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Je taime mais ne leur dis pas	By : AdamPark Category: French > Manga Views: 13 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0
Disclaimer: Tout appartient Yoichi Takahashi de Captain Tsubasa sauf l'histoire que j'ai crite pour le plaisir. Je ne possde aucunement le Fandom ne gagnant pas d'argent. Dmarre en 2010.

Chapter List
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NDA : ce long chapitre s’appelle « Interlude » parce qu’il se situe pendant les deux semaines dont je parlais dans le chapitre 08 après le chapitre « Conversation entre Jun et Sakura ». Il traitera le désir sexuel que ressentent certains joueurs japonais envers Sakura. Si vous ne l’aimez pas, sautez ce chapitre.

          Lorsqu’elle fut calmée, la fleur de cerisier se détacha de Jun et elle se leva sans se rendre compte où elle posa sa main gauche : Sous ses doigts, elle sentit toujours ce renflement du pantalon qu’elle ne put s’empêcher de serrer d’instinct car elle avait toujours aimé la bosse que formait le sexe durci. Et c’était grâce à Brian Kleifort, Ryoma Hino et Gino Fernandes qui l’avaient aidée à surmonter la peur d’y toucher.
Jun gémit : C’est agréable de sentir sa main ici mais je me demande comment est la sensation si elle me caresserait le sexe sans mon pantalon… Mais à quoi je pense, moi ?! Aie ! Doucement, Sakura ! Ça fait mal quand tu appuies là pour te relever quand mon sexe est en érection !
Sakura retira sa main : Désolée, Jun ! Je ne m’en suis pas aperçue ! Je ne voulais pas te faire mal.
Jun se redressa : Je sais. Ne t’en fais pas, Sakura. Pourquoi suis-je en train de bander en présence de Sakura ? Je ne devrais pas ressentir du désir pour elle mais pour Yayoi ! Et pourtant je me sens dépité que Sakura ne touche plus mon sexe. J’ai vraiment envie qu’elle m’initie. N’oublie pas ce que je t’ai dit, je suis sérieux. Viens me voir quand tu veux si tu n’as pas envie de te confier à Wakabayashi et à Misaki.
Sakura, dubitative : Même si je te donne un peu trop de détails et si je suis parfois chiante de me répéter la même chose ?
Jun sourit : Exactement ! Je m’en fiche du nombre de fois tu te répèteras tant que ça te soulagera et des détails que tu juges importants. Et ne te préoccupes pas de Nishimoto. Elle est jalouse.
Sakura émit un petit sourire : Merci Jun.

          Sur ce, elle l’embrassa à la commissure des lèvres alors qu’elle voulut atteindre sa joue mais Jun avait bougé la tête. La fleur de cerisier se redressa et quitta la chambre de l’as de verre pour aller à la sienne. Sur le chemin, elle croisa Yayoi.
Yayoi : Sakura, tu vas bien ?
Sakura : Yayoi, désolée…
Yayoi secoua la tête : Pourquoi t’excuses-tu ? Tu n’as rien fait de mal et puis Jun est libre de fréquenter qui il veut. Je sais qu’il m’aime mais nous sommes ensemble depuis trop longtemps. Parfois on se demande vraiment si nous sommes faits l’un pour l’autre. Je n’ai pas à vous juger de vos faits et gestes. Je ne suis pas jalouse.
Sakura : Mais Yayoi… Et Nishi…
Yayoi la coupa : Écoute-moi, Sakura. C’est Jun qui s’est approché de toi et non l’inverse. Je pense que Jun ne te laissera jamais seule et viendra à toi chaque fois que tu t’éloigneras de tout le monde à cause de Yukari. Il est têtu et il a l’air de t’apprécier de plus en plus. Pour lui, tu es la seconde personne qui s’inquiète de sa santé et il ferait n’importe quoi pour ne pas te donner des soucis. J’ai la sensation qu’il t’aime à sa manière sans que cela soit réciproque. Et ne te préoccupes pas de ce que dit et dira Yukari car elle est jalouse. Je refuse de la croire.
Sakura : Je vois mais, Yayoi, sais-tu que… Désirer sexuellement quelqu’un et être amoureux sont deux choses différentes ?
Yayoi réflécit : … Pas vraiment mais ça ne coute rien de l’apprendre. (Elle lui sourit) Sakura, tu es spéciale car tu n’avais pas eu une enfance normale. Tes idiots de parents t’ont élevée à ce que tu vives le désir sexuel en permanence sans impliquer l’amour avec n’importe qui. Ce que je constate depuis que je te connais, c’est que tu choisisses le garçon avec qui tu veux simplement avoir des rapports érotiques. Et si Wakabayashi t’accepte telle que tu es et qu’il te laisse apaiser ton désir sexuel que tu éprouves à un autre que lui, c’est qu’il est profondément amoureux de toi malgré sa jalousie presque maladive. Il est prêt à tout pour que tu ne le quittes jamais et que tu restes sa « femme » selon ses mots. As-tu conscience de la chance que tu as ?
Sakura : Yup, je le sais parce que je l’avais profondément blessé en le rejetant la troisième fois. Il n’aurait pas supporté un quatrième râteau et je l’aurai totalement perdu si je ne lui avais pas donné une chance de me prouver que son amour était sincère. Il sait comment me faire flancher pour obtenir ce qu’il veut et me rendre complètement amoureuse de lui sans que j’aie besoin de lui rester fidèle à cause de l’éducation que j’ai reçu de mes parents. Bonne nuit, Yayoi.
Yayoi : Si tu ressens tellement de désir sexuel pour Jun et si tu as ce besoin de l’apaiser auprès de lui, ne t’inquiète pas pour moi. Je ne t’accuserai pas car je ne suis pas dans la tête de Jun ni dans la tienne. Bonne nuit, Sakura.

          De son côté, Jun se sentait un peu perdu après le départ de Sakura car elle lui plaisait et lui faisait naitre un désir primitif. Il se déshabilla puis il regarda son entrejambe qui était toujours dressé et dépassait son slip.
Jun soupira : Que vais-je faire maintenant avec ça ? Je n’ai jamais eu une forte érection lorsque j’étais en présence de Yayoi… J’en ai eu en sa présence mais peut-être pas de cette taille. Je me demande si les « Grands frères » de Sakura avaient envie d’elle même s’ils étaient rejetés. Et puis mon sexe a dû réagir sans que je m’en rende compte en entendant les détails des viols qu’elle avait subis.

OoO

          Après une semaine où Jun et Sakura avaient eu une conversation sérieuse, Yukari continuait à martyriser et tabasser la fleur de cerisier en ignorant les avertissements des autres. Genzô et Tarô voulaient que leur amie leur dise qui était la coupable mais ils la virent se refermer peu à peu. Cependant ils remarquèrent que Jun se défoulait sur le pauvre ballon chaque fois qu’il voyait Sakura en piteux état et qu’il se retenait de dévoiler la vérité.
Genzô : Misaki, je sais que Sakura est têtue mais je vais fermer les yeux sur ce qui risque de se passer.
Tarô : Comme tu avais fait lorsqu’il se passait quelque chose entre Schneider et Sakura malgré ta jalousie ?
Genzô : Je ne peux rien faire contre l’éducation qu’elle avait eue de ses parents. Elle a déjà couché avec Ryoma Hino d’Uruguay et Gino Fernandes d’Italie. C’était pareil avec Schneider avant qu’elle m’accepte.
Tarô lui rappela : Et avec moi aussi, Wakabayashi. Je ne ressens aucune honte et aucune gêne.
Genzô sourit : Je sais. Je suis peut-être jaloux mais je l’aime tellement telle qu’elle est. Je ne veux pas la changer car si je l’oblige à me rester fidèle, je la perdrais pour toujours et elle ne serait plus la même personne dont je suis tombé profondément amoureux.

          Comme chaque soir, Jun interpella Sakura, qui fuyait encore tout contact avec qui ce soit à cause de Yukari, et l’emmena dans sa chambre avec la trousse des premiers soins et un sac de glaçons. L’as de verre ferma la porte de sa chambre à clé de sorte que personne ne dérange. Il la rejoignit ensuite sur le lit et la soigna du mieux qu’il put. Sakura tressaillit en sentant le sachet de glaçons sur sa joue enflée mais laissa Jun prendre soin d’elle.
Jun : Elle va trop loin. Sa jalousie va au-delà de ce qu’elle pense. Elle est en train de t’arranger le portrait pour que tu sois laide mais elle ne se rend pas compte que le physique ne compte pas.
Sakura : Je le sais mais elle ne cessera que si elle peut prouver que je suis une allumeuse et une catin.
Jun répliqua en enlevant le sachet de glace : Je ne veux plus jamais t’entendre dire que tu es une allumeuse et une catin, compris ?
Sakura protesta : Mais…
Jun se débarrassa du sachet de glace et la prit dans ses bras : Non, je ne veux plus entendre ces mots de ta bouche ! Tu n’es pas ce que décrit Nishimoto, compris ? Je crois en Wakabayashi car Nishimoto n’était pas là pour constater de ses yeux ce qui s’était réellement passé.
Sakura pleura : Alors pourquoi continue-t-elle à me tabasser malgré vos avertissements ?! Qu’ai-je fait de mal ?!
Jun : Maudite sois-tu, Nishimoto !! Comment peut-elle faire une telle chose pareille alors que Sakura n’avait rien fait de mal et qu’elle essaie de s’intégrer parmi nous ?!

