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Les trois frères	By : Mika Category: French > Anime Views: 2154 -:- Recommendations : 0 -:- Currently Reading : 0
Disclaimer: Je ne possède pas la franchise Pokémon et je ne me fais pas d'argent avec elle

Chapter List
- 1-Les trois frères
- 1
Le match venait de s’achever. Ludwig, le dresseur au Moustillon venait de remporter le combat contre le champion de l’arène d’Ogoesse, Rachid. Ludwig est un jeune homme tout à fait normal qui vient de commencer son voyage Pokémon. Veste bleue, casquette rouge et blanche, des cheveux en bataille, un pantalon gris et de solides chaussures de marche. Vraiment un dresseur classique.

Comme il était un garçon très poli, il alla voir le champion dans la réserve derrière l’arène. En réalité c’était le point de transition entre le restaurant qui ouvrait l’arène et le stade où les dresseurs s’affrontaient. En franchissant le rideau derrière le stade, il trouva le jeune homme aux cheveux verts qui se changeait. Ludwig sourit et se cacha pour l’observer. Il retirait sa veste, puis sa chemise. Il était torse nu avec son nœud papillon encore accroché à son faux-col. Ludwig avait ce dos nu face à lui. Le dos parfait, ni trop musclé, ni pas assez. Son regard s’aiguisa. Rachid retira ensuite son pantalon, révélant un boxer vert à rayures blanches sur le côté. Le vêtement moulant révélait un fessier quelque peu bombé et qui semblait parfait comme oreiller.

Ludwig sentait évidemment que cela montait dans son pantalon. Mais comment approcher ce jeune éphèbe ? Comment faire le premier pas ? Ludwig était audacieux, certes, mais pas au point de s’imposer ainsi face à une personne si distinguée, qui pourrait mal le prendre.

Oh et puis à quoi bon se prendre la tête, on n’a qu’une vie, il faut bien tenter sa chance et aviser ensuite. Il s’avança donc, sans conviction la moindre mais avec beaucoup de motivation.

- Oups !

Rachid se retourna vers Ludwig et couvrit sa relative nudité, ce que Ludwig trouva très mignon. Ludwig espéra juste qu’il ne remarquerait pas son érection grandissante dans son pantalon.

- Euh… Oui ? C’est pourquoi ?

- Pardon, je… te cherchais, pour te remercier de ce match… Mon premier badge, enfin tu vois…

- Oh, oui… Euh… J’étais en train de me changer, en fait…

- J’ai vu ça…

Implicitement, il lui révèle qu’il l’observait. Rachid comprit rapidement.

- Oh.

- Désolé si ça…

- Je t’en prie, il n’y a aucun problème.

Rachid cessa de se couvrir et gagna en assurance. Ludwig avait face à lui le jeune homme en sous-vêtements.

- Je suppose que tu es venu ici dans un but précis.

- Me rincer l’œil au premier abord, mais…

Rachid s’avança et s’agenouilla aux pieds de son observateur.

- Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait ça avec un challenger, mais après tout, un champion d’arène se doit d’être polyvalent…

Rachid ouvrit la braguette de Ludwig et chercha son dû.

- … je me présente donc à toi, Ludwig, moi, Rachid, champion de l’arène d’Ogoesse…

Rachid fit émerger le pénis au bord de l’explosion. La respiration de Ludwig se faisait de plus en plus bruyante, et il avait de plus en plus chaud. Il ne s’imaginait pas avoir affaire à un tel chaud lapin. Le jeune homme aux cheveux verts tâta l’organe agité de soubresauts d’excitation.

- … que le match recommence…

Rachid enfourna le sexe brûlant dans sa bouche. Ludwig émit un gémissement entre plaisir extrême et léger embarras. Pourtant, Rachid était vraiment bon à ça. Il pompait avec application le membre boursouflé. Le dresseur n’en revenait pas. Ce jeune champion à la beauté troublante était en train de lui faire la meilleure pipe de sa vie.

- Oh… Oh oui… C’est bon… Prends tout… geignit le jeune homme.

Rachid lança un regard vers son amant. Ludwig ne put s’empêcher de baisser son pantalon, délivrant ses testicules de leur carcan. Rachid examina mieux le sexe qu’il était en train de stimuler : Bien épilé, très doux, la peau était presque laiteuse, en tout cas plus pâle que la sienne. Les testicules étaient lisses et propres. Qui plus est bien gaulé. Rachid n’en pompa qu’avec plus de plaisir. Expert, il laissa le gland se frotter contre l’intérieur de sa joue, une vision qui excitait particulièrement Ludwig.

- Tu sais y faire ! haleta le jeune homme. T… Tu suces aussi bien que tu te bats !

Rachid fit sortir l’engin de sa bouche.

