Ce qui unit Gryffondor et Serpentard | By : Melindra Category: French > Harry Potter Views: 2883 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
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Kikoooooooo!! Je suis désolée de ce long silence..... je finirais la publication de cette fic ce mois-ci je pense. J'ai essayé de mettre des balises html pour mettre mon texte en forme mais je ne sais pas si ç a marché!!! Je répondrais aux reviews au prochain chapitre... Bonn lecture!!
Harry avait esquissé le geste de le poursuivre, mais lui aussi était redescendu sur terre. Il rougit, presque honteux de ce qu’il venait de faire, avant d’écarter tout cela fermement de son esprit.
Le phénix se posa à nouveau sur son épaule, lui donnant un léger coup de tête en une caresse sur sa joue. Harry se demanda ce qu’Hedwidge, sa chouette blanche, allait penser de son nouveau compagnon…
Le lendemain matin, tout le monde se rendit compte que toutes horloges de Poudlard étaient rigoureusement toutes à la même heure.
La désorganisation des cours avait enfin cessé et cela signifiait le retour au train-train quotidien.
Harry fit toutefois sensation ce matin-là avec son phénix si particulier sur l’épaule. Il croisa le regard de Dumbledore, qui lui fit un discret clin d’œil complice. Harry hocha la tête en salut : il se doutait bien de l’identité de la personne qui avait placé sa baguette magique sous son oreiller. Il était même certain que Drago avait récupéré la sienne de la même manière…
Ron contemplait bouche bée le phénix. Mais ce n’était pas cela qui allait clore le bec d’Hermione :
- Dis donc ! Où est-ce que tu étais passé depuis hier matin ?!
- Hier matin ?, répéta Harry avec étonnement.
- Oui, hier matin quand tu as décidé de sécher le cours de potions et que nous avons perdu trente points par ta faute, continua Hermione avec un zeste d’amertume.
- C’était d’ailleurs carrément injuste, parce que ce petit rat de Malefoy a séché également, mais les Serpentard n’ont perdu aucun point…, dit Ron la tête un peu ailleurs, le regard toujours fixé sur le phénix.
Il réussit finalement à dire :
- Il est à toi ce phénix ???
- D’abord, Malefoy n’est pas un petit rat !, lança Harry avec énervement soudain et intense. Un rat n’aurait pas d’aussi… un… des…, balbutia-t-il se rendant compte de ce qu’il avait failli dire.
Et en public, s’il vous plaît….
Ce qui l’avait sauvé c’était son hésitation entre les lèvres douces de Drago ou son mignon postérieur. Son indécision lui avait permis de se reprendre à temps.
Heureusement personne ne fit attention à sa phrase inachevée.
- Bref, reprit Ron distrait un moment par George et Fred, où étais-tu passé ? On t’a cherché toute la journée !! Et d’où vient ce phénix ???
- Tu te rends compte Harry, poursuivit alors Hermione, que tu as aussi séché le cours du professeur Mac Gonagall. Et un sortilège très important…
Elle s’interrompit, intriguée :
- Harry, d’où sort ce phénix ? Ca n’existe pas de phénix aux plumes d’argents ?? Harry ?
Mais Harry n’écoutait déjà plus la diatribe de Hermione : il avait décroché dès le début. Son regard était fixé sur la table des Serpentard. Surtout sur un blondinet qui décidément avait bien grandi et qui, tout à coup, offrait des tas de possibilités intéressantes et des taquineries sans fin.
Drago lui ne comprenait plus très bien : ces deux dernières semaines dans le passé n’avait duré qu’à peine une journée dans le présent. Même si la formulation n’était pas tout à fait exacte, le résultat était bien là. Il avait deux semaines de souvenirs très précis, avec des rêves très explicites. Ce qu’il ne comprenait vraiment pas, mais alors pas du tout, c’était pourquoi ses rêves bizarres ne s’étaient pas arrêtés.
Bon d’accord ils étaient moins intenses… Mais rien que cette nuit, il s’était réveillé plusieurs fois avec la sensation d’un corps sur le sien, - ou sous, ça dépendait des rêves - pour découvrir qu’il n’étreignait que son édredon avec… un enthousiasme débordant...
