La vie nest pas un long fleuve tranquille | By : AdamPark Category: French > Manga Views: 15 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Tout appartient Yoko Kamio de Hana Yori Dango et les chansons leurs chanteurs respectifs que je ne fais emprunter sauf l'histoire que j'ai crite pour le plaisir. Je ne possde aucunement le Fandom ne gagnant pas d'argent. |
Mais Tsukushi ne disait rien à Rui car elle avait un besoin vital de sentir ses yeux doux sur elle en l'absence d'Alec.
Akira : Changeons un peu de sujet.
Sôjirô : Oui. Vous savez que je trouve bizarre qu'on n'entende pas parler de Sakura Ramsay depuis hier.
Tsukushi : ... Ils parlent de mon autre moi... N'ont-ils pas un autre sujet à débattre pour ne pas me mettre mal à l'aise ? Je le suis encore plus quand je sais que je suis la même personne...
Shizuka : C'est normal. Elle a une vie privée comme tout le monde.
Tsukushi : Ouf ! Ça me rassure d'entendre ça sinon je suis coincée !
Akira : Oui c'est vrai. Et puis c'est la première fois donc il n'y a pas le feu. Elle est sans doute en vacances.
Tsukushi : Non puisque je suis Sakura Ramsay.
Shizuka : Ne serais-tu pas amoureux de Sakura Ramsay, Sôjirô ?
Tsukushi : Gloups !
Sôjirô : Je le suis ! J'ai envie de la rencontrer en vrai et lui voler un petit baiser.
Tsukasa, jaloux : Pas touche ! Elle m'intéresse aussi !
Shizuka, Akira et Rui levèrent les yeux au ciel tandis que Tsukushi regardait Tsukasa et Sôjirô en train de se disputer pour Sakura.
Tsukushi : Embrasser Dômyôji ?! Beurk !! Mes lèvres vont pourrir !! Jamais je ne toucherai les lèvres de poulpe !! Nishikado ? Hum... Je verrai lorsque je serai Sakura Ramsay. En attendant, je dois penser à Rui et à ma santé.
Sôjirô, moqueur : On verra bien si Sakura Ramsay s'intéresse vraiment à toi, Tsukasa.
Tsukasa, sûr de lui : Quand je veux quelque chose, je l'obtiens toujours.
Tsukushi : Sale gamin égoïste et pourri !!
Sôjirô : Tu ne pourras pas tout avoir, Tsukasa !
Shizuka : Sôjirô a raison, Tsukasa. Un jour ou l'autre, tu sauras que tu ne gagneras pas toujours.
Akira : Oui et tu ne peux pas avoir Sakura Ramsay et Sherry Makino en même temps !
Tsukasa : Sherry Makino ne ressemble pas du tout à Sakura Ramsay ! Elle n'a pas une once de ce que possède la chanteuse ! Toutes les deux sont à l'opposé !
Tsukushi : Normal ! C'est moi la vraie Sakura.
Sôjirô : Les images de Sakura Ramsay ne signifient pas que tu la connaisses très bien.
Akira : C'est vrai. On ne sait rien de sa vie privée.
Shizuka : Elle est si mystérieuse.
Tsukushi en avait assez d'écouter ce que le F3 et Shizuka disent sur son autre elle et elle se sentait gênée.
Épuisée.
Elle avait tellement envie de pleurer et de dormir mais elle ne pouvait pas donc elle se retint avec grand effort.
Rui remarqua le malaise de Tsukushi à cause de cette conversation mais aussi parce qu'elle avait besoin de se soulager de ce lourd poids de la journée.
Rui intervint : Pouvez-vous parler d'autre chose ? Vous mettez mal à l'aise Tsukushi en parlant de cette chanteuse.
Tsukushi : Rui... Merci Rui.
Le jeune homme avait compris le message muet de la jeune fille sans émettre un son et il avait même un visage légèrement doux. Le F3 et Shizuka n'en revenaient pas car ils se demandèrent bien pourquoi cela mettait mal à l'aise Tsukushi en parlant de Sakura Ramsay. Bref ils décidèrent de changer de nouveau la conversation pour ôter le malaise de Tsukushi.
Sôjirô : Au fait Tsukushi Makino, où vas-tu dormir ce soir ?