- Merci…

Rachid lécha du bout de sa langue pointue le frein du sexe de Ludwig. Il était par ailleurs assez gros et prenait une bonne place dans sa main.

- Laisse-moi te dire que tu es délicieux. J’aimerais goûter plus amplement ton délice.

- Fais comme tu veux…

Rachid passa la tête sous le sexe de Ludwig, ainsi il pouvait gober les testicules comme des bonbons. Ludwig s’appuya sur un meuble derrière lui, histoire de laisser plus de marge de manœuvre à son compagnon.

Rachid masturbait Ludwig à présent, tout en le léchant ou en le suçant par à-coups. C’était du pur fantasme pour Ludwig qui avait apparemment affaire à la meilleure tailleuse de pipes de tout Unys. La jouissance était proche.

- Ça vient, ça vient !

- Merveilleux ! Je me fais une joie de goûter !

Il était sacrément excitant avec ses petites minauderies. Ludwig lâcha quelques jets de sperme qui partirent sur le visage ou sur la langue de Rachid. Lequel se délecta de ce liquide, salé au demeurant.

- Délicieux, délicieux… Tu es divin !

- Et toi donc ! Je n’avais jamais été servi comme ça…

- Veux-tu me rendre la pareille ? J’en serais honoré…

Ludwig sourit.

- Allonge-toi, là.

- Avec grand plaisir.

Rachid s’allongea sur le meuble où Ludwig s’était appuyé pour recevoir sa fellation. Il s’agissait d’une table d’appoint.

Ludwig procéda au retrait du boxer vert de Rachid qui souriait, détendu.

- Ne sois pas trop pressé.

- Et toi, ne crie pas trop fort. Où sont tes frères ?

- Probablement à l’étage, en train de s’occuper eux aussi.

Ludwig rougit à cette idée. L’idée de savoir que Rachid les rejoignait de temps en temps était génératrice de belles scènes mentales également.

Ludwig devait s’atteler à préparer son amant, et surtout à s’exciter suffisamment pour retrouver la vigueur que la fellation avait estompé.

Il observa le pénis de Rachid qui était dans les normes, surmonté d’une petite touffe de poils aussi verts que ses cheveux. Le champion d’arène était tout à fait relax. Ludwig se saisit du pénis de son amant.

- Je ne suis pas aussi bon que toi.

- Qu’importe. Je suis persuadé que tu te rattraperas plus tard.

Ludwig s’attela à prendre le membre en bouche et à lui appliquer un mouvement de succion. Rachid plissa les yeux et se mordilla les lèvres. Ludwig n’en resta pas là. Il malaxait les fesses de Rachid et lui caressait successivement le dos, les hanches puis l’intérieur des cuisses et enfin le ventre. Rachid devenait fou, gémissant de façon peu masculine face aux assauts du dresseur.

- Je devrais faire ça plus souvent… Hmmm…

Ludwig léchait le sexe adverse comme une glace. Il regardait Rachid qui s’était levé sur ses coudes pour appliquer un mouvement avec le bassin, comme pour pousser son pénis ou caresser le visage de Ludwig avec.

- Ne sois pas si pressé ! sourit Ludwig.

Le jeune homme se mit à genoux et commença à travailler l’anus de Rachid. Ludwig s’étonna de sa belle teinte rosée. Il passa son éponge humide et musclée sur ce muscle circulaire et très sensible. Surtout chez Rachid.

- Oh oui ! Oui, là, comme ça c’est bon, oui hmmm… Continue je t’en supplie !!

Ludwig enfonçait sa langue dans le curieux orifice, provoquant des frissons à Rachid. Peu à peu, le trou s’écartait tout seul.

- Je vais… Je ne vais plus pouvoir tenir, Ludwig…

Le jeune homme se releva et se délesta de ses habits. Rachid put enfin apprécier la musculature de son humble amant.

- J’aime beaucoup ce que je vois moi aussi… sourit Rachid.

- Je ne suis pas aussi bâti que toi…

- Je suis dans l’hôtellerie, tu te doutes que ça sculpte. Toi tu es tout naturel, c’est ce que je préfère…

Ludwig sourit et inséra un doigt dans l’orifice de Rachid.

- Ahoooon…

- Ça te plait comme ça ?

- Hmmmm… Hnnnn…

Ludwig faisait tourner son doigt dans l’anneau de Rachid qui gémissait.

- Ludwig prends-moi je t’en supplie…

- Ouais, t’inquiète pas, tu vas prendre, ça je te le garantis.

Ludwig regarda son sexe dur et demandeur. Il cracha dans sa main et lubrifia sa queue toute tendue. Puis il se plaça devant l’entrée et s’immisça.

- Ouh…

- Je te fais mal ?