          Le prince du football resserra son étreinte et la plaqua contre son torse. Il la laissa se soulager de la douleur tout en pestant silencieusement contre Yukari. Il repensa à la conversation qu’il avait eue la première fois : Il détestait les parents de Sakura pour lui avoir fait vivre un enfer mais il ne pouvait pas oublier l’agréable sensation lorsque cette dernière avait accidentellement touché son sexe dressé en travers de son pantalon. Il aimait ça et il avait envie qu’elle recommence sans entrave pour connaître la différence que cela pouvait donner. Mais il avait peur de trahir Yayoi, la seule fille dont il est amoureux et de ressentir ce désir sexuel pour sa nouvelle amie. La sentant se calmer, le jeune homme relâcha son étreinte et lui essuya les dernières larmes.
Jun : Tu n’as rien fait de mal, Sakura et je n’aime pas son comportement envers toi. Elle cherche à t’expulser non seulement d’ici mais aussi de la vie de Wakabayashi car elle croit que tu es un parasite et que tu nous empêcherais de nous concentrer.
Sakura se redressa, dépitée : Mais…
Jun la rassura : Ne t’inquiète pas, elle ne gagnera pas car elle agit comme si elle achète l’amitié et l’amour. Tu es totalement différente d’elle car tu ne cherches pas à te les procurer mais à les mériter. Comme je suis très observateur, je constate que Wakabayashi n’est plus le même homme quand tu es concernée et Nishimoto ne s’en rend pas compte.
Sakura bégaya : Tu… Tu crois ?
Jun sourit : Elle est tellement mignonne !!! Je ne crois pas mais c’est certain !! Tu devrais déjà savoir que Wakabayashi et Misaki sont de ton côté. Il y a maintenant Nakazawa, Yayoi, Fujisawa, Matsuyama, Aoi, Hyuga, Sorimachi… toute l’équipe nipponne et je fais partie de ton cercle d’amis, Sakura. Tu as aussi tes « Grands frères ».
Sakura : Jun… Tu resteras mon ami peu importe ce qui se passera ?
Jun : Yup ! Je t’aime comme tu es et je serai ton ami pour la vie. Sakura, puis-je te poser une question ?
Sakura : Je ne vois pas pourquoi tu en priverais même si c’est top secret et trop personnel, n’est-ce pas ?
Jun : Oui c’est top secret et trop personnel. Je suis surtout curieux. As-tu déjà batifolé avec tes « Grands frères » ? Te désiraient-ils sexuellement ?
Sakura : … Oui à tes deux questions.
Jun : Peux-tu me raconter ?
Sakura, étonnée : Pourquoi ?
Jun se confessa : Je ne sais pas trop ce qui se passe avec moi mais quand tu racontes ta vie sexuelle, ça m’excite. Je ne sais si c’est mal mais mon sexe devient dur sans raison.
Sakura : Je sais que tu as eu une érection avec mon récit d’il y a une semaine et apparemment t’aimes ça. Tu n’es pas le seul d’ailleurs mais que veux-tu faire une fois que ton sexe est dressé ?
Jun : Je ne sais pas. Je n’ai jamais eu de rapports sexuels avec Yayoi ni avec aucune autre fille. Nous étions trop jeunes et nous sommes un peu timides. Mais Sakura, tu me plais même si j’aime Yayoi.
Sakura : Jun, être amoureux et avoir du désir sont deux choses différentes. T’es un homme et tu peux ressentir du désir sexuel pour une femme dont tu n’es pas amoureux. Et où veux-tu en venir ?
Jun : Eh bien… Ça m’a plu quand tu as accidentellement touché mon sexe en travers du pantalon. J’aimerai ressentir plus que ça et connaître la différence puisque tu es plus expérimentée.
Sakura eut un sourire affecté : Cochon ! Tu es encore puceau mais tu veux vraiment que je passe ma main sur ton sexe, hein ?
Jun, sérieux : Oui, je le veux. Quant à ma virginité, j’en fais ce que je veux. Et si je décide de te l’offrir, c’est mon propre choix.
Sakura : Mais Jun… Pourquoi moi ? Pourquoi préfères-tu perdre ta virginité avec moi et non avec Yayoi ? Je sais que tu fais ce que tu veux avec mais la virginité est précieuse…
Jun : Depuis que je t’ai vu la première fois, Sakura, tu me plais. Et plus je commence à te connaître et plus j’ai envie de toi sexuellement. Je t’aime mais je suis amoureux de Yayoi.
Sakura soupira : Je te l’ai dit, c’est deux choses différentes. Tu sais, je connais ça même quand je suis avec Genzô.
Jun fronça les sourcils : Comment ça ?
Sakura : J’ai éprouvé du désir pour Ryoma Hino, Gino Fernandes, Tarô Misaki et Karl Heinz Schneider avec qui j’ai eu une courte aventure à plusieurs reprises. Et même avec Brian Kleifort peu de temps après que j’ai été forcée à coucher avec lui… Mais j’étais tombée amoureuse pour la première fois de Stephan Levin qui ne l’a jamais su.
Jun : Pourquoi ?
Sakura : Parce qu’il aimait déjà quelqu’un et c’est mon amie Karen Katarina. Il lui restera à jamais fidèle d’après ses dires. Ils étaient fiancés. Karen est morte dans un accident de voiture. Et puis quand j’ai rencontré Genzô, j’ai éprouvé du désir sexuel pour lui mais j’ai totalement ignoré ce que je ressentais. J’ai résisté à son charme le plus longtemps possible.
Jun : Si je comprends bien, c’est à cause de ce Stephan Levin que tu as rejeté trois fois Wakabayashi et résisté à son charme ?
Sakura : Yup ! Mais sais-tu pourquoi je suis tombée amoureuse de Genzô même si une partie de mon cœur est toujours avec Stephan Levin ?
Jun : Non mais tu m’arrêtes si je me trompe. Tu l’as rejeté trois fois parce que tu ne l’aimais pas malgré le désir qu’il te faisait ressentir mais le temps que tu passais à ses côtés t’a permise d’apprendre à le connaître en profondeur. Serait-il possible qu’il ait utilisé une arme secrète qui t’a ébranlée comme par exemple… Son air de chien battu et ardemment blessé ?
Sakura : Yeah, je déteste le voir utiliser cet air-là parce que je me l’étais vu à plusieurs reprises. Lorsqu’il m’a déclaré son amour pour moi la première fois, j’étais encore amoureuse de Stephan Levin. La seconde fois qu’il m’a clamée ses sentiments, il ne savait encore rien de moi et je croyais qu’il se moquait de moi. La troisième fois qu’il a affirmé ses émotions, il savait à peu près tout de ma vie mais il savait que je cachais quelque chose. Et avant qu’il ne ramasse son quatrième râteau, il avait utilisé son air malheureux et m’avait obligée à affronter mon passé et il m’avait dit qu’il refusait de m’abandonner tout en clamant son amour et qu’il s’en fichait que je ne reste pas fidèle à lui. Il m’avait supplié de lui donner une chance de me prouver qu’il ne plaisantait pas, qu’il ne me retenait pas contre mon gré et qu’il m’acceptait comme je suis sans compromis. Maintenant dis-moi pourquoi tu veux perdre ta virginité avec moi plutôt qu’avec Yayoi ?
Jun : Parce que je t’aime, Sakura mais je ne peux t’offrir mon cœur, étant donné qu’il appartient à Yayoi. Comme j’ai envie de t’appartenir d’une certaine façon, je n’ai que ma virginité à t’offrir… J’ai déjà pris ma décision. Si tu as envie de moi, Sakura… C’est avec toi que je veux découvrir le plaisir chanel. Je suis inexpérimenté pour cela.
Sakura : … Mais Yayoi est mon amie et je ne veux pas lui voler Jun… Et pourtant elle m’a dit de ne pas me retenir…
Jun : Prends ton temps pour prendre une décision pour nous, Sakura. On reprendra la conversation demain, ok ?
Sakura sourit : T’es vraiment quelqu’un, Jun. J’y réfléchirai. Bon je vais voir mes enfants et passer un peu de temps avec eux avant qu’ils aillent dormir.
Jun sourit : Bien sûr.

