempli de sagesse et de puissance. Elle était plutôt petite, mais Emeraude savait que sous cette petite stature se cachait une force terrifiante. Elle était habillée d’un costume moldu pour homme noir et blanc avec une cravate et des gants en cuir noir la faisant s tenir comme un pouce endoloris parmi la multitude de sorciers de Poudlard.
Finissant de regarder ses amis, Emeraude repris pour la troisième fois des patates avec du bœuf sous l’œil médusé de Fleur et de Rin qui observait avec une curiosité morbide saber et Emeraude entré dans n concours de façon inconsciente sur laquelle nettoieras le plus rapidement possible la table de sa nourriture. Les deux mangeant à une vitesse qui sembler irréel, mais là où saber était digne et droite, Emeraude ressembler presque à un glouton qui pelleter la nourrir dans sa bouche avec des manières tout de même supérieur à la tête rouge à la table de Griffondor.
« Emeraude prend le temps d’avaler, ralentis sinon tu vas t’étouffer. » Sermonna Rin, elle savait qu’Emeraude n’était pas trop aimée dans sa famille et avait des petits portions pour lui faire comprendre qu’elle n’était pas le bien venue à Privet Drive ce qui faisait qu’elle se gavait à Poudlard pour rattraper toute ces années perdues, mais Rin avait fait une croisade personnelle d’éduquer Emeraude. La pauvre fille malgré son intelligence manquer cruellement d’éducation social, ignorante certaines règle élémentaire dans la vie en société.
Prenant le temps d’avaler, Emeraude répliqua. « Tu es juste jalouse que tout ce que je mange vas directement à mes seins. »
« Toi petite peste… » Dit Rin en faisant mine de se lever, elle n’eut pas le temps de continuer qu’une intense douleur à la tête se fit connaitre. Se tournant vers le coupable, elle foudroya saber du regard qui avait toujours l’auteur du délit entre les mains, une simple louche.
« Rin ne la laisse pas te provoquer aussi facilement. » Rin grinça des dents, elle aimait beaucoup Emeraude mais parfois elle lui rappelé une autre insupportable vache à lait.
« Ma, ma, Rin tu es bien rapide à exploser. Je me demande si c’est pareil au lit ? » Taquina Fleur, contrairement à eux deux. Rin et saber semblait avoir une vie sexuel inexistante. Rin rougissant et les apostrophant lorsque le sexe entrait dans la discussion, tandis que saber restait stoïque. Surtout lorsque la magie et le sexe se mélangeait, ce qui semblait être une hérésie pour Rin. Ce n’était pas totalement vrai, bien que Rin était plutôt prude, les discussions de Fleur et d’Emeraude sur le sexe était tellement obscène que même un saint se serait enfui en entendant des choses aussi immonde sortir d’aussi jolies bouches.
« Fleur fais bien attention si tu ne veux pas repasser la journée au toilette. » Répliqua Rin calmement avec un sourire si douceâtre qu’on pouvait littéralement gouter le miel dans l’air. Elle avait déjà testé le maintenant célèbre Gandr de Rin, pas une expérience qu’elle avait envie de refaire. Cela ne l’empêcha de dissimuler son sourire derrière sa main. Sous sa façade de mage sans cœur, Rin était trop facile de taquiner. Cela ne l’empêcha pas de dissimuler son sourire avec sa main, mais ses yeux brillant trahissaient son amusement, transmettant à Rin son amusement.
Rin n’avait jamais eu de complexe au niveau de la taille de sa poitrine. Mais depuis qu’elle était venue en Angleterre, de multiple vache n’hésitait pas à lui faire remarquer son manque dans ce domaine. Pas qu’elle était en manque par rapport à la moyenne mais son côté compétitif lui forcer à répondre. Certes, avec Emeraude et Fleur elle parlait souvent de la théorie thaumaturgique, bien qu’elle ait envie de les assommer lorsque leur imagination perverse s’emmêle, mais la façon dont elle exhibait leurs mamelles était intolérable ! Son sourcil tiqua lorsque Emeraude se releva soudainement après avoir terminé son assiette faisant ses seins rebondir attirant tous les regards aux alentour. Rin se demanda encore une fois à quel point énorme ils étaient ? L’uniforme de Poudlard était très ample, dissimulant entièrement le corps de l’étudiant. Et malgré cela on pouvait distinguer deux énormes montagnes cachées sous ces robes noires. Même voir leur parcours lorsqu’ils rebondissaient laissant deviner qu’ils n’étaient pas maintenus par un soutien-gorge ! Encore une fois elle se demandé comment une gamine de 14 ans pouvait être aussi bien doté ou si libéré sexuellement, bien qu’elle soupçonne qu’elle est était victime d’attouchements sexuel depuis son enfance.
« Tu es méchante Fleur, laisse la pauvre Rin tranquille. Tu sais bien à quel point notre résidente japonaise est sensible sur la question de ses petits seins. » Emeraude était vraiment heureuse de s’être fait de telle amies, déjà elle se sentait plus confiante, taquiné Rin montrait une véritable confiance en elle qui lui avait toujours manqué.
« Ils ne sont pas petit ! Ce sont juste les vôtres qui sont ridiculement énorme ! » Rin rougit en se rendant compte qu’elle c’était levée et avait crié haut et fort ceci lui attirant les moqueries de la salle. Même les professeurs la regarder amuser ! Se rasseyant, elle essaya vainement de retrouver sa dignité.
« Pour en revenir sur un autre sujet, j’aimerais que tu m’explique un peu mieux la façon dont les runes sont utilisé lors de vos enchantements. » Les runes étaient universelles, et in s’intéressait particulièrement à cette branche de la magie pour voir les différentes utilisations des runes selon les cultures et leurs effets.
« C’est si mignon la façon dont tu veux changer de sujet. »
« Fleur ça suffit. » Dit saber, avant que Fleur puisse argumenter elle vit Rin.
« Fleur, tu as entendu saber ? » Fleur hocha rapidement la tête en transpirant de concert avec Emeraude en voyant Rin sourire. Outre son sourire douceâtre, de faibles éclairs noirs étaient visible autour de son index pointé dans sa direction. Et Emeraude aurait jurée que Rin dégagé d’épais miasme noir par les pores de sa peau la rendant extrêmement intimidante. Dans ces cas-là, la retraite était la meilleure option. Elle avait vu ce qui était arrivé à Fleur et ne souhaite pas subir un sort similaire. Elle se recroquevilla sur elle-même, son courage s’étant évaporé comme neige au soleil et abandonnant lâchement Fleur, elle aimait Fleur, mais sa dignité était en jeu avec Rin comme adversaire. Et la mage étrangère n’était pas du genre à retenir ses coups, même si l’adversaire était une jeune fille de 14 ans.
Rin soupira en voyant Emeraude se resservir pour la quatrième fois. C’était une gentille fille, mais c’était encore une gamine plutôt maladroite socialement et immature avec un manque d’estime et de confiance en elle flagrant, sauf qu’en le sexe était en jeu. Rin s’était pris d’affection pour les deux nymphomanes, elle-même étant la première surprise de se lier d’amitié avec des personnes aussi… unique. Elle n’avait fait aucune remarque désobligeante sur elle, ni sur son origine japonaise ou le fait qu’elle était une mage. Elle ne lui demandait pas si elle avait récemment sacrifié des bébés ou d’autres choses dégoutantes. Bien qu’elle fût surprise de se faire des amis ici, surtout en considérant l’âge d’Emeraude qui était de 6 ans son cadet ou le fait que Fleur était une créature non-humaines. Ces deux-là lui rappeler une certaine vache finlandaise sur certain aspect de leurs personnalités.
« Bon comme tu veux, alors pour augmenter la puissance d’un enchantement par l’intermédiaire des runes on peut faire… » Emeraude lui expliqua alors la façon dont elle utilisé ses runes pour améliorer ses golems. A cause de sa lubricité, Rin avait tendance à oublier à quelle point Emeraude était douée, elle avait une seule année d’apprentissage en rune, avait vécu toute sa vie chez des moldus et pouvait déjà faire des golems de combat décent ainsi que les améliorer par l’intermédiaire des runes. Cela relevait du génie pour son âge. Et pour ajouter à cela les deux débordait de magie ! De Fleur elle pouvait le comprendre, les vélanes se rapprocher des élémentaires, c’était des créatures en phase avec la planète, c’était normal que Fleur est une réserve de mana bien supérieur à n’importe quelle mage, sauf peut-être Dame Barthomeloi. Mais elle ne savait pas comment l’expliquer pour Emeraude ! La magie des sorciers était de moins bonne qualité, de plus ils en avaient des quantités inférieures aux mages. Bien sûr la contrepartie valait tout de même la peine selon Rin lorsqu’elle vit les sorts qu’ils pouvaient utiliser ainsi que le fait qu’ils pouvaient les utiliser sans qu’ils perdent de l’efficacité. Mais son noyau magique produisait une immense quantité d’énergie magique ! Les seuls qui rivalisaient avec elle dans la salle étaient les chefs de maison ! Et seul Dumbledore en avait plus ! Et pour finir, au lieu de produire l’énergie magique des sorciers, son noyau produisait quelque chose à mi-chemin entre l’énergie magique des sorciers et l’od des mages et des êtres humains ! Impossible ! Et vu comment elle utilisait facilement la magie des sorciers, Rin se posait la question si elle pouvait utiliser aussi la thaumaturgie. Cette question l’obsédait, elle se demandait si sa nouvelle amie accepterait qu’elle fasse quelques expériences sur elle ?
Le reste du repas continua sur une discussion plus sérieuse, même saber s’intéressa à la discussion. Elle se demanda si elle avait déjà eu à faire à des golems ? Certainement à son avis.
Une fois le repas terminé, Rin vit Fleur demandé à saber si elle pouvait lui apprendre comment manier une épée. Etant donné que Fleur voulait participer au tournoi des trois sorciers, cela ne déclencha aucune alarme dans l’esprit de Rin.
« Tu viens Rin ? Je vais te montrer mon endroit secret où je pratique la magie à l’abri des regards. » Emeraude gazouillait heureuse quelques mètres devant Rin qui marchait tranquillement derrière en souriant légèrement à l‘enthousiasme d’Emeraude. Elles étaient au second étage du château et cela faisait quelques temps qu’il n’avait croisé personne. Le château était véritablement immense et elles se trouvaient vraisemblablement dans une aile désaffecté du château. Il devait y avoir des milliers d’enfants parcourant ce château dans le passé pour être aussi grand, aujourd’hui une bonne partie était inutilisée. Rin aurait préféré profiter des merveilles de la bibliothèque de Poudlard qui était une des plus grande au monde mais elle pouvait bien faire plaisir à Emeraude qui semblait si exciter à lui montrer cette endroit.
Ouvrant une simple porte en bois, Emeraude s’engouffra dans une salle, Rin ne tarda par la suivre. Elle eut à peine eut le temps de mettre un pied dans la salle que Rin noircit.
Lorsque Rin se réveilla, la première chose qu’elle fit fut de maudire pour avoir baissée sa garde, puis d’observer les alentours. Visiblement elle était dans une salle de classe inutilisée depuis certainement au moins un siècle, Elle était face à un bureau avec un tableau au-dessus du mur. Les autres chaises et bureaux mis à l’écart sur les côtés. Visiblement elle était au centre, et attaché incapable de se détacher… au moins son agresseur le croyait. Ses bras était attaché derrière son dos aux barreaux de la chaise sur laquelle on l’avait forcé à s’asseoir pendant qu’elle était inconsciente. Ses jambes étaient mise entre les barreaux de la chaise les forçant à être écarté, Rin remercia la Racine que sa jupe était suffisamment longue pour couvrir sa petite culotte. Elle savait qu’Emeraude était une amatrice de farce, mais elle allait trop loin ! Ça allait barder !
Justement, la coupable se tenait devant elle avec un air satisfait.
« Emeraude, détache-moi tout de suite si tu ne veux pas être puni sévèrement ! » Rin était très sérieuse, et son ton laissait entendre qu’elle ne plaisantait pas.
« Non. » Chantonna Emeraude.
« Je ne plaisante pas Emeraude ! Détache-moi immédiatement et je ne te punirais pas ! » Au lieu d’avoir l’effet escompté, Rin observa avec une sorte de fascination morbide Emeraude rougir et marmonné. « Être punie par Rin ? Héhéhéh… » Le rire pervers qui s’échappa de sa bouche lui fit comprendre que la formulation de son ultimatum n’avait pas été la meilleur.
Se reprenant, Emeraude dit. « Moi non plus je ne plaisante pas Rin. » Avant que Rin puisse la couper, Emeraude continua exceptionnellement grave. « Rin tu es tendue comme un arc, toujours triste comme si tu portais un énorme poids sur tes épaules. Tu travailles tout le temps sur ta magie comme si aucune autre chose ne compter ou exister et cela te mange de l’intérieur, même saber s’inquiète pour toi. Tu es pale et tout le temps stressé, saber nous as même avoué que tu ne dormais pas la nuit. Souvent je vois tes yeux perdu dans le vide comme si tu te rappelais des choses horribles et j’ai envie d’être avec toi pour te faire oublier ce qui te tracasse. »
« Et ton plan consiste à m’attacher sur une chaise dans une salle de lasse vide et inutilisé loin de to… » Attend. Attend, Emeraude n’oserait pas ?!
« Oui, c’est exactement ça. Fleur et moi on a pensé à un moyen pour t’éviter de penser trop souvent à ce passé qui semblait te hanter et te détendre. Fleur c’est chargé d’éloigné saber tandis que moi je m’occupe de toi. J’ai décidé d’inviter quelques amis pour s’occuper correctement de toi. Je suis sûr que cela vas te faire du bien. Toutes tes idées noires vont disparaitre ! » Emeraude semblait vraiment fière de son idée, bien que comment elle en était arrivée à cette conclusion défier toute logique. De Fleur, elle pouvait le comprendre puisque les vélanes étaient naturellement incliné vers le sexe. Mais il y avait quelques choses de mal avec Emeraude si elle pensait qu’elle pouvait oublier la cinquième guerre du Graal, la mort de sa sœur et de son premier véritable ami juste en aillant des relations sexuelles. Ou plus exactement en organisant un viol collectif. C’est vrai que remplacé un traumatisme par un autre semblait parfaitement logique pensa-t-elle avec sarcasme.
« Emeraude ça ne marche pas comme ça ! Ça s’appelle un viol ! » Rin commençait à s’inquiété en voyant le plan soi-disant géniale mis en place par Emeraude. Elle pensa brièvement convoquer saber mais user d’un sceau de commande pour ça alors qu’elle pouvait certainement s’échapper seule semblait comme un gaspillage. Utilisant le renforcement pour améliorer son corps, elle utilisa la force brute pour briser la corde… sans succès.
En voyant son air étonné Emeraude lui expliqua. « Tu crois que je n’avais pas prévue que tu essayerais de te libérer ? J’ai fignolé cette corde avec quelques sorts pour la rendre incassable, je veux que tu restes avec moi et prenne du plaisir. Je te promets que tu aimeras, fais-moi confiance. Ce n’est pas un viol si tu apprécies, enfin c’est la façon dont je le voie. Certaine femme de Serpentard semble apprécier mais crie encore au viol quand les garçons de notre dortoir les force à avoir des relations sexuelles. »
« Difficile de te faire confiance quand je suis attaché Emeraude, il est encore temps de faire marche arrière et de me détacher. » Les menaces semblant faire l’effet contraire de ce qu’elle escompté, elle évita d’en prodiguer. Surtout que Rin commençais à paniquer en étant mis dans une position sans défense, et savoir que des hommes allait profiter de son corps la terrifiait plus qu’elle ne voulait l’avouer. Elle avait face à des héros d’une force légendaire, vit les pires atrocités dont les mages étaient capable, vu le résultat de tous les maux de l’espèce humaine, et pourtant l’idée d’hommes profitant de son corps sans son consentement la terrifier. Elle pouvait sentir des perles de sueurs se former sur son front, mais elle restait digne. Une chose à laquelle elle pensait autre que son viol imminent était de castrer les garçons de Serpentard qui semblait prendre plaisir à abuser à des femmes. Elle savait que la façon dont Emeraude se comportait n’était pas normal, une fois qu’elle se serait libéré elle donnerait une leçon qu’Emeraude n’oubliera pas avant de tuer et castrer les enfoirés l’ayant violé… à moins que ce soit castrer puis tuer ? Elle était trop terrifié et en colère pour réfléchir calmement. Autre que saber, Fleur et Emeraude avait réussi à percer sa coquille et à devenir ses amis. Pas un mince exploit, son cœur s’était fermé depuis la guerre du Graal, devenant plus sarcastique, la logique primant sur le cœur pour essayer de rendre fier son père et devenir un mage modèle. L’amitié avec ses deux-là lui avait fait de nouveau rouvrir son cœur et saber était heureuse de revoir l’ancienne Rin émergé de sa coquille.
« Ils sont un peu en retard mais ce n’est pas grave, ça nous permet de rester un peu seul tous les deux. Tu sais tu peux me détester mais tout ce que je veux c’est que tu te sentes bien. Je ne vais pas te forcer à me révéler ce qui te chagrine mais j’aimerais que tu me fasses confiance. Avec le sexe ce ne sera plus qu’un lointain mauvais souvenir. » Il y avait vraiment quelque chose de mal avec Emeraude pensa Rin. Dès qu’elle se sera libérer elle serait sévère avec elle pour lui faire comprendre certaines choses qui ne doivent pas être faite en société et encore moins avec ses amis. Elle blâmait Fleur mais au fond elle savait qu’Emeraude avait déjà été comme ça avant qu’elles se rencontrent. Cela ne l’empêcha pas de la fusiller du regard.
« Il est temps de se mettre à l’aise en attendant l’arrivée de nos invités. Tu n’es pas d’accord ? » Rin regarda Emeraude enlever sa robe noir qui composait l’uniforme de Poudlard et resta bouche-bée. Le corps d’Emeraude était magnifique, sa magnifique peau blanche n’avait pas une trace disgracieuse, les énormes mamelles suspendu dans les airs attirèrent automatiquement son regard. Deux orbes parfaitement ronde et immenses défiant les lois de la gravité en ne s’affaissant pas d’un millimètre malgré leurs poids faramineux. De véritable melon attaché à la poitrine d’Emeraude ! Le fait qu’une gamine de 14 ans les posséder paraissait irréaliste ! Et chacune surmonté d’une auréole foncée entourant un mamelon gras et long qui semblait la supplier de les sucer. Son regard se bloqua plusieurs secondes sur les merveilles qui ornées la poitrine d’Emeraude. Voyant que Rin aimait la vue, Emeraude souleva ses énormes monticules avec la paume de ses mains fine ayant visiblement du mal à soulever des choses aussi grosses et volumineuses, la chair de ses monticules débordant de ses paumes, offrant une meilleure vue à son amie.
« Tu les aimes Rin ? Ne t’inquiètes pas, tu pourras les sucer et les toucher autant que tu veux. » Rougissante d’avoir été attrapé en train de fixé les seins d’une femme, Rin répliqua en baissant les yeux.
« Ba… baka. Ne dit pas des choses comme ça ! C’est indigne d’une dame. » Rin essayé tant bien que mal de transmettre sa colère à la façon dont lubrique Emeraude sonnait, mais sa voix tremblée et laissait paraitre sa gêne d’avoir été attrapé à fixer les seins d’Emeraude. Fini la voix timide de la petite fille de 14 ans qu’elle avait appris à connaitre. Au lieu de cela son ton était sensuel, rauque et chaud venant caresser son oreille et lui promettant un plaisir dévergondé qu’elle n’oublierait jamais, qui restera graver dans sa mémoire, une voix de putain expérimenté en totale opposition à la jeune fille timide qui parlait doucement d’une voix douce, devant visiblement faire des efforts pour ne pas bégayer.
Malheureusement en baissant les yeux Rin aperçut autre chose et vient à travers un autre problème d’Emeraude qu’il faudra qu’elle résolve. Emeraude ne portait rien sous sa robe… RIEN ! Ses yeux passèrent vers son ventre en notant que comme beaucoup de sorcier et de mage, Emeraude ne s’entretenait pas physiquement faisant qu’elle avait un peu de graisse au niveau du ventre, rien de perceptible mais montrant une absence totale de muscle. Quelque chose auquel il faudra remédier. Descendant plus bas, elle pouvait voir les hanches larges et dodues d’Emeraude avec au centre de ses hanches parfaites son lieu le plus sacrée mis à nu. Des lèvres jumelles grasses et roses entourant son vagin légèrement ouvert dévoilant les replis roses à l’intérieur signe d’une activité sexuelle intense surmonté d’un petit nœud rose bien visible. Le tout avec un petit buisson noir bien taillé sur le dessus en forme de serpent. Rin déjà rouge de gêne, sentit tout le sang affluait vers ses joues de l’embarras de découvrir que son ami était une exhibitionniste. Qui se promenait en public avec seulement des robes ?!
