Le dragon et la Kitsune | By : sneaky666 Category: French > Anime Views: 14643 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
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Pour information j'ai corrigé l'épilogue et y est apporté quelques modifications mineures, bonne lecture.
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Chapitre 1 : Une transformation attendue
En entrant dans la salle du club de recherche occulte Naruko vit immédiatement Kiba Yuuto, le prince de Kuoh. Et Naruko devait avouer que le titre lui sied à ravir, de grande taille il était fin avec des muscle dissimuler sous son uniforme, des cheveux court blond pale avec un visage doux sur lequel était collé un sourire permanent qui faisait l’envie de tous les garçons. Des yeux gris orageux attirant les femmes à lui il ressemblait au petit ami parfait, sa personnalité était aussi douce et tranquille que son visage le laissait présager. Naruko s’entendait bien avec lui, contrairement à Sasuke c’était un bon garçon qui était facile à aborder et parler.
Il était debout derrière un canapé en cuir, au centre de la salle avait deux canapés en cuir marron face à face avec une table basse reposant sur un tapis luxueux. Globalement malgré les fenêtres elle était plutôt sombre ce qui ne dérangeait pas ses occupants avec leurs sens améliorer. La salle avait divers étagères avec des objets relier à tout ce qui est occulte, crane, chandelle, livre de magie… plongeant la salle dans une ambiance inquiétante mais donnant à ses occupants un sentiment chaleureux d’appartenance.
« Bon retour Naruko-chan, Koneko-chan. » Naruko gratifia Kiba d’un sourire éblouissant tandis que les lèvres de Koneko se levèrent légèrement en réponse.
« Ara, ara, bon retour Foxy-chan, Kitty-chan. ~ » La personne qui avait parlée sur un ton joyeux dont la voix ressemblait à un carillon dans l’air était une des deux grande dames de Kuoh. Akeno Himejima ressemblait à la perfection japonaise, une yamato nadeshiko à la peau blanche comme de la neige, de grande taille pour son âge, elle avait un visage raffiné avec un petit nez mignon, ses yeux était constamment mi-clos révélant à peine ses deux orbes améthystes captivante. Elle avait de très long cheveux noire lié en queue de cheval descendant jusqu’à ses jambes avec deux brins sortant par le haut et incliné vers l’arrière ressemblant à des antennes d’insectes le tout maintenue en place par un ruban orange. C’était une jeune femme très plantureuse… c’était un euphémisme, son tour de poitrine faisait 102 centimètres, battant la plupart des femmes sur terre, dans les enfers et le ciel, ses mamelles avait presque la forme d’obus tellement qu’ils étaient immense. Des fesses délicieusement rempli que sa jupe avaient du mal à dissimuler, des longues jambes dont personnes ne voyaient la fin cachait par des bas noir. Son corps était bien en forme avec des courbes où personne ne pouvait rivaliser et elle avait seulement dix-sept laissant le temps à ce corps obscène de grandir encore.
Naruko la considéré honnêtement comme son onee-sama, Akeno était douce et très gentille avec elle et Koneko. Bien que son côté sadique pouvait faire peur à certains moments Naruko aimait son onee-sama, elle se souvient encore de leurs gouailles où elle essayait de la convaincre de devenir membre du harem d’Issei-nii. Bien qu’elle est refusée, Naruko savait qu’à terme elle accepterait, il suffirait juste de pousser les bons boutons. Et elle l’avait formé dans l’art de taquiner, jamais Naruko dans sa vie précédente avait pensé à utiliser son corps dans ses blagues mais grâce à Akeno son corps était devenu une arme et source de divertissement. C’était aussi un peu son rivale en farce, bien que l’académie l’ignore.
Akeno était d’ailleurs très inventive, elle ne savait même pas qu’elle était sensible que l’herbe à chat. Koneko et elle était tombée dans les filets d’Akeno avec une situation très amusante. Dans leurs états de faiblesse Akeno les avaient emmenées dans sa chambre et leurs fit découvrir le sadomasochisme. Inutile de dire que l’image d’Akeno dans une tenue de latex noir s’accrochant à son corps avec une cravache était marquée au fer rouge dans leurs mémoires. Durant toute la nuit Akeno avait essayé divers jouets sur elles, elle était très douée pour mélanger le plaisir et la douleur, rien que de ce souvenir de cette nuit Naruko sentit sa chatte mouillait. Depuis ce jour Koneko et elle visitaient régulièrement la chambre d’Akeno pour diminuer la pression. Les kitsune et les nekomata était des êtres proche des succubes au niveau sexuel, et souvent leurs doigts ne suffisait pas à satisfaire leurs pulsions, Naruko avait eu beaucoup de mal quand elle était jeune, Akeno avait été une bouffée d’air frais, encore une semaine avec rien que ses doigts et ses jouets et nulle doute qu’elle aurait violée Issei-nii ou un inconnu au hasard dans la rue.
« Bonjours onee-sama. »
« Bonjours senpai. »
Naruko et Koneko se dirigèrent vers le canapé où venait de s’asseoir Akeno et s’assied sur chacune de ses jambes à l’amusement de la salle. Naruko posa ses fesses sur la jambe gauche d’Akeno dont les yeux brillèrent d’amusement en sentant le cul nu de Naruko sur sa jambe comprenant qu’elle ne portait rien sous sa jupe. Les deux jeunes filles posèrent leurs tête sur les coussins moelleux attachaient à la poitrine d’Akeno, enfonçant leurs tête dans la chair moelleuse. Chacune se saisirent d’une main d’Akeno et l’amenèrent sur leurs têtes respectives.
« Ara, ara ils semblent que mes deux animaux de compagnie ont besoin de leurs doses de caresse quotidienne. » Aucune des deux ne s’offusqua de ceci sachant parfaitement que c’était vrai, avec Akeno elle se comportait plus comme des animaux docile et taquin que des humaines, mais si tout autre personne qu’Akeno, Rias ou Issei-nii les aurait appelé comme ça il aurait souffert d’une mort douloureuse. Ne résistant pas elle commença immédiatement à masser le cuir chevelu de ses animaux de compagnie les faisant immédiatement ronronner. Akeno était extrêmement douée avec ses mains, connaissant chacun de leurs points sensibles. Elle savait exactement où leurs oreille étaient cachées et masser ces points particulier pour leurs plus grands plaisir.
« Aussi amusant que le spectacle est, Akeno on a besoin de commencer la réunion. » La personne venant de parler était Rias Gremory, le roi de la nobiliaire et maitre à tous. Rias avait un visage hybride entre mignon et sexy avec des lèvres fines et un nez aquilin poser sur un visage rond, des yeux bleu-vert magnifique reflétant sa joie de vivre et son immense affection pour ses mignon petit serviteurs. Elle avait de long cheveux rouge comme le sang descendant jusqu’à ses genoux et tombant en épis de façon similaire aux siens, brillant à la lueur du soleil attirant l’attention de tous mâle ou femelle aux alentour. Ses seins étaient à peine plus petits que ceux d’Akeno faisant un tour de poitrine de 99 centimètres, mais ses monticules formaient une sphère parfaite les rendant plus attractif que ceux d’Akeno. Ses fesses étaient plus serré et un peu plus grandes que celle d’Akeno, ses jambes étaient tout aussi sexy mais la couleur pèche de sa peau donnait une image différente, plus exotique qu’Akeno. En ce moment elle était assise à son bureau, dos à la seule fenêtre de la salle, ses mains croiser sous menton, un sourire jouant sur ses lèvres tandis que ses yeux brillaient d’amusement au spectacle habituel devant elle. Ses seins reposaient tranquillement sur le bureau donnant une vue intéressante à ous ceux dans la salle.
Pour être honnête Naruko pensait que la seul personne capable et quelle acceptait de la commander était Rias. Même sans la pièce d’évêque muter en elle qui influencer son côté yokai pour faire reconnaitre Rias comme son maitre, elle l’aurait reconnu comme telle. Rias était une gentille fille, douce et prévenante envers ses serviteurs qu’elle considérait comme sa famille. Bien qu’elle soit encore un peu verte elle était impitoyable avec ses ennemis, elle était talentueuse et capable de travailler durement pour atteindre ses objectifs sans attendre qu’ils tombent dans ses mains. C’était quelque chose qu’elle respectait et elle voulait utiliser son expérience pour venir en aide à Rias. Elle avait juste besoin de murir, que ce soit physiquement et mentalement, et Naruko l’accompagnera que ce soit comme un mentor, une petit sœur ou un animal de compagnie. Avec elle toute ces personnes appartenaient à la nobiliaire de Rias, Koneko comme une tour, Kiba comme le chevalier, elle comme un évêque, Akeno comme la reine et Rias comme le roi. Rias faisait partie de la famille Gremory qui était un des 72 piliers des enfers, en clair ils faisaient partie de l’aristocratie des diables, noble et blindé de tune, tout ce que Naruko détestait. Mais leurs comportement était à l’opposé totale des nobles qu’elle avait déjà rencontrée, et Naruko préférait ça.
Elle aimait beaucoup comparer son maitre et son onee-sama, déclencher des rixes entre elles était amusant. Akeno était la femme plantureuse dont toute les parties de son corps plantureux de manière quasi obscène était capable de traire le sperme des couilles de n’importe quel homme, une succube, une beauté fatale capable de faire jouir un homme dans son pantalon en lui envoyant un regard langoureux. Le genre de femme qui irait nue au milieu d’une foule d’homme et de femme pour user de ses charmes et de son corps jusqu’à toutes personnes autour d’elle soit trop épuiser pour continuer à user de son corps. Elle était un véritable diable incarnant parfaitement le péché de la luxure, et Naruko savait bien que si ce n’était pas pour l’image qu’elle donnerait à Rias, Akeno aurait certainement couché avec tous les hommes et femmes de la ville.