Akira : Oui c'est vrai puisque tu ne rentreras pas chez toi à cause de ta brouille avec ta cadette.
Tsukushi : Je ne sais pas.
Shizuka proposa : Tu peux venir chez moi.
Tsukushi : C'est gentil, Shizuka mais et Rui ? Il n'est qu'un bébé vraiment difficile pour dormir et surtout dans son choix de personnes.
Shizuka, surprise : Ah bon ?
Tsukushi confirma : Oui, il dort à des heures irréguliers. C'est pour cela que je suis dans cet état de fatigue. Il crie à pleins poumons la nuit et il empêche de dormir toute personne autour de lui. Sherry peut dormir sans souci car elle met des bouchons dans ses oreilles pour insonoriser. Je suis la seule à supporter cela.
Shizuka : N'y a-t-il pas un moyen pour l'endormir ?
Tsukushi : J'ai juste besoin d'une personne qui joue du violon car il adore la musique. Il s'endort dessus.
Shizuka : Oh, aime-t-il le son d'un piano ?
Tsukushi soupira de déception : Malheureusement non.
Shizuka, déçue : Dommage.
Tsukushi : Je sais, Shizuka. Sache que ce n'est pas parce que je ne veux pas venir chez toi, c'est parce que je pense à mon frère avant moi.
Shizuka : Ce n'est pas grave, Tsukushi. Je t'admire car tu es une fille exceptionnelle qui pense aux autres avant toi-même. Je comprends mieux pourquoi Rui te protège... Tu es beaucoup moins égoïste que moi. Tu es très spéciale à ta manière, Tsukushi.
Tsukushi, gênée : Mais... Mais non...
Shizuka sourit : Tu es vraiment mignonne quand tu es gênée dès qu'on te fait un compliment. N'est-ce pas, Rui ?
Rui : Oui, très mignonne.
Embarrassée, Tsukushi ne savait pas trop où se mettre. Akira intervint pour empêcher le malaise s'installer.
Akira : Il est vraiment particulier ton frère.
Tsukushi : Oui, très particulier. Il choisit les personnes qu'il aime par un sourire assez rare mais il se met à pleurer dès qu'il déteste quelqu'un.
Sôjirô : Ce comportement n'est-il pas à cause de Sherry Makino ?
Tsukushi soupira, d'un air attristé : Oui, c'est bien à cause d'elle. Tous les deux se détestent mutuellement. Rui n'a que moi pour l'instant mais je sais qu'un jour, à un certain âge, il aura besoin d'une présence masculine en permanence. À mon travail, il déteste mes collègues sans aucune raison mais j'ai compris pourquoi par la suite sa réaction. Il agit de cette façon pour me protéger à sa manière.
Akira : Dans ce cas, notre Rui serait plus adapté vu qu'il joue du violon.
Tsukushi : Je le sais, Mimasaka. Tu ne m'apprends rien de nouveau.
Shizuka, surprise : Comment le sais-tu ?
Tsukushi : J'ai entendu de la musique et j'ai cherché la source.
Akira : Et tu as découvert Rui.
Tsukushi : Oui.
Sôjirô : A-t-il accepté de jouer devant toi ?
Tsukushi fronça les sourcils : Pourquoi me poses-tu cette question, Nishikado ? Ne fais pas comme si Rui Hanazawa n'est pas là. Adresse-toi à lui directement.
Rui : Dans un sens, elle a raison mais pourquoi ne me laisse-t-elle pas dans mon coin comme les autres ?
Tsukushi : Il doit avoir une raison mais c'est entre vous. Je ne sais pas ce qu'il s'était produit avant.
Shizuka : Elle a raison, Sôjirô.
Sôjirô : Pff !! D'accord.
Rui fronça les sourcils : Pourquoi cette question, Sôjirô ?
Sôjirô : Elle pourrait te donner son avis.
Tsukushi sursauta : Pourquoi moi ?
Akira soupira : Il a une mauvaise opinion de son jeu...
Rui : Mais laisse-la en dehors de tout ça !!
Shizuka supplia : S'il te plait, Tsukushi. Donne-lui ton opinion.
Rui, outré : SHIZUKA !!
Sôjirô : Tsukushi Makino, sache qu'à cause de Tsukasa, il n'a plus jamais joué devant nous.
