Le maître nageur est une femme | By : MarieLaTerrible Category: French > Games Views: 763 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0 |
Disclaimer: Pokémon est la propriété de Nintendo et GameFreak. Je ne tire aucune contrepartie monétaire de ce texte. |
Rien n'est plus agréable qu'une journée de repos bien méritée après des combats acharnés contre les forces ennemies. La bataille des jours précédents a été terrible et Roserade est bien aise de pouvoir souffler un peu.
- Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire aujourd'hui ? murmure-t-elle pour elle-même.
Elle bâille un grand coup et ébouriffe ses fleurs. Elle a vraiment bien dormi. Lentement sa cape se déroule pour s'offrir aux rayons du soleil. C'est vraiment une belle journée qui commence.
La rose venimeuse ouvre ses fenêtres en grand et respire la brise déjà tiède de ce matin d'été. Le QG est encore silencieux, sauf pour les gémissements et grincements de lit qui s'échappent de certaines chambres. Roserade sourit doucement pour elle-même. Tant que l'amour suit son cours, il n'y a pas à s'inquiéter des conséquences de la situation géopolitique actuelle, aussi tendue soit-elle.
La journée s'annonce caniculaire. Peut-être Groudon est-il de passage pour discuter avec le chef de la Résistance ; peut-être les pokémons responsables de la pluie et du beau temps ont-ils manqué à leur devoir parce qu’appelés sur le front.
Peu importe. Roserade a pris sa décision : elle va aller se baigner. Le soleil, c'est bien beau, mais sans la moindre goutte d'eau, elle va se dessécher. Elle n'a pas vraiment eu le temps de se laver en rentrant la veille, tout juste a-t-elle avalé quelques baies oran et pansé ses blessures. Aujourd'hui ça va mieux, ses épines arrachées ont repoussé, les déchirures de sa cape ont cicatrisé, ses pétales abîmés sont tombés et les nouveaux pointent déjà au cœur de ses fleurs. Tout ce dont elle a besoin, à présent, c'est d'un bon petit déjeuner, d'une bonne tasse de thé, et d'un bain.
Sifflotant, elle rassemble ses affaires – serviette, huile de macadamia, de quoi lire – et se dirige à petits pas en direction de la piscine. L'eau est déjà tiède. Réjouie, elle se laisse glisser dans l'onde.
- Te voilà bien matinale, Roserade ! remarque Leuphorie en passant la tête par la fenêtre de l'infirmerie.
- Te voilà bien indiscrète, Leuphorie ! rétorque Roserade en tirant la langue.
La pokémone rose glousse doucement et passe ses jambes courtes dans l'encadrement de la fenêtre. Elle se laisse glisser dehors.
- Remise de tes émotions d'hier ? s'enquiert l'infirmière.
- Plus ou moins, répond la rose.
La pokémone-plante sort du bassin, toute mouillée, et s'ébroue.
- Doucement, tu m'éclabousses ! proteste son amante.
Roserade lui jette un clin d'œil par-dessus son épaule, taquine, puis s'éponge avec le grand drap de bain qu'elle a emporté.
- Puisque tu es là, Leuphorie, tu peux m'aider avec l'huile ?
La pokémone rose acquiesce, joyeuse.
- Ça va me changer des blessés après la nuit que j'ai eue ! soupire la pokémone-œuf.
Roserade s'étend sur le ventre, laissant son amante lui étaler de l'huile sur sa cape de feuilles.
- Eh bien, il était temps de s'en occuper ! remarque Leuphorie. Tu devrais prendre plus soin de toi, Roserade.
- Je suis pas une fille girly, proteste la rose toxique. Je suis une combattante. J'ai pas le temps pour ces chichis.
- Mais oui, c'est ça…
Doucement, Leuphorie passe une main le long de la cape de sa partenaire, des épaules vers le bord, puis l'autre, puis la première, puis l'autre, étalant l'huile hydratante et réparatrice.
Une fois la cape bien lustrée d'un côté, Leuphorie la soulève pour s'occuper de l'envers.
- Non non non non non ! proteste Roserade en se retournant d'un seul coup.
- Comment ça, non ?
- Mais, pas en public voyons !
Leuphorie éclate de rire.
- Tout le monde est occupé ! Et puis, tu n'es pas si pudique que ça, quand la nuit tombe ! Je ne t'ai jamais vue te promener en robe de chambre sous prétexte que le soleil s'était couché et que ta cape s'était renroulée !
Roserade devient toute rouge.
- Même. C'est pas une raison.
- Bon, d'accord. Puisque tu es dans l'autre sens, je vais m'occuper de ce côté-là.