Rias était l’opposer d’Akeno, son caractère exhibitionniste avec une touche d’innocence rendait fou les hommes et femmes par sa simple présence. Sa gentillesse et son sourire rendait les hommes et femmes incapable de parler en les transformant en des épaves rougissante et bégayante. Contrairement à Akeno que les hommes et femmes partageraient entre eux, Rias serait la femme que tout le monde enlèverait pour la garder pour son utilisation et la garderait cacher dans leurs chambre. Les deux grande dames de Kuoh avait une beauté surnaturelle, éclipsant la grande majorité des femmes que Naruko avait vu dans sa vie, et elle était déterminer à en faire des garages à bites pour son frère adoré.
Entre deux ronronnements Naruko décida de lancer les hostilités. « Onee-sama, ne vous arrêter pas s’il vous plait, vous avez des doigts magique. » Koneko hocha la tête en accord, trop heureuse de sentir les doigts talentueux d’Akeno.
« Ara, évidemment, je ne donne que le meilleur à mes animaux de compagnie. Pas comme une certaine rousse incapable. » A cela, le sourire autrefois brillant de Rias se crispa et une veine devint visible sur son front. Akeno faisait référence à un événement se déroulant il y a quelques années. Rias avait vu Akeno caresser elle et Koneko sous leur forme animal et était devenue jalouse de leurs proximité. Elle avait essayé de les caresser, encore aujourd’hui Naruko ne savait pas où Rias avait appris à caresser comme ça. La conclusion ? Elle et Koneko coinçait dans un arbre sous leur forme de renarde et de chaton tandis que Rias avait le haut déchirer révélant ses seins rayé avec sa figure. Rias avait failli faire une dépression tellement elle était triste, Naruko avait eu pitié de son maitre et s’était laisser torturer par ses ‘caresses’ pendant quelques heures pour redonner le sourire à Rias. Lorsqu’Akeno avait appris cela elle avait ris durant plusieurs jours, et chaque fois qu’elle voyait le visage rayé de Rias cela l’envoyer dans une crise de fou rire qui entrainait invariablement un combat avec des dommages terrifiant même les diables de classe ultime. Et c’est suite à cette mésaventure que Rias avait eu envie d’apprendre les sorts de guérison.
« Je suis d’accord on ne peut pas négliger nos deux mascotte mignonne, d’ailleurs j’ai apporté du chocolats suisse pour elle je suis sûr qu’elle souhaiterait venir le chercher. » Koneko et Naruko tournèrent lentement la tête vers leurs maitre, Rias avait un sourire victorieux et tenait dans ses mains une dizaine de tablette au chocolat. Naruko sentit sa bouche saliver à la vue du chocolat de première qualité.
Akeno sentit son œil tiquer en voyant ses animaux de compagnie prête à décamper en direction de Rias.
Avant que les choses ne puissent dégénérer le chocolat dans les mains de Rias disparu.
« Rias-sama, Akeno-sama, je doute que Sona-sama ait envie de réparer la salle du club et effacer la mémoire des étudiants qui se poseraient des questions. » Un de ses familiers qui effectuait le rôle de secrétaire du club était apparu à côté de Rias.
Ruby Tôjô était une sorcière qu’elle avait trouvée dans la rue il y a environ cinq ans et depuis elle s’occuper d’elle. Les sorcières étaient des hybrides yokai-humain qui étaient rejeté par l’ensemble du monde, trop fable pour les créatures surnaturelles, et trop bizarre pour les humains. Lorsque que Naruko l’avait vue avec des haillons mendiant pour survivre elle avait décidé sur un coup de tête de s’en occuper, ce n’est que plus tard qu’elle s’était rendu compte qu’elle était une sorcière, après moult événements Ruby lui était devenue totalement fidèle.
Ruby était une fille magnifique qui avait le même âge que Rias et Akeno et faisait environ la même taille, son visage était espiègle, deux yeux roses clair regardaient tout le monde amuser, mais il y avait une certaine netteté en eux. Des années à essayer de gérer la folie qu’était le club occulte avait aiguisé ses instincts. Des lèvres fines peint de rouge surmonter d’un nez mignon complétait un superbe visage.
« Naruko-sama, j’aimerais que vous évitiez de manipuler Akeno-sama et Rias-sama pour votre divertissement. » Vous voyez, des instincts aussi aiguiser qu’une lame de rasoir ! Naruko gémit lorsqu’elle sentit les caresses s’arrêter avant que la main d’Akeno commença à serrer douloureusement son crane se rendant compte qu’elle avait été subtilement manipulée. Pour en revenir à Ruby, Son visage était encadré par des cheveux noirs avec deux pattes tombant sur ses épaules tandis que des queues de cheval jumelle haute se trouvait de chaque côté de sa tête tenue par des rubans blanc. Elle avait une poitrine merveilleuse, bien que pas aussi grande que les vaches dans la salle, Naruko s’excluait commodément de cette liste, ils étaient tout de même superbe pour son âge et d’une taille dépassant déjà la moyenne humaine en ayant un tour de poitrine de 89 centimètres
Sa tenue était spéciale, un corset rose clair assorti ses yeux avec des froufrous noires, des bandes noires sortant de son décolleté, se croisant en montant pour encercler son cou, des gants d’opéra rose clair remontant jusqu’au avant-bras et pour finir une jupe courte noire frôlant l’indécence. Si elle n’avait pas l’appui de Rias, le président du conseil l’aurait depuis longtemps renvoyé, à chaque brise l’ensemble des étudiants pouvait voir le string noir transparent de Ruby qui couvrait à peine sa vulve juteuse et son cul dodu. A bien y réfléchir ça ne frôler pas l’indécence… c’était indécent. Naruko savait qu’elle était à blâmer pour le penchant gothique et exhibitionniste de son amie. Sa tenue laissait peu de place à l’imagination, entre son décolleté plongeant couvrant à peine ses seins et la vue de sa chatte fournie aux étudiants était obscène. La seul chose qui l’empêchait d’être renvoyé était Rias qui jouissait des crises de nerf de son rivale qui était incapable de renvoyer un étudiant dont la tenue enfreignez toutes les règles de la morale humaine.
« Bon reprenons après cette brève ellipse… » A cela Naruko vue Rias lui envoyant un regard signifiant qu’elle ne l’avait pas oubliée. « …Comme tu le sais Naruko un ange déchu s’intéresse à Issei et nous observons ton frère depuis quelques temps vu qu’il a peut-être un engrenage sacré… » Une chose était sûr, ce pigeon allait finir à la broche pour oser s’intéresser à son frère. « … Alors nous allons observer comment évolue la situation, actuelle… merci Mizore. » Mizore Shirayuki et Kurumu Kurono était deux autres de ses familiers, ils étaient tous deux vêtue de l’uniforme de Kuoh et se déplacer dans la salle distribuant des cookies et du thé à chaque occupant dans la pièce, elles étaient légèrement plus petite que Ruby. Les deux était dans la classe d’Issei-nii, Issei-nii lui parler souvent des fantasmes qu’il éprouvait pour ses deux camarades de classes qu’elle retransmettait à ses serviteurs qui était très flatter que leurs futures maitre trouve leurs corps attractif.
Techniquement elles étaient plutôt ses esclaves qui furent source de friction lorsqu’elle les avait acquis il y a deux ans. Leurs acquisition fut… bizarre. Disons juste qu’elle s’était rendue dans une réunion pour des yokai, qu’elle avait arrêtée deux très puissante yokai en état d’ébriété de détruire le lieu de réunion dans leurs combat, ajouter une bonne dose d’alcool qu’elle avait elle aussi précédemment ingérer et vous aviez la recette pour un désastre à la proportion monumentale. Après le combat tout fut flou, le lendemain matin beaucoup moins, difficile d’oublier de se réveiller à côté de deux MILF nues avec des marques de rouges à lèvres parsemant son corps… même ses parties intimes. Et si la sensation de ses doigts collant et le gout dans sa bouche, elle n’avait pas seulement reçu, elle avait aussi participée. Tous les jours Naruko maudissait sa perte de mémoire, avoir un trio avec deux beautés pareilles ne se reproduira avant longtemps. Après qu’ils aient réussi à passer outre la gueule de bois elles avaient découvert d’étrange papier avec leur signature, selon les lois yokai elle était devenue la propriétaire des filles des femmes avec lesquels elle venait de coucher. Inutile de dire que l’hôtel fut détruit dans le combat qui suivit et avant que les choses puissent être mis au clair, et les menaces avaient fusées. Aujourd’hui voyant qu’elle traiter bien leurs filles, les MILF étaient devenue moins agressive, elles avaient même commencé à sortir ensemble au bar. Elle espérait de tout cœur qu’un nouveau trio ait lieu, la rivalité des deux femmes serait intéressante à exploiter durant le sexe.
Mizore était une jeune femme timide dû à sa race, c’était une yuki-onna, une femme de glace, des yokai plutôt puissant. Leurs espèce formait des villages dans les montagnes enneigé et était réputer pour enlever les voyageurs masculin. Cela pouvait s’expliquer par le fait qu’elles étaient fertile seulement jusqu’à vingt-un, Mizore lui avait souvent demandée quand Issei-nii apprendrait la vérité. Elle était impatiente de participer à a reconstruction de sa race. C’était une fille mignonne avec des yeux bleu glace et des cheveux violet ébouriffer descendant jusqu’aux épaules lui donnant un air exotique seulement égaler par sa rivale, ses lèvres était d’une couleur bleu naturelle et elle avait sa sucette habituelle dans la bouche. Ses seins étaient de bonne taille avec un tour de poitrine de 83 centimètres complétant son physiqe fin et élancer. Pour terminer elle avait des chaussettes montant jusqu’à mi-cuisse, rayé horizontalement de rose et violet.