Heureusement que Crabbe et Goyle dormaient d’un sommeil de mort. Heureusement aussi qu’il avait protégé son lit par de multiples sortilèges : si ces deux crétins l’avaient entendu gémir et haleter…
Draco eut un frisson d’horreur, le rêve de Crabbe et Goyle lui revenant en mémoire, avec une précision presque horrifiante. Oui, heureusement qu’il avait jeté un sort de silence… Parce qu’il se souvenait que dans son rêve, il murmurait un tas de choses.
Des choses très très génantes si on l’avait entendu. Il devait être victime d’un sortilège. Cela ne pouvait qu’être que ça. Maudit Potter ! C’était forcément sa faute ! S’il ne l’avait pas embrassé comme ça dans le Hall…
Rien qu’à ce souvenir…
Oui donc, un sortilège très puissant. Et qui disparaitra sans doute avec le temps. Il sentit son cœur se serrer à cette pensée…
Et Drago se rendit compte qu’il était en train de fixer la table des Gryffondor et plus particulièrement Harry. Qui se mit lui aussi à le fixer.
Drago ne put s’empêcher de rougir légèrement. Il maudit son teint de blond qui le faisait rougir pour un rien !!
Et Harry avait encore cette plume, qu’il passa encore sur ses lèvres. Le cœur de Drago se mit à battre plus vite. Avant même de se rendre compte de ce qu’il faisait, Drago se leva de table et sortit la tête sans dessus dessous.
Harry n’attendit même pas une minute pour le suivre. Le phénix s’envola et parut le guider vers Drago. Car ce fut bien en le suivant qu’il retrouva le jeune sorcier blond dans une salle de classe abandonnée au rez-de-chaussée.
- Alors Potter, qu’est-ce que tu as à me suivre comme un petit chien ?, jeta Drago avec hargne.
Réelle ou non, il ne savait plus très bien. Et puis cela n’avait pas d’importance. Potter n’était rien pour lui. Rien du tout.
Alors pourquoi aurait-il envie de se perdre dans ces yeux si verts ?
- Parce que tu rougis quand tu me regardes, répondit simplement Harry.
Et que lui il trouvait cela positivement craquant.
- Je ne rougis pas !; cria Drago en… rougissant. J’en ai assez ! Assez de te voir dans mes rêves me poursuivre ! De ces quinze jours sans fin et de cette nuit ! Je ne veux plus de tout ça.
Mais alors, qu’est-ce qu’il était craquant !
- D’ailleurs, poursuivit Drago avec l’étrange sensation de s’enfoncer davantage et de perdre pied, je… je préfére les filles et puis tu… tu embrasses comme un pied !
Là, c’était clair, il n’était plus aussi craquant, et devenait même presque désobligeant…
- C’était mon premier baiser, dit enfin Harry, ne sachant pas quoi dire d’autre.
C’était le premier truc qu’il lui était passé par la tête, et terriblement troublé, il n’avait pas su se taire.
- Ha ?, dit Drago d’une voix tout coup mourante.
Il venait de réaliser que, ben que lui aussi, quoi ! Et que Harry était venu avec ses lèvres, et qu’il n’arrivait plus à en détacher le regard.
- Et puis si tu préfères les filles, continua Harry, eh bien laisse-moi te dire que tu as sacrément mauvais goût, parce que Pansy, hein franchement…
Sa voix manquait un peu de conviction, parce que Harry se découvrait lui aussi troublé. Mais cette simple remarque parut casser quelque chose chez Drago :
- C’est à cause de mon père !!, explosa-t-il comme s’il se libérait de quelque chose de très lourd. Je dois épouser quelqu’un au sang pur, espèce de crétin !
Il s’assit, vidé par cet aveu, la tête entre les mains.
Un main lui releva la tête, écartant doucement ses paumes pour les embrasser chastement.
Tendrement.
- Non, fit Harry très troublé. Parce que tu es à moi.
Et il l’embrassa avec une sorte de rage mêlée de passion. Ou d’impuissance devant cette drôle de situation. L’embrassa si fort que Drago en eut les lèvres meurtries.
Son odeur, la douceur de ses cheveux sous ses doigts… Drago se sentait fondre, inexorablement. Il ne voulait pas que cela s’arrête. Et quand Harry s’écarta, il le regarda s’éloigner, le cœur chamboulé.
Cette fois ce fut Harry qui sortit de la salle les jambes flageolantes : Drago de toute façon était incapable de se lever, alors marcher, pensez !
Dans le couloir encore vide, le phénix se posa sur son perchoir habituel, et Harry lui donna distraitement quelques caresses.
