L’épice inconnue | By : BeautifulDraco Category: French > Anime Views: 10019 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Je ne suis pas l'auteur originel de One piece et ne fais aucun argent sur cette histoire. |
Titre : L’épice inconnue 2.
Genre : hard lemon. Vraiment. Alors si vous aimez pas…
Rating : +18
Contient : Zoro/Sanji, Luffy/Sanji, Usopp/Sanji, Robin/Nami (sous-entendue)
Disclam : One Piece ne m’appartient pas.
Résumer : les nouvelles habitudes sur le Vogue Merry suite à la torride nuit passée. Sanji est peut-être un peu OOC. Désolée.
PS :désolée pour la grammaire et les accords. Je suis nulle en français.
Bonne lecture !
ooOoo
Suite à la nuit qu’ils avaient passés ensemble, les habitudes sur le Merry avaient un peu changées. Bien sur, Sanji continuait de cuisiner et surtout de favoriser les filles, mais les choses étaient différentes. Peut-être était-ce à cause de la gêne de Nami, qui ne pouvait ignorer avoir entendu le blond crier pour se faire sodomiser. Peut-être était-ce du au sourire tendre que Robin envoyait à la rousse. Peut-être était-ce du à l’attention qu’avait Usopp, Luffy et même Zoro pour Sanji.
Effectivement, Sanji était certes le seul à cuisiner, des qu’il y avait des légumes à éplucher, de la vaisselle à laver ou tout autre tâche rébarbative, l’un des trois mousquetaires venait offrir ses services. Et le cuisinier ne refusait pas, bien content d’avoir de l’aide.
Et dans tous ça, Chopper se sentait un peu mit à l’écart. Lorsqu’il était allé voir les garçons, le lendemain matin, il n’avait rien trouvé d’anormal. Hormis que la chambre sentait très fort une odeur bizarre et que Sanji avait besoin d’antidouleur car il avait mal au dos. Au bas du dos, pour être exacte.
Pourtant, depuis cette fameuse nuit, et malgré leurs attentions, rien de vraiment significatif ne s’était passé. Usopp l’avait prit un soir alors qu’il avait but un verre de trop. L’étreinte avait été maladroite et violente, mais Sanji avait trouvé son plaisir.
Luffy s’était contenté de lui demander une fellation, un matin. Rien de plus. Le cuisinier avait obéis et une fois son plaisir rassasier, le brun s’était enfuis, laissant le blond en plan, l’entrejambe tendue. Ce matin là, Zoro lui vint en aide, le soulageant par quelques caresses bien placé. Mais ça avait été tout. Ensuite le bretteur s’était enfermé dans la salle de bain pour se détendre.
Et Sanji ne comprenait pas. Zoro n’avait-il pas prit son plaisir comme les deux autres ? N’avait-il pas aimé la vulgarité dont avait fait preuve le cuisinier pour lui plaire ? Sanji avait l’impression d’être moins que les toilettes car Zoro se refusait à lui. Et il n’aimait pas ça.
Même Usopp et Luffy tâchait d’ignorer leurs désirs. Craignaient-il son refus ? pensaient-ils l’avoir blessé ? Avaient-ils peur d’agir seul ? Car depuis leurs première nuit, menée de main de maitre pas Zoro, ils n’étaient pas venu le voir tout les trois en même temps, et aucune de leurs coucheries n’avait atteint l’intensité de leurs première fois.
Nami était entré timidement dans la cuisine. La jeune femme rougissante ferma la porte et s’approcha du blond qui ne pouvait s’empêcher de l’admirer.
Inquiet, Sanji alla s’asseoir en face d’elle et attendit qu’elle lui explique la raison de sa venue. Nami garda le silence un long moment, visiblement gênée, puis expliqua d’une petite voix, qu’entre elle et Robin, les choses n’allaient pas aussi bien que ce qu’elle voulait.
Sanji comprenait parfaitement. Il était dans la même situation. Même si s’était dure à admettre, Sanji voulait à nouveau avoir une bonne baise avec ses nakamas. Il voulait sentir la dominance de Zoro, la violence d’Usopp et la timidité de Luffy.
