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Whore of the Dark Side	By : RavenANCorps Category: French > Harry Potter Views: 26929 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0
Disclaimer: la majorité des personnages ne m’appartiennent pas...lais les situations, ça oui

Chapter List
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Whore of the Dark Side

By Olga69

Disclaimer : Harry Potter ne m’appartient pas et je ne me fais pas d’argent dessus. Heureusement, j’ai droit d’abuser totalement de son corps.

Chapitre 2

A partir de ce moment-là, la vie d’Harry changea. Pendant les premiers mois, il put, grâces à des potions de Severus et des repas copieux, avoir à nouveau le corps d’un enfant normal. Pour l’habituer à sa condition, il vivait nu et accueillait avec de moins en moins de réticence les caresses.
Quand Harry se mit à ressembler enfin à un joli petit garçon, on décida que sa formation devait commencer dès maintenant sans attendre ses 7 ans. Lucius décida qu’Harry passerait au moins un moins chez chacun d’eux pour qu’il s’habitue à leur obéir et à coucher avec eux.
C’est à Thorfin Rowle que Lucius confia le début de l’éducation d’Harry. Il avait déjà quatre fils (chose exceptionnelle pour un sang-pur) qu’il avait tous initiés. C’était donc le candidat parfait pour un très jeune vierge.
L’homme vint le chercher au Manoir Malefoy en fin d’après-midi. Harry jouait avec Draco qui, voyant son ami nue l’avait imité et tous deux chahutaient joyeusement dans le salon. Grace à Draco, Harry s’était ouvert. Dès le lendemain, quand son père lui avait dit qu’ils allaient accueillir chez eux un enfant de leur âge, Draco avait voulu faire sa connaissance. Au départ, Harry ne faisait que le suivre comme un petit chien parce qu’il était trop timide pour s’imposer. Mais rapidement, Harry a commencé à prendre de l’assurance.
Les potions donnés par Severus ne devaient pas y être étrangères non plus. En plus des potions de nutritions, de guérisons et de renforcement, Lucius avait demandé à ce qui lui soit donné des potions qui lui serviront dans sa future vie au service des Mangemorts. Il y avait notamment une potion de Magie Noire qui obligeait Harry à obéir à tout personne portant la marque des ténèbres où à leur famille selon leur rang. Une autre le faisait de plus en plus tomber dans la servitude de la magie Noire et en particulier de celle du Seigneur Noir et de ses Disciples. Lucius savait que bientôt, Harry se soumettrait totalement aux sorciers noirs mais qu’en plus, il y prendrait plaisir. Une troisième potion semblait aussi déjà faire son effet. C’était une potion d’éveil sensuel. Elle permettait à celui qui en prenait régulièrement de voir son cerveau accélérer le développement sexuel de l’enfant pour le faire passer du simple stade anal de son âge à un stade génital adolescent sans même passer par l’état de latence qui existe normalement entre les deux.
Lucius avait souvent vu Harry toucher le sexe, les tétons et les fesses de Draco pour son plaisir. Après tout, Lucius ne lui avait pas du tout caché ce qu’il attendait de lui. Leur conversation avait eu lieu le lendemain de la fête des Mangemorts. Lucius avait convoqué Harry dans son bureau. L’enfant était nu et malgré les premières potions de Severus, encore assez maigre.
- Cela fait maintenant plusieurs jours que tu es chez nous Harry et je sais que tu te demandes pourquoi tu es ici. La première chose à savoir, c’est que tu es un sorcier. Non ! dit-il alors qu’Harry allait commencer à se défendre. Ne dit rien, nous savons. Tu dois te fier à ce que l’on te dit. La deuxième chose, c’est que grâce à ta grande puissance magique, tu as été choisi pour devenir le Serviteur de notre maitre. En son absence, nous allons donc te former et t’entrainer pour que tu deviennes un parfait serviteur. C’est compris ?
- Oui, M’sieur.
- La chose que tu dois savoir, c’est que ton travail ici, avec nous aura un rapport avec le sexe. Tu sais ce que c’est ?
- c’est le comment on fait les bébés ?
- C’est à peu près ça à l’exception du fait que les seules personnes avec qui tu le feras seront des hommes.
- Mais je suis moi aussi un garçon.
- Peu importe. As-tu des questions ?
- Est-ce que ça fera mal ?
- Un peu au début sans doute. Puis ça fera du bien et ensuite, tu ne pourras plus t’en passer.
