Adult-FanFiction.org : Non English

Servitude	By : MarieLaTerrible Category: French > Games Views: 1234 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0
Disclaimer: Pokémon est la propriété de Nintendo et GameFreak. Je ne tire aucun avantage monétaire de ce texte.

Chapter List
- 1
- 2
- 3
- Tu vas me satisfaire, Maganon, que tu le veuilles ou non, gronde Dracaufeu.

Elle saisit son amant à bras le corps et le plaque au sol. Pendant qu'il reprend ses esprits, elle tire une grande caisse de dessous son lit. L'image d'un spinda est gravée sur le couvercle.

Maganon cligne des yeux. Petit à petit, les images redeviennent nettes.

- Drac ? Qu'est-ce que c'est ?

La dragonne lui sourit cruellement de toutes ses dents.

- Ça, mon canard, c'est un coffret Super Spécial Spinda. Tu vas voir, on va bien s'amuser avec, toi et moi…

Elle souffle un nuage de fumée noire dans le visage de Maganon, en prenant son air le plus terrible.

Maganon contemple avec un mélange d'excitement et d'appréhension le coffre en bois que tient Dracaufeu. Il sait que Spinda est réputé pour ses inventions – des échaporbes aux lunettes choix, en passant par les jouets – et que celles qu'il réserve à une clientèle strictement adulte sont les plus soignées.

Il lui est déjà arrivé de jouer à ce genre de choses avec Dracaufeu. Ce n'est pas ça qui le dérange. Tant que personne n'est au courant, il veut bien la laisser lui faire à peu près n'importe quoi, il se vengera plus tard. Non, ce qui le dérange, c'est qu'il sait très bien ce qu'on peut trouver dans le coffret Super Spécial Spinda. Certaines choses lui font froid dans le dos rien que d'y penser. D'autres lui font envie.

Bah, il n'aura qu'à réclamer de voir à l'avance ce qu'elle veut utiliser, et de lui interdire de manier certains accessoires. Elle respectera ses limites, il le sait. Il peut avoir confiance en elle.

- Pour commencer, annonce Dracaufeu en ouvrant la boîte, il serait temps que tu me satisfasse jusqu'au bout. Tu m'as bien chauffée mais maintenant il faut assumer. Debout !

Maganon s'exécute.

- Ne bouge pas !

Il reste immobile.

- Écarte un peu les jambes !

Il obéit.

Dracaufeu tire de la boîte une sorte de harnais et l'ajuste autour du bassin de son amant. Une zone au niveau du bas-ventre est prévue pour y accrocher des choses. Maganon a compris ce qu'elle veut lui faire faire.

Avec beaucoup de concentration, Dracaufeu choisit un des accessoires contenus dans le coffret Super Spécial Spinda. Une fois son choix arrêté, elle fixe l'accessoire au harnais de Maganon.

- Parfait parfait, roucoule-t-elle. Maintenant, je vais enfin avoir ce que je voulais.

Elle s'installe confortablement sur le carrelage de son antre, appuyée sur ses pattes avant, tournant le dos à son amant, la queue repliée sur le côté.

- Allez, au travail ! intime Dracaufeu.

Maganon s'agenouille obligeamment derrière elle et, usant de l'appendice artificiel qu'elle a fixé à ses hanches, se met en devoir de satisfaire son impérieuse amante.

La dragonne grogne de contentement. Regarder Maganon parader dans toute la splendeur de sa virilité l'a émoustillée au plus haut point. Constater qu'il était lui-même trop émotionné pour faire preuve d'endurance avait été une frustration terrible. Heureusement qu'il y a le coffret Super Spécial Spinda !

Avec une régularité d'horlogerie, Maganon balance ses hanches, jouant de son membre artificiel.

- Humpf, soupire Dracaufeu. Encore, Maganon !

Il prend appui sur les reins de son amante.

Elle est toute dégoulinante de désir. Les griffes crispées sur le carrelage, elle encaisse les mouvements puissants de son amant, songeant avec délice qu'elle devrait faire ça plus souvent, l'équiper d'un membre artificiel qui ne peut pas fléchir.

- Plus fort, Maganon ! Encourage-t-elle.

D'un mouvement ample et rapide, elle fait claquer le martinet derrière elle, sur les fesses du canard cracheur de feu.

- Allez, Maganon ! Tu peux faire mieux que ça !