Akira : Oui et depuis nos sept ans.
Tsukushi : ...
Tsukasa : Humpf !
Rui, outré : À quoi jouez-vous ?! Cela ne la concerne pas !!
Tsukushi regardait Rui et elle comprit qu'il était blessé que ses amis le trahissent de cette façon. D'un côté, elle était curieuse de savoir ce que Tsukasa lui avait dit mais d'un autre côté, elle comprit la colère de Rui.
Tsukushi : De mon côté, je cache encore des secrets car ils ne savent pas que je sache jouer à sept instruments de musique dont je suis plus douée à quelques-uns parmi les sept. Rui déteste le son de certains.
Shizuka : Rui, tu ne dois pas avoir honte.
Tsukushi, ferme : N'insistez pas si Rui Hanazawa ne veut pas que je sache. Je respecte son choix.
Rui fut entièrement reconnaissant à Tsukushi car il n'avait rien oublié le mal que Tsukasa avait fait malgré les années passées. Le chef du F4 soupira de soulagement mais cela n'échappa pas aux yeux de Tsukushi qui devinait que ce dernier avait dit une méchanceté à Rui jadis.
Akira et Sôjirô : Pourquoi n'irais-tu pas chez Rui dans ce cas ?
Tsukushi, prise au dépourvu : Ce qui ?! Ne fais pas comme si Rui Hanazawa n'est pas là !!
Rui remercia intérieurement la jeune fille qui pensait à lui et à ses sentiments. De son côté, Tsukasa n'était toujours pas remis du choc en voyant pour la première fois les deux sœurs Makino en même temps car il ne s'était pas préparé à l'avance malgré les avertissements. Il avait du mal à prendre conscience que la personne qui se trouvait devant lui n'était pas Sherry à la différence des autres.
Il était jaloux.
Jaloux de Rui Hanazawa.
Tsukasa s'écria : TU NE PEUX PAS ALLER CHEZ RUI !!
Sôjirô, surpris : Qu'est-ce qu'il te prend, Tsukasa ?!
Akira, surpris : Et pourquoi tu t'opposes ?!
Shizuka, surprise : Tu es devenu fou ?!
Tsukasa, énervé : TU LAISSES FAIRE, SHIZUKA ?!
Shizuka soupira : Ce n'est qu'une nuit.
Tsukasa, énervé : C'EST SHERRY !!
C'en était trop !! Rui était furieux intérieurement et il allait bondir sur ses pieds quand Tsukushi l'empêcha en posant sa main sur la sienne. Elle savait qu'il était inutile d'hurler après Tsukasa. Elle se tenait là étrangement et dangereusement très calme mais sa voix était dure, tranchante comme une lame bien acérée et glaciale qui donna des frissons de peur dans le dos à son entourage.
Tsukushi : Je te signale de nouveau que je ne suis pas Sherry, Dômyôji ! Tout le monde l'a compris sauf toi ! Et puis qui es-tu pour décider à ma place en cet instant ?! Je ne suis pas une poupée en chiffon qu'on range dans un placard une fois qu'on a fini de jouer avec. Je ne suis pas sans cervelle ! Mais tu sais, tu es très mal placé pour me dire ça, Dômyôji !! Toi qui as failli de faire violer ma sœur par quatre garçons que tu as payé !! Sache que je ne vais jamais m'installer chez quelqu'un sans y être invitée !! T'es vraiment bête ou quoi ? Maintenant ça suffit ! Ne fais pas le jaloux avec moi car ça ne marche pas. Je n'ai pas besoin de plusieurs jours pour savoir que tu envies quelqu'un qui n'est autre que Rui Hanazawa. C'est complètement ridicule !! J'imagine très bien que tu as dû accuser à tort et à travers jadis Rui Hanazawa. Je l'ai compris avec le peu de phrases détournées mais cela m'a confirmé, bien que je croie sur parole tes amis, lorsque tu as soupiré de soulagement. Et ça, c'est une grave erreur !! Je suis certaine que Rui Hanazawa l'a remarqué mais tu n'as jamais pensé au mal que tu lui fais, Dômyôji. Tu n'es qu'un sale égoïste ! Si tu étais vraiment son ami le plus proche, tu ne critiquerais jamais sa musique ! Finalement tu n'es qu'un incompris pour lui.