Kurumu était une succube et bien que pas aussi voluptueuse qu’Akeno et Rias elle était un fière représentant de sa race. Les succubes se nourrissent d’amour et cherche ce qu’elle appelle leur élu, et pour cela leurs cops était l’incarnation du péché de la luxure. Et la personnalité abrasive et entreprenante de Kurumu qui chercher l’attention de son entourage représentait bien cela, même après être sûre qu’Issei-nii était son élu. Elle avait un visage en forme de cœur et des lèvres pleine, des yeux violet foncé avec des cheveux bleu clair surmontés d’un bandeau à froufrou violet. Ses mamelles étaient dans le top 3 des plus beaux oppai selon Issei-nii, parfaitement rond et plein, leurs formes visibles à travers le matériau de l’uniforme, faisant une taille plus qu’acceptable de 93 centimètres de tour de poitrine, ils étaient réellement impressionnants. La seule chose qu’elle avait ajoutée à l’uniforme était un nœud papillon rouge à son cou. Elle était souvent en conflit avec Mizore son rivale, mais les deux lui était fidèle, Naruko était leurs première amis et les aider à accomplir leurs rêves.
« Naruko-sama, vous devriez arrêter de vous amuser au dépens de ces pauvres cruches. Venait plutôt vous amuser avec votre fidèle serviteur. » Kurumu se penchait devant elle avec ses délicieux cookie en main, les deux pastèques lui servant de seins pendant de manière obscène vers le sol attirer par la gravité en raison de leurs poids. Au mot ‘cruche’, la tension dans la salle au Ruby avait réussi à dissiper remonta en flèche avec pour cible son esclave sexy qui brossa facilement de côté les intentions maléfique d’Akeno et Rias qui détestait être interrompue. Mizore essaya de cacher tant bien que mal un sourire dans sa manche tandis que Ruby était exaspérer. Naruko connaissait parfaitement ce que voulait dire Kurumu, après qu’Akeno se soit occupée d’elle et Koneko, c’était comme si elle avait été libérer de chaine invisible et ses familiers avaient été plus qu’heureux de découvrir le sexe avec elle et les magazines qu’elle avait volée à son frère. Ce n’était pas conseillé pour avoir une vie sexuelle normale, même pour les normes des succubes… ou toutes autres créatures surnaturelles, oui son frère avait des fantasmes très obscènes mis en scène de manière très cru dans sa collection de porno. Sans faire exprès, son frère les avaient inconsciemment conditionnées pour qu’elles répondent à ses fantasmes.
« Fufufu, il semble qu’une petite chauve-souris plate à du mordant. C’est toujours ceux qui essayent de mordre leurs supérieurs qui sont déçu à la fin. » Kurumu n’était certainement pas plate, mais face à Akeno toute femme ressemblaient aux plaines africaine. Pour prouver son point, la main d’Akeno dériva à sa mamelle droite tandis que l’autre alla à la poitrine naissante de Koneko les faisant gémir de plaisir à l’attaque de leurs seins. Akeno profiter de leurs corps sous l’œil furieux de Kurumu qui trembler de colère. Akeno ne s’arrêta pas en si bon chemin, elle attaqua les mamelons à travers le tissu, les pressant comme des boutons.
« Pfff. » Les oreilles délicates de Naruko entendit son dernier familier soupirer d’agacement, regardant dans le coin de la pièce, une jeune fille magnifique se dissimuler dans l’ombre. Moka Akashiya, une vampire, elle l’avait acquis il y a deux ans environ. Elle l’avait croisée alors qu’elle visitait un collège voisin, disons que Moka s’était sentit d’humeur joueuse et avait voulue jouée avec la ‘faible’ yokai qu’elle avait senti entrer dans son territoire, inutile de dire qu’une jeune vampire allant affronter un kyuubi no kitsune n’était pas un combat, plutôt un massacre unilatérale. Elle avait été cruellement battue, et Naruko l’avait trouvé incroyablement sexy, assez pour mettre un joint d’esclavage sur elle et la forçant à la rejoindre en tant que familier, elle trouvait que cela avait fait des merveilles pour l’égo de Moka. C’était la seule qui ne participait pas à leurs réunions sexuelles, elle était plutôt prude et arrogante, malgré cela Naruko l’aimait bien et était sûre que lorsqu’Issei-nii aurait étiré cul dodue elle serait bien plus agréable. Si un passage à tabac ne marchait pas, alors une bonne baise bien longue et hard devait arrivée à retirer le bâton qu’elle semblait avoir dans le cul, cela marchait dans les hentai d’Issei-nii. Bien que mettre une perche dans son cul pour lui retirer un bâton pouvait sembler bizarre.
Mais c’était tout de même une des plus belles femmes que Naruko ait jamais vu, égalant facilement Kaguya, Rias et Akeno. Elle avait un visage respirant l’aristocratie et l’arrogance renforçant sa beauté éthérée. Une peau blanche comme de la craie, des yeux rouge vermillon avec des cheveux argenté lisse tombant sur ses fesse rebondi et charnu, ses fesses était certainement les plus alléchante de la salle, même la jupe réglementaire avait du mal à entièrement cacher ses deux globes pale. Elle était élancer et particulièrement grande, plus que les gens présent dans la salle, ceci mettait en valeur son magnifique buste qui était exactement de la même taille que celui de Naruko, mais s’adapter parfaitement au reste de son corps.
Ses quatre familiers étaient appelé ‘les quatre princesses de Kuoh’, et si Issei-nii apprenait qu’elles étaient techniquement ses esclaves il tomberait certainement dans les pommes sous le choc.
Ignorant Moka, Naruko décida qu’au vu de la situation et qu’Akeno commençait à serrer son sein de manière plutôt douloureuse, il valait mieux fuir la colère d’Akeno. D’un mouvement rapide et fluide, elle se libéra de l’emprise d’Akeno avant de sauter sur le dos de Kurumu surprise mais heureuse. Se dirigeant vers le canapé en face, Kurumu s’assied alors que Naruko sauta de nouveau agilement dans les airs pour atterrir gracieusement sur les genoux de Kurumu.
Koneko avait revendiquée les deux jambes d’Akeno qui avait passée ses mains sous l’uniforme de Koneko pour jouer avec ses mamelons, Koneko semblait incroyablement heureuse, sa poitrine était stimulée tandis que Ruby avait mis dans ses mains le chocolat qu’elle avait commençait à ronger.
Naruko se saisit d’un des délicieux cookies de Kurumu et commença à le grignoter avec appétit connaissant les talents culinaire de son amie. Kurumu voulait s’amuser un peu en voyant les actions d’Akeno, elle amena délicatement sa main droite sous la jupe de Naruko et commença à faire des cercles sur les lèvres externe de sa chatte à son grand plaisir tandis que sa main gauche saisit le monticule gauche de Naruko et commença à le presser doucement avec son pouce taquinant le mamelon pointant à travers le tissus.
Et malgré ce qui se passer dans la salle, Rias, Ruby, Mizore et Kiba jetait juste un regard amuser aux actes sexuel se déroulant devant eux. Ils étaient habitués aux pitreries de leur famille dysfonctionnelle. Bien que Rias et Akeno aimerait que Kurumu soit moins provocatrice.
« Bon comme je le disais, une ange déchu est en train d’observer ton frère Naruko-chan et ce matin elle lui a demander s’il voulait qu’elle sorte avec lui… »
« QUUOOOIII !!! » Même à travers le plaisirs que lui fournissait Kurumu, Naruko entendit parfaitement ce que venait de dire Rias. Ce n’était pas qu’elle était déranger par le fait d’Issei-nii de commencer son harem, mais cette ange déchu était signe d’un mauvais présage à son avis.
« Ne t’inquiète pas Naruko, nous le surveillons. Pour l’instant nous ne pouvons rien faire. Cette ange déchu n’a rien fait qui nous permettrait d’intervenir, mais j’aimerais que tes familiers le surveille… » Elle n’avait même pas besoin de le dire, elle vue Ruby, Kurumu et Mizore lui envoyaient un regard qu’elles étaient déjà au travail, elle leurs en était très reconnaissante. « … et puis ce serait un bon moment pour convaincre Issei de devenir un diable, ce serait un très bon ajout à notre famille. Ce sera comme avoir un petit frère pervers, j‘ai hâte de faire sa connaissance. » Ce seras plus comme un homme viril qui t’écartera les jambes pour coller sa monstrueuse bite dans ta chatte innocente, Rias tu as besoin d’un homme dans ta vie, et pas ce soit disant fiancé qui était aussi pathétique qu’un ver de terre.
Naruko n’eut pas le temps de vocaliser ses pensées que Kurumu décida de passer au niveau suivant. Les doigts qui effleuraient sa vulve étaient devenus convenablement enduit de sa cyprine grâce aux doigts de fée qu’avait Kurumu, elle était très douée de ses mains. Kurumu, remontant lentement le long de sa fente avec l’ongle manucuré de son index lui procurant des frissons avant d’arriver au petit paquet de nerf gonflé, une fois arriver elle le saisit et commença à le faire rouler doucement, tortueusement entre son index et son pouce durant quelques secondes avant de revenir à effleurer le long de sa vulve. Son autre main fit exactement la même chose avec son téton.