Voyant son embarras, le sourire d’Emeraude doubla de taille. « Tu sais Rin tu n’as pas à être embarrassé de voir une fille nue, encore plus que c’est moi qui te montre tout ça. Je n’ai pas honte de mon corps, les garçons aiment le baiser. Et vu comment ton regard s’est bloqué sur mes seins et la façon dont tu fixes ma chatte me rend vraiment heureuse de savoir que mon corps te plait. Je te le remontrerais autant de fois que tu le veux dans le futur. Mais ce n’est pas juste que je sois la seule nu, tu n‘es pas de mon avis ? »
Rin enregistra à peine les mots qui sortaient de la bouche d’Emeraude, trop occuper à fixer la magnifique exhibitionniste devant elle. Elle sentait chaleureux dans le bas-ventre à cette vue, à sa grande gêne. Et lorsque les mots s’inscrivirent dans sa conscience, elle blêmit. Personne ne l’avait vu nu, et Emeraude voulait la déshabiller ?! Contrairement à son ami elle connaissait quelque chose qui s’appelait la pudeur. Renforçant son corps au maximum, elle se débattit de plus belle… en vain. On ne devait montrer son corps nu qu’à son mari !
Prenant sa baguette sur sa robe qui était posé sur une chaise, d’un simple geste elle fit disparaitre le pull et la jupe de Rin, la laissant uniquement dans ses sous-vêtements. Appréciant la peau basanée de Rin qui était parfaite à ses yeux, Emeraude eut une surprise en voyant les sous-vêtements porté par Rin.
« De la dentelle rouge ? Comment très osé de ta part Rin. »
« Hiiiiiii. » Rin laissa échapper un petit cri de honte d’avoir son corps si honteusement dévoilé, tout en sachant que ses sous-vêtements disparaitront eux aussi à terme la faisant redoubler d’effort pour se libérer. Sa panique obscurcissait son esprit lui faisant oublier qu’elle pouvait faire appel à saber à tout moment.
« ? » Emeraude regarda Rin avec surprise au petit cri mignon qui était tellement hors de caractère de Rin. Rin sembla rougirent jusqu’à la racine des cheveux en réponse, incapable de croire elle-même le cri girly qui avait passé ses lèvres.
« C’était si mignon Rin ! Tu peux le refaire ? » S’exclama Emeraude totalement sous le charme.
« U… UUU… Urusai hentai ! »
« Si tu ne veux pas, je vais devoir faire des efforts pour le faire sortir une nouvelle fois. Tu pourras me rappeler de le partager avec Fleur et saber via une pensine s’il te plait ? » Rin qui était déjà mortifié de son dérapage fut encore plus mortifié à l’idée que saber et Fleur la voyez crier comme ça.
« Non, non attend ! Emeraude ! Je ferais tout ce que tu voudras, juste oublie ça ! »
« Tout ce que je voudrais ? »
« …… »
« …… »
« Oublie ce que je viens de dire. » Dans sa position et avec le sourire qu’avait arboré Emeraude, il valait mieux revenir sur ses positions.
« Pourquoi tu fais la moue ?! » Emeraude murmura.
« J’ai acheté une cravache et une tenue d’enseignante qui devait bien t’aller, j’avais hâte que tu l’essaye. » Rin lui envoya un regard vide. Jusqu’à qu’elle point l’esprit de la jeune sorcière était dépravée pour avoir ce genre de fantasmes ? Quoique l’idée de dominer une Emeraude nu avec une cravache en tenue d’enseignante paraissait… NON ! Mauvais Rin ! Tu ne dois pas fantasmé à propos de tes amis ! Encore plus vu que ce sont des femmes !
« Tant pis, au moins je peux faire ça. » Immédiatement Emeraude posa ses mains directement sur les petits seins de Rin la surprenant.
« Hiiiiiii ! »
« Ça fait deux fois maintenant Rin. » Le sourire sur le visage d’Emeraude semblait clairement malsain pour Rin malgré la lueur rieuse qui illuminé ses magnifiques yeux verts. Rin n’enregistra même pas qu’elle trouvait les yeux magnifique de la jeune fille devant elle.
Emeraude s’émerveilla de la texture des petits seins de Rin, bien que minuscule comparé aux siens. Ils étaient incroyablement fermes et souple en même temps. Une sensation absolument divine dans ses mains experte. Sa peau était douce comme la soie et ses seins tenaient dans ses mains comme s’ils avaient été conçus pour qu’ils s’adaptent parfaitement à ses paumes. Jouant quelque peu avec avant de laisser errer ses mains dans le dos de la mage étrangère en plongeant son regard dans ses superbe yeux aqua. Elle dégrafa le soutien-gorge rouge en dentelle qui alla rejoindre ses vêtements. Emeraude nota avec amusement que sa rougeur commençait à atteindre sa poitrine. Elle savait Rin plutôt prude mais pour être tellement gênée alors qu’elle n’avait pas encore vue son pot de miel était hilarant et mignon. Rin était étonnamment puérile, elle pensait qu’elle serait plus mature mais elle l’aimait pour ça. La façon dont Rin souhaiter qu’elle soit morte avec son regard lui laissa penser que d’une façon ou d’une autre elle avait lu ses pensées. Mais les mages n’avaient pas d’équivalent à la legilimancie ? N’est-ce pas ?
Une fois le soutien-gorge, sentit l’air frais caressé ses mamelons sensibles qui devinrent instantanément dur au contact de l’air frais. Et malgré tout, elle n’arrivait pas à se déconnecter du regard affamé d’Emeraude qui fixait maintenant ses seins avec un feu brulant de désir. Lentement, Rin sentit un feu similaire se déclarer dans sa culotte. Plus le temps passé, plus Rin était mortifiée de l’excitation qui la gagner.
Pendant ce temps, Emeraude dévorait des yeux les deux petits boutons marron clair qui surmontaient les merveilleux monticules. Emeraude était conquise par la façon dont les monticules de Rin semblaient mignons sur son corps qui n’était ni pulpeux, ni scandaleusement développé, juste parfaitement musclé avec des proportions proche des statues grecques ou de celle imaginé par Da Vinci. N’y tenant plus, elle se pencha en en prenant un dans sa bouche. Le suçotant doucement en l’enrobant dans sa salive, elle apprécia le gout fruité de la peau de Rin avec un petit gout salé provenant de sa sueur. Il fallait qu’elle la mette rapidement à l’aise, Rin stressé beaucoup trop pour pas grand-chose. Elle allait très vite apprécier le sexe, Emeraude en était persuadé !
Prenant l’autre sein en main, elle le pressa doucement. Jouant quelques peu avec les délicieux petits seins de son ami. Changeant de temps en temps de seins pour éviter qu’ils se sentent solitaire, sa langue feuilletant le petit bouton devenu dur sous sa langue et ses mains talentueuse. Rin essaya de retenir ses gémissement de plaisir, mais perdez clairement face à l’expérience et au talent d’Emeraude.
« Hummmm…. Emeraude, yamete… hummm, Onegai… » Emeraude nota que lorsque Rin était excitée, elle utiliser de nouveaux sa langue maternelle. La façon dont sa langue maternelle sortait plus naturellement de sa bouche, dont sa voix devenait rauque rendit rapidement Emeraude humide. Mais elle continua de se concentrer sur l’action de procurer du plaisir à Rin. Posant ses lèvres sur le bouton droit de Rin, Emeraude l’aspira doucement provoquant une montée crescendo des gémissements de plaisir de Rin. Sa main cette fois dériva vers le sud. Effleurant les abdos tonique de Rin avec ses doigts manucurés, montrant que la mage japonaise maintenait son corps en forme pour la glisser sous la dentelle rouge.
Elle devrait se tailler là-bas pensa distraitement Emeraude. Sa main effleura la chaume plutôt épaisse qui encadrait le sexe de Rin. Bien que pas trop touffue, elle était tout de même importante. Mais au vu des habitudes de Rin, Emeraude se demandait si elle savait qu’elle était une femme et qu’elle devait s’entretenir. Clairement Rin s’occuper de son corps mais pas au niveau de ce qu’Emeraude pensait qu’une femme de sa stature devrait.
« Chotto matte ! Hummmmm ! Yamete kudasai ! Hummmmm ! » Vu la façon dont Rin s’arqua malgré les cordes elle apprécia la sensation de sa main caressant son vagin. Surtout qu’elle sentait la chaleur qui se dégageait de son entrejambe preuve évidente de son excitation grandissante. Déjà en brossant sa moquette de poil, elle les sentait légèrement humide des sécrétions vaginale de Rin. Tandis que sa main droite était entrée dans la culotte de Rin, sa main gauche vint tâter son sein gauche pour préparer Rin pour leurs invités. Vu l’excitation grimpante de Rin, bientôt elle serait chaude comme la braise et prête à point pour le plat principale.
Prenant le mamelon entre son index et son pouce, elle le roula doucement entre eux provoquant des étincelles de plaisirs chez la mage. Avec son autre main, elle utilisa l’index pour calmement caresser la fente qui servait de vagin à Rin. Montant et descendant doucement sur la fente s’arrêtant rapidement sur le clitoris avant de redescendre. Mouillant lentement son index avec le jus de sa mage préférée.
« Il n’y a pas d’attend qui tienne Rin. Je vais m’occuper de toi jusqu’à ce que tu acceptes que le sexe ait mieux pour toi que de rester cloisonner à longueur de journée de ton atelier. »
Les mots restèrent bloquer dans la gorge de Rin qui gémissait à haute voix, elle essayer de lancer un regard noir au serpent suçotant ses seins et caressant son vagin. Mais une étincelle de plaisir particulièrement puissante l’en empêcha au grand amusement d’Emeraude. Se reprenant, elle se dit qu’Emeraude allait payer pour ceci… chèrement. A peine cette pensée passa par son esprit qu’un cri sortit de sa gorge en même temps que l’index et le majeur d’Emeraude entra en elle.
« Aaahhh ! » Emeraude sourit en entendant Rin montrer son appréciation, bien qu’à contrecœur, pour ses talents. Son vagin certainement vierge était incroyablement serré autour de ses doigts, les aspirants à l’intérieur. Elle devait tirer consciemment ses doigts pour éviter qu’ils soient complétement avalé par le canal chaud et humide de Rin. Mettant en place un rythme lent, elle n’enfoncer que la moitié de ses doigts avant de les retirer de manière tortueuse. Elle était excessivement lente lorsqu’elle doigté de Rin, cherchant à lui faire mendier pour plus. Rin était quelqu’un de fière, excessivement fière même, donc la faire mendier serait une immense victoire pour elle. Continuant doucement durant un peu plus d’une minute, elle vit que Rin essayait tant bien que mal de résister en serrant les dents.
« Ne fais pas cette tête Rin, on dirait que je te torture. Tu ne prends pas de plaisir ? »
« Lie ! Aaaahh ! » Le fait d’ouvrir la bouche pour lui répondre fit qu’elle laissa échapper un autre gémissement de plaisir à la grande satisfaction d’Emeraude. La façon dont Rin résistait la décevait, elle pensa à plusieurs choses qui n’iraient pas trop loin et détendrait Rin avant l’arrivée du plat principal. D’un coup, Emeraude eut une révélation, retirant ses doigts elle s’éloigna légèrement en se relevant. La gorge de Rin fit un bruit de déception que Rin essaya d’éviter qu’il sorte en serrant les dents de plus belle.
Elle vit Rin ouvrir les yeux, la regardant en se doutant d’un piège. Sa poitrine montant et descendant rapidement pour retrouver son souffle après cette épreuve poussant ses monticules vers elle comme s’ils demandaient à Emeraude de continuer à s’occuper d’eux. Sa peau basanée brillant de sueur, Emeraude vit quelques perles rouler dans le clivage de ses seins parfaitement rond et de taille modeste pour tracer leurs routes vers son abdomen bien musclé avec son nombril ovale, sombre et accueillant avant d’atteindre la culotte qui dissimuler son mont de Vénus et sa vulve humide. Sa culotte rouge prenant une teinte sombre en raison de son excitation et de la sueur. Ses cuisses basanée et musclé étant forcées d’être écartées pour lui fournir ce divin spectacle.
Prenant de nouveaux sa baguette, elle fit disparaitre la culotte imbibée de jus de Rin qui rejoint tous ses autres vêtements dans la pile à côté d’elle laissant juste les chaussettes et les chaussures de Rin comme seul pièce de vêtement sur elle. Et le trésor de Rin lui fut révélé, sa vulve parfaitement serré ressemblant à une fine ligne entourée d’un patch de poil brune juste taillé pour que la longueur des poils soient raccourci lui donnant l’impression d’une moquette douce et râpeuse. Rin semblait s’être transformé en une très jolie statue, paralysé par sa nudité, jamais elle n’avait été aussi mortifiée dans sa vie. Son lieu le plus sacrée semblait être violé avant l’heure par les yeux avides d’Emeraude.
« Belle… » Ce furent les seules mots d’Emeraude qui observa l’intégralité du corps de son amie. La bouche de Rin s’ouvrit pour dire quelque chose mais les mots qui sortirent de la bouche d’Emeraude. Incapable de comprendre ce qu’elle avait dit. La rougeur de Rin prit une nouvelle teinte de rouge inconnu par les scientifiques, couvrant la moitié de son corps.
Après plus d’une minute à être hypnotisé par le magnifique corps de son amie attaché, Emeraude vit que l’excitation de Rin atteignait de nouveau sommet. Ses mamelons semblaient durs comme des diamants tandis que des perles de cyprine se faisaient connaitre sur son clitoris pour descendre le long de ses lèvres inférieures et se perdre dans sa moquette brune. Après sa contemplation, Emeraude leva sa main droite montrant ses deux doigts être enduit de la substance incolore et légèrement collante qu’elle avait retiré de l’ouverture de Rin. Et sous les yeux effarés de la mage, elle les porta à sa bouche pour les engloutir. Ses lèvres rose vif se refermant à la base de son index et de son majeur. Elle pouvait entendre l’aspiration obscène et les gémissements sans vergogne d’Emeraude qui dégustait son jus comme si c’était un bon miel. Rin avait pensée qu’elle ne pouvait pas être plus mortifié… elle avait tort.
La vue devant elle renforça aussi son excitation, son vagin se sentant vide depuis qu’Emeraude avait retiré ses doigts. Son corps se sentait littéralement comme s’il était sur le feu, mais c’était une chaleur agréable qui avait pris possession de son corps. Ses sens étaient démultipliés, chaque courant d’air frais qui caressant sa peu brulante lui tirait des frissons de plaisirs, ses mamelons et son clitoris était soumis à ses caresses impitoyable de l’air frais lui causant de se mordre la lèvre pour éviter de vocaliser son plaisir. Elle comprenait maintenant quelle tactique utilisé Emeraude. Et elle était particulièrement efficace, son corps réclamant la femme devant elle, ayant besoin de plus de plaisir pour que la bête en qui s’était éveillé en elle soit assouvi.
« Hummmm, délicieux Rin. Tu as le gout de vanille… je crois que j’en veux plus. Non, je suis sûr que j’en veux plus. » Les yeux mi-clos dans la luxure, Emeraude envoya un regard brulant de désir qui ne fit qu’attiser le feu en Rin qui était impuissante face à la trahison de son corps. Emeraude se rapprocha de nouveau de Rin et se remit à caressée sa vulve fuyante de son jus avant de plonger cette fois trois doigts dans son pot pour en retirer le précieux miel. Rin ne put s’empêcher de pousser un râle de plaisir à la brutalité de l’action, ne s’attendant pas à une attaque de front aussi agressive.
« Ya…yamete ! »
Retirant ses doigts maintenant enduits de miel collant, Emeraude les porta au visage de Rin. « Tiens, goute Rin, tu es vraiment délicieuse. Je te jure que tu te régaleras. » Rin regarda incrédule malgré son excitation aux doigts enduit de son jus en face de son visage. Elle n’imaginait pas que son sexe ait une si douce odeur, cette odeur sexuel la mena vers de nouveaux sommets d’excitation, sa résistance s’effritant peu à peu.
« Tu n’en veux pas ? »
« Ze…zenzen ! »
« Bizarre, pourtant tu es délicieuse. A moins que… ne me dis pas… tu préfèrerais moi ? Ne t’inquiète pas, je m’en occupe tout de suite. »
« L… » La réfutation de Rin mourut dans sa gorge lorsqu’Emeraude suça rapidement de nouveau ses doigts pour les nettoyer, les léchant avec soin pour éviter qu’une goutte du précieux liquide ne lui échappe. Elle avait l’impression que la fumée s’échappait de ses oreilles. Elle se sentait perdu, son esprit se sentait incroyablement honteux, lui hurlant de faire quelque chose, n’importe quoi pour fuir cette hentai tandis que son corps se complaisait dans le plaisir qu’il lui été offert. Lorsqu’elle vit la main d’Emeraude s’abaissait, elle se souvint de ses paroles. Baissant les yeux, ses yeux s’élargir sous le choc. Des filets de jus de chatte s’écoulait de la vulve rose d’Emeraude longeant le long de ses jambes telle des rivière descendant d’une montagne prouvant qu’elle était tout aussi excitée, sinon plus qu’elle.
Emeraude pleura de plaisir en plongeant immédiatement quatre doigts dans sa chatte serrée, elle en avait vraiment besoin. Ils étaient en retard ! L’attente la tuer ! Certes, elle faisait connaissance de Rin plus en profondeur, quelque chose sur laquelle elle fantasmait depuis qu’elle l’avait vue. Mais voir Rin nue suffisait à faire exploser son excitation. Elle avait vraiment besoin de bites ! Et ses pauvres petits doigts n’avaient ni l’épaisseur ni ne lui apporter la même sensation dans sa chatte que le sentiment d’une longue et juteuse verge accrocher à un mâle dominant et bien en forme.
« Hummm…. Hahaha, plus, plus… Hummmm. » Elle avait complétement oublié pourquoi elle se masturbait, le plaisir que lui procurait la sensation de ses quatre doigts dans sa chatte lui permettant de calmer son excitation qui la rendait folle d’impatience.
« B.. baba… Baka hentai ! » Emeraude fut tiré de sa stupeur par Rin qui commença à la sermonner dans un japonais confus. Autant elle connaissait un peu de japonais et de français en discutant avec Fleur et Rin, là elle était complétement perdu. Rin parlait à un rythme trop rapide ou trop haché, et son souffle était trop court pour qu’elle comprenne ce qu’elle dise. Mais si elle devait faire une hypothèse, Rin essayait de lui faire arrêter ses actions sans vergogne. Dommage, elle ne s’arrêtera pas. Elle devait convertir Rin en une perverse pour qu’elle soit plus heureuse. Retirant ses doigts difficilement de son canal, Elle montra à Rin les filaments qui collait entre ses doigts, sa main salit par son jus. Les mettant sous le nez de sa mignonne petite mage, elle attendit.
Rin regarda la main collante d’Emeraude, une odeur légèrement différente de son vagin s’en dégageait, moins douce et plus piquante. Rin sentit sa résistance prête à s’effondrer d’un moment à l’autre, l‘odeur du sexe pénétrant ses narines étant trop puissant pour être ignorer, elle dû faire un effort conscient de ne pas ouvrir sa bouche pour qu’Emeraude ne bouscule pas sa main sale dans sa bouche. Mais c’était sans compter sur la ruse d’Emeraude qui avec sa seconde main, inconnu à Rin, avait serpentait vers le bas et saisit doucement son clitoris. Incapable de se préparer pour le brusque afflux de plaisir d’avoir ce petit bout de chair stimulé, Rin ouvrit sa bouche pour pousser un honteux cri de jouissance, ayant presque atteint l’orgasme par surprise. Emeraude n’eut pas besoin d’invitation pour pousser ses doigts dans la bouche ouverte de Rin.
Rin ne put refermer sa bouche avec les doigts de son amie à l’intérieur, ne voulant pas la mordre. Elle sentit le gout du jus de chatte d’Emeraude envahir sa bouche, comme l’odeur le laissait pressentir, le jus était assez amère et piquant avec un arrière-gout de pomme assez prononcé. Et ce fut l’une des meilleures choses que Rin n’est jamais gouté !