Et ce soir-là, Harry commençait à comprendre ce que Lucius avait voulu dire. De plus en plus ces jours derniers, il avait commencé à se sentir attiré par le zizi de Draco qui parfois devenait tout dure, et aussi sur ses fesses et le reste de son corps. Ça rendait aussi son zizi tout dur. Lorsque l’homme se présenta au salon, Harry savait qu’il venait pour lui. Lucius lui avait dit qu’il allait partir du manoir et qu’il ne reverrait plus Draco que pendant les cours de l’école parce qu’il habiterait avec des familles différentes. Il savait que dans chaque maison, il apprendrait des choses sur le sexe et qu’il devrait obéir.
Il vit le premier d’entre eux que Lucius appela Thorfin Rowle. C’était un homme grand avec un visage large et légèrement arrondie, des yeux bleus et des cheveux blond et courts. Ils étaient aussi clairs que ceux de Lucius mais moins brillant. D’instinct, Harry savait qu’il devait lui obéir et il se surprit à penser qu’il en avait envie. Il s’avança vers l’homme qui le prit dans ses bras et lui caressa le corps et en particulier son sexe et ses fesses. Il dit au revoir à Lucius et s’en alla avec le petit Harry toujours nu dans ses bras.
Satisfait, Lucius resta tout de même quelques instants au salon pour consoler Draco avant de l’envoyer se coucher. Puis il remonta dans son bureau lire une lettre de l’un de ses subordonnés qui avait une mission très spéciale : remplacer Harry Potter chez ses moldus. En effet, non content de mettre Harry dans son camps, Lucius voulait aussi l’infiltrer dans le camp de Dumbledore sans que celui-ci le sache. Il devait donc tout faire pour que l’on ne soupçonne pas la disparition et donc faire taire les Dursley sans éveiller les soupçons. Il lui suffisait que l’un de ses Mangemorts avec un peu de sang d’Harry et un bon glamour se fasse passer pour l’enfant tout en mettant les parents sous impérium et le tout était joué.
En vérité, Eliott Monger, était très doué dans les imperiums et réussissait à maintenir les trois de façon assez brillante. Les Dursley continuaient à vivre leur vie sauf qu’ils prenaient Eliott pour Harry et que c’était l’apparence qu’il renvoyait au monde. En même temps, un Mangemort n’allait pas se laisser abuser par des moldus donc il avait modifié le sort pour que les Dursley le vénèrent et lui obéissent à tout instant. Ils vivaient exactement leur vie d’avant mais ils vénéraient leur neveu « Harry ». D’ailleurs, les rapports qu’Eliott envoyaient à Lucius était des plus croustillant d’ingéniosité car Eliott était quelqu’un qui savait profiter des gens et surtout des gens en son pouvoir.
Par exemple, le premier souvenir de sa mission que lui avait envoyé Eliott était des plus excitants et avait mis Lucius dans des états tels qu’il avait été obligé de se masturber. On y voyait Eliott dans la chambre du fils de la maison, Dudley, en train de déshabiller l’enfant avant de se mettre nue à son tour, le sexe dressé en direction de l’enfant qui attendit le signe du sorcier pour prendre son sexe dans sa bouche. Le sexe semblait énorme pour la petite bouche mais il obéissait et suçait le sexe jusqu’à ce qu’Eliott le retire pour maculer de sperme le visage de l’enfant. Il avait ensuite vue Dudley se mettre sur le lit et récupérer le foutre avant de s’en servir pour lubrifier son petit anus avant qu’Eliott n’y enfonce son sexe avec brutalité. Lucius avait vue l’orifice se mettre à saigner mais aucun son n’était sorti de la bouche du garçon. Le pilonnage était dur et extrême. Pratiquement couché sur l’enfant qui avait ses jambes autour de ses hanches, Eliott rentrait et sortait son sexe sur lequel il y avait un peu de sang. Il s’était finalement immobilisé tout au fond, jouissant dans un grognement rauque. Il avait ressortit sa queue et avait regardé son sperme s’écouler de l’anus martyrisé avec un peu de sang.
Il lui en avait envoyé d’autre de cet acabit. Eliott était d’une remarquable imagination quand il s’agissait de viol. La chambre n’avait été un début. Il avait baisé l’enfant dans toutes les pièces de la maison et parfois même sous les yeux des parents qui ne voyaient rien. Il avait aussi réussi à lui faire amener des petits amis qu’il violait avant de leur lancer des oubliettes. Ceux-là, c’était vraiment des viols avec des cris, des pleurs et tout un tas de chose qu’affectionnait Eliott et qui n’était pas pour déplaire à Lucius. Il se disait qu’on pouvait vraiment faire n’importe quoi avec un bon impérium mais que ce n’aurait pas été une bonne solution pour Harry bien que plus simple. Il se disait aussi qu’il devrait le faire revenir un moment pour qu’Harry profite de ses leçons…ou plutôt pour qu’Eliott profite de lui.