Le canard s'agrippe à elle, heureux d'être appelé par son nom, heureux de pouvoir donner libre cours à sa sauvagerie sans risque d'être coupé en plein élan par un pic de plaisir incontrôlable. Il s'agite avec fureur, profitant de la position de faiblesse de Dracaufeu, étalée par terre et écrasée par son poids.

- Uh ! Ah ! Oh ! Ah ! Ah ! soupire Dracaufeu à chacun de ses mouvements. Maganon ! Encore ! Encore !

Le martinet claque sur ses fesses. Il s'agite jusqu'à s'en donner un point de côté, et malgré la douleur, ne s'arrête pas. Il va lui montrer, à cette dragonne insatiable, de quoi un mâle tel que lui est capable !

Il ne sent pas les spasmes dont sa féminité est agitée, mais il la sent frémir entre ses mains, se tendre, gronder. Il redouble d'efforts. Il sait qu'elle est particulièrement sensible après une décharge de plaisir ; il veut en profiter pour faire bonne impression – mais aussi pour la provoquer un peu.

Elle se débat, ses pieds glissent sur le sol, ses griffes laissent des égratignures sur le carrelage, ses ailes battent irrégulièrement. Maganon ne lâche pas prise, pas tant qu'elle n'a pas agité sa clochette, pas tant qu'elle n'a pas dit « grenouille ».

Le martinet claque dans les jambes du mâle ; il n'en a cure. Elle couine, hoquète, a les larmes aux yeux, crache une épaisse fumée noire, se tend à nouveau en hululant…

Elle éclate en sanglots. C'est la première fois que Maganon la voit pleurer. Paniqué, il la lâche, se dégage, se précipite vers sa tête, prend délicatement sa gueule entre ses mains. Elle sanglote à chaudes larmes en se serrant contre sa poitrine.

- Drac, je suis désolé, murmure Maganon. Je ne voulais pas te faire pleurer, pardon. Comme tu n'avais pas dit « grenouille »…

- Mais, articule Dracaufeu entre deux sanglots, mais, tu n'as rien fait de mal, Maganon ! C'était super ! C'était génial ! C'est juste que… que… je sais pas pourquoi… Snif…

Elle enfonce son visage dans les plumes de son amant.

***

- Quoiquigna ? bredouille Leuphorie en ouvrant la porte de l'infirmerie.

- C'est normal qu'une pokémone pleure après l'amour ? interroge Maganon tout d'une traite.

- Quoi, t'es si mauvais que ça ? grogne l'infirmière.

Devant la mine déconfite Maganon, elle s'empresse d'ajouter :

- Oui, des fois, ça arrive, c'est normal, c'est l'émotion. Ça peut surprendre mais c'est normal. Autre chose ?

Mais le cracheur de feu a déjà décampé.

- Barjo, grogne Leuphorie en fermant la porte.

***

- Leuphorie a dit que c'était normal ! annonce fièrement Maganon à Dracaufeu.

- Tu sais que j'aime pas être interrompue, gronde la dragonne.

Il baisse les yeux. Il sait. Mais il ne pouvait pas ne pas demander.

- Ta désobéissance mérite punition ! grogne la féroce pokémone.

- Désolé…

- Mets-toi à genoux et penche-toi en avant !

Il se prépare à recevoir une fessée monumentale et cuisante. Il est étonné de sentir une sorte de bec être inséré dans son sphincter.

- Quelques litres de lavement devraient te remettre les idées en place !

Il ne répond rien. Rien ne se passe.

- J'ai dit, répète Dracaufeu, que quelques litres de lavement allaient te remettre les idées en place.

Elle lui donne un petit coup de pied pour attirer son attention. Maganon tourne la tête. Silencieusement, elle l'interroge du regard ; il penche la tête de côté. Il ne sait pas trop. Il veut bien essayer mais il ne connaît pas ses limites en la matière.

- Verre par verre, pour que tu souffres bien ! gronde encore Dracaufeu.

Si elle y va doucement, lui laissant le temps de réagir en cas de problème, alors oui, il veut bien. Ça peut toujours être amusant. Et si ça ne l'est pas, il aura largement le temps de protester.

Le premier verre du lavement est coulé à l'intérieur de Maganon. C'est froid, mais sans plus.