« Lèche. » Ce n’était pas une demande de la part d’Emeraude, c’était un ordre, le premier depuis que cette parodie avait débutée. Rin aurait dû pester, râler… mais son excitation était trop forte, elle voulait savourer le gout de son amie, même si son esprit était dans la tourmente de faire une chose aussi sale et obscène qui allait contre toute moral qu’elle avait apprise, que son père lui avait appris. Immédiatement et à peine à contrecœur, sa langue s’élança autour des doigts de la sorcière, nettoyant elle-même le jus collant des doigts. Durant quelques secondes Rin s’assura de bien nettoyé les doigts d’Emeraude de son délicieux jus de chatte, sa langue passant sur ses ongles, entre ses doigts… sous le regard bienveillant et excité d’Emeraude qui jubilait de voir Rin prendre le chemin du pervers. Ce n’était que la première étape et bien qu’elle ait dû faire des efforts pour que Rin coopère, elle y était arrivée !
Retirant ses doigts de la bouche de Rin, elle vit avec amusement Rin râler en japonais, et d’après ce qu’elle comprenait elle n’était pas contente qu’elle retire sa main.
« Ne t’inquiète pas Rin, tu en auras autant que tu le souhaite. Ma chatte fuit constamment de mon jus, tu pourras boire à la source quand tu veux et où tu veux. »
Rin détourna les yeux incapables de croire ce qu’elle avait dit et souhaité en face d’Emeraude, elle se sentait encore plus humilier par la réponse d’Emeraude et qu’elle ait vraiment pris en considération la proposition. L’idée d’aller sous la robe pour lécher la vulve de la perverse devant elle, et cela en plein milieu d’un couloir bondé était étrangement alléchant… non, non ! Mauvaise Rin ! Tu ne dois pas tomber dans son piège ! Ne plie pas, la réputation de la famille Tohsaka repose sur toi ! Si on apprenait quelle écarté les jambes pour le premier homme venue sa réputation, et par extension la réputation de sa famille serait en lambeaux ! Et les mages jaloux de sa réussite ne se gêneraient pas pour la trainer dans la boue ! Cela ne devait jamais arriver ! Mais c’était si bon…. Non, non !
Inconsciente du conflit mentale de la femme nue devant elle. Emeraude décida que si ces imbéciles n’était pas là pour profiter du merveilleux corps de Rin. Et bien il n’y avait aucune raison qu’elle se retienne ! Se mettant à genoux devant Rin, elle amena sa bouche sur les abdos de Rin, léchant une perle de sueur particulièrement importante, goutant la peau humide et salé de Rin dû à leurs jeux. Léchant le ventre tonique de la belle asiatique, remplaçant la sueur par sa salive à grand coup de langue et de baiser en se dirigeant toujours plus bas à l’envie et la honte de Rin, incapable de croire qu’Emeraude allait la lécher là-bas. Elle savait que cette pratique sexuelle se faisait comme la fellation, mais l’idée de toucher avec sa langue le sexe d’une personne lui paraissait répugnant, et pourtant elle était impatiente qu’Emeraude atteigne son vagin avec la sienne. Sa langue douce et soyeuse chatouillant son ventre et lui faisant ressentir quelque chose de diffèrent de la chaleur sexuel, une multitude de papillons battaient dans son bas-ventre. C’était la meilleure comparaison à laquelle elle pouvait pensée avec ce qu’elle ressentait.
Une fois le ventre musclé de Rin, Emeraude ayant apprécié les muscles lisses se cachant sous la peau douce de la belle japonaise ainsi que sa sueur salée sur ses papilles. Sa tête descendit jusqu’entre ses jambes écarté, devant sa vulve s’étant légèrement écarté en raison de son excitation, sa fourrure fortement humidifié par les multiples gouttes de jus qui fuyait de sa chatte. Soufflant doucement dessus, elle vit les lèvres inférieures se contracter en réponse cherchant à demander de les lécher, quelque chose qu’elle serait plus qu’heureuse de faire. Se léchant les lèvres, Emeraude ne put s’empêcher de déclarer face à une Rin partagé entre sa mortification et son envie de ressentir à quel point divin sentirait la langue d’Emeraude sur sa vulve humide.
« Itadakimasu ! »
TOC, TOC
Ils arrivent que maintenant ? Au meilleur moment possible, ces types ont le pire sens du timing possible. Mais d’un côté tant mieux, elle avait la chatte en feu et il pourrait faire quelques choses pour ce problème. Bien qu’elle aurait aimée gouter la chatte de son ami, il ne fallait pas oublier son objectif premier. La convertir en une perverse, qu’elle devienne accroc au sexe pour arrêter de broyer des idées noires. Et vu comment son amie japonaise se trouvait actuellement au bord de l’orgasme, lui offrir un orgasme avec sa langue aurait été contre-productif. Elle devait mendier pour une bite, avoir envie que sa chatte serrée de japonaise soit étiré par une longue et grosse lance de chair.
« Enfin, vous arrivez maintenant les gars ! Entrez, on est prêts pour vous ! »
Rin failli hurler de frustration ! Emeraude se releva, délaissant sa vulve qui se crispait dans le besoin. Elle était si proche ! Elle savait qu’Emeraude l’avait amenée dans un coin, l’avait coincée comme un animal acculé, elle n’avait tout simple pas envie de se battre. Même si elle était vierge, qu’elle accordait une grande importance à sa virginité malgré avoir perdu son hymen, elle souhaité que quelqu’un s’occupe de de cette démangeaison qui la rendait folle, que ce soit Emeraude ou l’un des hommes qui la violerait ! Mais est-ce qu’elle pourrait crier au viol lorsque les hommes entreraient et enfonceraient leur épais et juteux… pénis dans son vagin ? Elle se sentait tellement nécessiteuse, ses hanches essayant de bouger tout seul, non pas pour fuir, mais pour qu’on continuer à ce que l’on prodigue de l’attention à son vagin nécessiteux. Son esprit commençait penser comme son corps, Rin entrevoyait le paradis, elle avait un besoin viscérale d’aller jusqu’au bout, de découvrir le plaisir qu’offrait le sexe. Toutes les discussions qu’elle avait écoutées de Fleur et d’Emeraude lui revenaient en mémoire, rejetant ceci comme des discussions d’adolescents hormonaux au début, maintenant en en voyant un minuscule bout de ce plaisir orgasmique, elle comprit qu’elle avait eu tort. Elle avait été naïve, ignorante du monde et du vrai plaisir. Lentement, l’idée d’écarter les jambes pour un inconnu la gêné moins, si elle n’avait pas été lié comme ça, elle se serait encore enfui mais l’idée d’avoir des relations sexuelles la répugnait beaucoup moins. Elle ne pensait même plus ça comme un viol grâce aux préliminaires avec Emeraude.
Ses yeux fixés sur la porte qui s’ouvrit, elle observa les hommes qu’avait conviés Emeraude. C’était plutôt de beaux jeunes hommes, certainement des Serpentard de sixième ou septième années. Elle ne les reconnaissait pas, pas que les sorcier autres que Fleur ou Emeraude l’intéresse, mais elle pouvait dire que c’était des purs sangs typique par leur manière et la façon dont ils fronçaient les sourcils, comme les mages venant de grande famille. Elle entendit vaguement Emeraude et eux discuter, mais dans son état d’excitation avancé et sur le bord d’un orgasme elle avait du mal à traduire. Il y avait quatre hommes différents avec des traits typiquement britannique plutôt pale avec des cheveux plutôt proche du blond avec un seul ayant des cheveux noirs.
Elle les vit se déshabiller lui faisant se sentir ambivalente, c’était la première qu’elle allait voir le sexe d’un homme et elle allait en avoir un en elle. Bien qu’en voir quatre lui procurer une certaine appréhension, elle connaissait les habitudes sexuels d’Emeraude et elle ne pensait pas pouvoir gérait autant d’hommes qu’elles et une prise de conscience se fit. Elle était nue devant quatre hommes inconnus, attaché, sans défense, et vu comment ils la regardaient, ils appréciaient ce qu’ils voyaient. Rougissant à sa situation et à leurs regards (pouvait-elle-même rougir plus à son niveau ?), Rin sentit son ventre se tordre dans l’anxiété en sachant ce qui allait ce passé, essayant timidement de croiser les jambes pour au moins dissimuler son sexe avant de se rappeler qu’elle était attaché. Une fois complétement déshabiller, Rin ne put s’empêcher de fixer ce qu’ils avaient entre les jambes, ils n’étaient pas moche bien que manquant cruellement de muscle, mais dans son état elle était plus intéresser par leurs outils. Elle ne savait pas qu’elle taille ces choses étaient normalement mais elles les trouvaient bien grosses lui faisant se demander comment ils allaient les enfoncer en elle. Supérieur à une vingtaine de centimètres, ils semblaient durs comme l’acier, se levant vers le haut à la vue du corps de la femme et de la fille nue dans la salle. La tête en forme de champignon violet plus large que la verge avec des poils de couleurs différentes selon la couleur des cheveux de la personne sur le pubis, et pour finir un scrotum tout aussi intimidant recouvert de poil se tenait en dessous contenant deux boules de la taille d’un de ses joyaux contenant certainement les graines des hommes qu’ils allaient plantée dans son ventre. Son anxiété et sa peur revinrent en force à cette vue intimidante, n’arrivant pas à éclipser son excitation mais la faisant se poser des questions sur la suite des événements.
Emeraude fumait à la condescendance avec laquelle il la traitait, elle savait qu’elle était juste considérée comme une pute dans Serpentard, comme toutes les filles. Même si elle était douée avec la magie, la façon dont les purs sangs était en grande majorité sexiste, considérant les femmes comme de simple trophée et censé porter les enfants l’énervait un peu. Certes, ils la sous-estimé mais cela restait ennuyant, elle avait un peu de fierté tout de même ! Elle était fière de ses compétence sexuel ou magique, mais parce qu’elle était une demi-sang, la dernière héritière connu d’une célèbre famille défendant la cause des moldus, demi-sang… exclusivement (enfin jusqu’à elle) trié à Gryffondor et une fille. Elle était considéré comme une moins que rien ! Et cela la faisait chiez ! Même s’il venait d’ancienne famille sombre ce n’était pas une raison pour agir comme ça. C’était ok pendant les rapports sexuels mais en dehors c’était vraiment une des choses qu’Emeraude aimait le moins dans sa maison. Et ils arrivaient tranquillement avec plus d’une demi-heure de retard sans s’excuser comme s’ils étaient les maitres de Serpentard ! Ah ! La bonne blague ! S’ils n’étaient pas aussi utiles et aussi riche cela ferait longtemps qu’Emeraude aurait coupé les ponts avec eux !
« Alors c’est la salope de jap’. Bon travail Potter, tu seras largement récompensé. On va pouvoir remettre cette putain d’étrangère à sa place, elle qui se promène dans les couloirs en croyant que tout lui appartient alors qu’elle fait partie d’une race inférieur. On va prendre plaisir à détruire sa petite chatte de salope et à lui apprendre sa place pour avoir osé nous rejeter. » Emeraude se retint de lui faire remarquer que la race inférieur était largement plus doué à la thaumaturgie et à la magie en générale que lui et que sans la corde il se ferait massacrer sans même avoir eu le temps de lever sa baguette.
« Calme-toi Carrow, n’oublie pas. Ne blesse pas Rin sinon le prix est doublé. »
« Ouais, ouais. J’y vais, la vue de cette salope nue et attaché est trop alléchante. Occupe-toi des Lestrange, après tout c’est la seule chose qu’une pute comme toi est bonne. » Grinçant des dents au sexisme dont elle était victime. Les triplés Lestrange se sont immédiatement approché d’elle avec des sourires lubriques, leurs bites à l’air et pointant vers elle. L’entourant de toute parts sans lui laissé aucun échappatoire, leurs mains allèrent immédiatement sur son corps, manipulant ses immenses mamelles, les serrant, soulevant avec la délicatesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. N’hésitant pas à tirer sur ses mamelons brutalement jusqu’à ce que ses mamelons soient presque arrachées, une autre paire de mains alla sur son cul dodu, la pelotant allégrement tandis qu’une autre agressa sa chatte, ses doigts faisant leurs chemin dans son canal humide pour voir si elle était prête à être baiser. C’étaient des habitués, ils la baisaient depuis sa première année et au moins une fois par semaine. Et malgré la violence de ses attouchements, Emeraude gémit comme une chienne en chaleur face à cet assaut lubrique, les bites de ces agresseurs caressant son ventre et son dos, laissant des trainées de liquide pré-éjaculatoire sur sa peau blanche. Leurs arrogances et remarques sexistes déjà plus qu’un lointain souvenir.
Rin gémit lorsque le garçon aux cheveux noirs s’approcha d’elle avec un sourire peu rassurants et sa bite pointant vers elle, avide de tester sa caverne humide. Malgré une certaine envie de fermer ses jambes, celle de les laisser ouverte était bien plus forte malgré l’anxiété qu’elle ressentait. A peine eut le temps de penser à ce dilemme qu’elle sentit quelque chose atterrir sur sa joue droite, regardant le britannique, elle le vit sourire d’un air narquois.
« Quoi tu n’es pas content salope de jap’. Tu n’as aucun pouvoir sale singe, soit honoré que des sang-purs comme nous t’accordons le sentiment de nos bites dans ton inutile chatte. Ce n’est certainement pas avec les bites inutiles de tes congénères qu’elle sentirait quelque chose la pénétrer. Après tout c’est la seul chose pour laquelle les femmes sont bonnes, faire la cuisine, le ménage et prendre des bites pour assurer la continuité de nos grande et illustre familles. Et les races inférieur comme la tienne son juste bonne à être des concubines, des esclaves servant comme de seau à sperme. »
« Kono yarou ! » Rin essaya de protester au traitement qu’on lui réservait mais la seule chose auxquelles elle eut droit fut un nouveau crachat juste au-dessus de son œil droit à son grand mécontentement… ou c’est ce qu’elle essayait de se convaincre que c’était ce qu’elle ressentait. L’entendre la dégrader verbalement et lui cracher dessus comme si elle était juste une pute, un être inférieur qui ne servait qu’à accueillir des bites dans sa chatte et porter des bébé lui fit sentir vraiment excité, plus qu’elle ne le pensait possible. C’était une Tohsaka, une famille illustre ayant une histoire vieille de plusieurs siècles dont elle était très fier, sa famille avait participé à la mise en place du saint-graal, l’une des cinq véritables magies, elle était réputé pour être l’une des mages les plus talentueuse de ces dernières décennie… il était impossible qu’elle apprécie ce traitement dégradant, et pourtant son corps lui hurlait le contraire.
« Tais-toi salope de singe, tu parles que si je te l’autorise ! Tu es juste ici pour nous satisfaire et c’est ce à quoi tu vas servir ! Une jap’ comme toi ne devrait pas s’adresser à ces supérieurs sans autorisations ! » L’excitation de Rin monta de plusieurs cran à ses insultes raciale à sa grande honte, encore plus lorsqu’il leva sa main pour la gifler. Lorsqu’il se souvint de l’avertissement d’Emeraude, il baissa sa main à contrecœur à la… consternation (?) de Rin qui n’arrivait pas à croire qu’elle anticipait la douleur venant avec la gifle avec joie ! N’avait-elle plus de fierté, être susciter par ce traitement dégradant pensa-t-elle lorsqu’un troisième crachat atterrit sur son front. Apparemment oui, elle sentait presque une rivière de son jus s’échapper de son pot de miel sur la chaise, ses fesses commençant à être humide du jus qui reposait sur la chaise offrant une sensation très désagréable. L’homme continua en souriant d’un air sadique avant de lui empoigner les joues pour lui forcer de garder la bouche ouverte avant de cracher un gros crachat directement dans sa bouche.
« Alors salope ? T’aime-ça, avoue ! Tu es juste une putain de jap’ inutile, tout juste bonne à être une chatte ! Et je vais y faire honneur putain ! » Et à l’horreur de Rin, il crachat deux autres dégoutant crachat dans sa bouche ouverte lui forçant à les avaler. Mais ce qui rendait Rin véritablement honteuse, c’est qu’au lieu d’être dégouté, elle avait l’impression d’être en feu tellement l’excitation était intenable. Sa fierté oubliée à cette découverte, les crachats, les insultes, les menaces physiques semblant poignarder directement sa chatte, elle n’osait imaginer ce qui se passerait si Emeraude avait autorisée l’abus physique. Jamais, elle n’avait eu autant besoin d’avoir un orgasme ou aussi impatiente d’être baisé. Généralement ses doigts prenaient soin de ce problème, mais là elle doutait qu’il fasse quelque chose pour diminuer le feu brulant dans ses reins. Relâchant sa bouche, il cracha une nouvelle fois sur sa joue gauche, Rin fut obligée de déglutir les crachats ayant frappés sa langue, le gout immonde de la salive du garçon devant elle s’imprima dans son esprit, elle pouvait sentir les autres crachats glisser sur sa peau lentement en raison de leurs viscosités.
« Hidoina ! » Rin se sentit l’obligation de l’insulter et d’essayer de regarder menaçant envers cet inconnu, mais pour le garçon, elle ressemblait plus à un adorable chaton effrayé avec sa rougeur sous ses crachats. Surtout que nue devant lui, sans défense avec sa chatte fuyante de jus pour préparer sa pénétration, il n’y avait aucune chance qu’il recule !
« Je ne te comprend pas salope, mais je m’en fous royalement ! Ma bite supérieur va aller dans ta petite chatte de jap’ et tu vas crier mon nom et à quelle point les pur-sang britannique sont supérieur aux hommes de ton pathétique pays ! » Saisissant sa bite, il la guida vers la fente humide de Rin prête à l’accueillir.
« Matte ! Matte… » Rin n’était pas prête à perdre sa virginité à un inconnu, et s’il la baiser dans son état d’excitation, elle n’était pas sûr de savoir ce qui se passerait ! Déjà son corps supplier pour le sexe tandis que son esprit trouvé la possibilité d’offrir sa virginité à un inconnu de plus en plus attrayant dans son état actuelle d’excitation. Et le jeune homme en face semblait le savoir vu comment il la regarderait avec un sourire amusé et sûr de lui, prêt à lui voler sa virginité, être son premier homme, il avait payé cher pour ça et il allait traire cette prostitué de jap’ pour tous les galions qu’elle lui avait coutée.
« C’est parti salope ! Prépare-toi à vénérer les bites de tes supérieures pour le reste de ta pathétique vie ! » Visant quelques peu en glissant son gland autour de la vulve humide et déjà prête à l’accueillir, rajoutant son liquide séminal en plus du sien sur sa moquette lorsqu’il visa le trou, il s’enfourna à l’intérieur de la jap’ en un coup.
« MATTTEEEEE AAAAAAAAAAHHHHH !!! » Le cri de Rin fut incontestablement un véritable cri de plaisir à se faire pénétrer pour la première fois de sa vie par une tige de chair brulant. N’attendant même pas si Rin était bien pour sa première fois, Adrian Carrow bascula ses hanches d’avant en arrière comme un possédé remerciant n’importe qui pour avoir la chance de baiser la chatte mature de cette jap’. Elle était beaucoup trop serré, il devait utiliser toute ses forces pour parvenir à la pénétrer et user de son élan pour transpercer entièrement ce trou jamais ouvert. Une fois ceci fait, ses murs le serrait comme si elle ne voulait pas le laisser partir, encerclant sa verge dans une étreinte presque douloureuse mais très gratifiante pour son égo. La jap’ appréciant la pénétration d’un vrai homme, et non pas les petites bites de son pathétique pays. Elle valait bien les mille galions qu’ils avaient payés à Potter.
Potter était une excellente pute, mais elle avait perdu de sa nouveauté, ses seins était vraiment les meilleurs mais sa chatte et son cul étaient devenu lâche au fil des années à force d’user et d’abuser d’elle. Mais elle arrivait à leur amener souvent des nouvelles filles aux Serpentard lui faisant gagner beaucoup de notoriété dans la maison en vendant des filles qu’elle piégeait. Mais cette jap’… c’était la cerise sur le gâteau, un véritable trésor, tout le monde c’était précipité sur les enchères qu’Emeraude avait organisée pour avoir la chance d’être les premiers à la baiser. Continuant sa besogne, il ne put s’empêcher de penser qu’entre la façon dont elle était serrée et le resserrement chaotique et douloureux de ses murs qu’il ne tiendra pas longtemps avant de venir en elle. Saisissant les hanches coincées par les barreaux, il commença à ravager son corps fin comme un véritable sang-pur en étant absolument sans pitié. Il dû avouait que malgré le fait d’être un singe, la jap’ avait un corps merveilleux, parfait pour servir ses maitres légitimes.
