Je taime mais ne leur dis pas | By : AdamPark Category: French > Manga Views: 13 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Tout appartient Yoichi Takahashi de Captain Tsubasa sauf l'histoire que j'ai crite pour le plaisir. Je ne possde aucunement le Fandom ne gagnant pas d'argent. Dmarre en 2010. |
NDA : ce long chapitre que j’ai lu à plusieurs reprises est difficile à être coupé mais déterminante pour la suite bien que je tente de bien centrer l’histoire sur le couple principal Tsubasa/Sanae avec leurs pensées afin conserver la fluidité de l’histoire principale. Si vous ne l’aimez pas, sautez ce chapitre.
Genzô arriva dans la chambre 240 avec Dan et Dana. Ces derniers se jetèrent dans les bras de leur mère qui les embrassa, heureuse. Tsubasa s’en alla le premier sans un regard à la fille qu’il aimait. Sanae voulut les laisser en famille quelques secondes plus tard mais le Super Great Goal Keeper la retint, lui demandant de garder les jumeaux pour qu’ils ne soient pas traumatisés lorsqu’il parlera à Sakura du problème de transfusion sanguine. Anego n’eut d’autres choix que d’accepter la requête.
Sakura : Emmène-les en promenade, Sanae. Ils ont besoin de marcher et de dépenser leur énergie.
Sanae : D’accord, Sakura.
Dan et Dana partirent donc avec Sanae, laissant leurs parents en tête à tête. La fleur de cerisier se tourna vers son compagnon de toujours.
Sakura : Qu’est ce qui ne va pas ?
Genzô : C’est à cause de la transfusion sanguine que ceux qui portent le même groupe sanguin que toi n’arrêtent pas se disputer à part Schneider.
Sakura : Et ?
Genzô : J’ai pensé qu’il faudrait être quatre pour cette transfusion afin qu’on ne soit pas épuisé.
Sakura : Il n’y a que quatre… Karl Heinz, Gino, Ryôma et toi mais qui d’autre pourrait ? Je ne connais pas le groupe sanguin de tout le monde. Et ne compte pas sur Kartz !!
Genzô : Hyuga, Nitta, Jito et Izawa. Certainement pas Kartz mais Levin a pensé que ce serait Hyuga parce qu’il a quasiment le même caractère que toi.
Sakura : Je vois…
Pendant ce temps, Tsubasa vit arriver Sanae avec les jumeaux Wakabayashi. Le génie du foot était dépité car il voulait vraiment passer du temps tout seul avec sa chérie. D’un autre côté, il ne pouvait pas refuser le service demandé par son ami car s’occuper des jumeaux donnait deux fois plus de boulot.
Sanae : Je suis désolée, Tsubasa…
Tsubasa : Tu n’es pour rien, Sanae. C’est dur pour Sakura de ne plus avoir de famille sur qui compter…
Sanae : C’est vrai.
Malheureusement pour les deux tourtereaux, ils allaient vite se rendre compte en arrivant au parc, qui se trouvait à proximité de l’hôpital, qu’ils passeraient la pire journée de leur vie : Dan et Dana Wakabayashi adoraient jouer à cache-cache. À peine arrivés dans le jardin, Dan et Dana se mirent à courir tandis que Tsubasa et Sanae se rendirent compte que les petits anges étaient en fait des diables.
Tsubasa : Ça commence bien, la…
Sanae : Mon dieu !!! Hé !!!!
Les deux tourtereaux se mirent à courir après les garnements. Tsubasa chassait Dan et Sanae en fit autant avec Dana. La course dura une heure ce qui les rendit tous fatigués. Les jumeaux Wakabayashi s’allongèrent sur la pelouse et s’endormirent de suite, leurs têtes sur les genoux de Tsubasa et de Sanae. Les amoureux s’assirent côte à côte.
Sanae : Ce sont vraiment des petits démons.
Tsubasa : Je sais.
Lorsque Tsubasa et Sanae rentrèrent avec les jumeaux Wakabayashi, ils étaient crevés car ils avaient encore joué à cache-cache. Karl Heinz et Hermann s’esclaffèrent de rire en voyant Sanae et Tsubasa lessivés. Peu de temps après, Genzô retrouva ses jumeaux, qui se jetèrent dans ses bras, et alla au salon. Il constata que Tsubasa et Sanae étaient allongés sur des fauteuils, avec un visage contrarié. Il pouffa de rire en remarquant la mine dépitée de son capitaine, ayant compris ce qu’il s’était passé.
Tsubasa, désappointé : Ne rigole pas, Wakabayashi !
Genzô : Je ne peux pas m’empêcher, Tsubasa ! C’est trop drôle de te voir frustré alors que tu viens de te faire avoir par mes enfants. (Il rigola encore avant de stopper.) Désolé de ne pas t’avoir prévenu que mes enfants sont de vrais diables quand ils jouent à cache-cache. Ils nous avaient fait voir de toutes les couleurs !!!! C’est aussi pour ça qu’ils nous échappent pendant un quart d’heure lorsque c’est l’heure de manger.
Sanae, en anglais : C’est pareil pour vous, Schneider ?
Karl Heinz, en anglais : En effet mais au moins je m’amuse beaucoup avec eux. Je suis après tout leur oncle préféré.
Hermann se plaignit, en anglais : Ce sont de vrais démons qui m’ont beaucoup fatigué.
Karl Heinz, en anglais : Arrête de te plaindre, Kartz !! Voilà pourquoi ils me préfèrent par rapport à toi.
Hermann se renfrogna, en anglais : Ouais, ouais, et moi je compte pour du beurre !!