- Ha ha ! Tu détestes ça, hein, mon canard ? grogne Dracaufeu à l'oreille de Maganon.

- Oh, râle-t-il en réponse et en feignant de protester, oh, non, je n'aime pas ça, arrête, je ferai tout ce que tu voudras, oh, non, non…

La dragonne plonge son regard dans celui du canard cracheur de feu ; ils ont du mal à contrôler leur fou-rire.

- Tu joues très mal, pouffe Dracaufeu.

- Moque-toi encore et je t'arrose, répond Maganon en fronçant les sourcils. En plus, je suis bien parti pour être transformé en pistolet à eau.

- Tu viens de me donner une idée ! se réjouit Dracaufeu.

- Je sens que je vais le regretter, soupire Maganon.

Elle lui noue le premier lien venu autour du bec.

- Je ne me souviens même plus pourquoi je t'avais enlevé ton bâillon, soupire-t-elle.

Un deuxième verre d'eau vient gonfler la panse de Maganon, puis un troisième, puis un quatrième. La tension commence à augmenter. Il a l'impression d'avoir une grosse crise de colique. Ça gargouille dans son ventre, ça tire. C'est bizarre. C'est pas franchement agréable, mais si ça peut faire plaisir à Dracaufeu, il peut aisément le supporter.

- Nya ha ha ha ! ricane la dragonne. Ton supplice va durer encore et encore et encore et encore ! On en est à deux litres ! Et ça continue !

Lentement, très lentement, elle verse un verre supplémentaire dans l'entonnoir. L'eau coule dans le tuyau, jusqu'au bec, et de là, se déverse dans Maganon.

- Augmentons un petit peu le niveau de difficulté, sifflote Dracaufeu.

Elle empoigne la virilité de son amant et la frotte vigoureusement. Maganon se crispe. C'est trop de sensations à gérer en même temps, la tension dans ses tripes, celle dans son membre…

- Interdiction d'arroser mes murs ! siffle la dragonne.

Il ne s'appartient plus. Dracaufeu a gagné. Il se contient de toutes ses forces, pour ne pas se vider par l'arrière, et perd ainsi le contrôle de sa partie avant. Un serpent d'argent jaillit et s'écrase sur le sol carrelé.

- Encore ! reproche Dracaufeu. Tu n'en as pas marre de salir partout chez moi ? Nettoie !

Elle lui jette au visage le tablier avec lequel il a essuyé ses précédents débordements. Tremblant, il s'en saisit et frotte le sol.

Il n'y arrive plus. Il ne se retiendra pas plus longtemps. Agitant la clochette autour de son cou, il fait comprendre à son amante qu'il a besoin de se vider.

Elle le tire par la main jusqu'à la salle de bain et pose un seau devant les toilettes.

- Dans le seau, ordonne-t-elle. Et sans forcer.

Elle guette sa réaction, l'éventuelle protestation qui signifiera que le jeu va trop loin. Maganon se contente de tirer les rideaux avant de s'accroupir comme la dragonne le lui a demandé.

Elle cligne des yeux, surprise. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il fasse ça pour elle. Doucement, l'eau coule, trouble, en plusieurs longs jets sans pression. Lorsqu'il est soulagé, Maganon a l'obligeance de vider le seau et de le nettoyer.

Doucement, Dracaufeu l'attire contre elle et le serre dans ses bras.

- T'es vraiment un sacré canard, souffle-t-elle à son oreille. Mais je peux pas te pardonner aussi facilement les taches sur mon sol. Il faut bien tout laver.

Il acquiesce, prépare le balai à franges et tout le nécessaire. Lorsqu'il commence à passer la serpillère, Dracaufeu l'interrompt.

- Mon joli petit canard, il te manque quelque chose !

Il tourne la tête ; Dracaufeu tient dans sa main un court bâton gros comme le doigt, terminé à un bout par une larme de la taille du poing et de l'autre, par un disque puis un long plumeau coloré fabriqué dans un matériau ignifugé.

- Mon canard, il lui manque sa jolie queue ! Il a plein de flammes qui lui sortent du derrière mais pas de vraie queue ! Allez, mon canard, tourne-toi et penche-toi en avant !

Maganon crache un nuage de fumée noire et fait un geste de la tête signifiant qu'il faudra y aller doucement. Dracaufeu claque des mâchoires.