          La fleur de cerisier quitta la chambre de Jun et alla retrouver Genzô, Tarô et les jumeaux. Yukari ne put l’intercepter car Sanae, Yoshiko et Yayoi lui barrèrent la route. Jun rejoignit à son tour les autres.
Tarô : Sakura, tu vas mieux ?
Sakura : Yup ! Dan et Dana ont mangé ?
Genzô : Yeah ! Comme à leur habitude à nous donner du fil à retordre pendant un quart d’heure au moment de se mettre à table mais maintenant c’est bientôt l’heure de les mettre au lit. (Il la vit faire la moue adorable dont il est totalement amoureux.)
Jun : Dieu qu’elle est belle avec cette moue ! Et apparemment, c’est à cause de cette mimique charmante que Wakabayashi est amoureux d’elle.
Tarô : Si elle continue à faire cette moue, elle ne devrait pas s’étonner pourquoi tous les garçons craquent pour elle. Mais elle est trop mignonne !!
Hikaru : Bon sang ! Comment résister à l’attraction qu’elle m’inspire ?! Je suis amoureux de Yoshiko mais comment expliquer cette envie sexuelle que j’aie envers Sakura ?!
Kazuki : Quelle grimace touchante… Elle me fait craquer et désirer !!
Kojiro : Quelle fille !! Pourquoi me fait-elle cet effet ?!
Genzô, en allemand : Je veux te parler de toute façon alors allons mettre nos jumeaux au lit ensemble. (Il vit une lueur d’inquiétude dans ses yeux.) Chérie, tu devrais savoir que tu n’as pas à t’inquiéter depuis longtemps.

          La jeune femme acquiesça lentement d’un signe de tête mais cela ne la rassura pas tant qu’elle ne sache pas ce que son amant voulait dire. Elle suivit le S.G.G.K. avec leurs enfants laissant les autres entre eux. Ils entrèrent dans la chambre qui leur était réservée. Le dieu protecteur venu d’Orient et Sakura aidèrent leurs enfants à se mettre en pyjama et à les mettre au lit.
Dana : Maman, tu nous aimes ?
Sakura sourit : Oui mon cœur. Tu es ma fille.
Dan : Et moi Maman ?
Sakura rigola : Tu es mon garçon, mon chou.
Genzô les regarda tendrement : Rien ne changera cela. Elle sera toujours une mère aimante quand il s’agit des enfants. Je sais que je dois toujours me battre pour la garder près de moi car son cœur est toujours enchaîné à un autre qui ne l’aime pas. Mais le seul moyen de l’en détacher est d’affronter celui qu’elle aimait avant moi quand elle sera prête. D’ici là, je préfère me contenter de ce qu’elle peut m’offrir que de la perdre définitivement.

          Un peu plus tard, Dan et Dana dormaient à poings fermés. Les deux parents en profitèrent pour parler entre eux sur leur lit. Cependant Sakura était nerveuse car elle ne comprenait pas pourquoi Genzô voulait lui parler.
Genzô remarqua son air inquiet et poussa un soupir : Sakura, je t’ai déjà dit de ne pas t’inquiéter. Tu dois me croire sur parole.
Sakura : Et comment ? Tu sais très bien que je t’ai déjà bles…
Genzô la coupa : Arrête, Chérie. Ce n’est pas pour rien que je me bats pour toi. Je ne t’ai jamais abandonnée. En vérité, je savais depuis longtemps que tu ressentais du désir pour moi quelques temps après le premier râteau que j’avais ramassé. Je m’étais dit que je devrais tout faire pour que tu me remarques et que tu m’acceptes en tant que petit ami. Nous avons fait du chemin parce que tu me résistais aussi longtemps que tu pouvais.
Sakura : C’est de ça que tu veux me parler ? Pourquoi maintenant ? Ne me dis pas que tu veux… ?
Genzô répliqua durement : Pas question qu’on se sépare ou qu’on rompt, Sakura !! Te rends-tu compte à tel point que je t’aime ?! Je ne survivrai pas sans toi car j’ai besoin que tu sois toujours à mes côtés. Comment puis-je bien jouer quand tu n’es pas là pour m’encourager ?!
Sakura : Je sais tout ça mais pourquoi me dis-tu ça maintenant ? C’est comme si tu veux finir notre relation et me rejeter… Tu veux mettre à l’eau tous tes efforts pour que je te remarque ?!
Genzô : Non ! Jamais de la vie !! Je savais que tu n’étais pas facile à attraper mais je n’avais fait qu’écouter mon cœur. Je te voulais depuis ton premier jour d’école après que tu m’aies rendu ma casquette que je t’avais prêtée pendant le cours de sport. Quand je me suis rendu compte de mes sentiments pour toi, c’est quand je t’ai vue avec ton frère Dan. En te voyant comment tu l’élevais, j’avais su que tu serais une bonne mère et je m’étais dit que tu serais la seule femme avec qui je voulais avoir des enfants. Je ne regrette rien et nous avons de beaux enfants. Ce que je veux vraiment parler, c’est tes courtes aventures avec d’autres garçons. (Il la vit ouvrir la bouche.) Non laisse-moi finir. Du moment où tu ne veuilles pas rompre avec moi malgré ma jalousie, tu es libre de coucher avec ceux que tu désires en ce moment comme tu l’as fait avec Misaki et Schnzider. Je ne peux rien faire contre l’éducation que tu avais reçu alors j’accepte ce que tu es parce que je t’aime. Cependant j’aimerai que tu affrontes celui qui tient encore ton cœur jusqu’à ce que ton désir soit totalement apaisé. Je ne veux pas me contenter des restes de ton cœur mais j’ai envie de l’attraper entièrement. Je t’attendrai jusqu’à que tu aies pris une décision définitive.
Sakura protesta : Mais Genzô… Tu l’as mon cœur…
Genzô secoua la tête : Non pas entièrement. Tu as des moments où tu es dans tes pensées. Un premier amour est difficile à oublier. (Il la vit quitter le lit.) Je t’en prie, Sakura, ne fuis pas. Ne me blesse pas en me tournant le dos.
Sakura répliqua sèchement : Tu plaisantes ?! (Elle lui fit face) Je sais que j’ai été injuste avec toi quand je t’ai rejeté trois fois mais tu oublies une chose très importante pour moi.
Genzô fronça les sourcils : Quoi donc ?
Sakura soupira : Tu m’as poussée à affronter mon passé. Tu m’as obligée à regarder le mal que mes parents m’avaient fait subir. Pour moi, ça compte énormément. Je… Pardon, Genzô, de te faire souffrir encore… Mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir du désir pour un autre. Peut-être que tu diras que ce n’est pas de ma faute…
Genzô insista calmement : Ce n’est pas de ta faute ! C’est celle de tes parents qui t’ont violée et sapée ta confiance. Des parents malades qui font ça à ses enfants sont des pédophiles. Tu n’en es pas une car tu choisis les gars de notre âge. Et… C’est dur pour moi de l’admettre que tu as du goût.
Sakura : Merci.
Genzô : Promets-moi que tu prendras la bonne décision quand tu auras trouvé la réponse à ce que tu cherches. Viens dans mes bras, Sakura car je déteste quand tu t’éloignes de moi.

          Allant se nicher dans ses bras, Sakura ne répondit pas mais elle savait qu’elle avait ses propres questions à résoudre seule. Le jeune homme resserra son étreinte mais d’une main, il guida celle de sa petite amie vers son renflement du pantalon, sachant qu’elle aimait caresser le phallus.
Genzô : J’ai tellement besoin de toi, Sakura sinon je n’aurai pas autant changé et je t’aime tellement. Je n’éprouve pas que du désir sexuel pour toi.
Sakura : Je pense que je vais accepter la proposition de Jun sans que je me précipite trop vite.

          Genzô gémit de plaisir lorsqu’il sentit la main de sa chérie dans son pantalon ouvert et les doigts caresser sa verge turgescente. Ne pouvant plus se retenir, il ouvrit le pantalon de sa petite amie et glissa sa main droite dans sa culotte et caressa son sexe en feu. Il la doigta dans son vagin tandis qu’elle continuait à le masturber jusqu’à qu’ils atteignent ensemble la jouissance.

OoO

          La matinée passait moyennement bien car Yukari continuait à torturer Sakura lorsque l’occasion se présentait. Jun, étant le seul à connaître la coupable, passait ses nerfs sur le pauvre ballon parce qu’il détestait de voir sa future amante pleurer à cause de la « méchanceté » de Yukari. Cette dernière se moquait bien de faire peur aux jumeaux Wakabayashi lorsqu’elle frappait la capitaine de l’équipe féminine de Hambourg. Dan et Dana avaient peur de cette furie mais ils étaient aimés par toute l’équipe et les autres managers.
Jun : Et Nishimoto continue son cinéma ?! Mais qu’est-ce qui ne va pas dans sa tête à vouloir essayer de prouver ce que Sakura n’est pas ?! Nishimoto donne un mauvais exemple d’éducation en la frappant devant les jumeaux.
Genzô : Sakura, tu joues avec nous ?
Sakura : Et c’est qui va garder les enfants ?
Tatsuo : C’est moi, Sakura. Ne t’inquiète pas pour eux. Ils adorent vous regarder jouer de toute façon.
Hikaru : Allez, Sakura ! Joue avec nous !
Sakura : C’est bon, je joue.
Tous : Super !!
Yukari : Mais qu’est-ce qui leur prend de faire confiance à cette pétasse ?!