Tout le monde rigola à la remarque mais seuls Karl Heinz et Genzô n’avaient pas oublié ce que le maître d’œuvre avait tenté de faire à Sakura.
OoO
Deux jours s’étaient écroulés rapidement et Sakura était sauvée grâce à la transfusion sanguine. Karl Heinz Schneider, Gino Fernandes, Ryôma Hino, Kojiro Hyuga et Genzô Wakabayashi étaient les seules personnes qui avaient pu transmettre le sang à la fleur de cerisier. En sortant de l’hôpital, Sakura n’acheta que neuf contraceptions d’urgence qu’elle ne prendrait qu’après chaque rapport sexuel une dernière fois, commençant par Brian Kleifort, Ryoma Hino, Gino Fernandes, Karl Heinz Schneider, Tarô Misaki, Hikaru Matsuyama, Kazuki Sorimachi, Kojiro Hyuga, Jun Misugi et de terminer par Stephan Levin. De retour à la résidence le matin, la fleur de cerisier confronta Yukari pour la première fois depuis l’accident. Cependant, tout le monde était présent cette fois-ci à soutenir Sakura.
Sanae : Je ne sais pas si Sakura accepterait les excuses de Yukari comme si rien n’était passé…
La sentence était tombée devant tout le monde : La fleur de cerisier refuse les excuses de sa tortionnaire. Yukari avait beau de lui demander grâce mais elle n’obtint que du mépris de sa part. Sakura ne pouvait pas accepter ses explications car elle avait parfaitement le droit de garder ses secrets et à ne pas étaler quand ça ne concernait personne.
Sakura : Cependant, fais ce que tu veux… Reste si tu en es encore capable en raison du gros travail en tant que manager mais ne compte pas sur moi pour t’aider. Je ne peux pas encore lui pardonner mais peut-être avec le temps, j’arriverai à trouver la rédemption.
Tsubasa : Je n’ai jamais vu quelqu’un aussi tenace que Sakura. Elle ne pourra jamais faire comme si rien n’était passé car cela l’avait marqué « au fer rouge ». Elle avait aussi failli de mourir. Je pense que le temps cicatrisera cette blessure et elle finira peut-être par la pardonner.
Alors que tout le monde allait à leurs occupations, Genzô passait du temps avec ses enfants tandis que Sakura rejoignit Brian qui allait rentrer en Hollande afin de reprendre son entraînement.
Sakura, en néerlandais : Tu pars ?
Brian, en néerlandais : Oui. J’aurai aimé rester un peu mais mon entraîneur me menace de me faire virer de l’équipe si je ne reviens pas séance tenante.
Sakura, en néerlandais : Je comprends… (Elle fit une moue adorable)
Brian, en néerlandais : Ne me fais pas cette moue, Sakura… Je ne peux… Oh et puis zut !! Fais-moi l’amour, Sakura !
Sakura, en néerlandais : C’est à toi de me faire l’amour, Brian.
Le Hollandais lui ôta le pantalon et la culotte puis il abaissa le sien. D’un coup puissant, il la pénétra et se mit à mouvoir en elle jusqu’à qu’il jouisse au plus profond d’elle. Un peu plus tard, Brian quitta le camp pour aller à l’aéroport tandis que Sakura alla rejoindre Ryoma. Ce dernier voulait céder à son désir une dernière fois avant de retourner d’urgence en Uruguay.
Ryoma, en espagnol : Sakura, je dois de rentrer en Uruguay séance tenante.
Sakura, boudeuse, en espagnol : Je sais mais t’es obligé de partir maintenant ?
Ryoma, en espagnol : Oui… À moins que tu veuilles passer quelques minutes avec moi, tu vois ce que je veux dire ?
Sakura regarda son entrejambe, en espagnol : Yup. J’ai envie de toi là maintenant. (Elle lui baissa son froc et se saisit de son pénis.)
Ryoma gémit, en espagnol : Sakura ! Ça fait trop longtemps que j’ai envie de toi et je veux mettre ma pine dans ton sexe.
Sakura, en espagnol : Tu perds du temps à parler. Tais-toi !
Sans attendre, l’uruguayen lui ôta prestement son pantalon et déchira sa culotte. Il la plaqua contre le mur et d’un coup de rein, il la pénétra sans ménagement dans son vagin. Alanguie contre lui, Sakura lui susurra d’aller plus vite. Ryoma accéléra le mouvement et la pénétra avec force jusqu’à qu’il se raidisse. Il éjacula de puissants jets jusqu’à la dernière goutte.
Ryoma, en espagnol : Merci Sakura. Ton vagin est délicieux.
Sakura, en espagnol : Je sais et sentir ton pénis en moi est ce que je désirais…
Après le départ de Ryoma, Sakura retrouva Gino dans sa chambre. Le gardien italien n’avait pas envie de tergiverser en paroles et se déshabilla complètement. Il dévêtit aussi son amante et sans passer par les préliminaires sexuels, il enfonça sa verge en elle. Allant crescendo, il la posséda de tout son être jusqu’à ce qu’il éjacule puissamment en elle.
Gino, en italien : C’est bon ?
Sakura, en italien : Yup. Te sentir en moi m’a toujours fait du bien.
Comme à son habitude, Salvatore était jaloux de Gino parce qu’il n’avait jamais pu coucher avec Sakura. Il n’avait jamais vraiment compris ses choix. Après que les italiens soient partis, Hermann, qui remarqua le pantalon de son ami tendu par le sexe turgescent, poussa du coude Karl Heinz pour qu’il rejoigne Sakura.
Karl Heinz, en allemand : Qu’est-ce que tu fais ?!