Il se demanda vaguement ce que mangeait un phénix… Bah, de toute façon, Hermione devait bien le savoir. Il faudrait aussi lui trouver un nom mais rien ne pressait vraiment… Tiens à propos, heureusement que Ron et Hermione ignoraient tout cela. Qu’il avait embrassé Drago Malefoy et ne souhaitait plus que recommencer.
Il s’entendit alors se dire dans sa tête :
- Dis Harry, tu es au courant que tu es en train de virer homosexuel, mais alors grave ?
Cette simple pensée le stoppa net.
- De Drago, poursuivit alors la petite voix à qui il était impossible de cacher quoique ce soit. Tu es en train de tomber amoureux de Drago. Peut-être même que lui aussi, vu la façon dont il répond à tes baisers. C’est normal tu sais, tout ce temps à penser l’un à l’autre…
- La ferme !!, s’entendit-il dire à voix haute.
Là tout à coup il se sentait un peu perdu quand lui revint en tête le souvenir de Drago au teint délicatement rougi. Il ferait n’importe quoi pour le revoir rougir, ignorant clairement tout sentiment : ce n’était qu’un jeu, un simple jeu.
« Tu es à moi… »
Il se rappella tout à coup ce qu’il venait de dire à Malefoy, et surtout, le ton qu’il avait employé. Et cette fois, ce fut lui qui rougit.
Pendant les deux jours suivants, Harry ne perdit pas une occasion de provoquer Drago.
- Harry, si tu pouvais arrêter de t’amuser avec cette plume !!, finit par râler Hermione.
- Ca c’est bien vrai. Ca te donne un air, un air…, commença Ron sans arriver à finir. Et puis franchement, tu fais ça dès que l’on croise les Serpentard !
- Il a même piqué Drago aux fesses avec ! révéla Hermione écoeurée. Et puis d’où vient ce phénix ?
Cela ne faisait que la dixième fois de la journée qu’elle posait cette question. Harry avait calculé qu’elle lui avait posé cette question à peu près trente fois par jour, depuis deux jours.
Autant dire que la journée ne venait que de commencer…
Mais Harry ignorait pourquoi il refusait de répondre. Peut-être cela avait-il à voir avec la relation entre Godric et Salazar. La relation qui avait abouti à leur séparation… En fait depuis deux jours, au milieu de ses sempiternelles songeries sur Drago, il ne cessait de se demander pouquoi.
Pourquoi donc cela n’avait-il pas marché : ils avaient paru si liés ! Non pas qu’il songea à une éventuelle relation avec Drago, il n’était pas homo, hein, mais bon ça titillait sa curiosité, comment dire intellectuelle, oui c’était ça ! Voilà quoi !
Harry décida donc d’aller à la bibliothèque ; à la grande stupeur de Hermione, parce qu’il n’avait aucune raison d’y aller. En fait, elle se demandait comment amener Harry à l’infirmerie, car il couvait clairement quelque chose.
Même si elle soupçonnait les professeurs d’être au courant de quelque chose, car pas un seul n’avait posé de questions sur l’absence de Harry ou son nouveau compagnon… Tout cela ajouté au fait qu’Harry se retrouvait régulièrement dans les ennuis jusqu’au cou… Hermione se demanda si elle devait ou non surveiller Harry ?
Harry ne tarda pas à découvrir que tous les livres sur la construction de Poudlard -que Hermione lui conseillait de lire depuis des années…- restaient muets sur ce point précis. Il se décida donc à demander à Madame Pince d’autres livres sur ce sujet. Mais elle commença par le regarder fixement :
- Pourquoi ?, demanda-t-elle, lapidaire. C’est une punition ?
- Euh non, mais je m’intéresse à l’histoire de Poulard…
Elle continua à le fixer, avant de finalement lâcher.
- En tout cas, ce ne sont pas des livres qu’on demande souvent. Et vous là, qu’est-ce que vous voulez ?, fit-elle s’adressant à quelqu’un dans le dos de Harry.
Il s’agissait de Drago qui avait tenté de se sauver discrétement, ayant vu Harry.
Mais Madame Pince avait le regard vif derrière ses lunettes. Drago hésita un instant avant de dire, sur un ton un peu morne :
- La même chose…
- Ah, c’est donc une punition, fit-elle satisfaite d’avoir trouvé le fin mot de cette curiosité pour le moins étrange. Cela fait longtemps que le professeur Binn n’en avait plus donné, remarqua-t-elle.