Dès qu’ils étaient arrivés chez lui, Mr Rowle avait amené Harry dans sa chambre. Il l’avait posé sur son lit puis s’était déshabillé. Harry avait déjà remarqué qu’il était grand, il vit maintenant qu’il était musclé. Un torse large, parsemé de poils blonds quasi invisibles de longs bras et jambes. Harry le détailla et son regard s’arrêta au niveau du Bas ventre de Mr Rowle. Cela n’avait rien à voir avec celui de Draco. Celui-ci semblait plus long, plus foncé et poilu.
Mr Rowle se rapproche d’Harry et se mit à le caresser. Il le couche sur le lit tout en continuant à passer ses mains sur son corps doux. Puis il commença à y passer sa langue. Chaque centimètre du corps d’Harry y passa. Cela le chatouillait un peu mais c’était en même temps très agréable. Son petit sexe était bandé et il ne pouvait empêcher les gémissements sortir de sa bouche. Enfin, Mr Rowle arriva sur son sexe et le prit entièrement dans sa bouche. Harry n’en pouvait plus. Crispé par le plaisir, les mains dans les cheveux de l’homme, il criait presque à présent jusqu’à ce qu’il sente des picotements dans son sexe, de plus en plus fort jusqu’à ce qu’il sente une explosion dans sa tête qui le fait pousser un cri.
Il retombe sur le matelas, vaincu par le plaisir. Thorfin Rowle le soulève, tire les couvertures puis le couche en dessous avec lui. Harry s’endormis contre le torse de l’homme, à cheval sur sa queue bandée.
Le lendemain, dès le retour d’Harry de l’école, Thorfin l’aida à faire ses devoirs, tous les deux nus. Harry était assis sur les genoux de l’homme, souvent distrait par le sexe dur qu’il sentait dans son dos. Il l’avait bien vu, le matin en se réveillant, disparaissant entre ses cuisses. Il n’avait pu s’empêcher de serrer les jambes pour mieux le sentir. Il le sentait à présent dans son dos, aussi dur qu’au levé. Timidement, Harry glissa sa main dans son dos pour caresser la bête mais reçu une tape.
- Tu pourras l’avoir après les devoirs.
Emoustillé, Harry se dépêcha de finir ses exercices qui étaient tous plus faciles les unes que les autres, pour lui du moins. Thorfin, posant Harry au sol, alla s’assoir dans un fauteuil et écarta les jambes. Harry s’avança timidement jusqu’à être juste devant Thorfin. Celui-ci ne bougeait pas, il laissait Harry faire ses propres explorations. Le temps où il n’aurait pas le choix (et ne voudra pas l’avoir) viendrait bien assez tôt.
Harry se mit à genoux et tendis la main pour toucher la peau sensible du sexe. C’était chaud et rigide, mais doux. Il passa ses doigts le long du sexe et remonta sur le gland de chaire plus foncé. Il était encore sec mais une goutte transparente commençait à perler au bout du méat. Harry le prit entièrement dans sa main. Il arrivait à peine à refermer sa petite main autour du mat de chaire. Il commença à faire monter et descendre sa main, faisant glisser la peau souple de haut en bas. Soudain, autre chose attira son attention. De l’autre main, il caressa le sac de chaire qu’il y avait en dessous avant de le prendre dans sa main et le malaxer. Il appuya un peu fort et Thorfin frémit. Il dit à Harry que c’était une partie sensible de l’homme, que c’était un bon endroit pour frapper, mais que pour le sexe, il valait mieux être doux avec, à moins qu’on lui demandait le contraire bien sûr.
Harry passa du temps à jouer avec le sexe et les couilles de Thorfin avant que celui-ci lui demande de le mettre dans sa bouche. Intrigué, Harry essaya. Il approcha sa bouche du gland et lécha la perle de mouille. C’était salé, mais délicieux. Il ouvrit plus la bouche et prit le gland dans sa bouche, faisant glisser ses lèvres dessus comme si c’était une sucette. Satisfait du gémissement de Thorfin il commença à monter et descendre en rythme, suivant les conseils que lui disait le Mangemort.
- Utilise ta langue, attention à tes dents, ne garde pas tout le temps le même rythme, n’oublie pas mes couilles.