Hermann, en allemand : T’es un idiot ou quoi ? Nous allons bientôt partir alors va rejoindre Sakura. Passe un peu de temps avec elle, pervers.
Karl Heinz, piqué au vif, en allemand : COMMENT ÇA « PERVERS » ?!
Hermann eut un sourire affecté, en allemand : Tu croyais que je ne savais pas que tu avais couché avec elle ? (Il lui descendit soudainement son froc, donna une petite tape sur le gland de son ancien capitaine et tordit le sexe turgescent ce qui le fait gémir de douleur avant de le masturber en grande pompe.) Tu ferais mieux de t’occuper de ton pénis en érection.
Karl Heinz repoussa sa main, en allemand : Espèce de salaud !!! Ne t’avise jamais toucher mon sexe !! (Il remit son pantalon.) T’es un pédé ou quoi ?!
Hermann, en allemand : Ben quoi !! Tu n’aimes pas te toucher le pénis ?
Le Kaiser se vengea en lui baissant son pantalon et son caleçon. Karl Heinz tapa sèchement sur le gland et tordit la verge gonflée de désir ce qui fit gémir de douleur le maître d’œuvre. Le blond s’en alla, le laissant à moitié nu avec le sexe toujours en érection et jeta le pantalon dans le couloir aussi loin que possible.
Karl Heinz, en allemand : Débrouille-toi pour récupérer ton pantalon mais ne t’avise plus jamais me masturber, pédé !
Sur ce, le Kaiser rejoignit d’un pas furieux Sakura qui fronça les sourcils dès qu’elle le vit. Elle s’approcha du blond, le déculotta et se mit à caresser le sexe toujours en érection.
Karl Heinz soupira d’aise, en allemand : Ah… Que ça me fait du bien !! J’aime mieux ta main que celle de cet imbécile de Kartz !!
Sakura ironisa, en allemand : Oh ? Il a vraiment osé de te masturber ?!
Karl Heinz, en allemand : Yup ! Il a même osé de donner une tape sur mon gland !! Quel pédé ! Je ne suis pas un homo, moi ! Et comment a-t-il su qu’on avait déjà couché ensemble ?!
Sakura, en allemand : Tu sais qu’il est trop curieux. Il a dû nous voir batifoler dans le vestiaire. (Elle s’arrêta de le caresser, se dévêtit, s’allongea sur le lit et écarta ses jambes.) Viens dans mon vagin, Karl. Je veux sentir ton pénis.
Karl Heinz la pénétra brutalement, en allemand : Mais c’est un pervers et un voyeur ?! J’aurai mieux fait de le punir plus sévèrement que de le défroquer, de lui taper sur le gland, de lui tordre sa foutue verge et de balancer son pantalon dans le couloir. Mais je ne l’ai pas masturbé.
Sakura éclata de rire, en allemand : Tu lui as fait ça ?! Bah la prochaine fois choisis une autre méthode que de le recopier à part la masturbation.
Karl Heinz lui donna un coup de rein rudement, en allemand : Cesse de rire !!
Sakura rigola, en allemand : Karl Heinz, Tu n’es…
Le Kaiser lui coupa la parole en accélérant sauvagement son va et vient. Sakura s’agrippa à son cou et noua ses jambes autour de lui pour mieux sentir ses mouvements de bassin au plus profond d’elle. Jusque comme la jouissance le submergea, le Kaiser éjacula de puissants jets de sperme en elle mais il continua de plonger et de replonger sa verge.
Karl Heinz, en allemand : Quelle méthode veux-tu utiliser contre Kartz ? Tu sais très bien que je ne te laisserai pas coucher avec lui !
Sakura, en allemand : T’es fou ?! Je ne veux pas de son foutre ni de son pénis, moi !! Sais-tu qu’il m’a toujours gonflée depuis que tu es parti au Bayern de Munich ? Il a fallu que Gen intervienne sans arrêt parce Kartz avait réussi de me doigter le vagin mais il avait essayé de m’enfoncer sa pine !!
Karl Heinz marmonna, en allemand : Cet enfoiré !!
Sakura, en allemand : D’ailleurs, Kartz a déjà fait ce coup.
Karl Heinz, choqué, en allemand : Quoi ?! (Il allait s’arrêter de bouger.)
Sakura, en allemand : Ne t’arrête pas avant d’avoir éjaculé tout ton sperme !! (Le Kaiser accéléra le mouvement de son bassin.) Oui, il a fait ça à Gen. Kartz lui a baissé son froc par surprise, donné une tape sur le gland, tordu le sexe dressé et l’a masturbé crescendo. Gen a failli de jouir et de perdre sa virginité par sa faute mais il l’a rudement repoussé, l’a déculotté et donné un bon uppercut dans les parties génitales de Kartz en le traitant de pédé. (Karl Heinz éjacula puissamment son sperme en deux ou trois jets en elle.) Karl Heinz !!
Karl Heinz gémit, en allemand : Sakura !!! (Il répandit la dernière goutte de son sperme en elle.) Tu veux dire que Wakabayashi était encore vierge quand ça s’était passé ?! Comment se fait-il qu’il ait une érection ?
Sakura, en allemand : Gen pensait à moi quand Kartz avait vu le renflement du pantalon. Mais si tu veux vraiment punir ce voyeur, il y a une manière de la faire. Et on en reparlera lorsqu’on reviendra.
Sakura lui raconta ce que Hermann avait l’intention de faire avec ce qu’il avait dans son sac de sport. Un peu plus tard, Karl Heinz retrouva Genzô pour lui parler de sa jalousie envers Stephan Levin et de lui rappeler les râteaux qu’il avait pris.