Rin avait l’impression que sa tête avait explosé de plaisir et continuer d’exploser à chaque secondes. Sa chatte pressait le corps étranger comme un citron cherchant à en tirer la délicieuse crème, le sexe en elle allant toujours plus profond, découvrant des endroits qu’elle pensait inenvisageable à atteindre. Chaque coup faisait naitre des étoiles devant ses yeux, l’orgasme était tombé sur elle sans avertissement dès la première pénétration, le préliminaire d’Emeraude l’ayant trop affaibli pour résister à sa première fois. L’avantage c’est que malgré la taille et la façon dont elle était étroite, elle ne ressentait aucune douleur, juste un plaisir abrutissant. Sa chatte s’étant dilatée à son maximum en raison de son excitation, et malgré cela, Rin soupçonnait qu’à la fin elle serait très douloureuse, son vagin n’étant pas assez large pour accueillir des choses aussi énormes de son point de vue. Seul l’excitation et le plaisir dissimuler la douleur par lequel son corps devait passer pour accueillir une chose aussi grande en son sein. Et chacune de ses pénétrations ne faisait que rallonger cet immense orgasme à son grand chagrin, l’équilibre de son esprit ne tenant qu’à un fil. Un assaut frontale brutale et sans pitié sur son esprit, grillant ses neurones qui était surchargé par le plaisir diablement délicieux. Elle voulait que quelqu’un l’aide… un nouvel éclair de plaisir s’abattit sur sa colonne vertébrale pour allait faire frire de nouveau son cerveau… ou pas. C’était juste un divin plaisir qui avait pris possession d’elle. Son anxiété avait disparu, sa peur évaporée. Pourquoi avait-elle fuit quelque chose comme ça ? Elle était heureuse actuellement avec cette tige de viande poignardant sa chair et écartant son canal serré, se frayant un chemin dans ses entrailles sacrées. Elle ne serait plus jamais la même, elle ne broierait plus autant ses idées noires et son canal serait certainement beaucoup moins serrée après cette agréable session, et il continuera certainement à être desserré dans le futur si le sexe était toujours aussi bon ! Rin avait du mal à penser clairement avec son esprit délirant, le sexe prenant son péage sur elle.
« Kuso, kuso, kuso…. KUSO ! »
« Hummmm ! C’est ça salope, prend ma bite ! Tu vas devenir un véritable garage à bite, tu vas devenir une putain pour les sang-purs, sale jap’ ! Tu vas enfin apprendre ta place dans la société britannique ! PFIOU ! » Carrow continua de cracher sur le visage sexy et adorable de la mage étrangère avec une joie incroyable de pouvoir dominer cette salope qui avait salie l’Angleterre et Poudlard avec son attitude arrogante, se croyant au-dessus des sang-purs.
« Kimochi, Kimochi ! Ah… ah…. Ah… Hageshii, Hageshii !!! »
« Je ne comprends pas salope ! Parle anglais putain, pas la langue des singe ! » Elle sentit leurs hanches se rejoignant signifiant qu’il était complétement enterré en elle. Ses grosses boules claquant contre ses fesses humide tandis que son regard se délecter de la jap’ perdu dans une tempêtes de plaisir et qui devenait de plus en plus incapable de distinguer le haut du bas, ni la gauche de la droite. Sa bite frappant des points de plaisir inconnu chez la mage autrefois fier et forte, leur permettant de se délecter tout de deux des sensations dans lesquelles ils baignaient. Son jus s’écoulant comme les chutes du Niagara facilitant la pénétration violente et impatiente de son corps, permettant un plaisir sans égale à s’abattre sur les deux. L’esprit de Rin étant trop concentré sur le plaisir parcourant ses nerfs pour prendre note qu’une certaine douleur se faisait sentir, même si elle l’avait senti, elle l’aurait certainement ignoré pour se concentrer sur le pur plaisir non-dilué qu’elle ressentait dans sa position.
« Ahahahah, Hai !!! » La salope brune semblait être prise dans son propre monde avec sa bite enfoui en elle, répondant automatiquement à l’individu qu’elle assimilait actuellement à son dieu. Le plaisir ayant court-circuité son raisonnement en un temps record, la faisant esclave du plaisir que lui fournissait l’homme enterré en elle. Un nombre assez hallucinant de Serpentard souhaité tester si les jap’ était aussi serré que les rumeurs le disaient. Ils pouvaient dire qu’elle était encore plus serré que les rumeurs le disent. Dommage, à la fin de l’année avec la file d’homme souhaitant gouter la marchandise jap’, elle ne sera certainement plus la même. Claquant en elle avec délice, il sentit ses boules se contracter, incapable de prendre l’afflux de plaisir que cette chattes lui fournissait.
Rin pleura dans le bonheur, enfin elle avait atteint un orgasme hallucinant qui avait temporairement frit son cerveau. Elle ne rechignerait certainement plus au sexe après ça regardant le visage de son bienfaiteur, elle vit qu’il la regarda avec dédain lui donnant un étrange sentiment de chaleur. Voyant qu’elle s’était remis de son orgasme, il lui cracha à la figure comme pour lui dire bienvenue à la terre des vivants. Rin se complaisait dans le sentiment de l’odieuse salive atterrissant sur son œil droit qui l’obligea à le fermer.
Regardant avec son œil restant la position de son amie, elle se surprise à l’envier, elle qui ne pensait même pas au sexe il y a une heure désirait maintenant être à la place de Emeraude. Bien qu’elle soit quelque peu inquiète par le fait qu’un des hommes charriait sa verge dans les fesses dodue d’Emeraude. Le sexe anal était une chose qu’elle ne savait même pas qu’il existait, l’idée de prendre la verge de l’homme dans ce trou-là était légèrement terrifiant.
Emeraude était dans le ciel, non seulement elle entendait les cris de plaisir de Rin mais en plus le trio Lestrange s’occuper enfin de ses trous avide de bites et de sperme. Marcus s’était couché sur un des bureaux tandis qu’elle l’avait enfourchée et mis sa verge directement dans sa chatte humide, Marcus n’avait pas renié sa position, la magnifique et immense poitrine d’Emeraude pendait devant son visage, il n’en avait pas fallu plus pour qu’il l’attrape et commence immédiatement à sucer en alternant les deux énormes mamelles de la vache l’enfourchant, attrapant entre ses dents les mamelons gras et gouteux augmentant le plaisir que percevait Emeraude dont les seins étaient incroyablement sensible. Syrus s’était mis derrière elle et avait commencé à l’enculer en saisissant ses hanches, pilonnant sa porte arrière à une vitesse impressionnante. Larry avait juste attrapé sa tête pour la forcer à avaler sa pièce de viande, son scrotum poilue frappant avec force son menton. Emeraude gémissait de joie autour de la tige martelant sa gorge, elle remercia la magie pour maintenir ces lunettes sur le nez malgré les secousses auxquelles sont corps était soumis. Les hommes trouvaient que ses lunettes ajoutait un facteur sexy de plus à son corps et aimait bien venir dessus à la fin des sessions de sexe.
Elle aimerait bien avoir une position où elle pourrait voir Rin se faire baisé malheureusement les clients ne lui avait pas laissé le choix, trop impatient de gouter à son corps juvénile et voluptueux. Le gland de la bite dans sa gorge passant ses amygdales pour préparer à décharger sa crème dans son estomac, celui dans sa chatte prêt à remplir son utérus fertile avec ses graines et enfin celui dans son cul allant repeindre son colon en blanc. C’était ça le sexe, la meilleur chose qu’il lui était arrivé dans sa vie, et elle pourrait sans doute jamais s’en passer. Pendant ce temps, elle gémissait dans un plaisir plus qu’authentique autour de la viande dans sa bouche.
La salle de classe était rempli d’une musique rythmique de la chair masculine frappant avec violence contre la chair féminine rougit sous leurs coups, une mélodie de sexe et de violence se répercutant sur les pierres de la salle avec comme chant, les cris de plaisir et de supplications des femmes ainsi que les insultes et abus verbale des hommes ayant payé cette chanson en monnaie sonnante et trébuchante.
« Mo….to… li…li ! »
Un charabia inintelligible sortait de la bouche de la jap’, mais pour Adrian seul compter le sentiment de ses murs autours de sa bite logeait en elle. Et vu le visage criblé de ses crachats avec une étincelle de folie dans ses yeux et son sourire presque psychotique qui atteignait ses deux oreilles, la jap’ tombant toujours plus loin dans l’abime du plaisir, il était sûr qu’elle louait les britannique supérieur et leur magnifique bite dans sa langue de singe qui servirait bientôt à un autre but que de déblatérer ses choses bien que certes beaucoup plus intelligent et montrant sa véritable place dans la société, mais bien moins utile et agréable que d’être enroulé autour des bites d’une race infiniment supérieur à la sienne.
« Ha… ge… shii… » Très clairement la salope de jap’ arriver à la fin de son endurance, cela tombait bien lui aussi n’arrivait plus à se retenir pour profiter de cette magnifique chatte chaleureuse et serrée. Il sentit le sperme dans ses boules frapper à la porte de sa verge pour se déverser directement dans son utérus et laissait une marque indélébile en elle, quelque chose dont elle se souviendrait pour le reste de sa vie ! Que cette putain de jap’ ne pense même plus à se reproduire avec sa race inférieure et ne puisse rêver que de bonne bite britannique appartenant à la race supérieure des sorciers aux sang-purs !
« Ici je viens salope je vais repeindre ton ventre en blanc et te laisser un souvenir indélébile de l’Angleterre putain de singeeeee ! »
Cette phrase sorti Rin de sa stupeur orgasmique, résistant tant bien que mal aux vagues de plaisir qui agressé son esprit, elle réussit à comprendre les conséquences de ce qui allait se passer. Le jeune homme claquait en elle de plus belle lors de la dernière ligne droite qui se terminerait avec elle remplit de ses graines. Et bien que ses parois vaginales soient devenues incroyablement sensible avec cet assaut lui faisant cracher des mots indignent d’une dame, et encore plus d’une Tohsaka ou de toute femme se respectant, Rin réussit à le supplier. Elle qui s’était jurée de ne jamais supplier s’apprêter à le faire, une chose qu’aucun Tohsaka ne devait jamais faire. Et pour sa honte éternelle, elle le faisait avec un sourire orgasmique sur son visage criblé de salive malgré l’affolement clair qui se mélangeait aux plaisirs dans ses beaux yeux aqua tandis qu’un homme s’enfonçait dans son pot de miel anciennement vierge.
« Ah, ahah, ah…. Mat… Hummmm…. Matte ! Ahhhh ! Awaremi ! » Dans un ultime effort pour essayer de lui faire comprendre, Rin arriva à parler dans un anglais à peine compréhensible. « Arrête pitié ! Onegaiiiiii ! Moi… pas vouloir… enceinteeee aaaahhh ! Yamero bakaaaaaa ! Pas sperme… aaaaahhhh… ventre ! Aaaaahhhhh ! Moi… trop jeune hummmmm, argh… avoir… enfaaaaaaaannnntttt ! Avoir…. Aaahhhh…. Pitié ! » Rin arriver à peine à être cohérente, le léger changement d’angle des axes du jeune homme fit qu’il frappait un point incroyablement sensible, l’afflux de plaisir en devenait douloureux pour Rin qui se sentait partir loin, très loin. Sa chatte prenant feu presque littéralement avec le reste de son corps, son cerveau fumant de l’afflux de flux électrique de plaisir. Rin pensait arriver à un point où elle deviendrait folle, même l’idée d’être enceinte l’allumer malgré sa peur.
« Je m’en fous putain de jap’ ! Si tu es enceinte soit honoré de porter mon gosseeeeee ! » Et Adrian venue à cette instant précis, un véritable torrent de son sperme fit le voyage à partir de ses boules pleine à travers la verge à une vitesse hallucinante, probablement aussi hallucinant que son orgasme qui semblait infinie ! Même quand il avait baisé Potter dans sa première année il n’avait pas eu autant de plaisir avec une fille ! Il enfonça son gland le plus profondément possible en elle, cherchant à s’approcher le plus possible de son col de l’utérus. Dans une inspiration sadique, il chercha le meilleur angle d’expulsion de ses graines pour fertiliser le ventre de la jap’, l’imaginant se balader avec son énorme ventre dans les couloirs de Poudlard, honteux d’avoir été enceinte d’un inconnu, sa réputation de mage parfaite et intelligente brisé par la connaissance qu’elle était juste une salope avide de bite incapable d’utiliser le moindre sort de contraception. L’idée même qu’elle se balade avec son gosse dans son ventre et d’avoir eu sa vie ruiné à cause de ça l’envoya dans un orgasme encore plus grand. Si elle suppliait assez dans le futur, peut-être qu’il accepterait de s’occuper de son gosse et d’elle si elle devenait sa pute personnelle, même pas une concubine, son statut inférieur ne lui permettant pas l’honneur de devenir sa concubine à lui, un sorcier de sang-pur d’une des plus puissantes familles de l’Angleterre. Avec ce fantasme déclenché dans son esprit tordu, il expulsa de multiple jets en elle, visant bien son col pour maximisé les chances qu’elle tombe enceinte, jouissant une quantité bien supérieur qu’avec aucune autre femme avec laquelle il avait été, cette jap’ était une merveille à baiser ! Avec un telle montant de son sperme, cela serai un miracle si elle ne serait pas enceinte ! Et la journée était loin d’être fini !
Malgré sa peur, la sensation du sperme chaud et collant remplissant son vagin, frappant son col, l’envoya dans un nouvel orgasme plusieurs paliers au-dessus de son premier orgasme. Tout son corps se débattait comme voulant s’accrocher au magnifique goujon vidant ses boules dans son ventre, sa chatte massant de manière frénétique la verge déchargeant sa cargaison en elle pour qu’elle continue jusqu’à ce qu’elle soit pleine comme une outre ! Ses jambes et bras faisaient bouger la chaise en essayant de se débattre pour s’enroule autour de l’homme, ses poignets et chevilles attachés par la corde frotter douloureusement contre le matériau rugueux. Le regard absolument satisfait sur le visage de l’homme n’avait pas de prix, elle avait l’impression d’avoir fait une bonne action en aidant ce pauvre adolescent hormonal à vider ses boules douloureusement pleine de sa crème épaisse, et l’idée de porter son enfant fut une véritable récompense dans son cerveau abruti par le plaisir. Un nouvel orgasme chevaucha le précédent sans lui laisser le temps de reprendre son souffle tandis que le jeune homme continué à serrer ses hanches avec une force qu’elle ignorait que les sorciers pouvaient posséder tout en se déversant en elle.
« « Ahahaha ! Iku, iku, iku ! Ahahahah ! Iku, iku, iku ! Ahahahah !» Adrian vit la salope être prise d’une crise de fou rire tout en répétant ce mot, clairement son esprit brisé par sa performances supérieur pensa-t-il avec un sourire arrogant. Sentant son orgasme terminé, il prit une grande respiration après un telle orgasme, se retirant difficilement avec la chatte de la salope continuant de se crisper comme un étau sur sa bite, il arriva à l’enlever avec un ‘POP’ sonore sous les ‘lie’ de la salope qui semblait le supplier de continuer à la baiser. Totalement transformer en une inutile salope par sa bite et sa virilité supérieure de sang-pur. Il n’y avait qu’à voir le montant obscène de jus de chatte qu’elle expulsait, inondant la chaise sur laquelle elle reposait. Se masturbant légèrement, il arriva à expulser les derniers globes de sperme sur son mont de Vénus, s’essuyant son gland sur sa moquette noire avec un sourire moqueur laissant des traces blanche dessus ses poils noirs s’en mêlant avec son sperme. Il alla finalement s’asseoir sur une des chaises de la salle pour reprendre son souffle, incapable de croire à quelle point la jap’ était bonne à baiser, il y reviendrait avec plaisir ! Mais pour l’instant il avait besoin de quelques minutes de pause pour récupérer.
Jetant un regard sur le côté, il vit que les triplés Lestrange semblaient avoir terminé avec la salope Potter, retirant leurs bites de ses trous dégoulinants tandis que Larry avait joui sur ses énormes seins, laissant plusieurs lignes dans son décolleté dont une traversait son mamelon droit le couvrant de son sperme. Même après l’avoir baisé autant de fois elle était toujours une aussi bonne baise malgré avoir perdu sa nouveauté. La vue de ses gigantesques montagnes recouvertes de sperme était toujours aussi magnifique et excitant. Il la vit se diriger vers la jap’ avec du sperme s’échappant de son cul et de sa chatte tandis que ses melons libre de l’étreinte de son soutien-gorge rebondissait et se balançait heureusement, montrant à toute la salle leurs peinture de guerre blanc apposé par Larry, son sourire sournois habituellement présents durant les rapports sexuels sur son visage et ses yeux verts brillant derrière ses lunettes.
Emeraude admira de nouveau le corps musclé de Rin, sa poitrine montante avec ses mamelons plus dur que jamais, son ventre ondulant en raison de sa respiration sifflante laissant entrapercevoir ses abdos féminin légèrement ciselé lui conférant le corps fin d’une chasseuse sexy, une chasseuse sexy pris au dans son piège. Sa peau basané brillant à la lueur des chandelles, reflétant l’épaisse couche de sueur qui la couvrait et commençait à sécher avec l’air frais. Bien qu’elle doive être bouillante pour sa première fois, surtout en voyant comment elle avait suée, le sexe était un sport épuisant après tout ! Son regard légèrement fou qui commençait à retrouver progressivement sa raison, bien que son sourire ne disparaisse pas, même après la réalisation de ce qui s’était passé. Le bonheur que recevait la femme après une bonne baise agrémentée d’un orgasme ne disparaissant pas aussi facilement. Mais c’était sa vulve qui attiré son attention, son incroyable vulve. Légèrement ouverte avec la pénétration dont elle venait victime, une légère rigole de sperme s’échappait de sa chatte disparaissant dans la crevasse de ses fesses pour aller salir encore plus la chaise sur laquelle elle reposait, son vagin se refermant déjà piégeant les graines elle. Et sa moquette collante à sa peau en raison de son jus de chatte avait quelques taches de blanc pour finir.
« Ha, ha… Emeraude… ha… je te jure… gloups… Que si… ha, ha… je suis enceinte… ha…. Je vais te tuer… ha. » Annonça Rin de sa respiration sifflante faisant sourire Emeraude. Il semblait qu’une seule séance avec une véritable queue ait suffit à faire découvrir à Rin les joies du sexe.
« Pas d’inquiétude Rin. Pendant que tu étais inconsciente je t’ai fait avaler une potion de contraception. Il n’y a aucune chance que ton ventre gonfle. Et sinon alors cette première session ? Elle était merveilleuse n’est-ce pas ? Rien n’est mieux que le sexe pour se détendre et oublier tous ses problèmes. »
« C’était… ha… acceptable… ha… » Emeraude gloussa en voyant la fierté de Rin faire son retour en force, plutôt amusant lorsque son visage ressembler à la lune avec le nombre de crachat que Carrow avait craché sur elle. Elle savait toute deux que Rin avait adoré et était impatiente de renouveler l’expérience malgré ce qu’elle disait. Et il n’y avait aucune honte à aimer le sexe ou d’être dégrader pendant les relations sexuelles, elles étaient de simple pute pendant ces moments-là, cela ne les empêcher d’être de talentueuse mage ou sorcière.
« Hé bien j’ai le temps de faire changer cette acceptable en un merveilleux. Les gars prennent juste une pose leurs temps que leurs bites redeviennent dures. »
GLOUPS
Lorsque Rin avala, elle ne savait pas si elle anticipait la suite avec plaisir ou peur la suite de la session. Son hésitation causa Emeraude à sourire d’un air prédateur, s’abaissant légèrement en mettant ses poignets sur ses hanches pour se mettre au niveau de Rin, laissant ses mamelles peint par le sperme pendre vers le bas, elle aperçut avec satisfaction le regard de Rin dérivait plus vers ses mamelles que vers ses yeux. Bien qu’elle soit satisfaite par cela, elle voulait autre chose, comme… ses deux fines lèvres rouges qui avaient l’air si doux. Sans hésitation, ni l’avoir prévenu, Emeraude posa ses lèvres pale e pleine sur celle de Rin qui était tétanisé par son premier baiser. Son premier baiser qui venait d’être voler par une fille ! A l’arrière de son esprit, elle se dit que l’ordre des choses était tout de même bizarrement inversé, elle avait perdu sa virginité avant son premier baiser. Et le baiser était gluant, non seulement leurs salive se mélangeaient mais la viscosité que Larry avait en partie tiré dans la bouche d’Emeraude avant de peindre ses seins donna ne sensation animal au baiser. Surtout avec la façon dont Emeraude poussa les centilitres de sperme dans la gorge d’une Rin surprise
Emeraude prenant avantage de la surprise de Rin, mit sa langue sur celle de Rin avec laquelle elle entama une danse lente, presque tendre. Jouant avec la langue de son amie, Emeraude n’hésita pas à caresser les gencives de la mage ou mordiller légèrement les lèvres de Rin. L’action d’Emeraude tira rapidement Rin de son hébétude qui gémit face à l’assaut de sa bouche. Elle ne savait qu’Emeraude était si talentueuse avec sa langue ! Après le sexe qu’elle avait eu, elle ne pensait pas que quelque chose d’autre pouvait s’approcher du plaisir qu’elle venait de ressentir. Le baiser auquel elle essayait de participer activement malgré son inexpérience, sa langue dansant avec celle d’Emeraude mais en étant incapable de prendre l’ascendant.