Elle les mena dans un endroit reculé de la bibliothèque, rarement consulté comme en témoignait la poussière.
- Voilà… Tout ce qui concerne la construction de Poudlard est ici. Il y a même des biographies des quatre fondateurs. Vous n’avez plus qu’à chercher, conclut-elle peu aimable.
Et Madame Pince retourna à son bureau de bibliothécaire.
Le silence se fit, Harry et Drago n’osant faire le moindre geste. Bizarrement intimidé par l’atmosphère pesante de la bibliothèque, et en fait surtout par le fameux « tu es à moi » de la dernière fois qui semblait toujours présent dans l’air, Harry se tourna résolument vers un pan de livres.
Il y en avait beaucoup plus qu’il ne l’avait imaginé : il avait un peu l’impression d’une quête impossible. Il réalisa alors qu’il avait cru, avec une naïveté certaine, trouver directement le livre qui aurait tout éclairci entre Godric et Salazar… Avec un titre du genre « Ce qui avait uni Gryffondor et Serpentard et ce qui les avait séparé »…
Nda - Ma fic, quoi !!
Il résolut de chercher avant tout leur biographie, espérant qu’elle avait été réalisée par quelqu’un plus soucieux de l’exactitude des faits que de la bienséance : parce que dans ce dernier cas, il n’y avait aucune chance que leur relation soit seulement mentionnée… Surtout vu l’époque.
Drago, voyant Harry se détourner de lui, se sentit un brin vexé. Mais il fit comme lui. Tous deux se mirent à feuilleter ces antiques manuscrits, avec l’ardeur d’être le premier à trouver. Ils savaient qu’ils cherchaient tous deux la réponse à une même question…
Et aucun des deux ne voulait savoir pourquoi ils se posaient tous deux cette question, ni pourquoi la réponse était si importante… Mais cet endroit au fin-fond de la bibliothèque était exigü et ils se donnaient continuellement des coups de coude, quand ce n’étaient pas leurs jambes ou leur postérieur qui se frôlaient.
- Bon, ça suffit Potter !! Tu cherches quoi, la bagarre ?, finit par dire Drago avec l’automatisme des querelles passées.
- Est-ce que j’ai l’air de chercher la bagarre avec des manuscrits pourris entre les mains, Malefoy ?, rétorqua Harry, levant les yeux au ciel.
Il réussit à retenir le sourire qui lui était venu naturellement aux lèvres : il ne savait plus si ce petit blond l’agaçait ou l’émoustillait dans cet endroit tranquille avec un phénix qui roucoulait doucement avec amusement.
Mais c’était bien d’être avec lui. La pensée s’en fut aussitôt… Et Harry arriva à se raisonner et se dit que ce serait une mauvaise idée de « taquiner » Drago dans cette bibliothèque.
Pourtant, il semblait bien que Drago ait perçu son changement d’humeur et la brève hésitation qu’il avait eu : il ne répondit pas et au lieu de ça, il rougit.
Encore. Dieu merci, il ne faisait pas très clair. Drago retint un soupir de soulagement. Son cœur ne tarda pas à se calmer pour réaccélerer.
Parce que soudainement, Drago avait une folle envie de toucher Harry comme dans ses rêves qui n’avaient pas cessé, bien au contraire. Envie de le frôler. Cela avait quelque chose de très excitant, cette façon de lire, ces mèches folles retombant sur ses yeux…
Harry se sentant observé releva soudain la tête : il vit un Drago rougissant, ce qui fit battre plus vite son cœur.
- Tu as trouvé quelque chose d’intéressant ?, fut tout ce qu’il arriva à dire, après un gros effort pour se concentrer.
- Non, répondit Drago se concentrant lui aussi pour revenir sur terre. J’ai bien trouvé la biographie de Godric mais rien n’est mentionné. Le seul truc c’est que Godric est parti peu après Salazar.
- Ah ?
Harry ne trouva rien de plus intelligent à répondre. Il préféra reposer le manuscrit avant que ces mains ne le lâchent. Il se sentait ému, peut-être à cause du parfum de tilleul de Drago : il avait l’impression que cela l’envahissait. Que toute la bilbiothèque sentait le tilleul.
Un léger vertige le saisit.
- Il n’y a rien sur le fait que la baguette de Godric soit cassée, poursuivit laborieusement Drago.