Karl Heinz, en allemand : Tu devrais savoir, Wakabayashi, que Sakura savait pourquoi tu n’avais pas voulu de Levin près d’elle. Mais avais-tu oublié pourquoi elle t’avait rejeté trois fois avant de t’accepter ?
Genzô, en allemand : Elle ne m’avait jamais dit directement mais…
Karl Heinz le coupa, en allemand : C’est parce qu’elle savait que tu serais jaloux et ça lui prouve que tu tiens à elle. Cependant, un premier amour est sacré. D’après ce que je vois, je sais que Sakura n’avait jamais dit à Levin ses véritables sentiments. Tant qu’elle n’a pas clarifié cela, elle n’arrive pas à avancer dans sa vie.
Genzô, en allemand : Mais pourquoi elle…
Karl Heinz le coupa, en allemand : Je ne mets pas en doute les sentiments de Sakura envers toi parce qu’elle ne t’aurait jamais donné des enfants. Elle avait tellement hésité mais consciente de tous tes efforts de la faire tomber amoureuse de toi. Ta persévérance et ton acharnement de ne pas abandonner l’avait beaucoup touchée. Sakura t’aime, c’est certain.
Genzô, en allemand : Depuis quand tu sais ça ?
Karl Heinz, en allemand : Sakura avait encore des moments où elle pense à son premier amour. Je lui avais fait la remarque le jour où tu n’avais même pas réagi après qu’elle t’avait annoncé la grossesse.
Genzô réalisa à tel point il était vraiment idiot à cette époque car maintenant il était heureux avec elle. Il sut que Sakura voulait vraiment mettre au clair avec Stephan même si cela lui coûtait de la laisser auprès de Stephan. Sa seule consolation était le bonheur de la fleur de cerisier. Les allemands s’en allèrent à leur tour et il ne restait que les suédois qui avaient besoin de passer un peu de temps avec Sakura comme au bon vieux temps. Ils n’avaient pas encore été rappelés par leur coach car ce dernier savait que Stephan avait besoin de régler ses problèmes personnels depuis la mort de Karen qui impliquaient Sakura. Cette dernière fut rejointe par Tarô qui la prit dans ses bras.
Tarô : Tu vas bien, Sakura ? Kleifort, Hino, Fernandes et Schneider ne t’ont pas fait trop souffrir ?
Sakura ôta son pantalon : Non. J’avais envie d’eux.
Tarô sentit la main de son amie sur son sexe : Que fais-tu, Sakura ? (Elle lui baissa son caleçon.) Nous ne pouvons pas faire…
Lui coupant la parole, Sakura l’attira à elle et guida son sexe vers son vagin. Tarô poussa un gémissement de frustration d’un désir trop longtemps retenu et enfonça son pénis turgescent dans sa moiteur. Sans attendre, il accéléra son mouvement qu’il finit par éjaculer avec force en elle.
Tarô : Je ne peux pas continuer à tromper Wakabayashi…
Sakura : Tu sais très bien que Gen ferait n’importe quoi pour que je sois heureuse. Ça fait longtemps qu’il a accepté cette part de moi. Mais c’est lui qui ne se rend pas compte que je l’aime tellement.
Plus tard, l’artiste du terrain fit face à Genzô qui avait laissé ses enfants endormis dans sa chambre sous la surveillance de Yoshiko et de Yayoi..
Tarô : Tu as entendu, Wakabayashi ?
Genzô : Yeah. Et elle a raison. Je la veux heureuse.
Tarô : Au détriment du tien ?
Genzô : Misaki, j’y suis habitué. Sakura est comme ça à cause de l’éducation de ses parents. Et je l’aime comme ça.
Tarô eut un sourire affecté : Alors tu peux finalement cesser d’être jaloux ? Et puis sa confrontation avec Nishimoto l’a aidée à casser sa carapace en se confiant à Misugi qui ne l’avait pas abandonné. Le fait qu’ils aient couché plus d’une fois ensemble n’était qu’un bonus.
Genzô : Attends, comment sais-tu qu’ils ont couché ensemble plusieurs fois ?
Tarô rit : Ne me prends pas pour un pédé comme Kartz mais j’ai toujours observé tes réactions envers Sakura ce qui m’a permis de comprendre rapidement à la moindre occasion. Tu savais qu’elle faisait l’amour avec Jun car tu haussais les épaules à chaque fois.
Genzô : T’es pas un pédé comme lui, Misaki. Tu ne coucherais pas avec Sakura si tu en étais un. Mais ce qui me fait peur, c’est qu’elle n’a pas encore affronté celui qu’elle aimait avant moi.
Tarô le rassura : Sois patient, Wakabayashi. Et ne t’inquiète pas.
Pendant ce temps, Hikaru était dans un coin du jardin où il avait couché avec Sakura pour se remémorer de son expérience sexuelle sans savoir que c’était aussi l’endroit où elle avait fait l’amour avec Kazuki. Il était nu et se caressait le sexe sans se rendre compte que quelqu’un s’approchait de lui.
Voix se dévêtit : Fais-moi l’amour, Hikaru.
Hikaru, surpris : Sakura !! Ne me fais pas peur comme ça !!
Sakura : Désolée, Hikaru.
Le faucon des mers du nord la glissa sous lui et la pénétra d’un coup de reins puissant sans passer par les préliminaires sexuels. Il n’avait pas encore fait l’amour avec Yoshiko parce qu’il n’en avait pas eu le temps ces dernières semaines. Hikaru la fit jouir à plusieurs reprises de son sexe avant d’éjaculer à son tour de son foutre en plusieurs jets jusqu’à la dernière goutte. Lorsqu’il eut terminé, Hikaru l’embrassa sur le front puis se retira du corps de Sakura.