Se retirant, Emeraude se lécha les lèvres des restants de salive de Rin avec un air pervers sous le regard hébété de la mage ne s’attendant certainement pas à ceci. Elle aurait dû s’y attendre pourtant, les conversations avec Fleur laissait très clairement que les deux étaient bisexuelle. Elle ne savait pas quoi ressentir, elle ne savait même pas qu’un simple baiser avec une autre fille pouvait être si électrisant. Etait-elle lesbienne ? Non, le sexe avec un homme avait été merveilleux. Qu’est-ce qui se passé avec elle ?
« Hummmm… tu es vraiment délicieuse Rin. Je pourrais boire ta salive et ton jus de chatte toute la journée. »
« Urusai baka ! » Le regard gêné sur le visage de Rin était adorable, prenant sa baguette, elle voulait préparer Rin pour le second tour. D’un geste de sa baguette, les barreaux du dos de la chaise auquel était attaché les mains de Rin se séparèrent de la chaise la transformant en tabouret. Elle laissa juste les barreaux tenant prisonniers les cuisses de Rin pour s’assurer qu’elle continue à écarter les jambes. Continuant à jouer avec sa baguette, elle positionna les barreaux de façon à ce qu’ils soient parallèles au sol, forçant Rin à se coucher vers l’avant. Heureusement que Rin était flexible, elle-même n’était pas sûr de pouvoir faire garder les jambes écarter et de se pencher de telle manière. Son dos humide et tonique était une vue fort appréciable cela dit. D’un dernier geste de baguette, elle figea les barreaux en l’air, forçant Rin à garder cette position.
« Emeraude, tu ne voudrais pas me libérer maintenant ? Tu sais, je rigolais pour les punitions ? Hein tu n’es pas en colère ? Allez libère moi ! » Rin n’arrivait pas à croire qu’elle suppliait une fois de plus, c’était tellement hors de sa nature. Mais cette position ne présageait rien de bon, elle sentait les poils de son coup s’hérissaient dans une sorte d’anticipation morbide.
« Bien sûr que non je ne suis pas en colère Rin. Je suis en croisade pour te transformer en une perverse, au fait je me souviens pas d’être une fois aussi joyeuse. Tu peux même mettre tes punitions en pratiques, l’idée que tu me punisses est… divine. Rien que de t’imaginer me soumettre à des gandr ou des fessées suffit à me tenir éveiller toute la nuit. » C’était officiel, il y avait véritablement quelque chose de mal avec la tête d’Emeraude, elle vivait certainement dans une réalité différente de la leur avec un telle processus de pensée qui allait au-delà du masochisme habituel.
« Mais avant ça, il faut s’occuper de toi. Personnellement je ne suis pas fan de l’anal, mais enfin chacun ses gouts et je veux voir si tu aimes ou non avant de continuer. J’espère que les garçons vont apprécier le spectacle, comme ça ils seront de nouveau dur beaucoup plus rapidement. Si c’était seulement nous deux qui jouons ensemble, je pense que ce serait très vite ennuyeux. Après tout, plus on est fou, plus on jouit. » Tout en marchant à côté de Rin pour se mettre derrière, elle agita une dernière fois sa baguette avant de la poser de nouveau sur le tas de vêtements.
Entendant ça fit naitre une sensation ave laquelle Rin commença à être intimement familier cette dernière heure, la peur et le dégout. Bien qu’elle les surmonte à chaque fois avec l’excitation ou le plaisir, actuellement, l’idée de prendre quelque chose par-là d’où sortait la merde était franchement répugnante et terrifiant puisque ce muscle-là du corps était très serré et que l’ouvrir de force pouvait s’avérer douloureux et très sale. Elle ne vit pas le mouvement de baguette mais elle ressentit les effets. Une sensation de froid se ressentit dans son colon pour se répandre dans ses intestins, une fois cela fait elle se sentit vide. Et elle prit conscience qu’elle venait de recevoir un lavage magique, c’était si embarrassant ! Mais tout de même moins que si elle lui avait forcé à un lavement avec des moyens banale.
Une fois derrière Rin, Emeraude admira son petit cul bien serré et en forme, deux orbes légèrement arrondie entre lesquelles se dissimulait une petite étoile sombre traversé par une ligne blanche qui avait coulé de sa vulve pénétrée par l’outil du Serpentard masculin. Emeraude se mit à genoux, prenant bien soin d’écarter les fesses de Rin pour mieux observer sa mignonne petite porte arrière, sans attendre ou écouter les supplication de Rin de dire de ne pas faire ça, que cela était sale, qu’une dame ne devait pas s’intéresser à ce genre de chose ect… Emeraude enfouie sa tête entre les fesses de Rin pour effectuer un long coup de langue le long de la raie des fesses de Rin, la nettoyant comme un chaton, enlevant le sperme ayant coulé de son périnée à son coccyx, le gout amer et aigre de cette endroit particulier se mélangeant parfaitement sur son palais avec le jus doux de Rin et la crème salée d’Adrian à son avis. Une véritable explosion de saveur dont elle aurait du mal à se passer.
Elle attaqua ensuite son anneau sombre avec sa langue, le badigeonnant de salive. Bizarrement les protestations de Rin se turent dès son premier coup de langue caressant cet endroit si particulier du corps, humain, repoussant bien nombre d’amant de toucher cette endroit de leur partenaire, mais Emeraude ne voyait pas le problème, elle aimait Rin et si ceci lui faisait plaisir elle était prête à lécher son cul autant de fois qu’il le fallait. Sa langue rosâtre s’attaquant à la porte solidement fermé, un gout très amère s’accrochant à sa langue et envahissant sa bouche. Après plus d’une minute à lécher, utiliser sa langue comme une lance pour essayer de forcer les muscles anneaux à s’ouvrir… Emeraude décida de passer à autre chose voyant qu’elle n’arrivait à rien pour détendre ces muscles crispés qui faisait ressembler le trou à merde de Rin à une porte de prison.
Se relevant elle nota que Rin avait arrêté de protester et que sa respiration s’était accéléré comme si elle était exciter à sa grande surprise. Léchant son index, elle l’amena vers l’étoile sombre, taquinant l’entrée humide de sa salive. Caressant avec son ongle les lignes sombre qui formé l’étoile avec délicatesse avant de commencer à forcer légèrement au centre pour ouvrir cette porte arrière. Arès quelques secondes où elle augmenta progressivement la force qu’elle mettait dans son doigt, elle sentit avec satisfaction le barrage cédé, son doigt entrant le tunnel brulant qu’était le colon de Rin tirant un hoquet de plaisir à la mage auquel cela visiblement ne lui déplaisait pas. Faisant de lent aller-retour pour que l’anus de Rin habitue à l’intrusion, mais vu comment il serré autour de son index en essayant de l’aspirer à l’intérieur, elle s’y était déjà habitué. Les muscles chauds enserrant son index avec une force surprenante auquel elle aurait dû s’y attendre l’anus étant l’un des plus puissant muscle du corps humain, la sensation des muscles anneaux autour de son index étant bizarre mais pas désagréable.
« Aaaaah… Yamete Emeraude… aaaaahhh… onegai… »
« Tes gémissements disent le contraire le Rin. Je ne pensais pas que tu apprécierais autant l’anal. Mais avec le recul, vu comme tu te promènes une bonne partie du temps avec un bâton dans le cul j’aurais dû m’en douter. »
« B… ba… ba… hummmmmn, bakaaaaa… » Il semble que le second doigt qui alla élargir le trou arrière de Rin faisait des ravages sur le peu de résistance qu’elle avait retrouvée ces dernière minutes. C’était effrayant de voir à quel point elle semblait aimée l’anal. Elle-même avait versées quelques larmes de douleur la première fois, et elle préférait nettement prendre des bites dans sa chatte que dans son cul. Mais si elle voyait juste, Rin était une véritable salope anal. Ironique considérant qu’elle avait été une véritable prude il y a deux heures. Avec deux doigts, Rin arrivait à peine à rester cohérente, son anus se resserrant sur ses doigts en réponse. Continuant son mouvement, Emeraude continua de s’émerveiller de son amie, elle était belle, intelligente, puissante, ayant des manières qui surpassait tous ses soi-disant sang-pur et un corps qui aspirait au sexe. Chacune des réactions de son corps montrait qu’elle était une salope refoulé, cette session devait être une véritable libération autant pour son esprit que pour son corps. Elle était sûre qu’avec la paix que lui apporterait le sexe, Rin serait une femme bien plus heureuse et une mage bien plus efficace, seule ce constant nuage noir qui la suivait partout l’empêcher de s’améliorer et de se libérer des chaines qu’avait imposées son éducation sur elle.
« Viens ici salope ! » Emeraude n’eut pas le temps d’insérer un troisième doigt dans le cul avide de queue de Rin que visiblement leurs clients/invités avaient retrouvés la forme et était impatient pour le second tour. Se retournant, elle vit Carrow qui l’avait attrapé par les hanches pour l’attirer vers lui et deux des frères Lestrange tandis que Syrus qui adorer briser les culs des femmes se tint derrière son amie tremblant d’anticipation à la vue d’un des plus beaux culs qu’il est jamais vu. Emeraude s’inquiéta brièvement pour Rin, le sexe anal était plutôt douloureux, surtout pour la première fois et Syrus était plutôt connue pour sa sauvagerie. Mais vu les réactions de Rin en se faisant doigté le cul, elle ne devrait pas s’inquiéter, Rin pouvait le gérer et allait très certainement adorer.
Carrow la souleva pour la mettre sur une des tables, sans lui laisser le temps de se préparer, il lui écarta ses jambes et pénétra sa chatte humide d’un coup avec sa bite dur comme l’acier, le spectacle de dépravation auquel ils avaient assistés étant suffisamment pour les faire redevenir durs et redevenir des bêtes sauvages. Les deux Lestrange la forcèrent à s’allonger, tandis qu’un monta sur elle pour s’asseoir sur son ventre et écarter ses gigantesque mamelles pour enfouir son épaisse bite entre ses oreillers moelleux, le second lui attrapa la nuque pour attirer sa tête dans le vide, puis lui tordit douloureusement sa nuque pour qu’elle soit fasse à sa queue avec la bouche ouverte. Les trois jeunes hommes ne se firent pas prier pour ensuite baiser son cops comme des sauvages. Carrow gémissant à sa chatte usée mais encore bien serrée pour traire le divin nectar de n’importe quelle queue la pénétrant comme une véritable salope. Marcus avait attrapé ses mains et les avaient amenées vers ses mamelles pour qu’elle les pressée autour de sa bite comme une bonne pute, usant de la douceur et de la fermeté de ses parfaite mamelles déjà peinte par le sperme pour qu’elle lui donne une branlette espagnole à sa bite qui malgré son épaisseur et sa longueur disparut entre les deux montagnes, s’assurant de monter et descendre ses monticules gras et rond sur sa merveilleuse bite pour en extraire la crème épaisse qui recouvrira ses mamelles de vache. Larry usait de sa gorge comme si c’était juste un autre trou, l’enfonçant entièrement à l’intérieur et passant ses amygdales, ses boules poilues frappant de nouveaux contre son menton tandis que les poils du pubis venaient chatouiller son nez, tout en s’assurant d’avoir une bonne prise de ses cheveux noirs avec sa main droite.
Tremblant, Syrus avait encore du mal à croire qu’il allait baisé le cul de cette salope de jap’. Depuis qu’elle était arrivée à Poudlard, malgré le fait d’appartenir à une espèce inférieur, elle avait paru si noble, si fière, repoussant avec violence toute les avances de ses supérieurs, comme si elle avait le droit de choisir qui pouvait disposer de son corps, comme si son corps lui appartenait ! Quelle arrogance ! Elle se croyait leurs égaux, Ah la bonne blague ! Sa famille était une des plus purs de l’Angleterre et cette putain de singe avait osé le rejeté ! Aucune femme n’avait le droit de le rejeté, elle devait plutôt être heureuse qu’il leurs donnent l’honore de s’intéresser à elles ! Il allait s’assurer que son cul ne se referme plus jamais et qu’elle demande grâce ! Qu’elle s’excuse de ses fautes ! Mais d’abord son expiation passera par le démolissage de son trou à merde ! Attrapant ses hanches, il écarta avec ses pouces les deux orbes qui lui servaient de fesses et visa son objectif avec son gland en se disant que cette étoile brune serait un trou de la taille d’un cognard une fois qu’il en aurait fini avec elle, il s’assurera qu’elle ne puisse plus chiez droit !
« J’arrive salope ! Fait tes prière pour n’importe le quelle de tes dieux auquel tu pourras penser car je suis maintenant ton dieu ! Je vais baiser ton cul jusqu’à ce qu’il soit diviser en deux, jusqu’à ce que tu me supplie à genoux d’arrêter ! Tu vas demander grâce tu entends putain de singe ! Puis tu me vénéras, supplieras de me laisser baiser ton cul de sale singe n’importe où et n’importe quand ! »
Durant le moment qu’Emeraude lui doigté le cul, Rin avait dû serrer les dents si fort qu’elle eut peur qu’elles se soient brisées, le plaisir d’avoir Emeraude jouée avec son trou du cul état telle que Rin se demandait si c’était même possible. Etait-elle réellement aussi dépravée que le simple fait d’avoir son cul doigté l’exciter ? Que de se faire enculez par des inconnus la faisait jouir comme une simple putain commune ? Elle ne savait pas, après qu’Emeraude est touché son cul, il lui semblait mille fois plus sensible que sa chatte ! S’il la pénétrait, alors elle ne donnerait pas chère de son âme. Où était passé la fière et noble Rin Tohsaka ? La mage puissante que l’on disait qu’elle était un des plus grands génies de la thaumaturgie de ces dernières décennies ? La maitresse à laquelle saber avait juré fidélité ? Une femme ayant survécu à la quatrième guerre du Graal ? Avait-elle été toujours une putain de japonais commune prête à écarter les jambes pour le premier venu ? Rin n’aura pas eu le temps de répondre à ces questions car en même temps Syrus lui attrapa les hanches pour se préparer à l’enculer pour de bon et ne laisser qu’un désordre béant à la place de son trou serré.
Rin sentit son corps se tendre, se préparant à la pénétration brutale qui était sûr d’arriver. Elle sentit les doigts mince s’enfoncer dans la chair tendre de ses haches, assurant une prise ferme de son corps fatigué pour la destruction anale qu’elle était certaine de subir. Elle sentit l’homme avancer et reculer ses hanches, son gland dérapant sur sa peau en essayant de pénétrer l’étoile ridé qui était sa cible première. Frissonnante de plaisir lorsque l’un des dérapages caressa son sexe précédemment abusé et encore sensible avec des gouttes de sperme fuyant de temps en temps de la porte de devant s’étant presque solidement refermé. Le gland épais appuyant contre ses fesses fermes, lissant la raie de ses fesses la barbouillant de liquide pré-éjaculatoire. Rin se préparer mentalement en essayant de nier le plaisir qu’elle ressentait des caresses de la verge sur ses points érogènes nouvellement découvert, elle ne pensait que quelque chose comme ses fesses pouvait être aussi sensible. Mais la façon dont Emeraude et l’homme l’ayant baisé l’avait attendrit, elle doutait résister mentalement à ce qui allait se passer. Peu importe de la façon dont elle essayait de se tortiller pour supplier du regard le jeune homme désirant la pénétrer, son charabia mi japonais, mi anglais lui commander dans un sursaut de fierté d’arrêter cette folie. D’épargner son esprit fragilisé par les multiples décharges de plaisir.
« Yamete ! Sinon je vais te maudire jusqu’à ton centième descendant ! Kuso ! »
« Bordel ! On ne t’avait pas dit de la fermer sale singe ! »
« Aaaaaaahhhhhh ! » Un cri mi plaisir, mi douleur surgit de la bouche de Rin, d’un coup de hanche précis et puissant, la verge telle une lance pointu, poignarda son anus serré et jusque-là, inviolable. D’un seul coup, Syrus avait écarté son anneau anal plus que Rin n’avait jamais cru possible, son scrotum frappant comme un boulet de canon son vagin sensible. Rin sentit comme si on poignardait son cerveau avec des milliers d’aiguilles, stimulant aussi bien ses zones de douleur que de plaisir, c’était la sensation la plus puissante, la plus pure, la plus grande et la pus addictif qu’elle n’est jamais ressentie. Rien n’égalait cela, elle voyait totalement blanc pendant quelque seconde… elle avait eu un orgasme ? Elle n’était pas sûre, elle n’était même certaine de combien de temps avait passé depuis que son cul avait accueilli la lance de chair longue et grosses, poignardant sa carcasse sans défense. Voulait-elle se défendre et protester de nouveau ? Non, un non retentissant, comme entendant ses pensées, le détenteur de la lance sacré achevant les derniers lambeaux de son esprit commença à faire des allers retours en elle avec une surprenante vigueur, attendant à peine qu’elle récupère de ce qu’elle pensait être son premier orgasme anal.
SLAP
SLAP
SLAP
Le son des hanches pointues de l’homme frappant la chair musclé de ses fesses, le scrotum poilu et lourd du sperme se préparant à remplir ses entrailles frappant sans aucune pitié son vagin pleurant des larmes de spermes, la lance poignardant son corps avec un sadisme digne des mangemorts de Lord Voldemort. Rien n‘était épargné à la pauvre mage étrangère, Syrus espérait briser son cul en morceau, la voir sangloter de douleur, le supplier d’arrêter et lui demander grâce. L’objectif de pulvériser son anus et son cul incroyablement serré en raison de con corps fin et serré ainsi que de sa virginité anale, ne préparant nullement son corps à assaut brutale et sadique sera certainement atteint, mais pour le reste, il était douteux qu’il réussisse.
« SUUUUUUUGOOOOOOOOOOOOOOOOOIIIIIIIIIIIIIIII ! IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIKKKKKKKKKKKKKKKKKUUUUUUUUUUUU ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH ! » Ce fut les seules mots qui sortait de la bouche d’une Rin n’ayant pu résister à l’afflux soudain et brutale du plaisir mélangé à une douleur poignante. Son esprit prenant la totalité du poids de ses orgasmes s’enchainant à une vitesse effarante, suivant à peine l’agression dont été victime son trou du cul. Elle arrivait à peine à comprendre l’essence de l’orgasme anal. Etait-ce un seul orgasme qui était telle qu’il lui semblait infinie, ou alors une succession d’orgasme si rapide est puissant qu’elle était incapable d’en distinguer le début de la fin ? Son esprit à peine remit de ce qui semblait d’une simple caresse qu’avait été le sexe vaginal, eut l’impression qu’on le bombardé avec une artillerie si puissante et si nombreuse que le ciel imaginaire qu’elle se représentais dans une tentative futile d’éviter de sombrer comme le Titanic, était assombri par les obus retombant sur sa santé mentale, ma balayant et ne laissant derrière qu’une coquille de la fière et puissante Rin Tohsaka, chef de la famille Tohsaka devenant rien de plus qu’une simple pute des bidonvilles ont les pensées ont été balayé par le tsunami d’orgasme laissant une seule et unique pensée : PLUS !
Rin sentit la pression sur son esprit devenir insupportable, et elle n’avait ni la force, ni l’envie de résister à la marée d’euphorie qui surchargeait ses nerfs. Elle se sentait incroyablement vivante ! Chaque sensation semblait avoir été multipliée par cent ! Jamais elle n’avait été aussi consciente d’elle-même, tout n’était que joie et bonheur actuellement. Tout ce qu’elle avait portée sur son cœur n’était plus qu’un lointain mauvais souvenir. Son corps semblait s’être pris les doigts dans une prise à haute tension, faisant fondre ses nerfs et son cerveau de plaisir, plus l’homme frappé profondément en elle, plus elle se sentait heureuse.