A cette dernière occurrence, Harry lâcha le sexe pour prendre l’un des testicules poilus dans sa bouche enfouissant son nez entre les jambes moites du Mangemort. Il reprit rapidement le sexe du Mangemort et continua à la travailler. Après un temps, il le sentit trembler. Il allait se reculer pour demander à Thorfin ce qui se passait, mais celui-ci lui mit la main derrière la tête et le força à garder son membre dans sa bouche. Harry sentit du liquide couler dans sa bouche. Il voulut se reculer croyant que le Mangemort faisait pipi mais la poigne était trop forte. Il se rendit compte tout de même rapidement que c’était trop crémeux pour être du pipi.
Finalement, Thorfin le relâcha et Harry se recula. Il allait avaler le liquide mais le Mangemort l’en empêcha et lui ordonna d’ouvrir la bouche. Harry obéit et quelques gouttes de spermes s’échappèrent de sa bouche encore trop petite pour tout contenir. La vision de son minois innocent avec la bouche ouverte et pleine de sa crème augmenta l’excitation de Thorfin et son sexe qui commençait déjà à baisser pavillon, commença à se dresser de nouveau. Satisfait, il permit à Harry d’avaler.
Le petit garçon décida que ce n’était pas mauvais et que c’était même très bon. Un peu amer et salé, il sentait sa texture crémeuse couler le long de sa gorge.
- Qu’est-ce que c’était ? demanda-t-il à Thorfin.
- Ça porte beaucoup de nom : sperme, foutre, semence,…les hommes en produisent quand ils jouissent…qu’y a-t-il ? demanda le Mangemort alors qu’il voyait Harry se trémousser.
- Je pourrais en avoir encore ?
- Tu aimes tant ça ? C’est bien, nous ferons de toi une bonne pute, crois-moi, tu nous supplieras pour te faire baiser et boire notre sperme. Mais pas maintenant, dit-il alors qu’Harry se rapprochait de lui, visiblement pour prendre à nouveau le sexe dressé de Thorfin dans sa bouche. Ce soir, pour le moment, viens sur mes genoux.
Déçu, Harry obéit tout de même. Thorfin le plaça de telle façon que sa queue se trouvait entre les jambes du garçon, tout contre sa petite bite d’enfant. Chacune de ses jambes étaient de chaque côté du corps du Mangemort qui serait le petit torse contre lui.
- Ce soir, je vais te dépuceler. Je vais mettre ma bite ici, dit-il en caressant le petit trou d’Harry
- Mais…commença Harry
La gifle le surprit tant qu’il faillit tomber. Mais Thorfin le tenait très serré.
- Une pute comme toi ne dis jamais « mais », elle ne refuse jamais, elle ne fait qu’obéir, c’est clair.
Harry acquiesça, les larmes aux yeux.
- Et ne pleure pas, ajouta Thorfin plus doucement en embrassant Harry sur la bouche.
Puis il présenta deux doigts à la bouche d’Harry qui se mit à les enduire de salive. Comme il l’avait fait auparavant pour la queue de Thorfin, Harry y mit tout son cœur, léchant les doigts, les suçant doucement. Puis Thorfin les sortit de la bouche du garçon pour les présenter à ses fesses. Il introduisit doucement un premier doigt alors qu’Harry gémissait.
Ça faisait un peu mal et c’était bizarre de sentir le doigt de Thorfin dans son petit trou. Mais rapidement, les va et vient se mirent à lui faire ressentir des choses dans le corps. Il commençait à avoir chaud, ça faisait moins mal et c’était moins bizarre. Harry commençait à ronronner quand le doigt se retira et revint, accompagné cette fois d’un deuxième. Harry sentit encore un peu de douleur qui s’atténua rapidement quand ils se mirent à bouger. Il n’y avait plus rien de bizarre même si ça faisait encore un peu mal, non, Harry en voulait plus, que ça aille plus loin, plus vite…mais il ne demandais rien. A moins que Thorfin ne lui demande de dire ce qu’il veut, il ne devait rien demander. C’était comme ça…et ce n’était pas si mal.
Thorfin pouvait sentir Harry se presser contre son torse. Il l’entendait gémir de plaisir aux mouvements de ses doigts dans son petit trou. Il se dit que ce serait suffisant pour le moment. De l’autre main, il prit sa baguette en conjura un petit plug métallique. Il retira ses doigts, souriant au gémissement de frustration du petit garçon et le remplaça par le jouet sexuel. Le garçon cria un peu en sentant le métal froid, mais quand il comprit à quoi cela servait, il s’empala un peu plus dessus. Satisfait, Thorfin reposa l’enfant au sol qui tint tant bien que mal sur ses jambes, et se releva en refermant son pantalon. En voyant le regard déçu et envieux qu’envoyait l’enfant sur son entrejambe, Thorfin sourit et lui dit qu’ils joueraient à nouveau après le repas. Harry sourit et, à la demande du Mangemort, partit jouer jusqu’à ce qu’on l’appelle pour l’heure du repas.