Hikaru se rhabilla : Merci pour tout, Sakura.
Le jeune homme laissa son amie seule dans le jardin et rejoignit les autres joueurs sur le terrain alors que c’était presque la fin de l’après-midi. Il ne se rendit pas compte qu’un autre joueur avait rejoint la fleur de cerisier. Elle entendit soudain du bruit : C’était Kazuki Sorimachi qui ôta ses vêtements. Le jeune homme étala son t-shirt et mit Sakura à quatre pattes.
Sakura : Kazuki…
Kazuki : Chut Sakura. Je sais que tu n’as fait que ça toute la journée mais j’ai envie de toi maintenant. (Il commença à la pénétrer dans le vagin.)
Sakura : Kazuki…
Kazuki enfonça complètement son sexe : Sakura... (Il donna un bon coup de reins puissant ce qui la fait gémir de plaisir.) Tu aimes d’être dans cette position ? (Il commença à accélérer le tempo que Sakura chercha le plaisir intense.) Sakura, tu es insatiable !!
Sakura : Pilonne-moi le vagin, Kazuki ! (Il alla crescendo.) Je veux ton foutre au fond de moi !!
Kazuki faisait claquer son bassin contre les fesses de son amante aussi fort qu’il pouvait qu’il finit par éjaculer son sperme en trois jets vigoureux jusqu’ à la dernière goutte. Il se retira du corps de Sakura et s’écroula épuisé.
Kazuki s’endormit : Merci Sakura.
Sakura posa le t-shirt sur son bassin : Ne reste pas trop longtemps tout nu ou tu vas attraper froid.
Kazuki : Mouis. Juste quelques minutes.
Sakura le menaça : Sinon je vais sucer ton pénis !
Kazuki sursauta : Sakura !! Suce mon sexe et torture-moi puisque tu en as envie mais laisse-moi faire une petite sieste !!
La fleur de cerisier ôta le t-shirt et prit le pénis de Kazuki dans sa bouche. Elle le titilla de sa langue aussi longtemps qu’elle pouvait, torturant inlassablement le pauvre jeune homme qui se tordait de plaisir. Ce dernier s’accrochait aux herbes pour s’empêcher de la saisir mais il sentit qu’il allait jouir. Kazuki la repoussa, l’allongea sous lui et la pénétra sans ménagement. Donnant que trois grands coups de reins, il éjacula son sperme puissamment en deux et longs jets qu’il s’écroula d’épuisement après s’être retiré du corps de son amante. Sakura s’en alla après s’être habillée, le laissant se reposer. Entre temps, Genzô retrouva Jun dans sa chambre.
Genzô : Misugi !
Jun : Qu’est-ce qu’il y a, Wakabayashi ?
Genzô : Peux-tu continuer à être le confident de Sakura ?
Jun : Autant qu’elle aura besoin de moi.
Genzô : J’ai un service à te demander. Et c’est le service de Schneider aussi.
Jun : Pas de problème. Tant que ça aide Sakura.
Genzô : Demande-lui de te raconter la mésaventure que j’ai eue et celle de Schneider avec Kartz. Je sais qu’elle te dira toute l’histoire y compris sa tentative de viol par Kartz.
Jun, outré : Kartz a tenté de la violer ?!
Genzô : Yup mais elle te t’expliquera ça en détails puisqu’elle ne garde plus aucun secret avec toi.
OoO
Sakura rentra à la résidence et elle alla se doucher. Les suédois, qui baladaient dans la ville, ne la virent pas de la journée parce qu’ils devaient discuter entre eux de tout et de rien. Kojiro, qui avait terminé son entrainement, se glissa dans la salle de bain et rejoignit rapidement la fleur de cerisier. Sans crier gare, le tigre la pénétra dans le vagin par derrière et accéléra sans attendre le tempo férocement. Sakura dut écarter ses cuisses et tendre ses jambes. Quelques secondes plus tard, Kojiro lui souleva une pour mieux s’enfoncer en elle aussi loin que possible sans arrêter cruellement ses mouvements de va et vient. La fleur de cerisier avait abominablement mal à cause de ses coups de reins brutaux comme un animal en rut mais elle sentit un plaisir intense jamais connu monter en elle qu’elle jouit avec abondance. Sentant son jus féminin sur son sexe, Kojiro éjacula tout son sperme en trois longs jets jusqu’à qu’il se vide complètement. Il se retira et passa sa main sur le vagin pour atténuer la douleur.
Kojiro : Désolé de t’avoir fait mal. Ton vagin est trop bon mais trop utilisé pour aujourd’hui.
Sakura : Ne t’inquiète pas pour moi. J’y suis habituée parce que mon père était très brutal. Tu devrais apprendre à être moins brutal quand tu fais l’amour car ta future petite amie ne pourra pas supporter pendant les premiers jours des rapports sexuels.
Quittant le tigre, la fleur de cerisier avala l’avant dernière contraception d’urgence et alla voir Jun, son amant de plusieurs jours dans sa chambre. Après avoir fermé la porte à clé, Sakura commença à se débarrasser de ses vêtements tandis que l’as de verre remarqua qu’elle ne portait pas de culotte.
Jun déglutit : Tu vas bien, Sakura ?
Sakura lui prit la main : Mm… J’ai besoin d’une longue consultation.
