I never have regrets | By : AdamPark Category: French > Manga Views: 55 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Disclamer Tout appartient Wataru Yoshizumi de Mint Na Bokura sauf l'histoire que j'ai crite pour le plaisir. Je ne possde aucunement le Fandom ne gagnant pas d'argent. Complment du Disclamer au dbut de l'histoire. |
Chapitre 01 : À cœur ouvert
Adam Park : Le début est en fait une reprise du livre de Wataru Yoshizumi que Je ne fais que les emprunter pour que vous puissiez comprendre le résumé de l’histoire que je vais développer. Les pensées des personnages sont en italique.
Ryûji Sasa et Noeru Minamino se trouvaient dans le jardin de l’internat en train de parler de la voix qui muait. Enfin il n’y avait que le blond qui discutait puisque Noeru répondait par écrit. Malgré cela Ryûji était très perturbé que Maria réagisse comme elle venait de faire.
Ryûji : Tu sais… À l’instant, Maria a encore détourné les yeux de mon visage…
Noeru : « C’est parce que je lui ai dit ce que tu ressentais pour elle. »
Ryûji devint blanc : QUOIIII ? (Il rougit fortement peu après) ÇA ALORS ! QUI T’A DEMANDE DE LE FAIRE ?! MOI-MÊME, JE NE SAIS PAS OÙ J’EN SUIS !!
Noeru : « Excuse-moi. Je croyais bien faire. »
Ryûji se calma : Et alors ? Qu’est-ce qu’elle a dit ?
Noeru : « Eh bien… Elle ne comprend pas. Elle est persuadée de me remplacer. »
Ryûji : … L’idiote ! Comment peut-elle dire ça ?! Mais depuis quand je ressens quelque chose pour elle ? Bon, j’y vais. C’est bientôt l’heure de l’entraînement.
Sur ce, Ryûji alla à la salle de sport où il savait qu’il allait retrouver la reine de ses pensées. Pendant ce temps, Miyû donna un calmant pour le mal de gorge à Noeru qui essaya de lui expliquer la situation. « Il » n’eut pas le temps car Chris s’approcha d’elles. Le chanteur ne savait toujours pas que Noeru n’était pas une fille mais il « ordonna » à sa baby de ne plus la fréquenter.
À l’entraînement, Ryûji se retrouva près de Maria et il l’aborda.
Ryûji : Eh ! J’ai à te parler. Peux-tu rester après l’entraînement ?
Maria ne répondit pas mais elle savait à cet instant qu’elle devait mettre fin à sa fuite. Elle ne pouvait pas passer son temps à l’éviter et à détourner ses yeux de son visage.
Maria : C’est impossible qu’il s’intéresse à moi comme l’a dit Noeru hier. Il connaît mes histoires avec Yoshiaki et Daisuke… Il ne peut pas être amoureux de moi ! Quoiqu’il est beau et sportif…
À la fin de l’entraînement, la salle commença à se vider. Kanako s’approcha de Maria…
Kanako : Maria ? Tu viens ?
Maria : Pas tout de suite, Kanako. Et n’oublie pas ta serviette comme l’autre jour.
Kanako : Ah oui, c’est vrai. Bon à plus tard.
Maria : À plus tard. Je ne pouvais pas lui dire que Sasa veut me parler… Désolée Kanako.
La concernée récupéra sa serviette et quitta la pièce, laissant derrière elle Maria en compagnie de Ryûji. Un silence de plomb s’installa entre eux après que les derniers élèves retardataires quittèrent à leur tour la salle.
Maria : … Je t’écoute…
Ryûji : Il paraît que tu te demandes si tu ne remplacerais pas Noeru…
Maria : Disons que je ne vois que ça.
Ryûji la regarda : Tu es stupide ou quoi ?
Maria : Pourquoi me sors-t-il ça ?
Ryûji : Tu es complètement différente de lui.
Maria pâlit : … Euh…
Ryûji : Comment pourrais-tu le remplacer ? On a les mêmes passions et je m’entends super bien avec lui. Ce n’est pas le cas avec toi. Tu représentes tout ce que je déteste chez les filles.
Maria : Il abuse là !!
Ryûji : Tu es une vraie pipelette, tu aimes tout ce qui est à la mode, tu fonds devant les beaux garçons, tu es pleurnicheuse, égoïste, futée et tu te mêles de tout mais…
Maria : Comment peut-il énumérer tout ça ?! Il n’a pourtant aucun sentiment pour moi alors…
Ryûji s’exclama : JE T’AIME !
Maria, choquée : Hein ?! Ce… Qu’est ce qu’il raconte là ?! Il… Il…
Ryûji : TU NE REMPLACES PERSONNE !!!
Maria, surprise : … Qu… Quoi ? Qu’est ce que… ? Ai-je bien entendu ?
Ryûji : C’est vrai que si tu n’étais pas la sœur de Noeru, je ne m’intéresserais pas à une fille comme toi.
Maria : Merci bien !! C’est un peu vexant !