          La jeune femme vit les regards haineux des joueurs nippons qu’elle s’en alla d’un pas rageur. Yayoi, Yoshiko et Sanae aimaient voir leur amie jouer avec les garçons car c’était le seul moment où elles la voyaient sourire. Sakura était dans l’équipe de Tsubasa avec Tarô, Genzô, Hikaru et Jun. Au cours d’un petit match, Sakura se cogna contre Kazuki Sorimachi et faillit se blesser au pied si elle ne se retrouvait pas complètement allongée sur lui, les jambes relevés jusqu’au genou. Tout le monde alla entourer les deux amis pour vérifier s’ils allaient bien.
Jun : Sakura !
Hikaru : Ça va, Sakura ?!
Tarô : Tu n’es pas blessée ?!
Kojiro : Et toi, Kazuki ?
Kazuki sentit son sexe se durcir contre le ventre de Sakura : Ça va, Capitaine. Dieu qu’elle sent bon ! Et mon sexe s'est éveillé à son contact. Pourquoi ai-je envie d’elle ?! Je ne devrais pas car elle est déjà prise.
Genzô, inquiet : Sakura ? Tu vas bien ? Tu n’es pas blessé ? Je n’aurai pas dû avoir cette conversation hier lorsque j’ai vu qu’elle était inquiète mais il le fallait… Il fallait qu’elle comprenne que je ne l’abandonnerai pas et qu’elle pouvait toujours compter sur moi. Ça faisait trop longtemps que je voulais lui dire ce que j’avais sur mon cœur. Et pourtant, elle continue à rester sur ses gardes… Sans se rendre compte qu’elle me blesse du peu de confiance qu’elle m’octroie. Mais je sais que ce n’est pas de sa faute. C’est celle de ses maudits parents qui l’avaient trop abusée.
Sakura : Je vais bien, Gen, Jun, Matsuyama, Tarô.
Genzô, surpris : C’est la première fois qu’elle m’appelle par un diminutif… Peut-être qu’elle accepte que je fasse partie de sa vie de manière permanente.
Hikaru : J’aurai besoin d’avoir une petite conversation avec Sakura car je ne veux pas qu’elle continue à m’appeler par mon nom de famille. C’est grâce à elle que Yoshiko ait vaincu sa timidité et à utiliser mon prénom. Mais aussi, je veux comprendre pourquoi j’ai envie d’elle alors que je suis amoureux de ma Yoshiko. Tu peux te relever ?
Sakura : Yup ! Juste besoin d’un petit coup de main.

          Hikaru la prit par le bras et l’aida à se mettre sur ses pieds. Sakura le remercia par une bise sur la joue tandis que Kazuki se redressa rapidement tout en restant assis pour cacher le renflement de son short.
Ryo : Et Fujisawa sera jalouse !!
Yoshiko : Pas du tout. Sakura ne fait que le remercier.

          Le match reprit de plus belle qu’à la fin, Sakura voulut éviter le tacle de Kojiro après avoir envoyé le ballon à Jun sans succès. Elle tomba sur Kojiro qui la rattrapa avant qu’elle ne se blesse. Le tigre ne put s’empêcher de sentir son sexe en érection qui se pressait contre le ventre de Sakura.
Kojiro : Putain ! Comment fait-elle pour me faire désirer d’elle ?! Mon sexe devient dur et j’ai envie de la posséder !!
Jun : Sakura !
Hikaru : Ça va, Sakura ?!
Tarô : Tu n’es pas blessée ?!
Kazuki, moqueur : Ne fais-tu pas exprès de me copier, Capitaine ?
Kojiro rougit : C’est pas de ma faute !!
Sakura répliqua : Et que devrais-je dire, moi, espèce d’entêté ?!
Genzô, inquiet : Sakura ? Tu vas bien ? Tu n’es pas blessé ?
Sakura : Je vais bien, Gen, Jun, Matsuyama, Tarô.

          Ce fut Jun qui aida Sakura à se redresser tandis que Kojiro ne resta pas allongé de sorte qu’il puisse cacher son érection. Les coachs Mikami et Gamô cessèrent le jeu pour la reprendre l’après-midi.
Hikaru : Sakura ? Je peux te parler en privé ?
Sakura : Yup. Sentir le sexe de Sorimachi et d’Hyuga contre mon ventre m’avertit qu’ils me désirent… Je vais devoir les apaiser…

          Tout le monde rentra à la résidence pour se détendre tandis que Sakura et Hikaru marchèrent jusqu’à qu’ils trouvèrent un endroit tranquille. Ils vérifièrent que Yukari n’était pas dans les parages. Cette dernière était restée dans le salon de la résidence en train de regarder la télévision.
Hikaru : Sakura, ne m’appelle pas « Matsuyama », ok ?
Sakura : D’accord Hikaru. Ce n’est pas que pour ça que tu veux me parler, n’est-ce pas ?
Hikaru : En effet, je veux comprendre pourquoi tu me fais désirer. Je suis amoureux de Yoshiko mais pourquoi ai-je envie de te faire l’amour ?! Ce n’est pas normal !
Sakura soupira : Hikaru, sais-tu qu’être amoureux et désirer sont deux choses différentes ? Le désir sexuel… C’est purement physique sans que ça implique les sentiments.
Hikaru : Ah je vois. Mais pourquoi toi et pas une autre ?
Sakura : Alors ça, je ne sais pas. Mais je suis habituée à cette situation.
Hikaru : À cause de cette éducation que tes parents t’ont faite subir. Sakura, que ferais-tu si je t’offre ma virginité à défaut du cœur ?
Sakura : Donne-moi une bonne raison pourquoi tu veux me donner ta virginité, Hikaru.
Hikaru : Aide-moi à apaiser mon désir pour toi sinon je n’arriverai pas à aller plus loin avec Yoshiko. Et aussi parce que j’ai envie de t’appartenir par ma virginité à défaut de mon cœur déjà pris.
Sakura : Bien mais à condition que tu ne le regretteras jamais et que nous serons toujours amis. Sinon ça ne sert à rien.
Hikaru : D’accord. Et aussi personne ne devrait savoir.
Sakura sourit : Exactement. Et pourtant je sais que Gen serait vite au courant car nous partageons un lien très spécial. Il peut ressentir mes craintes, ma douleur, mon désir, mes envies… Mais je sais aussi qu’il ne dira rien sur cette attache particulière sauf s’il est obligé pour une raison quelconque. Et lui, il croit que je ne lui fais pas assez confiance ni que je l’aime de plus en plus… Mon cœur est en train de s’enraciner vers lui et de lâcher peu à peu Stephan Levin. Je finirai bien par prendre cette décision qu’il veut que je fasse mais d’ici là, c’est encore trop dur. On y va sinon les autres vont poser des questions. Plus particulièrement cette fille-là…

          La fleur de cerisier commença à quitter la cachette et elle constata qu’elle avait l’embarras du choix pour apaiser le désir sexuel entre, Kojiro Hyuga, Kazuki Sorimachi, Hikaru Matsuyama et Jun Misugi. Soudain elle sentit un corps la coller et une main maladroite glisser dans son short. Tournant légèrement la tête, elle vit qu’il s’agissait d’Hikaru.
Sakura ôta sa main de son short : Hikaru, ne fais pas ça maintenant.
Hikaru : Mais j’ai envie de toi tout de suite. (Il lui prit la main, la posa sur son renflement de son short et la pressa pour qu’elle sente la forme de son sexe.)
Sakura : Bon sang !! Il est trop dur et il ne pourra pas tenir l’après-midi comme ça. Si je réfléchis bien, je vais me faire Hikaru en premier puis soit Hyuga ou Sorimachi pour terminer par Jun. Et surtout je n’ai pas de préservatifs car chaque fois que j’ai des rapports sexuels, Brian, Ryoma, Gino, Karl Heinz, Gen et Tarô avaient tous refusé d’en mettre un pour me remplir de leur semence.
Hikaru bougea son bassin pour essayer de se soulager : Sakura, ne me laisse pas comme ça. C’est trop douloureux.
Sakura l’obligea à s’arrêter : Je sais. Tu es sûr que tu veux qu’on fasse maintenant car ce sera difficile de s’arrêter.
Hikaru, sérieux : Oui, je te veux là tout de suite. Et pas de préservatif !
Sakura eut un sourire affecté : Toi alors ! Je n’en ai pas de toute façon. Et si tu t’inquiètes si je tombe enceinte, ne t’en fais pas. Je prendrai la pilule du lendemain cet après-midi.
Hikaru sourit : Tant mieux parce que j’ai envie de te remplir de ma semence. Je veux que tu la sentes en toi.