- Non… C’est gros…

- Flatteur…

Une fois à la moitié du chemin, Ludwig se saisit des jambes de Rachid et il commença à imprimer un mouvement d’avant en arrière.

- Oh ! Oh oui ! Ooooh Ludwig oui !!!

- Ooooh… Ooooh oui c’est booon…

- Continue je t’en prie !!

Rachid s’accrochait au meuble, saisi par le plaisir que lui apportait cette sodomie. Ludwig avait toute la grandeur nécessaire à cet exercice, et c’était une joie pour le jeune champion de se faire pilonner par un si fougueux amant. Ses frères étaient bien gentils mais un peu rébarbatifs à force. Ludwig était le sang neuf qu’il lui fallait.

- T’es aussi chaud à l’intérieur qu’à l’extérieur… sourit Ludwig.

- N’hésite surtout pas, plus fort !!

- Dans ce cas, on devrait changer de position…

Rachid entoura le cou de Ludwig avec ses bras. Le dresseur porta Rachid un moment avant de retomber lui-même dans un fauteuil.

- Hon oui !

- Vas-y, saute sur le bâton !

Rachid regarda Ludwig dans les yeux tout en s’agitant sur le pénis droit et glissant du dresseur.

- C’est tellement bon…

Ludwig remarqua une queue délaissée : Celle de Rachid. Il entreprit de masser le membre, ce qui charma le champion.

- Et tu penses même à mon petit plaisir…

- J’ai de la sueur dans les yeux, je ne pense plus à rien…

- Tu mens très mal, tu es encore très vigoureux...

Rachid embrassa Ludwig avec passion. Il sentait le sexe de Ludwig coulisser en lui.

- Aaaah… Aaaaaaah…

- T’aimes ça, hein ? Dis-le que t’aimes ça !

- J’aime ça, j’aime ça, j’aime çaaaaah… Oui…. Hmmm…

- Changeons encore de position, je veux tout de toi.

- Ah oui ?

Rachid se désolidarisa du pénis encore demandeur et tout rouge d’excitation. Il se mit par terre, à quatre pattes, demandeur et tout ouvert d’excitation.

- Ma préférée… se pourlécha Ludwig.

- Hihihi ! Moi aussi, viens par là…

Après une petite fellation de Rachid et de sa langue coquine pour faire repartir l’engin, Ludwig s’enfonça de nouveau en Rachid qui criait désormais tout son saoul, livré à un plaisir sans nom offert par un pénis expert et volumineux.

- AH ! AAAH ! AH MON DIEU OUI AAAAH !

- Crie plus fort, salope ! Vas-y !

- Oui ! Oui plus ! Plus fort oui ! Défonce-moi !!

Ludwig attrapa les cheveux de Rachid. C’était devenu bestial. Le jeune homme écrasa son torse contre le sol, le cul tout offert à son véloce amant.

- VAS-Y !! OUI ! HMMM !!! BOURRE-MOI !

- J’aime quand tu es vulgaire !

- VAS-Y A FOND ! AHAAAN OUI JE SUIS TA PUTE !!

- Tu m’étonnes ! Une sacrée pute !

- Nnnnnh… Hmmmm… Aaaaaaah…

C’était un pilonnage en règle. Rachid en demandait toujours plus et Ludwig aimait ça. Le dominant prit de l’assurance, se leva sur ses pieds et pistonnait le jeune serveur avec célérité. Rachid tirait la langue, les yeux en l’air, sa dignité et son flegme terrassés par la puissante matrice qui s’activait derrière lui. Rarement il avait été pris avec une telle fureur. C’était jouissif.

- Hmmm ! Hmmm Ludwiiiig ouiiii…

- Je vais jouir !

- En moi, en moi !

- Prépare-toi à être rempli… uuuh… uh…

- Aaaaaaaaah !

Ludwig jouit en Rachid, une sensation étrange pour lui de se déverser dans un jeune homme si étroit. Rachid se sentait tapissé de l’intérieur, une sensation délicieuse. Les parois de son anus étaient pleinement satisfaites, couvertes de semence, et ce contact humide et chaud n’était pas pour déplaire au champion d’arène.

- C’était merveilleux…

- Je sais. Je suis très bon à ce petit jeu.

- On recommence ?

- Quoi ? Je suis lessivé !

Rachid se leva en colmatant son orifice anal avec ses doigts.

- Ah… ah, je ne veux pas me vider comme ça… hm, c’est embarrassant…

- Frangin !

Rachid se tourna vers Armando et Noa, nus également.

- Tu veux… Oups !

- Ca va ! sourit Ludwig, je viens de me le faire, pas de souci.

- M… Mes frères, je suis rempli de bon sperme…

- Ah ouais ? Allonge-toi !