Avec douceur, Leuphorie applique l'huile sur le plastron de son amante, sur son masque trop malmené, le long de ses membres secs aux jeunes épines encore molles.
- Ah, soupire Roserade. C'est pas souvent que je peux me faire chouchouter comme ça. D'habitude tu me trouves trop piquante pour faire ça.
Elle ferme à demi les yeux, profitant du massage.
- M'être fait arracher les épines durant mes combats de hier, c'était vraiment un mal pour un bien, roucoule-t-elle.
Leuphorie change la position de Roserade sur la chaise longue, lui levant les bras pour que ses mains soient à la même hauteur que sa tête. Les trois fleurs se retrouvent alignées, juste sous le nez de l'infirmière.
- Hm, je vais avoir droit à un massage des pieds en prime ? s'extasie la rose. Moi qui pensais qu'après la nuit chargée que tu as eue, tu ferais l'étoile de mer…
- C'est mal me connaître, rétorque l'intéressée.
Elle secoue les touffes de poils bouclés qui ornent sa tête. Voir Roserade ainsi offerte, c'est un spectacle inhabituel. C'est plutôt l'inverse, d'habitude. Ça lui donne des idées…
Leuphorie enfouit la bouteille d'huile au fond de sa poche ventrale, pour la réchauffer pendant qu'elle masse doucement le visage de son amante.
- Argh, proteste Roserade, c'est les filles girly qui font ça ! Pas moi ! Je suis une battante ! Je ne me maquille pas ! Je n'ai pas besoin qu'on prenne soin de mon visage !
- Oui, bien sûr…
- Mais arrêteuh ! Que vont penser les autres combattants s'ils me voient ? Je suis pas une faible pokémone nourrie au jus de noigrume sans alcool et aux épines manucurées !
- On peut avoir les épines manucurées et quand même botter des culs…
Roserade grogne.
- Je te donne cinq secondes pour arrêter de me bichonner comme si j'étais une Barbie. Quatre… Trois… Deux…
- Un… continue Leuphorie en sortant la bouteille d'huile de sa poche ventrale. Zéro…
Elle la verse doucement sur les fleurs de sa compagne, en insistant bien sur les cœurs.
Roserade s'assoit bien raide sur la chaise, comme relevée par un ressort.
- Huf huf huf huf… halète-t-elle en écarquillant les yeux. Qu'est-ce que tu viens de faire ?
- Moi ? demande Leuphorie innocemment. Oh, rien du tout… Recouche-toi, voyons !
Elle tire légèrement Roserade en arrière ; la pokémone se laisse faire bien qu'elle soit un peu tendue. Il n'est aucunement question que sa matinée à lézarder au soleil se transforme en séance publique de soins esthétiques. Leuphorie se met à chantonner.
- Nous vivons dans un monde de pokémons… Chaque jour qui passe est un défi à relever…
Doucement, elle passe ses mains entre les pétales de sa compagne, et les retire bien vite.
- T'as fait quelque chose là, non ? interroge Roserade.
- Rien du tout, répond Leuphorie. Tu te fais des idées, voyons.
La pokémone-œuf se remet à étaler l'huile sur le corps de son amante, puis elle revient à nouveau vers les fleurs, passant rapidement sa main sur leur cœur.
- Tu as fait quelque chose, là ! proteste la pokémone-plante.
- Oh, je peux retourner à l'infirmerie pour dormir, si tu préfères, rétorque Leuphorie en croisant les bras.
- Non non, c'est pas grave… répond Roserade. Tu peux continuer.
À nouveau les doigts de Leuphorie se perdent entre les pétales de Roserade, glissant aisément sur eux grâce à l'huile étalée dessus.
Roserade lève les yeux vers Leuphorie, mais ne baisse pas ses bras pour autant.
- Dis, tu trouves pas que tu exagères ?
- Si s'exagère autant que tu le prétends, pourquoi ne pas retourner nager ?
- Humpf…
Roserade ferme les yeux, savourant les caresses agiles de son amante dans les recoins les plus intimes de son anatomie.
- Dis Leuphorie ?
- Oui ?
- Tu me fais le dos s'il te plaît ?
La grosse pokémone rose sourit alors que la fleur venimeuse se retourne sur le ventre. Lentement, elle retrousse la cape de feuilles, révélant le délicat arrière-train et le dos étroit de son amante. Avec tendresse, Leuphorie laisse ses mains courir sur la surface ainsi dévoilée. Elle en profite, en bonne infirmière, pour masser les glandes à poison de sa compagne, durement malmenées par les combats de la veille.
- Eh, qu'est-ce que tu fais ? proteste faiblement Roserade.