          La jeune femme regarda son futur amant commencer à ôter son maillot puis son short. Elle constata que le pénis dépassait le slip qu’elle ne put s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres pour les humidifier.
Sakura se rappela : Alors que j’avais toujours été abusé par mon père dans mes deux orifices vaginales et anales, j’ai ressenti pour la première fois du désir sexuel lorsque j’avais rencontré Ryoma sans que mes parents m’y obligent d’en ressentir de force comme ils avaient fait pour Brian Kleifort. Ce dernier était forcé de jouir en moi la première fois tandis que mon père le violait. On avait donc couché à maintes reprises sans protection, Brian et moi, jusqu’à que je quitte la Hollande. Ryoma m’avait fait l’amour en me donnant sa virginité et continué ains jusqu’à mon départ pour le Brésil. Mais mon père l’avais découvert et il avait aussi violé Ryoma qui me faisait l’amour. Pour Gino, il a perdu sa virginité dans mon vagin en même temps que sa virginité anale par mon père le jour où il a découvert ce que mes parents me faisaient subir. Cela avait duré jusqu’à la mort de mes parents puis Gino et moi avions continué jusqu’à mon départ pour la Suède. Karl Heinz avait perdu la sienne dans mon vagin lui aussi jusqu’à que je tombe amoureuse de Genzô avec qui je n’ai pas pris de pilule de lendemain. Et Tarô m’avait offert sa virginité en jouissant dans mon vagin.

          Le voyant tout nu, Sakura déglutit et s’approcha d’Hikaru pour caresser se pectoraux. Le jeune homme prit les pans du t-shirt de son amante et l’ôta. Il ne défit pas le soutien-gorge mais il l’abaissa de sorte que les seins de son amie soient à l’air libre. Ils se mirent mutuellement à caresser les tétons.
Hikaru : Dis-moi ce que je dois faire. Apprends-moi à faire l’amour, Sakura.
Sakura : Bien, je t’apprends qu’une fois, Hikaru, et crois-moi qu’il n’y aura pas d’autres leçons. Prends mes seins dans tes mains et masse-les doucement. (Hikaru fit ce qu’elle dit.) Passe maintenant ta langue sur mes tétons un par un et suce les.

          L'aigle d'Hôkkaido suivit ses directives et se sentit grisé par les gémissements de plaisir de son « professeur ». Sous ses conseils, le jeune homme descendit plus bas et lui ôta son short et sa culotte. Sakura s’allongea sur l’herbe et dirigea Hikaru. Ce dernier lui écarta les cuisses, approcha sa langue vers le vagin et se mit à la lécher pendant un petit moment. Sakura se tordit de plaisir en gémissant.
Sakura : Hi… Hikaru, arrête ! Je vais te donner du plaisir à mon tour. Lève-toi et reste debout.
Hikaru se redressa : Comme ça ? (Il vit la jeune femme saisir son sexe et écarquilla les yeux de surprise quand il la vit lécher le gland et le prépuce.) Sa… Sakura ?! Dieu que c’est bon !! (Il constata ensuite qu’elle le prit entièrement dans sa bouche.) Qu’est-ce que… ?! Oh !! (Il remarqua le mouvement de va et vient qu’il poussa un gémissement de plaisir.) Que c’est bon !! Je… Je vais jouir… (Il voulut l’empêcher de se retirer mais Sakura ne le laissa pas éjaculer.) Pourquoi tu t’arrêtes ?
Sakura sourit : Parce que je n’ai pas fini de t’apprendre. Maintenant tu vas te mettre entre mes jambes près de mon vagin. (Hikaru obéit.) Ensuite prends ton sexe dans ta main et frotte-le contre ma vulve. Tu sens que je mouille ?
Hikaru : Oui.
Sakura : Bien. Guide ton sexe à l’entrée de mon vagin et commence à enfoncer ton gland en moi… Maintenant lâche ta main de ton sexe et pousse ta verge au plus profond de moi d’un coup de bassin. (Sakura noua ses jambes autour de sa taille pour le laisser s’enfoncer au plus profond d’elle.) Retire-toi jusqu’à que toute ta verge soit hors de moi sauf le gland puis tu t’enfonces de nouveau en moi entièrement.

          Hikaru bougea comme elle lui dictait puis comprenant ce qu’il faisait, il accéléra le mouvement de plus en plus vite. Il ne se lassa pas d’entendre Sakura gémir de plaisir qu’il alla crescendo. Soudain il sentit son corps raidir et quelque chose sortait de son sexe pour se répandre avec force dans celle de son amante. Lorsqu’il vida sa sève, il retomba sur Sakura.
Sakura : Tu éjacules. Mais tu sais, tu peux faire la même chose dans l’anus. Pour que la pénétration soit facile, tu dois humidifier ton sexe de la mouille de ton partenaire.
Hikaru : Merci du conseil, Sakura. (Il fronça les sourcils quand il sentit que son sexe redevient turgescent.) Mais pourquoi mon sexe redevient dur alors que je viens de jouir ?!
Sakura rigola : Parce que tu es resté en moi et ton pénis réagit à mon contact.
Hikaru : Est-ce que ça va être pareil avec une autre ?
Sakura : Yup ! C’est à toi de décider si tu veux te vider les couilles une seconde fois en moi ou en rester là.

          Sans crier gare, Hikaru se mit à mouvoir en elle de plus en plus vite jusqu’à qu’il répande sa semence en elle avec force. Il s’écroula d’épuisement sur elle et se retira de son corps. Pendant ce temps, Genzô avait senti la montée et la descente du désir deux fois de suite. Il sut qu’il s’était passé quelque chose entre Sakura et Hikaru mais il haussa légèrement les épaules. Tarô était le seul à avoir remarqué qu’il ne fit aucune remarque. Hikaru et Sakura se rhabillèrent et partirent chacun de leur côté pur que personne ne remarque leur absence.

OoO

          L’équipe nippone retourna à l’entrainement mais personne ne vit Sakura de toute l’après-midi. Cette dernière était sortie avec ses enfants et elle avait profité pour acheter deux boites de pilules du lendemain. Elle en prit une sans tarder en achetant une petite bouteille d’eau et un paquet de gâteaux pour ses chérubins qui en réclamaient.
Dan : Maman, on rentre voir papa ?
Dana : Oh oui ! Je veux le voir jouer !
Sakura rigola : Vous êtes des chenapans !!! Vous n’aimez que le foot !!!
Dan et Dana : Maman !!!
Sakura : On y va.

          La petite famille Kinomoto-Wakabayashi retourna à la résidence et alla sur le terrain d’entraînement. Genzô fut soulagé de voir de loin sa « femme » de retour mais cela mit en rogne Yukari. Yoshiko alla voir Sakura…
Yoshiko : Sakura ? Je peux te parler en privé.
Sakura : Yup. Coach Mikami, Dan et Dana veulent rester regarder leur père jouer. Pouvez-vous veiller à ce qu’ils ne fassent pas des bêtises.
Tatsuo : Ce n’est pas un problème, Sakura.
Sakura : Merci, Coach Mikami.

          Sur ce, la fleur de cerisier suivit Yoshiko. Cette dernière était nerveuse car elle ne savait pas comment aborder un sujet délicat.
Sakura : Yoshiko, de quoi veux-tu parler ?
Yoshiko rougit : Eh bien, tu as passé… Tu as passé deux heures avec Hikaru…
Sakura soupira : Je suis désolée, Yoshiko. Ce n’était pas mon intention.
Yoshiko sourit : Ce n’est rien. De toute façon, j’ai vu que c’est lui qui a voulu te parler. C’est juste que je fusse un peu inquiète de votre absence au bout d’une heure et j’étais partie à sa recherche…
Sakura, dépitée : Yoshiko…
Yoshiko : Oui je vous ai vus faire l’a… (Elle devient rouge pivoine) L’amour… Et vous étiez dans votre bulle mais je ne suis pas restée à vous regarder.
Sakura : Yoshiko, je ne voulais pas te trahir…
Yoshiko la coupa : Arrête, Sakura. Ce n’est pas de ta faute et je ne t’en veux pas. Hikaru a sans doute eu du désir sexuel pour toi mais c’est purement physique, n’est-ce pas ?
Sakura confirma : Oui, c’est purement physique. On conserve juste notre amitié… Seulement on est plus proche que qui ce soit…
Yoshiko : Comme si Hikaru est un « Grand frère » pour toi ?
Sakura : Yup.
Yoshiko : Je comprends. Hikaru m’aime-t-il toujours ?
Sakura : Ne t’en fais pas. Il est totalement amoureux de toi. Le désir qu’il a eu pour moi n’implique pas les sentiments amoureux. De toute façon, son cœur t’appartient pour toujours.
Yoshiko : Merci Sakura. Je suis rassurée. Et… Ignore Yukari. Sa jalousie la perdra et elle se retrouvera seule.
Sakura : J’essaie mais elle est persistante.
Yoshiko : Je vois. Elle devient vraiment parano.

          Le soir venu, Yukari avait recommencé son cinéma et elle avait frappé Sakura sans contrôler sa fureur ni sa force qu’elle lui laissa des hématomes non seulement sur le visage mais aussi tout son corps y compris les seins et l’entrejambe tout en la traitant de catin. Jun, qui était allé chercher Sakura, la retrouva en piteux état. L’as de verre profita qu’il soit dans sa chambre pour redoubler ses soins pour atténuer la brutalité de Yukari et de discuter calmement avec la fleur de cerisier.
Jun : Déshabille-toi pour que je puisse te soigner là où elle t’a tabassé.
Sakura rougit : Non, c’est trop gênant.
Jun, sérieux : Sakura, je suis un futur médecin et je serai amené à voir des filles presque nues.
Sakura, pivoine : Je ne suis pas…
Jun ordonna sèchement : Sakura, ne discute pas ! (Il la vit secouer la tête négativement et soupira.) Très bien, je vais faire comme toi. Je resterai en slip, ça te va ?