« Kurumu, continue comme ça, oui, tu es une bonne fille. » Naruko devait se retenir d’hurler de plaisir, son roi n’aimant pas être interrompue elle aurait pu lui interdire de jouir en guise de punition.
Même si elle savait qu'elle avait un corps magnifique faisant l’envie de la plupart des femmes, Naruko était aussi très conscients qu'elle tenait à peine une bougie contre l'exotique, surnaturelle beauté que certaines de ses amies possédaient en abondance. A travers son expérience dans laquelle Ruby puisait, Naruko était devenu un vieil ami du pécher appelée l’envie, si elle est allée très loin pour cacher ce fait, on lui attribuer déjà la gourmandise et la luxure, cela lui suffisait. Elle révélait suffisamment de peau et avait un comportement que certains qualifier de salope, mais cela permettait d’attirer les femmes et les hommes à elle.
La succube aux cheveux bleu put voir que la femme qui était sa maitresse, mais qu’elle considérée comme sa meilleure amie, avait cruellement besoin d’être gratter, ressemblant fortement un chat qui demandait à son maitre de s’occuper de lui. Bien que son amante montre de nombreux signes de soumissions, Kurumu savait que si on n’était pas amie avec elle son comportement était extrêmement dominant avec une touche d’arrogance qui était justifié, peu de chose était aussi puissant qu’un kistune à neufs queues. Et étant la lady qu’elle était, Kurumu la gratta volontiers incapable de laisser les besoins de sa mairesse inassouvis. Naruko haletât dans un mélange de plaisir et de surprise que son amie, manifestement talentueux comme attendue d’une succube fière détenteur du titre des espèces incarnant littéralement la luxure dans l’histoire humaine toucha littéralement avec ces cinq doigts tous les point G de son sein gauche en enfonçant ses doigts dans la chair exquise de son monticule. Pour continuer à plaire à Naruko, elle posa ses lèvres dans le creux de son cou sur un endroit précis et lui donna un puissant suçon.
La jeune kitsune devenait humide, rapidement, comme la luxure incarnée a donné à son monticule ce qui était sans aucun doute un massage célèbre dans les enfers, une des choses dont le ciel avait cruellement besoin et lui avait donnée un suçon dans un endroit particulièrement sensible de son cou faisant ses orteils s’étirer dans le plaisir. Kurumu jouait avec son corps tel un musicien expérimenté avec son instrument favori.
Oh, merde ... Cela ne pouvait pas se produire. Avoir un orgasme dans la salle de réunion était à peine gênant, sa famille connaissant ses tendances exhibitionniste, tout le monde dans la salle l’avait vue elle ou Rias cul nu, et tout le monde était un diable, leurs morale était différente des humains. Non ce qui était gênant était le problème qui arrivait à la vitesse d’un avion à réaction. Elle était sur le point d’avoir un orgasme violent quand tout ce que son partenaire faisait été de pincer ses mamelons, effleurer ses lèvre suçant amoureusement son cou démontrant leur lien profond entre les deux filles. Comme Kurumu sentit son compagnon de jeu approcher son pic, Elle a mordu le cou et serrant son mamelons et son clitoris. Il a été fait avec juste assez de force pour provoquer une sensation exquise de douleur qui a fait devenir Naruko la première diablesse à visiter le ciel.
Ses sens détraquaient, Naruko s’effondra dans un désordre au-dessus de son amant, sa tête atterrissant dans la poitrine la plus moelleuse qui existe. Kurumu sourit en sentant le jus de Naruko coulait sur ses jambes tandis que son corps se prélassait sur le sien. Elle n’eut pas le temps de savourer le moment que le problème se présenta et interrompit une nouvelle fois Rias à son grand agacement.
La porte du club occulte, protégé par des sorts et des ceux qui normalement résisterait à des diables de classe ultime une heure entière, capable d’encaisser des bombe nucléaire comme celle d’Hiroshima… ne servit à rien. Elle sortit littéralement de ses gonds arrachant une partie du mur au passage sans aucun signe avant-coureur de sa destruction. Dans la poussière suivant la destruction, un diable venue tout droit des enfers apparut, s‘était l’une de ses bêtes sauvage et sans pitié, qui arrachait vos bras pour leurs simple distraction tordue et savourer votre chair pour leurs amusement malade. D’une telle laideur qu’il ferait fuir les lépreux et repousserait l… J’ai rien écrit.
La poussière retomber révéla une simple jeune fille… dans un costume de lapin fille sexy ? Après s’être frotté les yeux pour s’assurer qu’ils ne rêvaient pas, l’ensemble du club de recherche occulte fut accueilli à la vue de Sona Sitri dans un costume de lapin fille sexy. Sona était la présidente du conseil des étudiants, une fille appartenant à la maison Sitri des 72 piliers des enfers et la rivale de Rias. Des cheveux noires façonner dans une coupe au bol descendant jusqu’à sa mâchoire avec une barrette jaune sur le côté droit de sa tête, elle avait de magnifique yeux violet encadrer par des lunettes ovale, plus petite que Rias elle avait un visage respirant l’autorité mais qui n’en demeurait pas moins raffiné. Elle avait actuellement un bandeau sur sa tête sur lequel était attaché deux longues oreilles de lapin noire et elle avait un collier à froufrou noire autour de son cou. Son costume en cuir noire monter à peine jusqu’à sa poitrine laissant la majorité de sa peau et de son buste de bonne taille à nue. Ses monticules était de taille raisonnable mais le costume était tellement serrer autour de la poitrine qu’ils étaient à deux doigts de déborder. Le bas de son costume faisait un V provocateur laissant la peau laiteuse de ses cuisses nue et de ses fesses à la vue de tous. Et pour finir ses jambes était couverte par un mince filet de résille noire rattaché à des talons haut noire donnant à l’ensemble une vue très érotiser de la diablesse. Nulle doute que la vue qu’elle avait procuré aux étudiants en venant ici leurs avaient laissés des souvenirs suffisant pour se masturber pour l’ensemble de l’année.
Actuellement elle avait les joues rouges, de honte ou de colère, et tremblait d’une fureur à peine contenue.
« Mon dieu, quelle accoutrement Sona ! C’est pour une occasion spéciale dont je n’ai pas connaissance ? » Rias avait la main droite devant sa bouche pour couvrir son sourire qui menaçait de se transformer à tout moment en fou rire. Akeno avait précipitamment sorti ses mains de l’uniforme de Koneko craignant un ennemi. Mais à cette vue, elle n’avait plus la force de former des mots cohérent. Elle était pliée d’un rire silencieux faisant que ses pastèques se posèrent sur les épaules de Koneko faisant disparaitre sa tête dans une mer de chair. Naruko était sûr d’avoir vu un sourire amusé apparaitre sur les lèvres de Koneko avant qu’elle disparaisse engloutit par la poitrine d’Akeno. Kiba avait détourné la tête et essayait tant bien que mal de cacher le fait qu’il riait. Mizore avait disparue de la salle mais tout le monde pouvait entendre les échos de son rire. Ruby essayai d’avoir l’air digne mais le coin de ses lèvres tremblait vers le haut. Même Moka qui avait toujours l’air grognon souriait à cette vue. Ce n’était pas tous les jours qu’on voyait la célèbre présidente du conseil étudiant qui était très à cheval sur les règles, au point que même les professeurs la craignait dans un accoutrement si obscène.
« Ne joue pas avec moi Rias. Ton serviteur ne s’en tirera pas si facilement cette fois. Je suis là pour appliquer la punition divine sur cette engeance. » Le ton de Sona était froid comme l’Arctique, tremblait à peine montrant des prouesses exceptionnelle dans le contrôle de soi.
« Ara, Sona ne soit pas si dur. Prend une tasse de thé avec nous, d’ailleurs je ne vois pas le reste de ta nobiliaire, où sont-ils ? »
« IL N’OSE PAS QUITTER LA SALLE DU CONSEIL DES ETUDIANTS DANS L’ACCOUTREMENT DE SALOPE QUE LEUR A FORCER D’ENFILER CE VIL DEMON ! » Dans un spectacle rare, la colère de Sona explosa montrant bien que ses nerfs avaient été fortement rongés par les multiples blagues que Naruko leur avait fait éprouver. Que pouvait-elle dire ? En cette époque elle était particulièrement joyeuse et rieuse. Sona avait toujours était une cible bien trop tentante pour ses frasques. Et comme l’avait dit Rias seul deux personnes avaient suivi Sona, Genshirou Saji dans le costume de Kamen Rider et Momo Hanakai. Dommage, les costumes avaient été choisis avec soin pour mettre un maximum en valeur les tous physique de la nobiliaire de Sona, c’était une honte que les étudiants ne pouvaient pas profiter de son travail d’artiste.
« Comment peux-tu accuser ma douce et innocente Naru-chan, jamais elle n’oserait faire quelque chose comme ça. Et as-tu des preuves ? » Rias semblait prêt à perdre le contrôle de sa bouche, elle tremblait prête à éclater de rire en voyant son rival d’habitude si calme prête à commettre un meurtre.
« DES PREUVES ? DES PREUVES ? IL N’Y A QU’A VOIR SON SOURIRE MANIAQUE PROFITANT DE SON MEFAIT ! » En disant cela elle pointa son doigt dans sa direction et son regard atterrit pour la première fois sur elle. Ce fut… gênant.
Kurumu avait toujours sa main sous sa jupe et son autre main en train de presser son sein, et le suçon dans son cou était visible. La scène était plus qu’explicite sur ce qui s’était passait avant l’arrivée de Sona. Sona en voyant cela fut mortifié, tellement qu’elle inventa une toute nouvelle teinte de rouge. Le pantalon de Saji devint beaucoup trop serré au niveau de l’aine et Momo détourna la tête trop gêné, mais elle n’arriva pas à contrôler ses yeux qui n’arrêtaient de s’élancer sur le côté pour attraper un aperçu de la scène érotique.