- Rien, rien du tout, répond Leuphorie en éloignant promptement ses mains.
- Recommence ! soupire Roserade. C'était bien…
Leuphorie glousse, passe à nouveau ses mains dans le creux des reins de son amante, remonte le long de ses bras et plonge au centre des deux fleurs de ses mains.
- Mhu wha ah ah ah ! halète Roserade. Ah, ouh, ah…
Elle s'est cambrée pour se redresser, toute agitée de spasmes de plaisir.
- Ouh, mhm, Leuphorie…
L'infirmière s'installe à califourchon sur le dos de la combattante pour l'empêcher de bouger, titillant avec plus d'insistance le cœur des fleurs de ses mains.
Les doigts habiles glissent entre les pétales, suivant leur courbe naturelle, pour replonger délicatement vers leur base, d'où jaillit un nectar sucré. Recouverts de ce liquide sirupeux, les doigts remontent, effleurent le bord des pétales, plongent vers le cœur, en suivent le contour ferme, s'éloignent à nouveau.
Roserade halète. Leuphorie continue de taquiner son amante, pressant le cœur d'une fleur entre deux doigts, le laissant glisser pour mieux masser circulairement le centre de l'autre avant de s'aventurer à nouveau au milieu des pétales.
- Leuphorie, tu es vraiment… vraiment… vraiment… Oh…
La pokémone sourit, changeant de tactique. Elle fait rouler l'un des cœurs de Roserade, tout visqueux d'huile et de nectar, et en même temps, elle tire doucement sur l'autre.
Roserade bave, la fleur sur sa tête s'ouvre largement et un parfum entêtant s'en échappe. Sa respiration devient plus rauque. Leuphorie alterne ses mouvements, roulant le côté qu'elle tirait tout à l'heure, et inversement.
- Uh… gémit Roserade. Laisse-moi… s'il te plaît… Gnnn…
Leuphorie sait que sa partenaire est en train de la supplier de la mener jusqu'à l'orgasme – après tout, elles se fréquentent depuis suffisamment longtemps pour être capables de différencier le « non » qui veut dire « ne me touche plus » du « non » qui veut dire « ne me fait plus languir » – mais pour une fois qu'elle a le dessus, Leuphorie entend bien en profiter au maximum. Sournoisement, elle rabat les pétales des fleurs vers le milieu, les fermant bien serré et arrêtant toute stimulation.
- Non, Leuphorie, qu'est-ce que tu fais ? Laisse-moi venir ! J'ai envie, laisse-moi !
Roserade supplie Leuphorie du regard, par-dessus son épaule.
- Eh, répond Leuphorie, tu n'auras ta récompense que lorsque tu auras fait tes longueurs dans la piscine !
Roserade, l'œil humide, interroge silencieusement Leuphorie.
- Oui oui, répond l'infirmière. Tu as assez paressé sur le transat. Allez, zou, direction le bassin ! Je sais que tu sais nager un peu, je t'ai vue tout à l'heure, alors n'essaye pas de te défiler !
Leuphorie descend du dos de Roserade, où elle se tenait à califourchon, pour aider son amante à se relever et se tenir sur ses jambes.
- Bien, explique Leuphorie en s'enroulant dans le drap de bain comme si c'était une cape. À chaque fois que tu finis une longueur, je veux un coup de langue pour chaque longueur faite.
Elle désigne, vers le bas, les profondeurs secrètes de son anatomie féminine.
Roserade penche la tête de côté sans comprendre. Elle est trop émotionnée pour arriver à comprendre ce que sa compagne lui propose comme jeu.
- Bon, j'explique, soupire Leuphorie. Tu fais une longueur, je te suis en marchant sur le bord, au bout tu me lèches une fois. Tu fais une deuxième longueur, je te suis en marchant sur le bord, au bout tu me lèches deux fois. Tu fais une troisième longueur, tu me lèches trois fois. Et caetera, et caetera.
Roserade sourit. Elle a compris.
- Oh, continue Leuphorie, et pendant ce temps, moi aussi je m'occuperai de toi, ne t'en fais pas !
- Et la première qui vient a perdu ? suggère Roserade.
- Et la première qui vient a perdu, acquiesce Leuphorie.
Un peu de compétition ne peut pas faire de mal, n'est-ce pas ?
Roserade nage sa première longueur de bassin, suivie de près par Leuphorie qui trottine sur le bord. Arrivée au bout, Leuphorie s'assied au bord de la piscine pour recevoir un coup de langue sensuel tandis qu'elle chatouille rapidement le centre des fleurs de Roserade. Puis la pokémone-plante fait demi-tour, nageant de son mieux, suivie par l'infirmière.