Réutiliser l’épice ? S’était une idée. La nuit avait été si fantastique grâce à elle. Oui, s’était une bonne idée. Il lui en restait bien assez pour faire un plat avec. Il lui suffirait de s’assurer que Chopper n’en mange pas. Il grimaça à l’idée de ce que ça pourrait faire au renne et reporta son attention sur la rousse :
Ce soir là, Sanji prépara entre autre une fricassé d’aubergine, légume détester par leur médecin mais auquel tout les autres goûtèrent, pour le plus grand plaisir du cuisinier. Pendant le repas, Nami nomma le renne pour le premier tour de garde, à la surprise de tous qui s’attendait plus à se que Sanji ou Zoro soit affecté à la vigie.
ooOoo
Sanji rouvrit les yeux en entendant un cri près de lui. Se redressant, il constata que la lumière était allumée et que Zoro et Luffy étaient déjà réveillé. Usopp, qui avait crié, était accroupis par terre, les mains sur son entrejambe. Effectivement, l’aubergine était le légume préférer du brun, il était donc celui qui avait avalé le plus d’épice.
Sanji lui-même sentait son sexe le tirailler, prit au piège dans son pantalon. Mais il n’eut pas le loisir de s’attarder dessus, Zoro s’approchait de lui, mécontent. Le blond se sentit hésiter. Peut-être ne le touchaient-ils plus parce qu’ils ne voulaient pas recommencer ?
Sanji acquiesça timidement. Zoro dégageait une telle aura, qu’il ne pouvait en cet instant que se soumettre à lui.
Zoro l’étudia quelque seconde, comme s’il apprenait quelque chose de nouveau, puis se détourna pour allez chercher la cravate noire qui reposait sur un coin du canapé.
Début du lemon^^
Etrangement, les deux autres attendaient d’être invités au jeu, malgré leurs excitations. Eux-mêmes étaient dominés par Zoro qui avait une nouvelle fois reprit les choses en main.
Sanji obéis et retira tout les vêtements qu’il portait. Gêner, il tenta de cacher son érection alors que le bretteur l’étudiait en jouant avec la cravate qu’il avait mit aujourd’hui. Puis Zoro lui ordonna de se retourner et il lui lia les mains dans le dos.
Enfin, le bretteur retira le bandana qui était enroulé autour de son bras. Sanji frémit, craignant un instant d’avoir à se battre. Mais Zoro ne le noua pas sur sa tête, mais autour des yeux du blond, l’empêchant de voir.
Un doigt s’était posé sur ses lèvres et il senti près de son oreille le souffle chaud de Zoro lorsque se dernier murmura :
Sanji frémit d’anticipation et de plaisir. Pendant qu’il avait parlé, une main s’était posée sur son sexe. Mais au lieu d’être caressé, un objet fut placé autour de sa verge. Sanji comprit qu’il s’agissait de l’élastique en question et qu’il avait été placé là pour l’empêcher de jouir.
La dominance de Zoro fit encore frémir le blond, qui lui obéi, se penchant en avant, dos cambré à l’extrême et bouche ouverte. Il fut conduit jusqu’au canapé, sur lequel il prit appuis, dans l’attente d’être prit.
A sa surprise, ce n’est pas pour le préparer qu’une main approcha de ses fesses mais bien pour le frapper. La fessée, douloureuse, le fit sursauter. Il voulu un instant se relever mais une main ferme le tenait en place alors qu’une autre s’abattait à nouveau.
La douleur s’accompagna d’un plaisir pervers. Sanji sentait à chaque coup son sexe se frottait au tissu du canapé sans qu’il puisse se soulager. Mais plus que ce touché, les mots de Zoro, cru et excitant au possible, le faisait vibrer.
Bien malgré lui, Sanji répondit :
Il ne se passa rien pendant quelque instant puis une main dans les cheveux le tira brusquement, l’éloignant du canapé. La main appuya sur sa tête pour qu’il se penche à nouveau et très vite, un sexe se présenta à lui. Sanji le prit en bouche pour le sucer, ne sachant pas de qui il s’agissait.
D’être ainsi privé de la vu rendait la chose plus excitante et le blond fut plus frustrer encore de ne pouvoir jouir. Dans son dos, après une préparation sommaire, quelqu’un l’avait pénétré, martelant rapidement la boule de nerf qu’était sa prostate.
Sanji senti contre sa joue un autre sexe. Abandonnant celui qu’il suçait déjà, il prit le second en bouche. Maladroitement, il alla de l’un à l’autre et fut récompensé de son acte par deux giclées de sperme, la première dans sa bouche, l’autre sur son visage.
Dans son dos, celui qui le sodomisait intensifia le rythme et Sanji crut devenir fou. Il voulait jouir, allait jouir mais l’élastique autour de son pénis le bloquait. S’était un terrible supplice qui le fit pleurnicher de douleur.
Sanji, se contre-fichant d’être humilié et rabaissé, obtempéra. Il n’eut pour autant pas gain de cause. Dans son dos, on éjacula puis se retira. Il se sentit vide un instant mais la seconde suivante, un autre le pénétrait. Et il en fut de même pour sa bouche.