« CO… CO… COMMENT PEUX-TU ACCEPTER UN TELLE COMPORTEMENT SANS VERGOGNE DE TES SERVITEURS RIAS ?! » Sona avait toujours était une prude, alors pour elle voir une telle scène était trop pour son esprit. Rias lui avait racontée qu’elle avait toujours était horriblement gênée lorsqu’elle l’embrasser lorsqu’elles étaient jeune. Selon elle c’était peut-être parce qu’elle était nue.
« Allons Sona-sama, on ne fait rien de mal, pas besoin d’être aussi en colère. » Kurumu n’aidait pas. Surtout lorsqu’elle retira ses doigts trempaient de son jus de sous sa jupe, ses doigts étaient visiblement collant avec des fils d’un liquide visqueux et incolore.
Sona ne put qu’ouvrir la bouche et la refermer comme un poisson, totalement abasourdi par le culot de cette succube. Encore plus lorsqu’elle porta ses doigts à sa bouche et commença méticuleusement lécher les jus avec sa langue en gémissant de manière obscène gênant leurs inviter. Saji qui n’avait jamais vu le vrai visage du club de recherche occulte put à peine croire à quel point l’une des princesses et des mascottes de Kuoh agissaient comme des salopes effrontées.
« Et puis Sona tu n’as pas honte de te ramener avec un telle accoutrement ? Où est passée ta décence ? » Ruby en profita pour lui envoyer une innocente pique, Sona lui avait fait tellement de fois la réflexion qu’elle n’avait pas pu s’en empêcher. Le regard noir qu’elle reçut la dissuada de continuer dans cette voie.
« Combien de temps ? » La question était tourner vers Rias mais tout le monde savait à qui elle était destinée. Rias jetat un regard vers Naruko lui demandant silencieusement.
« Une semaine à un mois, Narukone maitrise pas totalement ce sort. Et évidemment le conseil des étudiants ne voudrait pas manquer les cours. Même dans de telles tenues, cela nuirait à leurs réputations d’élèves modèles. » Naruko répondit fière d’elle. La magie était vraiment une source de divertissement infinie en ce qui concerne les farces.
Sona retourna son regard vers Naruko telle un juge regardant une femme sur le point d’être condamner et qui avait effectué les pires bassesses. Et sa voix retrouva son calme, mais avec un soupçon d’anticipation sadique en prévision de sa revanche pour les années de souffrance qu’elle a dû endurée. Le sourire qu’elle avait sur le visage était sérieusement flippant la faisant ressembler à une psychopathe avec un couteau ensanglanté à la main et le cadavre d’un renardeau à ses pieds, Naruko jurera aussi dans le futur que les yeux de Sona étaient devenus entièrement noir et avaient aspirés l’intégralité de la lumière dans la pièce.
« Un dernier mot ? »
« Plutôt une phrase… » Naruko grâce à sa vitesse surnaturelle sauta sur le rebord de la fenêtre en se penchant dehors telle un chat avec son cul en l’air.
Prenant une voix sensuelle et provocatrice que ne renieraient pas les plus grande actrices de films porno elle continua. « … Si tu veux fesser ce joli petit cul serrer et faire hurler Naruko ton nom Sona… » Sur ceux elle souleva sa jupe exhibant ses fesses trempe de son excitation qui avait coulé sur les cuisses de Kurumu avec les jambes légèrement écartées laissant une vue magnifique de sa vulve dodue et humide. « … il faudra l’attraper ! » Avec ses belles paroles, elle sauta.
« ATRAPPEZ-LA ! » Malheureusement le sort d’eau de Sona manqua complétement Naruko et vola par la fenêtre. Se tournant vers les deux membres de sa nobiliaire elle eut une désagréable surprise. Momo était congelé en état de choc tandis que Saji s’était évanoui avec du sang sortant de son masque et le pantalon humide au niveau de l’aine.
« On la prend en chasse, viens Momo. »
Rias haussa les épaules impuissante devant l’ouragan qui a ravagé son bureau et continua la réunion tandis que Ruby prenait des notes pour remettre le compte rendu de la réunion à sa maitresse.
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Naruko observa sa proie du haut d’un arbre derrière l’académie de Kuoh.Sa proie était un magnifique morceau de viande bien juteux. Grande et plantureuse, Momo Hanakai était une magnifique spécimen de femme, de long cheveux ondulé arrivant à sa merveilleuse poitrine et blanc comme la neige. Un visage plutôt stoïque mais respirant la douceur, de beaux yeux bleu-vert. Une peau aussi pale que ses cheveux, une poitrine rivalisant avec la sienne qui était mis en valeur par un une simple de bande de tissus en soie rouge qui était attaché dans son dos en un nœud papillon. Ses monticules étaient pressés contre sa poitrine ne les rendant que plus délectable, il était assez large pour couvrir ses mamelons et ses auréoles mais à peine plus laissant son décolleté et la houle de ses seins visible. Les seules autres vêtements qu’elle portait était une mini-jupe très courte, à la moindre brise tout ceux qui l’observerait de ce qu’il y avait en dessous. Déjà que ces fesses rebondi lui faisait de l’œil… ce qui la renait mignon était qu’elle avait un bras croisait sur sa poitrine tandis que l’autre tirait sa jupe vers le bas pour éviter la honte d’être exposer. Et pour finir des talons hauts rouge similaire à ceux de Sona lui donnant de la difficulté pour marcher, Naruko l’imaginait de manière perverse en train de tomber en avant le cul en l’air pour révéler ses trésors.
Se faufilant derrière, elle prit soudain ses seins dans chaque main et les soupesa la faisant sursauter.
« Naruko-sama arrêtez ça, aaaaahhhh. »
« Hum, tes mamelles sont toujours aussi lourde Momo-chan… » Naruko les pressa. « Et moelleuse avec juste ce qu’il faut d’élasticité, selon mon frère ce sont des oppai de rang S tu devrais être fière de toi. Et je t’ai dit de m’appeler Naru-chan ou foxy-chan ça fait longtemps qu’on est amie. » Pour être plus clair, c’était l’une de ses plus vieille amies avec Tomoe Meguri. Il y a cinq ans elle les avait vues être emmener de force dans une allée sombre par des types louches, inutile de dire que ses instincts héroïque avaient répondu à l’appel. Lorsqu’elle était entrée dans la ruelle les hommes avaient commencés à les déshabillaient et malgré leurs appels à l’aide personne ne venaient les aider malgré qu’elles étaient juste à côté d’une rue très fréquenter. Et elles avaient vues la lumière de la justice, une héroïne au bout de la ruelle terrifiant les violeurs dans une pose ultra cool donnant un discours sur l’amour et la justice très travailler. Hé ! Ne la regardait pas comme ça, Sailor Moon était un des meilleurs animés qu’elle ait jamais vu ! Les gens devraient être inspiré comme elle par cette animé ! Enfin bref, elle avait été tellement badass que les violeurs avaient pris la fuite… Bon d’accord ça ne s’était pas exactement passé comme ça… un petit peu quand même… Bon ok, les types étaient explosé de rire en voyant une gamine d’une dizaine d’année faisant même pas la moitié de leurs taille, habiller d’un cosplay de Sailor Moon qu’elle venait d’acheter et débitait un discours tellement positif et plein de cœur rose et moelleux qu’elle semblait prête à chiez un arc-en-ciel. Content ?
Enfin pour résumer ils s’étaient moquer de son idole et elle avait légèrement pété une durite… Oui mesdames et messieurs, une colère mineurs de Naruko pouvait vous valoir de terminer à l’hôpital avec vos amis, les membres d’une dizaine de personne formant un bretzel c’était possible. La légende veut qu’encore aujourd’hui les médecins cherchent à démêler leurs membres pour éviter de les amputer.
Au lieu d’être terrifié par son déchainement de violence et de fuir comme toute personne saine d’esprit aurait fait en voyant une gamine battant à mort un homme adulte avec le bras d’un autre homme qui heurtait violement les murs de la ruelle plutôt étroite en ayant son bras utilisant comme une massue et pour finir s’amusait à créer un casse-tête chinois grandeur nature avec les membres de ses malheureuses victimes qui rendrait fou Bouddha. Tomoe et Momo s’était approcher et l’avait abondamment remercié. Le reste appartenait à l’histoire, sans Irina autour Naruko s’était sentit solitaire et s’était très fortement attacher aux deux filles. Elle avait voulu les ajouter à sa nobiliaire quand elle serait devenue un diable de haut rang, inutile de dire que quand elle avait ressentie leurs changement en diable elle avait piquer une crise au proportion épique, lors de l’entrainement avec Koneko qui s’était dérouler le lendemain elle avait ‘accidentellement’ provoquer un séisme de magnitude 8 qui s’était fait ressentir dans tout l’Asie. Aujourd’hui encore elle était désolée pour les victimes de Fukushima.
Elle s’en voulait de ne pas leurs avoir révéler sa véritable nature, mais malgré cela elle était heureuse que ses amies ne lui en veulent pas et que ce soit Sona qui les recrute, elle avait confiance en Sona pour bien s’occuper d’eux. Et c’était maintenant les seules en dehors de la nobiliaire de Rias qui savait qu’elle était un kitsune à neufs queues.