          Sans attendre de réponse, L’as de verre se dénuda et garda son caleçon. Cependant il fut atterré de voir tous ces bleus sur tout le corps et même entre les jambes de son amie lorsque cette dernière n’eut d’autres choix de se retrouver en sous-vêtements. L’as de verre comprit alors pourquoi cette dernière voulait cacher son état.
Jun fulmina : Bon sang !! Nishimoto est allée trop loin !! C’est pour ça que tu ne voulais pas te débarrasser de tes vêtements. (Il remarqua des larmes sur son visage.) Oh non, ne pleure pas, Sakura !! Je déteste te voir comme ça. (Il la prit dans ses bras et la berça comme un bébé.) Ma pauvre chérie, cette fille est complètement dérangée.

          Le prince du football frotta son torse contre la poitrine de son amie qui poussa un gémissement de douleur. Fronçant les sourcils, le jeune homme lui ôta son soutien-gorge et découvrit des hématomes sur les seins.
Jun s’écria, choqué : MAIS C’EST PAS VRAI !! ELLE T’A BLESSÉE ICI AUSSI ?! (Il prit une inspiration pour se calmer.) Laisse-moi vérifier si elle ne t’a pas rouée de coups entre tes cuisses.

          Ses pires craintes furent fondées lorsqu’il lui enleva la culotte et il débita un chapelet d’injures envers Yukari. Jun caressa lentement la vulve pour atténuer la douleur. Sakura poussa un râle de plaisir.
Jun : Ne laisse plus jamais, Yukari te frapper à la poitrine, ton ventre et ton sexe sinon tu auras des problèmes. Tu ne pourras plus jamais d’avoir des enfants. Ce n’est pas ce que tu veux pour Wakabayashi ? (Sakura secoua la tête négativement.) c’est la première fois qu’elle te frappe à cette partie du corps ? (La fleur de cerisier répondit par l’affirmative tout en gémissant de plaisir lorsqu’elle sentit la main de Jun la caresser avant de la retirer.) Tu étais seule avec Hikaru en fin de matinée ? Tu as couché avec lui ?
Sakura répliqua en recouvrant ses esprits : Et alors ?
Jun : Sakura, regarde mon sexe ! (Elle vit le pénis, fièrement dressé, dépasser du caleçon.) Tu sais que je te désire surtout en te voyant comme tu es maintenant mais tu oublies que…
Sakura le coupa : Eh ! Je ne t’ai pas oublié.
Jun : Alors pourquoi tu…
Sakura : J’ai déjà pris ma décision, Jun. Je choisis l’ordre de passage.
Jun : Je vois mais promets-moi que tu tiendras compte de ma requête.
Sakura le rassura : Je n’ai pas ignoré ta demande, Jun. Hikaru avait besoin d’un cours de « Comment faire l’amour à une femme ? ».
Jun : Oh je comprends.
Sakura : Et j’espère que tu n’en auras pas besoin.
Jun : Non, ça ira. Je me l’imagine et ça me suffit pour un « débutant ».
Sakura : On verra bien.
Jun : J’espère que tu as maintenant le temps de me raconter tes batifolages avec tes « Grands frères ».
Sakura haussa les épaules : Comme tu veux mais je pense que ce serait plus facile si je te montre étant donné que je suis toute nue et que t’as ton pénis hors de ton slip… Cependant je préfère ne pas aller trop loin. C'est-à-dire que je ne te laisserai jamais jouir chaque fois que je t’arrêterai au moment tu me diras que tu serais proche. Tu devras te retenir le plus longtemps possible sans que tu te masturbes et tu comprendras pourquoi je te « torture » ainsi.
Jun : Très bien tu veux jouer à ce petit jeu, petite tortionnaire. Je refoulerai mon désir autant de fois que tu voudras sans que je jouisse jusqu’à que tu me donneras le feu vert. Et ce jour-là, je ne me retiendrai pas.
Sakura : Je le sais parce que ce refoulement du désir lui permettra d’avoir de puissants jets de semence qui me fera trembler de plaisir.
Jun : Tu as fait désirer le plus longtemps possible Wakabayashi ?
Sakura : Yup mais tu le découvriras toi-même, espèce de curieux. Comme je te le disais, mes parents m’abusaient…
Jun la coupa : Je ne veux pas entendre parler d’eux !
Sakura : Et pourtant tu vas comprendre pourquoi je suis obligée de les mentionner. (Elle le vit froncer les sourcils.) Oui ils étaient les seuls à m’abuser mais lorsqu’on était aux Pays-Bas, plus précisément en Hollande, ils m’ont obligée de ressentir du désir pour un gars de mon âge. Il s’appelait Brian Kleifort. Jun, j’étais allongée sur le bord du lit et Kleifort se tenait debout entre mes jambes.
Jun se tenait debout au pied du lit : Tu veux dire comme ça ?
Sakura : Yup. Kleifort avait abaissé son caleçon de sorte que son pénis était sans entrave et il le frottait contre ma vulve. (L’as de verre fit exactement comme elle le disait.) Et il m’avait pénétrée jusqu’à qu’il jouisse de son propre sperme en moi.

          Jun cessa de frotter son sexe contre le vagin de son amie et s’enfonça le plus loin qu’il put sa verge en elle.
Sakura gémit : Arrête !!! (Le jeune homme obéit et commença à se retirer.) Je vais passer à Ryoma Hino d’Uruguay. C’était le premier gars que je ressentais du désir sexuel sans que mes parents s’en mêlent. (Elle se redressa, lui ôta complètement le caleçon et saisit la verge de Jun dans sa main.) Je lui ai léché son pénis et pris dans ma bouche jusqu’à sa jouissance.

          Joignant à sa parole, la fleur de cerisier lui montra comme elle s’y prenait. Jun dut agripper les épaules de son amie pour ne pas perdre l’équilibre parce qu’il trouvait cela délicieux.
Jun serra les dents : Je… Je vais…

          La jeune femme cessa son va et vient et le lâcha. Jun fut frustré mais il tint bon tandis qu’elle continua son récit.
Sakura : Ryoma et moi avions couché jusqu’à mon départ pour le Brésil. C’était en Italie dans la ville de Milan que tout avait changé.
Jun : Je vois. Que s’est-il passé la mort de tes parents ?
Sakura : J’allais partir en Suède dont la veille, j’ai couché avec Gino. Il savait que je n’étais plus vierge de mes deux orifices donc il en avait profité pour perdre sa virginité. (Elle se mit en levrette au milieu du lit.) Viens dans mon anus, Jun.

          L’as de verre la rejoignit sur le lit et se mit derrière elle. Il guida son sexe vers le vagin pour la mouiller puis il le plaça vers l’entrée de l’anus. Poussant d’un coup de rein, il enfonça complètement sa verge dans le rectum de Sakura puis il se mit à mouvoir en elle lentement. Continuant son va et vient, le prince des pelouses la doigta dans son vagin tandis que la jeune femme gémit de plaisir. Alors que Jun commença à accélérer le mouvement dans l’anus, Sakura lui raconta que Karl Heinz Schneider avait lui aussi perdu sa virginité. Jun sentit qu’il était proche de la jouissance qu’il se retira du corps de Sakura et s’allongea à ses côtés.
Jun l’embrassa près de sa bouche : Je crois qu’on va en rester là.
Sakura : Oui.

OoO

          Quatre jours plus tard, Kazuki Sorimachi venait de terminer son entraînement et alla retrouver Sakura qui était dans le jardin. Elle fuyait Yukari qui perdait toujours les pédales.
Kazuki : Sakura ? Tu vas bien ?
Sakura : Yup, Sorima…
Kazuki la coupa : Kazuki. Tu peux appeler tout le monde par le prénom.
Sakura : Ah d’accord. Que veux-tu ?
Kazuki : Être plus proche de toi en perdant ma virginité en toi. Si tu me désires aussi…
Sakura : Kazuki… Tu es sûr de toi ?

          Le jeune homme la prit dans ses bras pour toute réponse et l’embrassa dans son cou. Il la déshabilla complètement tout en l’embrassant entièrement. Cependant il fronça les sourcils en remarquant des bleus de partout.
Kazuki : Sakura ? C’est quoi tout ça ?
Sakura : Ne fais pas attention, s’il te plait.
Kazuki se dévêtit : Comme tu veux. Et désolé de ne pas avoir de préservatif.
Sakura prit son sexe dans sa main : Ne t’inquiète pas pour ça.
Kazuki protesta : Mais… (Il la vit mettre le pénis dans sa bouche puis de faire des mouvements de va et vient.) Sakura !