Quand les elfes de maisons commencèrent à débarrasser la table du repas, Thorfin s’excusa auprès du reste de sa famille et, prenant Harry dans ses bras, quitta la table. Il entendit distinctement son benjamin grogner qu’Harry avait de la chance. Il est vrai que Thorfin avait depuis quelque temps négligé ses propres enfants, surtout le benjamin qui n’avait pas la chance d’être à Poudlard contrairement à ses trois frères ainés qui devaient trouver de quoi se satisfaire sexuellement dans les cachots de Serpentard. Cela avait toujours été ainsi. Les ainés de Poudlard prenaient en charge l’éducation sexuelle de leurs plus jeunes frères et sœur. Mais pour son plus jeune, il ne pouvait y avoir que son père qui, il l’avouait, l’avait délaissé.
Montant les escaliers, il se promit de le bourrer dès le lendemain. Il réfléchit que ce serait probablement bien de faire participer Harry aussi. Mais pour l’instant, il allait être seul avec l’enfant. Il le conduisit de nouveau dans sa chambre personnelle, différente de la chambre conjugale, il posa l’enfant sur le lit et se déshabilla à nouveau. Son sexe était bandé à la pensée de ce qu’il allait faire ce soir : dépuceler un jeune. Thorfin adorait ça, c’était peut-être la raison pour laquelle il avait tant d’enfant.
Harry vit la grande sucette de chaire qu’il aimait tant se dresser vers lui. Il se mit à quatre pattes pour essayer de l’atteindre, mais Thorfin le repoussa et l’allongea tout à fait sur le lit. Il se mit ensuite entre ses jambes et enleva l’objet en métal qui était si agréable. Harry se sentait vide mais il ne dit rien, sachant que bientôt il serait remplacé par quelque chose de plus long, de plus gros et de plus chaud. Il tremblait d’excitation.
Thorfin se pencha sur le corps d’Harry pour ouvrir le tiroir de sa table de nuit et en tirer une fiole d’huile parfumée. Il s’en enduit généreusement les doigts avant d’en mettre directement deux dans l’anus d’Harry qu’il accompagna rapidement d’un troisième puis, comme le gamin semblait aimer, d’un quatrième. Voyant qu’il ne risquait plus de faire trop de mal à l’enfant, il enleva ses doigts et repris l’huile. Il laissa tomber le liquide gras au parfum suave le long de son sexe avant de l’étaler à la main. Il écarta ensuite les jambes du garçon et présenta sa colonne de chaire au petit anus barbouillé d’huile. Le tenant d’une main, il caressa du gland la raie des fesses d’Harry avant de positionner sa queue sur son trou et de commencer à pousser. La chaire élastique de l’anus s’écarta pour laisser passer le sexe de Thorfin qui jouissait de sentir l’anus si serré d’Harry. Il s’enfonça lentement dans les entrailles de l’enfant jusqu’à ce que sa queue butte au fond. Il ne pouvait aller plus loin.
La sensation était extraordinaire. Il pouvait sentir l’intérieur de son petit trou s’écarter et être rempli par la queue de Thorfin. Il se sentait si plein, si bien. Enfin le bout de la queue était tout au fond, tout au fond d’Harry. Il se sentait près à jouir, ce qu’il fit quand le sexe en lui se retira un peu pour rentrer buter à nouveau au fond de lui. Un courant passa dans son corps et il se sentit s’affaisser.
Thorfin avait senti l’orgasme de l’enfant qui avait fait se contracter son anus et l’avait presque fait jouir. Mais il savait se maitriser. Il se mit à faire des va et viens, ranimant le désir d’Harry. Couché sur l’enfant, ses jambes de chaque côtés de sa tête, il ravagea le jeune anus d’Harry qui gémissait en continue. Il allait bientôt jouir ce qui importait peu, il pourrait le faire encore plusieurs fois.
Ce n’est que quelques heures plus tard que Thorfin jouit pour la dernière fois. Harry resta comme il était, à genoux sur le matelas, la joue sur un oreiller et les bras le long du corps. Epuisé, du sperme dégoulinant de son anus meurtri, il s’endormit.
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