Se mettant en face de Momo qu’elle poussa contre le mur du bâtiment scolaire elle enfonça sa tête dans la poitrine céleste de Momo tandis que ses mains agrippèrent les joues de son cul, secouant sa tête de toutes ses forces pour faire les merveilleux monticules tremblotés telle de la gelée. Prenant une grande respiration du parfum fraise qu’émettait naturellement son amie, elle se dit que malgré tous les oppai qui l’entourait c’était ceux-là qu’elle préférait.
« Non, Naru-chan arrête On va nous voir. » Momo était incroyablement gênée, elle savait que son amie était incroyablement perverse. Mais c’était la première fois qu’elle poussait le vice aussi loin, elle l’avait pelotée plusieurs fois mais Momo avait mis sur le compte d’avoir une bête lubrique comme Issei Hyoudou comme frère, et elle n’avouerait à personne qu’elle appréciait ça. C’était enfermer dans les tréfonds les plus sombre de son esprits, mais là si Naruko continuait elle était sur la bonne voie pour réaliser un de ses fantasmes les plus sales. Naruko était sa meilleure amie avec Tomoe et son modèle, forte, exubérante, n’ayant peur de rien, facétieuse et populaire. Bien qu’on puisse se passer de sa perversité qui n’avait d’égale que celle du trio pervers, elle s’était toujours demander comment les étudiants n’avaient pas découvert ça. Elle avait soupçonnée la magie jouant un rôle mais après observation c’était juste que les individus idéalisaient Naruko se la représentant comme un ange, oubliant minutieusement ce qui pouvait nuire à son image dans leurs esprits.
« Ca ne gêne pas Naruko. Pourquoi ça te gêne qu’on nous voit avoir des relations sexuelles crépues ? Que Naruko suce tes merveilleux oppai ou bouffe ta magnifique chatte ? Naruko est impatiente de commencer. » Momo rougit en entendant Naruko dire ça et failli gémir en sentant les vibrations qui provint de sa poitrine. Naruko n’était pas du tout romantique, normal quand on savait que c’était un yokai. Elle pensait plutôt à copuler le plus possible, et Momo était tombée amoureuse d’une fille comme ça.
« Je veux que tu nous rende nos vêtements… et ma culotte ! » Elle savait parfaitement que Naruko avait menti à Sona concernant le sort et elle était sûre que Naruko s’était appropriée sa culotte pour la faire sortir de la pièce du conseil des étudiants. Elle ne savait pas combien de temps Naruko comptait continuer cette mascarade mais récupérer sa culotte était une priorité.
« Pour les vêtements Naruko n’a pas envie… mais pour la culotte vous pouvez s’arranger. »
Ce qui devait arriver arriva, suite aux secousses délibérer que soumettait Naruko aux délicieuses mamelles de Momo, ses monticule s’échappèrent du ruban révélant aux yeux affamer de Naruko deux adorables mamelons entouré par des auréoles presque aussi pale que sa peau.
Momo essaya vainement de les cacher aux yeux de Naruko en mettant son bras en travers, mais son bras fin arriver à peine à cacher plus de sa peau que le ruban, le regard de désir qui traversa les yeux de la renarde envoya des étincelles dans son aine.
« Tout ce que veut Naruko, c’est une petite heure libre avec toi. » Momo pensa rapidement et voulait plus que tout que Naruko la voit au-delà d’une simple femelle qui agrandirait le harem de son frère, donc appartenir à Naruko durant une heure pouvait être la première étape où Naruko s’intéresserait à elle plus que comme une simple amie ou l’aventure d’une nuit.
Les yeux de Naruko dévorèrent ses seins nus comme ils se serrèrent et rebondir libre après avoir attrapé sa main. Elle devint rapidement mouillé, debout derrière l’école avec 2000 étudiants pouvant passer à n’importe quel moments et voir quelqu'un qui était sur le point de jouer avec ses seins. Au début, tout ce qu'elle faisait était peser eux, les tenant dans ses paumes incapable de prendre entièrement ses seins qui débordait. Ses mains avaient un geste assurées, et elle pouvait entendre sa respiration approfondir comme elle a commencé à bouger ses mains et ses doigts sur ses seins. Naruko devenait aussi exciter qu’elle. Ses mamelons obtenaient très dur de ses touches, et ils ont commencé à palpiter, la mendicité à être touché. Elle ne lui a pas demandé, en dépit de son besoin, parce qu‘elle voulait qu’elle choisisse ce qu'elle faisait avec ses seins.
Il était difficile de rester debout pendant qu'elle triturait ses seins, lentement Momo s’affaissât le long du mur jusqu’à ce que ses fesses touchèrent l’herbe fraiche avec Naruko en face d’elle sur ses genoux. Les brins d’herbe chatouillaient ses fesses et effleurèrent sa fente humide. D’un geste impulsif, à la surprise de Naruko, elle saisit les mains de son amis et les remit sur son buste, Naruko a vite repris ses caresses. Sa respiration commença à devenir erratique comme Naruko la caressait, et bientôt commença à presser. La vue des doigts fins et entretenue de Naruko disparaitre dans sa chair la rendait de plus en plus cornée «Ce sont vraiment d’excellent oppai, tu peux être fière Momo. » Elle lui a dit. Momo a juste gémis en réponse. Ses compressions ont commencé en douceur, mais bientôt elle devenait plus rugueuse, tester le rendement de mes seins. Mes halètements et gémissements causé la poitrine à se soulever, et la vue était en train de fortement l’exciter, vu comment ses yeux se creusèrent. Sa respiration était approfondit aussi, et elle commençait à haleter avec un besoin quasi animal de la revendiquer. Elle avait un regard glacé et heureux dans ses yeux quand elle a joué avec les seins. Elle a cessé de pétrissage les monticules et bientôt ses doigts ont commencés à jouer avec les mamelons. Elle frotta ses doigts sur les mamelons, les feuilletant de haut en bas, et même tirant doucement et les tordit. « Ohh, Dieu.» Dis Momo complétement cornée, ignorant facilement la douleur que lui procura de prononcer ce nom interdit grâce au traitement que son amie lui procuré. Son attention à ses mamelons alimenter le four qu’était son aine. Elle avait des mamelons très sensibles, et les taquineries de Naruko envoyaient des secousses constantes de ses seins à son sexe. Sa vision commençait à se brouiller quand tout à coup ses doigts ont quittés ses seins, ses yeux dévièrent le bas questionnant son amie.
Elle put voir la tête de Naruko s’approcher de ses seins, ses lèvres étaient sur ses seins, lassant de léger baiser sur les pentes de ses vallées jusqu'à ses mamelons. Ses baisers plumeux sur les pentes des monticules et même dans son décolleté étaient si doux, elle prenait le temps d’apprécier chaque centimètre de ses monticules. Elle a embrassée et léchée partout dans ses seins, dégustant la pellicule de sueur qui s’était formé sur sa peau avant d’attaquer son mamelon droit. C’était la première fois que quelqu’un sucer ses seins, et c’était la fille qu’elle aimait, elle sentait des papillons papillonnaient dans son cœur. Elle a passé probablement cinq minutes juste sucer son mamelon, avant qu'elle ne commence à lécher. Momo siffla comme elle a léché autour du mamelon, puis commença à feuilleter vers le haut et vers le bas avec sa langue. Momo sentit son esprit disparaitre perdue dans l’instant. Pendant tout ce temps, elle a été festoyé sur son sein droit, sa main jouait encore avec son autre. De la sueur apparut sur son front tandis que Naruko rendait un véritable hommage à ses mamelles. Ses mains ont continué à presser ses seins et ses mamelons en même temps comme elle a continué de sucer. Saisissant son sein gauche, elle l’a poussée dans le visage de la renarde blonde. « Ne pas oublier l'autre.» Murmura-t-elle. Comprenant, sa bouche changea de mamelons, laissant une épaisse couche de salive sur son mamelon droit et a commencé à prodiguer ses soins avec sa bouche, la langue et les dents sur son mamelon gauche, tandis que ses mains ont maintenue fermement son monticule droit en place.
Momo se sentit déçu lorsque son amante se leva abandonnant ses seins sensibles et l’aida à se relever.
« Reste comme ça Momo-chan, et laisse Naruko s’occuper de tout. » Momo s’appuya contre le mur se demandant ce que préparait son amie. Ses yeux s’écarquillèrent lorsque la main de Naruko alla se poser sur sa vulve en dessous du morceau de tissu que certaines personnes appelé une jupe.
« Putain, tu es trempé. » Naruko sursauta de surprise alors que sa main arriva aux cuisses de son amie qui avait secrété un montant inimaginable de cyprine. La pauvre fille était en sueur et haleter plus qu’un coureur de marathon.
Elle grogna dans avec une voix incroyablement sexy comme sa main sentait l'intérieur des cuisses de la fille plantureuse, en se prélassant dans la sensation des muscles tendus et très certainement athlétique de la jeune fille avant de plonger à l'intérieur de la jupe qu’elle lui avait offerte. Naruko sentit une brosse courte mais dense de chaumes près de la vulve de Momo ... Elle était trempée. La kitsune se lécha les lèvres à laisser son imagination de comment cela ressembler là-bas, épaisses cordes de mouille autoproduite piéger dans chaque brin de cheveux fins de l'aînée. Son cœur balançait toujours entre une chatte glabre ou touffue bien entretenue, les deux étaient agréables à railler.
Après avoir attendu si longtemps, Naruko saisit sa chatte avec sa main droite et placé son index sur la longueur de ses lèvres roses humides se trouvant au sud et a commencé à frotter frénétiquement le long de sa fente.
« Urghhh! Naaarrrruuuukkkkkoooooo! » Momo a soudainement crié comme elle a connu son premier orgasme donner par la fille qu’elle aimait, faisant tout son corps tremblé.