Syrus sentait sa bite être entièrement drapé dans la chair du côlon de la jap attaché sous lui. Il était incapable de prononcer un mot en raison du pur plaisir auquel sa bite était soumise. Il avait toujours aimait l’anal, la façon dont la sensation du cul rugueux des jeunes femmes essayant d’expulser sa bite qui pénétrer leurs trous à merde était merveilleuse, leurs anus serrant beaucoup plus sa majestueuse bite de sang-pur que leur chatte. La chaleur qui entourer son sexe étant légèrement plus élevé que dans le reste du corps. Et cette jap’ était le meilleurs cul qu’il est jamais baisé ! Non seulement son cul était parfait, absorbant difficilement chaque impact de ses hanches malgré le fait qu’il semble au premier abord juste un petit cul serré. Il était suffisamment rembourré pour prendre la punition qu’il lui donnait. Sa bite frottait contre ses entrailles avec une vitesse qu’il ne pensait pas posséder, sa motivation d’enculer la jap’ lui permettant d’augmenter sa performance à des niveaux ridicules ! Il bombardait ce magnifique cul avec tout ce qu’il avait, ignorant totalement si la jap’ hurlait de douleur ou de plaisir. Il se plaisait trop dans la sensation entourant sa bite, le cul de la jap’ essayant soit d l’expulser ou de l’attirer en elle. La façon dont les entrailles de la jap’ sembler se compresser de manière désordonné sur sa bite le laisser perplexe sur ce qui ce passé chez la jap’, aucune des précédentes filles n’avait eu de telle réactions lors de la sodomie.
SLAP
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Rin se rappelait à peine de son nom, embrassant pleinement la jouissance provenant de son trou du cul. Elle parlait dans une langue hybride de japonais-anglais imparfaite accompagné par le bruit de la chair frappant contre de la chair, une véritable chanson de sexe torride et dépravé envahissait la salle, les paroles de cette chanson était tellement fétide que même Emeraude sembla repoussée. Son cerveau semblait être devenue de la bouillie prête à couler de ses oreilles, ses sens complétement surchargeaient par ce plaisir addictif, l’odeur de salle ayant depuis longtemps dépassé le point de saturation… toute ses capacités cognitives étant dirigé vers la sensation de la bite martelant son cul avec force, faisant son chemin dans ses profondeurs, étirant son corps au-delà de ses limites. Ce qui restait des capacités de son cerveau était entièrement concentré sur elle, le monde extérieur n’ayant plus aucun sens à ses yeux avec un telle plaisir à portée de main. Avec ce qu’elle pensait être une immense bite détruisant méthodiquement et brutalement son passage anal, il n’y avait rien d’autre de plus important ou de mieux. Elle se foutait de ne plus pouvoir chiez après ça ! Elle voulait juste que le plaisir ne cesse jamais, étant devenu complètement accroc à la sensation d’avoir son cul défoncé, des orgasmes anal écrasant son corps et son esprit. C’était mieux que les drogues ou toute autre chose qui existait sur cette terre !
Emeraude avait actuellement déménagé ayant épuisé deux des frères Lestrange, Carrow la soulevant par les cuisses pour la faire retomber sur sa bite, sa chatte prenant pleinement la bite du sang-pur en elle. Elle était dos à Adrian qui prenait plaisir à lui montrer le gâchis de bégaiement qu’était devenue Rin qui semblait être devenue une droguée de la sodomie. Le visage de Rin était une parodie tordue et dégoutante de ce qu’elle avait été, ses yeux aqua pleuré de bonheur, regardant quelque chose que seule elle pouvait voir avec une adoration fanatique. Un sourire divisant son visage, dévoilant ses dents parfaitement blanches la faisant ressembler à une psychotique avec ses joues rougies, des rivières de morve coulait de ses narines, glissant le long de ses lèvres lui faisant une moustache jaune-verte la rendant presque aussi dégueulasse que la petite salope qu’elle était devenue en une seule sodomie. Sa petite langue rose pendant du côté gauche de son visage sur son menton, la salive coulant par litre comme une chienne de sa bouche grande ouverte pour tomber sur le sol. Emeraude pouvait apercevoir les amygdales de Rin ! Ses deux couettes pendant de chaque côté de sa tête, encadrant sa tête comme si c’était un magnifique tableau C’était le plus magnifique ahegao qu’Emeraude n’est jamais vu, une véritable œuvre d’art qui se grava dans sa mémoire pour le revoir dans une pensine et le partager avec le monde entier. Un tel visage magnifique devait être la septième merveille du monde ! Emeraude essaya de mettre tout son poids dans ses rebonds, laissant ses mamelles sauter de haut en bas avec une rapidité étonnante, frappant son visage à chaque fois que la bite de Carrow se gainait complétement en elle lorsqu’elle retombait comme une masse sur cette merveilleuse pièce de chair. Il ne fallut pas longtemps pour qu’Emeraude repère autre chose d’étonnant, outre le silence de Syrus qui aimait dégrader et abuser des femmes qui était surprenant, il semblait beaucoup trop concentrer sur le fait de retenir son orgasme pour profiter le plus longtemps du merveilleux trou arrière de Rin. Ce qui attira son attention était que la chaise débordée de son jus ! Rin jouissait comme une fontaine, une comparaison entre une cascade la chaise de Rin n’était pas exagérée, surtout en voyant la flaque de cyprine coulant entre les fissure du sol dans la salle qui était en dessous !
Syrus devait tout faire pour retenir son orgasme démentielle qui menacer de faire sauter le barrage, jamais il n’avait ressenti en enculant une femme. Jamais ! C’était le meilleur cul de Poudlard et cette satanée mage se croyant supérieur à lui, un sorcier riche pouvant tracer sa famille sur dix générations de sorciers s’était permis de le rejeter. Maintenant elle savait qui était supérieur, que son cul lui appartenait, appartenait à un être infiniment supérieur à la poubelle qu’elle était. Ce serait son sceau à sperme personnel, jamais il ne pourra apprécier d’autre cul autant que celui qui essayait en ce moment de maximiser son plaisir comme s’il avait reconnu son maitre.
Un rythme féroce s’était mis en place, dedans, dehors, dedans, dehors, dedans, dehors…
SLAP
SLAP
SLAP
Rin avait depuis longtemps perdu les fonctions les plus basiques. Son esprit rythmé par le sentiment de la tour Eiffel de chair violant ses entrailles. Allant plus profondément en elle que tout ce qu’elle avait pu imaginer, l’air de ses poumons était expulsé comme la morve de son nez à chaque fois que la pointe semblait frapper son cerveau. Emeraude voyait Rin prendre une étrange teinte de bleu d’avoir son rythme de respiration perturbé par la violence de la destruction de son cul qui était noyé par les sensations envahissant Rin.
Le visage de Rin prenant une teinte noirâtre, le manque d’air commençant à se faire sentir. Et malgré cela, le sourire maniaque la représentante comme une salope d’amant à bite et putain adorant avoir son cul détruit par des grosses bites appartenant à des inconnus ne fit qu’augmenter. Elle sentit un nouvel orgasme traversé son corps, un parmi les milliers qui la submergeais de toute part comme une horde dégoutante d’insecte envahissant les recoins les plus intimes de son corps.
« Merde !!!! Je Jouis !!! Aaaahhhh !!! Ici prend tout sale jap’ !!! » Syrus n’arriva pas à se retenir plus longtemps, cela ne faisait même pas cinq minutes qu’il pénétrait ce trou à merde japonais, et il ne pouvait déjà plus se retenir, l’étonnant que la jap’ pouvait être si douée déjà de servir ses supérieurs.
Sa verge tendue par les plus longues minute de sa vie expulsa le précieux sperme qu’il avait retenu le plus longtemps possible pour profiter de l’étanchéité de ce merveilleux cul. Vidant ses boules dans un incroyable orgasme dont il profita longuement sous les cris jubilatoire et incompréhensible de la putain de singe qui sentait son colon être rempli de sa formidable graine pur.
Il sentit son cul se resserré sur sa bite cherchant à traire la moindre goutte de son précieux liquide et le suppliant de ne pas partir tandis que les derniers lambeaux de santé mentale d singe commencèrent à se faire la malle alors qu’elle convulsait comme elle expulsait les derniers souffle de sa pathétique vie. Apprenant que tout ce qu’elle avait appris dans sa vie n’avait été un mensonge et que son véritable but était de servir les êtres infiniment supérieur qu’était les sangs-pur anglais.
Soufflant un peu à la fin de son orgasme, il gémit en sentant son gland barboter dans l’immensité de son orgasme remplissant le rectum chaleureux de la chienne. Son cul était tellement bon qu’il était encore dur et il était déjà prêt pour un deuxième tour.
CLAC
« Allez sale jap’ ! Ton cul va être à moi pour les prochaines heures ! Je vais te faire hurler mon nom jusqu’à ce qu’il soit parfaitement imprimer dans ton esprit comme le nom de ton maitre ! » Fronçant les sourcils à l’absence de réponse qu’avait procuré la fessée, il relança sa main sur la marque rouge qui venait de se former sur la fesse droite de la jap’.
CLAC
Il semblait qu’elle s’était évanoui suite à la surcharge de plaisir… tant pis, ce n’est pas comme si cela lui importait beaucoup que la putain auquel était attaché le cul était consciente ou non. Fière de ses pensées, il reprit le martèlement de ce délicieux cul en observant les trois Lestranges ayant repris suffisamment du poil de la bête pour punir l’allumeuse en lui offrant une triple pénétration anale.
Pendant ce temps avec Fleur et saber :
Saber suivit tranquillement Fleur qui lui avait dit vouloir apprendre l’art de l’épée, elle l’amenait près du lac, dans un coin plutôt tranquille entourée de roseau avec une bande de terre sèche au milieu. L’endroit était très discret et facile à dissimuler, comme attendu d’une des sorcières les plus douée de sa génération. Elle vit Fleur discrètement faire des mouvements de baguette et sentit instantanément la magie couvrir cet endroit et la température se réchauffer,
Impossible d’écrire cette scène et pourtant j’ai essayé, cela devait commencer par un peu de sexe entre saber et Fleur avant que des Première et Deuxième années de toute les maisons et des deux sexes se joignent à la fête. Saber étant encouragé par Fleur à être leur tuteur sexuel et à apprendre aux jeunes enfants vierge ce qu’était le sexe.
Cinq heures après :
Rin gémit, trop fatigué pour faire autres choses, l’épais sperme blanc fuyant de ses trous abusés qui mettait du temps à se remettre de se pilonnement intensif. Toujours dans la même position depuis le début de la session, sa chaise sur laquelle elle se reposait avait commencé à déborder de sperme blanc et de son jus incolore lui lassant la désagréable impression de laisser ses fesses marinées dans une odieuse mixture froide et collante. La mixture en question coulant le long des pieds de la chaise pour former une petite flaque sur le sol, tachant ses chaussettes noire aux passages qui était collait aux pieds de la chaise en raison des cordes. Dans les dernières heures, chaque homme dans la salle avaient éjaculés plusieurs fois dans sa chatte et son cul. Ils étaient beaucoup trop vigoureux pour que cela soit normal et elle doute que la quantité totale de sperme qu’ils ont versé en elle et Emeraude soit naturelle. Ces sang-purs avaient dû prendre une sorte viagra sorcier avoir un telle résultat.
Son côlon et son vagin se sentait beaucoup trop plein pour que cela soit possible. Ses épaules et son dos était douloureux de devoir à chaque fois changé de position selon l’envie de ses clients qui voulait soit baisé sa chatte ou son cul, ce n’était pas mieux du côté de ses jambes, obligé à prendre le pilonnement par devant et par derrière sans pouvoir se déplacer lui donner l’impression d’avoir de la compote à la place de ses jambe musclées. Et elle ne souhaitait pas parlé de l’état dans lequel se trouvaient ses organes sexuels (elle l’incluait son anus maintenant dans cette désignation, quelque chose qu’elle n’aurait certainement pas imaginé il y plusieurs heures, mais le plaisir d’avoir son cul pénétré l’ayant fait changé d’avis), après que l’excitation et le plaisir s’en soit allé elle apprenait à connaitre le sens du mot douleur. En étant une mage, elle croyait connaitre ce mot, cette sensation… elle avait tort. Elle avait l’impression qu’on avait chauffé des éclats de verre à blanc avant de les mettre à l’intérieur de son vagin et côlon puis de la baisé avec une batte en bois laissant en plus des échardes dans sa chair tendre pour bien mixer l’intérieur de son cul et de son vagin. Oui la douleur était presque insoutenable après le sexe… mais ça en valait la peine, largement pensa-t-elle avec un sourire collé sur son visage. Heureusement le sperme visqueux faisait office de crème, calmant quelque peu la douleur. Bien qu’elle espère qu’elle n’aurait pas besoin d’aller aux toilettes, son anus ne semblait pas loin du déchirement en raison de la douleur provenant de ses muscles anneaux. Elle n’avait pas été prête à une telle baise hard pour sa première fois, Emeraude aurait dû y aller par pallier avec elle pour atteindre le même résultat sans douleur.
A la fin de la session, Emeraude l’avait libéré permettant à Rin de s’écrouler sur le sol sans aucune fierté ou classe propre à la famille Tohsaka qu’elle affectionnait tant. Quelque chose que Rin ne se souciait pas dans son état de fatigue avancé, profitant de la possibilité de reprendre son souffle après un telle marathon et de ne plus âtre attaché dans une position fortement inconfortable. Et son seul spectateur était Emeraude qui n’était pas dans un meilleur état qu’elle.
A sa grande honte, elle s’était évanouit trois fois, le délai entre ses évanouissement augmentant à chaque fois, son corps s’habituant au sexe au fil du temps. Et chaque fois cela était dû à la surcharge de plaisir qu’elle subissait quand elle l’avait un orgasme anal. Rin n’arrivait pas à croire qu’elle soit véritablement une salope anale ! Mais les faits disaient le contraire ! Son cul était si sensible que la simple pénétration d’une plume aurait suffi à lui donner du plaisir !
Regardant Emeraude qui reprenait sa respiration à même le sol, elle était dans un pire état qu’elle ! Emeraude s’était occupée constamment de trois hommes, quatre quand elle s’évanouissait ! Alors que son vagin et anus devait certainement retrouver une taille normale dans quelques minutes, piégeant la semence des hommes en elle, ceux d’Emeraude était grand ouvert en un parfait O, montrant son canal et côlon béant ainsi que le fleuve de sperme s’échappant d’elle pour former une flaque sur la pierre froide sur laquelle elle reposait. Ses gigantesques mamelles ressemblant à des flans recouverts d’une généreuse crème anglaise ou d’immenses montagnes enneigées se dressant vers le plafond, on ne voyait que la pointe de ses mamelons dépassant de cette généreuse crème dont les premières couches avaient certainement commencées à durcir. Son visage qui avait gardé ce satané sourire en étant parsemé de quelques cordes de sperme, salissant ses lunettes rondes lui faisant poser la question si elle arrivait à voir à travers.
« Tu… Humpf… tu as gagné combien ? » Leurs respiration sifflante faisant que leurs discours étaient difficilement identifiable. Rin respirait une grande bouffé d’air imprégné de l’odeur de leurs activité à chaque respiration, l’odeur du sexe remplissant la salle.
« Tu as… humpf… entendu ça ? humpf… »
« Oui, maintenant… humpf… dis combien. »
« 1 000 galions… humpf… ils étaient sûr que tu étais… humpf… vierge. Tu me pardonne… humpf… ? »
« Seulement sous certaines conditions… humpf… »
« Lesquelles ? »
« Première… humpf… je veux soixante-dix pour cent de ce que tu as gagné et de ce que tu gagneras dans les futures sessions m’incluant… humpf… humpf… et deuxièmement et la plus importante… humpf… je veux que tu m‘appelle… humpf… onee-sama. » Rin ne savait pas pourquoi elle voulait continuée à se prostituer, peut-être pour le plaisir ou que c’était le fait que les boules de stress qui la parsemaient semblées s’être évaporer après cette session, elle ne savait même pas pourquoi elle voulait qu’Emeraude l’appelle onee-sama, son esprit à la fois clair et embrumé après une telle session époustouflante.
« Quarante pour cent, c’est moi qui… humpf… trouve les clients… humpf… je dois toucher une commission plus importante que les trente pour cent… humpf… que tu me laisse grispou… »
« Soixante pour cent pas moins… humpf… c’est moi qui m’occupe des clients… humpf… Et c’est épuisant… »
« Quarante-cinq pour cent onee-sama et je t’obéis pendant un mois entier à partir de demain… humpf… »
Entendant Emeraude l’appelé onee-sama fit naitre une étrange sensation dans le cœur de Rin qui mit ceci à l’arrière de sa tête, l’idée qu’Emeraude lui obéisse pendant un mois beaucoup trop alléchant pour qu’elle le laisse passer. « Vendu ! »
Reprenant doucement leurs souffles, les deux amies dont une qui était devenue un pervers irrémédiable, totalement corrompu par son amie se relevèrent après quelques temps et qu’Emeraude libère Rin de ses liens. Tremblante, Rin regarda l’état de sa partie inférieur ainsi que le fait qu’elle avait beaucoup suée la laissant très consciente de l’air froid effleurant sa peau.
« Emeraude, nettoie-moi avec un recurvite. » Dans ces moments-là, Rin aimait la flexibilité de la magie des sorciers qui permettait de faire beaucoup plus de chose plus facilement.
« Non ! » Le sourire sur le visage d’Emeraude énerva Rin qui se demandait quelle chose obscène avait préparé cette hentai sans vergogne.
« Tu dois m’obéir ! Ne me dis pas que tu comptes revenir sur ta promesse ? »
« A partir de demain~. » Cela stoppa nette Rin en se souvenant de ce qu’avait dit Emeraude. Cette salope ne voulait pas…
« Tu ne t’habille pas Rin ? Le couvre-feu est dans environ une heure, on doit se dépêcher. »
« Tu veux qu’on sorte comme ça ?! Je ne peux pas mettre de culotte dans mon état et on voit très clairement du sperme sur mes chaussettes ! »
« Mais n’est-ce pas ça qui est excitant ? Se promener dans cet état-là ? A la lueur de la lune avec les préfets, les étudiants ou même les professeurs qui risque de nous surprendre ? De voir les résultats de nos ébats, de propager de sales rumeurs sur le fait que nous soyons de grosse salope se baladant avec le sperme de leurs clients en public ? Cela ne t’excite pas ? » Les mots d’Emeraude réveillèrent immédiatement l’excitation de Rin qui souhaiter ne jamais être tombé le piège de cette vipère nymphomane.
« Non ce n’est pas excitant Emeraude ! Arrête de faire l’enfant et nettoie-moi ! »
« Non~ ! »
« Fais-le ! »
« Non~ ! »
« Ne m’oblige pas à… ! »
« A quoi~ ? »
« Raaaaahhhh ! Viens ici ! »
« Non~ ! »
Rin stoppa nette sa poursuite quand Emeraude sorti dans le couloir, nu et du sperme sur une bonne partie de son anatomie, preuve de ce qui c’était passé dans cette salle durant ces dernières heures.
« Emeraude ne fait pas l’enfant et revient ici ! Quelqu’un pourrait te voir ! » Siffla Rin, inquiète qu’on pourrait les voir dans cette état.
« Et alors ? Il aura droit à une merveilleuse image, il banderas certainement comme une vierge devant une femme et voudra certainement me baiser. Je ne vois pas le problème. Viens plutôt me rejoindre dans le couloir onee-sama l’air frais est si agréable sur ma peau humide et bouillante, on va l’accueillir comme ça ! » Il fallait vraiment quelle répare ce qu’il y avait de mal dans la tête d’Emeraude, une telle perversité était anormal. Soudain, elle vit une lumière au bout du couloir.
« Aller Emeraude revient vite il y a quelqu’un ! D’accord on traverse Poudlard comme ça pour retourner dans nos chambres, mais revient dans la salle qu’on puisse s’habiller et éviter que tu attrapes froid ! »
« Non~ ! Trop tard~ ! »
« Fais comme tu veux ! » Dit Rin en fermant la porte. Immédiatement elle le regretta. Elle ne voulait pas laisser Emeraude seule dehors à faire face à la personne qui arrivé, mais même avec son comportement obscène qu’elle s’était découverte il y a quelques heures, elle n’était pas prête à faire des choses autant sans vergogne, mais elle avait l’impression d’avoir abandonné Emeraude. Que faire si la personne n’était pas sympathique ? Elle avait vu l’attitude des sang-pur, alors qu’elle avait appréciée d’être dominée et dégradée durant les relations sexuelles, elle ne doutait pas une seconde que ses gamins soient totalement mauvais et pouvait tuer sans avoir beaucoup de remord. Ils étaient beaucoup trop arrogants et sûr de la puissance de la magie et de leur famille pour rechigner à commettre un meurtre. Elle avait vue beaucoup de ce genre de personne à la tour d’horloge.
Son débat interne dura un certain temps, et lorsque l’idée d’Emeraude d’être tué par quelqu’un apparut, cela lui glaça le cœur. Ouvrant timidement la porte en étant prête à tout, elle soupira en voyant la scène, bien qu’une grimace de dégout fasse son chemin sur son visage.