Cette fois-ci, le rythme était plus intense. Les deux le pilonnaient sans retenue, s’enfonçant au plus profond du blond pour finir par y déverser leurs crèmes. A peine celui qu’il suçait était-il venu, qu’un jet de sperme lui éclaboussa le visage.
Laissé vide, Sanji senti encore une main se poser sur sa tête et il entendit la voix proche du bretteur lui demander ce qu’il voulait.
Une fois encore, il se fit sodomiser violement, alors qu’il lui était demandé de sucer une verge tendue. Docile et obéissant, Sanji l’avala sans rechigner et aspira du mieux qu’il put dans l’espoir qu’on lui enlève l’élastique pour le récompenser.
Lorsqu’ils l’eurent une nouvelle fois remplis, Zoro se pencha encore sur lui, une main sur la nuque du blond et lui reposa la même question. Sanji allait répondre la même chose lorsqu’il réalisa ce que lui voulait le bretteur. Alors il supplia :
Toujours obéissant, Sanji s’exécuta rapidement. La main sur sa nuque le força à s’allonger, face contre terre, le cul relevé. Il entendit remuer autour de lui et Sanji cru qu’ils allaient le laisser comme ça mais il fut rassuré en sentant une main se poser sur son sexe douloureux.
A peine l’élastique fut-il enlevé, qu’il éjacula. L’orgasme, plus puissant qu’aucun autre, le laissa à demi-conscient. Dans un premier temps, il ne remarqua pas que le bandeau sur ses yeux avait été retiré, ni que ses mains avait été délié.
Puis reprenant ses esprits, conscient de ce que pouvait lui faire Zoro s’il ne le faisait pas, Sanji se redressa et les remercia pour l’avoir laissé venir. Baissant les yeux, le blond constata qu’il n’avait pas éjaculé à même le sol, mais dans un plat qui ressemblait beaucoup à une gamelle pour chien.
Luffy et Usopp observaient l’échange, tranquillement installer sur le canapé, la main de l’un caressant le sexe de l’autre. Sanji voulais s’approcher pour les aider à se soulager mais Zoro lui barrait la route.
Le bretteur était lui aussi en pleine érection, mais il restait maitre de lui. Plus que la dernière fois. La dose avait pourtant été la même. Développait-il une résistance à l’épice ? Avant qu’il ne puisse réfléchir plus en avant, l’homme en question le flatta, une main sur sa tête, comme s’il n’était qu’un chien.
Sanji vouvoyait Zoro. Il ne le réalisa qu’à cet instant mais s’en contre-ficha. Zoro dégageait une telle aura qu’il ne pouvait faire autrement.
D’un geste, il désigna la gamelle remplis du sperme du blond. Sanji déglutit mais il avait promis d’obéir et il ne dérogeait jamais à ses promesses. Alors il se pencha et lapa le liquide amer. Il lui fallu quelque minute pour tout avaler. L’idée de boire sa propre semence envoya des décharges de plaisir dans son bas ventre et lorsqu’il se redressa, il était à nouveau tendu.
En réponse, instinctivement, Sanji aboya. Il su qu’il avait bien fait voyant le sourire de Zoro s’agrandir. D’un geste, le bretteur fit signe aux deux autres de s’approcher. Puis il ordonna à Sanji d’ouvrir la bouche.
Luffy et Usopp y firent entrer leurs deux pénis, déformant la bouche du blond qui ne put que caresser les deux glands de sa langue en massant chaque verge de ses mains. Il ne fallut pas longtemps de se traitement pour qu’ils éjaculent, remplissant la gorge du blond jusqu’à déborder.
Docile, Sanji se releva et se pencha en avant, cambrant toujours le dos, les mains appuyées contre la partie du mât qui traversait leurs chambres. Dans son dos, Zoro s’approcha et le pénétra. Il entama de rapide va et viens qui firent crié le blond :
Ils éjaculèrent vite, mais le bretteur ne se retira pas, continuant de marteler la prostate du blond qui n’en pouvait plus, submergé par le plaisir :
Sanji se libéra encore dans un cri aigue. Zoro lui-même s’était soulagé et le blond pouvait sentir le sperme qui commençait à déborder de son anus pour couler sur ses cuisses. Mais cela n’empêcha pas le bretteur de reprendre ses mouvements, bien décidé à remplir Sanji de sa semence.
A la troisième éjaculation, Zoro se retira enfin et de longue goutte de sperme s’échappèrent de l’anus écartelé de Sanji. Ce dernier, sur la commande de leur dominant, resta immobile un instant, permettant à ses compagnons de savourer la vu.