Naruko sourit d'une manière satisfaite et a commencé à tordre et pincer presque aussi fort qu'il le pouvait son mamelon gauche avec son autre main, la faisant hurler à nouveau dans le plaisir et dans la douleur. De temps en temps, elle a changé de sein, la tordant et la pinçant de plus en plus rudement.
Bientôt la main droite de Naruko, qui frottait frénétiquement la chatte de Momo, était trempée de ses sécrétions vaginales. Momo a été réduite à gémir et à grogner de façon incohérente, la bouche grande ouverte avec de la bave coulant sur son menton.
Essayant de se reprendre, Momo questionna Naruko sur leur relation. « Naruko… est-ce que… est-ce que… » Les mots lui manquait pour exprimer ses craintes. Mais c’était le moment idéal d’après elle pour savoir la vérité.
« Est-ce que quoi Momo ? » Naruko prêtait une oreille attentive à son amie sans ralentir pour autant son travail.
« Est-ce que Tomoe et moi sommes juste des autres putes pour ton frère ? » Momo demanda ça timidement, elle voulait quelque chose d’autre pour la relation entre trois, une relation sur le sexe la gênait un peu mais étant tombé amoureux d’une créature sexuel comme les kitsunes elle était bien obliger. Et Tomoe exprimait les mêmes sentiments qu’elle envers Naruko, déjà qu’une relation à trois voies était étrange, alors que Naruko fasse déjà partie du harem d’un homme qui était son frère et eux qui était des lesbiennes était légèrement dérangeant pour la moralité de la société humaine. Elles s’adaptaient encore difficilement aux mœurs étranges que le monde surnaturel possédait.
Pour seule réponse, elle sentit Naruko empoignait durement son sein droit la faisant descendre à son niveau violemment, sa petite taille était parfois un handicap. Momo glapit en sentant les ongles pointus de Naruko s’enfonçaient dans la chair tendre de son sein en tirant du sang.
Lorsque Momo fut mis à genoux elle vue le visage de Naruko a à peine cinq centimètre du sien… elle sentit tout le sang s’écouler de son visage. Les moustaches de Naruko étaient apparues et son visage n’était plus aussi lumineux et joyeux, au lieu de cela un véritable regard de colère apparut sur le visage de Naruko déformant son visage de telle manière qu’elle semblait une jeune fille totalement différente, plus une femme absolument sans pitié avec les insectes qui la dérangeait. Momo sentit tout son être gelait, elle était incapable de bouger ou de respirer en la présence d’un être proche de la puissance d’un Dieu… non, ayant une puissance supérieure aux dieux. Elle voyait ça dans ses yeux, avant ses yeux était chaleureux et avait la couleur d’un ciel d’été, maintenant ils étaient fendue et ressembler à un ciel orageux, elle pouvait voir des flashes dans ses yeux représentant les coups de tonnerre. Momo eu vraiment peur de son amie à ce moment-là, elle se rappela pourquoi elles avaient été attirées à elle, étaient tombées en amour avec elle. Sa férocité animale qu’elles avaient vue dans Naruko quand elle avait brutalement tabassée les voyous qui avaient essayés de profiter d’elle et de Tomoe. Cette mémoire était graver dans son esprit, une très jeune fille couverte de sang dans une ruelle sombre sifflotant joyeusement l’opening de Sailor Moon alors qu’elle briser un bras en cinq endroits différents faisant hurler à l’agonie un homme de deux fois sa taille et trois fois plus large qu’elle pour le nouer avec deux autre bras d’anciens yakuza qui pleurait comme des bébés et mendiaient de façon pitoyable pour qu’elle épargne leurs vies.
Et dans cette position, Momo ne craignait pas pour sa vie, elle avait juste peur de l’avoir déçu. En réponse à la rage de Naruko l’air commençait à s’alourdir et se charger d’électricité, le ciel autrefois ensoleillé commença à se couvrir et une brise se leva faisant chanter les brins d’herbe et les feuilles d’une chanson funèbre.
« Ecoute Momo. J’adore mon frère, je le vénère littéralement et métaphoriquement, je ferais tout pour qu’il ait un harem… » Momo sentit son cœur sombrer à ses mots. Elle sentit les griffes de Naruko sombraient profondément dans son sang lui tirant de la douleur. «… mais tu vois ce sein que je tiens ? Un jour il y sera tatoué propriété de Naruko Hyoudou, pas Issei Hyoudou, ni Sona Sitri. NARUKO HYOUDOU ! Mon frère devra avoir ma permission et la vôtre pour avoir accès à vos corps, mais jusque-là vous m‘appartenez, même Lucifer ou Dieu peuvent allez se faire foutre s’il demande. Si je vous vois avec un autre homme ou femme que moi sans ma permission je l’éventre sous vos yeux. Vous êtes mien, COMPRIS ! » Naruko avait toujours était possessive, ayant eu peu d’amis dans sa précédente vie lui faisait chérir ceci, ajouter une nouvelle enfance solitaire combinait avec ses instincts de kitsune donnait une jeune fille qui ne tolérait pas qu’on touche à ce qu’elle considérait comme son territoire, encore beaucoup moins des amies qu’elle chérissait comme Momo et Tomoe. La nobiliaire de Rias avec les parents d’Issei et Irina était sa famille, ses familiers aussi proche qu’elle était d’eux étaient encore ses propriétés pour son côté animal, Issei était son grand-frère adoré, son maitre, son alpha, l’homme qui fertilisera son ventre et sera le père de ses enfants. Mais elle considérait Momo et Tomoe comme ses compagnons, ses meilleurs amis, des parties d’elle et elle ne supporterait pas qu’on les lui vole. Même si elle avait un côté très soumis cela ne voulait pas dire qu’elle avait un certain besoin de liberté, et ces deux-là représentait sa liberté.
Momo sentit des larmes de bonheur apparaitre dans ses yeux, bien que certaine partie du discours lui faisait peur elle sentit son cœur bondir de joie. Elle appartenait à Naruko, certes elle servait Sona qu’elle considérait comme un chef, la rejoindre avait été pour elle et Tomoe une tentative de se rapprocher de ce pouvoir qu’avait semblé posséder Naruko. Elles avaient plus tard compris à qu’elle point loin d’elle elles étaient, le chemin pour mériter de se tenir à côté d’elle était loin encore. Mais cela avait permis de mieux connaitre Naruko et de se rapprocher d’elle, même si c’était d’un centimètre et qu’elles leurs restaient encore un océan à parcourir elles y arriveraient.
« Est-ce que je me suis fait COMPRENDRE ! » Naruko prononça ceci d’un ton guttural qui n’avait plus rien à voir avec sa voix douce et légère habituelle, Momo sentit son squelette résonner en réponse de la puissance de cette voix. Le visage de Naruko s’assombrit tandis que les veines de son visage brillèrent d’un rouge vif donnant l’impression qu’elle était traversée par des rivières de lave où Momo était sûr d’apercevoir les âmes des damnés se noyant dans ses rivière et lui demandant grâce. Ses oreilles de renarde apparurent dressées vers le haut dans une position hostile, ses lèvres s’ouvrirent laissant apparaitre des canines d’une netteté inhumaines dans laquelle elle pouvait voir le reflet de son visage, ses yeux étaient presque complétement noire donnant l’impression de contenir un ouragan avec des éclairs donnant à ces yeux une lueur électrique.
BOOOOMMMMM
Momo vu impuissant un éclair être expulser de l’œil droit de Naruko et frappait le mur juste à côté de sa tête laissant un cratère noirci de la taille de sa tête, à ce moment Momo failli perdre le contrôle de sa vessie comprenant que sa aurait pu être sa tête à la place du mur. En même temps un éclair venant du ciel frappa un arbre juste derrière Naruko le transformant instantanément en un brasier dont les flammes s’élevaient jusqu’au ciel et dont la chaleur fut suffisante pour que même à une vingtaine de mètre Momo eut l’impression de cuire sur place. Le ciel autrefois bleu était devenu complétement recouvert d’un immense voile noir bloquant la plus minuscule particule de lumière plongeant toute la ville dans une nuit ténébreuse seulement éclairé par des éclairs s’abattant comme une averse sur la ville. La pression de l’air était devenue suffisamment élevé pour que Momo ait l’impression que ses poumons furent compressé jusqu’à ce qu’il soit de la taille de raisin. Le pouvoir de Naruko était visible à l’œil nu avec des vrilles rouge s’échappant des pores de sa peau formant un linceul lui donnant une apparence encore plus démoniaque avec comme seul source de lumière l’arbre enflammé derrière elle. Les seules choses visible du visage de Naruko était ses yeux qui aspirer même les ténèbres, ses dents blanche brillant dans les ténèbres et ses veines luisant d’un rouge orangé épouvantable, cela peignait un tableau véritablement terrifiant.
Son pouvoir était tellement lourd que même à genoux Momo eut l’impression que si Naruko n’avait pas une poigne du fer sur son sein, elle serait écrasée par la pure présence que Naruko dégageait. Elle entendait des craquements horrible du mur derrière elle, pour calmer son amie Momo hocha rapidement la tête dans l’acceptation de la position dominante de Naruko.
Immédiatement l’humeur de Naruko fit un 180 degré, le soleil réapparut lentement dans le ciel tandis que les caractéristiques animal de Naruko disparurent et qu’elle lâcha son sein douloureux.
« Bon Naruko est content que vous vous comprenez. »
« Bien sur maitresse. » Momo n’était sûre qu’elle puisse se relever à près un épisode aussi intense.