- Allez, penche-toi bien, que je puisse correctement lubrifier ton petit derrière ! Sinon, ça risque de faire mal !

Il se penche, souffle un grand coup, prépare la clochette au cas où quelque chose irait mal. Le plug en forme de larme commence à se glisser dans ses chairs. Il fait de son mieux pour se détendre, et faciliter l'introduction, mais guette néanmoins le moment où les sensations inhabituelles se transformeront en douleur.

Ses chairs sont encore étirées. Le point de douleur est presque atteint, il prépare la clochette qui arrêtera Dracaufeu…

D'un seul coup, son sphincter se referme de l'autre côté de la larme, conservant bien serré au creux de lui la racine de sa nouvelle queue. Tout l'espace est occupé, mais ça ne lui cause pas de crampes comme avec le lavement.

- Alors, mon canard ? Tu aimes ta nouvelle queue ?

Il n'ose pas regarder ; il sait qu'il est ridicule. Mais il acquiesce de la tête, pour bien montrer à Dracaufeu que tout va bien.

- Allez, direction, ménage !

Elle lui donne une claque sur la fesse. Il se redresse ; il a l'impression d'être constipé et marche bizarrement, comme une oie.

- Et on file droit ! aboie Dracaufeu.

Il fait de son mieux pour oublier l'objet volumineux à l'intérieur de lui, reprend le balai et le seau. Il n'a pas fait deux mètres que l'objet se cale contre sa prostate. Il ouvre grand les yeux.

- On rêvasse ? grogne la dragonne.

Un coup de martinet dans les jambes le rappelle à l'ordre.

- Nettoie tes saletés ! Hop hop hop !

Il s'active du mieux qu'il peut, mais sa nouvelle queue frotte avec insistance à l'intérieur de sa cavité, appuyant de plus en plus sur le point sensible.

- Dis donc, tu m'as l'air bien joyeux ! C'est faire le ménage qui te réjouit ? Je devrais te mettre de corvée plus souvent !

Il sue à grosses gouttes. Il ne sait pas s'il doit regretter ou se réjouir de sa situation.

- Allez, allez, encourage Dracaufeu. Allez, secoue-toi un peu !

Elle empoigne le plumeau qui sort du derrière de son amant, et le manie d'avant en arrière, comme si Maganon était une serpillère et le plumeau, son manche. Elle ne force pas, pour ne pas l'extraire.

- Allez, on avance ! On recule ! On frotte ! On astique !

- Uh… uh… ouah !

Dracaufeu plisse les yeux en regardant Maganon se répandre une fois de plus sur le carrelage.

- Vraiment, toi alors ! Tu n'en rates pas une !

Il tombe à genoux, épuisé. Il ne tient plus debout.

- Je vais t'apprendre, tu vas voir !

Elle le pousse sur le lit le temps de nettoyer par terre et revient bien vite à ses côtés.

- Tu vas voir, vilain petit canard !

Elle ceint ses hanches du harnais et farfouille dans le coffret Spécial Super Spinda. Elle est certaine de trouver quelque chose qui convienne.

- Je vais commencer petit, d'accord, mon canard ?

Il jette un œil vitreux au membre artificiel qu'elle exhibe. Le diamètre est inférieur à celui de la larme qu'il porte actuellement, alors oui, il veut bien. Au point où il en est, de toute façon, il veut bien lui laisser faire tout ce qu'elle voudra, pourvu que ça ne fasse pas plus mal qu'un coup de martinet.

Dracaufeu fixe le membre artificiel au harnais, et pour ne pas être en reste, elle rajoute un deuxième, tourné vers l'intérieur et logé dans ses profondeurs féminines. Délicatement, elle retire le plumeau du derrière de Maganon. Profitant que le sphincter est encore ouvert, elle vide un tube de lubrifiant à l'intérieur.

- Fuu, fufufu ! fait Maganon en s'agitant.

Elle retire le bâillon.

- Quoi ?

- C'est froid ! répète le canard.

- Oh là là, petite fleur sensible…

- Fais doucement, murmure Maganon en serrant dans sa main la clochette qui sert à arrêter le jeu.

- Aussi doucement que toi avec moi tout à l'heure ! rétorque Dracaufeu.

D'un seul coup, elle plonge dans son amant.
- 1
- 2
- 3
You need to be logged in to leave a review for this story.You need to be logged in to leave a review for this story.
Report Story

Servitude