Jun fronça les sourcils : Tu n’es pourtant pas malade, Sakura… (Elle la posa sur son sexe qu’il eut un sourire affecté) Mais je vois ce que tu veux dire… (Il retira sa main ce qui la fit protester.) Ne sois pas si impatiente, Sakura. Nous allons prendre notre temps comme d’habitude et discuter de tout. Viens t’allonger sur le lit et écarte bien les jambes. Je vais inspecter ton vagin qui a accueilli huit pénis en une journée et voir s’il n’en a pas trop souffert.
Sakura se plaignit : Mais t’es encore tout habillé !!
Jun se déshabilla : Voilà t’es rassurée ? (Il la vit tendre la main vers son sexe qu’il se déroba et alla se mettre entre ses jambes.) Pas maintenant, Sakura.
Le jeune homme se pencha sur le sexe de son amante et l’inspecta puis il se mit à la lécher et la pénétrer de sa langue. Sakura se tordit de plaisir qu’elle agrippa les draps quand elle sentit les doigts de Jun remplacer la langue et de bouger en ciseaux.
Jun : Et si tu me racontais ce que tu avais failli de vivre avec Kartz ?
Sakura sursauta : Tu l’as su par Gen ?! Il ne devrait jamais…
Jun accéléra ses doigts en elle : Il n’a rien détaillé du tout. Il l’a simplement mentionné et il m’a appris qu’il avait eu une mésaventure lui aussi ainsi que Schneider. Mais Sakura, je n’ai aucun détail.
Sakura gémit : Il n’aurait jamais dû.
Jun : Sakura, c’est parce qu’il t’aime tellement qu’il me l’a informé. Sais-tu pourquoi il était venu me voir cet après-midi ?
Sakura protesta : Non.
Jun retira ses doigts et les passa sur son propre sexe pour l’enduire des jus féminins de Sakura. Cette dernière voulut se relever mais Jun l’en empêcha en lui écartant les jambes en les repliant sur son buste, il se pencha et souffla sur son sexe.
Jun : Parce qu’il t’aime telle que tu es et ce qu’il veut c’est que tu te vides de tout ce que tu as gardé pour toi. Et puis c’est aussi le service qu’a demandé Schneider avant de partir.
Le futur médecin s’allongea sur elle et la pénétra lentement en elle.
Jun : S’ils m’ont demandé ce service, c’est que ça les concerne et ils veulent que tu sois bien dans ta peau (Il replia ses jambes pour qu’il puisse s’enfoncer en elle aussi profond qu’il pouvait.)
Sakura : Jun…
Jun commença à bouger en elle :. Qu’est-ce que Kartz t’a fait ?
Sakura gémit doucement de plaisir : Après le départ de Karl Heinz au Bayern de Munich, Kartz avait toujours été jaloux de lui parce que je ne le désirais pas. Il avait profité que tout le monde était sur le terrain pour me surprendre au vestiaire où j’étais en train de prendre une douche. Sans crier gare, il m’avait arrachée la serviette de bain et m’a allongée de force sur la table. Il m’a écartée les cuisses brutalement et m’a enfoncée ses doigts en moi pour les bouger à l’intérieur.
Jun pesta en continuant de mouvoir en elle : Quelle brute !
Sakura : Il m’a même dit qu’il avait acheté un gode pour me l’enfoncer dans mon anus pendant qu’il m’enfoncerait sa pine pour une double pénétration. Il avait donc essayé de me pénétrer dans mon vagin quand Gen était intervenu.
Jun accéléra le mouvement : Tant mieux qu’il l’avait arrêté.
Sakura l’accompagna dans son balancement des reins : Gen l’a traité de pédé en lui envoyant un uppercut dans ses couilles et je n’avais pas compris pourquoi. Gen m’avait pris dans ses bras après m’avoir drapé d’une grande serviette et m’avait emmenée à l’infirmerie pour que je puisse prendre une douche pour la seconde fois.
Jun ralentit pour faire durer le plaisir : Et il t’a mise au courant ?
Sakura : Yup. Gen m’avait dit qu’il pensait à moi quand ça s’était produit. Et il n’avait pas réalisé qu’il était à l’étroit dans son pantalon. Kartz, qui l’avait constaté, l’a déculotté par surprise, donné une tape sur le gland, tordu le sexe en érection et l’a masturbé crescendo. Gen a failli de jouir et de perdre sa virginité par sa faute mais il l’a rudement repoussé, l’a déculotté et donné un bon uppercut dans les parties génitales de Kartz en le traitant de pédé. Mais ça n’a pas servi de leçon puisque Kartz a recommencé ce matin avec Karl.
Jun : Mais quel pédé !
Sakura : Kartz a descendu soudainement le froc de Karl, lui donna une petite tape sur le gland et tordit le sexe turgescent ce qui fait gémir de douleur le Kaiser avant de le masturber en grande pompe. (Jun accéléra ses coups de bassin crescendo.) Karl ne s’est pas laissé faire et s’est vengé en lui baissant son pantalon et son caleçon. Il a tapé sèchement sur le gland et tordu la verge gonflée de désir ce qui fit gémir de douleur le maître d’œuvre. Et Karl l’a laissé à moitié nu, le pénis en érection, en partant et jeté le pantalon dans le couloir aussi loin que possible. (Elle sentit le sperme se répandre en elle.) Jun !!!
Jun éjacula : Sakura !!! (Il retomba sur elle, repu.) Bien fait pour Kartz mais pourquoi est-il venu alors ?
Sakura : Parce qu’il était chez Karl Heinz quand Gen avait appelé. Kartz est un Ishizaki allemand à se mêler de ce qui ne le regarde pas.
Jun se retira : Je vois. Sakura, tu affronteras ton premier amour demain. Et si tu as des doutes, tu sais où me trouver.
Sakura l’embrassa à la commissure des lèvres : Merci Jun.