« Allons, allons, je t’ai dit de l’appeler Naru-chan ou Foxy-chan. Vous êtes amies, n’est-ce pas ? » Le sourire qu’elle avait plaquée sur son visage avait un bord tranchant l’avertissant des répercussions d’une mauvaise réponse.
« Evidemment Naru-chan. »
Apportant ses ongles pointus comme des clous sur sa joue, Naruko ronronna à son oreille. « C’est une bonne fille, et les bonnes filles sont récompenser. » Un tourbillon de diverses nuances de rouge apparut dans l’air d’un simple mouvement de son poignet, coupant leur dimension en deux, de ce tourbillon sortit son stringe tant convoité.
L’attrapant en l’air, Naruko l’amena à son nez et prit une grande une grande bouffée de de l’odeur de son string usée. Son string était d’un rouge vif et se composait de trois lanières qui était reliées à un petit papillon censé couvrir son pubis, le papillon était si petit qu’il devait à peine couvrir le pubis de Momo quand elle l’enfilait. C’était un cadeau de Naruko lors d’une excursion au centre commercial et Momo la chérissait, mais ne la mettait que rarement au vu des jupes courte de l’uniforme de l’académie, elle avait encore une certaine décence et Naruko trouvait qu’elle était trop prude.
« Ton parfum est divin comme d’habitude… » Naruko ne pouvait s’empêcher de se frotter le visage contre le morceau de tissu porter par Momo. « … Naruko était très touchée tu sais que tu portes son cadeau, ça fait quoi ? Trois ans qu'elle te l'a offerte ? Et elle croit qu'elle avait offert le même à Tomoe. »
« Tout à fait Naru-chan. »
« Faudra que vous ressortez ensemble bientôt, Naruko a vu les derniers morceaux de vêtements que tu as achetée. Ils ne sont pas assez révélateurs et ne conviennent pas à une fille de ta beauté. » Naruko avait enfin de l’argent et s’était trouver un grand plaisir à visiter les magasins et trouver des vêtements le plus obscène possible, dans ses trente ans d’existence elle n’avait jamais eu de l’argent ni eu le temps de se détendre comme ça. Inutile de dire que lorsque Rias lui avait versé une pension plus que généreuse pour être son serviteur elle avait voulue tester et avait kidnappé ses amies pour une virée. Pour elle avoir de l’argent était un luxe qu’elle n’avait jamais eu et était donc très dépensière.
Momo rougit à cela, elle était trop gêner d’acheter des vêtements comme ça en publique ou de les porter. Mais quand elle voyait Naruko la dévorée des yeux lorsqu’elle portait ses vêtements, cela justifiait leurs achats, Sona n’était aussi pas généreuse monétairement que Rias, elle disait qu’elle ne voulait pas qu’elle soit dépendante d’elle. Et elle était tout à fait d’accord. Momo failli s’étrangler de surprise lorsqu’elle regarda en face Naruko, sa main tenant son string avait migrée de son visage jusqu’à sous sa jupe, et vu sa respiration rapide et le mouvement de ses mains sous sa jupe duquel pendait une ficelle rouge, Momo avait une bonne idée d’où était sa culotte et à quoi elle servait.
« HALTE LA, JE T’AI ENFIN RETROUVE PREPARE TOI ! » Les deux tournèrent leurs regards en même temps vers le coin du bâtiment. Sona était là, sifflant comme un taureau prêt à charger.
« Oups, désolé Momo Naruko doit y aller. » Naruko lui lança son string trempe de la cyprine et disparu dans un éclat de vitesse.
« MERDE ! ELLE S’EST ENCORE ENFUIE ! » Se calmant, Sona observa son serviteur, le ruban qui lui avait servi de soutien-gorge était par terre avec son string. Elle était trempe de sueur faisant luire sa peau, du sang coulait de cinq piqures au niveau de son sein droit. Mais ce qui était le plus révélateur des activités ayant eu lieu était les jambes de Momo, il y avait littéralement une rivière d’un liquide incolore coulant tout le long de ses deux jambes. Sona pria vainement Lilith que ce soit de l’urine et non ce qu’elle pensait.
« Tu vas bien Momo ? »
« Heuuu… Ou, Oui kaichou. Il ne s’est rien passé du tout. Vous n’avez pas besoin de vous inquiéter… » Momo déblatérer à une vitesse mettant Eminem à la honte. Sona soupira en comprenant que ses craintes étaient fondées.
« Momo, Momo… MOMO ! » Voyant que Momo semblait calme maintenant, Sona continua. « C’est bon calme-toi, je ne vais pas te punir. Je sais que Tomoe et toi êtes assez proches avec… elle. » Le mot ‘elle’ semblait presque siffler entre ses dents faisant une imitation parfaite d’un cobra royal prêt à attaquer. « Par contre j’aimerais que vous gardiez vos… activités en dehors du campus. » Momo était mortifié au-delà de toute croyance. Elle respectait énormément Sona et se faire prendre dans cet état était mortifiant. Elle essaya de se répandre en excuse pour essayer de se faire pardonner en baissant le dos jusqu’à ce qu’il soit parallèle au sol.
Sona ignora tranquillement les excuses de son fou, elle ne lui en voulait pas. Elle éteint plutôt l’arbre toujours en flamme avec un sort d’eau laissant juste un tronc calciné maigrichon de l’arbre autrefois fière qui s’élevait à une dizaine de mètre et était aussi large qu’un homme couché. Jetant un regard sur le trou carbonisé au mur de l’académie elle grimaça. Elle allait avoir besoin de faire appel à des spécialistes, d’immense fissure parcourait par dizaine l’ensemble de la devanture de l'arrière du bâtiment.
Sona ayant sentit la puissance émise quelque temps auparavant qui était absolument immense et l’avait stoppée nette dans sa recherche était venue rejoindre sa source. Elle ne savait pas comment la famille de Rias et leur entourage pouvaient gober la connerie que Naruko était une faible humain fragile que Rias avait ressuscitée sur un coup de tête. Elle savait que cette fille n’était pas normale, la façon dont elle s’adapter facilement à son nouvel environnement et d’autres indices titillaient sa curiosité. Mais elle ne préférait pas creuser pour le moment. Rias était une amie qui lui était très chère, et si elle ne connaissait pas son arme secrète contre Riser elle ne la mettrait pas en danger. Si la famille de Rias et de Riser apprenait qu’elle avait un atout comme elle… alors Rias ne pourrait jamais pousser Riser à un jeu d’évaluation. Un pouvoir comme ça n’était pas normal, en pensant à Momo elle était sûre qu’elle connaissait quelque chose sur Naruko.
N’entendant plus Momo s’excusait elle se retourna pour la regarder, elles avaient encore une farceuse à attraper et punir… CE N’EST PAS VRAI, SA PERVESITE ETAIT CONTAGIEUSE ! Momo ressemblait à un cerf pris en plein phare, Son nez état enterré dans son propre string humide et semblait en respirer les émanations.
Rougissante, Momo ouvrit la bouche pour dire quelque chose puis la referma. Comment pouvait-elle justifier ça ? Elle reniflait les émanations de son propre string sale, qui venait d’être utilisé comme outils masturbatoire par Naruko. Elle ne savait pas ce que trouvait Naruko dans son odeur mais la sienne ressemblait à la vanille et rien que de respirait ceci lui donnait des frissons de plaisir.
Sona ferma les yeux, les rouvrit et vu avec satisfaction Momo cacher le string qu’elle venait de renifler dans son dos.
« Bon c’est mieux. On ne parlera jamais de ça. Compris ? » Momo hocha avec ferveur la tête.
« Approche toi, je vais te remettre le ruban. Et tu devrais soigner ces piqures. »
« D’accord…. Merci kaichou. »
« Et Momo. »
« Quoi kaichou ? »
« Je crois que Naruko ta laisser un dernier cadeau. »
Ne comprenant pas immédiatement, Momo baissa les yeux et sentit ses yeux s’écarquillèrent de surprise. Les prochains jours allaient être long… très longs. Naruko avait juste fait une modification mineure à sa jupe. Elle l’avait rendu transparente, on voyait nettement sa peau à travers le tissu rouge ainsi que son lieu le plus intime. Lorsqu’elle remettra son string les étudiants auront une belle vue du dessous de sa jupe et de son string qui couvrait à peine sa vulve ainsi que de son cul bien rempli dont la lanière du string passera entre les joue de ses fesses.
« Muhhhh, baka-Naruko ! »
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2 jours plus tard :Issei était dans la tourmente, apparemment Yuma était un ange déchu qui avait essayé de le tuer, et Rias Gremory l’avait apparemment réincarné en un diable et il devait la servir. Son cerveau avait du mal à suivre, il avait même du mal à apprécier la forme nue de son senpai. Il essayait de trier tout ça et de comprendre ce qui en découler.
« Je vois que tu as du mal à envelopper ton esprit autour de cette révélation, alors je vais laisser quelqu’un d’autres te l’expliquer en détail. » Rias se retourna, Issei compris vaguement ce qu’elle disait mais la seconde personne qui entra dans sa chambre et devait lui expliquer sa nouvel situation le laissa pantois.
« Naruko !? »
Personnage: Ruby Tôjô, Mizore Shirayuki, Moka Akashiya, Kurumu Kurono (Rosario + vampire)While AFF and its agents attempt to remove all illegal works from the site as quickly and thoroughly as possible, there is always the possibility that some submissions may be overlooked or dismissed in error. The AFF system includes a rigorous and complex abuse control system in order to prevent improper use of the AFF service, and we hope that its deployment indicates a good-faith effort to eliminate any illegal material on the site in a fair and unbiased manner. This abuse control system is run in accordance with the strict guidelines specified above.
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