          Heureuse ce lui avoir cloué le bec, la jeune femme s’allongea et écarta les cuisses. Kazuki s’allongea sur elle et la pénétra d’un puissant coup de reins dans son vagin. Peu à peu, il accéléra ses coups de bassin de plus en plus vite qu’il finit par répandre sa semence en elle. Lorsqu’il fut complètement vidé, il se retira du corps de Sakura.
Sakura : Merci, Kazuki.
Kazuki : C’est moi qui te remercie. Tu devrais aller te doucher. Quant à moi, je vais rester un peu ici.

          La jeune femme s’habilla rapidement sans rien dire et s’en alla à la résidence. Au moment où elle allait être abordée par Yukari, elle fut entraînée au loin par Kojiro. Ce dernier l’amena vers la salle de bains où il ferma la porte à double tour.
Kojirô : Putain ! Cette Nishimoto est une connasse !!
Sakura : Je me demande s’il sait qu’elle me bat…
Kojiro : Je ne sais ce qu’elle te fait mais elle est très agaçante. En fait, ce n’est pas pour ça que je voulais te voir.
Sakura fronça les sourcils : C’est pour quelle raison alors ?
Kojiro se déshabilla entièrement : Pour ça. Je veux que tu me fasses perdre ma virginité.

          Le tigre lui prit la main et la posa sur son sexe turgescent. Sakura le masturba instinctivement tout en resserrant sa main sur le pénis. Poussant un râle de plaisir, Kojiro dévêtit complètement sa compagne. La prenant par surprise ce qui l’obligea à retirer sa main, le tigre lui écarta les jambes et la porta dans ses bras par les fesses. Il alla dans la douche avec elle. La plaquant contre le mur, il fit couler l’eau sur eux et la pénétra puissamment dans le vagin. Au fur et à mesure de ses coups de reins, il alla crescendo jusqu’à qu’il déverse son sperme puissamment en elle.
Kojiro : Dieu que c’est bon !!
Sakura : Kojiro. Je dois maintenant aller me changer.
Kojiro : Yeah. Merci.
Sakura : De rien.

          La fleur de cerisier quitta la salle de bain et s’en alla dans sa chambre où elle prit la pilule du lendemain. Genzô et les enfants la rejoignirent pour passer du temps en famille.
Genzô : Tu vas bien, Chérie ?
Sakura : Yup, Gen.
Genzô : Depuis ces derniers jours, elle continue à m’appeler par mon diminutif mais fais-je entièrement partie de sa vie ? Oublions ça. J’aime quand elle me nomme ainsi parce que je me sens plus proche d’elle.
Dan et Dana : Maman, câlin !!
Sakura rigola : Oui, oui, petits démons ! (Elle les prit dans ses bras et fit plein bisous.) Et après, dodo !
Dan et Dana protestèrent : Oh non !!!
Sakura répliqua sévèrement : Il le faut sinon vous serez trop fatigués pour jouer cet après-midi.

          Les jumeaux firent la moue. Le S.G.G.K. constata que les enfants ont la même grimace que sa « femme ».
Genzô : Eh bien ça va faire des ravages !! Dan et Dana vont faire craquer des filles et des garçons.

          Un peu plus tard, les jumeaux dormaient à poings fermés dans leurs lits. Le dieu protecteur du Japon fronça les sourcils quand il l’entendit gémir de douleur alors qu’il la tenait dans ses bras.
Genzô : Qu’est-ce que tu as ?
Sakura : Ce n’est rien.
Genzô rétorqua : Ne te fiche pas de moi ! Tu es blessée ? (Elle acquiesça) Montre-moi ça.

          La jeune femme n’eut d’autres choix que de se dévêtir complètement. Les yeux de son compagnon se révulsa d’horreur en voyant des bleus partout.
Genzô, choqué : Mon dieu !! Mais qui a pu faire ça ?!
Sakura : …
Genzô : Sakura ! Pourquoi ne me dis-tu rien ?!
Sakura : Tu comprendras un jour ou l’autre, Gen. Je ne peux rien te dire parce que cette personne trouvera toujours une excuse bidon pour me punir.
Genzô : Elle n’a pas son mot à dire !!
Sakura : Ce n’est pas ce que cet individu pense. Fais-moi confiance.
Genzô soupira : Je ne fais que ça, Sakura. Te faire confiance mais et toi ? Auras-tu un jour foi en moi ? Je suis quand même ton homme !!

          Cependant il connaissait mieux que personne que sa petite amie avait ses raisons de ne rien dire sur son tortionnaire. Le S.G.G.K. sentit les mains de sa chérie en train d’ouvrir son pantalon et il la regarda saisir son pénis pour le masturber.
Genzô serra les dents : Sakura, ce n’est pas le moment !! (Il vit sa femme faire la moue sexy.) Oh et puis zut !! Lèche mon sexe et fais-moi l’amour !! Elle n’a connu que le sexe toute sa vie à cause de ses foutus parents et elle ne peut s’en passer.

          La capitaine de l’équipe féminine se mit à le lécher de toute sa longueur puis elle le prit dans sa bouche pour lui imprimer le mouvement de va et vient. Le dieu protecteur venu d’orient accéléra soudainement ses coups de reins et au moment où il allait jouir, il se retira ce qui fit protester sa compagne. Le jeune homme la mit en position de la levrette, lui écarta les fesses et la pénétra d’un coup de reins dans l’anus. Ils montèrent au septième ciel tout en s’empêchant d’hurler leur plaisir pour ne pas réveiller les enfants. Genzô se vida de son foutre au bout de son quatrième jet pour s’être retenu plusieurs jours. Quand ils eurent fini, ils se rhabillèrent de sorte que Dan et Dana ne les virent jamais comme Sakura avait vécu.
Genzô : Je crois qu’il faudrait éviter de faire ça pendant que les enfants dorment car on ne peut pousser des gémissements.
Sakura fit la moue boudeuse : Mais je ne peux…
Genzô l’embrassa : Je le sais. On demandera à Misaki ou les filles.
Sakura : Pourquoi ai-je toujours besoin de faire l’amour ?! Et j’ai toujours envie de Gen. Cependant, j’ai en ce moment un besoin primitif de coucher avec Jun et de sentir son foutre en moi.

OoO

          Deux jours plus tard, Sakura était de nouveau dans la chambre de Jun comme tous les soirs à cause des blessures faites par Yukari. Le futur médecin fit une inspection complète : Il remarqua que la capitaine de l’équipe féminine avait cette fois-ci protégé sa poitrine, son ventre et son entrejambe.
Jun se dévêtit : Les dégâts sont moins impressionnants mais fais attention quand même. Nishimoto ne va pas de main morte.
Sakura : Jun, tu peux me promettre quelque chose ?
Jun : Oui. Qu’est-ce qu’il y a ?
Sakura lui caressa le sexe : Si jamais il m’arrive quelque chose, je veux que tu résumes aux autres ce qui s’était passé ces deux semaines.
Jun : À propos de Nishimoto ?
Sakura : Yup. Tu me promets ?
Jun poussa un râle de plaisir : Je… Je te le promets. Je te jure que je lui rendrai au centuple ce qu’elle t’a fait. Je lui pourrirai sa vie.
Sakura : Merci Jun.
Jun : Tu as couché avec d’autres ?
Sakura : Tu sautes du coq à l’âne. Après Genzô, c’était Tarô.
Jun : Ah je vois. Ça explique pourquoi il t’aide beaucoup avec les enfants.
Sakura : Yup.
Jun : Et tu as couché avec Matsuyama, Sorimachi et Hyuga qui ont tous répandu leur sève en toi. (Sakura acquiesça.) Je ne compte pas Wakabayashi. Est-ce cette fois enfin mon tour ? Puis-je déverser mon fluide de vie en toi ? Tu ne crois pas que j’ai assez enduré ?
Sakura : Mmm. À une seule condition. (L’as de verre fronça les sourcils.) Que tu te retiennes de jouir le plus longtemps possible.
Jun récapitula : Tu veux dire que je te donne le plus long plaisir de ta vie avant que je jouisse de mon foutre ?
Sakura : C’est cela.

          Et sans attendre de réponse, la fleur de cerisier caressa le corps de son amant sans lâcher le pénis qu’elle tenait depuis un certain temps. Elle se mit ensuite à lécher la verge turgescente et la prit entièrement dans sa bouche pour la pomper. Jun était allongé sur le dos et se tordait de plaisir le plus longtemps possible en s’agrippant aux draps pour s’empêcher de tendre la main vers elle.
Jun sentit qu’il allait éjaculer : Sakura, arrête !!

          La jeune femme gouta le liquide pré-éjaculatoire de son soupirant avant de le libérer de sa torture. Jun se redressa, tira Sakura vers lui et l’allongea sur le lit. Il se mit à lui titiller la pointe des seins longuement. Sakura se tordit de plaisir mais elle s’agrippa aux draps, le laissant continuer. Ensuite l’as de verre descendit jusqu’aux cuisses qu’il écarta pour pouvoir lui lécher le mont de vénus aussi longtemps qu’il pouvait. Il glissa alors sa langue à l’intérieur du vagin de son amante, allant aussi loin qu’il pouvait.
Sakura pleura de plaisir : Oh Jun !! Continue !!! C’est trop bon !!