Emeraude était en dos à la porte, visiblement gémissante de la pénétration reçut, son corps penché avec les mains en avant pour se tenir contre le mur opposé à la salle où elle se trouvait. Un homme l’avait saisi par les hanches et plongé dans son pot de miel en donnant des grognements gutturaux ressemblant étrangement aux qu’on imaginerait des fantômes. Son dégout était dû à l’homme empoignant les hanches d’Emeraude et plongeant sa dégoutante verge dans le vagin de son amie, Argus Rusard.
Argus Rusard était le concierge de Poudlard, un homme vil, aigri, malfaisant avec un penchant pour terrifier les élèves en les menaçant de torture que l’on faisait subir dans les temps anciens. Très âgés, il était sans pitié, traquant les élèves de façon plus efficace qu’un chien de chasse avec une cruauté que les mages lui envieraient, légèrement bossu l’obligeant à être constamment courbé, il était atteint de calvitie lui laissant que quelques longs poils gris sur la tête, son visage disgracieux et tordue n’était vraiment pas à son avantage tout comme sa dentition plus que douteuse, manquante de dent et jaunie par le temps. Rin devait se frotter les yeux pour s’assurer que ce qu’elle voit soit réelle, ce déchet de l’humanité avait des relations sexuels avec son imouto dans le couloir, sa petit sœur nouvellement baptisé qui semblait apprécier ce pilonnage malgré avoir desservi quatre hommes plusieurs fois quelques heures avant, chose qui ne semblait pas gêner l’homme qui remplissait la jeune sorcière avec son dégoutant morceaux de viande. Puis cela la frappa, ce ne devait pas être la première fois, Rusard semblait beaucoup moins harcelé Emeraude que les autres élèves, tactique intelligente, faire don de son corps à l’ennemi pour éviter la confrontation. Cela n’éliminait pas le dégout de Rin de voir cet odieux homme profiter du succulent corps de son imouto, bien qu’elle ne puisse détacher ses yeux du spectacle obscène.
Après quelques minutes, Rusard poussa un râle lugubre signalant son orgasme, déversant sa semence périmée dans le corps mignon et juvénile de son imouto. Se retirant, Rin put voir les fesses bien en forme et grasse d’Emeraude ainsi qu’un léger aperçu de son vagin en raison de la façon dont elle était penché en avant avec ses jambes écartées. Une vue des plus érotique, surtout lorsque l’on voyait le sperme séché autour de ses trous et le long de ses jambes, et le sperme frais, mais certainement pourri considérant de qui il venait, qui s’échapper de son vagin. Rusard sembla reprendre tranquillement sa ronde sans l’apercevoir ni jeté un second coup d’œil à l’élève qu’il venait de baiser comme une pute gratuite dans l’allée des Embrumes. Heureusement, elle ne voulait pas offrir ses trous à un personnage aussi dégoutant. Lorsqu’Emeraude sembla avoir repris ses esprits, elle revint dans la salle avec un sourire sur son visage.
« Alors onee-sama, qu’as-tu… »
CLAC
Emeraude n’eut pas le temps de terminer que Rin lui mit une claque olympienne. Emeraude après toute ces années d’abus était devenue un peu masochiste, elle avait pris un certains nombres de claques et de fessées lui procurant du plaisir, pourtant cette claque lui fit véritablement mal à sa grande confusion. Elle ne put s’empêcher de baisser la tête face au regard de Rin, sa grande sœur.
Rin ne put s’empêcher d’être satisfaite par le regard de confusion et de tristesse chez Emeraude, bien, cela signifiait qu’elle comprenait au moins un petit peu qu’elle avait fait quelques choses de mal.
« As-tu une idée de la peu que tu m’as fait ! »
« Mais c’était juste… »
« J’ai bien compris que tu connaissais Rusard en profondeur ! » Rin ne put s’empêcher de laisser apparaitre sa mine dégouter. « Mais que faire si c’était quelqu’un avec de mauvaise intention ! Il t’aurait violé, tuer et aurait laissé ton cadavre dans le couloir ! Ce n’est pas parce que c’est Poudlard que tu es invincible ! Tu as oublié ce qui s’est passé les années précédentes ! Un troll, un basilic, un meurtrier de masse, un seigneur des ténèbres et j’en passe ! Tu devrais avoir honte de toi d’être aussi naïve ! Tu penses qu’on aurait ressenti quoi si tu étais morte ! » Rin passa un véritable savon à Emeraude lui faisant savoir à quelle point elle avait eu de la chance. Durant un quart d’heure, Emeraude subit les remontrances acide de Rin sur sa négligence.
Rin souffla les joues rouges, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas poussée une telle gueulante. Elle était très énervée contre Emeraude de lui avoir fait une telle peur et voulais lui faire comprendre qu’il y avait des gens qui pensait à elle comme autre chose qu’une paire de seins et une chatte sur patte. Jetant un regard approfondi sur Emeraude, elle vit qu’elle avait la tête baissée, cherchant à éviter son regard.
« Regarde-moi quand je te parle ! » Tempêta Rin. Mais après une inspection minutieuse, elle entendit des reniflements et vit qu’Emeraude trembler. Elle pleurait ! Qu’est-ce qu’elle devait faire ?! La dernière fois que quelqu’un avait pleurée en sa présence était lorsque Sakura s’était égratigné le genou lorsqu’elle venait d’avoir cinq ans et elle avait été absolument paniquée à l’époque ! Faisant à l’instinct, elle enroula ses bras autour d’Emeraude qui commença immédiatement à pleurer à chaude larme sur son épaule.
« Gobmen nabsai, Gobmen nabsai… snif ! » Rin caressa doucement les cheveux noirs désordonnés d’Emeraude tout en lui murmurant des mots calmes à son oreille pour la rassurer que ce n’était rien et qu’elle devait éviter de refaire pareil bêtise, la jeune fille essayant de s’excuser dans sa langue entre ses reniflements et ses sanglots. Elle oubliait vraiment que ce n’était qu’une gamine de 14 ans orpheline et maladroite socialement. Bien que le fait de se moucher dans son épaule lui rappela qu’elles étaient nues, surtout avec les immensités recouvertes de sperme séché pressant contre son ventre. Mais elle allait laisser pleurer Emeraude quelque temps, il fallait qu’elle comprenne bien les conséquences de ses actes, elle n’allait pas être douce durant ce mois-ci pour rentrer certains concept dans la mignonne petit tête d’Emeraude. Elle ne savait pas qu’Emeraude en profitera aussi pour continuer sa corruption sur Rin.
Une fois qu’Emeraude eut terminée de pleurer sur son épaule et détourna la tête honteuse de ses pleurs, Rin décida qu’il était temps de se rhabiller, jetant un regard dégouté à son épaule droite couverte de morve jaune et de larmes salées. Malheureusement il semblait qu’Emeraude était inflexible sur le fait de ne pas la nettoyer, expliquant qu’elle devait s’habituer à être sale après le sexe. Parce qu’elle ne sera pas toujours là pour la nettoyer. Rin pensait qu’Emeraude se moquer d’elle, ils étaient tous des sorcier dans cette école, elle pourrait très bien demander à son client de la laver d’un coup de baguette.
Regardant ses vêtements et son état, elle soupira dans la résignation. Prenant sa culotte, elle pensa brièvement rentrer dans sa chambre sans sous-vêtements, mais cette idée fut tout de suite rejeté, elle n’était pas devenue assez perverse pour être aussi dépravé que de se déplacer dans un lieu publique sans sous-vêtements, même si la nuit était tombée. Enfilant sa culotte, elle soupira de nouveau à l’état de ses chaussettes, le sperme ayant fui de ses trous étant descendu les tacher, toute la partie au niveau de ses cuisses était clairement parcouru par des lignes blanche très voyante sur ses hautes chaussettes noires. Même si la nuit était tombé, la lueur de la lune rendrait très visible ces tâches pouvant amener les gens à lui poser des questions désagréable, s’il ne voyait pas avant son visage entièrement couvert de crachats séchés.
Remontant sa culotte en dentelle rouge, elle fit une grimace particulièrement ignoble que son père aurait certainement réprouvée s’il était encore en vie. Mais la sensation de sa culotte soyeuse venant se coller contre son vagin salit par des multiples charges de sperme qu’on lui avait fait stocker dans son utérus et dont une certaine quantité avait coulé hors d’elle pour s’emmêler dans les poils de son mont de Vénus déjà sali par les multiples glands s’essuyant contre sa moquette humide de son jus. La sensation à l’avant était plutôt désagréable avec ses poils pubiens sales et emmêlés avec sa peau collante de sperme. Mais sa culotte allant se placer délicatement contre les deux joues de ses fesses fut encore plus inconfortable, ses fesses ayant mariné dans son jus et celui des jeunes Serpentard était horriblement collante, s’agrippant immédiatement à son innocente culotte. Il n’y a avait pas de miroir dans la salle mais Rin doutait que la peau de couleur pèche de ses fesses soit visible en étant autant recouvert de la substance collante. En conséquence, sa culotte glissa de façon désagréable sur la couverture liquide de ses fesses, s’accrochant à la mixture comme des abeilles sur du miel. C’était une impression vraiment désagréable d’avoir un vêtement s’accrochant comme ça, encore plus avec la façon dont le tissu bougeait légèrement à chacun de ses pas. Mettant le reste de ses vêtements, elle sortit dans le couloir suivi d’une Emeraude obéissante après s’être fait gronder pour la première fois par la première personne qu’elle considérait comme une figure d’autorité.
Avançant à pas de loup parmi les couloirs doucement éclairé par la lumière douce de la lune, se réfugiant parmi les ombres lorsque les vivants faisaient connaitre leur présence et que les morts hantaient les couloirs, ignorant les ragots des tableaux concernant leurs apparences. Ils continuèrent leurs chemin jusqu’à ce qu’au détour d’un couloir ils croisèrent deux personnes portant visiblement des stigmates similaires aux leurs.
Rin jaugea de haut en bas les deux personnes, sa façade complétement vierge de toute émotion, ne sachant pas comment exprimer son incrédulité. Visiblement le roi Arthur était tombé dans le même piège qu’elle. Altria portait toujours son costume préféré offert par Shirou après qu’il avait trouvé dans la remise de sa maison, costume qui par un coup du sort s’était avéré celui qu’elle avait portée durant la quatrième guerre du Graal. Comme d’habitude, elle le porter avec une élégance royale, mais son visage évoqué une toute autre image de ce que sa posture et son aura indiqué, sa tresse défaite laissant ses cheveux blonds tomber sur ses épaules, son visage traversé par de multiple ligne blanche, en diagonale, horizontale, verticale, sur son nez, ses joues, son front, son menton, même sa paupière droite n’était pas épargnée ! Ceci donnant une forme géométrique compliqué telle un tableau d’un célébré peintre avec son visage comme toile, les organes mâles de ceux ayant profité de son corps comme pinceau et leurs semences comme peinture.
Rin ne savait pas comment son fière serviteur, l’ancien roi de la Grande-Bretagne avait pu se promener comme ça parmi les couloirs sans aucune honte, elle était devenu folle ?! En regardant de plus près, Rin remarqua quelque chose sur son serviteur, elle avait un minuscule sourire qui menacé de grandir un peu comme elle, son aura d’autorité était toujours aussi puissant mais beaucoup plus doux et joyeux. Et malgré l’obscénité de son visage, elle arrivait à multipliait la puissance de son charisme, vraiment un serviteur au-dessus de tous les autres comme attendu d’une Tohsaka d’avoir un telle serviteur pensa-t-elle béatement. Avant de se ravisé en se disant qu’aucun serviteur de sa famille n’oserait se promener avec le visage couvert de ces immondices.
Fleur était beaucoup plus désordonné que saber, ses cheveux ébouriffés, son costume n’était pas complétement fermé laissant apparaitre une quantité indécente de clivage taché de sperme et sa jupe serré était mal mise laissant apparait les lanières de son string blanc. Contrairement à saber qui semblait fraiche comme une rose et aussi maitrisé que d’habitude, Fleur était rouge et sembler absolument épuisée, un contraste intéressant entre les deux beautés blanches comme la neige. Contrairement à saber qui semblait avoir tout le sperme de ses clients sur le visage, une chose dont douter Rin mais la démarche de saber contrairement à la sienne ne laissait la trace du moindre inconfort de marcher avec des sous-vêtements humide et collant, se déplaçant de manière royale comme à son habitude. Par contre, Fleur avait un clivage entièrement blanc de la substance crémeuse qui semblait s’engouffré dans le trou du clivage, coulant le long de son ventre et atteignait sa jupe. Comment Rin pouvait l’affirmer ? Et bien elle voyait parfaitement le trajet de la semence des sorciers ayant joui sur Fleur à travers ses vêtements qui en étant humide de la substance perverse devenaient bleu foncé au lieu de bleu clair.
« Rin, j’espère que tu as apprécié ton temps avec Emeraude. »
« Tu savais. » Ce n’était pas une accusation, plus une constatation, le ton de saber était trop calme, elle ne faisait aucune remarque concernant son apparence et l’apparence de son serviteur laissait penser qu’elle était passée par quelque chose de similaire.
« Non, Mais je me doutais de quelque chose lorsque Fleur m’a demandée de lui enseigner la voie de l’épée. Mais je me suis dit que cette expérience pourrai t’apporter quelque chose de positif, Emeraude ne t’aurait jamais sciemment fait du mal. Elle t’aime et admire trop pour cela. » Rin sentit Emeraude s’accrocher à elle et dissimuler son visage dans sa manche, certainement gêné par ce que disait saber et que son idolâtrie de Rin soit si facilement visible.
Regardant Rin, saber sentit son sourire s’élargir, Rin marchait d’une drôle de façon, une démarche hésitante ressemblant un peu à celle d’un canard. Saber compatit légèrement, contrairement à Rin, elle était capable de marcher normalement, les dégâts dans sa culotte n’étant pas différents de traverser les champs de bataille boueux en hiver, bien que la sensation du sperme chaud et visqueux s’écoulant de son vagin pour salir sa culotte blanche étant nettement plus agréable que la boue froide et épaisse se glissant dans ses vêtement il y a tous ses siècles lors de ses campagnes à travers la Grande-Bretagne. Et elle ne savait pas si Rin avait remarquée le petit sourire qui s’était greffé sur son visage criblé de crachats brillant à la lumière lunaire. Rin avait recommencée à sourire au contact de la vélane et de la sorcière mais c’était la première fois qu’elle souriait d’un air si joyeux et détendu. Jetant un regard au responsable du sourire de Rin, saber sentit son sourire s’agrandir de nouveau au comportement enfantin d’Emeraude, malgré la façon dont son visage était sali ou sa robe s’accrochait à son buste en raison certainement d’un certain liquide tachant ses généreux monticules. Fronçant les sourcils en regardant de plus près Emeraude elle prit son mouchoir, attirant une Emeraude rougissante près d’elle. Immédiatement, elle nettoya les lunettes et le visage d’une Emeraude réticente, la façon dont elle essayait d’échapper à son emprise fit penser à un enfant désobéissant.
« Arrête saber ! »
Attrapant son poignet d’une main ferme, saber décida qu’il était temps qu’elle arrête de se comporter comme une enfant. « Emeraude arrête de bouger et laisse-moi terminer. » Saber n’eut pas besoin de crier, sa voix porter suffisamment d’autorité pour stopper un dragon, Emeraude arrêta immédiatement de se débattre mais continua de bougonner, telle était la puissance d’un enfant. Capable de résister en partie même à l’ordre du roi des chevaliers.
« Et pourquoi tu ne t’essuie pas d’abord ! »
« Parce que les jeunes hommes qui ont dessiné ceci sur mon visage y ont mis beaucoup d’effort et que ce serait une insulte à leurs efforts de ne pas garder ce dessin dans laquelle ils y ont mis tout leur cœur sur mon visage pendant quelque temps. » Emeraude voulut continuer à argumenter, mais le regard de saber lui fit comprendre que la discussion était close. Cela ne l’empêcha pas de bouder à la perte de la semence de ses clients.
« Tu permets saber ? » Rin tendit la main pour se servir du mouchoir et le passa sur son visage malgré le fait qu’il ait été sali de sperme, cela lui permit d’essuyer les crachats sur son visage. Même si le sentiment du sperme tachant le mouchoir passant sur sa peau était ignoble. Emeraude en profita pour fuir la poigne de saber et de se cacher derrière Rin en tirant la langue à la belle blonde avant de déclarer comme si c’était naturelle.
« De toute façon saber n’aura pas un rang plus élevé que Rin dans le bordel que j’ouvrirais ! Na ! » Dit puérilement Emeraude en tirant la langue.
« QUOIIII ?! »
Une semaine après :
Rin était dans son appartement personnel se trouvant à Poudlard que lui avait fourni Dumbledore, elle avait pu y mettre un atelier de thaumaturgie rudimentaire dans une des quatre pièces, mais actuellement elle était dans le salon en train de travailler sur divers projets.
Soupirant, elle s’étira avant de s’effondrer dans le fauteuil, devant elle un feu avec trois buches commençait s’éteindre, l’horloge au-dessus indiquant qu’il était presque minuit. Entre elle et le feu se trouver une table basse où y était déposé plusieurs feuilles rempli de ses notes.
Cette dernière semaine fut l’une des plus agréable de ces trois dernière années, elle avait continué à voir sa nouvelle petite sœur et Fleur pour qu’elles se retrouvent avec des clients et se faire un peu d’argent, les premier jours elles aient ramassé plus de 3 000 galions ! Elle remerciait tout de même la racine que saber puisse lui prêter Avalon le soir, bien que beaucoup moins efficace sur elle que sur saber ou Shirou, en trois ans elle était devenu suffisamment proche de saber et l’avait fait fusionné assez de fois avec son corps pour qu’elle est un certain effet sur elle. L’effet était juste à peine suffisant pour guérir ses organes sexuels après les journées remplies qu’elle avait, elle boitait encore la journée déclenchant un torrent de rumeur à Poudlard, mais la douleur au niveau de ses trous avait disparu le soir, lui permettant de pleinement apprécier la journée suivante. Bien que les rares fois où Emeraude n’était pas disponible pour lui faire un de ses lavements magiques l’obligeant à aller aux toilettes était horrible. Autant dire qu’avec la douleur au niveau de son anus démultiplié lorsqu’elle devait faire un passage à cet endroit la rendit presque phobique de monter sur le trône. Personne ne pouvait comprendre à quelle point c’était douloureux de devoir faire ça avec l’anus déchiré, elle s’assurait maintenant d’avoir Emeraude sous la main le plus possible. Et il fallait calmer ses clients, plusieurs avait été assez courageux en publics. De ce fait, elle fit une utilisation assez libérale du gandr ces derniers temps, ce faire peloter le cul ou les seins en public était beaucoup trop humiliant et en avant pour elle, bien que ces attouchement publiques la laissèrent suffisamment émoustiller pour avoir besoin d’un de ses admirateurs dans l’heure qui suivait. Même s’il était devenu une salope, elle avait encore assez de fierté pour ne pas s’exhiber en tant que telle en public !
La nouveauté d’une jap’ assez mature qui était en plus une mage faisait que son corps était vendu à prix d’or. Bien que le prix baisser et les clients moins nombreux avec la perte de la nouveauté malgré leurs beautés éblouissante, elles avaient encore de nombreux clients par jour et chacune apprirent à se déplacer avec leurs trous fuyant de sperme et des serviettes pour essuyer le sperme de leur visage ainsi que plusieurs vêtements de rechange. A sa grande frustration, ses admirateurs refusaient de lui lancer le sort de nettoyage pour qu’elle soit propre ! Préférant la voir se balader avec leurs graines, même en les menaçant ils ne changeaient pas d’avis ! La première journée avait été horrible ! Elle avait dû esquiver la totalité de la population de Poudlard pour qu’on ne la voie pas dans un état absolument déplorable et sache immédiatement ce qu’elle avait fait de sa journée !
Même en adorant maintenant le sexe, elle n’était pas mécontente de voir le nombre de ses admirateurs baissés (oui, elle faisait l’amalgame entre admirateurs et clients), le nombre absolument astronomique d’admirateurs qui avait voulu un morceau d’elle et avec lesquelles Emeraude avait organisé des rendez-vous avait fait qu’elle avait peu de temps pour elle, la laissant complétement épuiser durant les trois premiers jours de ce nouveau hobby. Elle en est venue à une nouvelle appréciation de son serviteur qui ne semblait pas dérouté par les chariots de bite et camion de sperme qu’elle engrangeait à longueur de journée, à peine fatigué par tout cela, bien qu’elle soit un peu répugnée par le fait que son serviteur semblait avoir une préférence pour les petits garçons. Elle et saber avait ramassées un sacrée pactole, ce qui était une véritable bénédiction, l’injection de cet argent lui avait permis de renflouer les caisses de la famille Tohsaka qui était presque vide après la gestion de ce faux prêtre.