Rachid s’allongea sur un buffet, jambes écartées. Armando, ni une ni deux, le pénétra violemment.

- AHN !!! HAN !!! AHN OUIIIII HMMMM !!!

- Ta gueule, salope !

- Oui frérot, je suis ta pute, aahaaaa…

Noa approcha Ludwig.

- Je peux ?

- Sûr.

Noa suça légèrement le pénis de Ludwig, encore en vigueur. Le jeune homme aux cheveux bleus se plaça dos à Ludwig.

- Ca ne t’embête pas ?

- Pas comme ça, à quatre pattes.

- Bien.

Noa se posa à quatre pattes au sol. Ludwig se plaça derrière lui et lui laboura le colon.

- Oh ! Oh mon… AH !!! AH C’EST…

- Vous êtes étroits, c’est familial ?

Armando continuait à violenter Rachid qui hurlait sous ses coups. Ludwig leur adressa un sourire. Noa était pulvérisé de l’intérieur.

- Oh que c’est bon ! Oh oui ! Grandiose !! Ah !! Aaaahhahaa…

- T’en fais pas, je suis endurant !!

Ludwig caressait le corps fluet du jeune homme qui gémissait presque comme une femme.

- Tu me plais…

- Je comprends aussi ce que Rachid te trouve ! sourit Noa.

Ludwig embrassa Noa dans le cou tandis qu’il le pénétrait. Noa vit son frère se retirer de Rachid.

- Te voilà pleine de jus, sale pute !

- Ah… haaah… ah, je suis épuisé…

Noa se leva, se désincarcérant de Ludwig.

- EEEEH ! J’avais pas fini ! grommela le challenger.

Armando arriva près de Ludwig.

- Ta bouche, toi.

- …

Armando se plaça entre les jambes de Ludwig et lui procura une fellation.

- Ah… Ça va mieux…

Ludwig regarda Noa qui se plaçait face au cul de Rachid pour mieux en boire la semence. Ludwig sourit, excité.

- Vous êtes terribles, les gars !

- C’est délicieux… tout ce bon sperme…

Noa léchait avec attention l’anus de Rachid, lui détendant les sphincters et absorbant avec attention la liqueur blanchâtre qui s’en écoulait. Rachid ne tarissait pas de cris et de gémissements de plaisir. Ludwig avait à peine remarqué qu’Armando cherchait à ce que Ludwig la lui mette.

- Eh, je suis vanné, moi !

- T’as pas juté dans le cul de Noa, tu peux m’exploser le trou de balle !

Ludwig s’étonna. « Il est grossier ! »

Le dresseur attrapa Armando. « J’aime ça ! »

Ludwig encula Armando d’un coup d’un seul. Armando hurla ce qui attira l’attention de ses frères.

- Putain, j’étais pas totalement prêt !

- M’en tape ! Ferme-là et supporte.

Ludwig donna quelques coups. Rachid se leva, embrassant Noa dans le même temps. Les deux frères vinrent après des deux amants.

- Putain ! Ah !! Aaaaah ! Ah c’est bon ! Hmmm !

- Je vois qu’on n’est pas si méchant que ça !

- Défonce-moi putain !! Vas-y à fond ! T’es à fond, là ?

- Tu te prends pour qui pour me donner des ordres, le rouquin ?

- Le rouquin il attend mieux que tes petits coups de bite !

- Ah ouais ?

Ludwig se releva et plaqua Armando à terre, le pénétrant avec force.

- AH ! AHHH !!! AAAAH ! OUAIS, COMME CA, OUAIS !!

- T’es le meilleur des trois, assurément…

- PUTAIN OUI HAAAAAH !!! HMMMMMH !!!

Les frères d’Armando vinrent se masturber face à lui, à genoux.

- Vous allez lui repeindre la gueule ?

Rachid et Noa hochèrent la tête alors que Ludwig continuait de pilonner Armando.

- Cool, je m’occupe de l’arrière-cour ! Hmph…

- Aaaaaah… ahaahaaaa… geignit Armando.

- Ta gueule. Tu faisais ton homme tout à l’heure, assume un peu.

- Hmph… C’est… C’est super génial… Elle est grosse, bonne, puissante…

- T’as rien vu !

Ludwig poussa son avantage et frappa à grands coups profonds dans l’anus de son amant. Armando, le rouquin échevelé, était soumis à sa toute-puissance dominatrice. Rachid et Noa s’embrassèrent tout en se masturbant l’un et l’autre, jusqu’à éjaculation.

Quand Ludwig se vida une dernière fois, il se retira et s’allongea sur le sol, vanné. Les trois frères se prodiguaient caresses, baisers et masturbations rassurantes. Ludwig se dit qu’il se rappellerait longtemps de son premier badge.
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