          Le prince des pelouses se retira ce qui fit protester sa compagne. Il remplaça sa langue par un doigt qu’il enfonça au plus profond d’elle et le fit bouger pour décupler le plaisir de sa maîtresse. Petit à petit, il enfonça un second doigt en elle tout en continuant le mouvement de va et vient puis il sentit qu’elle était trop humide. Sakura fronça les sourcils quand elle vit son amant enfoncer lentement son troisième et quatrième doigt en elle. Elle commença à avoir mal mais Jun utilisa l’autre main pour stimuler le clitoris et le plaisir revint au galop. L’as de verre put bouger ses doigts en ciseaux en elle. La fleur de cerisier poussa un râle de plaisir en sentant ses sens accroître au-delà de ce qu’elle avait vécu. Le prince du football continua à la torturer pendant quelques minutes avant de retirer lentement ses doigts de son vagin.
Jun demanda : T’ai-je suffisamment donné du plaisir ?
Sakura : Oui. Maintenant, je veux que tu enfonces ton pénis en moi mais ne jouis pas tout de suite. Je veux sentir le mouvement de ta verge dans mon vagin et que tu me donnes le plaisir le plus longtemps possible.
Jun railla : Et qui est le plus cochon maintenant ?
Sakura siffla : Tais-toi !

          Jun se mit entre ses jambes et la pénétra d’une seule poussée. Il se mit à mouvoir en elle avec une telle lenteur que Sakura se mit à bouger son bassin pour le stimuler.
Jun serra les dents : Sakura, arrête de m’exciter comme ça !! Je suis déjà trop dur et je vais accélérer le mouvement si tu continues !! Sais-tu que je suis au bord de la jouissance à plusieurs reprises ?! Je ne vais plus pouvoir me retenir !! Sakura !!!
Sakura gémit : Maintenant, Jun !! Remplis-moi de toi !!

          L’as de verre avait atteint la limite de l’endurance. Il alla plus vite et plus fort le plus longtemps possible tandis que Sakura gémissait de plaisir. Jun se raidit soudain et eut sa première éjaculation vigoureuse qu’il en trembla de tout son être. Donnant un second coup de rein, l’as de verre sentit que son sperme sortait de son sexe pour se répandre puissamment en elle.
Jun, surpris : C’est pour ça que tu m’as fait refouler l’éjaculation ?
Sakura : Yup ! Et donne encore un autre coup de reins.
Jun : Encore ?
Sakura : Yup !

          Il donna un coup de bassin pour la troisième fois qu’il répandit complètement son foutre au plus profond d’elle.
Jun : Oh mon dieu ! Je me sens vide.
Sakura sourit : C’est normal. Tu viens d’éjaculer trois fois de suite. Plus tu te retiens aussi longtemps possible et plus tes jets sont puissants.
Jun : Merci Sakura pour ce moment.
Sakura : Et moi, je te remercie du plaisir que tu m’as longuement donné.

          Mais la jeune femme savait qu’elle passerait encore des moments avec Jun parce qu’elle avait toujours besoin de soins à cause de Yukari. Jun, qui avait encore envie d’elle, profitait de ces moments intimes pour apaiser son appétit sexuel et il aimait cette sensation de répandre sa semence au plus profond de son amie.
Jun : Sans compter Wakabayashi, tu te donnes encore aux autres ?
Sakura : Normalement non, on ne devrait plus coucher ensemble même avec toi. Mais le désir sexuel est quelque chose de primitif qui peut durer un certain temps, qu’importe que ce soit un jour ou toute la durée du stage ou du séjour dans un pays.
Jun fronça les sourcils : Tu ne m’avais pas dit que tu étais en Suède ?
Sakura : Tu sais que Genzô avait pris trois râteaux ? (Jun acquiesça d’un signe de tête.) C’est parce que j’étais déjà amoureuse d’un autre nommé Stephan Levin. Ce dernier ne l’avait jamais su parce qu’il était lui aussi déjà amoureux de ma meilleure amie Karen Katarina et ils étaient fiancés mais ses dernières paroles m’avaient profondément blessée sans qu’il me donne une chance. C’était à force de fréquenter Genzô que mon cœur avait peu à peu changé de direction et qu’il ne bat que pour lui.
Jun : Et tu es certaine que tu n’es plus amoureuse de Stephan Levin ?
Sakura : En vérité, je ne sais pas trop parce que je n’ai pas revu Stephan depuis que je m’étais installée en Allemagne. Je ne peux dire si c’est vraiment de l’amour ou si c’est juste une amourette de jeunesse. Genzô croit que je suis toujours amoureuse de Stephan et qu’il n’a que des restes de mon cœur.
Jun : Idiote ! Tant que tu n’auras pas revu Stephan Levin, Wakabayashi aura toujours des doutes de ton amour pour lui. (Elle allait protester.) Sakura, tu aimeras toujours ton premier amour d’une certaine façon mais tu dois te demander si tu pourrais te contenter des miettes du cœur de Levin le restant de ta vie alors que tu as Wakabayashi qui t’aime de tout son cœur. Pourras-tu vivre dans le doute toi aussi sachant que tu n’as connu que ça toute ta vie ? (Il vit des larmes couler le long des joues de son amie.) Oh dieu, Sakura !!! (Il s’allongea sur elle, noua les jambes de la jeune femme autour de sa taille et la pénétra d’un coup de bassin profondément dans son vagin.) Je déteste te voir pleurer !! Je n’ai pas dit ça pour te blesser mais pour que tu te rendes compte que tu peux être plus heureuse avec Wakabyashi qu’avec Levin. (Il plongea et replongea son pénis en elle en accélérant le tempo, retenant sa semence le plus longtemps possible.) Tu as besoin de quelqu’un qui t’aime de tout son être. Je sais que tu passes ton temps à le blesser sans que tu te rendes compte mais pourras-tu accepter de le perdre définitivement ? Réalises-tu que tu as de la chance que Wakabayashi t’accepte telle que tu es même si tu couches avec d’autres ? Prends-tu conscience qu’il t’attend aussi longtemps qu’il put que tu ne sois profondément amoureuse de lui, que tu n’as que lui dans ton cœur en amour ? (Il sentit qu’il allait jouir mais il se retint tout en ralentissant la cadence.) Tu dois vraiment mettre fin à ton histoire avec Levin une bonne fois pour toute et d’aller dire à Wakabayashi qui tu choisis pour de bon. Tu sais qu’il t’appelle toujours sa « femme » à n’importe quelle discussion ?
Sakura gémit de plaisir : Yup mais Jun, c’est très compliqué. (Il allait stopper le mouvement.) Ne t’avise pas de t’arrêter avant d’avoir joui !! (L’as de verre accéléra ses coups de reins, la faisant pousser des râles de plaisir.) La vérité est que Genzô et moi sommes fiancés depuis la naissance par nos parents. Nous nous n’étions jamais rencontrés avant. Et puis il est trop entêté parce qu’il ne réalise pas qu’il a déjà pris mon cœur entièrement et que je suis tombée amoureuse de lui quand j’ai mis au monde les jumeaux. Jun !!
Jun se raidit et éjacula avec force en elle : Quel entêté !! Sakura !!
Sakura : Jun, je suis en train de tomber amoureuse profondément de Gen mais… (Elle éclata en sanglots.) Il persiste à croire qu’il n’a que des restes de mon cœur !! Je ne sais pas comment lui faire comprendre que je l’aime mais je sais que je continue à le blesser !! J’ai peur qu’il m’ignore et qu’il ne m’aime plus si je ne couche plus avec un autre…
Jun : Oh Sakura !! Ne pleure pas !! (Il la serra contre lui mais rien n’y fait quand il se rendit compte qu’il était toujours en elle.) Si ça ne marche plus comme ça alors je vais essayer autrement. Elle aime avoir le pénis en elle. Sens-tu mon sexe en toi ? (Il donna des coups de reins pour regonfler sa verge.) Je te ferai l’amour chaque fois que tu es malheureuse. Il va falloir que j’aie une discussion très sérieuse avec Wakabayashi quand il aura besoin d’une prise de conscience radicale !! Je ne vais pas le laisser la faire souffrir !
Sakura hoqueta : Je ne comprends pas pourquoi il continue à me faire l’amour que dans l’anus depuis la naissance des jumeaux !! S’il te plait, Jun… Ne me sodomise jamais.
Jun accéléra le mouvement : Je te le promets, Sakura. Je ne remplirai ma semence que dans ton vagin. Je jure que je vais lui faire entendre raison !!

          Ces instants magiques que vivent les deux amis, y compris avecGenzô, Tarô, Kazuki, Kojiro et Hikaru durèrent jusqu’au jour où Sakura fut totalement dépressive suite à l’énième tabassage de Yukari.
Le matin où Sakura, salement amochée, se taille plusieurs veines avec un couteau profondément et qu’elle se laisse mourir ainsi.
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Je taime mais ne leur dis pas