Jun : Je serai toujours là pour toi-même si tu n’as aucune incertitude. Je resterai aussi longtemps qu’il faudra à ta disposition.
OoO
Le lendemain, Sakura alla retrouver Stephan qui était avec Larson, Fredericks et Brolin car elle voulait lui parler en privé à l’abri des oreilles indiscrètes.
De son côté, Yayoi alla retrouver Jun dans sa chambre en se demandant de quoi ce dernier voulait parler. L’as de verre la prit sur ses genoux et glissa une main entre ses jambes pour lui caresser le sexe. Yayoi fut surprise mais elle se laissa faire. Elle fit l’amour avec Jun pour la première fois et elle aima que son chéri soit expérimenté.
Sakura et Stephan étaient allés dans la chambre où dormait le suédois.
Stephan, en suédois : Sakura, j’étais égoïste et je n’avais jamais réalisé que tu me voyais plus qu’un ami.
Sakura, en suédois : Non, tu n’es pas égoïste. C’est moi qui ne t’avais jamais parlé de mes sentiments parce que je ne voulais pas trahir la confiance de Karen. Après sa mort, j’avais jugé que ce n’était pas le moment de te dire ce que je ressentais mais tu avais déclaré haut et fort que tu resterais fidèle à elle. Ça m’avait brisée de t’entendre dire ça ce qui m’avait poussé à quitter la Suède. Sais-tu que j’avais repoussé Genzô trois fois avant d’accepter de sortir avec lui ?
Stephan, en suédois : Non je ne le savais pas. Pourquoi ?
Sakura, en suédois : Parce que… Je t’aimais, Stephan ! Je t’aimais mais tu ne me m’avais jamais regardée. C’était la première fois que ça m’arrivait mais je ne pouvais pas te le dire par respect que j’ai envers Karen.
Stephan, en suédois : Tu ne m’aimes plus maintenant ? Après ton départ j’avais réalisé que tu me manquais…
Sakura, en suédois : Pourquoi tu n’avais rien dit ?
Stephan, en suédois : C’est trop tard maintenant… Wakabayashi et toi étaient déjà en couple quand j’ai voulu te récupérer…
Sakua soupira, en suédois : Tu as trop attendu, Stephan. J’aime Genzô parce qu’il n’avait même pas abandonné malgré mes rejets… Il m’a touchée…
Stephan, en suédois : Je vois… Alors c’est fini… Je n’ai aucune chance. Je vais rester toute ma vie célibataire…
Sakura, en suédois : Si je me souviens… Il y a Sherryl Marx qui t’aime aussi…
Stephan, s’écria, en suédois : JE NE L’AIME PAS !! CETTE FILLE NE M’ATTIRE PAS DU TOUT ET JE NE RESSENS AUCUN DÉSIR !! J’AI ESSAYÉ DE M’IMAGINER AVEC ELLE MAIS JE N’AI AUCUNE ÉRECTION !! RIEN QU’EN PENSANT À TOI, MON SEXE S’ÉRIGE DOULOUREUSEMENT AU POINT QUE J’AI ENVIE DE TE FAIRE L’AMOUR !! C’EST DE TOI DONT JE SUIS AMOUREUX, SAKURA !!
Le suédois la saisit dans ses bras et tomba avec elle sur le lit. La fleur de cerisier sentit une bosse entre ses jambes et elle sut ce que c’était : C’était l’érection durcie de Stephan. Ce dernier dévêtit son amante puis il retira aussi ses vêtements. Le blond embrassa la jeune femme avec tout l’amour dont il était capable.
Stephan se confessa, en suédois : Karen et moi n’avions jamais fait l’amour.
Sakura, en suédois : Stephan… Je ne suis plus…
Stephan la coupa, en suédois : Je m’en fiche que tu ne sois plus vierge, Sakura. Je veux juste que tu me laisses t’aimer même si nous ne pourrions jamais être ensemble. Je veux t’offrir ma virginité parce que je t’aime tellement… Je n’ai jamais été aussi sûr de moi…
Sakura, en suédois : Tu as été mon premier amour, Stephan… Mais tu m’étais intouchable. Je t’ai toujours gardé une place dans mon cœur…
Stephan, en suédois : Si j’avais agi huit ans plus tôt, on serait ensemble. Je veux tout te donner ! Je veux que ma semence se répande dans ton corps !
Le laissant explorer son corps, Sakura ouvre ses cuisses sans hésiter pour mieux savourer le plaisir que donnait Stephan. Ce dernier ne pouvait pas attendre si longtemps et écarta les cuisses de son amante. Stephan pénétra sa verge dans l’antre humide de Sakura et se mit à bouger en elle sans lui laisser le temps de s’habituer à sa présence jusqu’à qu’il fut au bord de la jouissance. Le chevalier du soleil de minuit ralentit le rythme sans pour autant s’arrêter tandis que Sakura eut son premier spasme. Stephan accéléra peu de temps après son mouvement de bassin avec toute l’ardeur d’un désir trop longtemps retenu et finit par éjaculer son sperme en elle.
Quelques moments plus tard, Stephan était toujours à l’intérieur de Sakura et donna un petit coup de reins pour entrer plus profondément en elle. Il sentit son membre se durcir aussitôt. Alors qu’il entamait un mouvement de va-et-vient à peine perceptible, Sakura se mit à onduler des hanches.
Sakura, en suédois : Stephan… Pus vite et plus fort.
Le jeune blond ne se fit pas prier et accéléra le rythme jusqu’à ce que la jouissance les laisse pantelants.
Stephan, en suédois : Sakura, je veux que tu ne prennes jamais de pilule du lendemain. Pour moi, c’est ma seule chance pour que j’aie un enfant de toi.