La rose venimeuse frissonne de délices. Les mouvements de l'eau sur ses pétales la chatouillent délicatement. Elle frissonne.
La deuxième longueur de bassin est complétée. Roserade donne deux coups de langue à Leuphorie, tout en passant rapidement une de ses fleurs à l'intérieur de sa poche ventrale. Leuphorie réplique en enfonçant son museau entre les pétales qui ornent la tête de Roserade, atteignant le pistil à l'odeur suave et faisant glapir la pokémone-plante de plaisir.
- Allez, encourage Leuphorie alors que Roserade cherche à prolonger le contact. Allez, troisième longueur !
Le bassin est parcouru encore une fois. Roserade sort à moitié de l'eau, glissant une de ses roses dans les chairs humides, palpitantes et accueillantes de son amante. Leuphorie sursaute puis soupire, jouant tendrement avec les fleurs encore libres de sa compagne. Lentement, très lentement, Roserade va et vient trois fois dans la cavité moelleuse alors que le bout de la langue de Leuphorie fait trois fois le tour du stigmate de son amante.
C'est presque à regret qu'elles se séparent, complétant la quatrième longueur.
À nouveau elles se rejoignent. Roserade se serre contre Leuphorie, s'abandonnant à la douceur de sa fourrure. La pokémone-œuf glisse ses mains dans celles de sa compagne et joue entre ses pétales alors que sa tête, ornée d'une couronne blanche, repose contre sa poche de velours. Elle se baisse au milieu de ces ornements blancs, la langue tirée doucement en avant.
Roserade frémit et pousse de petits cris ; Leuphorie, par quatre fois, explore la totalité de l'ouverture de son pistil tout en jouant avec le centre des deux autres fleurs. La plante venimeuse essaye de grimper sur son amante, pour recevoir plus de plaisir, plus encore, mais Leuphorie la repousse à l'eau en riant et en courant vers l'autre bord.
Roserade traverse l'onde comme une torpille, se jette sur Leuphorie, enfourne une de ses roses dans la poche ventrale et l'autre dans les cavités secrètes. En traçant des zigzags très serrés, elle rentre et sort ses membres de la chair douce et rose par cinq fois. Leuphorie piaffe, piaille, soupire, râle, gémit, pour ensuite se saisir du visage de Roserade et, immobilisant sa tête, jouer cinq fois de la langue dans son pistil.
Elles plongent dans le regard l'une de l'autre.
- La première qui vient a perdu, souffle Roserade.
- Je marche toujours, approuve Leuphorie.
Leurs genoux tremblent. Elles remontent le bassin une sixième fois.
Leuphrie glisse à moitié dans l'eau. Roserade fonce tête baissée, se serrant tout contre la douceur et le moelleux du corps de sa compagne. Lentement, elle glisse une rose à l'intérieur, là où c'est tout doux, tout chaud, là où elle se sent chez elle. Son autre main repose sur le bord de la piscine ; Leuphorie entortille ses doigts dans ses pétales tout en se penchant sur le dessus de sa tête, vers son pistil.
Elles vont lentement, tout doucement, le plus lentement possible, pour faire durer le plaisir, parce que six répétitions du geste ne sont pas assez, parce qu'elles ne se lassent jamais de la présence l'une de l'autre, parce que c'est toujours mieux quand on est deux.
Pour ne pas avoir à se séparer, elles tracent des arabesques l'une sur l'autre, sans refaire deux fois le même trajet, pour ne pas avoir à compter, pour ne pas avoir à courir et nager à nouveau, pour rester ensemble toujours.
- Ah… ah… ah… ah ! soupire Leuphorie en pleine extase.
Elle frissonne de la tête aux pieds, serrant Roserade un peu plus fort contre elle.
- J'ai gagné ! fanfaronne la rose venimeuse.
Elle se serre plus fort contre la douceur du ventre rond de Leuphorie, cherchant à atteindre elle aussi le pic de plaisir. Elle guide les doigts de son amante de rapides mouvements du poignet, enfonce son visage dans la douce fourrure…
Ravies, repues, les deux pokémones se câlinent et s'embrassent.
- Ah, Leuphorie, tu m'as bien eue ! Je voulais simplement prendre un peu le soleil !
- Je sais, Roserade. Mais après la nuit que j'ai eue, j'avais vraiment besoin de ton affection.
- La prochaine fois, demande, au lieu de m'embêter comme ça !
- J'y penserai, ma chérie.
Elles échangent un rapide baiser.
Du fond de la piscine leur parvient la petite voix intimidée d'Amonistar :
- C'est bon, vous avez fini ? Je peux sortir de l'eau maintenant ?
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