Rui était suffoqué par ce que Tsukushi venait de dire car elle avait deviné leur rivalité cachée sous leur amitié si solide en un clin d'œil. Il était de surcroît très reconnaissant qu'elle ne l'avait jamais dit à personne avant aujourd'hui. Sôjirô, Akira et Shizuka étaient épatés par la clairvoyance de la « mauvaise herbe ». Cependant ils n'avaient jamais vraiment compris Rui pendant toutes ces années passées et ils se sentaient un peu mal à l'aise. Quant au chef du F4, il resta coi pendant un bon moment.
D'un autre côté, Rui, Shizuka, Sôjirô et Akira étaient exaspérés car ils commençaient à en avoir assez de Tsukasa et de sa jalousie maladive, surtout de son mécontentement pour un oui ou pour un non.
Tsukushi : Sachez que je ne dis pas ça pour briser votre amitié de longue date mais ce serait bien que vous fassiez un peu plus d'efforts pour mieux comprendre Rui Hanazawa. Il en fera de même pour vous. Ne vous vous critiquez pas assez durement mutuellement sinon la confiance s'effritera.
Shizuka : J'ai dû avoir compris Rui depuis longtemps mais finalement je me suis trompée. J'ignorais qu'il était blessé par les paroles de Tsukasa sur sa musique. Je n'avais pas compris pourquoi il ne jouait plus devant Tsukasa, Akira, Sôjirô et même des fois devant moi. Tsukushi, elle... Elle l'a su en peu de temps juste avec des phrases détournées sans savoir ce que Tsukasa avait dit à Rui.
En cet instant, Shizuka et le F4 comprirent que Tsukushi connaissait jadis ce genre de situation. Tsukushi était lâchement abandonnée par ses anciens amis et ses anciennes amies à cause de Kazuya Aoïké et de son gros mensonge.
Tsukushi : Bon, je vais d'abord passer chez moi pour récupérer quelques vêtements pour mon frère et moi avant que ma sœur soit à la maison après le collège. Elle ne travaille pas ce soir.
Au moment où elle voulut se redresser sur ses pieds, ses jambes ne la portaient plus. Elle tomba sur Rui, le corps frémissant et crispant pour la seconde fois. Sôjirô vint aider la jeune fille à se redresser et à se tenir debout.
Shizuka, inquiète : Tsukushi ? Tu vas bien ?
Tsukushi la rassura : Ne t'en fais pas, Shizuka.
Sôjirô : Mais tu trembles...
Tsukushi, ferme : N'insiste pas, Nishikado.
Tsukasa, énervé : IDIOTE !! TU NE VOIS PAS... !!
Tsukushi, glaciale : La ferme, Dômyôji !!
Tsukasa était choqué de constater que Tsukushi n'avait même pas élevé la voix. En cette seconde, il prit donc conscience qu'elle n'était pas du tout Sherry. Cette dernière était spéciale à sa manière.
Rui se leva sur ses pieds puis il prit Tsukushi dans ses bras. La « mauvaise herbe » ne disait rien mais elle l'interrogea muettement sachant qu'elle avait besoin de lui en l'absence de celui qu'elle aimait.
Shizuka : Rui, tu vas l'héberger ?
Le silence du jeune héritier Hanazawa en disait long et seule Tsukushi comprenait le message. Elle le remercia de la même façon. Le F3 et Shizuka se sentaient totalement exclus de ce langage muet.
OoO
De son côté, Sherry n'arrivait pas à croire que son aînée pouvait facilement approcher le F4 et Shizuka Todo. Elle était jalouse mais en réfléchissant bien, elle avait attiré l'attention de Tsukasa Dômyôji, le chef du F4, même si elle ne l'aimait pas particulièrement.
Sherry : Pourquoi ne puis-je pas être comme elle ? Je n'attire pas le reste du F4 comme je le voulais...
Elle entendit une voix l'appeler lorsqu'elle sortit des toilettes en tenue de sport. C'était Kazuya Aoïké qui venait à son encontre.
Sherry soupira : Il est collant !!
Kazuya : Sherry, tu ne m'avais pas dit que Tsukushi était à Eitoku !
Sherry, agacée : Pas besoin de dire alors que tu étais déjà au courant.