Quelque part, Harry était sidéré : lui, il avait eu du mal ne serait-ce qu’à lire deux mots d’affilée sans perdre le fil de sa lecture. Quand on est troublé, hein…
- J’suis pas troublé :, se dit-il intérieurement. Je suis mal à l’aise, oui c’est ça mal à l’aise d’être avec un Serpentard. Je me demande si un serpent a la peau aussi douce que la sienne ?, pensa-t-il de manière totalement incongrue.
Sans même qu’il ait seulement pensé, Harry avait ôté le manuscrit de mains de Drago. Il tendit les mains pour attirer le jeune homme à lui. Une main sur la nuque de Drago, Harry le tenait fermement et l’embrassa de même.
Si les mains de Drago s’étaient tendues pour le repousser, c’était désormais pour l’étreindre. Cette fois, il n’hésita pas et mit ses mains sur les fesses de Harry fermes et musclés.
- Le Quidditch donne ce résultat là ?, se demanda confusément Drago.
Harry avait commencé à déboutonner la chemise de Drago, avant d’y glisser prestement les mains pour caresser cette peau douce. Il avait envie de la caresser encore et encore, de tout apprendre du corps de Drago. D’y laisser l’empreinte de ses doigts, tel un sculpteur, sur un matériau sans nul autre pareil.
Haletants, ils s’embrassèrent encore, se serrant l’un contre l’autre le plus possible. Drago se retrouva plaqué contre l’étagère. Il sortit la chemise de Harry du pantalon pour laisser remonter ses mains fébriles le long du dos du jeune sorcier brun.
Lèvres contre lèvres, langues dansant ensemble, les mains cherchant et donnant sans vraiment savoir. L’instinct et la passion seuls les guidaient. Harry entreprit de mordiller doucement l’oreille de Drago. Une de ses mains effleurait la poitrine imberbe de Drago. En des caresses douces et lentes. Brûlantes… Jusqu’à frôler un nodule de chair. Et insister avec douceur.
Drago sentit une chaleur troublante l’envahir aussitôt et commença à se liquifier sur place dans un doux gémissement. Il sentait qu’il avait immédiatement réagi à cette caresse qui paraissait presque anodine par rapport à ses rêves. Il eut un brusque haletement au souvenir desdits rêves. Il gémit, son pantalon l’enserrant tout à coup. Il voulait… Il voulait…
Dans un autre gémissement, Drago glissa ses mains dans le pantalon de Harry pour y saisir ses fesses sans obstacle et le rapprocher de lui, le plus près possible. Là où cela devenait très important qu’il le touche. Il gémit encore, un instant soulagé à ce contact. Harry lui aussi réagit physiquement à ce contact plus intime. Il gémit lui aussi dans un soupir.
- Drago…, murmura-t-il. Aaah.... Drago…
Peut-être suppliait-il, mais Harry lui-même aurait bien été en peine de dire quoi. Le qui par contre semblait assez évident. Drago, le souffle court, était incapable de dire quoi que ce soit. Même s’il avait été capable de penser... Ils se serraient l’un contre l’autre avec force, commençant légèrement à osciller. Chacun sentant le désir de l’autre contre le sien. Un désir identique.
Le contact était… enivrant au possible. Mais ce n’était plus assez. Avec des doigts tremblants, Harry chercha donc à déboutonner le pantalon de Drago… Et au moment très particulier où le désir les emportait, et où chacun cherchait avec fébrilité à dévêtir son partenaire…
- Mais puisque je te le dis !! J’ai rêvé de Harry avec ce phénix avec tous les détails avant même de le voir ! Je suis sûre que j’ai un don de voyance !, fit une voix féminine toute proche, la voix montant dans les aigüs.
- Ecoute Pansy, un rêve ne peut pas suffir pour déterminer si tu as le Troisième Œil ou pas !! Il faudrait que tu aies des visions ou que…
- Chut vous deux !! Vous n’avez rien entendu ? Je suis sûre d’avoir entendu… Heu, ne vous moquez pas hein, les filles, mais j’ai cru entendre quelqu’un gémir…
- Non ? Dans la bibliothèque ?, s’exclama la deuxième voix féminine. Il y en a vraiment qui exagèrent…
- Essayons de les attraper, suggéra Pansy avec curiosité. J’ai hâte de savoir de qui il s’agit !
La suite bientôt, juré!!!!!
GROS BISOUS A TOUS!!!!
Une petite review? Réponse assurée!!
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