Mais Sanji était toujours dure, ce qui fit sourire Zoro. Le vert s’approcha et posa sa main sur le sexe tendu du blond. De quelque mouvement habile, il le conduisit à la limite de la jouissance puis resserra la main pour le retenir.
Sanji se tourna vers le brun en question qui, assit sur le canapé, laissait voir son sexe gorgé de sang. Obéissant, le blond marcha jusqu’à lui et le chevaucha pour enfoncer la verge de son nakama au plus profond de ses entrailles.
A peine le pénis fut-il en place qu’un autre sexe se présenta à son entré. Avec la même violence que la dernière fois, le sexe fut poussé en lui. Sanji grogna de douleur mais s’était un tel plaisir d’être ainsi remplis que très vite, il en demanda plus encore.
Intimant un mouvement de hanche, Sanji chercha du regard son troisième nakama. Zoro s’était installé non loin et regardait la scène en se caressant lentement. Se n’était pas du goût du blond qui voulait être remplis totalement.
En parlant, Zoro s’était rapproché, narguant le blond qui essayait d’attraper le pénis du bretteur. Zoro lui avait interdit l’utilisation de ses mains et Sanji se retrouva à tendre la bouche dans l’espoir de pouvoir avaler le sexe du vert. Mais il se dérobait à chaque fois. Et au bout d’un moment, Zoro éjacula sur le visage et la langue du blond qui n’avait put le sucer.
Usopp et Luffy, qui était parti dans des va et vient violent, entrant et sortant au même rythme, finirent eux aussi par tapisser les entrailles du cuisinier de leur crème. Ils se retirèrent et le blond se laissa tomber parterre, essoufflé.
Sanji s’exécuta et s’installa sur le ventre, les fesses relevées. Ils lui passèrent tous dessus, lui bourrant le cul de leur gros pénis à mainte reprise. Le blond, les yeux révulsés et la langue pendante, n’était plus capable de penser correctement. Tous ce qu’il voulait, s’était de se faire défoncer par ses nakamas. Ce qu’il obtint car ils le sodomisèrent encore et encore, le faisant crier de plaisir et déborder son cul.
Enfin, après il ne savait combien de passage, Zoro le redressa pour s’adonner à son plaisir personnel, l’éjaculation faciale. Les trois debout devant Sanji, leurs sexes à la hauteur de son visage, ils se masturbèrent intensément pour le noyer sur leurs jus. Le blond avala tout se qui arriva dans sa bouche puis se pencha pour nettoyer chaque pénis de sa langue. Se faisant, il obtint encore une dernière éjaculation de chacun.
Fin du lemon^^
Depuis cette seconde nuit, les choses changèrent considérablement sur le Merry. Leurs étreintes, à deux à trois ou à quatre se firent plus courantes. Non, ils ne se sautaient pas dessus à longueur de journée. Il y avait même des jours ou il ne se passait rien mais généralement, c’était l’inverse.
Zoro avait expliqué à Sanji que s’ils n’avaient rien fait au début, s’était parce qu’ils pensaient avoir blessé le blond. Il n’avait pas dit « violer » mais le mot était resté en suspension. Après tout, le blond était un bourreau des cœurs.
Mais Sanji les rassura, les informant de l’immense qu’il avait prit lors de la première et de la seconde nuit. Il leur assura qu’ils pouvaient recommencer quand ils voulaient. Il était, après tout, leur chienne.
Lorsque Chopper posait la question, on lui répondait généralement qu’il était mieux qu’il ne sache, qu’il était trop jeune ou qu’il devait garder son esprit innocent. Qu’à cela ne tienne, le renne s’était lui aussi rangé au nouveau rythme de l’équipe.
Ainsi, lorsque Nami et Robin descendaient dans la cale en se chuchotant il ne savait trop quoi, il s’avait qu’il devait rester sur le pont. Comme à chaque fois que Sanji fermait la porte de sa cuisine. Généralement, dans ses cas là, le blond n’était pas seul. Il y avait ou Zoro, ou Luffy, ou Usopp. Parfois même les trois. Dans ces cas là, Chopper gagnait la vigie et laissait les autres à leurs occupations d’adulte.
Et il avait bien raison, le renne, de laisser les autres à leurs occupations d’adulte. Car ce qui se passait dans la cuisine dans ses moments là n’était pas tout publique du tout. Et même si Chopper restait dans une ignorance innocente, il ne pouvait s’empêcher de réagir lorsqu’il entendait Sanji supplier ses nakamas de « l’enculer profondément ».
Finalement, tout était redevenu calme sur le Merry. Leur traversée de Grand Line pouvait se poursuivre.
Fin ?
Vous en voulez encore ?
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