L’idée de se prostituer ne la gênait plus tant que ça, la contrepartie étant bien trop alléchante. Elle voulait faire croire à autrui qu’elle aimait son père et voulait le rendre fier en améliorant le statut de la famille Tohsaka, elle le détestait à cause de ce qui était arrivé à sa sœur biologique, les tortures qu’elle a dû subir menant à la mort de Sakura ainsi qu’à celle de Shirou. En faisant prendre à la famille Tohsaka une nouvelle direction que son père n’approuverait pas (il ferait certainement une crise cardiaque à ce qu’elle prévoyait même si cela lui permettait d’atteindre la racine), faisant table rase du passé pour repartir sur des bases plus saine permettant l’avenir de la famille. Un avenir pervers certes, mais un avenir tout de même. Bien que de penser à la famille lui rappeler douloureusement Sakura, et lui fit se demander si elle ne projetait pas Sakura sur Emeraude pour guérir la blessure d’avoir perdu sa sœur biologique. Outre pendant les sessions de sexe où la personnalité d’Emeraude faisait un 180, elle lui rappeler Sakura à l’école. La même maladresse et timidité lui causant des difficultés à s’intégrer à la société, même la stature était à peu près la même, petite taille, gros seins, hanche plutôt proéminente… Cette question la taraudait, mais chaque fois qu’Emeraude l’appelait onee-sama, elle découvrait qu’elle ne pouvait rien lui refuser et que sa peur et sa tristesse s’envoler. Emeraude ayant pris une place importante dans son cœur meurtri en même pas un mois.
Se prostituer outre l’argent et le plaisir que cela lui rapporté était un excellent moyen de cracher au visage du vieux salaud, chaque sorcier mage devait vénérer et remercier leurs ancêtres pour leurs apports à la famille. Elle ne pouvait pas le détesté publiquement mais faire en sorte de faire les pires choses qu’il puisse imaginer en se disant que s’il pouvait la voir depuis l’Akasha elle espérait qu’il meurt d’une crise cardiaque en étant horrifier de comment elle a tournée… plusieurs fois… douloureusement. Et puis comme l’avait dit Emeraude, elle se sentait moins stressé, plus joyeuse, ouverte, aimable, dynamique, efficace dans ses études. Le sexe faisant des merveilles pour son stress et sa fatigue ! Cela faisait des années qu’elle ne s’était pas sentit aussi bien ! Elle faisait des nuits complètes au lieu d’éviter de s’endormir de peur de se réveiller en hurlant suite à un cauchemar concernant la cinquième guerre du Graal. Ses pensées était moins morose, dérivant beaucoup moins vers Shirou et Sakura, ce n’était pas qu’elle les oubliait, c’était juste que le sexe avec les discussions avec Fleur et Emeraude sur son passé lui permettait enfin de faire son deuil. Une chose qu’elle avait du mal à comprendre était sa fatigue, elle comprenait au niveau de la joie, de la fatigue psychologique avec la libération d’endorphine et d’autre hormone très bonne pour le corps et l’esprit résultat des relations sexuels, mais au niveau de la fatigue physique (bien qu’elle récupérait mieux avec de véritable nuit sommeil) et de l’épuisement magique elle n’avait pas compris… jusqu’à ce qu’il y a cinq jour. Elle avait remarqué qu’après le sexe, ses niveaux d’od était légèrement remonté et que saber demandait moins d’od pour ce maintenir sur ce plan.
Il avait fallu une observation minutieuse, plusieurs hypothèses et analyse de son corps pour en venir à… rien. Elle avait été incapable de comprendre, elle avait été chroniquement fatiguée, épuisée même d’avoir à maintenir saber en ce monde. Il n’y avait eu aucun changement en trois ans à ce niveau, des difficultés à certains moments de lancer certains sorts, de remplir ses joyaux d’od, une fatigue constante… cela avait beaucoup entravé son apprentissage, mais il n’y avait aucun moyen qu’elle laisse partir saber. Saber était son ancre dans la réalité, celle avec qui elle était passée à travers l’horreur qu’avait été la guerre du Graal, elles avaient subi les mêmes pertes, les mêmes traumatismes. Elle l’avait soutenue, lui avait prêté son épaule pour pleurer. C’était une femme irremplaçable dans son cœur et même si elle suçait jusqu’à la dernière goutte de son od, quitte à se tuer, Rin ne l’aurait jamais laissée partir, trop peur de se retrouver seul dans ce monde terrifiant. Cela était probablement sa seule faiblesse en tant que mage, maintenant elle s’en retrouver avec deux de plus, Fleur et Emeraude. Et pourtant, Rin n’arrivait pas à se défaire de ses faiblesses, comme l’avait dit Shirou il y a toute ces années, elle était trop gentille.
Et il y a trois jours, après un gang-bang bien fourni pour les quatre salopes qu’elles étaient devenues, Rin avait remarquée que la quantité d’od dans ses circuits était particulièrement abondante et que saber n’avait aucunement besoin d’od pour la première fois depuis qu’elles avaient conclu le pacte maitre-serviteur. Une brusque inspiration l’avait frappée, se saisissant de plusieurs flacons qui se trouvait dans ses vêtements (une mage doit être prête à tout), elle les avait rempli de sperme se trouvant au sol (le gang-bang avait été particulièrement salissant). En rentrant ans l’appartement, elle avait fait plusieurs tests et en avait conclu que le sperme des sorciers était chargé en magie. En y réfléchissant un peu s’était logique, les mages avaient leur circuit qui leur permettait d’utiliser leur od, les sorciers avait un noya magique prêt de leur cœur qui agissait comme une fontaine inondant leur corps, le secret de leur longévité exceptionnelle. Chacune de leurs cellule était certainement imprégné de leur magie, donc que leur sperme en détiennent n’ait pas si étonnant. La tour d’horloge serait certainement intéressé par cette découverte et elle recevrait certainement un prix pour cela pensa-t-elle en se frottant les mains, prix égal à de l’argent et de la notoriété dans son esprit.
Bien que cette découverte fut fort intéressant cela n’expliquait pas comment ses circuits étaient rechargé en od, la magie des sorciers et l’od étaient différents, même en étant en contact avec le sperme chargé en magie ne devrait pas suffire à remplir ses circuits. Alors elle avait décidé d’analyser la magie des sorcier et l’od, leurs faisant une batterie de test elle était venue à une découverte qui n’aurait pas dû être si surprenante mais qui la surprit tout de même. Après tout, les sorciers et les mages étaient des cousins, la même famille qui s’était scindé en deux avec merlin il y a plus de mille ans. Donc que leurs deux sources d’énergie se ressemblent ne devrait pas la surprendre, mais es deux communauté était si fier et arrogant, se détestant l’un l’autre qu’aucun n’aurait imaginé que leurs sources d’énergie soi un tant soit peu compatible. Si elle ne se trompait pas, la meilleur comparaison qu’elle puisse faire était une comparaison biologique entre les deux sources d’énergie, bien que peu voire pas du tout pertinente étant donné que les deux choses comparé étaient de l’énergie, Rin n’était pas venue à une meilleur idée pour expliquer ce qu’elle voyait. Si on remplaçait ces sources d’énergie par de l’ADN, alors il y aurait un peu moins de dix pour cent de brins d’ADN identique entre les deux ! Une véritable révélation ! Elle ose à peine imaginer ce qui se passerait si elle devait rendre cela publique !
Et ses découvertes l’amené à son problème, même si le sperme des sorciers la rechargeait comment faisait-il ? Même si c’était similaire, les deux ne pouvait pas se mélanger, on ne fait pas marcher une voiture à essence avec du gazole. Après plusieurs tests, elle avait conclu en premier que ses circuits se rechargeaient seulement si le sperme était absorbé par son corps. Si le sperme était pulvérisait sur ses seins ou son visage, il n’y avait rien qui se passait, il fallait soit qu’elle l’avale, soit qu’on lui fasse un creampie vaginale ou anal et qu’ensuite elle conserve le sperme dans son corps. Après, c’était similaire à un processus de digestion si elle avait raison, plus elle gardait le sperme en longtemps en elle, plus ses circuits se rechargés. La durée étant différente selon le trou dans laquelle se trouvait le sperme avec le plus efficace se trouvant le vagin (une demi-heure), puis la bouche (une heure) et enfin le cul (trois heures) à son grand mécontentement puisqu’elle avait principalement des relations sexuel anale.
La quantité ne changeait pas juste la durée de digestion du sperme par son corps. Enfin c’était un mensonge, la quantité variait selon les personnes. Après quelques expériences avec le sperme de différent client allant de la première à la septième année, des hommes et des femmes (elle a juste prélevé leurs jus de chatte après des cunnilingus) ainsi que divers autres facteurs telle que leurs puissances magiques, la quantité de sperme éjaculé… et quelques tests avec l’ingestion des liquides de ces mêmes personnes. Rin avait fait un tableau, elle en avait conclu que suite à l’absorption du sperme, ses circuits pouvait être rechargé de manière variable d’une unité d’od à quinze unité d’od, peu mais la quantité de gens qu’elle avait baisé cette semaine avait plus que suffit pour maintenir ses circuits rempli à un état acceptable et encore plus avec la baisse de pression que mettait saber sur eux puisqu’elle aussi bénéficier de cette recharge en od peu conventionnelle.
Et après plusieurs test sur les échantillons de sperme, elle en était venue à la conclusion que plus la personne était puissante et âgé, plus ses cellules étaient chargée de magie. C’était particulièrement flagrant pour ceux étant âgé de quinze ans et plus puisqu’à cet âge ils subissaient une maturation magique qui pouvait faire doubler de taille leurs noyaux. Elle n’avait pas testée Fleur et Emeraude, ni sur des professeurs qui étaient plus âgé et puissant que les élèves, mais si elle avait raison, avec leurs conditions uniques elles pourraient avoir augmentation conséquente de la quantité d’od dans ses circuits si elle absorbé leurs jus. Et plus encore en s’imaginant baiser Dumbledore, l’un des sorciers les plus puissants de ces deniers siècles, pouvant mêmes résister aux ancêtres et dépassant si les rumeurs était vrai, le siècle de vie ! Son sperme devait être tellement chargé en magie qu’elle pourrait facilement remplir ses circuits magique de moitié après avoir eu des relations sexuel avec lui ! Quelque chose qu’il faudra tester au nom de la science pensa-t-elle de façon… perverse ? Emeraude l’avait vraiment corrompu au final, réussissant parfaitement à pervertir l’ancienne idole et miss parfaite Tohsaka.
Enfin après d’autres expériences pour expliquer la recharge de ses circuits magiques qui avait nécessité du matériel de pointe et plusieurs cobayes, elle en était venue à une hypothèse qu’elle avait encore besoin de vérifier. La magie des sorciers ne la rechargeait pas, elle semblait stimuler sa recharge en od ! Si c’était vrai elle agissait comme un accélérateur, stimulant ses circuits pour augmenter son taux de production d’od sur la durée jusqu’à ce que le liquide soit absorbé par son corps. C’était une incroyable découverte si elle avait raison ! Elle avait encore besoin de faire plusieurs expériences mais elle pensait avoir raison… elle en était presque sûre.
Après cette découverte, elle avait acheté de nombreux flacons de 100 millilitre. Tous stockés dans une armoire de son atelier, à chaque session sexuel, elle conservait le sperme non utilisé (qui se trouvait sur ses seins, par terre après s’être écouler de sa chatte ou de son cul) avec ses flacons qu’elle avait rendu incassable et lui permettant de conserver la précieuse semence durant des mois voire des années grâce à l’utilisation judicieuse de rune. Etant donné qu’une personne éjaculé environ 20 millilitres en moyenne, que ses flacons faisaient 100 millilitres, chaque flacons pouvait lui faire regagner de 50 unités d’od à 75 unités d’od selon la qualité du sperme conservé dans le flacon. Parfait pour la recharger dans différentes situations, une longue journée, un combat… elle n’avait qu’à déboucher un ou plusieurs flacons et avaler son contenu pour être dans l’heure prête, ou en cas d’urgence le vider dans son vagin et boucher l’entrée avec un gode pour empêcher la fuite de sperme permettant un rechargement optimale dans la demi-heure. Elle était un génie ! Son titre de prodige n’était pas démérité ! Elle avait hâte de frotter cette découverte au visage de la vache finlandaise !
Outre les feuilles concernant ses diverses recherches sur les sorciers, les travaux et les devoirs qu’on lui envoyé de la tour d’horloge (ce n’était pas parce qu’on était ambassadrice que ses études étaient mis en pause), elle travaillait aussi sur le projet d’ouvrir un bordel avec Fleur et Emeraude. Elle aurait craché sur cette idée il y a un mois, mais son ouverture sexuel ainsi que l’argumentation infaillible d’Emeraude suite à leurs surprises de cette déclaration culottée avait fait chaviré son cœur, outre le monopole du marché qui était sûr de leur rapporter un revenu mensuel plus que profitable en considérant le marché sorcier, un bordel doublé d’un bar ferait une très bonne plaque tournante pour acquérir et vendre des informations leurs permettant d’acquérir un second monopole encore plus précieux que celui du sexe. Le monde des sorciers était une proie facile sur ces deux point-là, aucun sorcier n’ayant eu l’idée de construire de véritable entreprise pour conquérir ces marchés. Emeraude avait exposé un plan infaillible pour devenir riche et intouchable d’un point de vue politique, plan auquel avait adhéré Fleur et Rin, Saber ayant mentionné sa désapprobation en raison de son code de chevalerie mais avait dû se ranger à leurs côté en raison des points valides qu’elles avaient fait valoir. Mais le plan était solide pour une enfant, Rin et Fleur avait travaillé sur les points mineurs qu’avait manqué Emeraude mais avec ce plan, Rin pourrait s’enrichir et travaillé pleinement sur la magie de sa famille sans limitation financière et Fleur pourrait étendre l’influence de sa famille outre-manche.
Emeraude leur avait annoncé le terrain où elles allaient construire leurs bordel-bar-hôtel- atelier de recherche, un projet pharaonique. C’était dans l’allée des embrumes à proximité du chemin de traverse, parfait pour attirer la clientèle en tout genre et éviter les aurors les plus zélés. De plus Emeraude avait négocié avec les propriétaires, achetant de multiple magasin côté à côté pour construire l’immense bâtiment qu’elle prévoyait. Le prix avait déjà été fixé à 10 000 galions, une véritable fortune juste pour l’achat du terrain et elles devaient payer dans un mois. Facile, avec les économies de Fleur, Emeraude et elle plus la prostitution qui rapporté plus que suffisamment. Mais il fallait dessiner ce projet pharaonique, le peu d’architecte qu’il y avait dans le monde magique était scandaleusement chère, donc les quatre d’entre elle unissaient leurs compétences pour préparer le plan de leur future projet immobilier qu’elles iront ensuite faire valider par des architectes et décorateurs moldu leurs épargnant certains couts dans la construction du bordel.
La seconde chose était l’achat des matériaux et de la main d’œuvre pour payer la construction du bâtiment. Aucune n’était assez doué pour estimer exactement les couts, et encore moins avec un plan du bâtiment non-terminé. Mais en se renseignant sur le cout des matériaux, le fait qu’une construction magique coute bien moins chère et est bien plus rapide que celle moldu, Fleur, Emeraude et Rin devront passer une licence de mise en place de protection et d’enchantement qui coutera mille galions pour chacune plutôt que de faire appel à des spécialistes coutant un bras, une jambe et probablement leurs foies et chatte, l’achat d’elfe de maison (la licence permettant de posséder les elfes de maison étant heureusement rattaché à la maison Potter), payer des prostitué et acheter des esclaves pour remplir les chambre au risque de se retrouver avec trop peu de filles (elle et Saber avaient fortement désapprouvées en entendant qu’il existait un marché aux esclaves dans l’allée des embrumes malgré le fait que ce soit illégal et que dû à la corruption, le ministère ne faisait absolument rien pour le fermer et libérer les esclaves).
Elles avaient fortement désapprouvé qu’en Emeraude avait dit qu’elle allait en acheter, mais Emeraude avait promis de bien les traiter, et puis valait que ce soit eux qui possède les pauvres filles et elles pourraient bien s’en occuper que des maitres cruel abusant d’elles… Les premières estimations allaient de 100 000 galions à 500 000 galions, une véritable fortune ! Rin avait déjà et depuis longtemps décidé de vendre sa maison au Japon et les terres environnante, ayant trop de mauvais souvenirs là-bas. Elle allait faire venir ses affaires ici pour s’installer avec Emeraude et Fleur, d’après elle, elle pourrait tirer 5 millions de yens de sa maison, soit environ 2 676 544 livre sterling, soit environ 53 530 galions, un bon prix de départ. Malheureusement, Emeraude n’avait pas accès à son coffre familial et Fleur dépendait de ses parents qui lui donner un argent de poche qui la faisait saliver (1 000 galions par mois !) mais insuffisant pour leur projet.
Emprunter de l’argent ? Les familles de la lumière ne voudrait pas s’associer à un bordel, les familles sombres demanderais certainement des conditions impossible à tenir, les familles neutres et les gobelins ? Le taux d’intérêt qu’ils mettraient en place serait affolant, dépassant facilement les vingt pour cent les rendant impossible à rembourser et surendetté, autant vendre son âme au diable s’il existait ! Il n’y avait pas d’autres sources de galion, une telle somme demandant que la personne à laquelle elles empruntent soit fortunée et digne de confiance. Un mélange peu commun. Il fallait trouver un mécène, chose difficile dans le monde magique, qui voudrait avoir son nom associé à un bordel ? Malheureusement, Emeraude avait trouvé la solution à leurs problèmes, solution qui n’enchantait pas du tout Rin qui se mordait sa langue en se souvenant de sa gaffe qui avait conduit Emeraude à avoir cette idée complétement tordue. (Globalement j’avais pensé à un mariage arranger entre Emeraude et Luviagelita Edelfelt avec une petite torsion futa faisant du quatuor de personnage principaux une quintette ce qui m’aurait beaucoup amusé à écrire avec la rivalité entre Rin et Luvia) Elle n’avait plus qu’à prier que cette idée échouerait demain quand elles iront trouver les gobelins demain pour commencer à parler de divers projets ainsi que de lui ouvrir un compte en Angleterre. S’étirant une dernière fois, voyant qu’elle avait bien avancé dans le dessin du plan du bordel quelle ferait passer demain à Fleur, elle réunit les feuilles en se disant que de toute façon ses travaux en relation avec la tour d’horloge pouvaient bien attendre une semaine ou deux avec les projets et recherches sur lesquels elle travaillait cette semaine.
Outre le sexe et ses divers projets, Rin avec Fleur avait mis en place des cours obligatoire pour apprendre le bon sens, les normes et la morale en société à Emeraude. Des choses dont elle manquait cruellement en tant que future chef de la famille Potter. Elles avançaient lentement mais surement, ce qui était déjà pas mal quand on prenait en compte le crane épais d’Emeraude pour tout ce qui n’était pas la magie ou le sexe. Autre chose était les cours de kendo et de remise en forme qu’avait mise en place saber où Fleur et Emeraude était les seules femmes. Fleur avait une condition physique décente, chose qu’elle amputait à sa nature non-humaine, mais Emeraude était comme la majorité des sorciers, exaspérante. Elle avait une excellente vitesse de course mais la paresse des sorciers avait fait son œuvre, faisant fondre le moindre gramme de muscle qu’elle aurait pu avoir, heureusement saber la remettait en forme. Une chose qui la gênait était le fétiche de saber de se faire appeler nee-chan, quelques chose que toute sa classe l’appeler, la voyant comme une grande sœur stricte et sévère mais en même temps gentille, bien qu’à la fin du cours elle devenait juste un trou à baiser, une femme mature les ayant aidé à perdre leurs virginités et totalement à leurs services pour réaliser leurs fantasmes tordu d’enfant pré-pubère avec les deux autres filles de sa classe de kendo. Un nom qu’Emeraude avait décidé elle-aussi d’utiliser ce qui avait rendu jaloux Rin de voir la proximité que développer Emeraude et saber.
Ouvrant la porte de la chambre, elle vit saber nue, assise à califourchon sur un homme aussi nue et actuellement couché sur son lit, montante et descendante sur la verge plutôt imposante de l’homme, vu ses gémissements et comment l’homme laissé saber le monté comme l’étalon qu’il était, la séance devait durer depuis quelques temps. Trop pris dans son travail, Rin n’avait même pas vu que saber avait ramené quelqu’un. Haussant les épaules, Rin enleva ses habits pour se mettre nue et les rejoindre. Elle pouvait aussi bien se faire plaisir avant d’aller se coucher et ce sorcier-là avait un taux de magie dans ses cellules particulièrement élevé, il serait criminel de gâcher de l’od.
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