Kazuya : Bon, dis-moi qui est Rui Makino.
Sherry, butée : Non.
Kazuya exigea : J'ai le droit de savoir !
Sherry, butée : Non, pas depuis que tu as sali la réputation de ma sœur.
Kazuya, agacé : MAIS TU T'EN FOUS !!
Sherry, énervée : C'EST VRAI QUE JE M'EN FOUS DE MA SŒUR MAIS PAS AU POINT DE SALIR LA RÉPUTATION DU RESTE DE MA FAMILLE !! TU N'AS AUCUN BESOIN DE SAVOIR QUI IL EST !! JE T'AVAIS PRÉVENU DE RESTER EN DEHORS DE NOTRE FAMILLE !!
Sur ce, Sherry laissa le jeune homme planté et retourna en cours. Kazuya ne savait plus quoi faire car si Sherry n'était plus son amie, il serait totalement perdu. Il ne pouvait pas se permettre de faire une seconde fois un scandale car il avait pour conséquence de ne plus jamais voir les Makino.
OoO
Après le départ de Rui et de Tsukushi, le F3 et Shizuka étaient restés et parlaient entre eux sur leurs comportements.
Tsukasa râla : Je n'y comprends rien ! Elle aime Rui ou quoi ? Et son amoureux ?
Akira : Je ne pense pas qu'elle aime Rui.
Sôjirô : C'est plutôt un sentiment différent qui les relie car Rui ressemble à son Alec. Tsukushi doit être vraiment à l'aise avec lui.
Tsukasa, énervé : ET TU LAISSES FAIRE, SHIZUKA ?!
Shizuka : Que veux-tu que je fasse, Tsukasa ? On ne peut pas lutter contre l'affection. Et puis je ne ferai pas changer d'avis Rui s'il est vraiment décidé. Il sait ce qu'il veut quand ça se présente. Et ce n'est qu'une nuit après tout.
Akira : Pas la peine de faire tout un plat.
Sôjirô : C'est bien ce qu'il me semblerait. Tsukushi Makino a raison. Ta jalousie te perdra !
Ne sachant pas quoi répondre en cet instant, Tsukasa rougit de honte ou de gêne mais c'était la première fois que ses amis lui fassent faux bond dès qu'ils étaient d'accord avec Tsukushi Makino.
Tsukasa : Tsukushi Makino est vraiment un cas particulier.
OoO
Arrivé sur le parking d'Eitoku à l'emplacement réservé au F4, Rui ouvrit la portière de sa voiture tout en maintenant Tsukushi par la taille. Il l'aida à s'installer sur le siège passager puis il alla prendre place au volant. Ensemble, ils se dirigèrent à l'appartement de Tsukushi qui guidait le chemin.
Arrivé à destination, Rui se gara. Il jeta un coup d'œil à l'immeuble mais il écarquilla les yeux de surprise.
L'immeuble un peu ancien et en bon état mais un peu délabré. C'était un foyer pour des jeunes sans parents et ses proches. Ces jeunes refusaient de vivre dans des familles d'accueil, mais chacun recevait la visite chaque semaine d'une assistante sociale. Cependant le coût loué de l'appartement devait être à deux cents euros par mois.
Rui se demanda sincèrement quel métier que Tsukushi faisait car elle n'en avait jamais précisé dans chaque conversation mais il ne voulut pas lui poser la question par respect pour elle.
Rui : Besoin d'aide ?
Tsukushi : Non merci, ça ira. Je n'en ai pas pour longtemps. Tu peux m'attendre ?
Rui : Oui et tu sais très bien pourquoi.
Ne répondant pas à son constat, Tsukushi lui fit un beau sourire vertigineux dont il ne serait pas prêt à l'oublier.
Rui : C'est le sourire très rare d'une personne qui avait perdu sa joie de vivre depuis sa réputation salie. Maudit Aoïké !!
Tsukushi se dépêcha d'aller à son appartement prendre quelques affaires de Rui y compris les siennes, puis elle prit le portable qu'elle utilisait en tant que Sakura Ramsay et elle composa le numéro de Marc, son producteur.