Ryûji : Ce serait une autre fille, je la trouverais bête et je la mépriserais. Mais, parce que tu es sa sœur et depuis que j’ai eu envie d’aider Noeru, j’ai fini par m’occuper de toi, en te donnant des conseils ou encore en t’apportant mon aide.
Maria : Ce n’est pas faux.
Ryûji : Pendant tout ce temps-là… Je n’ai pas arrêté d’avoir des pensées stupides. (Il rougit un peu) En fait, je suis tombé amoureux de toi sans m’en rendre compte.
Maria : … C’est une déclaration d’amour ou de reproches ?
Ryûji : Mais quelle idiote !!! Mais je ne peux m’empêcher de l’aimer comme elle est. D’amour ! (Il se tourna vers elle.) Qu’en est-il pour toi ? Pas de baratin, veux-tu ?!
Maria : … Je… Euh… Moi aussi… Mais que puis-je dire ? Il a été très franc à l’instant…
Ryûji attendit que Maria se décide à parler. Il était nerveux malgré son apparence calme…
Qui ne le serait pas ?
Il avait peur de se faire jeter par la seule fille à qui il venait d’ouvrir son cœur.
Maria : Désolée…
BONK ! Son cœur rata un battement, croyant que Maria n’avait rien à faire de ses sentiments. Ryûji allait quitter la salle quand cette dernière ne lui laissa pas faire un seul pas.
Maria : Si tu quittes ce lieu avant ma réponse, tu le regretteras toute ta vie.
Ryûji : QUOI ?! TU TE MOQUES DE MOI ? TU VIENS DE LE FAIRE !!
Maria : Pardon ?
Ryûji : TU AS DIT « DESOLÉE » !!!
Maria : Oh ! TU TE MÉPRENDS !! TU ME DIS DE NE PAS FAIRE DE BARATIN MAIS MOI, J’AI MOI AUSSI ENVIE DE DIRE CE QUE JE PENSE !! JE NE VEUX PAS REVIVRE LA MÊME CHOSE QU’AVEC YOSHIAKI ET DAISUKE À SAVOIR ÊTRE NATURELLE ET ÊTRE MOI-MÊME AVEC LA PERSONNE QUE J’AIME !!
Ryûji : Maria… Je t’écoute.
Maria : Bien que tu étais au courant de mes histoires avec eux, je ne pouvais pas nier que je m’efforçais de me conformer à leur attentes… Enfin c’était le cas avec Yoshiaki car je n’éprouvais que de l’amitié pour Daisuke après mûre réflexion suite à notre rupture. J’ai fini par disparaître. Je ne veux plus revivre cela.
Ryûji : C’était donc ça son problème… Je ne veux pas qu’elle revive cela !! Qu’elle reste à jamais naturelle comme maintenant. C’est comme ça que je la préfère !
Maria : Grâce à l’amitié que tu portes à Noeru, j’ai découvert que tu es un garçon très gentil même si tu le caches bien. Et puis… Étant braquée et je manquais de confiance en moi, ça m’a fait très plaisir d’entendre « Tu ne remplaces personne ».
Ryûji sourit : Je suis rassuré.
Maria : Et puis… Mon prince charmant n’est pas celui que j’imaginais. Le rêve et la réalité sont deux choses différentes.
Ryûji : Ça, c’est certain.
Maria : Jusqu’à maintenant, je ne savais pas ce qui n’allait pas chez moi et les raisons dans laquelle je me sentais une autre personne… Se forcer à être ce que les autres attendent ne me réussira jamais.
Ryûji : Tu l’as dit, Maria.
Maria : Avec toi, c’est différent. Je ne peux pas l’expliquer mais je me rends compte que je peux tout te dire.
Ryûji : …
Maria : Je t’aime. Je ne peux qu’être moi-même que quand je suis avec toi.
Ryûji : … C’est vrai ?
Maria : Oui.
Ryûji : Il ne faudra pas venir me dire que tu le regrettes. Je ne le supporterai pas !!! Tu es la seule fille avec qui je veux être.
Maria : Même si on se dispute beaucoup dans le futur, ne me rejette pas…
Ryûji : Non. Je ne le pourrai jamais !!! Je ne serai pas capable d’aimer une autre étant donné que je détestais les filles à la base.
Il se rapprocha de Maria, prit son visage entre ses mains et se pencha vers ses lèvres. Maria ferma ses yeux comme une invite et accepta leur premier contact. Ryûji était un peu nerveux mais heureux.
Le baiser était doux mais maladroit, signifiant leur inexpérience.
Cependant, Ryûji ne s’arrêta pas là et il se mit à caresser la langue de sa petite amie avec la sienne.
À bout de souffle, les deux amoureux se séparèrent à regret. Se regardant dans les yeux l’un de l’autre, ils rougissaient un peu.
Ryûji : Je suis surpris que tu n’aies jamais embrassé…
Maria : Peut-être… J’ai quand même un peu d’expérience parce que j’ai déjà embrassé Yoshiaki.
Ryûji, jaloux : Mais maintenant…
Maria sourit en le coupant : Il n’y a que toi qui en as le droit. Embrasse-moi.
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