Sakura, en suédois : As-tu des regrets ?
Stephan, en suédois : Non. Si c’est à refaire, je n’hésiterai pas parce que c’est toi Sakura. Je ne veux aucune autre.
Sakura, en suédois : Si tu n’as pas de regrets, alors je suis heureuse. Je ne prendrai pas de pilule du lendemain, non seulement je n’en ai plus, parce que c’est toi. Ça fait si longtemps que je voulais te sentir en moi. Mais, Stephan, je ne quitterai pas Genzô. Je l’aime aussi.
Stephan, résigné, en suédois : Je comprends. Mais m’aimes-tu même si tu es avec lui ?
Sakura, en suédois : Je t’aime, Stephan, et ça ne changera jamais. Cependant je te raconterai pourquoi tu n’es pas le seul que j’aime.
Pendant ce temps, Genzô, qui était dans sa chambre alors que les jumeaux faisaient la sieste dans celle de Tarô, avait senti que quelque chose clochait mais il ne pouvait rien faire. Il aimait vraiment Sakura mais si elle voulait le quitter pour Stephan, il la laisserait partir sans les jumeaux.
Genzô : Dieu, s’il vous plait ! Je veux que Sakura reste près de moi parce que je l’aime à en mourir. Qu’importe si elle prend Levin comme amant mais j’ai peur qu’elle me quitte pour lui… Dieu laissez-la près de moi sinon je ne survivrai pas !! Sakura… Ne m’abandonne pas…
Voix : Elle ne le fera pas, Wakabayashi.
Genzô sursauta et se retourna brusquement : Misugi !! Tu m’as fait peur !!
Jun entra et ferma la porte : Désolé, Wakabayashi.
Genzô : Et comment sais-tu qu’elle ne me quittera pas ? Elle te l’a dit ?
Jun : Non mais c’est Sakura. Même si elle a une place dans son cœur pour Levin, elle en a aussi pour toi. Elle a un très grand cœur à donner pour tous ceux qu’elle se soucie et surtout avec qui elle couche. Au fait, je me suis vraiment demandé pourquoi elle prend très souvent les pilules du lendemain après chaque rapport sexuel.
Genzô, abasourdi : Elle ne te l’a jamais dit pourquoi ?
Jun fronça les sourcils : Me dire quoi ?
Genzô : Qu’elle fait des réactions allergiques aux préservatifs.
Jun, estomaqué : QUOOII ?! Une al… Allergie aux préservatifs ?! Comment est-ce arrivé ?!
Genzô : Tu sais que son père la doigtait en longueur de journée tous les jours depuis qu’elle n’avait que deux ans ?
Jun : Oui et ?
Genzô : Son père n’utilisait jamais ses mains non protégées mais des tonnes de préservatifs. Il la pénétrait en protégeant sa main avec le condom mais âgée de quatre ans, Sakura avait contracté une allergie aux préservatifs. Son père s’en fichait complètement et il avait augmenté ses activités sexuelles en la pénétrant de son sexe une fois sur deux avec les préservatifs et d’autres fois sans lorsque Sakura avait six ans.
Jun, choqué : Six… Six ans ? L’âge où elle apprenait à lire… Oh Dieu Sakura !!!
Genzô : Il l’a violée à maintes reprises, durant les règles mensuelles de Sakura avec les préservatifs en faisant fi de l’allergie jusqu’à qu’il soit mort. Sakura avait dû suivre un traitement pour s’en débarrasser. La première fois que j’ai eue des rapports sexuels avec elle, nous n’avions utilisé aucune protection. On avait eu la chance qu’elle ne fût pas dans une période d’ovulation… Mais je ne voulais pas prendre le risque de lui faire un enfant dans l’immédiat et j’avais acheté qu’un préservatif à la machine de la pharmacie mais Kartz avait fait une remarque… Il avait dit que si j’utilisais la capote, je pouvais coucher avec toutes les allemandes que je voulais. Malheureusement pour lui, Sakura et Schneider avaient entendu. Ils l’avaient envoyé sur les roses en le traitant de pédé et de pervers.
Jun : Et elle t’a dit qu’elle ne pouvait supporter le condom ?
Genzô : Non elle m’avait tourné le dos et ignoré. Avec la remarque de Kartz, j’ai dû me battre pour racoler les morceaux et je lui ai juré que je ne coucherai jamais avec d’autres filles qu’elle puis je n’ai utilisé le condom que deux jours plus tard sans que Sakura ne le remarque. Ce ne fut que dans la nuit qu’elle avait le sexe en feu et elle m’avait réveillé en pleurant. J’ai remarqué une rougeur entre ses jambes et j’ai su que quelque chose n’allait pas.
Jun termina : En l’emmenant à l’hôpital d’urgence, tu as appris qu’elle était allergique aux préservatifs.
Genzô acquiesça : Pas seulement aux capotes mais à tous les moyens anti-contraceptifs sauf les pilules du lendemain. Et la seule manière de vérifier si elle n’a pas de maladies transmissibles, elle fait toujours un test de dépistage.
Jun : Oh Dieu Sakura !!
Genzô : Voilà pourquoi je lui fais l’amour pas aussi souvent que je le voudrai. Je la doigte et lui fais l’amour avec la langue mais je ne peux coucher avec elle tous les jours sans lui faire un enfant !! Ce n’est pas que je n’en veux pas mais je refuse en avoir chaque année !! J’ai besoin passer du temps avec mes enfants à leur apprendre ou de jouer avec eux. Je lui en ferai d’autres que quand je serai prêt d’en avoir d’autres.
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