Tsukushi/Sakura : Bonjour Marc, C'est Sakura enfin Tsukushi... Je t'appelle pour te dire que je prends quelques jours de repos. Rui est malade et j'ai surtout besoin de souffler un peu... Oh ? Vraiment ?... Pendant un mois ?... Comment ça un peu plus ?... Bon d'accord jusqu'à la rentrée des classes... Merci Marc. Je reviendrai avec de nouvelles chansons. Au revoir, Marc.
Une fois la conversation terminée, Tsukushi éteignit le portable et le rangea dans ses affaires à emporter car elle ne voulait pas prendre le risque que sa petite sœur découvre quoi ce soit depuis que Sherry avait refusé de l'écouter sur son métier. Quittant l'appartement, elle rejoignit Rui Hanazawa qui l'attendait debout contre sa voiture.
OoO
À la maison de disques, Marc était pour la première fois heureux pour sa vedette préférée qu'il partagea avec Ken.
Marc : Ken, j'ai une bonne nouvelle. Sakura prend enfin du repos !
Ken : Super ! Cela va de même pour Tsukushi vu que c'est la même personne.
Marc : Elle doit s'occuper de Rui qui est malade mais elle a besoin de souffler un peu.
Ken : Ce n'est pas trop tôt. Cela lui fera vraiment du bien. Elle est si fatiguée mais très courageuse de vivre à ce rythme effréné.
Marc : C'est vrai. On ne va pas s'en plaindre car elle fait bien marcher notre boîte. Elle est forte.
Ken : Oui c'est vrai. On ne l'a jamais vu faiblir.
Marc : Non, c'est juste qu'elle ne le montre pas devant autrui. Cependant elle a dit qu'elle reviendra avec de nouvelles chansons.
Ken rit : C'est bien elle, ça !
OoO
Retrouvant Rui en bas de son immeuble, Tsukushi mit ses affaires dans le coffre de la voiture du jeune héritier Hanazawa quand soudain une voix l'appela. C'était Maya, son assistante sociale.
Tsukushi : Oh, bonjour Maya.
Maya : Bonjour Tsukushi, où vas-tu ainsi ?
Tsukushi : Je vais chez ce jeune homme.
Maya, surprise : Il ressemble à Alec.
Tsukushi : Je sais mais ne fais pas comme s'il n'est pas là, s'il te plait.
Maya, penaude : Ah excuse.
Rui : Hum.
Tsukushi : Excuse-le, Maya. Il n'est pas très bavard.
Maya sourit : Ce n'est pas grave. Dis, Tsukushi. Il s'est passé quelque chose encore avec ta sœur ?
Tsukushi soupira : Comme toujours...
Rui : Sauf qu'elle est allée trop loin cette fois-ci.
Maya soupira : Toujours égale à elle-même... Tu prends Rui avec toi ?
Tsukushi : Oui. Tu sais que Sherry laisserait Rui à la crèche...
Maya soupira : Oui, je sais. Bon, je pense que tu ne veux pas voir ta sœur ce soir. Il vaut mieux que tu partes maintenant. On se verra après les vacances d'été donc profite bien de ce repos mérité.
Tsukushi : Oui.
Maya : À bientôt Tsukushi.
Tsukushi : À bientôt Maya.
Sur ce, Maya laissa Tsukushi qui monta dans la voiture de l'héritier Hanazawa. Ce dernier démarra la voiture.
Rui : On va récupérer ton frère.
Tsukushi : Oui.
Rui : Qui est Maya ?
Tsukushi : Notre assistante sociale. Elle connaît mon différend avec ma sœur et elle n'apprécie pas trop.
Rui : On voit bien qu'elle te préfère à ta sœur.
Tsukushi : Je sais...
Rui se gara devant la crèche au grand étonnement de Tsukushi.
Tsukushi : Tu te souviens de la crèche ?
Rui : Oui.
Tsukushi : Tu m'épates là !
Rui : Et Alec ?
Tsukushi soupira : C'est la catastrophe avec lui. Il est tout ton contraire car il n'a aucun sens de l'orientation dès qu'il ne connaît pas le chemin par cœur. Et même s'il connaît très bien la route, il s'y perd...
Rui n'en croyait pas ses oreilles qu'il avait les yeux sortis des orbites. Il se demanda comment la jeune fille pouvait le supporter ainsi mais en réfléchissant bien, l'amour n'avait pas de limites.
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